Koreldy
Guillaume s'était quelque peu sorti de sa torpeur pour suivre la scène de l'allégeance de son ami Toto. La boulette faisait déjà des siennes, mais il fallait bien s'y attendre, c'était son crédo, sa marque de fabrique après tout.
Une fois Toto retiré, il avait pris le chemin du trône, non pour s'y asseoir mais bien pour y prêter serment. Le pas était toujours convaincant et sans le vouloir, les bottes claquèrent quelque peu. Il tranchait dans la salle de part sa tenue, qui n'avait aucune commune avec la richesses de certains pans qui avait pris place dans cette salle. Qu'importe l'emballage, seul compte le produit à l'intérieur après tout non?
Une fois à bonne distance du trône, il mis le genou droit à terre, sa main droite elle tenait le pommeau de son épée pour qu'elle ne le gêne point. Sa main gauche elle, s'était posée naturellement sur genou gauche.
Quel amusement de vous revoir sur ce trône, bien que nous en sommes en partie responsable de ce fait. Certains dans cette assemblée redoutaient votre retour à la tête de notre duché, des gens qui n'ont jamais réellement compris ce qu'est régner et de prendre des décisions, difficiles ou non.
En ce jour, devant le regard d'Aristote et de cette noble assemblée, nous Guillaume de Bruck, quatrième du nom, renouvelons notre serment d'allégeance à vous Rozenn Cavaillet, duchesse de Gascogne et cela en vous promettant, Auxilium, Consilium ainsi qu'obséquium.
Nous n'avons jamais failli à servir la Gascogne et nous continuerons ainsi. Si tant est que vous avez besoin de nous, n'hésitez point et ce surtout si c'est pour botter le train du consort.
Un léger sourire s'était dessiné sur Guillaume et sur ses mots, son regard avait quitté le sol pour se plonger dans ceux de la boulette. Mais aussi étrange soit-il, son visage narborait aucun sourire.
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GuillaumeIV de Bruck dict le Fougueux Je suis pas mort... même si ça en donne l'impression...
Une fois Toto retiré, il avait pris le chemin du trône, non pour s'y asseoir mais bien pour y prêter serment. Le pas était toujours convaincant et sans le vouloir, les bottes claquèrent quelque peu. Il tranchait dans la salle de part sa tenue, qui n'avait aucune commune avec la richesses de certains pans qui avait pris place dans cette salle. Qu'importe l'emballage, seul compte le produit à l'intérieur après tout non?
Une fois à bonne distance du trône, il mis le genou droit à terre, sa main droite elle tenait le pommeau de son épée pour qu'elle ne le gêne point. Sa main gauche elle, s'était posée naturellement sur genou gauche.
Quel amusement de vous revoir sur ce trône, bien que nous en sommes en partie responsable de ce fait. Certains dans cette assemblée redoutaient votre retour à la tête de notre duché, des gens qui n'ont jamais réellement compris ce qu'est régner et de prendre des décisions, difficiles ou non.
En ce jour, devant le regard d'Aristote et de cette noble assemblée, nous Guillaume de Bruck, quatrième du nom, renouvelons notre serment d'allégeance à vous Rozenn Cavaillet, duchesse de Gascogne et cela en vous promettant, Auxilium, Consilium ainsi qu'obséquium.
Nous n'avons jamais failli à servir la Gascogne et nous continuerons ainsi. Si tant est que vous avez besoin de nous, n'hésitez point et ce surtout si c'est pour botter le train du consort.
Un léger sourire s'était dessiné sur Guillaume et sur ses mots, son regard avait quitté le sol pour se plonger dans ceux de la boulette. Mais aussi étrange soit-il, son visage narborait aucun sourire.
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GuillaumeIV de Bruck dict le Fougueux Je suis pas mort... même si ça en donne l'impression...