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[RP-Mariage Alvira/Goddefroy] La belle lisse-poire des SE

Ishtara
Pourquoi fallait il que rien ne se passe normalement ? Un mariage, c’est censé être beau, est censé etre le jour le plus important du couple qui signait leur arrêt de mort avec un OUI. Quand son mini Duc, comme elle l’aimait l’appeler depuis des mois maintenant, pour s’opposer au mariage, son premier réflexe avait été de se redresser pour aller le faire taire d’un baiser, pour qu’il se décompose, pour qu’il soit à la limite d’un malaise. Mais voila là aussi, presque redressée, elle vit l’Évêque soutenir Acrisius, ce qui la faisait grandement sourire, alala les amis, je vous jure. Allez pour faire semblant d'être indignée elle lâcha.

Non mais Vos Grasces !! Silence !

Et le coup de grâce fut quand sa tendre moitié, désagréable au possible, oui il détestait être dans une Église, prit la parole pour soulever quelques points. La jeune femme secoua sa tête, voila, la fin du mariage de son amie risquait de sonner en cet instant même. La Blanche jeta un regard noir à son Aimé, l’obligeant à se taire sans dire un mot. Fallait pas abuser tout de même. Puis car la situation n’était plus à cela prés.

Que je sache nous ne sommes pas là pour épiloguer sur la virilité du marié, bien que je ne doute pas de cela soit dit en passant. Nous ne sommes pas là pour juger la Baronne quant à savoir si elle sera femme qui comblera son époux, je n'en doute pas. Nous ne sommes pas là pour savoir si le couple a un désir ardent au point de souhaiter notre départ pour consommer ce mariage car là aussi je n'en doute pas et leurs serviteurs risquent de confirmer cela par quelques rumeurs dans les couloirs de leur Castel demain matin.

Quoique la question était bonne. Elle se tourna vers les mariés.

Vous saurez vous retenir ou bien ça a déjà consumé vos entrailles là ?

Non car suivant, il y avait toujours le presbytère, le confessionnal qui étaient d’ailleurs lieu de fantasme de biens des personnes.


Puis se tournant vers les deux Ducs.

Ce ne sont là aucune bonne excuse pour vous opposer à ce mariage. Bien que le caractère de notre amie le pourrait, mais à son mari de faire avec hein ! Il a déjà du en voir une belle palette de son caractère et il est encore là, donc chut ! Puis, mal coiffée… l’encre mal imprimée… m’enfin trouvez d’autres excuses s’il vous plait Votre Grasce.

Sa main posée sur l’épaule de son moustachu, elle ne tenait plus à l’entendre, mais ca c’est ce qu’elle espérait. Le ferait-il ? Moins sur ca. Donc elle précisa à voix basse, avec un doux sourire, que pour lui.

Et vous, ne dites plus un mot, vous en avez assez fait là, chéri.

Puis, elle réfléchit tres rapidement. Soutenir les deux hommes ? Oui !

D’ailleurs, je m’oppose aussi à ce mariage ! Tout simplement car la mariée n’a pas fait de fête entres filles avant ce jour, une honte, et surtout Alvira, ne dites pas que vous en avez fait une et cela sans m’inviter !


Et pour faire passer la pilule, elle sourit tendrement à son amie, puis à l’Évêque dans un air de dire « N’écoutez pas le moustachu. » et un sourire affectueux à son Mini-Duc qu’il y avait bien longtemps qu’elle n’avait plus revu.

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Christabella
Petit silence, comme c’était agréable, quelques toussotements, Bella allait reprendre quand... Non ! OH Mein Gott!!!!!Nein ! Pas lui ! Devant ses yeux incrédule, ébahie, Acrisius prit la parole pour s’opposer au mariage, pour des raisons farfelues. Puis Kro, pour des raisons tout aussi légères. Puis Erasme, pour les invectiver. Et Ishtara, pour river le clou, plus semble-t-il pour démontrer le ridicule de la situation qu’autre chose. Ce mariage tournait au fiasco !
La diaconesse vivait une situation inédite pour elle. Une fois remise de sa stupeur, elle décida de vite reprendre la parole avant que cela devienne une foire d’empoigne.


Mes frères, mes sœurs ! Calmez vous ! Je vous demande de vous arrêter !*
Nous sommes ici pour partager un moment de paix et d’amour.... D'amitié... Vous tous là, qui vous êtes exprimés, avez vous une raison valable, je dis vraiment valable pour vous opposer à ce mariage ? Et qui parle de solidarité ?
Commençons par vous, Poudenx ! Vous opposez vous toujours à ce mariage, et pourquoi ?


Froncement de sourcils, et attitude on ne peut plus menaçante. Autrement dit, si tu ne retires pas ce que tu as dit, mon vieux, je vais descendre t’en coller une de fessée aristotélicienne que tu ne pourras plus t’asseoir avant quinze jours.




    * Toute ressemblance avec un homme politique n’est pas fortuite !

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Valeryane
Dans le doux crédo la brune était presque dans un monde ou seul le sommeil regnait, puis d'un coup deux gueulard se mirent à s'opposer au mariage de sa soeur, il lui monta la moutarde de dijon au nez " lave du volcan", mais elle n'eut pas le temps d'intervenir que déjà son ami Erasme et sa tante Ishtara venait d'intervenir et ils avaient bien raison hors mis que la mariée soit déjà marié ou enceinte d'un autre rien ne pouvait justifier leur intervention, ma soeur à mauvais caractère soit mais elle aime son godychou, comme elle aime son Alcidounet, chutt! ce sont les petits noms que les deux soeurs donnent à leur époux hihi!

Mi s'est quoi si bordile? Elle regarda Alcide et Gauttier puis son frère et finalement de son regard émeraude volcanique qui n'avait pas suffit à faire taire ceux qui voulaient dire, Val fusilla des yeux.

Pi là c'était le pompom la brune regarde les deux intervenants un était son frère et son regard se fixa sur lui nameho! Attend tu va voir à la sorti je ti casse la goulette avec mon gros ventre, quel jaloux je vous jure on va faire plus connaissance toi et moi tu va voir.
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Goddefroy
Pinces toi tu rêves, repinces toi c'était pas assez fort, tu rêves, essaies encore, tu rêves! J'allais finir par m'arracher la peau des bras que je ne parvenais pas à m'extraire de ce cauchemar... Oui cauchemar, quel âne battu ferais-je si j'étais venu une nouvelle fois jusqu'à l'autel sans une pleine conviction? Fallait pas déconner, la première fois m'avait bien servi de leçon. C'est là qu'il aurait fallu vous réveiller les enfants bon sang! Ah non, personne ce jour là pour s'opposer à la connerie de ma vie hein.
A côté de la plaque complet, c'est bien la première chose que je leur aurais répondu si je n'avais pas été un brin, juste un brin déstabilisé, et si les événements ne s'étaient pas passés aussi vite que je n'eu le temps d'agir. Quoi que je me demande bien qu'est-ce que j'aurais pu faire, mais là n'était pas la bonne question.
Toutefois, je crois que le coup de grâce fût les arguments avancés par les différents protagonistes dont le plus mémorable restera celui de la question du "pompage"... Et oui, mon esprit avait été creusé par le vice bien avant cela, et dans ce domaine là, il en fallait peu pour m'amuser.
Un instant je crus à une comédie, une farce, un sketch pas drôle dans le but de me faire tomber raide le jour de mon propre mariage. Peut être un coup monté pour faire hériter Alvira sans qu'elle n'ai trop à me supporter, mais alors la ce serait un échec, un bide total puisque je n'avais pas encore eu le temps de signer.
Un regard désespéré en direction de Bella, qui tentait tant bien que mal de faire régner de nouveau le calme dans ce bordel. Ou plutôt capharnaüm, ne mêlons pas l'église à ce genre de bâtisses.


Sauveur, venez moi en aide.

Paroles plus vaines, tu meurs, mais je ne trouvais rien de mieux à dire, et la mort ne semblait pas être une solution si effrayante pour échapper à cette situation.
Que le temps des Crédo et des prières était beau. Que le calme était jouissif.

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Lilye
La gamine resta calmement assise après son petit discours, se contenta d'écouter sans bouger le moindre orteil, ni renifler, ni rien. Elle n'avait pas envie de se faire souffler dans les bronches par sa tante si elle avait le malheur de lui gâcher l'un des plus beau jour de sa vie. Par chance, quelques minutes après cette réflexion, deux hommes qu'elle n'avait pas le loisir de connaitre se mirent à évoquer des raisons farfelues pour empêcher cela. Lilye ne compris pas le sens de tout ça, mais fronça les sourcils en pensant que si "tonton Gogo" ne lui avait pas donné les saucissons elle aurait sûrement fait la même chose...

La gamine lança un regard à Alvira comme pour s'assurer que sa tante n'allait pas monter sur ses grands chevaux, puis fixa un instant Goddefroy qui avait pâlit en seulement quelques secondes. Elle ne savait pas vraiment si cela était une farce ou non, incapable de comprendre l’ironie quand celle ci se présente, du haut de ses dix ans, la pestouille se tassa un peu plus sur son banc... mal à l'aise.

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.mathilde.
Le signe de tête au prélat n'était visiblement pas passé inaperçut, puisqu'en moins d'une minute, il était déjà là, droit et élégamment posté devant elle.

Elle eu à peine le temps de répondre à la comtesse de Rodelle, mais n'en manqua en rien le petit sourire et la tête qui s'agitait sur la négative en regardant son petit ventre. Zut ! raté ! mais ceci dit, la duchesse en sourit comme une enfant, que l'on surprendrait en pleine curiosité impudente. Mais euhhhhhh, pour une fois qu'elle n'y pensait pas ! Car c'est vrai que la brune avait une tendance à jouer les marieuses avec ses proches de façon générale, qui remontait bien avant son statut de mère d'une équipe de soule noble à caser, même si maintenant c'était une excuse toute trouvée. Cependant, elle n'avait jamais trop osé demander pour les enfants, mais si on l'y poussait alors ... assurément qu'elle demanderait à chaque fois ! La seule personne à qui elle glissait des mots à propos d'enfants, son temps personnel révolu sur la question, et son époux certainement ravi de la nouvelle - mais on est jamais à l'abri d'un miracle du Très Haut- , c'était envers son fils aîné, qu'elle tânait un peu sur le fait qu'elle aurait bien aimé devenir grand mère avant de mourir. Son côté mélodramatique qui lui faisait rapprocher sa mort bien plus tôt que de raison. Mais la vie lui ayant enseignée que l'on ne savait jamais de quoi demain serait fait, mieux valait s'attendre à tout ! oui oui, à tout. Seule condition, que ce soit un mariage officiel, un mariage un peu comme celui là.... non! non non ! tout bien réfléchit, surtout pas comme celui là !

La duchesse psychorigide sur les jours parfaits, faits de cérémonies parfaites, allait vite déchanter.

Car si la première intervention, celle de la petite Lilye, qui au final, avait totalement occulté les présentations faites par son père, entre elle et la duchesse, fut mignonne à souhait, les autres, bien qu'amusantes d'un point de vue extérieur, l'aurait été beaucoup moins de l'intérieur, si Mathilde avait été à la place d'Alvira. Elle, ou un de ses enfants. Un humour qu'elle n'avait pas, assurément. Et encore, ils avaient l'air très sérieux.. eux.

Quoi en penser ? aucune idée, si ce n'est de plaindre le pauvre Goddefroy.
Ceci étant, tous semblaient remettre en cause la capacité de la baronne à faire une bonne épouse, qui ne rendrait pas suicidaire son mari. Pour sa santé, devait-elle, elle aussi, s'y opposer ? après tout, elle ne le souhaitait ni mort, ni fou. Mais qui était-elle pour se faire ?
Elle aurait bien empêché le premier mariage, et qu'il évite l'erreur de sa vie, sauf qu'elle n'avait même pas été invité, et que quand bien même elle aurait été de la cérémonie, et serait intervenue pour donner de bonnes raisons, de ne pas épouser la vicomtesse du Mont Saint Michel, il n'en aurait rien écouté. Et en aurait fait qu'à sa tête, comme à son habitude.
Pas faute de l'avoir mis en garde contre cette femme depuis le début.

Elle salua néanmoins le courage des messieurs, même si ça finissait par prendre une tournure de la plus forte tête, face à la baronne. Celui qui arriverait à faire chapeauter le mariage. Y arriveraient ils ? vu la controverse que suscitait la baronne, peut être valait il mieux .Et en même temps, Mathilde était bien mal placée pour juger sur des polémiques. Elle même en ayant fait les frais, des plus invraisemblables les unes que les autres, ne se voyait pas prendre position sur ce point. Encore moins quand il s'agissait de caractère, hein.

Sourire innocent, regard amusé, après un soutien moral affirmé par ses pupilles dirigées vers son ami "courage, tu vas y arriver ! ce n'est qu'un mauvais moment à passer" -ou pas- .
Une pensée au prélat. Elle pariait qu'il n'avait jamais vu un mariage aussi mouvementé. Mais, elle ne connaissait pas sa vie, alors elle pouvait se tromper, et de loin. Elle en tout cas, n'en avait jamais vu, et cela devenait une distraction plutôt satisfaisante au final.


Elle écoutait les haussements de voix, le temps du crêpage de chignon, pas nécessairement pressée de se remettre à prier. Car n'en doutez pas, elle avait bien trouvé le temps, entre toutes ces interventions, de réciter gentiment et sagement son crédo et faire sa confession, qui à ses yeux, ne valait rien, compte tenu qu'on n'évoquait aucun pêcher en particulier, et que c'était donc, un peu trop facile, pour obtenir rédemption du seigneur.
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Blason en réfection - EN DEUIL ROYAL
Alvira
Un instant, l'on aurait pu croire que tout cela n'était qu'humour. Voyait le genre de scène, maladroite, bourré d'exagération qui amène à penser que tout ceci n'est qu'une vaste blague. Et ça le serait, oooooh oui, ça le serait !

Fusillant du regard son frère après avoir regardé Acrisius avec incrédulité, voilà que c'était Erasme qui s'y mettait, et Tara couronnait le tout. Fête entre fille, et puis quoi encore ?
Toujours aussi étonnamment, Alvira restait muette, ne bronchait pas. Pleine d'apaisement l'on pourrait dire, enfin, pas véritablement. Oh, non, car, très vite ses iris repartirent sur la silhouette de Verso.

Ta Grâce, oh, Ta Grâce ! se disait-elle intérieurement.

Plouf, un saut dans l'univers Poudlardien, et la communication se fit dans ce monde globuleux. Au diable la télépathie ! La dextre vissée à celle de Goddefroy, la Baronne n'était clairement pas décidé à se laissez intimider, ou voir son promis prendre jambes à son cou, en écoutant pareilles sornettes. Ainsi donc, notre Duc de Poudenx pouvait mirer dans le regard de son amie, toutes les tortures, menaces et autre châtiments subies pendant ces 6 mois de Règne. Un Règne non pas des plus facile mais qui avait pu aider grandement la Gascogne. Comme toujours, une fois les pas fait en avant cela régresse mais ça, vous vous en plaindrez aux mollusques côtiers et autres baladeurs armées, adorant jouer de la trompette plus qu'autre chose.

Le film défilait. Oui, elle l'avait menaçé, de tout et de n'importe quoi alors qu'il se rendait chaque jour dans son bureau en criant : "Mon rapport ! Il est où mon rapport ?" Combien de fois elle l'avait fait un peu trainer de quelques instants, juste pour avoir le plaisir de le voir revenir 10 minutes plus tard, braillant comme un nouveau né. Elle s'en était régalé, tout comme ce plaisir fou qu'elle avait pris à lui faire croire que la mine d'or s'était écroulé. Tout cela bercé de fumeuse déclaration d'amitié à outrance histoire d'avoir une excuse bidon pour vouloir le bisouiller, et nous avions alors un Beauharnais rampant ! D'ailleurs, dans les yeux de notre Monstralvinette nous pouvions lire...


Attention Versooooooooo, je vais te touuuucheeeer ! Avec ma tronço... Euh mes petits doiiiigts !

L'application était puissante. Elle ne s'en rendait pas compte mais sa mains serrait plus que de raison celle de son futur époux, surement pour l'empêcher de partir ou étreint par la surprise de tant de débâcle d'un coup. Dernière hypothèse, qui apparait comme la plus plausible. Celle d’étreindre aussi fort qu'elle n'envoie une énième menace à l'encontre du Duc Gascon.

Puis l'air de rien, les prunelles revinrent sur son frère, lui adressant un sourire comme si elle réalisait que c'était une mauvaise blague, et une risette à son laid poux pour faire passer le tout. On sait bien que les époux ça craque facilement sous le charme de femme telle que la Vivinoursette chérie d'amour. Ou bien, cela n'était que le début d'une parenthèse sadique dû à la déconnexion de quelques neurones. Mais ça, nous ne le saurons que dans le futur. La vengeance peut être terrible mes agneaux !

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Thibantik
He bien hé bien hé bien .... !!!!

Après un début de Cérémonie tout a fait normal, un crédo récité en son for intérieur et une confession pas faite, bah elle a rien a confesser la blonde, elle va pas s'inventer des pechés non ! , voilà t'y pas que plusieurs voix s'élèvent pour s'opposer au mariage

D'autres encore pour faire taire les perturbateurs .... Attendons la suite, ca promet

Un coup d’œil au buffet pour voir si le Bourru prenait pas trop d'avance

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Maire de Bourbon - Rectrice de l'Université Arverne - Championne des joutes de Toulouse 1464 - Championne des Joutes de Nemours 1465
Michalak
La cérémonie avait commencé aussi l’ensemble des personnes s’étaient donc assises pour pouvoir suivre ce mariage. C’est ainsi que le prélat récita par cœur comme à l’accoutumé le crédo et sa confession bien qu’il n’en ait pas eut besoin ses derniers temps. Il n’avait commis aucun péchés.
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Il enchaina avec le reste
Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les saints et, à vous aussi, mes amis,
parce que j'ai beaucoup pêché,
en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les saints, et vous aussi, mes Amis,
de prier le créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accord son pardon,
l'absolution et la rémission de nos péchés.


Michalak vit arriver la Comtesse KeyFeya qui était arrivé en retard. Il nota que son époux était absent sans doute était il encore en train de guerroyer autre part contre des brigands ou d’autres personnes.

Alors que le prélat Romain s’était retourné il entendit dans la salle l’ancien Duc de Gascogne prendre la parole pour dire qu’il s’opposait au mariage. L’inquisiteur qu’il était ne s’attendait pas spécialement à ce genre de propos durant la cérémonie de mariage. Il était assez rare d’entendre un invité dire qu’il s’opposait à ce mariage. De plus il ne faisait pas parti de la famille en temps que tel. Le prélat écouta les arguments du Duc en souriant car malheureusement certains étaient un peu vrai mais d’autres non. Il comprit assez vite qu’il s’agissait sans aucun doute d’une plaisanterie préparé de longue date par l’ex Duc taquin de Gascogne. Ses deux là étaient devenu ami lorqu’ils avaient commencé à ensemble à mener la Gascogne vers le renouveau.

Et parce que qu’il ne faut jamais dire jamais le Duc Kronembourg cousin de la famille adhéra à l’idée d’Acrisius essayant vainement de défendre l’idée en sortant des arguments à la limite de la bêtise si ce n’était pas déjà fait.
Heureusement que ce n’était pas lui qui faisait ce mariage sinon il te les aurait fait sortir rapidement de l’église pour avoir perturbé la cérémonie qui se déroulaient très très bien jusqu’à présent.

Le baron entendit finalement le Comte Erasme s’exprimant sur la question considérant que les arguments ne tenaient absolument pas la route et qu’il était important que ses deux Ducs gardent un semblant de tenus dans leurs propos. Et évêque de Pacotille oui il l’était car il n’avait absolument pas la façon de faire d’un évêque aristotélicien. C’était juste une farce pour cette fois-ci. Michalak ne le connaissant pas assez pour le juger plus il ne dit rien observant la scène qui se déroulait sous ses yeux écoutant la Vicomtesse Isthara qui adhéraient aux propos d’Erasme avant d’en rajouter elle aussi pour défendre ce mariage.

Lilye ne comprenait rien du tout à cause de son jeune âge se demandant bien ce que pouvait raconter les adultes. C’est ainsi qu’il lui chuchota un petit quelque chose. Rassure toi ma puce ce sont justes des plaisanteries d’adultes sans aucun doute même si normalement cela ne se fait pas à l’église de parler de ce genre de chose.
Valéryane était dans la même optique se demandant ce qui se passé puis jetant un regard noir à son frère. Cela promettait une bonne discussion à la fin pour le gronder.

Michalak ne manqua pas de chuchoter à la Duchesse Mathilde assise à côté de lui que cela ne se passerait jamais ainsi lorsqu’il officierait à l’avenir. Personne ne viendrait troubler ses mariages de cette façon là. De façon aussi déplacé du moins. D’autant que ce n’était pas des choses à dire au sein d’une église en plein mariage.

Les deux mariés semblaient dans un état second prenant les propos des deux protagonistes avec un calme olympien sans doute avant qu’ils les remettent à leur place. Mais Christabella avait commencer à reprendre en main la chose en intimant de revenir au calme.

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"Soyez une personne qui encourage les autres. Le monde est déjà plein de critiques"
Mycelis
Mycelis avait observé ces hommes et ces dames si bien habillées, détaillant les tenues de ses dernières avec envie ...

La cérémonie avait débuté, elle avait écouté et récité le crédo.

Alors que tout semblait bien se passer, un homme prit la parole et la cérémonie bascula.
Tout semblait irréel désormais.

C'est alors qu'elle entendit une voix familière ... son cœur se serra lorsqu'elle vit sa Marraine prendre la parole.
Cela faisait si longtemps qu'elle ne l'avait vu.
Elle n'avait qu'une envie, celle de se retrouver près d'elle, de se jeter dans ses bras, mais ce n'était pas possible ... pas encore ... la tournure que prenait la cérémonie primait.

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Wallerand
Cossi va. Ca, ça faisait partie des quelques rares mots occitans que le Beauharnais intégrait. Déjà, «va», c’était transparent. Et puis cossi... Couci couça, et puis voilà. Il n’était pas aussi bon pour les langues latines que pour celles de son Nord natal, et les consonances germaniques lui étaient plus familières, malgré le temps depuis lequel il vivait en Gascogne, que l’accent chantant du Sud. Alors il répondit d’un sourire aux questions dont il ne comprenait pas la moitié (politesse oblige) avant d’entamer réellement par une présentation de son frère cadet, sans entrer spécialement dans les détails ni mentionner le rang réel de son frère, il suivit la jeune fille dans l’église, jusqu’alors inconnue pour lui. Là-bas, il y avait Alvira et Goddefroy. Et Bella.

Bientôt, installé au troisième rang aux côtés de sa future belle-fille et de son frère, Wallerand attrapait le cours de la messe. Les prières, murmurées de concert, les témoignages, écoutés avec un demi-sourire aux lèvre, les commentaires sur le Livre des Vertus, suivis avec plus ou moins d’attention selon qu’il connaissait ou non les passages en question, s’égrenèrent avec la régularité et la fluidité coutumière des offices, jusqu’au moment fatal. Jusqu’à LA question à ne pas poser. Car à l’instant où il l’entendit, il comprit que ça n’allait pas être une pure partie de plaisir.

Lancer Acrisius sur l’opposition à une union, c’était l’inciter à encourager, avec la meilleure volonté du monde et, pire encore, sans penser à mal, le futur époux à prendre ses jambes à son cou... Bon sang, il aurait dû les prévenir. Prévenir Bella, et Alvira, et Goddefroy, et tout le monde... Le Gascon se fustigeait intérieurement quand une autre voix s’éleva, attirant un regard sombre fort surpris. Allons bon, ils étaient deux maintenant... Puis un homme, peut-être croisé longtemps avant dans les couloirs de la Grande Prévôté de France, se lança dans une interprétation des mots d’Acrisius qui tirèrent un gloussement assez peu élégant à son aîné, avant qu’Ishtara reprenne à son tour... C’était le coup de grâce !

Il fallait rétablir l’ordre, et le regard qui tue d’Alvira et la sortie de Bella semblaient suffisants pour éviter de nouvelles interventions. Victoire. Temporaire, certes, mais c’était un bon début, et Wallerand ne laissa pas passer cette chance de se lever pour apporter, du moins l’espérait-il, sa contribution à la résolution du problème. Se tournant d’abord vers Erasme, qu’il avait fini par remettre, il crut bon de clarifier :


Sieur, je connais mon frère : il ne pouvait pas y avoir le moindre sous-entendu grivois dans son propos, la chose ne l'amuse absolument pas. Vous avez affaire à un rigoriste plutôt qu'à un déluré. Je dirais qu'il parlait plutôt de la capacité d'Alvira à déborder d'énergie et à pomper celle des autres. Ce qui, pour le coup, est parfois vrai ! Hein, marraine ?

Serait-ce une allusion à peine voilée à certain débordement d’affection qu’elle lui avait témoigné, rétrogradant l’esprit du jeune homme au rang de cervelle de poisson mort, lors de son anoblissement en Brassenx ? Allez savoir... Toujours était-il que sur la fin, le regard avait glissé d’Erasme au couple prochainement uni, manifestement plus taquin. Puis, se tournant vers la diaconesse (ne la regarde pas, ne pense pas à qui elle est, ne redoute surtout pas ce qu’essaiera de faire Acrisius pour ton mariage avec elle...), il conclut d’une voix ferme :

Si vous voulez bien nous excuser un instant, je crois qu'une petite discussion fraternelle s'impose.

Et d’une main qui n’était pas moins ferme, Wallerand agrippa le bras de son frère et l’entraîna sans autre forme de procès vers la sortie de l’église. Pas question de se donner en spectacle dans un lieu saint, ça non ! Pour autant, l’explication promettait d’être musclée, car sitôt la porte refermée sur eux, l’aîné lança à son cadet d’une voix suffisamment forte, hélas, pour être sans doute audible de l’intérieur :

Non mais qu’est-ce qui t’a pris ?
Je leur rends service !
Tu ne rends service à personne ! Tu perturbes un mariage, Acrisius !
Tu plaisantes !
Pas du tout ! Il n'y a que toi pour ne pas t'en rendre compte !
Ne me prends pas pour un enfant ! Je sais parfaitement de quoi il retourne, ils me remercieront plus tard !
Arrête ! C’est censé être un jour particulier, un jour heureux, et toi, tu fais tout foirer !
A qui la faute ? Si l'autre mauvais esprit ne pensait pas qu'avec son matériel...
Chut ! Tu m’écoutes, point final ! Est-ce que tu ne t’es pas dit que s’ils sont arrivés jusque là, c’est qu’ils le veulent ? Tu ne penses pas qu’ils ont bien le droit de faire ce qu’ils veulent ? Ce ne sont pas des enfants, enfin !
Seulement des brebis égarées...
Acrisius... Tu le sais mieux que personne, l'objection au mariage n’est pas faite pour donner un avis sur l’opportunité de l'union, juste pour vérifier qu’un des deux n’est pas déjà marié, ce genre de chose...
A-t-on au moins fait une enquête ?
Tu m'énerves, si tu savais... Ils peuvent être heureux, et pour l’instant, on empêche leur mariage ! Même si toi, tu n’y crois pas, laisse-les faire.
Arrête de défendre ton propre mariage ! Qui pourrait avoir envie de s’attacher à vie un poids mort comme une femme, qui te tripote, te tricote des horreurs qu'elle te force à porter et à faire semblant d'aimer, te fait des enfants pour mieux t'enchaîner, te torture à force de bavardage ? J’agis dans leur intérêt !
Acrisius !
Je ne parle même pas d'Alvira, qui devra tenir un caractère modéré, sourire à tous les bals et danser avec chaque noble qui le demandera ! Tu imagines un chevalier dansant la saltarelle au rythme des grincements de son armure ? Pouah !
Tu crois que tu les aides, mais tu les brides !
Je leur ouvre les yeux...


Un bruit mat conclut l’échange, avant que quelques mots étouffés ne reprennent. Réconciliation ou conciliation des frères, ou les deux ? La mine d’Acrisius était quelque peu maussade quand ils pénétrèrent de nouveau dans l’édifice sacré, mais Wallerand, avec un sourire aux mariés futurs et à l’officiante adorée, clama :

Tout va bien. Le contestataire est heureux de finalement consentir.

Et, reprenant le bras de son frère plus affectueusement que pour leur sortie, le jeune homme l’entraina de nouveau vers leur place. Un léger sourire flottait sur ses lèvres, et il finit par glisser à son cadet que s’il n’avait pas fait la remarque qui avait provoqué un tel tollé, il aurait eu du mal à le reconnaître en pareil prodige de modération.
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Christabella
Elle attendait, le cœur battant, de connaître la vraie raison de l’opposition d’Acrisius. Au cas où il détendrait des informations qui ne seraient pas en sa possession, comme un ou une épouse caché, une ordination inattendue, que sais-je ! Mais avant que la polémique ne reprenne, Zorro, alias Wallerand, était arrivé. Et la diaconesse de soupirer : s’il y en avait un pour tempérer verso, c’était bien lui, l’aîné des Beauharnais, et accessoirement son fiancé. Un diplomate dans l’âme, alliant douceur et fermeté.

Sieur, je connais mon frère : il ne pouvait pas y avoir le moindre sous-entendu grivois dans son propos, la chose ne l'amuse absolument pas. Vous avez affaire à un rigoriste plutôt qu'à un déluré. Je dirais qu'il parlait plutôt de la capacité d'Alvira à déborder d'énergie et à pomper celle des autres. Ce qui, pour le coup, est parfois vrai ! Hein, marraine ?

Gné ? Grivois ? Comment cela, grivois ? Déluré ? Queuwa ? La Bella nationale était perplexe, des restes de sa pudibonderie de jeunesse qui faisait qu’elle ne comprenait que rarement les sous-entendus grivois dans les propos, là où Wallerand excellait. C’était comme lorsqu’il lui avait offert le lapin, en clin d’oeil à … à … au fait qu’ils... Roooh, de telles pensées, ici ! Et bing. Voilà une diaconesse avec les joues rouges. Un début d’idée faisait place dans son esprit, Pomper. Bon sang ! Quel effroyable image avait été évoquée là, dans cette église ! Toujours les joues rouges, elle espérait que les premiers rangs prendraient cela comme une manifestation de colère plutôt que de la gêne absolue. Elle fixa sa pensée sur un passage du livre des vertus sous son nez : «Va t’en esprit du vice, qui veut me perdre dans la luxure... *». Bien joué. A croire que c’était fait exprès. Asmodée, sors de cette Eglise !

Si vous voulez bien nous excuser un instant, je crois qu'une petite discussion fraternelle s'impose.

Puis, Wallerand emmena son frère hors de l’édifice pour le raisonner. Bientôt, des éclats de voix leurs parvinrent aux oreilles, tandis que l’église s’emplissait de nouveau de brouhahas. Toujours les joues roses, Bella sourit aux futurs mariés, se voulant rassurante. Wallerand réussira, elle le savait. Puis, ils revinrent, et son adoré lui sourit, triomphant. Victoire !

Tout va bien. Le contestataire est heureux de finalement consentir.

Fort bien, je vous remercie, nous pouvons continuer.


De toute façon le prochain qui moufte encore s’en prendra une, ajouta-t-elle in petto. Petit silence, tandis que son regard de jade parcourait l’assistance.

Alvira, acceptez-vous Goddefroy pour époux, dans le luxe ou la pauvreté, qu’il pleuve ou qu’il vente, dans la santé comme dans la maladie, jurez vous de le chérir jusqu’à ce que la mort vous sépare ?


* vita de christos, chapitre V
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Alvira
L'intervention de Wallerand avait été courte (en tout cas certains le diraient), mais efficace. De quoi ramener un Verso qui ferma sa mouille, et qui la fermerait encore longtemps, croisons les doigts, la célébration n'est pas finie !

Du peu de hauteur qu'elle avait de là où elle se trouvait, Alvira observait son frère, Erasme et Tara, essayant d'enfoncer le clou par des regards entendu, que seul eux repèreraient dans ses iris absolument et diablement adorable de Vivinoursette. Oui, oui, j'en fais trop mais j'ai le droit, c'est moi qui écrit ! Kronembourg était dans sa cannette, la Blancheur dans son sac de linge, et Verso était amarré à son frangin. Bella reprenait aussitôt la Cérémonie, le moment si important où vous vous dites : "Marde alors, y a pu vraiment moyen de faire d'mi tour ! Bardel de pelle à q**** !" Si tant est que vous ayez eu envie une seule seconde de tout annuler. Ce qui, dans le problème suivant n'était pas le cas.

Prenant donc tout la conviction qu'il lui était possible d'avoir si un oui potentiel, elle lui indiqua, bienveillante.


Alvira, acceptez-vous Goddefroy pour époux, dans le luxe ou la pauvreté, qu’il pleuve ou qu’il vente, dans la santé comme dans la maladie, jures tu de le chérir jusqu’à ce que la mort vous sépare ?
Oui, je l'accepte comme époux.
Librement et sans contrainte, je lui jure amour mutuel et respect.

Puis s'adressant directement à son laid poux en cours de téléchargement.
Je promet d'accueillir les enfants de notre union avec tendresse et Foi pour mener à bien la mission du Très-Haut auprès de vous durant cette vie.
De poser le même regard sur vous, quelques soit votre condition. Maladie, errance, je garderais toujours mes oreilles et mon coeur à votre écoute.


Le sourire sincère ne put être retenu, elle le regardait avec douceur - alors qu'elle passait l'anneau nuptial au doigt de Goddefroy, matérialisant l'échange de consentement religieux par les bagues de l'amour - presque bêtement, le coeur inondé par l'envie de le rendre heureux comme il avait su le faire en la berçant de patience. Peut-être est-ce d'ailleurs pour ça qu'elle avait fait un petit écart, en parlant "des" enfants et non "du seul et unique" héritier qu'elle semblait tout juste prête à lui fournir. Comme quoi les choses changeaient dans l'esprit de notre Baronne. Le coeur à ses raisons que.... Bla, bla, bla... On la connait tous celle-là !

A vous les studios !

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Christabella
Alvira, je prends acte de votre souhait.

Bella sourit à Alvira, puis elle se tourna vers Goddefroy, le futur laid poux. A son tour d’y passer !

Goddefroy... acceptez vous Alvira comme épouse, dans la richesse comme dans la pauvreté, même si elle devient ridée comme une vieille pomme, dans la maladie comme dans la santé, même si elle ne fait pas de tarte pour le dîner, même si elle vous ruine en robes et en chaussures?
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Missanges
Les murmures du crédo finissaient de s’évaporer sous la voute d’Aristote et un silence religieux prenait place. Soudain une voix masculine se fit entendre

Hum... Moi.

Ma première pensée fut…Oh bordel c’est qui lui !! Par chance je venais de réciter le crédo en oubliant la prière de confession qui était destiné à se repentir de ses péchés. Du coup je pouvais la réciter maintenant pour m’absoudre de mon gros mot lorsqu’une autre voix masculine retentit

Moi aussi, je m'y oppose.


Ma tête fit un mouvement de va et vient dans le creux de mon cou et je me retiens de parler. Mes yeux allaient de l’un à l’autre, tandis que la sœur essayait tant bien que mal de calmer certaines personnes.
Puis une voix féminine s’éleva


D’ailleurs, je m’oppose aussi à ce mariage ! Tout simplement car la mariée n’a pas fait de fête entres filles avant ce jour, une honte.

Ah ben ça c’est vrai ! Finalement c’est une radine Alvira même pas offrir à boire à ses copines…
Chacun y allait de son petit bout de voix et c’était un sacré mic mac bien sympathique. Sérieux c’est toujours un peu trop conventionnel les mariages cela donnait une note de piment en quelque sorte. Et puis la raison l’emporta et la phrase fatidique arriva

Alvira répondit…C’était au tour du futur…

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