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[RP] Hotel Bressey

Aeglos.
Il sourit en coin à la réponse de a tourangelle. C'est vrai qu'en étant bailli, on avait un certain nombre de petite bestiole à s'occuper. Mais il n'avait pas le souvenir qu'il y avait des chevres dans les fermes ducales. Enfin, il y en avait peut etre en Touraine. Quoi que, en y repensant, si sa mémoire était bonne, la Touraine exportait du fromage de chevre donc, il devait bien y avoir des chevres du coup.

Bon, ça reglera un probleme alors.

Il acquiessa à la suite, bon, s'il n'y avait pas de question, ils pouvaient en finir. Mais avant ça, il restait un dernier point assez important à regler avant de pouvoir vraiment dire qu'ils en avaient fini pour ajourd'hui.

Si tu n'as pas d'autres questions, moi j'en ai une plus ou moins. Il va falloir aller sur Aumale dans un avenir tres proche. Donc, je proposerais bien dès maintenant, mais je supose que ce n'est pas viable, donc, je propose lundi*.

Il fini son verre et decida de ne pas le re remplir cette fois, pas une bonne idée d'abuser encore plus. Il attendit donc sa réponse, il prefererait des maintenant, mais savait tres bien que pas faisable, il avait été bailli lui aussi et n'était pas non plus le genre de noble à toujours exiger. Il preferait suivre l'enseignement parentale et etre comprehensif et proche de sa mesnie.

*ils sont toujours le mardi 21

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Merveylle_mirandole
A la réflexion, les bêtes avaient suffisamment de nourriture pour tenir quelques jours sans elle, les mines étaient entre de bonnes mains et les fonctionnaires suivaient le planning établi sans qu'elle ait à intervenir outre mesure. Quant à ses rapports, ils se faisaient aisément par pigeon-postal.

Et bien en fait, maintenant ça m'arrangerait plus moi aussi... Mais je ferai selon tes souhaits.

Elle sourit de manière à indiquer qu'elle ne prendrait pas ses choix pour des exigences mais bien des choix murement réfléchis
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Aeglos.
Ah, parfait ça! Le jeune duc claqua dans ses mains apres la reponse de la Norinon.

Excellent!

Je vous laisse recuperer vos effets, tandis que je regle deux ou trois choses, nous partons dans 2 heures.


Il se leva et la salua d'un signe de tete avant de sortir. Il la laissait un peu en plan, mais de toute façon elle aurait surement ses affaires à recuperer également et s'il voulait partir dans deux heures, ils devaient envoyer un ou deux coursiers.
Le premier pour les ambassades royales, que les missives lui soient envoyé à Aumale et le deuxieme à la surintendance pour la meme raison. Ainsi il serait tranquille, ses differentes charges n'exigeaient pas d'etre sur place en continu et pouvait s'absenter quelques jours.
Il interpela également l'un de ses gens passant dans le couloir pour qu'il previenne le palefrenier que leurs chevaux soient sellés afin de partir au plus vite.
Deux heures plus tard, quand tout serait pret, ils pourraient ainsi partir en direction d'Aumale. Il faisait peut etre nuit, mais il connaissait bien la route et à cheval ils ne risquaient pas de tomber sur des embuches, les terres proches de la capitale étaient sures et Aumale se trouvait proche.

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Helene.blackney

    De l'éducation d'un Blackney

    De missive en missive, nous étions tous les deux parvenus à un accord, laisser Stefen quelques jours par mois à Aeglos qu'il puisse lui montrer une image masculine et commencer son éducation auprès des hommes. Le gamin était jeune, je préférais m'y prendre tôt. Il n'avait plus de père, mon frère était trop absent pour le garder...bref j'étais une mère seule face à son fils qui va grandir inlassablement, si il pouvait rester nourrisson ca m'arrangerait. Aeglos était un ami d'enfance, son père était très ami avec le miens, de fil en aiguille malgré la mort des deux, nous avions toujours gardé un lien. Paris allait être mon point de chute, au début, je serais présente et au fur et à mesure, je laisserais l'enfançon avec son professeur.

    Paris...bête à chagrin...J'avais fait un effort car c'était un ami et c'était aussi mon fils. Stefen ne posait pas de question, il était sage. Dans les rues de la capitale, la voiture eut du mal à se faufiler. Nous arrivâmes à l'adresse, main dans la main avec mon enfant, nous demandions à voir le duc.
    Avant d'entrer dans la maison, je me mis à hauteur du petit garçon et je donnais quelques consignes avec des yeux sérieux:


    - On est invité par le Duc, tu dois l'appeler Monsieur. Soit poli et fait ma fierté fils

    Je m'appuyais sur mes cuisses pour me relever et attendre la venue de mon ami, j'étais anxieuse de laisser mon fils...

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Aeglos.
Comme souvent, tres souvent, trop souvent, l'Orkney était penché sur ses courriers, sur ses dossiers, reglant un probleme diplomatique, une gestion de l'office ou la verification que tout ce passait bien sur ses terres. Certes, pour son intendante, vassale et amie était exceptionnelle et tres efficasse, et il lui faisait pleinement confiance. Mais, il était comme ça, il preferait quand meme garder un oeil sur ses terres, leurs gestions et ce qu'il s'y passait. C'était son devoir apres tout, mais également un plaisir. Un moyen de garder un lien avec son pere, qui, avant lui, avait veillé sur ses terres Aumalienne. Et un lien avec sa mere également, pour les terres montpeyriennes. Bien que sa mere soit encore vivante et que cela n'avait pas le meme impact pour lui. Enfin, il appreciait verifier que ses terres allaient bien. Et c'est alors qu'il faisait ça, que l'un de ses pages viens le prevenir qu'une mere et son fils attendaient devant la herse.

Sachant qu'Helene et son fils devaient arriver, il sut qu'il s'agissait d'eux. Il dit au page de courir prévenir les gardes afin qu'ils ouvrent la porte à ses invités et les fassent entrer dans la cour avant qu'il arrive. Quand à lui, il rassembla puis rangea ses documents pour laisser un bureau plus ou moins rangé. Plus ou moins car il n'aurait pas pu faire mieux vu le nombre de document qui passaient leur temps à noyer son bureau. Donc, apres avoir rangé un minimum son bureau, il le laissa pour descendre dans la cour, rejoindre son amie d'enfance et l'enfant qu'il avait accepté de prendre sous son aile. Pour etre honete, il était anxieux, car, les enfants, il ne connaissait pas vraiment, mais, en se rappelant ce que son pere lui avait enseigné, il esperait pouvoir reussir. Et puis, Helene était son amie, presque une soeur, et il était heureux de pouvoir l'aider.

Il finit par arriver dans la cour et se diriger vers les deux blackney, un leger sourire s'étirant sur ses levres. Il fit la bise à Helene et adressa un sourire à l'enfant, ne sachant pas vraiment s'il devait le bisouiller ou non. Et puis, ce dernier ne le connaissait pas, alors, mieux valait y aller en douceur. Il reporta son attention sur la mere.


Bonjour Helene, comment vas tu?
Et pour commencer, bienvenue à vous deux dans ma demeure. Vous etes ici chez vous.

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--Stefen.blackney


La voiture était un de mes jeux favoris, elle remuait et moi je ne cessais de crier "hiiiiiiiiiii ahhhhhhh". Finalement, elle s'arrêta et je dus descendre. Ma mère me donna LES consignes, elle faisait toujours ça avant qu'on voit du monde, comme si je ne savais pas me tenir! Le Monsieur arriva, je fis un sourire avec quelques dents et je dis droit comme un i, mon petit torse bombé:

- Bonjour! Monsieur!
Helene.blackney
    Bien droite comme mon enfant, on fut reçu par le duc. J'étais réellement rassurée qu'un homme puisse prendre sous son aile Stefen. Égal à lui même, le garçon salua le duc tout à fait comme je l'avais demandé. Il était obéissant, cela ne durerait pas avec l'adolescence et les problèmes d'identité ou quand il me demandera avec ses grands yeux bleus "c'est qui papa?".
    Je revêtis une façade souriante pour Aeglos et je répondis:


    - Merci à toi de nous recevoir, je vais bien, légèrement fatiguée par les bruits de la ville. Ta demeure est bien gardée et ravissante.

    Tenant la main de mon fils, nous furent introduits dans cette demeure aux élans de donjon. Il était bien loin le jour où je jouais simplement avec Aeglos alors que son père venait rendre visite au miens. Il avait réussit dans ce monde et relevait dignement l'héritage familial. J'aurais aimé en faire autant de mon côté.

    - Alors raconte nous tout de cette vie parisienne, je suppose que tu es très pris par tes fonctions

    Avait il vraiment le temps pour moi et mon enfant? Je ne voulais pas le déranger.

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Aeglos.
Bonjour Monsieur? Il n'avait pas l'habitude qu'on l'appelle comme ça. D'ailleurs, il n'était pas sur qu'on l'ai déjà appelé ainsi, normalement, c'était Votre Grasce, Excellent, Messire ou meme Aeglos pour les intimes. Mais Monsieur, il n'avait pas souvenir d'avoir déjà été appelé ainsi. Enfin, cela ne le derangeait pas plus que ça, donc, pas besoin de s'en faire. Il adressa un sourire à l'enfant puis s'adressa à lui.

Bonjour jeune homme.


Puis il se retourna vers sa mere, esquissant un sourire en coin à la premiere remarque.

Et bien, un petit coté paranoïaque, mais merci, c'est ma vassale qui s'est occupé de la mise en place de la decoration. Je te ferais visiter plus tard si tu veux. En attendant, si tu veux bien me suivre, nous serons plus à l'aise pour discuter dans le salon.

Tout en parlant, il repondit à la question de sa vielle amie. Non pas qu'elle était agée, pas plus que lui en tout cas, mais car c'était une amie de longue date, une amie d'enfance qu'il appreciait beaucoup, bien qu'ils n'aient pas souvent l'occasion de se voir.


Et bien, je suis souvent aux ambassades Royales qui me prennent pas mal de temps, faire passer des entretiens, verifier que tout va bien, répondre aux ambassadeurs. M'occuper de la Bretagne et d'autres dossiers. C'est plutot chronophage mais j'aime vraiment ça. Et, quand je ne suis pas là bas, je suis ici pour m'occuper de mes terres, reglants des litiges que je reçois par missive, des amenagements, ce genre de chose. Mais tu connais. Du coup, je n'ai pas souvent le temps d'aller me reposer sur Aumale ou Montpeyroux, mais bon, c'est ainsi, je deviens au parisien à force. C'est le revers de la médaille quand on est officier royal.

Il les emmena dans la tour, au deuxième étage ou ce trouvait la grande salle, son bureau et le salon. Une pièce de taille moyenne, composé d'un de plusieurs fauteuils ou ils pourraient prendre place, d'une commode ou était rangé différentes merveilles et qui laissait entrer la lumière par une fenêtre orienté plein Ouest. Il les invita à prendre place puis fit de même avant de poursuivre.

Enfin, je suis heureux de vous recevoir ici et j’espère que vous passerez un bon séjour. Ce n'est pas aussi cossu qu'Aumale, mais c'est déjà plutôt agréable pour la capital.

Et vous, raconte moi tout.


Il reflechit une seconde puis reprit.


Au faite, que voulez vous boire?
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--Stefen.blackney


Dans jeune homme, il y avait homme! Bien sur que j'étais un homme, je faisais la fierté de ma mère. Nous entrâmes, je fus assez déboussolé par l'ensemble des trucs brillants qu'il y avait ici. Je me frottais les yeux. "Monsieur" nous fit asseoir.

- Maman je m'ennuie, on part quand?

Je balançais mes jambes dans le vide, le fauteuil étant trop grand pour moi.
Helene.blackney
    Il y avait beaucoup de changements dans la vie de mes amis, mais quand on me demandait de raconter, je ne trouvais souvent rien à dire. Je restais la même, aucun bouleversement, pas de charges. Je souriais, le jour où Aeglos serait parisien, peut être que je n'aurais plus rien à raconter du tout. J'étais née à Paris au milieu du tumulte et pourtant je fuyais la ville. Je pris place confortablement, regardant avec admiration le bon goût de mon ami. Après un léger moment de flottement, c'est mon fils qui répondit qu'il s'ennuyait. Il ferait un excellent diplomate plus tard me dis je. Je fis les yeux noirs, posant ma main sur sa jambe fermement, je lui fis comprendre ceci:

    - Stefen, tu es ici un invité, tu n'as pas à dire aussi fort ce que tu penses. A présent, je ne veux plus rien entendre sortir de sa bouche, c'est silence

    Je hélais une personne de nostre mesnie pour qu'elle puisse aller chercher son cheval en bois. Je chuchotais merci à ma dame et je repris la conversation avec mon ami.

    - Tu me demandais de te dire tout...mais je n'ai rien à dire d'extraordinaire. Je n'ai point d'occupations royales, ni même ducales, j'essaye d'être diplomate mais ce n'est pas mon truc. Je n'y vois aucun intérêt à parlementer, soit on sait ce qu'on veut soit on ne le sait pas.

    Je fus interrompue par la dame qui ramenait le jouet préféré de mon fils. Ainsi, il était occupé et dirait moins de bêtises.

    - Je garde mes terres de Bouillon mais jusqu'à quand...la succession de mon père n'est pas réglée et je ne sais pas quel est le devenir de la famille. Famille qui est brisée et dans laquelle je n'ai aucuns repères. Alors tu vois, ce n'est pas glorieux

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Aeglos.
Tiens, le petit en avait marre. Il ne devait pas etre tres patient ce qui pouvait souvent, mais pas toujours, etre un inconvénient. Oui oui, c'est lui qui dit ça, lui qui a failli devenir fou d'impatience pour une affaire plutot privée impliquant une bretonne. Quoi que, ce n'était pas pareil, c'était pour le privé. Enfin, pour le mini Blackney, cela pouvait s'excuser, et cela se devait meme. Il était encore tres jeune et les discussions de "grands" pouvait rapidement devenir inintéressante quand l'on ne les comprend pas. Il esquissa donc un leger sourire en voyant son amie intervenir pour corriger son fils. Il attendit qu'elle finisse avant d'intervenir à son tour et proposer une solution qui pourrait arranger tout le monde, ou surtout le petit.

Il peut aller jouer avec les enfants de mes gens si tu veux? Il y en a un ou deux qui ont environ son age.


Oui, il était vague, mais même s'il s’intéressait à ses gens et connaissait de noms ou de visages l’immense majorités. Pour leurs enfants, il avait souvent plus de mal, ne les côtoyant que peu. Ils ne le dérangeaient pas, au contraire, les rires des enfants mettent de la vie dans une demeure, mais, il n'avait pas de raison de les côtoyer, alors, à part les croiser dans les couloirs ou la cour, cela s’arrêtait là. Il essayait d'etre proche de ses gens, en reponse à l'enseignement que son pere lui avait transmis, mais il n'avait pas toujours assez de temps pour ça.

Quand à la proposition qu'il avait fait à Helene, elle pourrait ou non la decliner, cela ne le derangerait pas, c'était son fils et elle qui décidait apres tout. Bien que si elle lui confiait, il fallait qu'il s'y habitut aussi un minimum. Non pas à diriger, ça il avait l'habitude, mais à diriger un enfant, l'éduquer. Et ça, c'était bien plus difficile.


Oh, tu sais, la diplomatie n'est pas seulement parlementer, il y a bien d'autres choses tres interessantes à faire. Et je sais de quoi je parle. D'ailleurs, si un jour tu changes d'avis et a envie de t'interesser à la diplomatie royale, n’hésite pas à passer.

Il lui adressa un sourire en ajout à sa réponse. En dirigeant les ambassades royales, il finissait par tres bien connaitre son sujet et il aurait bien aimé avoir une personne de plus ayant du caractere dans son offfice. Bien souvent, cela aidait beaucoup, pas toujours, mais souvent. Contrairement à ce que les gens pensez, souvent la diplomatie necessité de savoir tenir tete. Il pinca les levres à la suite des propos de la Blackney.


Oh, je vois, je connais, ce n'est pas toujours tres facile, enfin, j'espere pour toi que cela se reglera rapidement.
Quand à la gloire, elle n'est pas toujours nécessaire à l'existance, ce qui importe souvent est de bien vivre et d'essayer d'etre heureux. Meme si je me doute qu'en se moment, ça soit difficile.

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--Stefen.blackney


Ma mère se fâcha, pourtant, j'étais un enfant, je ne disais que la vérité. On s'ennuyait chez Monsieur. Je fis une mine boudeuse. M'enfin Higaga me rapporta mon cheval en bois pour jouer, je sautais de ma chaise. La regardant, je dis:

- Il est z où le chevalier ?

Mon cheval en bois allait de paire avec un chevalier sculpté. Bon je devais me contenter du cheval. Sans gêne que j'étais je me mis à hurler:

Hiiiiiiiiiiiii Ahhhhhhhhhhhhhh

Tout en commençant à faire le tour du logis en agitant le cheval dans tous les sens. La discrétion personnifiée.
Helene.blackney
    Lorsqu'il me signifia que Stefen pouvait aller jouer avec des compagnons de son âge, j'eus un petite moue de refus. Il devait apprendre à rester calme et poli. Mais lorsque Stefen commença à jouer avec le cheval en hurlant à la mort, mes oreilles crièrent "pitié laisse le aller jouer ailleurs".
    La mauvaise conscience de mère l'emporta sur la bonne.


    - Bonne idée, si cela ne te dérange pas

    Je criais à mon tour au milieu des cris de ma progéniture:

    - Stefen, viens par ici, le Duc propose que tu ailles jouer avec des enfants de ton âge, tu veux bien?

    Il regardait son cheval au lieu de me regarder...je demandais à Hildegarde de l'emmener. Soufflant un peu dans ce travail si difficile que d'être mère, je souriais à mon ami.

    - Je vais y réfléchir mais tu vois comme je suis patiente...avec mon propre enfant, cela promet une diplomatie active!

    Je noircissais le tableau familial alors pour essayer d'égayer quand même et de ne pas faire croire que ma famille était complètement barge, j'ajoutais:

    - Mon frère Hervald semble avoir la tête sur les épaules, j'espère que je pourrais lui faire confiance. C'est pas facile comme tu dis mais j'ai un merveilleux enfant bruyant, je ne suis pas à plaindre.
    Tu as vu le loustique, qu'en penses tu? Crois tu pouvoir arriver à lui enseigner? Te sens tu capable de le supporter?

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Aeglos.
Il souriait legerement, patient, en observant la mere s'occupait de son enfant. Et, également s'en debarasser. Meme si ce n'était pas vraiment le terme exact. Il était plus adéquate de dire qu'elle lui permettait de se meler à d'autres enfants pour acquerir une experience à leur contact. Une experience de savoir partager, accepter les autres et, d'une certaine façon, cela ne pouvait que l'aider à devenir patient, ou, dans l'autre cas, le rendre plus charismatique en lui apprenant à diriger les autres. Dans le second cas, il faudrait quand meme veiller à ce qu'il ne devienne pas trop colereux. Un grand challenge en soit.

Oh tu sais, en diplomatie, etre patient est important, mais savoir donner de la voix quand il y a besoin est tres utile parfois, voir souvent.

Il ne repondit pas immédiatement, restant un instant silencieux avant de lui répondre, le temps de rassembler ses pensées pour trouver la réponse la plus juste.

J'en pense qu'il me fait penser à toi sur certains points.

Il esquissa un leger sourire avant de poursuivre.

Bon, pour etre honete, le supporter, il ne devrait pas y avoir de probleme. Par contre, lui enseigner, je ne l'ai jamais fait, donc, je ne sais pas si je saurais, mais, je veux bien essayer si tu penses que ce serait bon pour lui, et pour toi
.

Oui car il se doutait bien qu'outre donner un modele masculin au mini Blackney, cela pourrait permettre à Helene d'avoir un peu de repos. Ce dont elle semblait avoir besoin.
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--Stefen.blackney


Tagada tagada! Hiiiiiii ahhhhhhh! Mon cheval volait à présent puisque je le projetais dans les airs. C'est là que maman décida de me renvoyer jouer ailleurs, les larmes me montaient, je voulais pas partir! Je regardais dans les yeux ma mère, ca se trouve, elle voulait me laisser avec Monsieur, pouahhh! Les yeux larmoyants mais avec une voix ferme, je dis:

- Non!
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