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[RP Joutes 1465] La Lice : Eliminatoires

Yocto
Grand Maître qui reçoit son écu puis sa lance de la part de son écuyère.
C'est pratique après tout. Car monter sur Tornada avec tout cela lui aurait posé problème insoluble.
Il remercie la Novice faisant office d'écuyer pour la première fois.


Merci à vous, Éléonore.

Son nom a été appelé.

Pour sa première joute, il fera face à un Castillan. Lui! L'Aragonais! Querelles à régler en vue? Que nenni!
Le Jacetania est de ceux qui prônent l'alliance des Royaumes hispaniques alors qu'en cette deuxième moitié du XVème siècle rien n'est assuré. Castilla y León fait sa belle entre Aragón et Portugal, les Royaumes "en forme du moment", l'un tourné vers l'Océan, l'autre vers la Méditerranée. Minaudant et arrangeant mariage avec l'un et l'autre. Dans une dimension parallèle, il faudra un mort côté portugais pour que l'affaire se règle et qu'advienne l'Espagne. Le Portugal viendrait s'y greffer mais par trop différent, s'en détacherait.

Mais pour l'heure, pas de géopolitique, une joute. Sa jument arabe est fière et rapide. Le Chevalier se dit "ça passe ou ça casse".
Il usera de sa vitesse face à ses adversaires, quitte à tomber sur un roc contre un qui aurait monture plus puissante.

Yocto qui lance donc son destrier à pleine vitesse. Effectivement, le Pair de Castille n'a pas le temps de l'ajuster alors que lui a placé sa lance sur sa route. Elle se brise à l'impact. Le Jacetania ressent le choc sourd en son épaule mais tient bon alors que son adversaire est désarçonné. Au bout de la lice, il fait faire demi-tour à Tornada. Jette le restant de sa lance à terre et fait signe à son écuyère de venir prendre son écu.

Puis il fait repartir son cheval vers Asdrubal de la Barca qui se relève. Il met pied à terre.


Su Señoría, fue un honor!
La ultima vez que debí combatir con los caballeros de la Corona de Castilla fue en la batalla de Aibar en 1451.
Un día no tan guapo... ¡Vale! ... Pero que me ha dado razón respectar a sus caballeros del Reino de Castilla y León.

Deseo más suerte a Su Señoría por la proxima vez. Con todos mis respectos.
(*)

Inclinaison de la tête puis le laisse aux bons soins de son épouse.

(*) : Sa Seigneurie, ce fut un honneur!

La dernière fois que j'ai du combatre avec des chevaliers de la Couronne de Castille, ce fut en la bataille d'Aibar en 1451.
Un jour bien moins beau. C'est vrai. Mais j'ai eu bien raison de respecter les Chevaliers de Castille et Leon.

Je souhaite meilleure chance à sa Seigneurie pour la prochaine joute. Avec tout mon respect.

_________________
En cours.
Calico
Citation:
Calico de la Graille Sainte Boulasse, Baronne de Ferrals, Dame de Gros Fays et de Puycalvel, Chevalier Banneret de Bouillon, affronte Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin



Après une nouvelle pause, Keltica revient à la tribune, et fait annoncer le duel entre la Baronne de Ferrals et la Duchesse de Sézanne ; elle les salue alors qu’elles prennent place, puis donne le départ.

Les chevaux prennent le galop, les lances s’abaissent… et les deux touchent ! La Baronne brise sa lance sur l’écu adverse, mais l’impact réciproque est rude, si rude que les deux femmes finissent par chuter. Si la Duchesse se relève sans mal, la Baronne semble s’être un peu abîmé le genou (blessure légère) . Les médecins viennent l’aider à quitter la lice.


Par une lance brisée à aucune, Calico de la Graille Sainte Boulasse est déclarée vainqueur !




Il y avait tellement de monde que l'organisation nécessaitait quatre parties. Un peu comme des tomes dans un livre. Le 1, ça ouvrait un peu le début de l'histoire, le 2, on plaçait les personnages, le 3, il y avait le déroulement de l'histoire avec la quête et dans le tome 4, le héros gagnait. Niak Niak!!!

La Sauterelle des Bouillon semblait un peu rouillée. Cela faisait un moment qu'elle n'avait plus jouté. Ces dernières passes de lance ne lui avaient pas laissé un souvenir impérissable...Sauf pour son cul. Ce n'était pas de chance, elle passait aux éliminatoires, un peu comme toute la troupe Bouillon. Ils étaient préposés aux éliminatoires.

Elle prit son mal en patience, attendit de voir les quatre parties et voir chuter les siens, pour passer enfin à son tour. Elle gaina ses mains dans leur boite métallique, monta sur son cheval et prit la lance. Elle se dirigea vers le centre de la lice pour saluer le Héraut en charge du comptage.


Bien le bonjour Arbitre.

Puis elle salua son adversaire.

Que la meilleure gagne.

Calico avait une botte secrète...Une hargne terrible depuis qu'elle se faisait chier comme un rat mort sur l'Anjou. Il fallait évacuer cette haine et se trop plein d'énergie. C'était sa force du moment.

D'ailleurs tout le monde pu sentir cela en voyant avec quelle force, elle envoya sa lance dans l'écu adverse. Deux roulés boulets et un genou en vrac plus tard, Calico fut déclarée gagnante. Elle salua son adversaire en boitillant. Elle faisait un peu la grimace car son genou lui tirait un peu.


Au plaisir Votre Grâce. J'espère que vous me soutiendrez pour la suite.
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Petitrusse


Citation:
Petitrusse dict Le Conquérant, Duc de La Mothe-Bromont, Vicomte de Chaveroche, Seigneur d’Albepierre et de Thorey-en-Plaine, affronte Christabella de Beauharnais, Duchesse de Baïgorry, Comtesse de Fontraille, Dame d'Arengosse, de Roquefort-sur-la-Douze, Dame du Brouilh et de Casterà Lectourois



C’est au tour du Duc de la Mothe-Bromont et de la Duchesse de Baïgorry de faire leur entrée ; Keltica les salue pendant qu’ils prennent place et quand tout est prêt, le départ est donné.

Le Duc prend l’initiative ; alors que la Duchesse manque sa cible, le Duc touche et brise sa lance avec puissance ! Le coup surprend son adversaire qui, malgré ses efforts finit par tomber de sa monture sans se blesser.


Par chute de son adversaire, Petitrusse est déclaré vainqueur !


Petitrusse avait appris avec une joie intense qu'un premier tournoi de joutes allait avoir lieu en ce début d'année 1465. Nouvelle année, de nouveaux espoirs de bien jouter et de faire une belle saison. Cela permettait aussi de croiser de nouveaux des jouteurs que Petitrusse ne croisait pas sur d'autres lieux, pour d'autres événements.
Toujours handicapé de l'absence de son écuyer, Petitrusse avait fait le déplacement avec sa vassale et amie Devilie. Ils s'étaient d'abord rendu au camp puis à l'entrée de la lice.
Les deux nobles du BA devaient passer par les éliminatoires, tout comme bon nombre de nobles présents. Petitrusse reconnaît le nom de son adversaire, pas pour avoir jouté contre cette personne mais pour l'avoir vu sur la lice, de l'estrade.
L'adversaire à moins d'expérience, mais il faut toujours faire très attention. Surtout que là, il ne faudrait pas se précipiter, avec la fougue de début d'année et oublier de réfléchir.
Petitrusse se présente donc sur la lice, juste après un autre membre de l'Ordre Souverain de l'Etoile, messire Sepa. Petitrusse espère avoir bien plus de chance que son ami.

Petitrusse se met en place, salue l'arbitre puis son adversaire. Le signal est donné. Petitrusse fait élancer son cheval et commence à prendre position pour le croisement des deux jouteurs. Il se répète à plusieurs reprises....bien viser...bien pousser...bien viser....bien pousser...bien viser....bien pousser...et au moment du choc, Petitrusse applique ses consignes à la lettre. Petitrusse touche son adversaire, brise sa lance et envoi la dame au sol. Petitrusse continue sa course jusqu'au bout de la lice et lève le bras au ciel, avec ce qu'il reste de sa lance dans sa main.
Petitrusse fait demi-tour et retourne vers son adversaire. Arrivé à deux pas, son cheval s'arrête.


Madame,
êtes-vous blessé? Avez-vous besoin d'aide pour vous redresser et sortir de la lice?

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Jenjitai
Citation:
Arnaud Giboint de la Maurinière, Duc Consort d’Orléans, affronte Jenjitai Creullet Ashikaga, Dame de Creullet, Chevalier de Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre



Keltica fait appeler le Duc consort d’Orléans et la Dame de Creullet ; elle les salue tandis qu’ils prennent place puis le départ est donné.

La Dame est la première à toucher et à briser sa lance, mais le Duc, rompu à l’exercice, parvient à se maintenir en selle.

Demi-tour en bout de lice, et on s’élance à nouveau ; cette fois, c’est le Duc qui touche seul, sans briser sa lance, mais l’impact est assez rude pour faire vaciller la Dame jusqu’à la chute. Malheureusement, il semble qu’elle se blesse à la main (blessure légère), aussi, les médecins viennent rapidement à sa rencontre.


Par chute de son adversaire, Arnaud Giboint de la Maurinière est déclaré vainqueur !






Son nom est lancé avec celui du Duc Consort d’Orléans, Théo son écuyer lui avait préparé tous le nécessaire il lui donna donc sa lance ,son bouclier , pris garde que Foudroyant ne s'agite pas trop

Hop à cheval , c'était partit , elle fit un signe de tête à son adversaire et le top départ donné s'élança , touché , mais la lance se brise, son écuyer lui en donne vite une autre

On redémarre , pas de chute ni pour l'un ni pour l'autre
Cette fois son adversaire était plus fort et patatras voila qu'elle embrasse le sol

Aieuuuu , sa main lui fait mal , un regard dessus allons bon une blessure , légère certes mais blessure quand même , bon ce n'est pas cela qui va l'abattre comparé à toutes celles qu'elle à déjà eu c'était rien de bien méchant, mais contrariée d'avoir perdu

Elle salua le Duc et se laisse prendre en charge par les médicastres avec une recommandation d'aller sous la tente medicale dressée pour les blessés ce qu'elle fit sans tarder
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Eliete



Citation:
Margauth de Garlaban, Dame d'Irouléguy et de Mauré, affronte Eliete de la Pernelle, Dame de Marnay



Entrent en lice la Dame d’Irouléguy et la Dame de Marnay ; après le salut de l’arbitre, le signal est donné.

C’est la Dame de Marnay qui est seule à toucher, sa lance se brise même dans l’impact ! Son adversaire a du mal à encaisser le choc, et finit par chuter, sans se blesser.


Par chute de son adversaire, Eliete de la Pernelle est déclarée vainqueur !


Eliete participait à ses deuxièmes joutes avec un réel plaisir comme quoi on se prenait au jeu.
Elle s'était même entraînée en son fief avec son tonton Albert et ma foi elle avait pas mal progressé et avait pris de l'assurance.
Son destrier Bogosse y était pour beaucoup il avait lui aussi joué le jeu et restant docile à souhait et en y mettant le meilleur de lui-même.

Cette fois elle devait participer aux éliminatoires , à l'annonce de son nom elle se présenta sur le terrain prête à entrer dans le feu de l'action.

Elle salua la Dame qui serait son adversaire du jour d'un signe de tête puis s'élança en invitant Bogosse à entrer en scène lui aussi non à coups de pieds mais par un murmure à son oreille.
Ce dernier se lança au galop et Eliete toucha la Dame d'un coup sec allant jusqu'à briser sa lame.
Elle chuta sans se faire de mal et Eliete fut déclaré vainqueur de cette manche.

Eliete se dirigea près de son adversaire et lui dit d'un ton amical.

Je vous remercie pour cette joute et je suis surtout bienheureuse que vous n'ayez aucun mal , à charge de revanche.

De lui sourire et de quitter le terrain pour se rendre à son campement tout en flattant Bogosse qui le méritait bien lui aussi.
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Hoeldetrajan
Hoel de Trajan Lablanche d'Abancourt, Seigneur de Chalançois en Orléans, Chevalier Lablanche d'Abancourt de Bretagne, affronte Ptitbroth, Seigneur de la Grange



Sont annoncés le Seigneur de Chalançois et le Seigneur de la Grange ; ils se présentent en lice et après les avoir salués, Keltica donne le départ.

Les chevaux prennent le galop, les lances s’abaissent… et les deux touchent ! Le Seigneur de Chalançois est le seul à briser sa lance dans l’impact mais au final, les deux jouteurs finissent leur course dans le sable. Ils se relèvent l’un et l’autre sans blessure.


Par une lance brisée à aucune, Hoel de Trajan Lablanche d'Abancourt est déclaré vainqueur !

Originaire du Trégor, en Bretagne, voilà presque deux ans qu'Hoel n'y avait pas mis les pieds. Il avait hâte de revoir sa terre natale. En attendant il avait beau essayer de lever les yeux en direction du ciel, ce n'était pas pour aujourd'hui.
Il avait vu tombé dans la même journée, son neveu, l'amant de sa sœur... Et même Lemerco. Aurait-il un peu plus de chance ? Sans doute non, sans doute. Son écuyère le rappela parmi les vivants, Hersent, celle pour qui le cœur d'Hoel brillait était à ses côtés pour la première passe d'armes.


Souhaitez-moi tout ce que vous voulez, Hersent... Que les dieux me soient favorables.

Il salua la tribune officielle, de sa main gauche, salua son adversaire et le monde se fit, vitesse, poussière, chaleur, et hurlement, d'une foule adorant voir les lourdes montures, s'entrechoquer. Les lances touchèrent les boucliers, les hommes dans leurs carapaces subirent la loi de la gravitation. Sous le choc, le cerveau percuta avec deux secondes de retard ce que le corps venait lui de subir. On ne s'habitue pas s'aplatir contre le sable.
Hoel fut déclaré vainqueur. On l'aida a se mettre debout, à enlever une partie de son armure. Il fit un signe de tête en direction d'Hersent. Comme un merci. Puis avec toute la gentillesse possible, alla prendre des nouvelles de l'autre jouteur.


Messire, je gagne aujourd'hui, mais si vous n'êtes point blesser cela a beaucoup plus d'importance. J'espère que nous aurons l'occasion de lever un verre, un jour prochain.
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Thibantik
Citation:
Thibantik, Baronne de La Bruyère-Laubespin, Dame du Chier d'Ambert, affronte Elmer, Seigneur de Sigloy et de Saquenville


Keltica fait appeler la Baronne de la Bruyère-Laubespin et le Seigneur de Sigloy ; alors qu’ils entrent sur le sable de la lice, la blonde les salue, puis donne le départ.

Les chevaux s’élancent, les lances s’abaissent… et les deux touchent ! La Baronne ne brise pas sa lance, ce qui n’est pas le cas du Seigneur qui, non content d’éclater le bois sur l’écu adverse, repousse sans ménagement la Baronne de sa selle ! Ouille : elle semble s’être blessée dans sa chute… (blessure moyenne aux fesses). Les médecins viennent à sa rescousse pour l’aider à quitter la piste et à gagner la tente médicale.

Par chute de son adversaire, Elmer est déclaré vainqueur !


Thib est appelé avec son adversaire du jour qu'elle ne connait pas. Elle le salue ainsi que le juge avant de baisser son heaume et de se diriger vers le départ.

Elle a choisit de monter Mimosa, sa plus jeune jument, il faut bien la faire commencer à un moment !

Au signal du départ, les chevaux partent au galop et la blonde abaisse sa lance et vise l'écu adverse. Elle touche mais se sent envoyé en arrière par la lance adverse et se retrouve au sol.

Hé bien, le retour aux joutes n'aura pas duré bien longtemps et les médecins l'accompagnent a la tente médicale pour soigner cette blessure mal placé !

Elle salue l'arbitre et son adversaire avant de sortir de la Lice
.
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Maire de Bourbon - Rectrice de l'Université Arverne
Keyfeya
*** Lynette vs Keychouchou ***


Le truc aurait pu se résumer par " J'étais pas prête, est-ce qu'on peut recommencer ? "Non mais elle avait l'air prête hein au départ, juchée sur le cheval, armure aux couleurs du Périgord-Angoumois, heaume avec des plumes roses qui tranchaient de manière tout à fait dégueulasse avec l'or et le rouge, faudrait d'ailleurs qu'elle en parle à la Roy d'armes de changer les couleurs du PA. Ça devenait inadmissible, le rouge et le jaune pour assortir ça, c'est une horreur. Tout allait pour le mieux, elle affrontait Lynette, elle allait donc se marrer toutes les deux et boire ensuite comme des trous.

Allez savoir si elle avait trop bu ou la connaissant, peut être pas assez, mais elle avait l'esprit ailleurs quand le cheval partit à tout allure, Lynette en face et là enfin tout lui revint. Oui c'est comme quand vous êtes sûr d'avoir oublié un truc, que vous ne trouvez pas, que vous partez au boulot et que là, on vous passe un coup de fil pour vous dire que votre maison a cramé mais c'est bien sûr, j'avais oublié de fermer le gaz ! C'était donc ça !

Et c'est au moment de pousser le cri, qu'elle se souvint enfin.


Poneeeyyys rooooses faaauuu....Cornefiaaaanchtre j' ai oublié ma poire dans la chambre du chaaaancelier !

Elle se mit à chercher Mahaut et là, mais là quoi ! Vous ressentez une violente douleur dans le bide, le stress sans doute, non mais c'est vrai quoi, vous ne vous rendez pas bien compte combien c'est important l'alcool pour une périgourdasse. Imaginez il la boit ? Il la donne ? Ou pire il la jette dans les latrines ? Le gaspillage quoi ! De la bonne poire bergerare de chez mémé Lubna ! Et puis faut pas oublier que vous serrez un cheval entre vos cuisses et d'un coup ben plus rien, de l'air, le vide, foutue bestiole quand même qui se barre comme ça sans crier gare, elle aurait du prendre un poney, elle le savait !

Reviens Léon...

Vous finissez dans le sable de la lice, sur le dos, épuisée avec toujours cette douleur infâme dans les entrailles et y a tout un tas de gens qui se penchent sur vous. M'enfin bon, elle avait fait la guerre et connu le mariage, c'était pas un petit coup de lance qui allait l'achever. Et là, une dame qu'on a vu de loin mais qu'on connait pas vraiment. Ah oui l’arbitre.

Dites, c'est mes premières, c'est allé vachement vite hein, j'ai pas eu le temps de voir, on peut pas recommencer ? Et Lynette ? J'ai pas fait de mal à Lynette au moins ?

Ce qui fait peur, c'est l'après quand vous voyez Lynette chérie pleurer et Mahaut vous filer une bouteille, tout s’emboîte enfin, alors qu'on vous transporte vers on se sait où. Parce que bon Mahaut qui vous DONNE une bouteille quoi ! La dernière fois, lors de son divorce, elle avait du lui arracher des mains pour pouvoir boire avant de raconter sa vie. Alors même si ça fait vachement mal et que vous sentez pas franchement, franchement que vous allez y passer les deux mains sur le bide, ben ça inquiète quand même. Et que rien de voir Lynette pleurer, vous reniflez vous même, essayant de rester digne.

J'vais crever c'est ça ? Pleure pas Lynette, le principal c'est que tu aies rien toi, t'as rien hein? Vous m'promettez d'faire la fête à mon enterrement ?
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Arnaud_giboint
Citation:
Arnaud Giboint de la Maurinière, Duc Consort d’Orléans, affronte Jenjitai Creullet Ashikaga, Dame de Creullet, Chevalier de Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre



A son tour d'entrer en lice après avoir pris en main la lance, salut à la foule au Juge et à son adversaire et c'est parti pour un premier tour de piste. pas toujours simple en debut de saison d'être d'emblé au top niveau c'est ce que se dit Arnaud quand il ressent l'impact de la lance adverse sur son écu et la volée de bois qui s'en suit, mais bon il est excellent cavalier ce qui lui permet de réagir instantanement pour ne pas vider les étriers. Compte rapide dans sa tête cela fait un a zéro pour la dame, conclusion rétablir l'équilibre s'impose, et l'on s'elance pour un second assaut, mais cette fois Arnaud est dans la partie il ajuste parfaitement sa lance et frppe plein fer l'ecu de la dame avec suffisament de force non seulement pour expédier la dame sur le sable malgré que sa ance refuse ostensiblement de se briser, bois encore trop vert pense Arnaud, et de se dire qu'il va falloir apporter un soin tout autre au choix des lance pour la prochaine phase de ces joutes. laffaire etant entendu il fait demi tour en bout de lice et revient vers sa malheureuse adversaire pour la saluer



Madame vous me voyez désolé de vous avoir fait chuter, j'espère que vous n'aurez pas trop aà souffrir de votre chute, ce fut cependant un plaisir de croiser votre lance, à charge de revanche donc à l'occasion

Les médicastres ayant pris la Dame en charge Arnaud quitte la lice après avoir saluer le juge et la foule, l'important c'est qu'il accompagnera son épouse pour la phase suivante des joutes et surtout que l'on pourra en soirée fêter au moins deux victoires ce qui donnera un caractère plus beau à la fiesta.
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Ruby10
Citation:

Partie 4



Citation:
Rebecca de Vallat, Dame de Sainte Eulalie, affronte Guillaume Enguerrand de la Mirandole, Prince de France, Duc de Saint-Fargeau et d'Ablois, Baron de Montpont-en-Bresse, Seigneur de Lumes, Héraut d'Armes Royal dict Estampe



Keltica fait appeler la Dame de Sainte Eulalie et le Duc de Saint Fargeau ; elle les salue pendant qu’ils prennent place de part et d’autre de la lice, puis le départ est donné.

La Dame est la première à se mettre en valeur ; elle est seule à toucher, mais n’applique pas assez de force pour briser sa lance, et le Duc réussit à rester en selle sans trop de difficultés.

Demi-tour et on relance les hostilités ; cette fois, la Dame manque sa cible alors que le Duc parvient à toucher et brise sa lance dans l’impact ! Destabilisée, la Dame vacille, chancelle, puis chute, heureusement sans se blesser.


Par chute de son adversaire, Guillaume Enguerrand de la Mirandole est déclaré vainqueur !




Il était l'heure de manger le sa... enfin, l'heure de se rendre sur la lice.
L'arbitre l'avait appelé ainsi que le Duc.

Rebecca avait raté de peu sa cible dans un premier temps, dommage!!
Par contre, quand il a fallu faire demi tour et y retourner... ce n'était pas la même chose.

Rebecca est déstabilisée puis tombe.

Rebecca se relève sans trop de problème puis va à la rencontre du gagnant.


Félicitation, et bonne chance pour la suite votre grâce.
Amarante.
    [ Les tribunes ]



À peine, le temps de s'installer que les joutes défilèrent à toute vitesse ... Avait-elle seulement le temps d'entendre le nom des participants ? Diantre, ils avaient tous, le diable au corps ? La seule chose qu'elle put retenir, c'était que Dol avait jeté l'éponge devant Wendoline, que Valeryane avait gagné et que Dekhaër avait perdu face à Wyrn ... Albin aussi avait gagné, mais cela ne l'étonna pas plus que cela, il avait pris en assurance depuis les joutes de la Chesnelière ...

Malgré le fracas que faisaient les chevaux, le bruit des lances brisées et des cris de joie ou de désespoir alentour, elle essaya de répondre à sa cousine tout de rose vêtu ...


Bien, essais de voir, même si ses joutes-là, sont très rapides ... Oui, il y a vraiment beaucoup de participants ...
Les jouteurs se placent chacun au bout de lice. Comme tu peux voir, ils ont une armure pour les protéger, un écu ou un bouclier et une lance. Cette lance est spéciale, elle est faite pour se briser en petits morceaux, mais les blessures peuvent arriver, comme tu as pu le constater ...

Quand le drapeau de l'arbitre se baisse, les chevaux partent au galop, les jouteurs baissent leur lance et ils doivent toucher l'adversaire. Un bris de lance, c'est un point. L'idéal est de faire tomber de cheval celui d'en face. Cela octroie la victoire.

Si les deux lances se brisent ou non, sans chute, il y a un second tour. Si les deux tombes sans blessures graves, il y a combat à l'épée comme tu as pur le voir pour le duel avec Dol. Wendoline a gagné parce que Dol ne tenait plus debout suite à la blessure.

Est-ce que tu as suivi ?


Elle espérait ne rien avoir oublié et sourit à sa cousine ...
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Guy_de_la_mirandole
Charlemagne, venez jouter avec moi, ou je me défenestre. Vous n'avez pas le choix. Vous savez que j'en suis capable. Et puis, vous devez me montrer à quel point vous êtes fort. Comprenez que je ne peux devenir vassal d'un faible.

Voilà, après plusieurs heures de débat, le jeune Mirandole avait réussi à forcer l'autre prince à s'inscrire à cet événement. Une fois la mission accomplie, ils partirent ensemble sur le lieu de combat. Loin des yeux curieux, Guy serra dans ses bras Charlemagne lui laissant un petit message.

Vous avez intérêt de gagner. Sinon, vous me devrez des services.

Ils s'approchèrent les deux du lieu de la bastonnade. Premier combat, Charlemagne contre un ancien héraut ! Guy observait le duel depuis les gradins, serrant les poings. Il était tout de même stressé à l'idée qu'on écorche le visage du premier prince ! Il ne pourrait plus trainer avec lui ... Ou si, comme faire-valoir. Fin bon, le prince mirandolien ne pourrait plus jouer à ce petit jeu. Bref, le match débuta. Le drame. Voilà la défaite de son héraut. Rage ! Il hurla.

Mais c'est pas vrai ! Je suis sûr qu'il y a eu triche. Je veux qu'on recommence ! Il n'était pas prêt !

La déception ! Il s'inquiétait un peu ! Guillaume espérait qu'il allait bien, et qu'il ne s'était pas fait mal ! Une fois qu'ils se retrouveront, il lui dira

Bon, vous avez perdu. Vous m'avez l'air en forme. Vous me devrez donc des services. Mais ne ragez pas trop, je vais vous montrer comment les Mirandole joutent ! Je vais sauver notre honneur.

Il resta percher pour observer ses soeurs ! D'abord pour Merveylle, il hurla encore plus fort ! Il ne fallait pas qu'elles fassent honte à sa famille !

MRVEYLLE CATHRINE ELISABETH DE LA MIRANDOLE. SI TU PERDS TU VAS M ENTENDRE !

Puis, pour Poucelyna !

POUCELYNA SI TU PERDS CROIS MOI QUE TU VAS AUSSI M ENTENDRE ! JE VAIS VOUS MASSACRER !

Mais c'est le drame le plus complet ! Ses deux soeurs, éliminées ! Mais où va le monde ! Il était tout excité, nerveux ! Ca va chauffer. Mais pour le moment c'était à son tour !

Citation:

Partie 4



Citation:
Rebecca de Vallat, Dame de Sainte Eulalie, affronte Guillaume Enguerrand de la Mirandole, Prince de France, Duc de Saint-Fargeau et d'Ablois, Baron de Montpont-en-Bresse, Seigneur de Lumes, Héraut d'Armes Royal dict Estampe



Keltica fait appeler la Dame de Sainte Eulalie et le Duc de Saint Fargeau ; elle les salue pendant qu’ils prennent place de part et d’autre de la lice, puis le départ est donné.

La Dame est la première à se mettre en valeur ; elle est seule à toucher, mais n’applique pas assez de force pour briser sa lance, et le Duc réussit à rester en selle sans trop de difficultés.

Demi-tour et on relance les hostilités ; cette fois, la Dame manque sa cible alors que le Duc parvient à toucher et brise sa lance dans l’impact ! Destabilisée, la Dame vacille, chancelle, puis chute, heureusement sans se blesser.


Par chute de son adversaire, Guillaume Enguerrand de la Mirandole est déclaré vainqueur !




Il entra sur la piste, encore plus angoissé. Il ne devait vraiment pas perdre ! Sans un mot, il monta sur son cheval ! C'était ses premières joutes. Son coeur battait de plus en plus vite, surtout lorsque son cheval partit. Il se laissa guidé, et la jeune femme tenta de lui donner un coup, un simple «Yoooopla» sortit de la bouche du prince, il resta stable, et il en était heureux !

Il ne voulait pas perdre, et sur le retour il mit tout dans son arme criant, encore une fois - Oui, oui Guy crie beaucoup -


Pour Angélyque !

Et voilà, elle était à terre, il était gagnant ! Il descendit, buste gonflé à fond. Il s'approcha de la femme.

Bravo, mais ne vous inquiétez pas, c'est normal. Voyez mon talent !

Un peu taquin ? Juste un peu. Mais bon, c'était aussi pour s'amuser.
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Ysaoth
Citation:

Partie 3


Citation:
David Stanislas Kronembourg de la Duranxie, Duc d'Ornon et de Bénauges, Baron de Fumel, Seigneur de Castelmoront sur Lot, affronte Ysaoth de Noihlac, Duc de Vichy, Baron d'Usson et de Laroquebrou, Seigneur de Montharville



Keltica fait appeler le Duc d’Ornon et le Duc de Vichy, que le hasard a désigné pour le duel suivant ; ils entrent en lice, la jolie arbitre les salue, puis donne le départ quand tout est prêt.

Le Duc de Vichy est le seul à toucher ; sa lance se brise avec une telle violence que le Duc d’Ornon est jeté à bas de son cheval sans autre forme de procès. Heureusement, il n’y a pas de blessure à déplorer.


Par chute de son adversaire, Ysaoth de Noihlac est déclaré vainqueur !



Bon...les joutes c'est comme le cheval, ça s'oublie pas. T'abaisses, tu fais ton gros lourd sur la lance et t'espères que celui d'en face le fasse pas plus que toi.
Ysa se répétait les différentes étapes, l’enchaînement de mouvements, se refaisait dans sa tête les erreurs qu'il avait pu commettre lors de ses précédentes passes. Et ça remontait à un petit moment tout ça. Mais les joutes, c'est comme le cheval...
Pourtant il avait deux craintes très immédiates. Il appréciait son adversaire du jour, qu'il côtoyait fréquemment au parlement. Et si l'éventualité de perdre temporairement pour convalescence un officier le chagrinait quelque peu, c'était surtout de blesser une personne qu'il appréciait qui lui offrait une petite boule au ventre. Et ça n'était pas une question de melon ou de confiance, bien au contraire. Ysa craignait le geste maladroit de sa part...
L'autre crainte, c'était - il faut bien être objectif - de se prendre un gros tampon, genre un sanglier lancé toute balle en plein buffet. Car le DSK n'était pas une allumette au niveau du gabarit. Bien que Ysa lui rende bien ses livres de viande, l'Anjou était encore un peu trop proche et la blessure prise au flanc pouvait se faire sentir.
Une grosse inspiration...c'était de toute façon pas le moment de faire demi tour. La tête de con qu'il avait pour guise d'étalon et qu'il chevauchait présentement le lui interdirait. L'animal aimait certainement plus que lui l'adrénaline de se jeter comme un abruti sur son prochain dans l'attente délectable et la perspective enchanteresse de faire de la bouillie avec ce qui servait de corps à l'opposant. Le bourrin, pendant la guerre, se sentait en joie, comparable à celle qu'il obtenait lors d'une saillie de jument. Certes, en joute, il avait bien compris qu'il y avait des règles, comme celle de ne pas sauter par dessus la rampe qui séparait les deux adversaires pour aller piétiner le cavalier une fois au sol. Mais, a priori, ça procurait la même joie à la monture. Palpable d'ailleurs, car Ysa sentait ses muscles rouler sous la peau brune de l'étalon, déjà prêt à partir.
Et faut dire ce qui est, Ysa aimait aussi cette sensation, ce calme avant le choc inouï que peut représenter un tel assaut.

Il abaissa sa visière et salua son adversaire et le joli brin d'arbitre. Résolu, David était un grand gaillard, et n'en serait certainement pas à son premier ramponneau avec un autre. A mesure que les secondes s'agrainent, le barbu laisse de côté ses primes considérations, la respiration se ralentie. La concentration lui fait tout oublier, à part sa cible. Il voit la juge faire signe et le cheval, au premier frémissement du corps du cavalier, s'élance. Sale bête. Ysaoth se met en position rapidement, retrouvant ses repères instinctivement. Un "crac", et le cheval ralenti. Il est toujours dessus, et demande à sa monture de se tourner. David est au sol, mais bouge, toujours maladroitement dans ce genre d'armure. Ysa enfonce ses éperons dans les flancs de son cheval pour lui signifier de s'avancer à hauteur de l'adversaire qu'on aidait déjà à se relever. Il lève sa visière.


Votre Grasce, j'espère que vous allez bien. Ce fut un plaisir de jouter contre un aussi estimable et estimé adversaire. Maintenant, il va s'agir de se jeter un godet et d'éviter votre sœur qui risque de vouloir mon scalpe ou la peau de mon cul...

Ça paraissait toujours une bonne idée en tout cas, bien qu'il doute pouvoir éviter longtemps la Duchesse de Touraine.
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Andrea.
Armée de sa magnifique lance rose bonbon, cadeau de son ami Joucou, le tout nouveau jouteur fit son entrée pour affronter son adversaire féminin.
Sa première réaction fut l’inquiétude, qu'adviendrait-il de sa réputation si il perdait dès cette première manche, qui plus est face à une femme, rien de plus qu'une situation embarrassante.
Malheureusement si il infligeait la défaite à cette demoiselle -ou dame on s'en fiche en fait-, on trouverait à dire que cette victoire était couru d'avance, si en plus la dite jouteuse se mettait à pleurer ou s'en retrouvait décoiffée, on était pas dans la merde...

C'est finalement son domestique à la sagesse sans limite qui le conforta dans sa décision en lui prodiguant quelques conseils alors qu'assis sur sa monture, l’entrée se faisait en lice :


Dites vous que c'est un ex héraut Flandre qui est face à vous !, paroles fort sages, vous étiez prévenu, qui ne peuvent être comprises que par un héraut.

Oh bordel, elle va prendre cher !

C'est donc tel un boulet de canon qu'il traversa la lice, en oubliant jusqu'au ridicule de sa lance qui rappelons le, est genre trop rose, comme ça :



Citation:
Andrea de Mortemart Amnell, Comte de Castelpor, Seigneur de Vaillant, affronte Hailey Giboint, Dame de Compiac



Voici que sont appelés le Comte de Castelpor et la Dame de Compiac ; Keltica les regarde prendre place, les salue puis donne le départ.

La cavalcade s’élève, les jouteurs fondent l’un sur l’autre… et les deux touchent ! Les lances résistent à l’impact, mais la Dame, sans doute plus légère, ne parvient pas à rester sur sa monture. Son duel se termine au sol, mais sans blessure d’aucune sorte.


Par chute de son adversaire, Andrea de Mortemart Amnell est déclaré vainqueur !


Après quelques instants pour reprendre ses esprits, il gagna les cotés de la demoiselle et le plus humblement possible -réservant sa danse de la victoire à plus tard sous la tente Joucouesque- :

J'espère ne pas vous avoir blessée, vous êtes en tout cas une redoutable adversaire.
Au plaisir de vous revoir lors de prochaines joutes.

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Gailen_d_arduilet
Citation:
Guérin de sa Bonne Etoile, Seigneur de Bruguières, affronte Gaïlen d'Arduilet, Comte de Meymac et Hazebrouck, Vicomte de Roubaix, Baron d'Albussac, de Wattrelos, et de Courtrai





Sur le bord de la Lice, Gaïlen cherchait en vain son inconnue. Les tribunes étaient bien plaines et la zone neutre tout autant. Beaucoup de jouteuses et jouteurs allaient participer aux éliminatoires et ça grouillait comme dans une fourmilière.
Autour de lui, ses "gens" s'affairaient, tant bien que mal, à le préparer. Ce n'était pas choses gagnée. Il n'avait plus jouté depuis belle lurette et n'avait jamais été un champion digne de ses aïeux la lance à la main. Puis, il n'avait pas de réelle équipe de joutes. Il était venu là accompagné uniquement d'hommes d'armes et de mercenaires voués à sa protection. Le genre de mec à qui on peut demander d'égorger une femme ou un bébé mais pas de jouter avec honneur et bravoure.

Tout à coups il aperçut une jeune femme dans l'assemblée qui pouvait faire l'affaire. De rose vêtue, blonde et accompagnée d'une brune Portant une robe vert et or et arborant une couronne de comtesse. Était-ce là la fameuse chaperonne ? Il l'espérait.

Le tournoi commença : L'Arduilet essaya de se concentrer en regardant les duels. Dés le deuxième duel sa concentration disparu. Il se réjouissait de voir une victoire de Lynette. Elle avait, toujours était sa jouteuse préférée et il admirait son style parmi tous. mais le fait qu'elle représentait Exaltation Lablanche d'Abancourt le troubla au plus haut point. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait plus revu la Duchesse de Châteauneuf-sur-Loire.

Lorsque Leanore Giboint de Dampyerre Entama la deuxième vague de duels par une victoire sans bavures il ne pût s'empêcher de s'exclamer à haute voix tel un groupie dans les backstages de son idole.
Très vite, vint le tour d'Ellesya. Gaïlen ferma les yeux lorsque sa marraine et son adversaire se croisèrent. Il les rouvrit avec joie quand il vit qu'elle était encore en selle et son adversaire sur le sable. Il applaudit et se promit d'aller la saluer dés qu'il en aurait fini avec son propre adversaire.

Son tour était proche. Il était nerveux. Sa tête lui faisait mal, sans doutes les restes du vin ingurgité seul la veille en attendant désespérément son inconnue Flamande. La concentration n'y était pas car il cherchait encore à savoir si la blonde qu'il avait repéré était la bonne.

On appela donc Le Comte de Meymac et le Seigneur de Bruguières . Gaïlen éperonna doucement son étalon pour s'avancer sur la lice. Il salua l'arbitre, les tribunes et son adversaire puis avant de rejoindre son "coin" s'avança vers les tribunes et tendit sa lance vers Ysil qu'il prit pour Rose.


"Ma chère suzeraine. Permettez moi, à défaut d'être votre champion de jouter en votre honneur !"
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