[RP] Salle des gardes

Le délicieux moment de l'attente...

On peut dire n'importe quoi sur les rencontres, les moments où tout à commencé, mais les retrouvailles... Quand il se lève un peu brusquement pour la rejoindre de l'autre côté du fauteuil, elle tourne sur elle-même, suivant son mouvement. Appuyée contre le siège, elle le regarde la rejoindre, la fixer, immobile, le cœur un peu fou et les jambes flageolantes.

Évidemment, il est bien plus grand qu'elle, bien plus large, bien plus fort... Mais quelle importance lorsque de toutes manières, on a pas l'intention de se défendre quand il vous attire enfin à lui et vous embrasse comme tout ce qu'il fait, avec passion ? Elle n'écoute pas sa réponse, elle la connait déjà. Elle se contente de se laisser porter par le moment et d'aimer avoir l'impression d'être légère comme une plume dans ses bras.

Quand il lui parle à nouveau, elle sourit, incapable de dire un mot tellement elle est bouleversée. Seuls ses lèvres sur les siennes comptent, ses bras qui la tiennent prisonnières, eux-deux qui tournoient comme deux anges dans un ballet qu'elle espère sans fin. Tout ce qu'elle arrive à murmurer est juste

Pardonne-moi, j'avais peur de me tromper à nouveau, j'étais seule et sans nouvelle, j'ai été stupide et faible...

Le visage enfoui dans ses vêtements, respirant son odeur, écoutant son cœur aussi agité que le sien, la rousse se serre contre lui comme pour ne faire qu'un.
_________________

Vertige...

Elle devait avoir le regard le plus niais qu'il puisse exister. Pas la bouche ouverte non quand même pas, mais aphone ça oui sans aucun doute ! Tout s'entrechoque à nouveau dans sa tête, un raz-de-marée vient de lui piquer ce qui lui restait de cerveau, et d'aucun vous diront que "déjà qu'il n'y en avait pas beaucoup...". Mais là le désert... On entendrait presque le vent traverser le crane...

Les prunelles vertes écarquillées sous la surprise, un peu comme pour le truc auquel vous rêvez intensément pendant une éternité, et quand ça arrive, ben vous y croyez pas. C'est devant vous, là, vous pouvez le toucher mais vous le faites pas, car vous vous dites que si vous osez, vous allez vous réveiller et que ça n'était qu'un rêve...

Comme dans un rêve justement...

Elle se lève, attrape la bouteille de prune qui la nargue depuis une éternité et boit une longue gorgée brulante au goulot. Elle repose la bouteille, les yeux humides, et fait quelques pas pour faire face au feu dans l'âtre. Elle broie ses propres mains, incapable de trouver les bons mots, les bonnes pensées...

Parfois on touche quand même...

Elle ne le regarde pas quand elle s'approche, si elle le fait, elle risque de flancher ou de dire une connerie aussi intelligente qu'elle, elle veille juste à bien mettre un pied devant l'autre sans se vautrer lamentablement à ses pieds ou encore en se pétant une cheville au pied de la table. Elle arrive justement en vu de ses bottes à l'ours, elle contourne le fauteuil, se penche derrière lui comme pour murmurer à son oreille, et justement...

Je t'avais demandé de ne pas m'attendre...
Mais évidemment... tu ne m'as pas écoutée...

Elle marque une pause, mourant d'envie de plonger ses lèvres dans son cou. La rousse sent son ventre se serrer, sa gorge s'assécher, et surtout a l'impression d'être au bord d'un précipice. Elle continue néanmoins sur le même ton.

Il parait que ce n'est pas bien de faire attendre, que cela ne se fait pas...
Il parait également que le Très Haut aime que l'on accorde une deuxième chance à l'autre. Alors j'ai une question à te poser, très simple.

Est-ce que malgré cette longue attente, tu me m'accorderais une deuxième chance ?
_________________

Il semblait contrarié, ronchon, trop mignon en fait et ça l'agaçait de le voir ainsi... Elle se savait faible désormais et sa solitude n'était pas une force en sa présence, loin de là. Quand il se lève d'un coup, elle craint de l'avoir vexé, mais quand elle entend farfouiller au fond de la pièce, elle reconnait le bruit des bouteilles qui s'entrechoquent et ressent un certain soulagement.

Lorsqu'il approche, elle fait néanmoins semblant d'être toujours absorbée par sa lecture, évitant son regard bleu qui la trouble tant. Elle accepte le verre et le déteste pour son sourire qui donne envie d'être effacé par des baisers. Elle se mord la lèvre et marmonne un remerciement étouffé sentant que sa voix risque de se troubler.

Quand il reprend sa lecture, elle sent venir une guerre des nerfs et se force à siroter la prune le plus lentement possible, trop tentée de prendre la bouteille et la descendre à même le goulot. Les yeux perdus sur une page qu'elle fixe depuis au moins dix minutes dont elle serait bien en peine de répéter de quoi elle traite, la rousse l'observe du coin de l’œil, l'enviant de l'air satisfait qu'il semble avoir. Puis soudain, il lui adresse à nouveau la parole...

Bien sûr qu'il est possible de me parler, je suis si redoutable qu'il faille prendre des gants pour cela ?

La formulation de la question la fait sourire...
_________________

Mouhaha ! Le voilà qui me donne un cour sur le moral des troupes... J'ai fait la Savoie deux fois moi naméo, le Ponant plus la guerre civile tss !!! Évidemment, cela pouvait être qu'une provocation de sa part pour la faire râler et en général ça marchait plutôt bien. Mais ce jour là, la rousse n'avait pas envie d'asticoter, et encore moins qu'on l'asticote, c'est vraiment pour ses hommes, ses amis et ses frères d'armes qu'elle s’inquiète. Elle reste un instant silencieuse.

Une fois la "leçon de chose" de l'ours terminée, elle se contente de sourire sans répondre, ravalant toute remarque cinglante qu'elle a au bord des lèvres. Elle l'observe entre ses cils, ne pouvant s'empêcher de se demander si il a quelqu'un dans sa vie désormais. Avec sa quarantaine passée et la cicatrice qui traverse une de ses joues, il est au sommet de son charme et de sa virilité et bien des images qui n'ont pas leur place ici lui reviennent à l'esprit. Préférant éviter un de ses regards inquisiteurs, elle se plonge à nouveau dans la lecture du volume qu'elle a en main, ayant beaucoup de mal à se concentrer, son esprit vagabondant vers des souvenirs qu'il valait mieux oublier.
Alors comme si elle parlait à un enfant...

Ce lieu étant la salle des gardes, à part des membres de la G.R., moi y compris, je ne vois pas qui d'autre tu pourrais croiser... De plus, si je ne voulais pas être dérangée, je serais enfermée dans mes quartiers...

Après un léger soupir, elle secoue la tête.
_________________

Broyer du noir est une chose, mais se retrouver dans un fauteuil assise en compagnie de l'ours, ça c'était pas au programme... Elle aurait dû grogner pour manque de salut militaire, mais c'était aussi elle qui avait instauré que cette salle serait sans chichi et évidemment ça n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Elle qui regrettait de ne pas voir plus souvent ses hommes dans cette salle en était pour ses frais, il avait juste fallu que ce soit lui, évidemment...
Et évidemment elle ne peut s'empêcher de sourire, ce qu'il pouvait l'agacer...

Bonjour Arga, et arrête avec tes capitaine, c'est sans chichi ici.
Je suis inquiète des manigances de Rome, inquiète pour mes hommes au front et prie pour que le Très Haut n'oublie pas ceux qui œuvrent depuis toujours pour sa gloire.
A part ça, je vais bien...

Et toi ? Besoin de lecture ?

Il avait les traits légèrement tirés, mais n'en n'était pas moins toujours aussi sexy, oui vraiment agaçant !
_________________

La Garde Royale...
Belle institution dont elle était devenue Cap par un caprice du destin et qui semblait un peu tirée à hue et à dia depuis quelques temps. Ses hommes partant au front sans même pouvoir le faire en sécurité parce que Namay était relégué dans le Sud, d'autres qui avaient pu prendre sur sa suggestion un train royal en marche, certains déjà au coeur de la bataille et pas des moindres.

Et elle était vautrée une fois de plus seule dans un fauteuil à attendre que Rome cesse de faire ch... le monde, que des obsèques dignes de ce nom puissent enfin avoir lieu, qu'un Sacre puisse se préparer, etc...

Aurélien remplacé par notre Évêque qui n'en n'a jamais fichu une en Périgord... Y'a vraiment de quoi pleurer... Rome ferait mieux de s'occuper du Royaume dont les églises se vident à force d'honorer des fainéants qui laissent la maison du Très Haut sans officiant... Au moins, à l'époque du Grand Inquisiteur, on avait des curés et des diacres...

Si on avait dit à la rousse qu'elle regretterait le mal chaussé un jour, elle aurait éclaté de rire, mais la situation ne prêtait vraiment pas à rire.

On devrait pouvoir voter pour l'élection du Pape, ça changerait beaucoup la donne... Mais ils sont pas fous ! Enfin, pas quand il s'agit de leur popotin en tout cas...

La Capitaine de la Garde Royale, bonne aristotélicienne, baptisée et espérant toujours, malgré son âge, se marier dans la maison du Très Haut, broie du noire devant l'âtre d'une salle des gardes qui résonne de solitude...
_________________

Entre les allers-retours Reims/Paris, entre les obsèques, anoblissements, mariages, et pique-niques en tous genres, la vindicative essayait de trouver un peu de temps pour elle. Mais quand elle était au Louvre, ce qui n'était pas si souvent en fait, elle n'avait jamais le temps de se poser.

Évitant l'air de rien la salle d'entrainement, la môme au loup se décide à prendre un couloir en direction de la salle des gardes. La première bonne surprise fut le feu de cheminée qui crépitait dans l'âtre, la seconde se trouvait être une belle bibliothèque plutôt bien garnie sur l'art de la guerre, du duel, de l'assaut, etc.

En continuant de fouille un peu plus, Patt finit même par tomber, surprise des surprises, sur un recueil de poèmes. Fort friande de ce genre de lecture, elle se vautre nonchalamment dans un gros fauteuil bien confortable, bottes posées sur un coffre. Juste le temps de laisser ses émeraudes se perdre dans la danse infernale des flammes, la rousse se penche sur le livre et commence à en parcourir les pages...
_________________

Agacée en ce moment, le ventre pointant son état, elle arrive d'un pas décidé à la salle de garde et manque de se tamponner avec un messer, elle lève les yeux de ses bottes et ô reconnait Didier

Ahem vous ici? Quel plaisir cher beau frère de vous revoir! Comment allez vous?

Petit sourire gênée


_________________

Theodal lisait, oui il savait lire, il avait eu une éducation des plus complètes ! Bref il lisait...Et il attendait que la Capitaine vienne le chercher pour lui donner ses ordres.


C'est ainsi qu'ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfant. Ainsi se termina le livre que Theodal de Belle-Rivière lisait.

BOnjorn
Ciaram sursauta en entendant une voix derrère son dos , elle était occupée à faire oublier la taille minusucule de sa fiole à son compagnon d'armes et elle n'avait pas entendu la porte s'ouvrir mais elle se reprit bien vite

Dame Stephandra ne devrait pas tarder , Messire , vous pouvez vous joindre à nous en l'attendant , enfin si Ricco ne finit pas la fiole à lui tout seul bien entendu !!!!

Ciaram invita l'officier à s'asseoir pour le faire patienter

Ricco s'attendait quand même à une bouteille un peu plus grande !!

-C'est déjà ça ! lança-t-il à Ciriam en regardant la petite fiole qu'elle venait de sortir.
_________________

-Salut toi ! Tu as réussi à trouver l'endroit où l'on se repose ?? j'espère que tu n'es pas venue les mains vides ??
Ricco passa à coté de Ciriam et pénétra dans la salle. Il alla directement à sa place préférée, la 2ème chaise de gauche à la grande table.
Puis il regarda de nouveau Ciriam
- Alors, on commence à s'y retrouver dans les couloirs. Mais t'inquiète pas à y en a qui n'ont toujours pas trouvé... Ricco termina la phrase en s'esclaffant et frappant sur jambe.
_________________

Son précédent succès l'ayant enhardi, Nicolas passa le seuil... sans rencontrer le moindre mur d'air invisible ! Il était presque trop surpris pour parler, et ne répondit pas tout de suite à la capitaine.

Me voilà, je suis entré... depuis le temps qu'on contemplait cette porte sans pouvoir la passer !
_________________

Eclate de rire et regarde Jason

Rassure moi ! Tu comptes pas sur moi pour les ôter hein?

Pis sérieusement

Bon qui peut être présent demain?
_________________

S'avance à la porte maintes fois contemplées... la pousse avec hésitation... et ouvre des yeux grands comme des soucoupes lorsqu'elle s'ouvre.

Ooooh...
_________________

Entrée en fanfare de Ricco, elle le fixa du regard

Bah vi ça n'est que moi.... tu sembles déçu?
Tu espérais qui?

Sourire amusé
_________________

Ricco passait dans les couloirs ...

tiens LA porte ouverte !! se demanda-t-il en regardant cette porte qui avait si longtemps été fermée...

Il se souvenait lors de son engagement qu'on lui avait bien dit : "tu peux aller où tu veux mais pas cette porte-là". Pourquoi il ne le savait pas ?

Mais aujourd'hui elle était ouverte et la curiosité était trop grande pour qu'il puisse y résister. Il poussa donc la porte doucement afin de pouvoir passer la tête.

Quelle ne fût pas sa surprise quand il découvrit ce qu'il y avait dans la pièce.

AHH ! (cri de surprise) OOOhhhhh ! (cri de déception) c'est toi ?
_________________

Du fond de la salle Jason assistait à l'intronisation des nouvelles recrues

Dame Lilynignt, qu'il avait du croiser dans une vie antérieure et Dame Elaine, une vieille connaissance du temps de Sarlat.

La garde commençait à s'étoffer, et pourrait à terme être une force vive du Royaume, entièrement dédié à ses Altesses Royales.
_________________
Jason de Prie-Montpoupon
Baron de Sainte Maure

Son épouse avait le regard des grands jours, il releva un sourcil ce demandant ce qu'elle était en train de préparer ? Représailles ? Non elle n'oserait pas cela, pas devant ses hommes.
Un doute soudain s'embrasa en lui, et si elle allait ce venger aprés lorsqu'ils seraient seuls.
Non elle savait faire la différence entre nos fonctions et notre vie privée, il la connaissait bien........Enfin il espérait car une femmes , reste une femme, et la sienne ne déroge pas a cette adage.

La preuve cette vois stridente qui raisonne, elle ce dirige vers la table, il en profite.

- Pas de favoritisme, j'aurais pu choisir une autre intronisation, en effet! A caractére plus piquante.....dit il avec un regard plein de malice.

Il était content de lui, l'idée était bonne , il croisa ses bras sur son torse , tout en suivant Lily du regard , a fin de graver cet instant a jamais dans sa mémoire.
Il y a pas a dire, elle est ingénieuse. Lorsqu'elle parle de calava il ne dit rien ouvre ses bras, voulant dire : -fait le. Toujours avec ce sourire magnifique qui reste figé sur le visage de Kazert.
Lorsqu'il voit la tête de Lily aprés avoir ingurgiter ce mélange, il ne peut que rire en l'applaudissant des deux mains. a ce moment il remarque que beaucoups rit, ce qui est bien, térs bien.....les pauvres.

- Mes félicitations Lilynight.

Il s'approche d'elle sert dans un gobelet propre une rasade de calva et lui tend

- Pour faire passer le goût.

Il regarde Elayne

- A vous Elayne.

Sibella fait l'étonnée, comme savent le faire si bien toutes les femmes. Il lui répond avec sourire.

- Oui, toi ....moment de solitude pour l'amie, puis exclamation de joie.

- Bravo cela est la bonne réponse. Je savais que.....Il ce retourne et regarde son épouse.

- Mon épouse vous devrez essuyer votre menton, et faite attention au calva que Arianrod et aristide vous propose.....Ce n'est pas certain que cela soit du Calva.

- Bien Sibella, voyons maintenant nos deux autres compagnons.

- Lilynight et Elayne je vous prie d'avancer . pour vous ce n'est pas pareil, cela sera une intronisation traditionnelle.

Un valet arrive et dépose, une assiette recouverte d'un tissus. Kazert enléve le tissus laissant apparaitre des oeufs frais.

- Ils sont de ce matin, et frais . Dit il en les désignants.

- Dans le régiment ou j'ai servit il y a bien des années ,c'était cette intronisation que nous devions passer. Elle n'est pas difficile, vous devez juste prendre l'oeuf et le manger ....cru...avec la coquille.
Avec un large sourire Kazert montre l'exemple, il prend un oeuf , ouvre sa bouche et l'y enfourne. puis il mâche , ce qui provoque un bruit de miettes écrasé.....il lui faut que une ou deux minute pas plus.
- Ensuite il faut juste rincer votre bouche.....Et la il avale un verre de calva, qui est du calva, heureusement songe t'il

- Elayne, Lilynight a vous .......

- Dit là , c'est un peu fini tout cela un peu de tenue.......Mince ils sont au Louvres, quoi ?

Il était temps de parfaire cette cérémonie. Il s’avança et demanda le silence. Puis regarda les bleus.

- Bien , nous voila au dernier moment de cette cérémonie. L’intronisation, donc pour répondre a Arianrod voici
Il regarde Sibella et :

- Vu ton état, mon amie, il est hors de question que tu le fasses, donc pour toi, cela sera les questions étrange a la Kazert.
- Non en faite juste une devinette.
Il pose sur une table six brindilles

- Comment peut-on faire quatre triangles équilatéraux avec ces six allumettes …sans les briser il va de soit

Il regarde la Sibella , attendant que celle-ci réponde.

Cérémonie sobre, rapide efficace. Trois nouveaux gardes, trois femmes. Il ce demande si cela est du a son physique ou a son charisme. Frotte son ventre, charisme Kazert, le charisme, car tu as du ventre, un peu c'est vrai mais du ventre. Encore heureux que tu ne sois pas chauve. Cela gâcherait tout.
Il remarque que toute ont montré un moment d'émotion, certainement un trait de la gentes féminine.
Il va devoir veiller a ce que la garde ne ce transforme en salon de thé. Regardant son épouse qui jette des regards vers les tonneaux. Il songe que le salon de thé ne sera qu'une façade cachant une bande d'ivrogne. déjà qu'avec les Normands ce n'est pas gagné. Car il connaît bien la Normandie, pour avoir participer au championnat de soule. Mais ils etaient fidéle au Roy et a sa famille, hacun donnerait sa vie sans aucune hésitation.......

- Bien alors pour fêter ceci un verre de bienvenu, ensuite vous aurez votre premiére mission. Passer l'étape d'intronisation, que j'instaure dé ce jour.

Arbore un immense sourire. Oui, comment le changer le Kazert? Il sort toujours un truc étrange.
cette fois cela sera quoi les questions qu'il aimait poser aux recrues ?
Alors qu'il sert le calva dans les verres, il imagine déjà la scène.
Il prend un verre et attend que Valnor raccroche l'étendard pour lever son verre et porter le tost.

- Au Roy , a la garde.
- UNIS PAR LA GARDE, NOTRE CORPS POUR LE ROY dit il d'une voix forte

Sibella se présenta devant Kazert, le regarda droit dans les yeux, le moment était sérieux. Elle jeta un oeil vers Valnor qui tenait l'étendard. Elle aurait voulu s'agenouiller sur un genou, mais actuellement vu son état ce n'était pas recommandé.

Avec émotion elle pris des mains de Kazert les bâtons de la Garde Royale en lui adressant un timide sourire.
Elle les regarda, elle était fière, ce moment lui rappela son serment pour la Hérauderie où elle reçu aussi les bâtons de Héraut Royal.
Elle se tourna légèrement vers Valnor qui tenait l'étendard de la Famille Royale, puis prêta serment d'une voix claire

Nous, Sibella de Chenevières-Vissac, Baronne d'Usson et de Riom, Dame de Beaumont de Comborn et d'Herzeele, debout devant l'étendard représentant la Famille Royale, la main gauche sur le coeur, les bâtons tenus dans la main droite et présentés devant l'étendard, prêtons ce jour serment de servir sa Majesté le Roy LevanIII de Normandie et la Famille Royale, leur jurons fidélité et sommes prêtes à donner de notre vie pour sauver la leur.

Qu'Aristote et vous tous ici présents en soient témoin !

Voilà, elle l'avait dit son serment, elle y avait pensé en venant. Etait il correct ou non, mais pour la jeune femme, elle l'avait prononcé avec son coeur et son âme, comme tous les serments qu'elle avaient eus à prêter jusqu'à présent.

Elle regarda son ami et Capitaine Kazert, lui fit un sourire beaucoup plus convivial que le précédent. Elle avait hâte d'avaler un grand verre d'eau et elle savait bien qu'après la cérémonie de petites choses étaient prévues.

[ Cours des quartiers de la garde Royale. Serment de la promotion : Femmes fatales ]

Il fallait y aller, il ne s'habituait pas a être là au lieu d'être en face. A si ils l'avaient connu a l'époque ou il avait lui prêter serment. Il regarde les recrues, surtout que là il y a que des femmes. Il sourit a son épouse en, songeant que même a cette époque il était marié, et que son coeur était déjà pris par la belle Hélène qu'il aimerait a l'instant présent manger.

Kazert regarda valnor portant cet étendard pour qui ils étaient tous prét a mourir. Il pris dans ses main un coin de l'etandard et regarda l'assemblée. Le discours était le même que dire de plus?

- Cet étendard et celui de notre compagnie, celui de la garde Royale. Il représente la famille royale, les bâtons représentent la garde. Ses bâtons seront désormais sur votre blason. Ils représentent votre serment envers la famille royale et le Roy. Ils représentent votre allégeance a votre Roy. Ils sont là pour rappeler a tous, que vous ne répondez pas a un appel du Roy, mais que vous êtes les yeux, les oreilles, et l'épée du Roy.
- Ils sont là pour rappeler que vous servez le Roy chaque jour que Dieu fait.
- Ils sont là pour rappeler que vous êtes tous égaux quelque soit vos titres de noblesses.
- Ils sont là pour rappeler qui vous êtes sous les yeux des vétérans, vous allez , vous la nouvelle garde prêter serment en prenant cet étendard dans votre main. Comme vos prédécesseurs l'ont fait.

Jusqu'à là pour les anciens rien de nouveau, ils doivent tous croire que le capitaine, a un seul discourt. Ce qui est vrai. Mais au lieu d'appeler les bleus il reprend, ce qui surprend plus d'un

- Aujourd'hui, nous allons accueillir dans la garde des personnes de valeurs. L'une est l'épouse de notre compagnon Valnor, une autre est....il sourit et ce tait en songeant la Fleur du Limousin, puis reprend, .....est une amie cher a mon coeur......plonge son regard dans celui d'Hélène.... et la dernière: est mon épouse.

- Je veux que tous sache qu'il y a aucun privilège, je serais aussi complaisant et sévère avec tous.
- Je rappel aussi que le Capitaine de la Garde c'est moi, personne d'autre, les ordres vous les recevez de moi, personne d'autre ,sauf si je suis absent naturellement..............mais cela ce produit que très rarement.
- Le premier qui remplit une mission quelconque pour la prévôté ou pour le Roy, la famille Royale ou toute autre personnes organisme , sans m'en avoir informer et avoir eu MON autorisation, je lui ferais goûter le parquet de mon bureau.

La dernière phrase avait été dit sur un ton plus imposant que d'habitude.

- J'appelle la Baronne d'Usson et de Riom - Dame de Beaumont de Comborn - Dame d'Herzeele Sibella de Chenevières-Vissac...elle s'approche , préte serment, kazert lui remait les batons.

- la Baronne de Belvès et Dame de Romefort Elayne de Troy de Lande Morte
.....Moment d'émotion pour cette femme et l'homme qui tient l'étandardétandard. kazert lui remet les batons.

- la Vicomtesse de Bruilhois, Dame de Pierre-Buffière, de Chantemerle et d'Auzillac Hélène....a une hésitation en regardant sa feuille, Sophie?...Hélène Sophie De Montferrat Demessy

Cette fois le moment fort est pour Kazert, voir son épouse étre a ses coté, est très important pour lui. Surtout après une séparation de pratiquement une année. Il lui remet les bâtons et du bout des doigts il effleure les mains de son épouse en lui faisant un grand sourire


La cérémonie ce fini par une petite collation. Oie farcit a l'ours, et quelque tonneaux de calva. Ben, oui les Hots Shot ne payent pas avec leur corps mais avec la boisson.

- Bien, très bienrépondit Valnor

Puis son épouse arriva et vint rejoindre le petit groupe. Valnor ne pouvait laisser quelques effusions transparaître même si l'envie ne manquait pas. Il avait la bannière des Gardes Royaux en main et la cérémonie n'allait pas tarder.

- Bonjour mon aimée, avez-vous trouvé Paris et le Louvre à votre goût ? s'enquit-il avec un sourire ne pouvant faire plus pour le moment.

Aristide arrivait à son tour, il était évident que rapidement le cérémonial allait commencer et le Capitaine Kazert se dirigeait vers sa place.

- Vite ma douce gagnait votre emplacement dit-il tout bas à Elayne, je vous embrasse dans un murmure.
_________________

_________________

[ Cours des quartiers de la garde Royale. Serment de la promotion : Femmes fatales ]


Que d'animations, et que de responsabilités. Kazert était heureux, cette entité commençait a prendre corps.
Bientôt il serait a la tête d'un groupe prêt a tout pour lui , la famille Royale et le Roy. Maintenant qu'il avait éliminé Sebbe mis dans un trou oublié du Louvre, puis refermer ce trou avec une immense statue a son effigie. Quelle gloire, il est adulé par tous et toute, il doit repousser les femmes folles de son corps, il reste a éliminer les autres et puis qui peut savoir...........

- Quoi NOOON Mais....Un regard noir au garde qui vient de réveiller Kazert.

- Excuser moi mais vous m'aviez dit de ...Il ce souvient de la consigne et du réve. Il ce prépare rapidement et ce dirige vers la salle des serments. Tout en marchant il demande au garde

- Si un jour vous entendez que l'on creuse un trou quelque pars dans le Louvre, je vous ordonne de me mettre un bon coup dans ma figure, car il faut étre fou pour demander des responsabilités supplémentaire.

Kazet entra dans la salle et salua Valnor

- Alors le jeune marié comment il ce porte ?

Flute vas falloir refaire un discourt.....que dire que dire!

-Tu porteras notre étendard comme tu es le premier ...dit il heureux de sa trouvaille.

Le regards du capitaine ce posa sur la Dame, une hésitation, le trac, la peur ????

Il pris un ton des plus chaleureux et demanda:

- Akane ???

C'est qu'aprés en tant que capitaine, il devait offrir le gobelet de l'union....et a force d'attendre le vin allait étre chaud

A son tour Valnor s'avanca et saisis le coin de l'étendard et d'une voix audible et ferme dit :

Nous, Valnor de Lande Morte, par cet acte et devant nos anciens, pretons serment de servir le Roy et sa Famille au détriment de notre vie.
De servir la prêvoté pour que nul n'ignore de notre détermination à repousser les portes du néant avec l'aide d'Aristote et pour la gloire du Tout Puissant

S'inclinant légèrement à l'issue de son serment devant l'étendard, il reprit ensuite sa place dans les rangs de ce qui allait bientôt devenir un Corps d'Elite connu à travers le Royaume.
_________________

[ Cours des quartiers de la garde Royale. Septembre 1456 ]

Kazert avait répondu a Aristidedumoutier avec un sourire que oui c'était bien ici, puis il fit de même avec Jason

Il croisa le regard de Sebbe le Grand Prévot de France, un regard qui disait qu'il était temps de continuer. Etrange il lui avait semble être rapide pourtant, et puis il fallait y aller doucement.
Il ce remis devant les bleus, les nouvelles recrues. Il remarqua l'absence de certain, son épouse qui était souffrante. Il lui remettrait les insigne de la garde en privé, en tête a tête, lors d'un dîner. Airwolf aussi était pas là, il devait certainement faire galoper son cheval a bride abattu pour étre au rendez vous, ou alors en train d'honorer son épouse. Ah ces jeunes mariés.

Il hésita, un moment, cherchant dans sa mémoire comment il avait prété serment ici même il y a des années maintenant. diantre c'ets que le temps passe. En faite c'était juste avant d'aller sur besançon arrêter un homme avec le vieux, lui semble t'il.

Kazert fit signe a un garde qui apporta l'étendard de la garde Royale, Etendard au couleur du Roy, portant les Lys et deux batons en travers. L'étendard flottait légèrement, Kaiser attrapa un coin et regarda l'assemblée.

- Cet étendard et celui de notre compagnie, celui de la garde Royale. Il représente la famille royale, les bâtons représentent la garde. Ses bâtons seront desormés sur votre blason. Ils représentent votre serment envers la famille royale et le Roy. Ils représentent votre allégeance a votre Roy. Ils sont là pour rappeler a tous, que vous ne répondez pas a un appel du Roy, mais que vous ete les yeux, les oreilles, et l'épée du Roy.
- Ils sont là pour rappeler que vous servez le Roy chaque jour que Dieu fait.
- Ils sont là pour rappeler que vous ete tous égaux quelque soit vos titres de noblesses.
- Ils sont là pour rappeler qui vous ete........................sous les yeux des vétérans, vous allez , vous la nouvelle garde preter serment en prenant cet étendard dans votre main. Comme vos prédécesseurs l'ont fait.

- J'appelle messire Valnor......Valnor prêtait serment et kazert lui remis les bâtons.
- Messire Aristidedumoutier.....Qui fit de même , et Kazert lui remis les batons.
- Dame Arianrod.....Elle était la premier femme dans la garde, elle prêta serment, Kazert lui remis les batons.
- Dame Akane....Il ce dit qu'il devrait faire attention avec toutes ses femmes, la sienne risquait de ne pas le lacher d'une semelle. Akane prêta serment, Kazert lui remis les batons.
- Messire Jason.....Il preta serment, Kazert l'écouta regarda sebbe ce demandant si celui-ci faisait partie de la famille. Kazert lui donna les bâtons.

La cérémonie ce déroulait convenablement, jusqu'au moment ou il s'aperçut qu'il avait oublié l'essentiel...La boisson.

Bien les gardes commencaient à arriver, un par un. Il les salua tous au passage. Tout était prêt... tout le monde attendait un signe de Kazert.
_________________

Jason attendait de la réponse des personnes présentes, quand une Dame arriva, il l'a reconnu pour l'avoir croisé en les Grands Augustins, celle ci lui adressa un salut, auquel il ne manquat pas de répondre
_________________
Jason de Prie-Montpoupon
Baron de Sainte Maure

Des couloirs, et encore des couloirs, Dieu que le Louvre est grand, Jason avait demandé son chemin, aux greffiesr ou aux valets. Certains ne savaient même pas qu'il y a avait une salle des Gardes Royaux.
A force de tourner ici et là, un valet lui avait indiqué enfin le bon Chemin, faut dire qu'il n'était plus tout jeune, et qu'il devait connaître chaque endroit de ce Chateau.
Jason arriva enfin devant la Salle convoitée; il frappa.
Une voix grave, de derrière la porte lui dit d'entrer.
Jason ne se fit pas prier, il reconnu le Prêvot puis le nouveau Capitaine.

Messieurs, bien le bonjour, Jason de Prie-Montpoupon aux Ordres
_________________
Jason de Prie-Montpoupon
Baron de Sainte Maure

[ Cours des quartiers de la garde Royale. Septembre 1456 ]




Pour cause de guerre, les quartiers des gardes Royaux étaient restés silencieux.
Silencieux car beaucoup d'entre eux avaient servit en Bretagne, Beaucoup étaient sur les routes pour des missions d'escortes, d'arrestations.
Mais le pire avait été les funérailles de la Reyne il y a quelque jours. C'était si proche et si loin déjà.
Kazert, Capitaine de la Garde avait recut la tache de reprendre le flambeau de son ami Antonio. Heureusement pour la famille royale, et pour lui, beaucoup était volontaire pour servir le Roy, le protéger etc ela pas que occasionnellement, mais bien, tout les jours.
Personne ne savait mieux qu'un garde, ce que cela coûtait d'accepter de prendre cette fonction.

Par cette matinée de fin d'été, ou le froid s'engouffre dans vos poumons, rappelant que le chant du criquets est bien loin ; Kazert avait réuni toute la garde royale. Toute ?
Non certains étaient encore en mission, mais les principaux étaient là, la chaires fraîches étaient enfin arrivée. Les bleus , les novices, il allait devoir leur apprendre tout.........Encore heureux que tous sont exceptionnelle, et étaient de la noblesse, sinon il allait droit a la chatastrophe.

Kazert ce retrouve donc devant ses hommes, et femmes, il regarde vers l'une et songe qu'elle devrait rester sur ses terres vu l'état de son ventre, il ce demande si cela sera un fils ?
Puis regarde Sebbe, le Grand Prévot de France, Grand par le titre et la fonction et certainement par ses actions, mais prés de Kazert il semble petit. Kazert songe au vieux et ce demande ce qu'il est devenu ? Il ce reprend sourit a Sebbe tout en pensant qu'il aimerait éviter que cela dure.
Il respire, fixe chacun des futurs gardes.........et s'adressant a eux

- Mesdames, messires...............Vous voila chez les Gardes Royaux suite a votre demande.

S'adressant aux gardes

- Garde vous vous apprêtez a avoir de nouveaux compagnons......marque une pause.
- Certains ne sont plus a présenter, d'autre vous sont inconnu, nul importance.

Il regarde les nouveaux

- Ici, il n'existe aucun titre, personne n'est au dessus , vous ete tous égaux.
- Un seul but est ! Proteger la famille Royale!
- Vous ete volontaire, étre volontaire dans la garde royale s'est prendre un engagement avec MOI.

- Aprés avoir préte serment vous recevrez chacun vos insigne de Garde Royaux , que vous devrez porter en permanence.

Il s'arréte , un vent souffle dans la cour...................

Lockarius avait décacheté une missive de plus et l'avais parcouru, il releva la tête.

Je pense que cela sera inutile, j'ai là une missive de dame Arielle. apparement Son Éminence le cardinal Kreuz de Castelnou von rosenberg Valendras sera accompagné de deux gardes : le Capitaine Bernhardt von Berger et le Lieutenant Dieter W. Bernheim.

Dame Elisabeth, y a t'il d'autre emissaire étrangers attendu ?
_________________

En retraite pour une durée indeterminée, mise à jour de la signature à mon retour.

La Grand Maistre des Cérémonies de France, rendit visite aux Gardes du Corps.

- Le Bonjour Messieurs, estes-vous prêt pour tout à l'heure ?

L'on pouvait sentir l'anxiété de la Comtesse.
_________________

Je tâche simplement d'organiser la sécurité pour les festivités concernant le mariage du prince Morgennes.

Dans les heures qui suivirent, Lockarius donna une série de consignes aux différents gardes du Louvre ainsi qu'aux gardes royaux.

C'est alors qu'il s'interrogeait sur l'endroit où pouvait bien être le prévost de l'hostel du Roy, que la comtesse Elisabeth vint le quérir.

Sauf surprise, nous le sommes ma Dame.... Dites moi, dame Arielle vous aurait elle transmise la liste des gardes qui escorteront les dignitaires de l'Empire ?
_________________

En retraite pour une durée indeterminée, mise à jour de la signature à mon retour.

Kazert s'arreta net, il n'avait pas remarqué la présence de Pierre...pour un garde..pffffffffff
Il allait devoir se reprendre

- Bien, merci...mais je sens que je vais devoir faire la route de nouveau; songea t'il

-J'allais faire un tour dans le parc ...pour faire connaissance des lieux, tu te joind a moi?

Kazert arriva avec son échelle devant les murs du Louvre. Il avait mis quelques barreaux supplémentaires. Il la posa contre le mur et y grimpa....

- Flute encore trop court....Il resta ainsi quelque minutes, cela faisait maintenant des mois qu'il cherchait a pénétrer dans le Louvre. Pour quelle raison ? Tout simplement remplir son devoir de Garde Royal. Soudain il entendit une porte s’ouvrir. De suite il ce laissa glisser et arriva lourdement au sol, couru vers la porte.

- Non ne fermait pas ......Il entra enfin dans la salle de garde, tout heureux!
- enfin j'y suis ...Yoooouuuuuuuuuupi....

- Seigneur kazert ?
- Oui!
- Ceci est un ordre seigneur!

Kazert pris le parchemin ...et devint blanc!
- Je viens juste d'entrer qu'il faut partir dans le Maine ? ..les épaules ce décrochèrent de Kazert
-Tout ce travaille pour rien.....il regarde le garde....Rassembler dix hommes, par conter vous vous restez ici, et vous ete responsable ..montre la serrure..de cela. Si elle change je vous donne aux oies.

kazert partie tout en bougonnant on pouvait entendre quelque brides de phrases, avant qu'il disparaisse dérriére la lourde porte

-....des mois sans rien faire......
-....le vieux qui ce réveille.......hop ! ....quand vais je voir ma douce?

Rohana avait eu beau faire, elle n'avait pas découvert les postes d'observation secrets des gardes royaux... Elle revint donc sur ses pas, en appelant plaintivement (enfin non pas vraiment : elle avit plutôt la voix qui portait en fait) sa servante et son valet

Perrine! Nom de Phooka, PERRINE! AMEDEE! Où êtes-vous donc passés? Bande de chameaux! C'est des façons ça, de laisser sa maîtresse toute seule? Enfin!

de dépit, elle retourna vers le seul endroit vraiment convivial de ce chateau : la cuisine... De toute façon la faim y ferait bien réappéraître les membres de sa suite un jour ou l'autre, non?

Après avoir manger copieusement, fumé une pipe et attendu un petit bout de temps que d'autres viennent se joindre a lui ou qu'il reçoivent ses ordres, Ourbachk finit par comprendre qu'il ne servait plus a rien et qu'on avait juste eu besoin de lui pour combler les vides de la St Nicolas au niveau de la garde. Il se leva, atrapa son épée, mit sa cotte, nettoya ses bottes, mit sa cape, éteignit le feu et sortit. Il alla droit aux écuries ou il retrouva sa jument somnolente. Il se mit en selle et quitta Paris où plus rien ne le retenait, direction le Maine.
_________________
(vieux compte reprit pour le forum)
Sinople, se forme au monde, tranquilement

Une fois la salle aérée, Ourbachk ferma la fenêtre, la nuit commençait a tomber. Il parti au cuisine ou il fut autorisé a prendre un peu de viande, et quelques quignons de pain. Il remonta a la salle des gardes où il alluma un petit feu dans l'âtre de la pièce. La bière aurait manquer, ainsi que des camarade de garde, amis en service, pas d'alcool, et encore moin dans l'enceinte du chateau royal, et des chants de salles de gardes n'auraient pas forcément plu si près des chambres. Il fit donc tranquilement cuir sa pièce de viande, et se réchauffa au coin du feu.
_________________
(vieux compte reprit pour le forum)
Sinople, se forme au monde, tranquilement

Pénétrant dans la pièce, il met les armes de son frère d'arme Bralic au placard, avec les autres. Puis, ceci fait, il reprit sa ronde...
_________________
Ainsi vécut Erwyn William Conrad of Kylebonhamm, 35e du nom, fils de Muron of Kylebonhamm, et de Jean Bunois

_________________
Fide, sed cui vide Fais confiance, mais prends garde à qui

Quand il commence à la butiner, elle sait déjà qu'elle est complètement fichue. "tu pourrais au moins lui résister un peu, regarde-toi toute pantelante pfff !!!" Mais la vindicative n'écoute pas la voix moralisatrice et se contente de se laisser dévorer par cette bouche gourmande qui lui avait tant manqué. Toute à leurs retrouvailles, elle a déjà oublié où ils se trouvaient, et surtout que l'on pourrait les surprendre... Et pour profiter de l'instant, ça elle profite, aucun doute là-dessus, mais c'est lui qui la fait soudain atterrir...

A son sourire, elle sait qu'il sait, et un sursaut d'orgueil la pousse à résister, ruer dans les brancards, l'envoyer sur les roses, alterner ivresse et banquise. A peine prête à lui assener une fin de non recevoir, qu'elle fait marche arrière immédiatement. "Était-elle folle ou quoi ? Elle venait à peine de le retrouver et voulait déjà le mener par le bout du nez, enfin pas tout à fait le nez, mais... aheum... vous avez compris l'idée..."

Elle lui sourit donc, de toute manière elle sait avoir ce sourire niais qu'ont tous les amoureux transis et déjà elle le "déteste" pour cela, se promettant intérieurement de se venger d'une manière ou d'une autre. Donc elle sourit, penche sa tête en arrière pour le regarder entre ses cils.

Tes quartiers ou les miens ???
_________________