Henora.
L'explication du mâle semble plus complète dans le descriptif même si elle a dut puiser toute son énergie pour assimiler les mots aux images dans sa tête. Faire la traduction, décortiquer, l'épuisait mais il fallait bien ça pour qu'elle arrive à comprendre, se faire comprendre et se mêler à la masse du peuple.
Elle l'observe rire alors qu'il pleurnichait quelques minutes avant et ne peut s'empêcher de sourire alors qu'elle porte à nouveau son verre à ses lèvres pour en délester une bonne gorgée. Elle sent son regard sur elle, prend le temps de savourer sa gorgée en regardant autour d'elle puis jugeant qu'elle avait assez attendu, elle tourne la tête vers lui et plante ses yeux clairs dans ceux de l'ivrogne pour les accrocher.
Moi venir d'un pays où le floid est roi, beaucoup de neige, hommes forts, femmes belles. Pas y avoir aussi beaucoup château, glandes plaines et animaux sauvages fé..fé..féroces.
Elle parle calmement, ses yeux toujours fixés sur ceux de l'homme, la tête pleins de souvenirs de ces immenses plaines enneigées, des loups, des ours, de la rudesse de sa vie mais de l'esprit de liberté qu'elle laissait à vivre contrairement aux maisons de ce royaume qui sont les unes sur les autres, entourées de remparts et tout le tralala.
Poul le reste, toi pas tlomper cig..ogne.
Le défis elle le relève et ça se voit dans son regard devenu pétillant et son sourire qui se dessine en coin.
Lentement ses mains fines s'approchent et alors qu'une glisse sous la main de l'homme pour refermer doucement les doigts sur le poignet et la paume, l'autre vient effleurer du bout des doigts l'intérieur de la main. Elle s'amuse à frôler, caresser, elle suit les lignes et se mord la lèvre inférieure, concentrée.
Niet. Jamais.
La main de dessous remonte et elle prend celle de Stain, appuyant ses pouces dans la paume du creux jusqu'à la base du poignet.
Toi êtle tliste. Longtemps. Tlès longtemps. Mais toi finir par oublier. Toi galder elle dans coeur de toi mais toi guélir, toi aller mieux, toi retlouver soulire, toi tlouver oune autle femme.
Et ses yeux orage se relèvent vers lui, plutôt tendres et bienveillants (normal c'est un Ange), attendant une réaction.
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Elle l'observe rire alors qu'il pleurnichait quelques minutes avant et ne peut s'empêcher de sourire alors qu'elle porte à nouveau son verre à ses lèvres pour en délester une bonne gorgée. Elle sent son regard sur elle, prend le temps de savourer sa gorgée en regardant autour d'elle puis jugeant qu'elle avait assez attendu, elle tourne la tête vers lui et plante ses yeux clairs dans ceux de l'ivrogne pour les accrocher.
Moi venir d'un pays où le floid est roi, beaucoup de neige, hommes forts, femmes belles. Pas y avoir aussi beaucoup château, glandes plaines et animaux sauvages fé..fé..féroces.
Elle parle calmement, ses yeux toujours fixés sur ceux de l'homme, la tête pleins de souvenirs de ces immenses plaines enneigées, des loups, des ours, de la rudesse de sa vie mais de l'esprit de liberté qu'elle laissait à vivre contrairement aux maisons de ce royaume qui sont les unes sur les autres, entourées de remparts et tout le tralala.
Poul le reste, toi pas tlomper cig..ogne.
Le défis elle le relève et ça se voit dans son regard devenu pétillant et son sourire qui se dessine en coin.
Lentement ses mains fines s'approchent et alors qu'une glisse sous la main de l'homme pour refermer doucement les doigts sur le poignet et la paume, l'autre vient effleurer du bout des doigts l'intérieur de la main. Elle s'amuse à frôler, caresser, elle suit les lignes et se mord la lèvre inférieure, concentrée.
Niet. Jamais.
La main de dessous remonte et elle prend celle de Stain, appuyant ses pouces dans la paume du creux jusqu'à la base du poignet.
Toi êtle tliste. Longtemps. Tlès longtemps. Mais toi finir par oublier. Toi galder elle dans coeur de toi mais toi guélir, toi aller mieux, toi retlouver soulire, toi tlouver oune autle femme.
Et ses yeux orage se relèvent vers lui, plutôt tendres et bienveillants (normal c'est un Ange), attendant une réaction.
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