Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2   >>

[RP] Hôtel de la maison Castelmaure ... II

Ivanne
Le sourire d'Ivanne était véritable. Avoir le visage de la jeune Castelmaure envers lui, c'était une chose pas croyable pour elle; en fait, il y a quelques ans, ça ne soit pas possible pour les deux dames. La relation d'amitié entre elles deux avait commencé de façon inusuel, avec une prétentieuse Josselinière en parlant de mariage et une stricte Castelmaure ayant répondu à les provocations de la blonde avec impolitesse. Maintenant, elles étaient amies, au moins, ça pourrait être le commence d'une véritable amitié, marquée pour les rapports de vassalité et de famille.

- « Vous êtes aussi magnifique, comtesse. J'aime bien votre classe. » -Dit-elle, après de lui donner un baiser à la joue. C'est le salut de l'haute société!

L'odeur à l'entrée du Hôtel était fraîche mais douce, un mélange pour les sens qui rêlachait la duchesse avant de remarquer les couleurs des murs et meubles qui habillaient le vide du salon. Bleu royal ainsi que le blason de la France, raison pour quoi il était appellé bleu français pour ceux qui parlaient l'espagnol; fleurs blanches, qui donnaient l'odeur à la chambre, plus la délicate sensualité du noir du salon où elles étaient déjà. C'était le rendez-vous plus sophistiqué où Ivanne était jamais, garni d'un modéré nourriture et la vapeur de l'alcool de la boisson qu'une domestique les servait.
Assises aux confortables fauteuils du salon, l'Infante de Josselinière prenait le verre, bien qu'elle voulait manger. Fatiguée pour le long voyage, le chemin le produisait avoir la faim qui lui caractérisait bien; c'était pour quoi Ivanne avait toujours chez elle des macarons cuisinés par la cousinère italienne embauchée l'antérieur voyage à l'Empire, et qui avait décidée aussi vivre à la Castille avec elle, en voyant la bonne vie qu'elle aurait à les cuisisnes d'une noble madame espagnole. C'était un des plusieurs caprices de la blonde française, ainsi qu'habiller très riche était son préferé. Mais, pour cette fois, elle ne prenait pas aucune repas, seulement pour ne pas scandaliser sa hôtesse.

Jenifaël, de tout façon, savait bien pour quoi Ivanne était là. C'était pas seulement une question diplomatique, mais une question de comodité aussi. Se loger à la Cour française, là où les diplomatiques étaient, c'était utile pour les ambassadeurs et ambassadrices, mais se loger à l'hôtel d'une maison royale était plus confortable et pratique: pour le corps mais pour s'informer des mouvements de la noblesse française aussi. La véritable information n'etáit pas à les palais.


- « Le temps passe inexorable. Mais je vous vois parfait. Sa Grandeur supporte bien le mariage et ses inconvénients. -Il était aussi une façon de commencer le dialogue entre les femmes, de favoriser la confiance Castelmaure-Josselinière.- Avez-vous pensé quand venir? Je rappelle encore ma promesse de vous aider dans votre adaptation aux usages castillannes. »
_________________
Jenifael..luna
    [FR]

    Elle observa Ivanne, se doutant de la question qui venait de se poser. Sur le moment où elle irait en Castille, alors prudente, elle répondit, car elle avait réfléchit à cette question et à sa solution.

    "- Je pensait venir bientôt, vu que j'ai démissionné de la garde-robe, après avoir été rétrogradée. J'aimerais également proposer à Asdrubal de venir à La Buisse, le pays Voironnais durant l'hiver, avec son immense manteau blanc ... c'est magnifique. "

    Elle attrapa l'une des denrées présentes et grignota, car elle aimait manger en dehors des repas. Il s'agissait d'une tartine de pain tartiné de perles noir de tapenade. Elle croqua dedans avec délice, le plateau était entre les deux femmes et chacune d'elles pouvaient se servir.

    "- Quant au mariage, ma foi, nous avons passé deux semaines ensemble, en étant marié, Asdrubal est patient, gentil et attentionné, voilà qui aide vu mon caractère ... "

    [FR]

    Observó a Ivanne, sospechando la cuestión que acababa de ponerse. Sobre el momento cuando iría a Castilla, entonces prudente, respondió, porque tenía reflexiona sobre esta cuestión y sobre su solución.

    " - yo pensaba venir pronto, visto que dimití del guardarropa, después de haber sido degradado. También me gustaría proponerle a Asdrubal venir a Buisse, el país Voironnais durante invierno, con su abrigo inmenso y blanco es magnífico. "

    Cogió uno de los productos presentes y royó, porque le gustaba comer aparte de las comidas. Se trataba de una rebanada de pan de pan untado con perlas negra de condimento a base de aceitunas. Cuscurreó dentro con delicia, la bandeja(plató) era entre ambas mujeres y cada una de ellas podían servirse.

    " - en cuanto al matrimonio, a fe mía, pasamos dos semanas juntos, estando casado, Asdrubal es paciente, gentil y atento, he aquí que ayuda visto mi carácter... "
Ivanne
Ivanne regardait la comtesse, avec surprise. Asdrubal, gentil et attentionné? Bon, patient, ça peut être.

- « Vous serez bienvenue chez moi, vous savez. Mais pour le temps je vous vois bien ici, c'est vrai. N'avez vous pas hâte en venir, c'est mon mieux conseil. -Doucement, et en regardant que Jenifaël prenait quelque chose pour manger, la Josselinière fit le même, en écoutant aussi les plans que madame la comtesse eut pour leur mariage. Demander pour l'arrivée de la jeune Castelnau était une chose, et demander pour les enfants était une autre, de façon qu'Ivanne voulait parler seulement de la solitude avant d'accoucher. En fait, elle jalousait ce même de la jeunesse de la Montmiral. Ivanne avait treinte-cinq ans et avait accouché cinq fois déjà: un garçon né mort, un avortement, une fille morte à le septième mois et deux enfants vivants, Jean Germain de dix-sept ans et la petite Inés qui avait sept ans. Tout sa vie, même si elle ne voulait pas l'admettre, était une constante douleur et attente de bonnes nouvelles, de s'occuper d'une famille et servir la Couronne castillaine en qualité de noble dame. C'était n'être jamais seule, en parlant physiquement, mais de sentir la solitude à le coeur chaque fois que la vie se retournait en donnat le dos. - Il y a des fois que c'est dur, cette vie de mariée, mais pour le moment, prenez vous le temps pour vous aimer bien. Maintenant vous avez votre maison, votre chez, votre famille... et surtout, votre argent. Si mon vassal n'est pas là ou ici, vous avez le droit à gérer vos propriétés au nom de vous deux. Bon, vous savez déjà, vous pouvez faire ce que vous voulez lorsqu'il n'est ici ou vous n'êtes pas là. »

Un dernier sourire avant de prendre le verre.

- « Est-ce que va tout bien à la Cour, madame? Je vous ai écouté me dire que vous n'êtes pas plus de la garde-robe. C'est bizarre, en fait. Depuis je vous connais vous étiez membre. »
_________________
Jenifael..luna
    La question qui fâche ... Pourquoi, sont départ de la maison royale, alors la bouche, soudainement pâteuse, lourde, Castelnau répond.

    "- Vous avez eu un aperçu de mon caractère. J'ai été appeler d'urgence à la cours, pour exercer, alors que j'étaie sur les routes avec Asdrubal ... j'ai donc fait au plus vite, arrivant en France à demie-morte de fatigue, brûler par le soleil, assoiffé, inutile de vous dire que j'en ai fait une syncope. Puis ... À mon réveil, j'ai dû coudre la tenue de la reine, une semaine. Voilà le délai accordé. Et j'ai également une tenue pour les régents royaux, une tenue qui est offerte par la maison royale à chaque régents des provinces royales. Pour faire court, j'ai eu une semaine, pour coudre ces deux tenues, bien que je me suis fait aider de votre talentueux maître de garde-robe, Elène. Imaginez ma fatigue, après cette semaine. "

    Elle marqua une pause.

    "- La grand chambellan, m'ayant agacé ce jour, sur un sujet qui me tenait à coeur, essayant de me faire corriger des erreurs, qui n'étaient pas mienne, elle m'a humiliée, en me rétrogradant et en donnant mon poste à celle qui était ma maître de garde-robe. "


    Elle avala, bu un peu de vin et repris.

    "- C'est comme si l'on m'avait retiré l'uns de mes animaux, comme si l'on m'avait amputé d'un membre ou d'un enfant, elle m'a arraché le coeur, votre altesse. Mon cœur à saigner de longs jours, jusqu'à une décision, concernant mon amie Rosalinde, une décision que je n'approuvais pas et qui la révoquait de sa fonction, alors qu'elle tenait à son office, comme je tenait au mien. J'ai donc, décidé de partir, purement et simplement, dégoutté, fatiguée, blessée, humiliée et désormais emplit de haine. "

    L'œil est droit face à Ivanne.

    " - J'attends, désormais. J'attends la déchéance de l'office qui était mien, j'attends de le voir s’effondrer, j'attends que l'actuel grand chambellan soit remplacer et que je puisse m'investir de nouveau, dans la cours de France, qui me tenait à cœur, puisque je voulais simplement lui permettre de briller de mille feux, aux yeux des autres pays, je ne supportais plus les rois et reines mal fagotés. "

    Elle ajouta alors.

    "- Du coup, je me consacre à d'autres choses, notamment au mariage avec Asdrubal, je m'emploie à assimilée les caractéristiques des terres qui nous sont désormais commune et les subtilités de mon nouveau rôle. J'essaye également de renouveler ma garde-robe, qui est dans un triste état, pour une comtesse, je pense. Je suis néanmoins heureuse, d'avoir désormais une chance, de pouvoir, faire prospérer mon nom et mon sang. Je vous remercie, pour cela. "

_________________
Ivanne
Ivanne écoutait chaque mot de la comtesse, en faissant attention à ce qu'elle voulait dire aussi. Jamais, la Josselinière n'aurait pas écouté parler la comtesse autant. Il était vrai que Jenifaël avait un caractère complexe à traiter et qu'Ivanne lui avait connu en premier lieu par ce même, de façon que l'Infante ne pensait pas que les problèmes de la comtesse étaient si graves. Mais en écoutant, on comprendre les gens, et lorsqu'elle finit son discours, la duchesse de Nájera démontrait son stupéfaction.

Le silence faisait sa apparition avant que la castillaine commence à parler. Un silence tendu, où la blonde femme pensait quoi y dire. Il était pas facile pour elle: la femme de son vassal avait été humiliée, sans doute, mais l'Infante était une étrangère là en gérant les affaires de son royaume. Tout le monde a une opinion, ainsi qu'un cul. Mais il y a des culs qui sont embrassés, et des culs qui sont lancés d'un coup de pied.


- « C'est vrai que vous avez des raisons pour détester, mais n'avez-vous des manières pour démontrer l'erreur n'était pas à vous? Vous avez travaillé autant pour la France, et vous êtes d'une des Maisons Royales. C'est incroyable que vous ne pouvez pas solutioner le problème par des autres méthodes.

Même si vous vous sentez tellement humiliée. Vous n'êtes pas désormais une poupé, vous êtes une femme, la comtesse d'Haro. Donc pensez comme il faut. Qu'est-ce que la comtesse aurait fait lorsqu'elle voit son charge rebaissé? »


Ivanne attendait la réponse. Simple, confidente. L'infante castillaine sourit, en prend la main de Jenifaël.

- « Ne vous inquiétez pas, madame. Moi je sais bien que vous êtes intelligent, et pour la revenge, on a besoin avoir la tête à elle. Donnez vous le temps nécessaire, car le temps fait aussi son travail bien.

Pour le reste, vous n'avez rien à me remercier. Moi je veux seulement le mieux pour mon vassal, puisque ça serait le succès de sa suzeraine. Maintenant que vous êtes sa femme, je le veux aussi pour vous. Nous sommes une grande famille en vrai... Nous avons un nom à la Castille, le savez-vous? "Partido Santa Cruz".
-Rigolait-elle, mais avec un subtil trace d'irritation.- Il serait quelque chose comme une formation des gens de ma famille et vassals pour menacer le domaine royal. C'est absurde. Et ça m'ennuie.

Mais bon, on va l'enlever de l'importance. Pour votre garde robe, j'aimerais vous conseiller, si vous voulez. Est-ce que je peux confirmer que vous avez un gôut exquis? Je suis sûre que vous avez ici vos meilleures robes. »

_________________
Jenifael..luna
    Castelnau écouta avec attention Ivanne, avant de répondre. Celle-ci, ne semblait pas comprendre, que la jeune fille avait appris à obtenir revanche.

    "- Votre Altesse, sachez que j'ai décidé de ma vengeance déjà ... Je vous l'ai dit, j'attendrais. J'attendrais simplement le déclin de maison royale, qui viendra, tôt ou tard, par la faute du souverain, du grand chambellan, des officiers, ou autre, quelqu'en soit la raison, je m'en délecterais, car à ce moment là, tous, devrons travailler à de nouveau, remettre tout sur pied, et c'est ce qu'à été mon travail lorsque j'ai été nommée, j'ai du remettre sur pied, quelque chose que les gens avaient oublié et redonner envie aux gens de s'intéresser à tout cela et de travailler avec la maison royale. Ce fut un travail long et fatiguant, je l'ai fait en étant honorée au plus haut point. Voilà en quoi consistera ma vengeance. "

    Elle ajouta.

    "- De plus, comtesse ou non, votre ... Enfin, Yolanda, m'avait dit la chose suivante " Alors au prochain qui insultera votre lignée, gardez-vous bien de le laisser dire, ou alors retenez son nom pour que le jour venu, vous puissiez lui rendre au centuple. " "

    Et la jeune femme afficha un sourire, fier de se souvenir à la perfection des paroles de la blonde Gontière.

    "- Voyez ... Je tente d'appliquer ce que l'on m'enseigne. En permanence, même si mon caractère, souvent, me pose des difficultés. Quant aux robes, regardez le croquis que j'ai dessiné il y a quelques jours, j'espère pouvoir me le faire. "

    Elle tendit un croquis, somptueux, il fallait dire.

    "- Je n'ai pas que plus belles robes ici, j'ai toutes mes robes. Peut-être, souhaitez-vous les voir ? "

_________________
Ivanne
Sagement. Maman Josselinière parlait toujours sagement. Néanmois, Ivanne ne rappelait pas aucune mot d'elle; la blonde était si petite pour y comprendre les choses d'adultes, et en étant un bébé personne rappelle les premiers ans de vie. Tout qu'Ivanne savait d'elle, fut que Sa Grasse voulait lui donner une éducation de mademoiselle en lui adoptant aux pieds de la Sienne, à les rues de Paris, là où Florie lui lassait en pleurant des remords de mère. Cette fut sa vie, la vie qu'Ivanne eut en prenant son nom, celui ci qui lui facilita le prix qu'une noble maison donnait. Merci Yolanda Isabel! Le Très Haut vous garde! Même si elle ne sut pas son adoption jusqu'à il y a peu de temps.

Mais cette est une autre question.


- « Bien alors, gardez-vous bien de ceux qui vous faisent du mal. Votre époux sera à votre coté toujours, bien sûre. Moi même aussi. - L'Infante ajouta un sourire de plaisir. Lui écouter parler de la personne plus important de sa vie lui donnait de la joie, quoique elle regrettait ne savoir en plus de la duchesse de Châteu-Gontier. Avant de laisser que la peine lui saoulât, la comtesse lui donna le croquis d'une esquisse. Ivanne lui pritdans ses mains, en lui admirant.- Votre garde robe sera la meilleure de toute France bientôt, bien sûr. Je serais ravie aussi de les voir toutes! Peut-être que je prenne aucune idée pour la mienne... Maintenant que je suis à la France, je souhaite m'adapter à son style aussi, bien que la Castille et son roy possédent un sobre goût pour le noir. Mon époux le duc est toujours habillé très sombre. Moi j'aime la couleur, mais j'aime plus votre bleu royal. J'ai pensé m'habiller en beige et blanc pour le couronnement de la reyne, car je n'ai pas robes en cette couleur et il est nécessaire changer un peu.

Allons, donc! Montrez moi vôtres génials robes! »

_________________
Jenifael..luna
    Elle sourit et fit signe à Josselinière de la suivre. Elle ouvrit les malles, unes à une, chaque malle, devaient bien contenir cinq robes. Castelnau en ouvrit trois et Josselinière découvrit ainsi les robes de la jeune femme.

    "- Voilà. "

    Elle sourit.

    "- Le beige et blanc, devrait vous aller à ravir. Pour ma part, je suis habituée au noir, j'ai porté le deuil si longtemps, ma garde-robe est principalement noir et mauve à cause de cela. Depuis mon mariage, j'essaye de me familiariser avec les couleurs, mais quand le deuil est porté pendant plus de dix ans, c'est compliqué. "

    Elle observa quelques robes vertes qu'elle posséder.

    "- J'aime le vert, sinon. Que me conseillerez-vous, vous ? "

    Castelnau c'était assise par terre, face à la malle, telle une enfant. Son comportement était loin d'être celui attendu pour une comtesse et de loin, mais elle s'en fichait. La voilà retournée à son amour du tissu, comme lorsqu'elle était enfant et qu'avec Elizabelle, elles avaient supplié leur mère de leur obtenir des places pour la Semaine de la Mode de l'époque. Sans succès bien sûr. C'était une enfant, que Josselinière avait devant les yeux. Une enfant travestie en femme, mais une enfant tout de même.

_________________
Ivanne
Ivanne acquiesca, en souriant.

- « Le vert vous va bien, mais je pense l'argent vous ira mieux. Vous avez des cheveaux bruns, beaux, d'éclat roux, et je crois que l'argent soulignera votre beauté naturelle. -Donc elle, après, rigole.- Mon vassal aime bien l'argent, sûrement il aimera aussi que vous habillez à cette couleur. Il y a des passions qui déplacent des mondes...

En parlent des passions. Avez vous pensé à avoir des enfants? »


La question était simple, mais la réponse, sûrement, était compliquée. Mais la question arrivait sa tête lorsqu'elle regardait une des robes de Jenifaël, ceux petits vêtements que la comtesse avait habillé il y a temps. Quel dommage si la Castelnau n'avait pensé pas à les utiliser à nouveau!
_________________
Jenifael..luna
    La jeune femme resta silencieuse un instant, elle regarda sa co-suzeraine, avant de répondre, prudente.

    « - L'argent et le vert … mon blason est d'argent en majorité et je prends note … de votre sugestion quand aux goûts d'Asdrubal. »

    Elle n'ajouta rien de plus, laissant planer un silence, avant de prendre cette robe, minuscule, violette et or, que la Castelnau avait porté, enfant.
    « - Ma dame … J'y est pensé. Ai-je le choix, alors que nous avons signé un contrat de mariage avec Asdrubal, stipulant, que je doit lui fournir au moins un héritier … mâle. Et si nous faisons les choses comme il le faut, alors il en faudra deux. L'uns qui sera élever en Castille, suivant les principes Réformés, dans nos deux langues, surtout celle de votre vassal et qui héritera d'Haro et Avilà notamment. L'autre, sera élever en France, suivant les principes Réformé et Aristotélicien, dans nos deux langues, surtout la mienne et il portera mon nom, pour continuer ma lignée. Alors y penser, oui, votre Altesse royale, j'y est penser, je n'est d'autres choix, c'est le but du mariage, non ? »

    C'était une leçon, plus qu'autre chose, qu'elle venait de réciter, ne mentionnant pas plus à Ivanne, restant dans la logique froide qu'elle afficher lorsque la peur la prenait. Ici, il n'est pas question d'Asdrubal ou d'elle, de leurs ressenties, de leurs sentiments, de leurs façon de faire, non, il est question d'héritage, d'éducation et de nationalité.

    « - Et puis je me voit mal, vêtir mes héritiers de mes robes d'enfant ... »

    Dans l'hypothèse où deux garçons naîtraient d'affilés ...

_________________
Ivanne
- « Ah, bien! Vous êtes une femme de parole, donc, madame la comtesse. J'avais signé aussi des capitulations à mon époux mais je crois qu'on a renoncé... -Sourit-elle à nouveau, en prennat une autre robe, mais en lui laissant bientôt aux coffres où elle les trouva. Puis, elle guida sa main jusqu'à son ventre. La famille était le plus important trésor pour les Álvarez-Josselinière, qui étaient formé une parmi un bâtard reconnu et une fille adoptive inconnue, jusqu'à former un des plus célèbres et des craints lignages de tout la péninsule. C'était pour quoi Ivanne croyait qu'il était très précieux pour une femme se marier à l'homme adéquat, et la comtesse fut ce même. Asdrubal lui donnerait richesse, elle lui donnerait des enfants. Simple. - Je pense je trouverais mon époux bientôt à la frontière du Sacre Empire. Il est là, vous savez? Il est là à la place d'ambassadeur aussi. Cette famille a pour coutume y travailler toujours pour le royaume, même si nous nous trouvons loin chez nous. Mais les ambassades nous permettent y connaître nouvelles terres, ainsi que leur noblesse et autorités... Est-ce que voulez vous nous accompagner quelques jours de voyage? Touraine, Lyon, Besançon... Il y a des places y visiter. »
_________________
Jenifael..luna
    L’œil se pose sur Josselinière.

    "- Votre Altesse Royale, j'ai un aveu à vous faire. Après mon retour en France, après mon départ de la Maison Royale, il y a quelques jours, donc ... J'ai subi de grandes douleurs et j'ai ... Saigné. Le médecin a était claire sur mon état, il se trouvait que j'étaie enceinte et que la route, le voyage, et toutes les contrariétés, tout ce qu'il c'est passé ces derniers temps à fait que j'ai perdu l'enfant que je portais. J'ignorais même que j'en porter un. "

    Puis elle continue, comme si elle n'avait rien annoncé d'important.

    "- Non, Ivanne, je ne viendrais pas, en premier lieu, car je déteste l'Empire et puis j'ai des projets, n'oubliez pas, que ma vengeance doit se faire et c'est en France, qu'elle aura lieu. "

    Elle accorda un sourire, alors qu'elle remettait dans les malles ses robes.

_________________
Ivanne
C'était dur parler d'un gâché grossesse, malgré qu'Ivanne savait bien que la comtesse était fière. Il y avait des fois les femmes doivent se soutenir les unes les autres, en reléguant l'orgueil, la vengeance et les sentiments que le Sans Nom disposait entre le genre femenine. L'infante lui regardait, mais il ne fut pas nécessaire dire rien plus. La Josselinière voulait lui donner sa main en démontrant que sa co-suzeraine ne fut pas seulement cette, mais une amie aussi pour elle, si la Castelnau voulait. Mais la noble dame n'avait pas autant courage pour briser la contenance.

Ivanne de Josselinière était du sang-froid.


- « Pas de soucis. -Fut sa réponse, mais pas en parlant de la grossesse, mais du voyage.- Je resterai aucuns jours plus ici, si vous n'avez pas de problème, avant de partir. Votre Grandeur, est-ce que vous savez aucun atelier où je pourrais commander des nouvelles robes? Mes bagages ne sont pas suffisants pour cet hiver français qui s'approche à nous. »

Trop froid. Pas l'hiver, mais elle. Sans le penser beaucoup, finalement la duchesse prenait la main de la comtesse.

- « Vous aurez plus enfants. En plus, vous aurez tout ce que vous voulez, car vous avez un je ne sais quoi que personne n'a pas. Quoique la providence ne vous aide pas. Ça s'appelle force et amour propre. »
_________________
See the RP information <<   <   1, 2   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)