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[RP]Au coeur des mots... Tik, Tak d'une plume inspirée

Biboplote
Il entra et salua, la maître troubadour, puis la dame présente, Enchanté. Toute deux semblait poétiser avec application.

Merci bien, mais je suis tout prêt à prendre la leçon sans plus attendre.

Un écritoire, m'ira tout à fait.



Un peu de direction et de règle ne pouvait que faire du bien au capharnüm de ses idées. Il posa ses affaires dans un coin, sorti ses encres, diverses plumes, une lame pour les affûter et attendit la leçon.
Takoda
Bien, pas de temps à perdre apparement le sire Bibo! Pas de grignotage en règle, ni de verre, juste besoin d'un écritoire...Bon et bien entamons donc les hostilités!

Théalie et moi étions en train de réaliser un poème à quatre mains, dont elle venait de poser la première strophe, vous amuserait il de poursuivre avec nous?

Un poème à six mains, il y a bien longtemps qu'elle n'avait eu l'occasion d'en faire un...Enfin...

Les mots proposés sont donc : ambigu, exigu, misère, austère, capitale, pétale. Si vous rédigez quelque chose avant moi, à vous de proposer des mots pour le verset suivant...et ainsi de suite! Nous arrêterons lorsque le poème aura de la consistance et nous passerons à autre chose...


Takoda ne se savait pas si...directive, par moment, cette facette d'elle la surprenait...mais c'était ce dont on avait besoin pour l'heure alors...à vos plumes!

Je viens de me rendre compte, que je n'avais pas répondu LJD Théalie...faut pas vous inquiéter, prenez le temps qu'il vous faut pour répondre...il n'y a pas de contraintes! Bon jeu! LJD Tak!

_________________
Biboplote
Directement direct.

Oui, un oui qui dit oui. Il se savait bavard, commençons doucement.

Il écouta et mis les mots un en un en place dans sa mémoire et les laissa voguer au gré des musiques qu'il s'inventait. Fit danser la première strophe s'en imprégna, puis doucement calligraphia des courbes, des lignes, des notes cherchant comment traduire sa mathématique, sa chère mécanique, en grammaire.
Takoda
Peu de temps s'était écoulé, et bien vite, la maître troubadour avait constaté que son apprenti griffait avec viacité le vélin, lisant par dessus son épaule, sur l'écritoir qu'il utilisait, elle énonça:

Puis sans manquer d'air, elle lui mit la misère.
Terrant se petit vers, dans ses abîmes austères.
Et de sa vue ingénue, mis à nu son caractère ambiguë.
Alors sans aucun du, elle dépense sans être exiguë.
En sublime robe de bal, en fleur aux mille pétales.
A ses yeux fatales, je suis perdu dans mon capital.


A la suite de quoi, ce dernier avait ajouté les cinq mots suivants: Aiguilles, vacille, chat, mucher, gala, ciseler. C'était donc à son tour de s'y coller... Tirant la langue avec réflexion, elle se pencha alors sur la page blanche...Qu'allait elle bien inventer?
_________________
Thealie
Elle ferma les yeux pour entendre les vers du nouvel apprenti. C'était musical. Un sourire naquit sur ses lèvres. Les prochains mots étaient pour Tak mais cela ne l'empêcha pas de penser à une suite.

Cet entraînement lui plaisait au plus haut point et plus on est de fous plus on rit.
Ses gribouillages commençaient à prendre forme, les mots s'associaient, les rimes s'emmêlaient, peut être réussirait-elle à finir un autre poème avant que ce ne fut à son tour de continuer le poème à plusieurs mains.
Takoda
Après quelques moments de réflexion, elle finit à son tour par encrer sa plume pour tracer des pleins et des déliés sur son vélin.



Mais bien vite filent, filent les aiguilles
Et le temps qui s'envole emporte la raison qui vacille
De nos deux coeurs qui en plein gala
Se retrouvent à s'esquiver d'un saut de chat
Pourquoi devrait on toujours derrière des barrières se mucher?
Alors que cet amour ne demande qu'à être ciselé?


Légère moue, significative, la rousse n'était pas des plus satisfaites quand à ses lignes mais, elle ajouta quand même à la suite, les mots qui serviraient à la prochaine strophe... Brouillard, Placard, Vase, Rase, Chouette, Allumette! Et d'un sourire, elle déposa le tout sous le nez des deux apprentis...
_________________
Biboplote


Dès le premier regard louche il a fait mouche.
Sans ouvrir sa bouche telle une souche
Il a su amener à sa façon une violente passion.
Avec lui aucune tension. Ni omission ni répression.
Jamais au grand jamais il ne pense à m’enguirlander
A ses yeux débridés, je suis fragile telle une orchidée.

Puis sans manquer d'air, elle lui mit la misère.
Terrant se petit vers, dans ses abîmes austères.
Et de sa vue ingénue, mis à nu son caractère ambiguë.
Alors sans aucun du, elle dépense sans être exiguë.
En sublime robe de bal, en fleur aux mille pétales.
A ses yeux fatales, je suis perdu dans mon capital.

Mais bien vite filent, filent les aiguilles
Et le temps qui s'envole emporte la raison qui vacille
De nos deux coeurs qui en plein gala
Se retrouvent à s'esquiver d'un saut de chat
Pourquoi devrait on toujours derrière des barrières se mucher?
Alors que cet amour ne demande qu'à être ciselé?



Brouillard, Placard, Vase, Rase, Chouette, Allumette!


Un vélin s'envole et hop se pose avec tact.

Le nez se lève, sur Takoda.

Ah c'est reparti pour un tour, fait un clin d'oeil à sa comparse élève qui va se creuser les méninges aussi.

Il plane un instant, s'élève dans ses rêves.

Trug!

Les pieds prenez corps en vers.

En avant la musique!

Fait des yeux de souris, puis non, il y a de la chouette dans l'air, pour peu que Biboplote finisse en pelote, se serait pas top.

Puis chuchote à Dame Théalie.

A vous l'honneur.

Mais va pas laisser l'occasion de travailler non plus.


Chouette! Des yeux allumettes qui m'extirpe du brouillard, serait ce pour me mettre au placard, me planter dans un vase? faire table rase pour remplir une case.

Il plumise au hasard des mots sans dessus dessous, écoute, chantonne aphone. chouette, raclette, trompette hum non ça vaut pas tripette!........................................... Et il griffonne des petits dessins aussi, des connes, des courbes, des ronds, des rondes, des carrés; organisant le hasard brouillard.
Thealie
A son tour. La brune se met au travail et tente de faire de son mieux avec les mots laissés.



Dès le premier regard louche il a fait mouche.
Sans ouvrir sa bouche telle une souche
Il a su amener à sa façon une violente passion.
Avec lui aucune tension. Ni omission ni répression.
Jamais au grand jamais il ne pense à m’enguirlander
A ses yeux débridés, je suis fragile telle une orchidée.

Puis sans manquer d'air, elle lui mit la misère.
Terrant se petit vers, dans ses abîmes austères.
Et de sa vue ingénue, mis à nu son caractère ambiguë.
Alors sans aucun du, elle dépense sans être exiguë.
En sublime robe de bal, en fleur aux mille pétales.
A ses yeux fatales, je suis perdu dans mon capital.

Mais bien vite filent, filent les aiguilles
Et le temps qui s'envole emporte la raison qui vacille
De nos deux coeurs qui en plein gala
Se retrouvent à s'esquiver d'un saut de chat
Pourquoi devrait on toujours derrière des barrières se mucher?
Alors que cet amour ne demande qu'à être ciselé?

Des regards hagards perdus dans le brouillard
Ils sentent le corbillard derrière leur petit placard.
Leurs pas s'entrecroisent engourdis par la vase
Une autre il apprivoise, tous les murs, elle rase.
Et elle garde l'espoir bête que sage comme une chouette
Elle ne devienne pas oubliettes et qu'elle le rallumera comme une allumette.

Couleur, odeur, tasse, besace, oraison, déraison.


Elle tendit le parchemin au deuxième apprenti, un vague sourire sur les lèvres.

A vous de jouer !
Biboplote
Circonflexe en sir complexe, il imagine i carré, bien qu'il un penchant non négligeable pour l'i pi pittoresque.

Il louche sur les mots, studieux, à vide il fait le plein de carburant et c'est parti. Bibo c'est pas un rigolo quand il plote les mots, il ferait peur à une machine tellement il est froid, une vrai calotte glacière, mais c'est pratique pour les piques niques , quand il pense il manque d'air, la respiration se fait imperceptible, et si en plus il prend des ailes en fermant les yeux c'est encore plus vrai, finit le garçon, le voilà glaçon.

Hop il finit le dernier point. Relis pas il la déjà tellement relis à le faire que tant pis pour les fautes et il aime bien ça les fautes, surtout quand elles complotent. Il prend un air mi raisin mi amande les yeux écarquillés.

Et hop se lève et fait tomber son pupitre son encre, et toutes ses plumes.

Argghheeeeee, Crakkkkkk.

Il regarde son pouce qui part pas dans le bon sens. Respire un coup, expire aussi

houuu houuu houuu houuuu houuu houuu.

Se sens observé la d'un coup, sourit.

L'air de rien normale quoi!

Ce n'est rien je vais ranger, l'écritoire est intacte, j'ai du buvard, pas de lézard.

Je suis confus, ça me consterne, je sais ce qui s'est passé un mauvais calcul de trajectoire du pied droit, il a pris le gauche. Voilà pour me faire pardonner.

Il passe le vélin à sa maîtresse, stratégique il oublie pas la diversion pour faire oublier sa maladresse.




Puis vient poésie, en puits de couleur.
Que coule heure d'or, l'art gens n'a pas d'odeur.
Que coule l'eau d'heure, à en boire la tasse.
Tacitement son tact, tique en ma besace,
Ses robes acidulées met à l'oraison,
Ses mots raisons, avec ailes je vole à déraison.
Takoda
Je suis navrée d'être peu présente hein...mais ça va revenir!


Chute de papier et d'encrier, une paupière qui se relève pour sourciller...Pas grave! Et son tapis alors? M'enfin elle sourit avec bonomie et se plonge dans la lecture qui leur oeuvre cloture!

Bien! Il est l'heure du changement d'exercice, que va-t-elle imaginer maintenant? Le front se plisse en réflexion, tandis que la bouche se meut en une grimace.


Nouvelles règles, pour un nouveau poème. Chacun son thème se choisira!Et puisque ce mois ci, il ne faut se découvrir d'un fil, c'est de I dont on se passera. Tâcher d'oublier cette lettre dans vos mots et de m'en offrir de beaux!

Visiblement en forme la Maître Troubadour, elle offre à chaque apprenti son vélin propre et se retourne sur son propre bureau..c'est qu'elle a à écrire ce poème sans lettre I maintenant!
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Takoda
Si l'air venait à manquez ce n'était dut qu'à cette longue hibernation...imaginez, rester cloitrée parmi des nonnes durant de longs mois, y a de quoi en perdre la raison...Enfin pour le moment c'était l'I qu'on avait perdu, parce que tant qu'à revenir autant le faire sur des souvenirs et là...on y était. Grande aération avec la fenêtre qui s'uvre à la volée, soulevant les parchemins mal rangés, ça change! Et hop, nous la revoilà partie à l'ouvrage la rousse...Tik, Tak, Tik, Tak...les heures tournent et le parchemin noircit.



Lettre à El.se:

Elle court, vaporeuse
Les cheveux détachés, l'entourant comme un halo
Fuyant ses jours, songeuse
Chaque pas semant les problèmes auxquels, elle tourne le dos.
Else, femme d'un auteur
Muse d'une année
Rêvant d'être autre qu'un texte révélateur
Notes sombres et blanches lentement effacées
Elle coule vers l'anonymat
L'eau la sauve de ses démons
Seulement reste ses bras
La ramenant à la berge lentement
Elle ne regarde plus que les yeux de son sauveur
Elle n'y sent plus qu'un ancrage mouvant
Et celà s'en va, et s'arrête son coeur
Elle fut la Muse amoureuse
On composa pour elle
Malgré cela elle n'a été que très peu heureuse
Juste sur ses dernières notes où elle s'est découvert, belle.


Bien, Takoda relève la tête, que ça fait du bien de respirer de nouveau. Et les yeux s'interrogent, que doit penser son apprentie de cette solitude, a-t- elle pris ses marques et va-t-elle réécrire?
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Takoda
Silence feutré, les rideaux sont tirés, la salle est vide...depuis bien trop longtemps... Les gonds grincent, la rousse couine! La porte se referme à une vitesse surprenante et le bureau vite gagné s'éclaire de la lueur d'une bougie, puis de deux..et soyons fous de trois!
Takoda attrape le vélin, la plume et l'encre...et le grattement plumesque s'étends à ce silence...lentement, délicat, chantant...





Et moi qui espérait que tu plonges,
Que tu sombres, que tu coules
Et que les vents t'emportent dans leurs songes
Que tu sois en déroute, presque saoul...
Moi qui voulait de tes yeux comme réceptacle des miens
Qu'ils se fondent les uns aux autres caressant
Et qu'ils rejoignent ce paradis si lointain
Qu'on envierait aux anges charmants.
Enivrés d'autrui mains glissées dans d'autres paumes
Langoureusement tactiles d'un frôlement
Ravines qui se cherchent et se rencontrent presque fantômes
Mais qui d'un éclair s'allument vivement
Chaleur des âmes devenues soeurs
Découvrant leur ressemblance
Réveillées d'un battement de coeur
Qui fera toute la différence...
Et moi qui espérait que tu sombres il y a peu
Je n'aspires plus qu'à te voir monter aux cieux


Les yeux se plissent, les lèvres s'étirent...le sourire s'attarde.
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Takoda
La nuit tombée, les étoiles aparaissant, tout observateur extérieur aurait put voir une rousse le nez penché sur un vélin à son bureau. Les volets ne sont point tirés, par moment elle observe ce bleu noir qui envahit le paysage, les pensées voguant vers des ailleurs, tendres rêves déchus? Les lèvres ne parlent guère mais la plume gratte avec sûreté.



De ses ailes de corbeau
Recouvrant le paysage
La mère nuit, de son calme manteau
Enrobe les alentours, leur donnant autre visage.
S'allument les filantes chandelles
Aux cieux, reines de beauté
N'éclairant que peu face à la plus belle...
Femme au croissant doré.
Et dans ce décor sombre
Un air court, délicate brise
Menant les pensées par dessus les ombres
Jusqu'à la ville promise.
Les chants s'élèvent par delà les murs bénis
Autour des foyers familiaux ou amicaux
C'est jour de veillée cette nuit,
Sortons contes et fabliaux!
Mais la jeune fille près du feu
Dont elle a la chevelure
Seule parmi la foule de curieux
Songe à ce flou qu'est son futur.
Les yeux bruns peu à peu s'effacent
Alors que les mots se tarissaient
Une larme coule fugace
Pourtant il ne faut jamais croire à ce jamais...
Ce soir, c'est soir de veillée,
La rousse se transformera en louve affamée
Elle tendra l'oreille à ces histoires racontées
Parlant d'amour éternel, de cette tendre envie, envolée?

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Takoda
Takoda un brin absente était arrivée on ne sait comment dans le jardin de la Confrérie, ses pas crissant sur la neige couvrant arbustes et allées l'avaient alors menés près de la fontaine.
Emmitouflée dans sa chaude cape de voyage, la Fraise avait posé son derrière sur la margelle, levant les yeux vers le ciel découvert. La lune et les étoiles brillaient tranquillement là haut, saisi d'un tremblement frileux, la Maître Troubadour eut un soupire dasabusé.

Le ciel avait beau être le même en tout points du Royaume, elle n'aspirait qu'à être sous d'autres astres. Ces derniers jours lui avaient remémoré des souvenirs enfouis et la nostalgie était perceptible chez la jeune femme. L'arrivée de la compagne de Druidix, la naissance de son enfant, la rencontre d'un sire de passage lui rappelant un ancien amour...Second soupire et l'envie d'écrire la pris...elle se dirigea donc à pas lents vers sa salle, où une fois arrivée elle se débarassa de sa cape, la laissant tomber négligemment sur le sofa et se dirigeant d'instinct vers le bureau,où installée, elle se mit à écrire.




Rien ne filtre
Sous ce manteau de givre
Ou bien n'est ce que mon coeur qui d'effroi
Par l'hiver est emprisonné de froid.
Ne serait ce pas plutôt l'absence
Que viens rappeler la morsure de la distance
Et pas un son, pas un cri
Aucun papier, pas même un pli
Seule dans cette cage de verre
Qui viendra me délivrer de cette solitude, un enfer?
Et si je n'attendais que l'impossible
L'idée peut paraître risible
Mais la balance pèse lourdement
Car le passé maudit jamais ne ment...
Sous ces étoiles, dois je espérer
Ou ne fais je simplement que rêver?


La feuille retombe sur le bois ciré, la larme coule le long de la joue et laisse son empreinte sur le parchemin. La jeune femme se jette sur le canapé où elle finir par s'endormir après l'assaut torrentiel qui l'aura assailli...demain est un autre jour...
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Horacecirceto
La bonne porte - LA porte...
"Au coeur des mots ; Tik, Tak ; d'une plume inspirée", lit-il tout bas - tout haut à l'intérieur...

Allons donc Horacecirceto, il n'y aura personne - fais demi-tour !
Mais l'élan lui venait, le courage aussi et surtout : Maître Takoda, je me présente à vous car j'aimerais... allons donc, fais demi-tour !

Il regarde ses doigts trembler, la main gauche maladroite (serait-ce normal ?) tapote la porte, tandis que la droite bien trop roide serre un rouleau de parchemin noirci d'encre, bleui de mots, rose d'images et vert d'espoir... Si seulement le Maître Takoda, la maîtresse des lieux qui daignera peut-être me laisser les pénétrer (juste une fois, de grâce...), pouvait apprécier mon style, et plus encore : prodiguer ses conseils, ceux maintes fois par elle recueillis auprès du ciel Poésie...!

En attendant une réponse aux coups donnés à la porte, et avant de faire demi-tour, il se mit à murmurer :

J'ai crevé l'homme en moi, l'ai réduit au silence
Eternel - les saisons en ont hurlé d'effroi ;
J'ai eu faim, et les mots m'ont offert leur pitance
Mais pas les mots d'avant : j'avais faim et eux froid !

Il m'a fallu créer mon propre dictionnaire :
Amour étant premier, la suivit la Beauté
(Ces deux coeurs attachés m'ont vu si solitaire)
Puis s'en vint la Constance - belle trinité !

Poésie m'emporta de son flux très puissant ;
Tant qu'un jour - pour me plaire - elle fit voir sa nuit
Prenant corps ; je la regardai de temps en temps :
Alors même la mort se voulut mon amie !
***
Madame ! Je lui parle de Vous - bien précieux !
Âme en son doux rêve et qui saura ma constance
Tout autant que l'amour - et comme dans vos yeux
J'aime lire en ce soir la beauté qui s'avance...
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