Aeglos.
Trois jours? Mais elle se moquait de lui là ou quoi? Il avait envie de grogner, de lui dire qu'elle aurait pu le prévenir plus tôt, qu'il aurait fait apporte des vivres plutôt que de l'alcool. En fait, elle aurait même du le dire en entrant dans le château, sans attendre qu'il la reçoive! C'était su sur ces terres que l'Aumalien veillait à ce que ses gens en souffrent jamais de la faim. Ça avait peut être un coût, mais il voulait s'assurer une fidélité parfaite de ses gens, ce qui, pour lui, n'avait aucun prix. Alors, pourquoi ne pas prévenir plus tôt, informer plutôt que de rester ainsi à souffrir de la famine? Il allait lengueuler, grogner pour faire comprendre qu'elle aurait du prévenir plus tôt quand il se rappela qui elle était. Elle était une inconnue, perdue, apeurée et orpheline, comment aurait elle pu connaitre les habitudes ou le caractère du duc? Il laissa échapper un soupire comme toute réponse, ne préférant pas poursuivre car son esprit commençait déjà à trouver un coupable, à savoir un notaire qui allait entendre parler de la colère d'un Bressey. Pourquoi cet imbécile ne lui avait pas donné au moins de quoi manger pour la route! Ses yeux étaient brillants de colère, et juste avant d'entrer dans la grande salle, il interpella l'un des gardes et lui glissa quelques mots pour Leona, elle devait être mise au courant de la situation et envoyer une réponse très clair au notaire, l'on ne joue pas avec les siens. Ordre transmis, il put passer à la suite histoire de calmer la colère qui lui avait pris les sangs, après tout, il ne voulait pas que la blondinette le vois ainsi, de plus, cette colère était en partie présence pour cacher un sentiment de culpabilité pour ne pas avoir été un meilleur hôte.
Mais, ce point gênant était passé et d'après ce qu'il en voyait, la jeune femme semblait aller mieux, dans le sens ou déjà, il n'entendait plus son ventre, mais elle abordait maintenant un léger sourire. Par contre, il eut quand même un doute sur sa santé mentale, pourquoi donc essayait elle tout les sièges avant d'en choisir un? Avait elle mal au séant après avoir été dans une calèche toute la journée? Il faut dire que ce moyen de transport est de loin très inconfortable et que le cheval est bien mieux, en tout cas, c'était l'avis du duc, mais quand même. Ou alors cherche elle le meilleur, ce qui n'a pas vraiment de sens car ils sont tous les mêmes. Il aborda un air perplexe devant la scène que semblait jouer la jeune blonde, ce demandant si elle allait finir par sarrêter. Finalement, elle sembla en choisir un et s'asseoir, pour de bon, dessus. Il faudrait qu'il vérifie et fasse surveiller, pour voir si elle avait d'autres troubles, se qui expliquerait peut être pourquoi ses parents ne la laissaient pas sortir. Auquel cas, il lui chercherait un médecin, mais, il ne se faisait pas vraiment d'illusion, les maladies de l'esprit son incurable ou presque. Enfin, après tout, il se faisait peut être du mourons pour rien et c'était simplement une lubie de jeune femme, allez savoir.
Ce fut finalement la réponse à ses propos mit tentateur, mi rassurant qui firent s'étirer un nouveau sourire sur le visage de l'Orkney, un sourire joueur et amusé car la demoiselle semblait vouloir jouer dans une autre cour, ainsi soit il. Les yeux du Bressey, brillants d'une légère étincelle avide observèrent la jeune femme en face de lui, cherchant à savoir à quel point elle le testait, cherchant à comprendre et découvrir l'esprit de celle qui lui faisait face. De quel bois était elle fait? Aurait elle le cran de le défier, devait il au contraire la faire tourner en bourrique, ce jouer d'elle, la pousser dans ses retranchements? Était elle au contraire encore trop fragile pour ce genre de jeu, emportée plus loin qu'elle ne l'aurait voulu par une innocence juvénile, auquel cas il devrait être doux et conciliant, guidant petit à petit le mouton dans son troupeau tel un berger attentionné. Malheureusement, il ne put obtenir toutes les réponses nécessaire à la prise de décision. Il jouait sur une corde tendue et une mauvaise décision pourrait tout gâcher, à la fois son jeu, mais aussi leur relation familiale naissante, quelque soit le cas, il devait être sur avant de poursuivre. Il faudrait qu'il la pousse un poil plus loin pour savoir sur quel pied danser avec elle, et elle venait, d'une certaine manière, de lui en donner la possibilité.
L'Orkney, après que la Bressey eu finie de parler, ce leva et fit le tour de la table afin de ce trouver devant elle et l'invita d'un signe de main à ce lever et le suivre, son sourire toujours aux lèvres, malicieux.
Absolument pas, comme je vous l'ai dis, vous êtes chez vous ici. De toutes manières, si un homme essaye de poser la main sur vous ici, il se fera ouvrir en deux par l'une de mes gardes, vous ne risquez donc rien.
Cependant, il n'avait pas très envie qu'elle fasse ça en pleine grande salle. Non pas qu'il craignait les ragots, il avait confiance en ses gens, mais surtout car il n'avait pas envie qu'elle soit mal vue avant même d'etre connue, d'autant plus que quelques hommes ce trouvaient dans la salle, occupaient à leurs affaires certes, mais pareil spectacle attirerait sans nul doute leur attention. Et l'Orkney aimait la discrétion, il rusa donc pour ce sortir de la situation.
Cependant, j'aimerais que nous passions aux étages, histoire d'avoir le temps de finir les impératifs avant de passer au repas, aussi, si vous pouviez évité de faire ça de suite, cela m'arrangerait. Que nous ne perdions pas de temps.
Il avait remarqué le trouble de la demoiselle lorsqu'il était passé au tutoiement. En réalité, c'était un oublie de sa part et il ne l'avait pas fait exprès. Pour autant, joueur, sur beaucoup de tableau ce jour, il eut envie de poursuivre dans la lancée pour la mettre un peu plus mal à l'aise, non pas par lourdeur, juste pour, à nouveau, la tester, la connaitre et la comprendre. Elle était de son sang, mais restait un trop grand mystère pour lui, et la seule chose que l'Orkney aime des mystères, c'est quand il les résout, détestant tout bonnement rester dans le flou et l'inconnu. Il se retourna donc sur elle après quelques pas, et lâcha, presque innocemment.
Au fait, vous pouvez m'appeler Aeglos, votre Grasce serait de trop entre nous. Je suis peut être duc, mais nous sommes cousins, laissons un peu de coté le protocole en privé.
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Mais, ce point gênant était passé et d'après ce qu'il en voyait, la jeune femme semblait aller mieux, dans le sens ou déjà, il n'entendait plus son ventre, mais elle abordait maintenant un léger sourire. Par contre, il eut quand même un doute sur sa santé mentale, pourquoi donc essayait elle tout les sièges avant d'en choisir un? Avait elle mal au séant après avoir été dans une calèche toute la journée? Il faut dire que ce moyen de transport est de loin très inconfortable et que le cheval est bien mieux, en tout cas, c'était l'avis du duc, mais quand même. Ou alors cherche elle le meilleur, ce qui n'a pas vraiment de sens car ils sont tous les mêmes. Il aborda un air perplexe devant la scène que semblait jouer la jeune blonde, ce demandant si elle allait finir par sarrêter. Finalement, elle sembla en choisir un et s'asseoir, pour de bon, dessus. Il faudrait qu'il vérifie et fasse surveiller, pour voir si elle avait d'autres troubles, se qui expliquerait peut être pourquoi ses parents ne la laissaient pas sortir. Auquel cas, il lui chercherait un médecin, mais, il ne se faisait pas vraiment d'illusion, les maladies de l'esprit son incurable ou presque. Enfin, après tout, il se faisait peut être du mourons pour rien et c'était simplement une lubie de jeune femme, allez savoir.
Ce fut finalement la réponse à ses propos mit tentateur, mi rassurant qui firent s'étirer un nouveau sourire sur le visage de l'Orkney, un sourire joueur et amusé car la demoiselle semblait vouloir jouer dans une autre cour, ainsi soit il. Les yeux du Bressey, brillants d'une légère étincelle avide observèrent la jeune femme en face de lui, cherchant à savoir à quel point elle le testait, cherchant à comprendre et découvrir l'esprit de celle qui lui faisait face. De quel bois était elle fait? Aurait elle le cran de le défier, devait il au contraire la faire tourner en bourrique, ce jouer d'elle, la pousser dans ses retranchements? Était elle au contraire encore trop fragile pour ce genre de jeu, emportée plus loin qu'elle ne l'aurait voulu par une innocence juvénile, auquel cas il devrait être doux et conciliant, guidant petit à petit le mouton dans son troupeau tel un berger attentionné. Malheureusement, il ne put obtenir toutes les réponses nécessaire à la prise de décision. Il jouait sur une corde tendue et une mauvaise décision pourrait tout gâcher, à la fois son jeu, mais aussi leur relation familiale naissante, quelque soit le cas, il devait être sur avant de poursuivre. Il faudrait qu'il la pousse un poil plus loin pour savoir sur quel pied danser avec elle, et elle venait, d'une certaine manière, de lui en donner la possibilité.
L'Orkney, après que la Bressey eu finie de parler, ce leva et fit le tour de la table afin de ce trouver devant elle et l'invita d'un signe de main à ce lever et le suivre, son sourire toujours aux lèvres, malicieux.
Absolument pas, comme je vous l'ai dis, vous êtes chez vous ici. De toutes manières, si un homme essaye de poser la main sur vous ici, il se fera ouvrir en deux par l'une de mes gardes, vous ne risquez donc rien.
Cependant, il n'avait pas très envie qu'elle fasse ça en pleine grande salle. Non pas qu'il craignait les ragots, il avait confiance en ses gens, mais surtout car il n'avait pas envie qu'elle soit mal vue avant même d'etre connue, d'autant plus que quelques hommes ce trouvaient dans la salle, occupaient à leurs affaires certes, mais pareil spectacle attirerait sans nul doute leur attention. Et l'Orkney aimait la discrétion, il rusa donc pour ce sortir de la situation.
Cependant, j'aimerais que nous passions aux étages, histoire d'avoir le temps de finir les impératifs avant de passer au repas, aussi, si vous pouviez évité de faire ça de suite, cela m'arrangerait. Que nous ne perdions pas de temps.
Il avait remarqué le trouble de la demoiselle lorsqu'il était passé au tutoiement. En réalité, c'était un oublie de sa part et il ne l'avait pas fait exprès. Pour autant, joueur, sur beaucoup de tableau ce jour, il eut envie de poursuivre dans la lancée pour la mettre un peu plus mal à l'aise, non pas par lourdeur, juste pour, à nouveau, la tester, la connaitre et la comprendre. Elle était de son sang, mais restait un trop grand mystère pour lui, et la seule chose que l'Orkney aime des mystères, c'est quand il les résout, détestant tout bonnement rester dans le flou et l'inconnu. Il se retourna donc sur elle après quelques pas, et lâcha, presque innocemment.
Au fait, vous pouvez m'appeler Aeglos, votre Grasce serait de trop entre nous. Je suis peut être duc, mais nous sommes cousins, laissons un peu de coté le protocole en privé.
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