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[RP]Au coeur des mots... Tik, Tak d'une plume inspirée

Takoda
La jeune rousse pris sa plume ce matin là, sans trop savoir ce qui en sortirais...Plus très inspirée et surtout fort occupée, elle se décida à écrire sur le Chouchen.Un petit hommage à sa Bretagne qu'elle avait quittée depuis bien longtemps déja...



Alcool fort et savoureux
Délice du palais de mes aïeux
Au goût âcre en bouche
Chauffant sur son passage les papilles qu'il touche
Ta robe ambrée
Ravie mes yeux encore embués
De tes tendres effluves de fruits
Je revois encore les pommiers aux fleurs épanouies
Et dans une gorgée se voulant raisonnable
Je reviens dans ma Bretagne natale
La rime est pauvre pour tout en dire
Mais le Chouchen restera la boisson qui m'attire!


Elle plissa les yeux en souriant, amusée de son petit texte, puis reprenant la plume, elle se plongea dans l'écrit qui la tenait en haleine depuis deux jours.
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Takoda
La rouquine entra dans sa salle comme une tornade...Elle prit le temps d'attraper le nécessaire pour écrire et s'installa lourdement au petit bureau sombre...Une fois devant le vélin, l'inspiration lui faisait toujours défaut, ce qui la frustrait on ne peut plus...
Puis, soudain, la page fut un véritable puit d'écriture...La plume se mit alors à danser...




Elle virevolte
De son duveteux état
Peignant les sentiments, les paysages, les natures mortes
Volant accrochée au bout de mon bras
Elle danse légère
Plume blanche de mon âme
Traçant la calligraphie des amours à la colère
Les haines et les drames
Et lorsque ma main tremble
Les lignes se ressèrent d'un air grave
Elle peine à écrire il me semble
Sombre comme une épave
Ma plume d'amour
Trace mes mots
Ma plume est là toujours
Quoi qu'il arrive de mal ou de beau...


Un soupire de soulagement s'échappa des minces lèvres, elle n'aurait pas une page blanche ce jour là...
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Takoda
La jeune Ambrois se présenta tôt ce matin là, elle avait apporté de quoi donner un coup de propre à sa salle qui peu fréquentée ces derniers temps devenait poussiéreuse.
Après s'être activée dans tout les coins de la pièce, Takoda qui avait chaud, s'installa dans un de ses confortables fauteuils avec son écritoire, ainsi qu'encrier et plume...




Elle tourne et danse joliment
Suivant de son corps les mouvements
Il la tient tout contre lui
Laissant sa douce chaleur lui rendre la vie
Car lorsque leur doigts s'effleurent avec tendresse
Elle oublie tout ce qui la délaisse
Leurs yeux se parlent avec amour
En enchaînant les petits tours
Une langue ensorcellante
Qui rends leur danse virevoltante
Le couple de danseur est fasciné
Par ce qu'il peuvent réaliser
Mais au fond, ce n'est que ce qu'ils cachent
Ils ont peur que la vérité se sache
Car elle l'aime d'un amour tout frais
Qu'elle découvre, troublée de ce secret
Et lui la regarde comme une femme désirable
Etant toujours le plus agréable
Que faire lorsque deux de ces âmes ne se disent rien?
J'ai peur qu'ils se réveillent seuls demain...


Elle referma la bouteille d'encre noire, mit le parchemin sur le bureau afin qu'il sèche et s'en retourna tranquillement chez elle.
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Takoda
Un petit passage avant d'aller au lit,les chandelles étant toujours une lumière propice à l'écriture pour la petite rousse. Le vélin crissait sous les coups de plumes...



Je place ma main dans la tienne
Et oublie le reste avec tendresse...
La chaleur de celle ci contre la mienne
Me laisse voguer vers d'autres cieux en toute paresse
Tu m'attires contre toi
M'enserrant doucement entre tes bras
Ta main dans le bas de mon dos posée de ses cinq doigts
Et ta poitrine contre mes seins se rapproche d'un geste délicat
Ma tête près de ton épaule, je lève les yeux
Ta bouche carmin m'attire à elle
Ton regard brun m'observe silencieux
Quand le coup de coeur soudain me donne des ailes
La musique de l'Amour se met alors en route
Le métronome des battements vitaux rythme les sentiments
Et je n'ai plus aucun doute
C'est toi que je veux en cet instant
Un dernier tour avant le baiser
Le trouble, les frissons
Je me laisse griser
Par ses lèvres qui sur les miennes font pression
Mes yeux se rouvrent, je n'ai fais que rêver
Je suis toujours près de toi sur mon banc
Et j'attends que tu me vois t'aimer
Avant de me dévoiler vraiment...


Elle replia le parchemin et le déposa sur l'étagère, attrapant le falot qui lui servirait à rentrer. Une fois enroulée dans son mantel, la capuche rabattue sur son visage, elle s'enfonça dans la nuit...
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Takoda
La rousse avait recopié un poème qu'elle avait écrit pour la mort de Sadnezz qu'elle avait appris il y a peu...Nostalgique, elle laissa ce dernier à la conférie.



Un au revoir n'est pas un adieu
Même si tu t'en retournes aux cieux
La terre se souviendra longtemps avec passion
De la rouge, son petit chaperon
Qui de par sa joie et son sourire éclairé
Aura illuminé quelques jours notre amitié
Même si j'aurais voulu la découvrir plus avant
La mort en as décidé autrement.
Au revoir ma belle
Je te souhaite un bonheur éternel
Un au revoir n'est pas un adieu
Nous nous retrouverons près de Dieu
Une rousse se souviendra de ton passage ici bas
Et attends de pouvoir à nouveau te serrer dans ses bras
Amicalement
Je t'envoie ces derniers baisers tendrement.


La vie était décidément trop cruelle...
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Takoda
Takoda passa dans sa salle en ce beau début de journée ensoleillée. L'air était certes frais, mais la rouquine ouvrit néanmoins la grande porte fenêtre pour aérer les lieux. Une fois cela fais, elle entreprit de redonner un peu de vie à la pièce qu'elle avait délaissée depuis un certain temps. Une fois la poussière évacuée à l'aide du chiffon puis du balai, elle referma avec précaution la fenêtre et s'installa à son bureau, songeant que sa petite apprentie allait avoir besoin d'un espace bien à elle. Peut être devrait elle comme Sélé l'avait fait, installer un petit bureau pour Bertilde...La plume glissa...



Un petit bureau pour une jeune apprentie
Un espace plaisant pour ses mots
Une jolie chaise pour qu'elle s'installe ici
Un tas de vélin sur l'étagère du haut
De la place juste en dessous
Pour qu'elle fasse sècher ses écritures
Après avoir rédiger un texte doux
Et effacé ses ratures
Une plume neuve à encrer
Comme un élan d'inspiration
Que les lieux sachent l'emporter
Vers de nouvelles destinations...
Un écritoire pour une nouvelle arrivante
Qu'elle puisse écrire où elle le veux
En espérant que les choses soient accueillante
Et qu'elle profite bien des lieux!


Les yeux verts brillèrent de malice et Takoda se dit, que l'inspiration n'était finalement pas loin....
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Takoda
Une fois le courrier envoyé à son apprentie dont elle déplorait l'absence, Takoda s'installa au bureau de bois sombre qu'elle affectionnait. La veille, elle avait fait déposer à ses côtés un joli petit bureau en bois clair sculpté, elle y avait assorti un fauteuil et deux étagères. Entre les deux, elle avait installé un paravent, qu'elle n'avait pas encore prit la peine de tirer, son apprentie si elle désirait un peu de calme pour écrire, pourrait ainsi à sa guise s'isoler ou en cas d'échange le laisser de cette manière.

Souriante, par ce matin frais mais plutôt beau, elle attrapat un vélin, ouvrant son encrier, elle commença à calligraphier avec soin une fois la plume trempée dans le noir liquide...




Elle essayait de retenir son attention
Peine perdue, il ne voyait qu'une amitié
Elle était amoureuse de sa passion
Et lui ne faisait qu'apprécier
Mais lorsqu'elle détacha ses cheveux
Tombant en cascade sur sa peau blanche
Il ne put détourner les yeux
Descendant lentement jusqu'à ses hanches
Son regard s'attarada sur les formes généreuses
Passant du dos à la poitrine
Sans voir que la jeune femme heureuse
Défaisait plus que sa capeline...
Et lorsqu'elle fut à nue totalement
Il ne sut que dire ni faire
Elle avança dans l'eau du lac doucement
Il attendit sur la berge effrayé par ce qu'il ne voyait hier
Mais elle ressortie bien vite
Lui prit la main aussi bien que le coeur
L'entraînant dans l'eau à sa suite
Jusqu'à avoir sa douceur
Une fois apprivoisé
L'amour fut une évidence
Il lui avoua dans un baiser
Ce qu'elle savait être une promesse, une espérance...


La rouquine soupira et reposa le vélin pourqu'il sèche.
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Takoda
Takoda vint passer un petit moment dans sa salle, fatiguée du voyage et ravie de pouvoir trouver un moment de quiétude. L'arrivée à Cahors allait lui permettre de se poser quelques peu.



Il était un petit bourgeon
Qui naquit au fond d'un coeur
Symbole d'un début de passion
N'attendant que son heure
Cette petite plante
N'attendait que le doux soleil
Pour être plus qu'une pousse naissante
Et sortir de son doux sommeil
Lorsque vinrent les premiers rayons tout chauds
Il s'épanouit un peu
Sans trop subir les larmes d'eau
Subjugué par ses yeux
Bien plus tard, lorsqu'il fut grand
Le bourgeon devint une plante pleine d'amour
Qui fleurissait et fleurait bon le sentiment
Une qu'on voudrait garder toujours...
Mais le temps vint de se fâner
La belle fleur se mourut
Car elle n'avait pas été assez arrosée
Et le coeur trop déçu...


Elle posa la plume sur l'encrier et profita du calme...
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Takoda
Takoda ce matin là, était d'humeur joyeuse, un peu reposée, elle avait prit la plume dans l'intention d'écrire un petit quelque chose...



Si les mots disent l'essentiel
Les actes parlent bien plus
Je ne te savais pas si sensuel
Bien que tu m'ais finalement déçue
J'aurais pu t'écrire tout ces mots
Ceux que je ne t'aurais jamais dit
Qui ne franchiront jamais mes lèvres aussitôt
Ceux qu'ont dit en pleine Folie
Car l'amour est une déraison
Il brouille la vue et les sens
Lorsqu'on tombe en pleine passion
On n'en sort pas sans perdre un peu de son essence
Car lorsque tout se brise
On souffre avec violence
Puis le temps souffle sa brise
Réparant avec patience
Et le coeur une fois ses plaies réparées
Est de nouveau battant
Prêt à aimer
Avec de nouveaux sentiments...


Ecriture d'instinct, les mots se suivent et se ressemblent...tout comme les maux.
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Takoda
Takoda s'empressa de venir passer un peu de temps dans sa salle qui lui offrait que de trop rares instants d'inspiration...Ecrivant à grands coups de plume, le jeune femme souriait de profiter des ces murs qu'elle chérissait.



D'amour et d'eau fraîche
Elle aurait voulu en vivre
Mais elle n'eut qu'un air revêche
Il faudrait se contenter du peu ou mourir
Ses yeux seraient un paisible ruisseau
S'il daignait les poser sur elle
Où elle aimerait boire de son eau
Déployant de l'amour les grandes ailes
Sa bouche au tendre carmin
Aurait été un charme
S'il ne l'avait détourné du chemin
De ses lèvres élevant les armes
Elle aurait encore voulu sentir son odeur
Qui fleurait bon la tendresse
Qui élevait ses battements de coeur
Alors même qu'il lui aurait offert ses caresses
D'amour et d'eau fraîche simplement
Elle aurait voulu en vivre encore
Mais il s'est en allé doucement
La laissant seule face au vide du dehors...


Elle mit le point final.
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Takoda
L'écriture l'appelait, le vélin aussi. En entrant Takoda sentit une douce odeur de parchemin, elle avait d'ailleurs sur elle dans sa besace un nouveau stock de ce support d'écriture car le sien commençait à s'épuiser...Une fois celui ci déposé sur l'étagère, elle sortit également du sac une bouteille d'encre et remplit l'encrier avec avant de ranger l'objet au sec dans un placard. Ceci étant fait, elle ouvrit la fenêtre pour aérer un peu les lieux et s'installa comme de coutume à son bureau.



Une douce caresse
Sur mes lèvres charnues
Une démonstration de tendresse
Un calin bienvenue
Une main dans la mienne
Comme un appel nouveau
C'est la tienne
Qui réchauffe mes os
Et si mon nez
Se pose sur ta joue
C'est que je cherche encore à t'embrasser
Où simplement que je joue
Et si mes yeux cherchent les tiens
N'oublie pas que c'est pour les étoiles
Car tu est le ciel où je vole sans fin
Et je ne voudrais pas qu'il se voile
Juste un baiser
Qui coupe le souffle net
Et j'espère le retrouver
Sans les travers qui d'habitude m'arrête
Juste une tendresse
Fin des tourments
Dans tes caresses
Je suis prête à aimer maintenant...


Une petite pensée s'envola vers Cahors...Serait ce lui?
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Takoda
Takoda vint se caler dans les coussins de son fauteuil préféré ce matin là...Elle observait la pièce, jaugeant chaque détail... Le petit bureau de son apprentie était là mais l'apprentie toujours pas...Le dessin était une fois encore le même, elle allait attendre sûrement en vain qu'on se présente à la porte... Elle soupira se laissant aller dans le moelleux siège.
D'un air rêveur fixant le plafond, elle se prit à faire tourner les mots ...




Les sons de la comptine
Hantent mes nuits
Pic pic pic chères pécores
Comme l'histoire de la poule qui picore
Sur un mur abandonnée
Avant que la famille tortue ne vienne la retrouver
Toujours au pas...
Sans courir après les rats...
Cherchant une pomme d'api
Sur le tapis rouge de ce mur ci
Toc toc toc, êtes vous là?
Vous ne dormez pas?
Frappe Frappe les petites mains
Elle tourneront jusqu'au lendemain
Si les marionnettes qui ainsi font
Trois petits tours et puis s'en vont...


La rousse sourit amusée de ce méli mélo de comptine...tout en changeant de position pour se retrouver allongée sur le ventre, pieds en l'air battant un rythme imaginaire.
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Takoda
La rousse toujours allongée sur le ventre, finit par avoir une autre idée et se releva prestement, oula la tête lui tournait de ce lever brusque. Puis, après quelques instants d'immobilité, elle alla d'un pas sur se loger dans le fauteuil du bureau et attrapa sa plume préférée.



Il ne reste que les mots
Couchés sur le papier
Car toi tu t'es enfui ce matin tôt
Laissant là celle que tu as aimé
Entre mes doigts ce parchemin
Me disant de ne point attendre encore
Comment avancer sans ta main
Dans la mienne comme un trésor
Plus rien d'autres que des phrases
M'informant de ce départ
Je vais cocher encore une case
Dans mes histoires qui deviennent si rares
Plus rien que les mots
Mais n'est ce pas déjà bien?
N'y a -t-il rien d eplus beau?
Que ces lignes écrit pour les siens...


Elle grimaça, sa muse la délaissait et elle n'aimait pas trop cet écrit.Essayons autre chose se dit elle.



S'il savait le vide qu'il laisse
Peut être reviendrait sa présence?
Je ne peux malheureusement pas le tenir en laisse
Il a besoin d'un espace pour faire son existence
J'aimerais qu'il ne soit pas si loin
Que je puisse à nouveau l'entreprendre
Ne pas rester dans mon coin
Et arrêter de l'attendre
Je voudrais faire des pas dans sa direction
Me suspendre à son cou
L'embrasser avec passion
Alors qu'il me protège de tout
Il me manque chaque heure
Et je pense souvent à lui
Il pourrait être ce bonheur
Après lequel je cours et qui s'enfuit.


Le second n'était pas plus mal...Une petite pause pour allumer quelques chandelles...Reprendrait elle de suite?
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Takoda
Ce n'est que le lendemain qu'elle se remit à composer...Un texte nouveau sortait de sa plume affutée à souhait...



La folle rieuse
De ses rousses ailes
S'envola d'une manière délicieuse
Pour échapper aux sillons de sel
Lassée de son invisible présence
Elle s'en retourna à sa chaumine
En toute bienséance
Niant la vérité en une drôle pantomine
Le décollage précipité
Etait bien volontaire
Elle n'aimait pas qu'on puisse l'ignoré
La laisser par terre
La folle rieuse aux yeux de cristal
N'aimait que le bleu du ciel
Et les rires sonores des grands festivals
Qui semblaient iréels
Encore un battement
Et son coeur se stoppa
Plus aucun sentiment
La mouette folle morte en tomba...


Ar gouelanig...La mouette, tendre surnom d'un rivage lointain....Bien effacé le temps de ses lettres magnifiques qu'elle aimait tant lire. Mes les mots, elle aimait à les tourner encore et encore...Ar gouelanig...surnom oublié, toujours donné.
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Takoda
Nul ne contrôle sa plume, et l'écriture spontanée sortait à présent de la sienne. Takoda avait une inspiration décuplée ces jours ci, ce dont elle profitait au maximum, la muse étant tellement volatile... un peu d'encre noire sur le fer forgé et les lignes se noircir.



Une poussière d'ange
Tombée des astres célestes
Un fragement d'aile étrange
Qui semble animer tout le reste.
Une simple plume aux doux crissements
Et la muse s'affole
Dans un écrit maintenant,
Où l'auteur s'envole.
Les mots s'illuminent sur le papier,
Alors que l'encre déjà
Se met à sécher,
Attendant la phrase suivante et son éclat
La douce mélodie
D'une étoile, ici, naufragée
D'une poussière de nuit
A peine écrasée.


Voilà longtemps qu'elle n'avait pas écrit en jouant autant sur les mots, elle sourit, et un autre écrit lui trottant dans l'esprit vient encore garnir le vélin...



La catin:

Un doux balancement de hanches
Alors même que vers lui elle se penche
Un décolleté plongeant
Laissant voir ses seins blancs
Corsettée à l'extrème
La fille de joie est le cadeau suprème
D'une vie dépravée et noire
D'un amour complètement illusoire
Le plaisir de la chair
Est son échappe misère
Et tandis qu'il paye son du
Elle lui offre son âme pour qu'il ne soit pas déçu
Caresse glissante sur sa peau
Tel un serpent elle ondule près de son dos
Ses lèvres charnues et rouges à souhait
Se tendent vers son cou, il renaît
C'est alors qu'elle séduit
Et amène à son lit
Pour que les pièces trébuchantes sonnent avec bonheur
Alors qu'en un coup de reins, il lui offre son coeur
Elle pauvre petit bout de femme
Brûle déjà dans les flammes
Puisque l'enfer n'est pas que la mort
C'est déjà ce bordel qui l'emprisonne encore...


C'était fou ce que la luxure pouvait inspirer...Un sujet à repenser pour u autre écrit songea-t-elle.
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