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RP - Auberge "La plume et l'encrier"

Amayelle.
Les pas d'Amayelle l'amenèrent proche d'une vieille maison d'où sortaient des voix qui ne lui étaient pas inconnues? S'approchant de plus près, elle aperçu des vols d'objets voir de poussière par les fenêtres... Curieuse, elle poussa la grille et entra dans le jardin.

Amayelle passa la porte et évita de justesse un énorme tas de gravats devant l'escalier. Les voix venaient de l'étage. Elle monta donc les marches et s'arrêta interdite devant le spectacle qui s'offrait à elle : tout une troupe s'affairait pour rendre habitable la maison. Elle put reconnaitre Mali, Gers, Cori et Pluie qu'elle avait déjà croisé... Elle arrêta Mali dans sa besogne :

"Coucou ! Dis-moi, y a t-il besoin d'un coup de main encore ? Je ne savais pas quoi faire aujourd'hui..."

Amayelle retroussa ses manches et se lança en direction d'une pièce qui ressemblait à une chambre... Enfin, ça devait être ça... Elle commença donc par nettoyer la poussière et jeter ce qu'elle pouvait par la fenêtre...


Je me permet de changer la couleur de votre texte si vous souhaitez la remodifier pas de soucis, juste je me reserve le vert pour la censure merci .

{Ortie}
Pluie

Tout en caressant tendrement les petits doigts de Cori qu’il a pris entre les mains, Pluie s’est laissé absorber par la contemplation des vieux murs de leur auberge. Leur beau projet, leur bébé, leur avenir. Et son imagination s’envole. Il imagine les chambres terminées, joliment décorées de brassées de fleurs assorties à la teinte du mobilier et des draps qui recouvriront les lits douillets. Ils contemple les gosses qui courent comme des moineaux affolés dans les allées et les pelouses, se faufilant entre les calèches et les voitures soigneusement rangées derrière les chevaux qui s’abreuvent longuement dans les larges tonneaux de bois remplis d’eau fraîche. Il entend les conversations et les rires des convives attablés par petits groupes joyeux, ou deux par deux, en amoureux.

Mouais, arrête donc de rêver, Pluie. Reprends toi. Tu as sans doute un peu abusé du pinard et de la tarte aux abricots pour n'avoir que si peu de courage, mais à présent le travail t’attend, que diable !

Il se redresse sur un coude, adresse un large sourire à Amayelle qui les a rejoint aussi, et qui motive les troupes. Et déjà les plus vaillants reprennent le collier.

Kyn et Lucky scient et clouent sous la toiture, consolidant ou remplaçant l’une ou l’autre des poutres du grenier. Les filles s’activent gaiement dans les chambres, elles balaient, elles frottent, elles récurent, elles poncent ( et non pas, elles pioncent … ). Un amoncellement de déchets et de débris de toutes sortes se dresse sous les fenêtres. Peu à peu, l’intérieur de l’auberge prend forme. En quelques heures, les bonnes volontés ont accompli des miracles, et Pluie se dit qu’il ne remerciera jamais assez tous ces amis qui consacrent une bonne partie de leur temps à ces travaux. Il faudra qu’il en parle à son roudoudou, le soir. Après la fête du village annoncée un peu partout dans les rues, ils feront certainement eux-aussi une petite fiesta en signe de gratitude.

Bon ! Allez fainéant, secoue-toi ! Tu es le seul à rêvasser dans la pelouse. Tu devrais être honteux ! Pluie empoigne les bras de la brouette, s’assurant que Nime n’est pas dans les environs, et il la pousse sous une fenêtre ( la brouette, pas Nime ). Allez, hop, un chargement de vieux meubles, cette fois, et l’échalas conduit toutes ces reliques du passé au bout du jardin, en sifflotant gaiement, évitant de justesse le chat de Gattomika qui se faufile entre ses jambes.

Oui, ils sont en train de tourner une page à présent, Cori et lui, mais ils seront heureux ici, il en est persuadé.

_________________
Gattomika
Gatt continuà à travailler pour le reste de la journée. Apres elle allà voir Pluie et lui dit:

Desolée, mais je dois partir pour un autre voyage... je suis trés voyageuse en fait! Attends une seconde, je reviens...

Elle passa la porte et sorit du gardin plein de poussiere et de debrits et elle revenit quelques minutes apres en trainant une grosse caisse en bois, elle l'ouvrit et montà son contenu au blondinet: des gros bouts de tissu coloré.

J'ai pensé que ca pouvait vous etre utile pours les chambres... ^^
Et puis j'ai pensé de vous laisser mon chat... les chats n'aiment pas voyager... et en plus il vous fairà compagnie... ca sera le chat de l'auberge^^ si vuos voulez bien sur.
Bon... moi je dois y aller! Je vous souaite une bonne contiuation des travaux!


Elle passa saluer tout le monde et partit, un peu desolée de pas pouvoir trop les aider...
Azzera
une permission... Ils avaient obtenu une permission... Oh, pas grand chose, quelques heures tout au plus.
Mais qu'est-ce que cela faisait du bien... Le campement de l'ordre était serein, sans doute était-ce du au départ de certaines blanches.
Et puis Kali était venue les voir, Aengus et elle pour leur signaler qu'ils avaient quartiers libres.
Joie fugace qui traverse leurs regards.
Surtout ne rien montrer à la gardienne, la remercier, puis prendre plaisir à marcher tendrement enlacés... comme de simples voyageurs amoureux.

Azzera ne pouvait quitter Aengus des yeux, oh, parfois elle regardait où elle mettait les pieds ... ou pas... mais il était toujours là quand elle trébuchait, il était là pour lui relever les yeux...

Un soir, Kali avait raconté à l'écuyère que Pluie et Cori avaient décidé d'ouvrir une taverne, mais que celle-ci était en travaux... L'idée de revoir ces deux là avait germé instantanément dans son esprit... oh, peut etre qu'il n'y aurait personne... mais... ce n'était pas grave...

L'esquire avait expliqué l'endroit à sa soeur... il ne fut pas trop compliqué au couple de trouver l'endroit.

Arrivés devant ce qui devait être une taverne, elle serra la main de son Amour...


Cori?
Pluie?
HO HE !
Il y a quelqu'un.

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Écuyère de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'écu vert.
en construction
Pluie

D’un pas lourd, il ramène la brouette vide vers la façade de l’auberge, remontant lentement l’allée de terre battue qui serpente entre les pelouses, évitant une seconde fois le chat de Gatto qui semble s’être pris d’une affection sans borne pour ses chausses élimées.

Rhooo, va t’en, toi, et fais ton boulot comme tout le monde. Les remises doivent être pleines de souris bonnes à croquer, tu as de quoi t’amuser …

Pluie, l’homme qui parle à l’oreille des chats …

Il pose la brouette sous les fenêtres, s’éponge le front avec la manche de sa chemise. Le blondinet a le dos en compote d’abricots, mais il n’a pas le choix. Et puis n’est-il pas le chef de chantier, ainsi que le surnomment à présent toutes les adorables coquines qui travaillent à l’intérieur, dans la bonne humeur, et ne manquent pas de le taquiner lorsqu’il passe à leur portée ?

Il fait un grand signe de la main à Gatto, qui repart en voyage, et puis hop, deux gorgées de pinard pour faire descendre la poussière qui lui assèche la gorge. Et tout-à-coup des appels près de l’entrée. Le voilà encore surpris la bouteille à la main ! Non, décidément, on n’échappe pas à son destin !

Un jeune couple tendrement enlacé le hèle en agitant les bras. Les sourcils en points d’interrogation, le blondinet s’approche, pensant « j’ai jamais vu ces têtes là, moi, qu’est-ce qu’ils me veulent ces péquenauds ? Ils ne voient pas que je bosse ? »

Non, non, vous êtes mignons mais c’est pas encore ouvert, on commence à peine les travaux … déclare t’il en abordant les deux jeunes gens. Et soudain il reconnaît la jolie damoiselle qui serre la main de son amoureux.

Rhooo ben Azzera, excuse-moi, je ne t’avais pas reconnue. Comment vas tu ? Je suis bien content de te voir, je t’imaginais de l’autre côté du monde, avec Kali !

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Aengus


Montargis...

Si l'on m'avait dit, dans mon Irlande natale, que je serais un jour amené à en arpenter les rues, j'aurais souri, je crois...
Déjà par le simple fait qu'à cette époque j'en ignorais l'existence, mais aussi, parce que je ne voyais pas ce que j'y ferais !

Les réponses ?... LA réponse, plutôt... Elle s'accrochait à moi sans cesser de me regarder amoureusement... pour mon plus grand bonheur, d'ailleurs.
De mon côté, rien en m'aurait fait lâcher ce petit bout de femme exceptionnel... cet être qui avait bouleversé ma vie au point que j'en arrivais à me transcender de manière inattendue. Azzera me permettait de redevenir moi-même et retrouver ma dignité passée. Réalisant ainsi que, aimer, c'est s'augmenter en s'oubliant, c'est échapper par un seul être à la médiocrité de tous les autres.
Lorsque nos regards se croisaient ainsi, nous savions que nous étions en train de grandir et qu'ensemble nous étions les plus forts...

Kali venait de sortir de notre tente. Réunion entre Soeurs, mais assez conviviale aussi. Je m'étais permis un écart en nous offrant une gobelet de Uiscè - eau de vie Irlandaise - dont il me restait au fond de la besace une petite fiasque en étain. L'Esquire était une femme noble et droite, je ne doutais pas de ses sentiments amicaux et de son attachement à ma compagne, qui le lui rendait bien d'ailleurs.

- Amour ?... Un 'tit tour en ville ?...

Petit museau relevé malicieusement vers moi, un fin sourire aux lèvres... Comme refuser cela ? D'autant que nous avions exceptionnellement reçu "quartier libre" pour cette journée qui s'annonçait calme... et puis, nous n'étions pas loin du camp.

En guise de réponse, je me levai et lui tendis la main... mille étoile dans nos yeux !

En chemin, elle m'expliqua que des amis à elle aménageaient une taverne... Soit, même s'il n'y avait encore rien à y boire, rencontrer des amis et faire de nouvelles connaissances n'était pas pour me déplaire.
Ainsi, bras dessus, bras dessous, nous flânions dans les rues et ruelles de Montargis... Nous marchions sur un petit nuage, bonheur ineffable, peut-être pas spectaculaire, mais tellement intense, de pouvoir ainsi vivre notre amour au grand jour, en toute liberté.

D'une pression de la main, elle m'arrête devant un bâtiment en chantier

- Cori? ... Pluie? ... HO HE ! ... Il y a quelqu'un ?...


Un mouvement au fond de ce qui sera un jour une taverne... Ma Sirène agite le bras en trépignant un peu...Une silhouette ... Une voix, un peu bourrue, mais enjouée :

- Non, non, vous êtes mignons mais c’est pas encore ouvert, on commence à peine les travaux …

Un grand sourire sous une tignasse blonde lorsqu'il lâche :

- Rhooo ben Azzera, excuse-moi, je ne t’avais pas reconnue. Comment vas tu ? Je suis bien content de te voir, je t’imaginais de l’autre côté du monde, avec Kali !
Azzera
- Non, non, vous êtes mignons mais c’est pas encore ouvert, on commence à peine les travaux …
Ben, oui, mais.... heu....nous ...


- Rhooo ben Azzera, excuse-moi, je ne t’avais pas reconnue.
Pluie, quel plaisir...
montrant la bâtisse du menton
Alors? C'est elle votre taverne?
Hum, voici mon compagnon
Serre un peu plus la main dans la sienne Aengus O'Sullivan, je vous présente messire Pluie... un ami rencontré lors de mon retour de l'escorte royale, il y a quelques lunes.
Pluie, l'irlandais de mon coeur, Aengus O'Sullivan.

Comment vas tu ? Je suis bien content de te voir, je t’imaginais de l’autre côté du monde, avec Kali !
Et bien, oui, j'étais rentrée chez moi... dans le sud ouest... mais ... les ordres ont fait que nous sommes là pour un moment encore.

Comment va Cori?
Ou est-elle?


Moue enjouée à l'idée de revoir ce couple que l'esquire lui avait présenté il y a peu.


Oh, au fait...nous avons entendu dire que c'est la fête ici... vous comptez y pointer le bout de votre nez?

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Écuyère de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'écu vert.
en construction
Pluie

Les présentations sont vite réglées, sans chichis ni cérémonie. Le compagnon d’Azzera paraît très sympathique. Ils forment un bien joli couple. D’après son nom et son prénom, il doit provenir des îles britanniques, ce que Azzera confirme aussitôt. Pluie cherche vainement quelques mots d’Anglais au tréfonds de sa mémoire, qu’il aurait pu retenir d’une de ses aventures mouvementées, mais non, malheureusement non, pas possible, il a une grande capacité d’oubli, l’échalas. Une vraie tête de linotte.

Par contre, un p’tit coup de vin rosé bien frais, ça c’est un langage universel. C’est t’y pas une bonne idée, ça ?

Entrez donc, vous avez bien quelques minutes. Non, non, n’ayez pas peur, je ne vais pas vous trouver du boulot. Euhh, sauf si vous insistez, bien-sûr.

Il baisse le ton, se rapprochant plus très du jeune couple, et murmure.

Venez, on va s’installer dans la pelouse. Ca me permettra de faire une petite pause pendant que les autres continuent de travailler. Ils ne le remarqueront même pas. Un morceau de tarte aux abricots, Azzera ? Et toi, Aengus, un verre de pinard ? Servez-vous, mes amis, pas de manières entre nous, hein ! Excusez-moi un court instant…

Pluie se redresse, met ses mains en porte-voix, et pousse un rugissement d’animal sauvage dirigé vers les fenêtres du premier étage.

Cori mon roudoudou, tu peux poser ton balai et descendre cinq minutes, j’ai besoin de toi ma chérie…

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Aengus


Pluie est volubile, enjoué... A coup sûr un bon vivant.
Presque aussi grand que moi, il a un physique néanmoins plus fluide, moins massif. Mais on sent en lui, un homme qui a vécu déjà et que les aventures ont dû aguerrir à plus d'un titre.
Un homme comme je les aime... regard franc, ouvert, poignée de main virile sans brutalité... Je sens que nous allons être amis.

Menotte serrée dans ma grande paluche, Azz semble frissonner de bonheur... la Blanche a laissé sa place à une jeune fille amoureuse, respirant la joie de vivre...

A peine les présentations faites, sans protocole stérile, pour ma grande joie, il nous entraîne au jardin :


- Venez, on va s’installer dans la pelouse. Ca me permettra de faire une petite pause pendant que les autres continuent de travailler. Ils ne le remarqueront même pas. Un morceau de tarte aux abricots, Azzera ? Et toi, Aengus, un verre de pinard ? Servez-vous, mes amis, pas de manières entre nous, hein ! Excusez-moi un court instant…



Azzera et moi, nous regardons en riant en nous installant... Heureux comme des enfants à qui l'on propose une friandise... Et, ma foi, ce petit intermède dans notre mission en est une.

- Volontiers Pluie, cela me changera de la brune d'Irlande... Même si c'est la meilleure bière du monde connu... les vins françois ne déméritent pas, au contraire... surtout lorsqu'ils sont dégustés en agréable compagnie.
Merci de ton accueil, Pluie... nous apprécions que tu nous accorde un peu de ton temps... Et je m'en veux un peu de te déranger dans ton travail... ce n'est pas une mince affaire que de restaurer cet endroit !


Ni une ni deux.. ce petit rosé a l'air gouleyant à souhait, et répondant à la proposition de Pluie, je nous sers à boire tandis que d'une voix forte à ameuter tout l'Orléannais il appelle da compagne.

Azzera est aux anges, je lui retrouve cet air de petite fille qui lui va si bien. et, tandis que Pluie hèle Cori, je me penche vers ma Sirène :

- Chérie, j'espère que nous pourrons un jour inviter tes amis chez nous... Et, tu sais... il me plairait de les voir à notre mariage, Pluie me paraît un homme charmant et attachant... qu'en penses-tu ?
Corisande

Cori mon roudoudou, tu peux poser ton balai et descendre cinq minutes,
j’ai besoin de toi ma chérie…

Ouiiiiiiiii !!!!Crie pas si fort !

Cori se penche par la fenêtre et voit pluie en grande conversation amicale avec Azzera et un homme grand et brun, belle allure, beau couple assorti, ce doit être son compagnon.
Elle dégringole les escaliers en courant et arrive sur la pelouse ou Pluie a déjà fait le service ,il prend son travail d’hôte au sérieux on dirait !!

Elle est affectueuse Cori, elle claque une grosse bise sur la joue d’Azzera, Contente de te revoir, je pensais que tu étais partie pour longtemps ! Toujours au service de notre Roy ?L’homme qui se tient a ses côtés en l’enserrant pas la taille se présente Angeus O’Sullivan !
Aengus ? ravie de vous connaitre !
Le vin rosé vous convient ou auriez vous plaisir à boire ,une boisson d’Irlande, notre ami Riotam, un de vos compatriote nous a laissé un tonnelet d’excellent Irish whiskey.


Oh, au fait...nous avons entendu dire que c'est la fête ici... vous comptez y pointer le bout de votre nez?

D’un geste de la main Cori montre à Azzera sa tenue poussiéreuse , passe son bras autour de la taille de Pluie,et le regarde d’un œil interrogateur ?

Bien sûr, le temps de finir , de prendre un bain dans la rivière, de se faire beaux et on y va .D’accord mon doudou ??


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Azzera
Le même brin d'humour qu'elle avait déjà pu remarquer chez lui.
Le suivre jusqu'à la dite-pelouse.
Se déchausser, et s'installer en tailleur dans l'herbe tendre... ah les pieds nus dans la verdure... sensation presque aussi agréable que de nager dans l'océan sans se sentir encombrée par des vêtements... Rires discrets à cette pensée.
Hum, pourquoi diantre lui proposait-il la tarte aux abricots à elle, et le vin à lui?
Non, mais c'est vrai quoi, 'z'avez remarqué aussi?
Long soupire à peine retenu.


Hum... j'veux bien gouter ton vin aussi, hein!
Non, parce que il n'y a pas de raison...
'fin, j'dis pas que la tarte n'est pas délicieuse, hein... mais bon... il fait soif...

Large sourire angélique, heureusement que son Irlandais la connait, il a précédé sa demande à peine voilée, et lui tend un verre que la bien séance voudrait qu'elle sirote... Hum... quelle bienséance? rencontre non protocolaire n'est-ce pas?
Hop cul sec.


Ce rosé se laisse boire... mais...
leve un sourcil il a un gout de ... de trop peu...
Sourire qui s'agrandit encore tout en les regardant, l'un avec tendresse, et l'autre avec un air angélique.

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Écuyère de l'Ordre Royal de la Dame Blanche à l'écu vert.
en construction
Pluie

Doudou d’amour est là, vite vite vite arrivée. La coquine a un sixième sens réservé à la détection des chopines de vin rosé, c’est sûr. Pluie la prend par la taille, la serre tout contre lui, ouvre la bouche pour faire les présentations, mais non, sa tendre sauterelle s’en charge avec son charme et son efficacité légendaires.

Bah, profitant qu’il a la bouche grande ouverte, le blondinet s’envoie une interminable gorgée de pinard, puis claque la langue avec une satisfaction évidente. Il se tourne vers Aengus.

Oui, l’ami, c’est un vieux projet que Cori et moi nous caressions depuis des mois, d’ouvrir notre propre auberge. Et l’occasion vient de se présenter alors que nous ne l’espérions plus. Bien-sûr, il y a du boulot, mais nos amis et voisins de Montargis nous apportent une aide précieuse. Sans eux, nous nous demanderions encore par quel bout nous pourrions commencer le rafraîchissement de la bâtisse.

Ce mot de « rafraîchissement » s’insinue rapidement dans son esprit. Sa main capture le pichet et il remplit joyeusement les godets, en servant en premier lieu Azzera qui apprécie visiblement le petit goût fruité du jus de la treille, et arbore un immense sourire qui fait plaisir à voir. Elle savoure manifestement cet instant de détente.

Pluie se rappelle de leur précédente conversation, en compagnie de Kali. Amoureux des voyages et de l’aventure, sa doudou et lui avaient envisagé un moment d’intégrer la troupe des « blanches ». Bien-sûr, le fait qu’elles refusent toute recrue de sexe masculin les avait retenus. Une question germe dans l’esprit de l’échalas.

Avant d’aller jusqu’à la fête, dites nous, les amis. Comment faites vous quand Azzera part en mission pour défendre les intérêts de la patrie et du Roy ? Aengus, as-tu reçu l’autorisation des « blanches » pour l’accompagner et pour partager … euh … sa couette ?

Une lueur coquine et amusée s’allume dans les yeux du blondinet.

Mouais, je sais, c’est une question indiscrète, mais on est entre amis, non ? Evidemment, si c'est un secret militaire ...

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Aengus
Corisande ne se fit pas attendre.

Une espèce de douce tornade blonde, enjouée et jolie comme un coeur... Ces deux là étaient bien assortis... Du pur bonheur de se retrouver en si charmante compagnie.

Ma Sirène était aux anges. Visiblement, cette trêve dans notre mission la ravissait car à voir le rose lui monter aux pommettes, je sus qu'elle était au comble du bonheur.

Présentations sans protocole ni chichis... Le plaisir de retrouver des amis ou d'en connaître de nouveaux passe bien avant les conventions et c'est bien ainsi.

Bientôt, nous nous installons tous dans l'herbe. Azz s'est débarrassé de ses bottes et enfonce avec délices ses jolis pieds nus dans l'herbe... Je retrouve une petite fille enjouée, taquine, mutine, les commissures barbouillées de tarte aux abricots, qui, un verre vide à la main minaude joliment priant qu'on ne l'oublie pas dans la prochaine distribution !

Rires...

- Le vin rosé vous convient ou auriez vous plaisir à boire ,une boisson d’Irlande, notre ami Riotam, un de vos compatriote nous a laissé un tonnelet d’excellent Irish whiskey.


- Je vous remercie Cori, à cette heure du jour, le rosé me convient parfaitement... mais avant de reprendre la route, notre mission terminée, je pense que nous passerons vous dire au revoir... et, à cette occasion... pourquoi pas... Le Uiscè reste, évidemment, ma boisson favorite...Un compatriote, dites-vous ?... il est ici ?... à Montargis ?


Rires encore ... Puis Pluie :

- Oui, l’ami, c’est un vieux projet que Cori et moi nous caressions depuis des mois, d’ouvrir notre propre auberge. Et l’occasion vient de se présenter alors que nous ne l’espérions plus. Bien-sûr, il y a du boulot, mais nos amis et voisins de Montargis nous apportent une aide précieuse. Sans eux, nous nous demanderions encore par quel bout nous pourrions commencer le rafraîchissement de la bâtisse.


- Vous avez bien du courage... et je déplores que nous n'ayons pas davantage de temps, sans quoi, nous aurions mis la main à la pâte avec joie. C'est toujours un plaisir de participer à l'accomplissement d'un projet...
En même temps, il nous tarde de rentrer à Mimizan... Je dois y suivre une Pastorale en vue de me faire baptiser...


Je regardes ma douce Sirène en prononçant ces mots... Nous en savons l'importance.

- Nous avons... enfin...Septembre sera pour nous une période... importante...


Petit silence... regards de ma Sirène... mille feux dans nos prunelles...

- Avant d’aller jusqu’à la fête, dites nous, les amis. Comment faites vous quand Azzera part en mission pour défendre les intérêts de la patrie et du Roy ? Aengus, as-tu reçu l’autorisation des « blanches » pour l’accompagner et pour partager … euh … sa couette ?


Une lueur coquine et amusée s’allume dans les yeux du blondinet.

- Mouais, je sais, c’est une question indiscrète, mais on est entre amis, non ? Evidemment, si c'est un secret militaire ...


Un instant, mon regard va d'Azzera à Pluie... Puis je pars d'un éclat de rire. Une pause puis, plus sérieusement :

- Ma foi, il n'y a nulle indiscrétion Pluie. A Mimizan, j'ai... euh... "enlevé" ma Sirène... avec son consentement... Mais je savais qu'elle partait en mission. Je m'y suis, en quelque sorte "imposé".
Cela dit, notre idylle a ému ses Soeurs et j'ai été accepté au sein du groupe à la condition que je me plies aux règles de l'Ordre. En contrepartie, j'ai mis ma lame au service de la cause qu'elle défendent.


Petit sourire malicieux :

- D'autre part, les Blanches n'ont pas fait voeu de .. chasteté ni d'abstinence... donc oui... nous partageons la même... "couette"... Nous évitons juste les ébats trop... démonstratifs... Oui, c'est parfois dur... et les traces de morsures s'accumulent sur nos épaules !


Rires encore... Azz rougit un peu... Par Lug.. qu'elle est belle !
Pluie

Pluie observe Azzera en souriant jusqu’aux oreilles. Ca l’amuse toujours énormément de taquiner ses amis, et surtout ses amies, et Aengus lui tend là une perche qu’il ne peut laisser s’échapper.

Ainsi damoiselle Azzera serait une carnivore … La réputation des « blanches » est de se comporter comme de véritables lionnes au combat. Si j’ai bien compris, elles ne se limitent pas aux champs de batailles pour exercer leurs talents.

Un soupçon de confusion naît sur le doux visage de la belle. Euhh, Pluie, mon grand, si tu parlais d’autre chose à présent ?

Ainsi donc vous allez vivre des moments importants en septembre. C’est mystérieux, ça. Ecoutez, voilà ce que je vous propose. Ma doudou et moi on va se débarbouiller trois minutes à la rivière, on se change, et on revient illico, puis on ira tous ensemble à la fête, d’accord ? Le temps aussi de prévenir la vaillante équipe qui trime encore dans les chambres et sous le toit.

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Les blondinets sont de retour après quelques minutes, vêtus proprement, visages hâlés et brillants comme de casseroles de cuivre, ayant averti la troupe dynamique de joyeux bricoleurs qui sévit dans la bâtisse.

On ne vous met pas dehors, les amis, notre porte vous sera toujours grande ouverte. D'ailleurs nous allons aménager six chambres au premier étage, avec des murs très épais, permettant les étreintes les plus fougueuses et passionnées.

Coup d’œil gentiment coquin vers Azzera, tandis qu’il pousse la grille qui grince toujours autant.

En route ? Dites-nous, que se passera t’il donc de si fameux en septembre ?

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Damegnime
Nime était perdue entre les toiles d'araignées et les moutons, oui il y avait même des moutons dans cette auberge,
soudain, elle aperçut par la fenetre deux couples épanouis et guillerais...
elle écarquilla les yeux et reconnu Pluie et Cori

quoi quoi QUOIIIII????

les maitres des lieux en train de s'amuser pendant que les autres travaillaient???

un sentiment de... lui vint à l'esprit.... elle se ressaisit....
rhoooo Nime.... ils ont bien le droit de se poser aussi quand même....

Mais quand même....
Elle cria par la fenetre de toute sa paysannerie

eeeEEEEEHhHhHhh PLUIE!!!!! CORIIIIIII!!!!! y reste pas de l'hypocraaaaaAAAAssssSSSSS!!!! pour les travailleurs que nous sommes?

elle était fière de s'etre exprimé, quel courage....
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