Primha
* 1789, Les amants de la Bastille - Sur ma peau
https://www.youtube.com/watch?v=VDDrh8UmjoU
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- Stature frêle, Valyria était pourtant une roche vive qui menaçait de s'écrouler à tout instant par le poids que la vie s'entêtait à lui infliger. Les promesses saignées, les serments rompu, les amis vaquant, elle n'était qu'une ombre parmi les ombres, le regard perdu dans la brume des jours tombant de lautomne ; Argentée sombre dans un horizon sombre, où seule quelques braises nommées Aeglos et Mélissandre brillent en fond, les bras tendu pour la rattraper tel des parents encourageant les premiers pas d'un hérités. D'un bal, d'un réconfort, d'une présence.. Ces deux êtres que le hasard avait placé dans une délicatesse infinie étaient devenus l'espace d'un souffle, des piliers extérieur, loin de tout les tourment internes. Et mieux encore, cela avait placé l'Altesse dans une découverte qu'aujourd'hui, Valyria souhaitait entamer. La mort avait l'art d'ôter les souffles, mais depuis des semaines, Dragon la trompait avec une aisance perturbante. L'oubli des maux se faisait par la force des choses, et des âmes bienveillante ; il fallait avancer. Et quoi de mieux, que rendre plaisir à Mélissandre, futur suzeraine et amie, qu'en écrivant au roux royal.
Citation:
- A vous, Votre Altesse Royale, Hector de Troy, Prince de France,
De nous, Prim Adelys de Valyria.
Salutations & Paix,
Par ce cinquième jours du mois d'Octobre, nous prenons la plume afin de venir quérir de vos nouvelles, d'un acte sincère quant au bien être de votre personne, mais également pour vous faire parvenir un souhait. Son Altesse Royale Mélissandre, amie que nous partageons, m'offre le plaisir et l'honneur de nous lier par une terre vassalique. Nous aimerions, si vous l'accordez, vous y voir. Depuis le Bal, nous est venu l'envie de vous écrire, mais la peur de vous opportune ne nichait en nous. Aujourd'hui, après avoir manqué la disparité, il nous ai important de reprendre un cours de vie.
- Que le Très Haut vous garde en sa Sainte Grâce,