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[RP] Plaie d’argent n’est pas mortelle.

Jenifaelr
    La jeune femme avait clairement, une sale gueule. Sortie de prison, avec deux enfants, bien trop petits, trop chétifs, l'un d'eux déformé, la jeune femme avait le cœur en peine. Elle laissa une annonce pour payer l'amende, due. Elle soupira. Une fois l'annonce faite, elle loua une chambre d'auberge ( heureusement, eux avaient accepté ses derniers écus ) puis elle se rendit aux bains publics pour retrouver sa superbe.

    La blondeur vénitienne lavée, le teint claire, quoique la mine un peu basse, le corps encore arrondi de son accouchement récent, elle observe les aspérités sur sa peau dues à la déformation de la peau par ses enfants et elle se mit à masser le tout, fortement, peut-être trop, qu'importe, elle massa, encore et encore, avec de l'huile de l'eau froide, une fois sa peau plus rouge qu'or. Une fois la peau abîmée par le frottement qu'elle avait exercé dessus, elle attrapa de larges bandes de tissu et s'enroula du ventre, jusqu'aux cuisses serré, comme pour garder la silhouette parfaitement galbée, avant de mettre une tenue rouge et blanc, de la talentueuse Attia. Une tenue, qui transpiré la noblesse et le style, malgré la simplicité de la jeune femme qui la portait, ses cheveux tombant juste en dessous des épaules et boulant en leurs bouts laissés totalement libre. Elle c'était lavée à l'eau de pêche et mit un peu d'essence de pêche sur elle. Elle lissa sa robe, son allure est tout à fait correcte, pour un rendez-vous et la jeune femme se rendit alors dans la sombre taverne, malfamée, bien sûr, dans laquelle elle avait donné rendez-vous aujourd'hui. Une chope à moitié vide devant elle, elle reste silencieuse et patiente la belle vénitienne, presque timide de ce qu'elle s'apprête à faire.

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Mike91
Franchement y’a pas 10 000 choix ! Quand un Duc Savoyard te sucre tes dones de mal viure, bah tu vas les chercher ailleurs. Et ailleurs en partant de la Savoie c’est Lyon ! Belle capitale du Lyonnais-Dauphiné, ouais mais ça Mike s’en contre fout, il aime Lyon, parce que les catins t’as pas besoin de les chercher, elles font des annonces.
« Jeune femme, belle, blonde, bien faite, recherche homme à satisfaire contre argent sonnant et trébuchant. Anonymat garantis, des deux côtés. » Avouez que ça donne envie non ? Jeune femme, belle, blonde, bien faite. Y’a peut-être une petite mention à remplacer…le blonde par brune ! Mais pas question de faire le difficile ça va faire une semaine qu’il se tape la germaine fatiguée. Donc ouais le rendez-vous a été pris, la taverne est réquisitionnée et la vantardise activée. L’anonymat il s’en carre le Mike, là il va se faire une catin de compét’, mais si en plus il peut se la raconter…il ne va pas s’en priver !

Pfff, non mais tu as vu ta gueule toi ? Moi je te parie que je peux me faire n’importe qu’elle femme, là, comme ça, en un claquement de doigt. Et tu sais pourquoi ? Parce que j’ai une belle gueule mon gars.
Ouais bah j’aimerai bien voir ça, t’as la langue bien pendue pour un nouveau dans le quartier
L’a pas tort le gros, tu parles beaucoup !
Je suis pas gros !
Non mais attendez-vous deux, je suis prêt à vous le prouver…mais avant faut raquer !
Ahhh aAhhh ! Tu nous prends pour des idiots l’nouveau ? on n’aime pas les chanteurs dans ton genre.
Ecoutes moi avant… fait mine de chercher, mais l’truc, c’est que notre Mike, il l’a déjà repéré sa catin dans un coin de la salle en train de boire son verre. Belle est apprêtée rien à voir avec la catin de base, une aubaine. Vous voyez la petite blonde là ? 50 écus qu’elle est à moi dans l’heure ! Si je perds, je double votre mise, si je gagne, vous me filez vos 50 écus

Voilà comment le Mike s’est délié de ses deux comparses du jour pour rejoindre sa nouvelle chère et tendre du moment. L’annonce n’est pas mensongère, la femme est plutôt jolie, mais une mine triste. Mike s’en fout de son passé, il s’en fout du pourquoi elle fait ça, il s’en fout et ne veut pas le savoir. Il la veut disponible et accueillante comme une dame docile sait faire. Un sourire en arrivant à sa table Je crois que vous m’attendez… Nouveau sourire complice puis prend place face à elle. Par chance elle est suffisamment loin des deux plumés du jour, leur discussion restera secrète, ils pourront juste voir et constater leur défaite. Des verres sont commandés, Mike adore avoir l’esprit embrumé et le sang alcoolisé avant de consommer Vous en revoulez un ? elle aussi surement, alors il propose et elle dispose, mais avant il tient à valider son pari avec les deux cons…parce que les deux cons, ils vont lui payer sa catin ! Vous êtes ravissante…votre prix sera le mien ! Mais avant, j’ai besoin d’un petit service, avant de sortir d’ici, il faudrait que vous m’embrassiez…disons que j’ai…quelques petites choses à valider… Des choses à valider… elle va surement penser à la qualité de ses baisers, qui conditionneront l’échange à venir… très loin d’imaginer l’enjeu du pari.
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Jenifaelr
    Elle garde les yeux sur la chope jusqu'à qu'un type s'installe face à elle et l'interpelle, la rose observe l'homme et opine silencieusement sur son compte. Pas sale, visiblement pas très riche, pas laid, mais réellement pas comme elle aime. Elle hausse les épaules et sa ritale prend la parole. Avant de boire le reste de sa chope, et celle offerte, d'un seul coup, sans ciller.

    "- Vous avez de la chance que je ne soit pas une putain. On ne demande pas de service aux putains. "

    Parce que oui, la belle est noble et elle se déplace à côté de lui, avant de se pencher vers l'oreille, montrant donc une attention particulière à celui-ci, une intimité qu'ils n'ont pas, comme pour satisfaire sa demande.

    "- Cent. Vous avez le baiser ici et j'accepte de passer la nuit entière avec vous, cela nous laissera du temps. "

    Elle se détache un peu, laissa passer le message, pour un geste intime qu'elle quitte à regret. Elle ne demande "que" cent écus, pour une nuit complète, aller demander la même chose au boudoir des sens, vous en aurez pour cinq fois plus. La jeune femme n'est néanmoins pas très gourmande cette fois-ci, l'homme à l'air fauché. Elle papillonna des yeux, avant de prendre la bouche masculine, glissant une main dans le cou et offrant un baiser plein de fougue à celui-ci. Son cœur ne battait pas pour l'homme, alors ses joues ne rougiraient pas et la jeune femme de vingt et un an, voulaient qu'il ne discute pas son prix.

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Mike91
Lèvres douces, légèrement sucrées, mais aussi une fine odeur de pèche envahi ses narines. Effectivement cette petite n’a rien d’une putain, mais elle a ce côté sûre d’elle qui plait bien au Mike. Léger mordillage de lèvre lorsque celle-ci se séparent, laissant planer son imagination sur le futur et ce qu’il va lui faire. Il la reluque sans autre forme de procès et valide ce qu’il voit dans un dernier sourire lorsque ses yeux croisent les siens.

Ça tombe bien, du temps j’en ai plein Du temps pour lui, pour elle, pour eux. Une nuit c’est plus que prévu, deux, trois, cinq, dix fois. Il sera repu et elle aussi, il ne s’arrêtera qu’une fois le jour levé. Ouais ça c’est ce qu’il aimerait, c’est qu’il prend de l’âge le Mike, la trentaine bien tassée, manquerait plus qu’elle le foute au lit de bonne heure la jeunette…et là 100 écus pour border le vieux, c’est du vol ! Le temps c’est de l’argent, alors il se lève, lui fait face et passe une main sure autour de sa taille venant la coller à lui. Ses lèvres prennent le chemin de son oreille et tout avec délicatesse il lui susurre… C’est parfait…mais n’oubliez pas que ce soir…vous êtes à moi…vous ferez tout ce que je veux… Belle phrase de sadique ça, ouais mais c’est une manière à lui de reprendre le contrôle, lui faire comprendre qu’il paye et elle dispose, faire légèrement redescendre son assurance et la rendre soumise…pour une nuit.

Un baiser tendre est laissé sur la joue, puis sa main s’enlace avec la sienne, direction le baisodrome. Une chambre est réservée, dans une auberge, il fera ça propre pas dans un coin de rue. En passant devant les deux cons il leur laisse un clin d’œil narquois…et ouais, vous venez de vous faire plumer les gars…la journée finit bien, et la nuit s’annonce bien meilleure.

Une Eliance te refilera les écus… Ouais parce que sa conseillère était dans la combine, elle récupèrera les écus des deux cons et les filera à la catin de luxe. Arf…si seulement sa femme savait ça…que sa sœur adoptive paye les putes de son homme…rha la famille, y’a que ça de vrai. Toute façon, payé n’est pas trompé, Mike est blanc comme neige dans cette histoire. Remarquez, il est passé au tutoiement, simple signe de transfert de propriété, qui se fait d’ailleurs plus sentir lorsque sa main délaisse la sienne pour venir s’emparer de ses hanches dans les allées d’une ruelle. S’imprégner de ses courbes, la découvrir, imaginer, en dessiner le galbe y’a que ça de vrai et là au toucher, il y reconnait de la qualité…100 écus, c’est une affaire…il la reprendra surement pour le lendemain…mais chaque chose en son temps.

Voilà c’est ici…Il ferra ça là où il crèche…rien à foutre, cette nuit il a sa pute de luxe, on ne dénigrera pas l’enviera, et peut être même qu’on viendra frapper à la porte pour le bouquant qu’elle fera sous la virulence de ses coups de rein. Ouais ce soir, c’est le grand soir…alors, heureuse ?
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Jenifaelr
    Elle reste attentive, observant les yeux la détaillant. Elle aime se savoir belle et savoir que l'on se tourne, que l'on lui prête attention, sauf qu'habituellement, elle ne se fait pas payé. La jeune femme ne sait être repue d'attention, de satisfaction, son cœur malade, réclame sans cesse plus. Plus d'attention, plus d'hommes, plus de drogues diverses, plus d'alcool, plus d'enfants, plus d'amour. Comme s'il ne pouvait se contenter de l'amour que pouvait lui porter les petits cœurs battant des enfants de la jeune femme, non, il en faut toujours plus. Elle a un léger frisson alors qu'il passe sa main sur la taille, impossible pour elle de ne pas réagir, en général, elle les autorise à poser la main sur elle, par des provocations, elle s'y attend et n'est pas dans une relation calculée comme l'on mesure les quantités de denrées vendues contre les écus rapportés, lors des calculs de compte de la vicomté. La Rose ne prend pas le temps de répondre, il l'a déjà entraînée vers une chambre et essaye de prendre le dessus sur elle, par quelques mots, s'il pense que prendre le dessus sur la féline guerrière est simple, surtout pour un homme comme lui, c'est bien qu'il se met le doigt dans l’œil, et jusqu'au coude, voir plus ! La main la parcourt déjà, à peine sortie de la taverne, et ils y arrivent à cette chambre.

    Elle se détache des mains masculines lorsqu'il lui demande si elle est heureuse, ses aigues-marines parcourent la pièce et elle en fait le tour, s'attardant un instant devant le lit, pour reprendre sa course vers le côté qui lui semble le plus confortable - c'est que la "pute de luxe" elle est habituée au grand confort, voyez ... - elle soupire. La honte l'a déjà envahie, lorsqu'elle s'assoit sur le lit et délasse le dos de sa robe rouge, pour s'en débarrasser, dévoilant un peu plus ses courbes, dans la simple cotte blanche qu'il reste, elle délasse celle-ci de nouveau, sans pour autant la quitter, discrètement, elle a également retiré sa dague de son avant-bras et retirer les larges bandes de tissus qui l'enserrer. La belle se leva, pour aller se placer devant le regard masculin, celui-ci peut voir un peu des épaules de la jeune femme, sans plus, puisqu'elle a encore, sous sa cotte blanche délassée, sa chainse fine tout aussi blanche.


    "- Et vous, satisfait ? "

    Elle ajouta, tentant de se faire charmeuse, comme elle l'était habituellement.

    "- Pour l'instant, bien sûr. "

    Elle se glissa contre lui, la dextre trouve la lèvre de l'homme, se glisse sur la joue, dans le cou et continu en direction de la chemise, quant à la senestre, elle s'était glissée dans le bas du dos masculin, pour attirer le corps contre le sien, tendant de garder son calme, pour ne pas hurler sous le poids de la honte ressentie. Les bleus ne regardent pas le regard masculin, ils se fixent en dessous des yeux, donnant l'illusion de le regarder.

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Mike91
On apporte trop peu d’importance à cette matière disponible à volonté. Mais franchement, la catin c’est la vie. L’avantage c’est qu’elle dira jamais non, toujours disponible, jamais de mal de crane ou autre truc chiant, elle sera toujours là quand tu as des écus. Ce qui est bien avec elle, c’est que tu peux tenter des trucs, des trucs que tu ne feras pas avec ta femme… la vraie. L’insulter, la frapper ou même explorer d’autre orifice lorsque l’officielle est réticente.

Atro est morte ! P’tain c’était une sacrée femme, une comme on n’en fait plus ! Alors la catin est là aussi pour faire oublier la perte. Avant il achetait des cadeaux pour avoir une gâterie, aujourd’hui il paye une catin pour avoir de même, au final y’a pas vraiment de différence… A bien regarder, si.

En brune, ça aurait été parfait… Sa femme était brune, et il avait pour habitude de prendre des catins similaires à sa défunte épouse. Il ne sait pas trop pourquoi il a opté pour celle-ci, des formes généreuses, blonde, tout l’opposé de son Atro. Peut-être le prix, 100 écus c’est occaz’, et 100 écus c’est peu pour retrouver sa femme.

Il la laisse le découvrir, t’façon c’est toujours plaisant de sentir des mains féminines jouer les baladeuses sur son corps. Sa main gauche vient repousser une mèche rebelle laissant à sa vue les traits fin de son visage Par contre j’aime tes yeux… Bleus… comme ceux de sa femme, son héroïne du soir remonte rapidement dans les sondages, il se pourrait même que contre toutes attentes elle devienne une régulière, les rencontres même inopinés, peuvent être s’avérer les meilleures. La mèche de cheveux est callée, laissant sa main gauche libre pour partir à cueillette de sa dextre, qui une fois récoltée, remonte jusqu’à ses lèvres pour y laisser un baiser, puis file en sens inverse, lui faisant tâter et soupeser sa virilité. Le sourire se fait taquin juste avant sa réplique Alors, satisfaite ?

Le désir monte et l’envie d’en découdre avec sa favorite devient difficilement contrôlable, alors sa main droite glisse rapidement dans le creux de son dos, remontant le long de sa colonne pour venir se saisir de ses cheveux qu’il tire en arrière, juste de quoi lui faire dégager son cou qu’il empresse de dévorer de ses lèvres gourmandes. Sa main gauche elle libère la sienne, laissant libre court à son imagination quant à la suite à donner à sa virilité. Les mots ont de l’importance, il aime être désiré, aimé, voulu, donc après un dernier baiser, il laisse ses lèvres trainer jusqu’à son oreille pour lui souffler Dis que tu as envie de moi…maintenant…dis le… Ce soir elle est sienne, ce soir elle fait ce qu’il voudra. Son héroïne d’un soir aura comme prénom… Atro…
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Jenifaelr
    Brune, elle aurait pu l'être. Il lui aurait suffit de demander, la jeune femme avait une préparation de son cru, qui permettais de lui coloré ses cheveux d'une couleur brune, lui donnant des airs de la belle Sanguinolante Lisabelle, sa mère.
    Surprise un instant de la demande, en d'autres circonstances, elles auraient dit qu'elle s'en fichait, mais sentant la pression sur ses mèches vénitiennes, son cou dévoilé, avec, les deux cicatrices de tentatives d'égorgements qui y trône, la peau au délicat parfum de pêche est goûter, et les aigues-marine reste rivés sur le visage qui lui fait face. Durant un instant, elle songe à tout arrêter, tout stopper, à le repousser en usant de la force, cacher sous le velouté de l'épiderme. Une demande est faite, la dextre c'est glisser sur le ventre masculin, pour le narguer, elle reste silencieuse et voilà que Corleone glisse jusqu'au trésor masculin, celui que chéri toute la gente virile, un sourire se dessine sur l'ourlet rosés et l'Italienne prends la parole.


    "- Maestro ... ti desidero. "

    Et tant pis s'il ne comprends pas l'italien, les mots sont suffisamment transparents, pour être compréhensible par un français. La pulpe de dextre est occuper à effleurer la chair masculine délicate et tendre, pendant que senestre c'est glisser dans la nuque pour y planter doucement les griffes et elle ajoute, tentant de donner une intonnation suppliante à ses paroles.

    "- Sono tuo ... Per favore. "

    L'italien avait cette étrange vertu séductrice, elle l'utiliser pour séduire en général, au final, elle se prêta un peu au jeu, quelques instants, malgré tout. La gorge est serré et Corleone reprends le dessus, laissant la gauche se glisser de la nuque jusqu'au dos, y laissant une marque légère, le long de la colone. Elle se libéra de l'emprise de la main dans ses mèches un instant et alla prendre la peau de la nuque, la mordillant avec beaucoup de doueur, et remonta quelques baisers se voulant brûlant sur la mâchoire, ne prenant pas les lèvres, s'amusant avec les sens plutôt. Dextre, toujours à l'oeuvre plus bas se plaît à narguer. La Forentine redevient un peu elle-même durant ces instants, séducatrice insatiable et délicieusement dominante, rendant au masculin la place qui d'après elle lui revient dans la société : subalterne.


    Maestro ... ti desidero. = Maître ... je vous veux.
    Sono tuo ... Per favore = Je suis à toi ... s'il vous plaît

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