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[RP Ouvert] Parce qu'on a pas fini, ce que tu as commencé

Rikiki_
Anjou

Un petit récapitulatif s'impose. Le nain vole Saumur il y a quelques temps de cela. Il se barre comme un voleur, et se retrouve en Alençon chez un Renard pas vraiment heureux de le voir. Entre temps, l'Anjou envoie une bande de mercenaire pas très sympa pour péter la gueule au nain. Si on passe les détails voilà ce qu'il faut savoir, le nain est considéré comme mort, pourtant il ne l'est pas. Ouais pour l'instant, c'est assez basique.

Mais en faites, pas du tout. Après s'être remis de ses blessures, le périple du nain reprend. Déjà il faut changer d'apparence, pour ce qui est de la taille c'est foutu, mais bon des nains y en a plein dans le royaume. La discrétion est de mise, le nain ne fréquente plus les tavernes de peur d'être reconnus. C'est clair, ça gâcherait la surprise !

Mais après bien des jours de vie en solitaire, et de vengeance foireuse préparée minutieusement le nain était enfin arrivé à destination. L'Anjou.


Aaah l'Anjou ! Terre de raclures, de voleurs, de gens pas très sympathique. Tu m'avais manqué belle Anjou.

Le nain venait à peine de quitter cette terre de désolation et de bonheur total qu'on appelle Le Mans. L'air y était trop sain, ça lui filait la gerbe à chaque fois qu'il respirait. Il n'y a pas de meilleure atmosphère que celle d'Anjou.

Mais malgré tous ses plans préparés à l'avance, toutes ses nuits à maudire la rousse qu'il lui avait piqué son doigt, sa hache, sa dignité, ses bottes et lui avait balafré le visage. Toutes ses nuits à se demander si tel était bien la volonté de Calyce. Il avait une question existentielle à se poser. Il irait voir qui en premier ?

Calyce ? Pour sûr qu'elle penserait que c'est un fantôme. Alors le démon roux ? Mmh non, laissons lui le temps d'avoir peur. Abondance ? Fichtre il risquerait de se prendre un aller-retour de ventre dans le visage pour lui avoir fait ça. Gennes, il attendrait un peu avant. l'idée se faire prendre par ses testicules ne l'enchantait pas trop trop.

La décision fût prise. Ce serait Calyce en premier. La connaissant elle ne pourrait s'empêcher de dire à tous que le nain est encore en vie. Elle ferait naitre le doute.

Puis il pourrait peut être récuperré sa hache, du coup. Son plan d'action avait commencé. La main aux quatre doigts se refermât. La vengeance avait une douce odeur.

Il fallait d'abord installer le doute. Faire peur à Calyce, non pas qu'il était heureux d'infliger ça à sa fausse-soeur, mais elle était responsable de la parte de son doigt.
Sisi.





Calyce,

J'espère que tu passes du bon temps. J'arrive. Je viens récuperrer ce qui m'appartient de droit.

Quelqu'un


Et c'est ainsi qu'un nain, encapuchonné, vêtu d'une armure plutôt abîmée prit la route de Brissac. L'air froid sur ses talons. L'air de la vengeance.


Mouahahahah*keufkeuf *


On repassera pour le rire machiavélique.
_________________

[si on joue]C'est quand même pas pour la jouissance du clic au moment d'embaucher quelqu'un pour labourer son champ...
Calyce
    -Brissac-


Loin de toutes les pensées et autres manigances nanesques du faux frère, faux-mort, Calyce s'est trouvée une occupation : broder. C'est bien la broderie en hiver. A l'abri du froid et des lancers de boules de neige. Fait trop froid pour ces conneries, ho. L'Archiduchesse en a même remplacé ses poulaines par bons chaussons en fourrure de lapins blancs-morts dans d'atroces souffrances. Bref, elle est au chaud devant un feu à broder tranquillement une scène représentant Finam Conquérant. Ouais voilà ce qu'on peut voir : Un graaaand et foooort barbu en train d'écraser des berrichons trapus aux nez rouges. "Chateauroux, Décembre 1462." ou le titre de l'oeuvre d'Art archiducale. Oeuvre qu'elle admire fièrement quand on lui fait porter le pli de Rikiki.


    "J'arrive. Je viens récupérer ce qui m'appartient de droit."


Gros coup de stress.
Qui ça peut bien être ?
Allez, on essaie de deviner :
C'est quelqu'un à qui elle doit quelque chose.
Finn qui rentre du Berry et qui va la forcer à remplir sa part du contrat signé le printemps dernier ?
Sabaude qui vient avant janvier pour"renarder ses lèvres canardes" ?
Falco qui se décide enfin à accomplir son devoir conjugal après des moiiiis de mariage ?
Triora, la Mendiante, qui...veut juste lui faire peur comme d'habitude ?

Trop de possibilités. De l'agréable au cauchemardesque. C'est horrible de ne pas savoir à quoi s'attendre ! Faut quand même répondre en espérant que le messager/pigeon porteur du message sache retrouver l’expéditeur anonyme.


Citation:
Quelqu'un,

Je t'attends. Meme pas peur.

Calyce.


Voilà.
Et puis un autre billet.


Citation:
Thérèse,

Vous voudriez pas venir dormir chez moi ? J'ai peur.

Calyce.

_________________
Umbra
[Angers: la ville de tous les dangers]

Ou pas. Un long soupir alcoolisé s'échappe des lèvres mauves. Un râle d'ennui prend la suite pour appuyer sa lassitude. La manchote, accoudée au comptoir d'une taverne déserte, plonge son nez dans un verre de vin pour tromper sa langueur. Pauvre d'elle! A part faire les cent pas entre Saumur et Angers, sa vie ne se résume à pas grand chose ces derniers temps. Pas faute de quémander contrat deci-delà. Peut-être que sa gueule cassée fait plus peur que confiance. L'oeillade sombre jauge sa sale mine dans le reflet pourpre de son godet. Umbra a plutôt tendance à croire que de belles balafres prouvent l'expérience. Apparemment, c'est pas l'avis de tout le monde. Le sourcil brisé se hausse tandis que les traits se déforment en une moue dubitative.

Mouais...

La Noiraude se retourne pour balayer la salle abandonnée dans son dos. Un couinement répétitif et agaçant lui vrille les tempes et l'attention retombe sur le tenancier essuyant sa vaisselle.

Hé! Vous pouvez pas faire moins de bruit quand vous nettoyez?! *hips* C'est fou ça, on s'entends même plus penser, quoi!

La silhouette s'étire et chancelle sur quelques pas en retrait.

*hips* Vous venez de perdre votre premier client de la journée! Bravo, monsieur! *hips*

Certes, elle exagère un peu...Mais faut dire que l'ivresse aide beaucoup. Les enjambées plus maladroites les unes que les autres s’enchaînent quand une course résonne dans son ombre. Le bruit des pas martelant à toute vitesse se rapproche et lui casse un peu plus les oreilles à chaque mètre avalé.

Putain mais qu'est ce qu'ils ont tous à être *hips* aussi bruyant aujourd'hui?...!
-M'dame la Moche, M'dame la Moche!


Sans savoir pourquoi, la Bâtarde se sentit visée par l'interpellation et croasse à la limite de l’aboiement:

Quoi?! *hips*
-Arf...Mais c'est vrai, en plus!


La bouille dégoûtée du jouvenceau essoufflé suffit à la mercenaire pour retrouver son sourire narquois. Se plantant devant sa carrure juvénile, elle laissa planer le silence quelques instants. Assez pour qu'il la dévisage puis qu'il se sente mal à l'aise avant de reprendre:

Bon, tu vois pas que tu *hips* me fais perdre mon temps, là? Oui, pour une fois qu'elle est concentrée à regagner son auberge. Qu'est ce que tu veux *hips*?

Un pli scellé de Brissac se tend sous le nez qui renifle légèrement. Le regard brillant de biture observe le sceau puis le demoiseau puis le sceau puis le demoiseau... Ah! Quelle joie de faire perdre son temps à d'autres plus pressé que soi. La Corneille se régale d'infliger cela à ce pauvre innocent. Pourquoi faire ça? Par sadisme? Nooon. Juste pour combler ce moment d'isolement.

Donc tu viens de là-bas, hum? *hips* ça en fait du chemin pour un court sur patte comme toi. Ils ont raison d'envoyer de jeunots de ton espèce. *hips* La marche, ça forge. Si, si, je t'assure mon petit...*hips*

Les iris de jais balaient l'invitation sans cesser de tiser le petit brun à ses côtés.

Bon, bah, il ne te reste *hips* plus qu'à retourner là-bas, maintenant *hips* commente-elle en rangeant le courrier dans sa besace. Le voilà déjà en train de tourner les talons que la Manchote l'hèle, à son tour:

Attends *hips* Je fais le retour avec toi *hips* Et au coursier de soupirer.

Bah, quoi, les trajets, c'est plus sympa à deux, non?


Avec un peu de chance, *hips* il y aura du vin chaud à l'arrivée! C'est pas tout ça *hips* mais on se les gèle ici. A l'auberge, c'est pire *hips* encore. Les chambres sont pas *hips* chauffées...

[Brissac: où on prépare son sac -de couchage, mais ça rime pas.-]

...Enfin, bon... J'espère qu'il y aura du vin chaud! C'est pas tout ça mais on se les gèle ici...
Nous sommes arrivés, M'dame la M...mmm


Le jouvenceau lui ouvre la porte et l'Ombre soupire de nouveau, d'aise cette fois. Un sourire étire sa bouche alors que l'entièreté du faciès cramoisi de froid et de vin fond sous la chaleur ambiante. La gorge est sèchement raclée avant de déclamer:

Très chère Calyce, vous m'avez mandé?

La Noiraude ploie dans une courbette disgracieuse et presque dangereuse vu son manque d'équilibre.
_________________

Rikiki_
Anjou -on sait pas trop où encore-


Ça caille ici. Putain, ouais ça caille.
Oui t'as bien raison nabot.
Toi ferme-la. Pis t'es qui ?
Toi t'es qui ?
Ta gueule.


Pourquoi fallait-il toujours qu'une conversation avec le nain finisse toujours -ou presque- par un "Ta gueule" dans les dents ? Ainsi, depuis son retour, le nain n'avait eu la compagnie que de clochards qui défilait, et les rats. Pas très intéressant, en somme.

Il se releva enfin de la marche sur laquelle il était assis, et déambula un peu. Réfléchir, il fallait réfléchir. Il comptait aller voir Calyce, mais comment, dans quelles circonstances. Fallait-il la tuer ? Peut être trop risqué. Puis il en avait pas trop trop envie. Lui casser les deux rotules ? P'têt pas non plus, on sait jamais.

Mmh, pour l'heure il fallait envoyer des petits papiers
.




Chère Duduche,

Abondance ! Comment allez vous ? Moi je me porte. J'arrive bientôt.

Quelqu'un.



Et de un.




Démon rouge,

J'arrive te tuer.

Quelqu'un.



Il nota aussi qu'il fallait penser à aller chercher à manger, mais sa liste de courses ne regarde personne.
La tête du nain se releva. La capuche se rabattit, le pas s'accéléra. Il était attendu.



Brissac -on sait pas trop quand-


CALYYYYYYYYYYCE ! Je veux Shlack, je veux mon doigt, je veux à boire.


Parce que ça, c'est de l'entrée en la matière.
_________________

[si on joue]C'est quand même pas pour la jouissance du clic au moment d'embaucher quelqu'un pour labourer son champ...
Triora
L'enfant difforme se traînait dans les bas quartiers. Les yeux se balançant de droite a gauche en gardant le visage voilé sous sa capuche trop grande et son corps qu'elle s’efforçait a garder droit au prix de grandes douleurs le long de son dos a la forme reptilienne. Elle était silencieuse parmi les ombres du jours qui prenaient différente direction autour d'elle a travers ce labyrinthe de couloir de pierre qu'était les villes. Une rue pouvait compter tout les boulangers de la ville et une autre des forgerons ou boulanger. Parfois barbiers. Elle cherchait quelque chose du regard. Ses oreilles a l’affût de la moindre rumeur sur un travail impossible. Mais rien a part des énièmes histoires d'infécondité, de tromperie. Rien qui ne l'intéressait. Si elle en avait besoin, elle prendrait. Mais son besoin vitale était un défis. Quelque chose pour la bâtir ... Quant un messager s'arrête face a elle. Un enfant dont les traits portaient la faim. Ce qu'elle aurait du être si elle n'était pas née rousse et difforme. Fragile et dépendant... Et innocent ? Pure ?

L'enfant lui tendait un vieux papier jaunis qu'elle observe dans un silence mortuaire avant de tendre ses mains osseuse et de fotter ses longs ongles mal entretenus, semblable a des serres de rapace, sur la lettre avant de la saisir en croassant un "Des pigeons ... Des corbeaux ... Près des têtes empalés et des cage suspendues aux tours des remparts" en plongeant ses yeux fous dans les siens. Il ne comprendrait peut être pas et le frisson insurmontable qui prenait l'enfant disait la peur qu'elle devait représenter pour quelqu'un qui semblait de son age ... Elle restait silencieuse avant d’entrouvrir la lettre et lire en croassant. Son visage se levait pour laisser la lumière filtrer sous les tissus et découvrir son visage affamé, cadavérique. ses yeux grands ouverts dont les cils avaient été enlevé et les cheveux qui se faisaient plus rare encore.

Sa voix s'élevait dans un croassement.

Dit lui de faire la queue.S'il est préssé, qu'il prépare le cout pour sa tombe.

Son visage se penchait très lentement tandis que ses lèvres restaient immobile dans un rictus inexpressif

Mais que je prendrais ses yeux et sa virilité comme trophée... Ou j'en ferais un ragoût pour mes rats.

Si elle l'avait porté, son doigt se porterait a un index pour effrayer un peu plus l'enfant. Hélas, le doigt était dans son abris... Les cryptes oubliées des cimetières, lors de l'heure des songes et des limbes ...

J'ai éssayé deux ou trois "trucs" pour voir si l'effet me plaisait ... pas terrible, hein ?
Abondance.
    [Je peux te dire que le jour où j'ai l'impression de me faire suivre, je vais voir quelqu'un!]

    Quand on est régnant, on reçoit grand nombre de missive.
    Abondance en avait de nombreuses.
    La fatigue se sentait, l'inspiration manquait aussi.
    Il fallait répondre et personnaliser.
    Elle avait un coche de retard, les demandes de Laisser passer.
    Elle laissait passer!
    Les demandes de sous elle laissait passer aussi.
    Les menaces , elle les laissait passer aussi.

    Si bien qu'il lui en restait qu'une sous les yeux.
    Signée "Quelqu'un" qui arrive bientôt.
    Le "duduche" , il y en avait beaucoup qui l'utilisait.





    Quelqu'un,

    Je crois que je vais bien. Ravie de savoir que vous vous portez.
    Si vous n'êtes pas mainois, ni berrichon , vous serez le bienvenue.
    Si vous êtes l'un ou l'autre, allez un peu mourir fort fort loin.

    Abondance.


    Tout est dans l'incertitude quand on ne connaît pas l'expéditeur.
    Il est vrai que l'angoisse pèse pas mal.
    Puis la curiosité n'en parlons pas.
    Est-ce que c'était une arrivée amicale ou l'inverse?
Abondance.
Petite note : Scène qui se déroule bien avant la mise bas de la Vache archiducale.

    [Jeu de nains, je de vilains!]

    Le temps s'écoule et ce quelqu'un vient.
    Le mystère est dévoilé c'est le Miracle de la saint Nicolas.
    Si Gennes avait réalisé une partie de son souhait le plus cher,
    en allant rendre la monnaie de sa pièce au Berry,
    le destin lui fit une toute nouvelle surprise "Au Nain-capable,"


    Le nom a été revu, mais c'est sa taverne à Rik.
    Celle où elle a accepté de faire le service un jour,
    où elle continue encore à le faire quand il s'agit de donner de l'eau.
    Vide de bière depuis la trahison et la mort du nain.
    Deuil qui se fait en silence,
    il est mauvais de pleurer un Traitre.
    Ce jour là, elle avait pris au hasard un verre ,
    surprise de voir que le contenue de la bouteille était alcoolisée.
    Elle enchaina les verres, jusqu'à en devenir grosse et ivre. (précisons le.)
    Sale tableau pour une duchesse.

    Elle se disait que le bon dieu avait rempli les futs à la place de Rik.
    Joyeux Noël!
    Un jour passe et la revoilà à retenter l'expérience.
    Les pas qui mènent vers la même taverne et ce coup là.
    Devant ses yeux se tient en chair et en os son Porte Bonheur.
    L'enthousiasme, la surprise, la jeune femme ne sait pas le cacher.
    L'émotion est trop vive , une accolade? non trop grosse;
    pour oser s'approcher du bout d'homme.



    - Rikiki vous êtes en vie!


    Doucement, doucement disait-il.
    Elle avait fini par le secouer,
    blessé mais vivant.
    S'enchaine les formules de politesse,
    comment ça va?
    Puis les questions assassines, pourquoi la trahison.
    Pourquoi ne pas l'avoir prévenu qu'il était en vie?
    Les sujets défilent, la conversation se tient,
    et les négociations s'entament.
    Procès, relaxer ou pas?
    Il sait bien jouer avec son coeur le nain.
    Il s'était déjà auto puni en Alençon chez le Renard,
    puis elles lui avaient envoyé la Corneille: Umbra.

    La mercenaire avait fait de la sous traitance,
    refilant le sale boulot à une naine cheveux de paille rousse.
    Sac-à-souris avait tué Rikiki,
    ça c'était dit un peu partout en Anjou.
    S'il n'avait pas été traitre,
    Abondance et Calyce auraient pu décréter le deuil ducal et international,
    si petit et si précieux le Manipulateur d'émotion.

    A son service qu'il disait,
    il est revenu pour elles,
    qu'il avait été mortellement blessé.
    Qu'il avait payé pour son crime odieux.

    Qu'en était-il de la bourrelle à qui la duchesse ou l'archiduchesse n'avaient rien demandé?
    Allait-elle douiller comme elle avait pu souffrir elle?
    Ajoutons à tout cela, les menaces à répétition de la Difforme.
    Il était dit qu'Abondance n'avait pas d'ennemies en particulier,
    sauf que la coupeuse de doigt avait merdé,
    la Moche avait tué Rik, et même s'il était encore en vie,
    pour la duchesse, il a été mort pendant "longtemps".
    C'est psychologique.

    Vengeance!
    Oui, oeil pour oeil, dent pour dent.

    - Le pardon. La relax. Prenez sa main et vous aurez mon pardon.


    [i]Consigne si simple, deal si facile à exécuter.
    Après tout le Porte Bonheur n'était pas un gentil.
    Il devait le reconfirmer en ôtant la main de sa bourrelle.

    Un Rik sans ses doigts utiles au pickpocket-age ;
    c'est un Porte bonheur porte poisse au final.
    Il fallait une réparation à cela.

    Il était dit que ça ne se ferait pas dans l'heure qui suivait.
    Il fallait du temps pour "demander sa main" à la Difforme.
    Un nain et une naine ça ne fait pas forcément bon ménage au final.

    A suivre.
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