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Réception du mariage de Elektra et Dacien

Suzel


Depuis des jours, toute la commanderie était en effervescence et les cuisines avaient travaillé d'arrache pied. Les tables avaient été dressées, le buffet débordait de mets tous plus appétissants les uns que les autres, et les futs de bière et de vins avaient été mis en perce.

Les invités commençaient à affluer, les rires et les cris de joies couvraient les félicitations que chacun présentait au jeune couple. Les enfants couraient dans la grande salle voutée, certains avaient déjà les mains pleines de gourmandises à dévorer. Quant aux adultes, c'est la soif qui primait bien souvent, et tous voulaient lever leur verre à la santé de Elektra et Dacien.

Coligny.
La cérémonie de mariage était terminée et Coligny attrapa le petit Alexander pour le soulever dans ses bras. Tous félicitaient le couple et l'homme de main le suivait jusqu'à la sortie de la chapelle.

- Viens, on va voir la salle à manger.

Il allongea le pas pour arriver le premier. Un regard à ses hommes à l'entrée, puis il pénétra dans la salle. Tout était déjà en place. Il chercha Yris du regard qui avait été aux cuisines et sur le dos des marmitons depuis des jours pour que tout soit prêt le jour J.

- Rien d'anormal. Il manque peut-être ces bonnes tartes que l'on trouve dans le sud avec des fraises dessus. Mais je crois qu'avec tout ça, on va bien se régaler, lance t'il en posant le petit au sol. Regarde, Papa et Maman vont se mettre là. C'est la place des mariés. Et toi tu seras juste à côté, sur cette grande chaise. Je serais juste là avec Yris. Viens, retournons dehors. Tes parents ne vont plus tarder.

Il lui prit la main qui semblait minuscule dans sa grande paluche.


- Qui surveille la porte de derrière, fit il aux hommes de devant.
- Le Maledroit.

Il remua la tête pour approuver ce choix. Ce jeune homme ne portait le nom de Maledroit que par sa posture toujours désinvolte. Mais c'était une fine lame et un as au couteau. Sans compter qu'il avait l'ouie plus fine que la normale.

- Ecoute, j'entends venir, prévient il en serrant la main du petit.
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Alexander_
    J'ai rencontré mon tonton Zeiss. Enfin je l'ai vu, mais je crois que pendant le mariage "qui dure qu'un jour", les grands n'ont pas le temps d'expliquer les choses. Alors j'ai suivi tonton Col jusqu'à l'endroit où on va manger. Miam !!! La table est recouverte de mets et je m'en lèche les babines.


C'est tata Yris qui l'a fait tout le manzer ?

    Tonton me montre les places. Mais ca ne m'intéresse pas trop de savoir qui va s'asseoir où. Alors juste avant qu'il n'attrape ma main, deux ravioles au fromage rejoignent une de mes poches, une boule de pain rejoint l'autre, et j'embarque une belle tranche de jambon en prime.

    Et il est vrai que du monde arrive car on entend des cris et des sifflements. Je grimpe sur une grosse pierre posée près d'un massif de fleurs et je me hisse le plus possible sur la pointe des pieds, dévorant le jambon à pleines dents.


Dis tonton, toi c'est quand tu fais le mariaze qui dure qu'un zour ?
Coligny.
Les poches arrondies de son précieux butin, Alexander monte sur une grosse pierre pour voir les mariés arriver.

- Oui, c'est tata Yris qui a tout fait. Tu verras, le jambon est fameux, répondit en lui frottant la tête.

Mais Col se met à tousser à la question du petit.


- Heu, le mariage qui dure qu'un jour, il faut le faire à deux, Alexander. D'abord un homme rencontre une femme et un jour, ils décident de faire le mariage. Ils décident tous les deux ensembles. Tu comprends ? Pour le moment, avec tata Yris, on n'a pas encore décidé.

C'est qu'il grandit vite le petit et il comprend bien des choses. Coligny le regarde en souriant et porte un bout de pain à ses lèvres.

- Tu vois, moi aussi je sais me servir en douce, coquin que tu es. Mange donc avant de tâcher tes poches.
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Dacien_de_chenot


Sa femme à son bras, le chevalier se dirigea vers la salle réception où Coligny et Alexander les avaient précédés.
Le cortège se dissipa autour du buffet, chacun s'installant par affinité, d'autres préférant rester debout et parcourir les groupes qui se formaient spontanément.
Le jeune couple restait le point d'attraction, toutefois il profita d'un calme relatif durant lequel leurs invités s'extasiaient devant le buffet pour embrasser celle qui venait de promettre passer sa vie à ses côtés.
Dans un souffle il murmura un 'je t'aime' avant de l'entrainer vers le petit garçon hissé sur une pierre. Petit garçon qui pour l'heure avait décidé de se restaurer et mastiquait, de bel appétit, une belle tranche de jambon.

- Tu sembles avoir une grosse faim, une main se posa sur sa tête. Je voulais te féliciter pour tout à l'heure, tu t'en es sorti comme un chef ! C'est bien mon fils.

Savoir Alexander sous la garde bienveillante de Coligny lui avait permis de profiter pleinement de l'instant le plus important de sa vie. Il posa sa main sur l'épaule de son ami. Les mots étaient le plus souvent inutiles entre eux et par ce simple geste il lui renouvelait non seulement son amitié mais aussi sa confiance et ses remerciements. Bientôt un nouveau petit être viendrait et ils ne seraient pas trop de trois pour veiller sur lui. Trois et demi, songea t-il lorsque ses sinoples se posèrent sur Alexander qui ignorait encore tout de cette naissance à venir.

- Rejoignons nos invités. J'ai faim, pas vous ? Dis bonhomme, et si tu nous montrais où tu as trouvé ce jambon ?

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Alexander_
    Petit casse-croute improvisé avec tonton Col le temps que tout le monde arrive. Il n'a pas l'air très sur quand il me répond sur son mariage. Ils n'ont pas encore décidé ? Ils sont compliqués les grands, moi je vous le dis.

    J'essuie rapidement le gras du jambon sur l'arrière de mon pantalon et enfonce mes doigts dans la poche pour en ressortir les deux ravioles.


Tiens tonton ! L'est un peu 'crasée mais s'te la donne.

    Et de fourrer l'autre dans ma bouche. Quand soudain ...


Ils sont là ! Ils sont là ! Ze les vois !

    La foule des gens se rapproche. Papa et Maman marchent tout devant. Papa me félicite et je lui fais un grand sourire. Meme que c'était rien, mais assez fier de moi, je réplique.


Ze pourra le faire encore hein ! C'est facile !

    Comment ca le coup des alliances ca ne se fait qu'une fois ? Un detail.

    Pour l'heure, on peut attaquer le buffet, alors je saute de la pierre et j'attrape tonton Col par la main.


On y va !! Ze va tout manzer !! Le dernier arrivé l'aura plus rien !!
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Naurestel_de_grimaud
La jeune femme avait attendue sagement que tous quittent la Chapelle. Elle avait suivit ses frères et soeurs d'armes en prenant tout son temps. La main sur son ventre, elle espérait une chaise bientôt. Elle arriva à la salle de réception, une main sur son ventre et vit ses amis un peu plus loin qui discutaient. Elle s'approcha d'eux, n'ayant pas eu la chance de les féliciter franchement. Elle sourit.

Félicitations à tous les deux. C'était une très belle cérémonie de mariage, et je vous souhaite tout le bonheur du monde. Tout l'amour que vous méritez l'un et l'autre.
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Ava_lafiole
Toujours seule (elle soupçonnait que LaResquille se soit carapaté devant la foule), elle traina ses savates vers la salle de réception. En "bonne" cuisinière, la gosse apprécia d'un frétillement du nez les effluves de viandes et d'épices.
Sans attendre qu'on lui propose, elle s'appropria une bouteille entière de rouge et s'en nettoya le gosier.

Elle éviter tout ce qui pouvait ouvrir la bouche avec élégance... c'est à dire le reste des invités.Ils lui auraient posé des questions qu'elle n'aurait pas complètement compris, alors autant esquiver.

Une cuisse de coq lui faisait de l'oeil. Un paté de chépakoi lui mettait l'eau à la bouche. Si elle ne savait toujours pas pourquoi elle avait accepté l'invitation, elle avait la réponse devant les yeux.

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La.resquille
Une main ferme s'abattit sur l'épaule de la chapardeuse.

- Prise !

Oui bon, elle était invitée mais La Resquille comptait bien sur les vieux réflexes pour la mettre en panique se méfiant toutefois des retours possible de manivelle.

- Ben toi alors.. t'y vas pas avec l'dos d'la main morte !

Le môme louchait sur la boutanche de gros rouge sur laquelle Ava avait porté son choix. Il la regardait du coin de l’œil avec ce qui pourrait s'apparenter à du respect teinté d'admiration. Il l'avait vu faire la haie d'honneur, dans son uniforme flambant neuf et y'a pas à dire, elle avait fière allure. Pour sûr il ne le lui dirait pas se contentant d'un :

- C'est donc vrai qu't'est un chevalier. Va pas t'croire sortie d'la jambe à Jupiter avec moi., hein. L'chef chez encore moi.


L'énoncer à haute voix lui permettait encore d'y croire, bien qu'il en doutât fortement.

- Bon j'aide à déménager quelques vivres. On pourrait aller s'installer là-bas, tranquillou sous un arbre. On surveill'rait comme qui dirait tout ce p'tit monde.

Et de soustraire un pâté de faisan, une miche bien dorée qu'il cala sous son bras histoire d'optimiser sa capacité de portage, un demi poulet et une seconde bouteille de vin.

- Allez rapplique, on r'viendra pour l'dessert.

A les voir si malingres, on se demandait bien où ils allaient pouvoir mettre tout ça. C'était sans compter sur leur bonne volonté....
Ava_lafiole
La Resquille n’y était pas allé de main morte lorsqu’il avait aplati sa paume sur l’épaule de LaFiole. De surprise, la gosse avait failli laisser échapper un juron et sa bouteille de vin. Pour sûr, ça aurait fait mauvais genre, des bris de verre sur le sol et plein de vin tâchant les robes des cocottes de la noblesse.

Ni vu, ni connu, voilà qu’ils se faufilaient en douce, victuailles dans les bras. Et tant pis pour les fanfreluches et les parlottes à n’en plus finir pour « se montrer ». Ava préférait regarder de loin et commenter :


Celle-là…

Elle pointe du bout de la miche de pain une jeune noble :

… j’la marmitonnerais bien comme une dinde. Elle a des bras ben grassouilles, et dirait ben qu’elle caquète fort d’vant le beau monde.

Ricanement de fille, qui secrètement, aimerait bien avoir l’assurance des belles demoiselles. Mais trop lucide sur sa propre apparence, elle préférait prendre cette injustice avec bonne humeur.

Et l’aut’ là….

Elle mâchouille à la va-vite une grosse bouchée de viande, ça déborde de sa bouche, et gonfle ses joues comme celles d’un écureuil.


J’te parie que c’est pas sa vraie tignasse. Il a du se coller sur le caillou ce qu’il a rasé à son molosse. S’il pleut, il va sentir le cabot mouillé.

Ava se sentait bien, là, à l’abri des regards, goulot se vidant dans le bec et ventre grondant de plaisir. Elle jeta un coup d’œil à LaResquille qui s’en mettait lui aussi plein la panse.

A manger tout ça, vont s’faire mal au bide.

Elle ouvre sa veste de l’Ordre où une petite dizaine de mini-fioles se trouvaient suspendus à de petites cordelettes.

Et si on leur vidait les tripes après l’festin pour leur éviter les crampes de fin de fête ? Un peu de celle-là dans un tonneau…

Petite moue de LaFiole qui a beau se creuser la nénette, ne sait plus ce qu’elle a bien pu mettre dedans : de l’anguille ? du mouton avarié ?

Et c’teu fiolette, elle f’ra qu’ils auront pas à cuver leur vin. « Pas de maux d’crâne avec d’la pisse d’âne », ça attire les foules, hein ?

Fière de son idée, elle se lève et fait mine à LaResquille de se faire le plus discret possible.

Ca s’ra mon cadeau d’noces ! lui souffla t’elle avec grande fierté et sans aucune appréhension des effets indésirables de ses recettes curatives.
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Coligny.
Le repas avançait à son rythme, lentement, dans les rires et les éclats de voix. La musique battait son plein. Quelques jongleurs vinrent faire un numéro sous le brouhaha des bavardages autour des tables. Les mariés étaient à l'honneur et Col les imaginait à se tenir la main sous la table. Ils devaient avoir hâte de se retrouver seuls ces deux là.

Col but plus que de raison. Il tenait bien l'alcool comme le vieux baroudeur qu'il était, habitué à écumer les tavernes. C'était jour de fête. Il mangea aussi plus que de raison, aidé par l'ambiance. Il rompit son repas pour sortir un instant et récupérer un petit paquet dans ses fontes. Il revint quelques minutes pour se rendre face aux mariés et posa le paquet sur la table.


- C'est pour vous. Je l'ai sculpté dans un bois des îles.


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Dacien_de_chenot


Le repas se poursuivait dans une humeur festive rythmée par les ménestrels et saltimbanques mandés pour l'occasion. Beaucoup profitaient de la clémence du temps pour s'installer à l'ombre d'arbres séculaires. Certains y avaient même élu domicile...

Souvent le chevalier s'inclinait vers l'oreille de sa femme et glissait quelques mots à moins que ce ne fut un baiser. Il avait fallu se plier à la tradition et ouvrir le bal. Rondes et saltarelles s'étaient enchainées entre les plats et les desserts et même les plus enthousiasmes goutaient maintenant à un peu de repos tout en dégustant gâteaux et entremets.
C'est le moment que choisit Coligny pour leur offrir son présent de mariage. Le chevalier fit glisser la statuette du papier de soie et admira longuement l'objet de belle facture. C'était manifestement du bel ouvrage et la finesse de la sculpture le surpris et le charma.

- Je te remercie, mon ami, c'est une superbe sculpture qui ornera magnifiquement la cheminée de notre séjour. Voilà un cadeau de mariage qui ne s'envolera pas, ajouta t-il sur un éclat de rire en songeant à ce titre de baron que lui avait offert son oncle pour le lui retirer le jour suivant "parce que sa femme n'était pas gentille avec la sienne". Puéril autant que stupide. D'autant, qu'on le sait, le chevalier ne courait pas après les titres. Mais cette manière de faire lui rappelait sa mère et sa soeur qui octroyaient des titres afin d'acheter les gens. Ils en avaient beaucoup ri entre amis et s'il regrettait de voir que son oncle se faisait manipuler, il était fort heureux d'avoir ouvert les yeux et de s'être dédouaner de cette prison dorée où l'honneur ne tenait pas parole.

Le chevalier profita de l'occasion pour remettre une petite clef de fer forgé à son ami et homme de confiance.
La veille, il lui avait remis un coffre rempli d'écus d'or, qui représentaient une petite partie de son immense fortune.

- Nous partons en mission. Ceci devra servir pour d'éventuelles élections impériales si elles ont lieu en notre absence. Tu sais quoi faire. Je compte sur toi.


Une longue retraite interdisait à Coligny de suivre l'Ordre dont il restait en marge tout en greffant ses pas à ceux du chevalier, aussi ce dernier, sachant l'Empereur gravement souffrant depuis de longues semaines, ne voulait pas compromettre, par une longue mission, sa chance de voter si élection il y avait.
Il savait pouvoir compter sur Coligny.

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Coligny.
Le cadeau plaisait et le sourire de Dacien comme ses remerciements lui allèrent droit au coeur. Col prenait une mine de conspirateur racontant que bien des fois il avait fait croire qu'il sculptait Ronce alors qu'il préparait le présent pour le jeune couple. Tout ça en partageant quelques bières en taverne.

- Heureux que cela vous plaise.

Il leva son verre vers le couple avec un petit signe de tête et but à leur bonheur. C'était le... il ne se souvenait plus combien de verre il avait déjà ingurgité. Mais assez pour lui avoir un sourire un peu étrange sur les lèvres. Ce mariage n'était pas une simple union. Pas sure que l'assemblée ici présente ne le comprenne un jour. Ce ne serait pas le seul secret que les amis partageraient. Bien des mots avaient été dits et bien des lieux avaient été parcourus pendant lesquels les deux hommes se soutenaient. Le plus souvent par des regards et des attitudes que par des mots d'ailleurs.

Et encore en ce jour, Dacien lui avait confié une tâche particulière. Le coffret remis la veille était en lieu sure et bien plein. De beaux écus d'or. Un trésor qui pourrait bien changer la face politique de l'Empire. Ce n'était pas rien. Coligny s'en rendait bien compte. Son ami lui avait donné les instructions qui allait avec cet argent. Si eux partaient, lui serait bien là et le jour J, agirait en conséquence. Rien ne pourrait l'en empêcher. Sa vie de solitaire, loin de tout engagement militaire ou politique, lui conférait la possibilité d'agir comme il l'entendait. Et il comptait bien le faire.


- J'ai bien compris vos instructions, Dacien. Le jour J, je serais là et ferais mon devoir.

A l'entendre, on aurait presque cru qu'il avait une mission digne des plus grands espions de l'Empire. C'était presque ça. Même sous la torture, il ne dirait pas où cet or se trouvait et encore moins quel serait son usage.

- Je partirais après la remise du cadeau à Alexander. Dès le lendemain.

Il regarda derrière lui et vit quelques filles danser.

- Mais pour l'heure, je compte bien fêter votre union jusqu'à la fin de la nuit.


Il posa son verre et attrapa le bras d'une danseuse pour la faire tourner et tourner avec elle. Elle se mit à crier, puis à éclater de rire, tandis que Coligny la soulevait du sol et en prenait une autre sous son second bras pour les faire tourner et danser avec elle.

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Naurestel_de_grimaud
La jeune femme s'était assise à une table, son gros ventre lui interdisait d'être debout trop longtemps. Aussi, elle observait les festivités, un sourire aux lèvres, elle saluait parfois une lame qui passait par là. Elle ne connaissait personne des familles des chevaliers. Tout allait de bon train. Elle vit Ava qui s'était doucement éclipsée avec la Resquille. Elle avait entrevue ce jeune homme brièvement lors des préparatifs. Inconsciemment, elle prit la main de son mari et lui sourit. Ce geste si simple était pourtant bien rassurant. Elle sentit alors le bébé bouger dans son ventre et poussa un petit «aïe» surpris. Elle se massa le ventre avant de commencer à manger. Pour le moment tout le monde était plongé dans les festivités.

Alors qu'elle mangeait, et qu'elle s'efforçait au calme, elle vit Coligny offrir une magnifique sculpture aux mariés. Puis après quelques mots échangés qu'elle ne pouvait pas entendre vu la distance et le brouhaha, ce dernier se mit à danser avec les femmes. C'était dommage que sa grossesse soit si avancée, elle devait restée calme, ne pas se surmener, ce n'était pas le moment de créer un émoi.

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Chaplume
Elle avait fini par rejoindre les autres dans la salle de réception. Ça avait été une belle cérémonie de mariage et à présent les invités profitaient du buffet et de la fête. Elle se tenait dans un coin, et observait la foule, comme elle le faisait souvent dans ce genre de réception. Elle n'était guère à l'aise avec les mondanités mais savait s’adapter à la situation.
Elle vit Coligny offrir son cadeau aux mariées et se dit que le moment des cadeaux était sans doute venu.

Aussi elle profita d'un moment où Dacien et Elektra n'étaient pas en conversation avec quelqu'un pour s'approcher d'eux.


Félicitations à vous deux et tous mes vœux de bonheur. J'ai un petit quelque chose pour vous. Vous le trouverez en rentrant tout à l'heure. Ce n'est pas grand chose mais j'espère que vous saurez en faire bon usage.

En effet , le cadeau les attendait dans leurs appartements : quelques rouleaux de tissus légers qu'elle avait fait venir de ses fournisseurs.

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