Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9   >   >>

[RP] Hotel Bressey

Helene.blackney
    En y regardant de plus près, en effet, c'était bien mon fils. Cette manière de décider, de crier, et à présent de me dire non au nez. Avant de répondre à mon ami, je pointais mon index sur le nez du jeune garnement et je lui dis d'une voix ferme:

    - Mon fils, on ne défit pas sa mère

    Je retirais mon index très sérieusement. Je l'attrapais par le col et je le fis asseoir sur mes genoux.

    - A présent, tiens toi tranquille

    Je lui collais son cheval en bois dans les mains et j'ajoutais:

    - Et en silence!

    Sale môme me dis je intérieurement. Mais en même temps, je ne pouvais nier la filiation avec lui. Je revenais à nostre ami le duc.

    - Se sera une bonne chose, il doit apprendre la discipline. Pour moi, je saurais faire sans lui, depuis sa naissance, je suis tournée vers mon enfant. A présent, où j'aurais surement des terres à administrer, je dois aussi revenir à tes tâches plus terre à terre. Ton aide me sera précieuse, je sais que tu sauras lui enseigner les armes par exemple. Tu es un ami proche, mon frère Hervald sera là aussi pour lui, mais je ne compte pas me marier à nouveau, il doit être entouré de personnes masculines.

_________________
Helene.blackney
    [Par une journée pluvieuse à Paris]

    L'hiver allait tomber sur Paris et déjà la pluie tombait à grosses gouttes dans les rues. Je me hâtais de rentrer, ce jour, j'avais envisagé d'acheter une échoppe pour installer ma boutique de biscuits. Ce n'était encore qu'un projet, j'essayais de me rendre la vie ici plus agréable en plus de la compagnie du duc. Ses gens s'étaient habitués à ma présence et en entrant dans la demeure, je fus accueillie chaleureusement. Une meschine pris mon mantel trempé, il en faisait des flaques au sol. Je demandais gentiment:

    - Est ce qu'on peut sortir le baquet et mettre de l'eau à chauffer?

    Je me dirigeais vers la chambre du duc, un feu y crépitait, grelottante je m'approchais des flammes. Le claquement de mes dents étaient le seul bruit que l'on pouvait entendre avant qu'une personne entre pour monter le baquet en bois. Elle le recouvrit d'un drap épais, je l'y aidais. Mes lèvres étaient bleuies par le froid de dehors. L'eau fut amenée par plusieurs convois jusqu'à qu'il y en ait assez pour que je puisse entrer dedans. Je pris soin de défaire ma robe, avec de l'aide, pour rester en chemise. Attendant plusieurs minutes avant de pouvoir tremper un orteil et de m'enfoncer dedans avec joie. La dame fit en sorte de sortir mes cheveux de l'eau pour me les nouer en chignon. De l'eau de rose fut versée dans ce bain, je m'y engouffrais jusqu'au menton, laissant vagabonder mon esprit.

_________________
Aeglos.
[la meme journée, la meme pluie, le meme Paris]

Pour une fois, alors qu'il était sur la capitaine, il ne se trouvait pas aux ambassades royales, bien qu'il y ai toujours du travail à y faire. Mais aujourd'hui, il avait un dossier privé relativement important à traiter, aussi, il avait prefere le calme du bureau de son hotel, afin d'etre sur de ne pas etre dérangé, pour le regler. Il y avait passé une bonne partie de l'apres midi et commençait à en avoir clairement marre, voulant se changer les idées. Il se dit qu'il allait faire un brin d'entrainement dans la cour, mais quand il regarda par la fenetre, il vit que la pluie tombait. Et vu l'etat du sol, elle devait tomber depuis un moment deja. Il se dit que l'entrainement serait pour plus tard, n'ayant pas envie de le faire sous la pluie. Habituellement, il l'aurait quand meme fait, il devait pouvoir combattre quelque soit le temps. Mais aujourd'hui, il n'avait pas envie, il venait de passer des heures à reflechir et il avait envie de ce détendre. Et ce n'était pas sous la flotte qu'il pourrait le faire pleinement. Il soupira puis decida de s'y remettre, encore un peu.

C'est environ une heure plus tard, difficile de savoir exactement avec le temps de chien qu'il faisait, qu'il décida d’arrêter pour de bon, en ayant vraiment marre. Il posa sa plume et referma l'encrier avant de ranger les documents, une manie qu'il ne pouvait pas s'en empêcher. Meme s'il savait que ça ne risquait rien ici, ayant confiance en ses gens et en les personnes résidents ici, il avait l'habitude de le faire et continuait meme à son hotel. Le tout rangeait, il alla dans le couloir et croisa un remue ménage. Apres interrogation, il apprit qu'Helene avait décidé de prendre un bain et un sourire s'étira sur son visage, ayant une idée.

Il rejoint la salle d'eau sans un bruit et vit u'une servante s'occupait d'Helene. Il lui fit un signe pour qu'elle quitte la piece et les laisse seuls. Tandis qu'elle partait, il prit sa place, se glissant dans le dos de sa belle blonde sans se faire voir avant de se pencher pour deposer un baiser sur sa joue, ses bras se posant sur le baquet de part et autre de sa tete.


Coucou toi.
_________________
Helene.blackney
    Ma peau rougissait avec la chaleur de l'eau, tous mes muscles se détendaient au fur et à mesure. Le contact des doigts de la servante sur ma tête me faisait me plonger dans un demi sommeil. Plus aucuns bruits ne se faisaient entendre, juste le crépitement du feu. C'est à ce moment, qu'un duc décida de me faire une frayeur pas possible, il posa ses mains et me murmura à l'oreille. Je fis un bon de chaton effrayé, coupé dans ma rêverie. Je portais ma main sur mon coeur avant de me détendre à nouveau.

    - Regarde j'ai le poil tout hérissé comme un chat dis je en lui montrant les poils de mon bras

    Je m'adossais à nouveau pour l'avoir dans mon dos, son souffle dans ma nuque.

    - Tu as vu le temps dehors...tu vois que Paris c'est le mal mon duc. Il n'est pas permis de voir autant de pluie tomber.

    C'est à cette phrase que j'eus une idée, me tournant dans le bain pour lui faire face, les yeux dans les yeux.

    - Dis moi mon tendre, nous n'avons pas un accord tous les deux?

_________________
Aeglos.
Il ne put retenir un rire quand il vit la réaction de sa belle. Apres tout, il ne s'était pas attendu à ce qu'elle sursaute, plutot qu'elle reconnaisse sa voix et profite du moment, mais, le fait qu'elle sursaute comme un petit chat était d'abord surprenant et ensuite tres drole. Il lui repondit, gardant un sourire heureux sur le visage, aimant chacun des moments qu'il passait avec elle, meme quand elle faisait son petit dragon.

Mais mon coeur, tu es un chat. Un tout petit chat tout mignon.


Il deposa un leger baiser dans son cou après qu'elle se soit réinstallé et entreprit de masser ses épaules tandis qu'elle parlait, ou plutôt râlait, sur le temps parisien.

Oh, c'est sur qu'en Normandie, il ne pleut jamais mon cœur.

Nouveau sourire, plus ironique celui là, sans non plus etre sarcastique, qui laissa vite là place à une étincelle dans son regard. Les dernières paroles d’Hélène lui faisait comprendre qu'elle avait une idée derrière la tête. Mais, préférant jouer, et l’embattait, il fit semblant de ne pas comprendre. Chacun son tour, nah!

C'est vrai.

Et, en douceur, il lui tourna la tete et s'avança afin de l'embrasser. Oui, ça aussi c'était un pseudo accord. Et puis, il en avait envie de toutes manieres.
_________________
Helene.blackney
    La conclusion sortit de la bouche du duc: j'étais un chat mignon. Mais attention au chat qui dort. Ses mains se posèrent sur mes épaules, me massant délicieusement. Je m'enfonçais un peu plus dans l'eau chaude alors qu'il se moquait gentiment de moi. Je ronchonnais pour lui faire comprendre, faisant des bulles en surface avec l'air de ma bouche.
    On disait quoi déjà, il faut se méfier du chat qui roupille. Avec le bout de mes doigts et un large sourire, je l'aspergeais copieusement d'eau chaude! Mouhaha! Il faisait semblant de ne pas comprendre le duc archi occupé dans son office. Vengeance!!!
    En hurlant comme une combattante aguerrie, je lui rétorquais:


    - Maintenant tu es fait mon Duc! Ah ah! Autant enlever la chaisne!

_________________
Aeglos.
D'abord surpris qu'elle l'arrose alors qu'il était gentillement entrain de l'embrasser, oui bon d'accord, gentillement car il se moquait un peu d'elle, il décida rapidement que cette attaque ne resterait pas impunie très longtemps. Avec ses mains il appuya sous ses épaules pour enfoncer sa tete sous l'eau quelques secondes tout en se marrant. Car oui, oui, il se vengeait également, mais ce n'était pas pour autant qu'il ne s'amusait pas. Qu'ils ne s'amusaient pas meme, comme deux gosses d'ailleurs.

Cette fois, c'est toi qui est faite! Comme un petit chat qui viens de prendre un bain forcé.

Mais bon, c'est vrai qu'il était plutot pas mal trempé, aussi, il décida d'enlever sa chemise avant de tenter de couler à nouveau sa belle. C'est vrai qu'il était marrant ce jeu, dommage que le baquet ne soit pas plus grand, genre, 20 pieds sur 30, là, ça aurait pu etre encore plus drole.

_________________
Helene.blackney
    Glouglouuu fis je alors que mon duc essayait de me noyer! Oui oui, il tentait de me noyer. Je me retrouvais soudainement des années auparavant, j'étais persuadée qu'au Mont Saint Michel, il avait essayé de faire la même. Je me souvenais bien quand mon père criait que leur famille arrivait sur nos terres. Terrorisée par un garçon blond qui bavait beaucoup, j'allais me planquer dans une armoire, le temps pour moi de souffler. Papa avait dit que j'avais tout inventé, mais maintenant que j'avais la tête sous l'eau avec ce même garçon blond, j'étais persuadée que ce n'était pas sa première tentative de noyade. La tête sortie de l'eau, alors que j'avais fait attention à ne pas me mouiller les cheveux, je devins rouge de vengeance.

    - Tu as tenté de noyer ta...cavalière! Comme quand nous étions petits! Sale démon des enfers blond, je savais que le baveur se cachait encore en toi!

    Cette fois c'est pas des petites gouttes que je lui envoyais à la figure mais des poignées remplies d'eau, jusqu'à que sa chevelure en soit dégoulinante.

    - Foi de Blackney ma vengeance sera terrible!

_________________
Aeglos.
Rire, encore et toujours, rire pour oublier que dehors du travail l'attendait, rire pour oublier qu'il en avait ici meme, rire et oublier responsabilité, devoir, probleme, tout. Il riait, elle le faisait rire et il était heureux, appreciant le moment et d'une certaine maniere, souhaitant qu'il ne s'arrete jamais. Meme s'il savait que cela ne durerait pas, au moins, il passait un bon moment et comptait profiter. Malgré les menaces de la belle demoiselle, il s'amusait beaucoup. Aussi, une fois totalement trempé, il décida de mettre fin à la vengeance de sa belle et entra dans le bain, à moitié habiller pour l'attraper, la serrer contre lui pour l’empêcher de l'arroser.

Mais non mais non, j'aurais voulu te noyer mon coeur, je n'aurais pas fait ça dans ce baquet, mais dans un lac, une riviere ou dans l'océan...

Un nouveau rire alors qu'il la gardait contre lui pour l'immobiliser.

Et toi, tu es la petite dragonne blonde que j'aime. Et si tu continuais à m'arroser, je recommence à te couler.


Et il lui offra un grand sourire angélique à la fin de ses propos.
_________________
Helene.blackney
    C'est que le bougre avait élaboré un plan: me noyer dans une plus grande surface. Conclusion, il avait bien tenté de le faire lorsque nous étions tous les deux au Mont Saint Michel, là n'était pas un lac, mais une baie...encore plus vaste. Je lui fis ce qu'on nommait "le regard noir", ce genre de regard où on se sent de tuer la personne en face de nous. Il rentra dans MON bain et joua de sa force pour m'immobiliser les bras.

    Telle une dragonne blonde, je commençais à grogner et à montrer les dents. Justement, parlons en des dents! J'avais une excellente dentition, ce n'était pas donné à tout le monde. Et ce jour, j'allais mettre à profit ma vitalité dentaire pour mordre le bras de mon bien aimé qui me maintenait dans mon bain. Je l'avais prévenu en avance, j'avais grogné, à présent, nous passions aux mesures de rétorsion. Alors comment procéder? C'est très simple, vous prenez un beau duc blond, très bien bâti avec un bras à porter de tir. Vous ouvrez la bouche bien en grand et vous mordez! Le goût de la chaire humaine était délicieux. Un vrai délice pour les papilles. Avec un air outrageux, je demandais:


    - Est ce que mordre son tendre, ca compte comme peine aggravante?

_________________
Aeglos.
Alors qu'il l'immobilisé, elle faisait honneur à se surnom de dragon. Et, etrangement, plutot que de la trouver dangereuse, de s’inquiéter ou tout ce qu'un homme saint d'esprit pourrait ressentir en voyant un regard de tueur ou devant une belle dragonne blonde, bien que trouver une dragonne belle c'est pas un signe de santé d'esprit, il lui repondit par un sourire, car il la trouvait adorable. Oui, bon, fallait dire qu'en l'état, le cerveau du duc ne fonctionnait qu'à moitié, plutot occupé à reflechir à comment il allait les sortir de cette situation, car, il savait qu'avec son petit caractere bien à elle, il devait user de diplomatie pour calmer le jeu, par chance, la diplomatie il connaissait. Enfin, la tout de suite, il n'avait pas forcement envie de calmer le jeu, mais plutot de continuer à jouer. Et, à voir ce qu'Helene faisait avec son bras, elle ne semblait pas avoir envie d'arreter non plus.

Oh que oui, tu n'as pas idée.

Mais l'idée, il allait lui donner bien vite. Alors qu'il l'avait saisit, il se redressa et la porta pour la mettre sur son épaule, un peu comme un sac de pomme de terre. Ses bras la coinçant pour l'empecher de se liberer. Son dragon sur l'épaule, il sortit du bain.

Alors, tu t'avoues vaincue?

Bah oui, il est beau joueur l'Orkney, il lui permet de se rendre avant qu'il ne soit trop tard.
_________________
Helene.blackney
    Mais il était fait en quoi ce blond? J'avais mordu et presque jusqu'au sang et lui, il ne ronchonnait même pas. Je fus levée comme un fétu de paille, sortit de mon bain alors que je m'y prélassais presque tranquillement. Il voulait que j'attrape la mort. Atchouuuuuuuum! Fis je sonner à son oreille alors que je commençais à grelotter. Je levais un index furieux et je proclamais:

    - Moi vaincue? Jamais!

    Atchouuuuuuuuuum! Enfin si surement terrassée par la crève provoquée par un beau blond...Mais ça, je l'avouerais jamais. Un Blackney ne se rend pas, il lutte jusqu'au bout et fièrement. N'avait il pas connu mon père et ma mère? Il ne savait pas de quel poil (de chat) on se chauffait.

_________________
Aeglos.
Si, il avait eu mal, apres tout, quand on ce fait planter des petites dents dans le bras, on le sens passer. Et le sang le montre d'ailleurs. Mais, s'il avait grogné, il lui aurait montré qu'elle avait marqué un point, et ça, il ne voulait pas. Pas question même. Donc, il avait serré les dents et n'avait rien montré. Et tandis qu'elle était sur son épaule, elle éternua, ce qui eu l'effet de faire oublier la chamaillerie au jeune duc pour ce concentrer sur sa belle blonde dans un but non belliqueusement joueur.

Helene! Tout va bien?

Tout en disant ça, il récupéra un drap pour la couvrir et éviter qu'elle prenne froid, surtout qu'elle était trempée. Et vu qu'elle continuait à éternuer, il décida que le jeu était fini.

Fini le bain pour toi, au chaud maintenant! Tu vas attraper froid après!


S'il disait ça de maniere grognon, c'était surtout pour ne pas montrer qu'il était inquiet. Aussi, sans attendre plus longtemps, il l'emmena dans leur chambre afin de la déposer, en douceur, sur le lit et de la couvrir d'une couverture.
_________________
Helene.blackney
    Conclusion de l'histoire:
    Le Duc avait gagné son duel avec sa blonde.
    Le reste de ce jour pluvieux, fut passé au chaud près de l'âtre, alors que j'avais eu des frissons et des éternuements.
    Quelques jours plus tard, c'était un mal plus vigoureux avec le nez qui coule et des délires fiévreux.
    Aeglos fut habillé pour quelques semaines d'avoir enrhumé sa dulcinée.

_________________
Melissandre_malemort
Mélissandre était épuisée.

Se laissant tomber sur une chaise de son boudoir, elle retira ses bottines en veau, arracha la coiffe qui maintenait ses boucles et tira d'un geste ferme sur le laçage de sa robe en velours bleu nuit. Un dernier secouage de tête acheva d'éparpiller sa lourde chevelure dans son dos. Derrière elle, Anne et Eldearde discutaient à voix basse de la robe que la Princesse Royale devait porter le soir même. Un sujet qui paraissait les fasciner : Mélissandre se faisait parfois l'impression d'être une poupée de chiffe. Renversant la tête en arrière, elle ramena ses genoux contre sa poitrine et laissa son regard errer par la fenêtre.

Malgré la longue marche qu'elles avaient entreprises, Anne et elle étaient encore revenue bredouille de leur quète. Impossible de mettre la main sur un guide pouvait les mener à la cours des Miracles. Quand ils ne lui riaient pas au nez, les misérables qu'elle approchait essayait de lui voler sa bourse. Rien de constructif de ce coté là, donc.

Aeglos lui manquait. Elle avait certes fait le choix de se rendre à Paris sans l'attendre, mais la présence du duc n'en était pas moins rassurante. Il avait cette façon de la regarder et qui lui donnait le sentiment d'être unique au monde. Précieuse. Forte.

Sa présence au sein de l'Hostel familiale n'en était pas moins étrange. Bien qu'accompagnée de ses dames de compagnie, Mélissandre se donnait l'impression d'être une intruse entre ces murs qui avaient vu passer des pans de la vie du Duc qui ne faisait qu'accroite son sentiment de culpabilité.


- Laissez moi seule.

Elle ne tourna même pas la tête vers ses Dames, en proie à une vague de mélancolie qui la privait du joli sourire qui étirait d'ordinaire ses lèvres. Son père se trouvait peutêtre à quelques centaines de mètre de là, crevant dans sa fange. Et Mélissandre était impuissante. Par le créateur, pourquoi Aeglos n'était il pas là?
_________________

Princesse de France. Comtesse de Primil. Baronne de la Porte. Dame de la Gasnerye.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)