Jenifael..luna
- Pas besoin dattendre cinquante ans pour fêter des noces dor. On les célèbre déjà le jour où lon épouse une riche héritière.
Terminée le mariage, tous les deux, sont entré dans la chambre principale du palais, celle-là était un large séjour, un grand lit occupait le centre du lieu, il s'agissait d'une structure de bois, dans lequel on trouvait taillés les blasons des fiefs et famille d'Asdrubal, avec quatre piliers de bois qui terminaient dans un ciel de lit dont ils baissaient les draps, sur le lit le matelas se trouvait et plusieurs coussins. Avec le lit, dans les deux côtés de cette dernière, il y avait deux tables de petite taille, sur elles il y avait deux candélabres d'argent qui illuminaient la chambre. Dans un des coins il y avait une table et une chaise, aussi de bois taillé, dans laquelle celui d'Olite travaillait dans les affaires la Héraldique.
Le reste du séjour était décoré par plusieurs tableaux, dans lesquels on montrait plusieurs des importants événements arrivés en ces temps, un qui comptait la défense de Burgos face à l'envahisseur aragonais, un autre, l'invasion les Catalans au royaume d'Aragon. Le sol était couvert par un grand tapis rouge, brodé dans doré et noir.
La jeune femme soupira. Le mariage était fini, la fête avait battu son plein, les cadeaux foisonner et maintenant, il fallait prendre son courage à deux mains, quel courage exactement ? Voilà que la jeune fille ne voulait plus, elle voulait faire demi-tour, s'éloigner, fuir en hurlant. Pourtant, elle était tétanisée, là, sur place. Pendant que sa femme de chambre, la débarrassait de ses vêtements de mariage, pour quitter la jeune fille qui revêt seule une fine chainse et sa robe de chambre. Puis elle revint et se mit à alors à piailler en coiffant sa tignasse de boucles et d'ondulations insolentes pour les démêler. Elle ajouta un peu d'essence parfumée à la violette dans le cou de la jeune mariée qui sortait d'un bain assez froid. L'été étais chaud et la fillette avait encore du mal à le supporter. Puis l'inspiration est faite, alors que dans son esprit, s'impose sa conversation eue avec Axel, lui détaillant le déroulement d'une nuit de noces. Puis c'est l'heure. C'est l'heure pour la jeune femme de se rendre dans la chambre du Castillan qui serait leurs chambres nuptiales. La porte est ouverte et pour détourner son esprit de l'angoisse qui lui tord le ventre, elle pose les olivines sur le décor, le tapis, les tableaux, les blasons incrustés dans le bois, jusqu'au lourd retour à la réalité. Sa femme de chambre qui l'a suivie, lui tend une coupe de vin rouge, que la jeune fille bois d'un coup, affiche une grimace après. Pour se donner du courage d'après Axel. Elle en avait bu au cours du repas déjà, mais cette dernière coupe, lui permettrais de s'échapper correctement. Elle s'avance vers le lit, peur au ventre et hésite à agir, que doit-elle faire ? Elle prend la décision de quitter sa robe de chambre et d'attendre. Comment réagirait le Castillan? Comment se comportera-t-il ? Toutes ces questions qui se bousculent dans l'esprit Castelnaudien ne font que tordre ses entrailles de plus en plus, la femme de chambre, prend la parole avant de sortir.
"- Madame, je pense que vous pouvez vous asseoir. "
Et celle-ci disparut, alors que la jeune fille s'exécuta, hésitante, toujours. Assise sur le lit et attendant l'arrivée d'Asdrubal, se tordant les mains.
[ES]
" No necesidad de esperar cincuenta años para celebrar bodas de oro. Ya los(las) celebramos el día en que nos casamos con una heredera rica. "
Acabando el matrimonio, los dos, entraron en el cuarto(cámara) principal del palacio, ésa era una estancia ancha, una gran cama ocupaba el centro del lugar, se trataba de una estructura de bosque(madera), en el cual se encontraba tallados los blasones de los feudos y la familia de Asdrubal, con cuatro pilares de bosque(madera) que acababan en un dosel el que bajaban las sábanas, sobre la cama el colchón se encontraba y varios cojines. Con la cama, en ambos lados de esta última, había dos mesas pequeñas, sobre ellas había dos candelabros de dinero(plata) que iluminaban el cuarto(cámara). En una de las esquinas(rincones) había una mesa y una silla, también de bosque(madera) tallado, en la cual el de Olite trabajaba en los asuntos(negocios) la Heráldica.
El resto de la estancia fue decorado por varios cuadros(tableros), en los cuales se mostraba varios de los acontecimientos importantes llegados en estos tiempos, uno que contaba la defensa de Burgos frente al invasor aragonés, otro, la invasión los catalanes con reino de Aragón. El suelo fue cubierto por una gran alfombra roja, bordado(adornado) en dorado y negro.
La joven mujer suspiró. ¿ El matrimonio estuvo acabado, la fiesta había pegado(batido) su lleno, los regalos abundar(crecer) y ahora, había que sacar fuerzas de flaqueza, cuál coraje exactamente? Ya la joven chica no quería más, quería volverse, alejarse, huir gritando(aullando). Sin embargo, fue tetanizada, allí, en el mismo lugar. Mientras que su mujer de cuarto(cámara), la quitaba(liberaba) sus trajes(ropas) de matrimonio, para dejar a la joven chica que reviste sólo un aguardiente fino chainse y su bata. Luego le volvió y se echó a entonces a piar peinando sus greñas de rizos y de ondulaciones insolentes para desenredarlos(discernirlos). Añadió un poco de gasolina(esencia) perfumada a la violeta en el cuello de la joven novia que salía de un baño bastante frío. El verano era caliente y la niña todavía tenía dolor de sostenerlo(soportarlo). Luego la inspiración es hecha, mientras que en su espíritu, se imponga su conversación tenido con Axel, detallándole el desarrollo de una noche nupcial. Luego es la hora es la hora para la joven mujer de ir(rendirse) al cuarto(cámara) del Castellano que sería sus cuartos(cámaras) nupciales. La puerta es abierta y para desviar(volver) su espíritu de la angustia que le retuerce el vientre, pone el olivines sobre el decorado, la alfombra, los cuadros(tableros), los blasones incrustados en el bosque(madera), hasta la vuelta pesada a la realidad. Su mujer de cuarto(cámara) que le siguió, le tiende(alarga) una copa(corte) de vino tinto, que la joven chica bosque(madera) de un golpe, fija una mueca después. Para darse el coraje según Axel. Lo había bebido en el curso de la comida ya, pero esta última copa(corte), le permitiría escaparse correctamente. ¿ Se adelanta hacia la cama, miedo en el vientre y vacila en actuar, que debe hacer? Toma la decisión de dejar su bata y de esperar. ¿ Cómo reaccionaría el Castellano? ¿ Cómo se comportará? Todas estas cuestiones que se atropellan en el espíritu Castelnaudien sólo retorcer sus entrañas cada vez más, la mujer de cuarto(cámara), toma la palabra antes de salir.
" - señora, pienso que usted puede sentarse. "
Y ésta desapareció, mientras que la joven chica cumplió la orden, vacilante, siempre. Sentada(fundada) en la cama y que espera la llegada de Asdrubal, se retuerce las manos.
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