Morgane..
où la vertu n'est pas
» Molière
Elle était devenu mère, durant la matinée du de mai 1464. Mère le plus beau rôle de sa vie, le plus effrayant aussi. Comment devenir mère quand sur certains aspects elle restait encore une enfant ? Une ingénue ? Comment réussir là où elle navait aucun manuel pour lui apprendre les rouages de ce rôle ?
La jeune femme avait déjà réussi un tour de force, resté en vie à lenfantement de deux enfants, sans en perdre un seul. Ils étaient en vie et bien présent, malgré une peur viscérale pour Morgane de mal faire.
Les premiers jours furent un peu flous pour la Blonde, laccouchement avait puisé dans ses dernières forces, la laissant vide dans sa couche. Vide dun tout et pourtant pleine de vie en entendant les cris de ses enfants.
Puis la vie reprit ses droits, la Valyria se releva, tenta de faire ses premiers pas de mère, malgré cette douloureuse sensation dêtre seul. Son époux semblait pourtant ravi du cadeau de sa femme, pourtant elle le sentait séloigner pour ne devenir quune ombre, tout en gardant en mémoire ses mots « Ma femme chez les Valyria lenfantement nest pas une joie vous verrez, promettez moi de ne pas vous culpabiliser ! »
Pourtant tout semblait aller pour le mieux, enfin Son fils nétait pas friand dêtre déplacé ou être dans les bras de sa mère, tandis que sa sur, elle, se faisait entendre pour un seul but : être dans les bras de sa mère. Deux caractères déjà antinomique, et si proche à la fois.
Tout commençait à revenir à lordre maintenant, il fallait alors prévenir de la nouvelle la Famille Valyria mais aussi la sienne. Son corps avait fondu à vus dil jusquà reprendre les formes juvéniles davant son mariage. Si on pouvait véritablement appeler cela des formes.
Installée devant son bureau, Morgane reprenait son rôle de maîtresse de maisons abandonnant quelques peu celui de mère, qui langoissait.
-Apportez moi une plume et des parchemins, je me dois de prévenir de la naissance de mes enfants convenablement, je vous prie.
-Oui Madame.
Les parchemins vierges furent posés devant elle rapidement.
-Madame, Monseigneur Alboin était présent lors de votre délivrance, il se peut quil ait déjà prévenu votre famille.
-Surement oui, tout comme mon époux. Mais il est de mon devoir de les prévenir convenablement et de les convier à venir les voir.
Plongé dans ses songes, elle se mit à écrire, puis envoya rapidement les quatre plis scellés.
Elle était devenu mère, durant la matinée du de mai 1464. Mère le plus beau rôle de sa vie, le plus effrayant aussi. Comment devenir mère quand sur certains aspects elle restait encore une enfant ? Une ingénue ? Comment réussir là où elle navait aucun manuel pour lui apprendre les rouages de ce rôle ?
La jeune femme avait déjà réussi un tour de force, resté en vie à lenfantement de deux enfants, sans en perdre un seul. Ils étaient en vie et bien présent, malgré une peur viscérale pour Morgane de mal faire.
Les premiers jours furent un peu flous pour la Blonde, laccouchement avait puisé dans ses dernières forces, la laissant vide dans sa couche. Vide dun tout et pourtant pleine de vie en entendant les cris de ses enfants.
Puis la vie reprit ses droits, la Valyria se releva, tenta de faire ses premiers pas de mère, malgré cette douloureuse sensation dêtre seul. Son époux semblait pourtant ravi du cadeau de sa femme, pourtant elle le sentait séloigner pour ne devenir quune ombre, tout en gardant en mémoire ses mots « Ma femme chez les Valyria lenfantement nest pas une joie vous verrez, promettez moi de ne pas vous culpabiliser ! »
Pourtant tout semblait aller pour le mieux, enfin Son fils nétait pas friand dêtre déplacé ou être dans les bras de sa mère, tandis que sa sur, elle, se faisait entendre pour un seul but : être dans les bras de sa mère. Deux caractères déjà antinomique, et si proche à la fois.
Tout commençait à revenir à lordre maintenant, il fallait alors prévenir de la nouvelle la Famille Valyria mais aussi la sienne. Son corps avait fondu à vus dil jusquà reprendre les formes juvéniles davant son mariage. Si on pouvait véritablement appeler cela des formes.
Installée devant son bureau, Morgane reprenait son rôle de maîtresse de maisons abandonnant quelques peu celui de mère, qui langoissait.
-Apportez moi une plume et des parchemins, je me dois de prévenir de la naissance de mes enfants convenablement, je vous prie.
-Oui Madame.
Les parchemins vierges furent posés devant elle rapidement.
-Madame, Monseigneur Alboin était présent lors de votre délivrance, il se peut quil ait déjà prévenu votre famille.
-Surement oui, tout comme mon époux. Mais il est de mon devoir de les prévenir convenablement et de les convier à venir les voir.
Plongé dans ses songes, elle se mit à écrire, puis envoya rapidement les quatre plis scellés.
Citation:
De nous, Morgane Blanche de Valyria,
A vous, Monseigneur Anarion de Valyria
Salutation,
Nous souhaiterions vous annoncer lheureuse nouvelle part nous-même, mais avant veuillez nous excusez du délai pour cela, mais un enfantement nest pas de tout repos.
La Famille Valyria compte deux nouveaux membres, dont un héritier. Vous êtes invités dès que vous le souhaiteriez à venir visiter Hector et Aurore auprès de nous.
Respectueusement,
Morgane Blanche de Valyria
A vous, Monseigneur Anarion de Valyria
Salutation,
Nous souhaiterions vous annoncer lheureuse nouvelle part nous-même, mais avant veuillez nous excusez du délai pour cela, mais un enfantement nest pas de tout repos.
La Famille Valyria compte deux nouveaux membres, dont un héritier. Vous êtes invités dès que vous le souhaiteriez à venir visiter Hector et Aurore auprès de nous.
Respectueusement,
Morgane Blanche de Valyria
Citation:
De nous, Morgane Blanche de Valyria,
A vous, Monsieur Alastor de Valyria
Salutation,
Nous vous écrivons ce jour pour vous convier à venir partager notre bonheur. Il y a quelques jours, jai donné naissance à deux nouveaux Valyria. Hector et Aurore sont entrés dans notre famille dans une belle matinée de Mai.
Je vous invite avec plaisir à venir les rencontrer dès que possible.
Amicalement,
Morgane Blanche de Valyria
A vous, Monsieur Alastor de Valyria
Salutation,
Nous vous écrivons ce jour pour vous convier à venir partager notre bonheur. Il y a quelques jours, jai donné naissance à deux nouveaux Valyria. Hector et Aurore sont entrés dans notre famille dans une belle matinée de Mai.
Je vous invite avec plaisir à venir les rencontrer dès que possible.
Amicalement,
Morgane Blanche de Valyria
Citation:
De nous, Morgane Blanche de Valyria,
A vous, seule femme de la Famille connu, Prim Adelys de Valyria
Salutation,
Une aide féminine et amicale ne serait pas de trop pour accueillir comme il faut dans notre famille ces deux petits êtres que jai mis au monde récemment. Hector et Aurore seraient ravie de rencontrer leur cousine.
A bientôt.
Morgane Blanche de Valyria.
A vous, seule femme de la Famille connu, Prim Adelys de Valyria
Salutation,
Une aide féminine et amicale ne serait pas de trop pour accueillir comme il faut dans notre famille ces deux petits êtres que jai mis au monde récemment. Hector et Aurore seraient ravie de rencontrer leur cousine.
A bientôt.
Morgane Blanche de Valyria.
Après le tour de la famille Valyria, il lui fallait convier son frère et Edellia à venir les voir. Morgane eut une pensée pour sa suzeraine et amie, elle qui était lune de ses racines dans sa vie, elle ne pourrait venir voir ses anges, elle était trop loin et sa charge de Reine de Castille ne devait pas être négligée pour une simple visite. Morgane le comprenait et ladmirait. Oui elle admirait cette femme dont la vie ne lavait pas épargnée et pourtant qui portait sur ses épaules la responsabilité de tant dâmes.
Ses pensées se perdirent pour revenir aux présents : Alexis et Edellia. Edellia, aujourdhui, après les tumultes de laccouchement, Morgane comprenait, comprenait que pour elle, Edellia lui avait donné la plus belle preuve damitié voir damour, elle avait été présente dans le jour le plus difficile de sa vie et le plus heureux, alors quelle était tétanisée. Une pensée émue vers elle, puis elle sempressa de lui écrire.
Citation:
De moi, petite blonde un peu têtue et survolté
A vous, Jolie Blonde, Marraine dune petite brune
En fait, je ne sais pas vraiment comment commencé, ni quoi vous écrire Je ne saurai vous remercier et je ne pourrai jamais vous rendre ce que vous mavez apporté ce jour.
Si vous le voulez bien, je vous invite a venir faire plus amples connaissances avec votre filleule et Hector.
Affectueusement,
Morgane
A vous, Jolie Blonde, Marraine dune petite brune
En fait, je ne sais pas vraiment comment commencé, ni quoi vous écrire Je ne saurai vous remercier et je ne pourrai jamais vous rendre ce que vous mavez apporté ce jour.
Si vous le voulez bien, je vous invite a venir faire plus amples connaissances avec votre filleule et Hector.
Affectueusement,
Morgane
Après la blonde, elle passa à son frère. Le meilleur pour la fin.
Citation:
De votre petite sur,
A son grand frère,
Jaimerai vous parler et vous présenter vos neveux un peu mieux quau jour où ils sont venu au monde.
Jai une surprise à vous annoncer.
Tendrement,
Votre petite sur.
A son grand frère,
Jaimerai vous parler et vous présenter vos neveux un peu mieux quau jour où ils sont venu au monde.
Jai une surprise à vous annoncer.
Tendrement,
Votre petite sur.