Yocto
Grand Maître qui reçoit son écu puis sa lance de la part de son écuyère.
C'est pratique après tout. Car monter sur Tornada avec tout cela lui aurait posé problème insoluble.
Il remercie la Novice faisant office d'écuyer pour la première fois.
Merci à vous, Éléonore.
Son nom a été appelé.
Pour sa première joute, il fera face à un Castillan. Lui! L'Aragonais! Querelles à régler en vue? Que nenni!
Le Jacetania est de ceux qui prônent l'alliance des Royaumes hispaniques alors qu'en cette deuxième moitié du XVème siècle rien n'est assuré. Castilla y León fait sa belle entre Aragón et Portugal, les Royaumes "en forme du moment", l'un tourné vers l'Océan, l'autre vers la Méditerranée. Minaudant et arrangeant mariage avec l'un et l'autre. Dans une dimension parallèle, il faudra un mort côté portugais pour que l'affaire se règle et qu'advienne l'Espagne. Le Portugal viendrait s'y greffer mais par trop différent, s'en détacherait.
Mais pour l'heure, pas de géopolitique, une joute. Sa jument arabe est fière et rapide. Le Chevalier se dit "ça passe ou ça casse".
Il usera de sa vitesse face à ses adversaires, quitte à tomber sur un roc contre un qui aurait monture plus puissante.
Yocto qui lance donc son destrier à pleine vitesse. Effectivement, le Pair de Castille n'a pas le temps de l'ajuster alors que lui a placé sa lance sur sa route. Elle se brise à l'impact. Le Jacetania ressent le choc sourd en son épaule mais tient bon alors que son adversaire est désarçonné. Au bout de la lice, il fait faire demi-tour à Tornada. Jette le restant de sa lance à terre et fait signe à son écuyère de venir prendre son écu.
Puis il fait repartir son cheval vers Asdrubal de la Barca qui se relève. Il met pied à terre.
Su Señoría, fue un honor!
La ultima vez que debí combatir con los caballeros de la Corona de Castilla fue en la batalla de Aibar en 1451.
Un día no tan guapo... ¡Vale! ... Pero que me ha dado razón respectar a sus caballeros del Reino de Castilla y León.
Deseo más suerte a Su Señoría por la proxima vez. Con todos mis respectos.(*)
Inclinaison de la tête puis le laisse aux bons soins de son épouse.
(*) : Sa Seigneurie, ce fut un honneur!
La dernière fois que j'ai du combatre avec des chevaliers de la Couronne de Castille, ce fut en la bataille d'Aibar en 1451.
Un jour bien moins beau. C'est vrai. Mais j'ai eu bien raison de respecter les Chevaliers de Castille et Leon.
Je souhaite meilleure chance à sa Seigneurie pour la prochaine joute. Avec tout mon respect.
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En cours.
C'est pratique après tout. Car monter sur Tornada avec tout cela lui aurait posé problème insoluble.
Il remercie la Novice faisant office d'écuyer pour la première fois.
Merci à vous, Éléonore.
Son nom a été appelé.
Pour sa première joute, il fera face à un Castillan. Lui! L'Aragonais! Querelles à régler en vue? Que nenni!
Le Jacetania est de ceux qui prônent l'alliance des Royaumes hispaniques alors qu'en cette deuxième moitié du XVème siècle rien n'est assuré. Castilla y León fait sa belle entre Aragón et Portugal, les Royaumes "en forme du moment", l'un tourné vers l'Océan, l'autre vers la Méditerranée. Minaudant et arrangeant mariage avec l'un et l'autre. Dans une dimension parallèle, il faudra un mort côté portugais pour que l'affaire se règle et qu'advienne l'Espagne. Le Portugal viendrait s'y greffer mais par trop différent, s'en détacherait.
Mais pour l'heure, pas de géopolitique, une joute. Sa jument arabe est fière et rapide. Le Chevalier se dit "ça passe ou ça casse".
Il usera de sa vitesse face à ses adversaires, quitte à tomber sur un roc contre un qui aurait monture plus puissante.
Yocto qui lance donc son destrier à pleine vitesse. Effectivement, le Pair de Castille n'a pas le temps de l'ajuster alors que lui a placé sa lance sur sa route. Elle se brise à l'impact. Le Jacetania ressent le choc sourd en son épaule mais tient bon alors que son adversaire est désarçonné. Au bout de la lice, il fait faire demi-tour à Tornada. Jette le restant de sa lance à terre et fait signe à son écuyère de venir prendre son écu.
Puis il fait repartir son cheval vers Asdrubal de la Barca qui se relève. Il met pied à terre.
Su Señoría, fue un honor!
La ultima vez que debí combatir con los caballeros de la Corona de Castilla fue en la batalla de Aibar en 1451.
Un día no tan guapo... ¡Vale! ... Pero que me ha dado razón respectar a sus caballeros del Reino de Castilla y León.
Deseo más suerte a Su Señoría por la proxima vez. Con todos mis respectos.(*)
Inclinaison de la tête puis le laisse aux bons soins de son épouse.
(*) : Sa Seigneurie, ce fut un honneur!
La dernière fois que j'ai du combatre avec des chevaliers de la Couronne de Castille, ce fut en la bataille d'Aibar en 1451.
Un jour bien moins beau. C'est vrai. Mais j'ai eu bien raison de respecter les Chevaliers de Castille et Leon.
Je souhaite meilleure chance à sa Seigneurie pour la prochaine joute. Avec tout mon respect.
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En cours.