Ivanne
Le sourire d'Ivanne était véritable. Avoir le visage de la jeune Castelmaure envers lui, c'était une chose pas croyable pour elle; en fait, il y a quelques ans, ça ne soit pas possible pour les deux dames. La relation d'amitié entre elles deux avait commencé de façon inusuel, avec une prétentieuse Josselinière en parlant de mariage et une stricte Castelmaure ayant répondu à les provocations de la blonde avec impolitesse. Maintenant, elles étaient amies, au moins, ça pourrait être le commence d'une véritable amitié, marquée pour les rapports de vassalité et de famille.
- « Vous êtes aussi magnifique, comtesse. J'aime bien votre classe. » -Dit-elle, après de lui donner un baiser à la joue. C'est le salut de l'haute société!
L'odeur à l'entrée du Hôtel était fraîche mais douce, un mélange pour les sens qui rêlachait la duchesse avant de remarquer les couleurs des murs et meubles qui habillaient le vide du salon. Bleu royal ainsi que le blason de la France, raison pour quoi il était appellé bleu français pour ceux qui parlaient l'espagnol; fleurs blanches, qui donnaient l'odeur à la chambre, plus la délicate sensualité du noir du salon où elles étaient déjà. C'était le rendez-vous plus sophistiqué où Ivanne était jamais, garni d'un modéré nourriture et la vapeur de l'alcool de la boisson qu'une domestique les servait.
Assises aux confortables fauteuils du salon, l'Infante de Josselinière prenait le verre, bien qu'elle voulait manger. Fatiguée pour le long voyage, le chemin le produisait avoir la faim qui lui caractérisait bien; c'était pour quoi Ivanne avait toujours chez elle des macarons cuisinés par la cousinère italienne embauchée l'antérieur voyage à l'Empire, et qui avait décidée aussi vivre à la Castille avec elle, en voyant la bonne vie qu'elle aurait à les cuisisnes d'une noble madame espagnole. C'était un des plusieurs caprices de la blonde française, ainsi qu'habiller très riche était son préferé. Mais, pour cette fois, elle ne prenait pas aucune repas, seulement pour ne pas scandaliser sa hôtesse.
Jenifaël, de tout façon, savait bien pour quoi Ivanne était là. C'était pas seulement une question diplomatique, mais une question de comodité aussi. Se loger à la Cour française, là où les diplomatiques étaient, c'était utile pour les ambassadeurs et ambassadrices, mais se loger à l'hôtel d'une maison royale était plus confortable et pratique: pour le corps mais pour s'informer des mouvements de la noblesse française aussi. La véritable information n'etáit pas à les palais.
- « Le temps passe inexorable. Mais je vous vois parfait. Sa Grandeur supporte bien le mariage et ses inconvénients. -Il était aussi une façon de commencer le dialogue entre les femmes, de favoriser la confiance Castelmaure-Josselinière.- Avez-vous pensé quand venir? Je rappelle encore ma promesse de vous aider dans votre adaptation aux usages castillannes. »
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- « Vous êtes aussi magnifique, comtesse. J'aime bien votre classe. » -Dit-elle, après de lui donner un baiser à la joue. C'est le salut de l'haute société!
L'odeur à l'entrée du Hôtel était fraîche mais douce, un mélange pour les sens qui rêlachait la duchesse avant de remarquer les couleurs des murs et meubles qui habillaient le vide du salon. Bleu royal ainsi que le blason de la France, raison pour quoi il était appellé bleu français pour ceux qui parlaient l'espagnol; fleurs blanches, qui donnaient l'odeur à la chambre, plus la délicate sensualité du noir du salon où elles étaient déjà. C'était le rendez-vous plus sophistiqué où Ivanne était jamais, garni d'un modéré nourriture et la vapeur de l'alcool de la boisson qu'une domestique les servait.
Assises aux confortables fauteuils du salon, l'Infante de Josselinière prenait le verre, bien qu'elle voulait manger. Fatiguée pour le long voyage, le chemin le produisait avoir la faim qui lui caractérisait bien; c'était pour quoi Ivanne avait toujours chez elle des macarons cuisinés par la cousinère italienne embauchée l'antérieur voyage à l'Empire, et qui avait décidée aussi vivre à la Castille avec elle, en voyant la bonne vie qu'elle aurait à les cuisisnes d'une noble madame espagnole. C'était un des plusieurs caprices de la blonde française, ainsi qu'habiller très riche était son préferé. Mais, pour cette fois, elle ne prenait pas aucune repas, seulement pour ne pas scandaliser sa hôtesse.
Jenifaël, de tout façon, savait bien pour quoi Ivanne était là. C'était pas seulement une question diplomatique, mais une question de comodité aussi. Se loger à la Cour française, là où les diplomatiques étaient, c'était utile pour les ambassadeurs et ambassadrices, mais se loger à l'hôtel d'une maison royale était plus confortable et pratique: pour le corps mais pour s'informer des mouvements de la noblesse française aussi. La véritable information n'etáit pas à les palais.
- « Le temps passe inexorable. Mais je vous vois parfait. Sa Grandeur supporte bien le mariage et ses inconvénients. -Il était aussi une façon de commencer le dialogue entre les femmes, de favoriser la confiance Castelmaure-Josselinière.- Avez-vous pensé quand venir? Je rappelle encore ma promesse de vous aider dans votre adaptation aux usages castillannes. »
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