Aeglos.
Durant le voyage, l'Orkney avait été souvent inquiet. Il se doutait que Melissandre était entre de bonnes mains, quoi que, il avait une certaines réserves pour Anne, qui, bien que très gentille, le faisait tiqué, peut être ça manière dêtre ou de parler, il n'aurait pu le dire. Enfin, quoi qu'il en soit, il n'avait pas de raisons de se dire que cela n'irait pas, d'autant qu'elle lui avait dit qu'elle avait un garde du corps. Mais, il n'arrivait pas à être rassuré, en fait, il n'aurait commencé à lêtre que si il était avec la jeune et que celle-ci était en sus protégé par la garde du duc. La, il aurait commencé à ce détendre. Mais, il savait aussi que cela reviendrait à emprisonner le bel oiseau en cage et la condamner à la perdition, petit à petit. Et ça, il ne le voulait pas non plus, aussi, était il obligé d'apprendre à contrôler ses craintes et faire son possible pour les diminuer à quelque chose de supportable. Tout du moins, assez pour pouvoir faire autre chose que de ce ronger les sangs à longueur de temps. Bon, par contre, il n'en était pas encore à ce point, car ce ronger les sangs, il narrêtait pas depuis qu'elle était partie. Certes, ils l'avaient convenu, le duc devant finir de régler des affaires sur Limoges avant de vouloir filer, et la princesse, étant très pressée, n'avait pas eu le temps d'attendre, d'autant que la piste aurait pu se refroidir. Le duc avait donc du prendre son mal en patience et faire en sorte d'éviter de devenir un fauve en cage, ce qu'il avait réussi à faire une fois sur Olga, fin prêt à partir, soit plusieurs jours après la princesse, les derniers détails ayant mis plus de temps que prévu du à une intempérie dans le centre de la France ayant retardé les pigeons. Mais tout fut finalement enfin prêt, et c'est quinze cavaliers qui quittèrent Limoges dès l'aube, l'Orkney voulant profiter de toute la journée pour chevaucher.
D'après ses estimations, la princesse avait du arriver quand lui partait, aussi, elle serait environ une semaine seule, enfin, avec ses gens, sur la capitale. Mais lopiniâtreté du duc, ainsi que son envie de rejoindre rapidement la princesse firent que le trajet mis un peu moins de temps que prévu. Au prix de nombreuses heures de sommeil et d'une fatigue cumulée pour les femmes de sa garde, les cheveux, et lui même. S'il continuait à ce train là, il n'était même pas sur dêtre capable de faire autre chose que dormir un jour durant une fois arrivé à Paris. Mais, si le calcul ne le trompait pas, même en dormant une journée entière, il aurait encore gagné presque deux jours; car c'est après quatre journée éreintantes de chevauchée que l'équipée arriva finalement à lhôtel parisien du duc. Ce ne fut pas, comme il s'y attendait, en arrivant devant les portes de la ville, que l'Orkney eu le plus de souvenirs remontants, mais quand il arriva en vue de son hôtel ou il avait passé un pan entier de sa vie, que ce soit pour lui, pour ses projets personnels, ou pour servir la Couronne de France, couronne dont il savait que même s'il disait le contraire, il ne pourrait jamais définitivement arrêter de la servir. Il y avait passé bien trop longtemps, au point que longtemps elle prime sur tout le reste, sur lui même d'ailleurs. Mais cette époque était révolue, pour l'instant en tout cas, et ces préoccupations et priorités avaient changé. Elles étaient tournées vers la jeune princesse à qui il avait proposé de l'accueillir à son hôtel pour le temps dont elle aurait besoin pour ses recherches et selon ses envies. Bon, techniquement, elle était arrivé bien avant lui, mais ça ne changeait pas grand chose au fond de la question et lui offrait un avantage, il était chez lui, dans un endroit relativement sur, et pourrait passer plusieurs jours loin de Limoges avec celle qu'il aimait. Mais pour l'heure, le duc qui s'était arrêté devant les portes de sa demeure devait d'abord en franchir le pas.
Techniquement, ce n'était pas vraiment dur, les gardes, prévenus à l'avance, l'attendaient, bien qu'un peu plus tard, et ils avaient reconnu sont visages, sa garde et ses couleurs. Aussi, ils s'étaient empressés d'ouvrir. Non, le plus difficile, c'était de remettre les pieds dans un lieu chargé de souvenirs, bons comme mauvais, mais qui toussent le renvoyaient à une ancienne vie. Il mit quelques secondes avant de talonner légèrement Olga pour qu'elle finisse le chemin qui le séparé de chez lui, le temps qu'il arrive à accepter le fait que la page était vraiment tournée. Car, le faire à Limoges, loin de sa vie parisienne, c'était une chose, mais le faire en plein cur d'un nud d'émotions et de souvenirs, s'en était une autre. C'est après un soupir et motivé en partie par la fatigue qu'il finit par donner le signal à sa monture. Au final, il aura mis quatre jours bien fini et une décharge émotionnelle intense pour retourner chez lui et arriver presque comme un voleur. Car, la nuit était bien tombé quand ils étaient arrivé, passant de justesse les portes de la ville avant la tombé de la nuit, et, le temps d'arriver, il n'y avait plus grand monde de réveillé dans la ville qui serait plus tard appelé lumière. Préférant éviter de réveiller toute la demeure, c'est avec un silence relatif, les sabots ferrés des chevaux sur un sol de pierre, on a vu mieux niveau silence, qu'ils reprirent possession des lieux. Montures confiées à deux jeunes palefreniers débordées d'abord autant de monture à gérer d'un seul coup, chacun parti rejoindre ses quartiers.
Le duc, après quelques mots échangés avec Leona vis à vis d'un jour de repos pour elle et sa garde, décida de rejoindre ses appartements. Il était fatigué et était persuadé que Melissandre devait dormir, aussi, il n'avait pas envie de l'interrompre. Il n'avait pas vraiment réalisé le bruit qu'avait fait leur arrivé dans lhôtel, son esprit encore rivé sur ses souvenirs. Il passa juste aux cuisines pour qu'ils lui apportent une part de tourte, étant en sus d'épuisé, affamé, ayant fait sauter le dernier repas sachant qu'ils seraient bientôt arrivés. Il n'aurait pas dérangé les cuisines s'il ne savait que sa garde allait bientôt chercher également de quoi se restaurer et que quelque chose de chaud ferait du bien à tout le monde. Seulement, le duc n'ayant pas envie dêtre au milieu du bruit, préféra se la faire porter à sa chambre ou il pourrait réfléchir et se reposer tranquillement. Le détour finit, il rejoint rapidement ses appartements, qui, n'avait que peu était changé depuis la dernière fois qu'il était venu. Seuls les affaires dHélène avait été enlevé, cette dernière les ayants surement récupéré. Il balaya la pièce des yeux et tomba sur une chaise, elle conviendrait parfaitement à servir les dessins du duc, à savoir, ôter ses bottes et se servir de la chaise pour y poser sa cape, son pourpoint et ses bas. Chose faite, il se décida de se poser sur son fauteuil, qui comme toujours dans ses appartements, était suffisamment proche de la fenêtre pour qu'il puisse l'orienter vers celle-ci et observer lextérieur. Chose faite, il reçu peu de temps après son morceau de tourte qui mis peu de temps à dévorer. C'était exactement ce qu'il lui fallait pour se remplir le ventre apres une journée de voyage, et, ce besoin satisfait, il retourna à la contemplation des rues de la ville qu'il avait à peine eu le temps de commencer. C'est après un soupire qu'il accepta totalement le fait, il était de retour à Paris.
_________________
D'après ses estimations, la princesse avait du arriver quand lui partait, aussi, elle serait environ une semaine seule, enfin, avec ses gens, sur la capitale. Mais lopiniâtreté du duc, ainsi que son envie de rejoindre rapidement la princesse firent que le trajet mis un peu moins de temps que prévu. Au prix de nombreuses heures de sommeil et d'une fatigue cumulée pour les femmes de sa garde, les cheveux, et lui même. S'il continuait à ce train là, il n'était même pas sur dêtre capable de faire autre chose que dormir un jour durant une fois arrivé à Paris. Mais, si le calcul ne le trompait pas, même en dormant une journée entière, il aurait encore gagné presque deux jours; car c'est après quatre journée éreintantes de chevauchée que l'équipée arriva finalement à lhôtel parisien du duc. Ce ne fut pas, comme il s'y attendait, en arrivant devant les portes de la ville, que l'Orkney eu le plus de souvenirs remontants, mais quand il arriva en vue de son hôtel ou il avait passé un pan entier de sa vie, que ce soit pour lui, pour ses projets personnels, ou pour servir la Couronne de France, couronne dont il savait que même s'il disait le contraire, il ne pourrait jamais définitivement arrêter de la servir. Il y avait passé bien trop longtemps, au point que longtemps elle prime sur tout le reste, sur lui même d'ailleurs. Mais cette époque était révolue, pour l'instant en tout cas, et ces préoccupations et priorités avaient changé. Elles étaient tournées vers la jeune princesse à qui il avait proposé de l'accueillir à son hôtel pour le temps dont elle aurait besoin pour ses recherches et selon ses envies. Bon, techniquement, elle était arrivé bien avant lui, mais ça ne changeait pas grand chose au fond de la question et lui offrait un avantage, il était chez lui, dans un endroit relativement sur, et pourrait passer plusieurs jours loin de Limoges avec celle qu'il aimait. Mais pour l'heure, le duc qui s'était arrêté devant les portes de sa demeure devait d'abord en franchir le pas.
Techniquement, ce n'était pas vraiment dur, les gardes, prévenus à l'avance, l'attendaient, bien qu'un peu plus tard, et ils avaient reconnu sont visages, sa garde et ses couleurs. Aussi, ils s'étaient empressés d'ouvrir. Non, le plus difficile, c'était de remettre les pieds dans un lieu chargé de souvenirs, bons comme mauvais, mais qui toussent le renvoyaient à une ancienne vie. Il mit quelques secondes avant de talonner légèrement Olga pour qu'elle finisse le chemin qui le séparé de chez lui, le temps qu'il arrive à accepter le fait que la page était vraiment tournée. Car, le faire à Limoges, loin de sa vie parisienne, c'était une chose, mais le faire en plein cur d'un nud d'émotions et de souvenirs, s'en était une autre. C'est après un soupir et motivé en partie par la fatigue qu'il finit par donner le signal à sa monture. Au final, il aura mis quatre jours bien fini et une décharge émotionnelle intense pour retourner chez lui et arriver presque comme un voleur. Car, la nuit était bien tombé quand ils étaient arrivé, passant de justesse les portes de la ville avant la tombé de la nuit, et, le temps d'arriver, il n'y avait plus grand monde de réveillé dans la ville qui serait plus tard appelé lumière. Préférant éviter de réveiller toute la demeure, c'est avec un silence relatif, les sabots ferrés des chevaux sur un sol de pierre, on a vu mieux niveau silence, qu'ils reprirent possession des lieux. Montures confiées à deux jeunes palefreniers débordées d'abord autant de monture à gérer d'un seul coup, chacun parti rejoindre ses quartiers.
Le duc, après quelques mots échangés avec Leona vis à vis d'un jour de repos pour elle et sa garde, décida de rejoindre ses appartements. Il était fatigué et était persuadé que Melissandre devait dormir, aussi, il n'avait pas envie de l'interrompre. Il n'avait pas vraiment réalisé le bruit qu'avait fait leur arrivé dans lhôtel, son esprit encore rivé sur ses souvenirs. Il passa juste aux cuisines pour qu'ils lui apportent une part de tourte, étant en sus d'épuisé, affamé, ayant fait sauter le dernier repas sachant qu'ils seraient bientôt arrivés. Il n'aurait pas dérangé les cuisines s'il ne savait que sa garde allait bientôt chercher également de quoi se restaurer et que quelque chose de chaud ferait du bien à tout le monde. Seulement, le duc n'ayant pas envie dêtre au milieu du bruit, préféra se la faire porter à sa chambre ou il pourrait réfléchir et se reposer tranquillement. Le détour finit, il rejoint rapidement ses appartements, qui, n'avait que peu était changé depuis la dernière fois qu'il était venu. Seuls les affaires dHélène avait été enlevé, cette dernière les ayants surement récupéré. Il balaya la pièce des yeux et tomba sur une chaise, elle conviendrait parfaitement à servir les dessins du duc, à savoir, ôter ses bottes et se servir de la chaise pour y poser sa cape, son pourpoint et ses bas. Chose faite, il se décida de se poser sur son fauteuil, qui comme toujours dans ses appartements, était suffisamment proche de la fenêtre pour qu'il puisse l'orienter vers celle-ci et observer lextérieur. Chose faite, il reçu peu de temps après son morceau de tourte qui mis peu de temps à dévorer. C'était exactement ce qu'il lui fallait pour se remplir le ventre apres une journée de voyage, et, ce besoin satisfait, il retourna à la contemplation des rues de la ville qu'il avait à peine eu le temps de commencer. C'est après un soupire qu'il accepta totalement le fait, il était de retour à Paris.
_________________