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[RP Joutes 1465] La Lice : Eliminatoires

Amarante.
    [ Les Tribunes ]


Quelque chose n'allait pas ... Comment Keltica avait nommé les jouteurs ? Elle avait écouté d'une oreille distraite, puisqu'elle expliquait en même temps ... Zut, elle ne savait pas ... Il ne restait plus qu'à écouter le nom du vainqueur ... La brune plissa son joli petit nez ... Quelque chose n'allait pas ...

Ysil ? Tu connais ce jeune homme ?

Elle devait quand même lui demander ... Elle le regarda se mettre en place et c'était à ce moment-là qu'une voix connue se fit entendre. Elle tourna la tête et sourit à Batistine ...

Bien sûr, installez-vous vite, ils vont partir ... Regardez ...

Outch, le choc fut dur et elle grimaça ...

Ysil, je crois que ton chevalier servant à du mal ...

Puis se tournant vers Batistine ...

Dites moi Batistine ? Connaissez-vous, par hasard, le jeune homme qui joute ?

Et lui montra Gailen d'un geste du menton alors qu'il faisait demi-tour pour revenir en bout de lice et reprendre place ... Il repartit et cette fois-ci, termina sa course sur le sol. La brune posa sa main sur sa bouche pour retenir une exclamation et se leva d'un bond, en voyant qu'il était blessé, tout en tendant l'oreille pour connaitre le nom du gagnant ... Il ne lui restait plus qu'à jeter un œil sur le panneau avant que les juges ne l'enlèvent ...

Puis à ses deux compagnes ...

Venez, il nous faut trouver ce jeune homme ... Suivez-nous Batistine, je vous expliquerais en chemin ...

Et la brune d'embarquer les deux blondes à sa suite ... Si Batistine voulait de l'action, elle allait en avoir ...
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Lemerco
Citation:
Lemerco de Montfort-Toxandrie, Marquis de Dol, affronte Wendoline de Sisley, Dame d'Oncy sur Ecole



Sont appelés le Marquis de Dol et la Dame d’Oncy sur Ecole ; un salut aimable est adressé à chacun, puis sans trop tarder le départ est donné.

La course est rapide, et les jouteurs sont vite à portée l’un de l’autre ; les deux touchent et les bois éclatent en morceaux ! La Dame est proprement éjectée de sa selle, mais le Marquis, secoué par l’impact, la rejoint à terre. Aïe ; le Marquis semble touché au bras (blessure légère) et la Dame, elle, a un souci à la main (blessure moyenne). Les deux font pourtant signe qu’ils veulent poursuivre, aussi, Keltica descend dans la lice.


Si on ne peut pas départager les jouteurs au nombre de bris de lances, on procède à un duel à l’épée. Le premier qui touchera son adversaire à quatre reprises ou qui forcera son adversaire à l’abandon sera déclaré vainqueur. Votre Magnificence, Dame, si vous êtes prêts… Engagez !

Un petit pas de retrait, et le Marquis s’élance, touchant la Dame sans la blesser.

Une touche à zéro pour le Marquis de Dol.

Il persiste, et sur sa seconde attaque, touche le pied de la Dame, y laissant une balafre (blessure légère).

Deux touches à zéro pour le Marquis de Dol.

La Dame, pourtant mal en point, sort les griffes, et dans un beau mouvement, réussit aussi à atteindre son adversaire au pied. Elle n’a pas attaqué pour rien ; la blessure est conséquente, et le Marquis, ne pouvant plus s‘appuyer convenablement, est forcé de jeter l’éponge (blessure moyenne au pied). Aussitôt, Keltica arrête le combat et donne à chacun des petits linges pour panser les blessures, le temps que les médecins, qui arrivent en courant, les aident à gagner la tente médicale pour quelques soins mérités.

Par abandon de son adversaire, Wendoline de Sisley est déclarée vainqueur !


Aussitôt arrivé, aussitôt reparti, dira-ton.

Pourtant cela avait plutôt bien commencé.

Lemerco, qui devait bientôt perdre Dol, voulait employer le peu de temps qu'il lui restait dans la noblesse pour mettre en exergue son talent. Il portait pour la dernière fois les couleurs de Dol de Bretagne, cette terre qui l'a vu s'élever aux nues et la contemple maintenant choir dans la destruction aveugle. Il pénétra sur le terrain de joute bariolé de rouge, de blanc, et de noir, arborant une constellation d'hermines, fierté de la Bretagne insoumise et indépendante qui abonde également sur le front et dans les tripes.

Sans complexe il s'élança face à son adversaire, et la percussion fut telle que les deux protagonistes volèrent et s’aplatirent les quatre fers en l'air. Nonobstant la blessure au bras qu'il ressentait, la chute n'ayant pas été de tout confort - évidemment - il tira l'épée de son fourreau, prêt à bretter, ce domaine dans lequel il s'est tant de fois adonné, des guerres de Bretagne aux guerres du Ponant, aux croisades comme aux guerres en Anjou.

A croire que tout cet entrainement forgé dans l'expérience ne sert à rien dans les duels, ou bien est-il maintenant trop vieux, dépassé par la fougue et l'énergie de la jeunesse?

Il mène au score pourtant, déjà deux touches remportées, la moitié du chemin.

Mais peut-être aurait-il dû embrocher la jeunette sans état d'âme, car cette dernière finit par lui donner un coup qui réduit à néant les espoirs de Dol. Le fer transperce le pied et en ressort teinté de carmin. L'ours bouge mais sa patte sanguinolente ne suit plus.

Dépit, forfait.

Un breton préfère pourtant la mort à la souillure. Abandonner, c'est quelque chose qu'il ne connait pas. Mais il y est contraint... peut-être, à force de trop fréquenter les Français, il en a adopté les coutumes, à savoir la couardise et le déshonneur.

Il eut le temps de se faire enguirlander par Poucelyna.

Il dit simplement, d'un air dédaigneux.


Etre française ne vous empêche pas de vivre, alors que nombre de personnes ayant un peu d'amour propre se seraient déjà pendus.
Vous pouvez donc avoir un mari boiteux ou lépreux; vous avez déjà su démontrer, comme tous ceux ici présent, votre faculté à survivre malgré l'indigence du monde dans lequel vous évoluez.


Et de joindre la tente médicale, énervé par le discours de la blonde.
Car si à la base, c'était du dépit et un sentiment de résignation qui transportaient Lemerco, c'est maintenant une colère noire qui l'envahissait.

Serrant les dents, il maugréa avant de pénétrer la tente, ces quelques paroles inaudibles à tous, sauf le Très Haut.


Seigneur, je fais le serment que d'ici la fin de l'année, la Touraine sera tombée sous mes coups, théâtre de mon déshonneur.
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Origan
[Origan O'Brien VS Goddefroy de Silly]



Mazette direct contre l'homme d'Alvira, va pas falloir faire trop de dégât tout d'même ...


Citation:
Origan O Brien, Duc de Normandie, affronte Goddefroy de Silly, Duc Consort de Touraine



Après une petite pause, Keltica revient à la tribune et fait appeler le Duc de Normandie et le Duc consort de Touraine ; ils s’avancent, elle les salue et quand tout est prêt, le départ est donné.

Avantage à la Normandie sur le premier assaut, en effet, Origan est seul à toucher, mais sans briser sa lance et sans parvenir à faire chuter son adversaire, qui tient sur sa monture jusqu’au bout de la lice.

Demi-tour, et on repart à l’assaut ; le Duc de Normandie réitère son joli coup, et cette fois, sa lance se brise. Le Duc consort de Touraine ne réussit pas à encaisser le choc et malgré ses efforts, finit au sol, sans dommage à déplorer.


Par chute de son adversaire, Origan O Brien est déclaré vainqueur !



Première joute pour l'Aromate...en Touraine !
Bon la lance dans le bon sens - check
La monture - check
Le casque - check
L'armure - check
Se sentir lourd comme si on avait manger 10 tonnes de Beugnon avant de venir - check

Il salua et se mit en piste enfin... en gros fallait foncé tout droit puis essayer de pas se vautré le cul à terre et pas se faire transpercé !
Un sport d'une douceur rare...
Il préfère tout d'même rouler des pelles.


C'est parti....
Tout se déroule pas trop mal !
Et l'homme d'Alvira chute, il va voir si tout allait bien et le salua...
la mort n'est pas pour aujourd'hui, on reviendra demain

Victoire des éliminatoires

Il se déshabilla devant la foule afin de montrer le "Made In Normandie" Dessiné dans ces poils de torse

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Hellina_rose
La scène se produisit, devant ses yeux, alors que sa main se serra de plus en plus fort contre celle de sa tante qui, la pauvre, subissait cette légère torture sans rien dire. Rose avait de quoi être énervée, cette femme en rose, cette inconnue, se faisait passer pour elle sans aucun remord. Ses dents se serrèrent alors qu'elle souffla :

Comment ose-t-elle...

Elle comprenait à présent ce que certaines personnes de chez Madame Violette voulaient exprimer en disant que certaines étaient prêtes à tout. Bien entendu ses pensées étaient exagérés, mais elle était jeune et c'était bien la première fois qu'elle se trouvait dans ce genre de situation, elle était un peu prise au dépourvu.

Prends mon tout, je me rends, rendons-nous !
Regardez-moi et n’oubliez pas la façon dont vous demanderez pardon
Prenez mon tout, je me rends, rendons-nous !
Nous nourrirons un autre jour, un autre jour et d'une autre façon !

La chute fut douloureuse et un cri sortit de la bouche de la vierge qui se leva immédiatement pour s'approcher du "balcon" et ainsi constater qu'il se relevait avec difficulté, mais il était toujours en vie, sans aucune trace de sang sur le sable de l’arène. Elle s'en voulait tellement, les joutes, c’était son idée, la chute qu'il venait donc de subir était en partie à cause d'elle.
A cet instant, si Louise lui parlait, elle n'écoutait plus rien, prête à faire demi-tour pour aller à l'infirmerie quand elle vit la fausse blonde se lever avec d'autres, ses joues gonflèrent, elle n'avait jamais été aussi en colère, visiblement pour se lever au même instant c'est qu'elles voulaient aller au même endroit qu'elle. Un grognement de colère sortit de sa bouche, le premier, elle qui était d'un tempérament si calme, elle venait de connaitre ce qu'était la colère et ses effets. Les joues rouges, une veine ressortant légèrement au-dessus de son sourcil, les yeux rouges, elle susurra à sa tante :


Non mais là, trop c'est trop ! Mon silence à des limites quand même !

Plissant les yeux elle réfléchissait à toute vitesse, quoi faire ?! Si elles voulaient courtiser SON chevalier autant le faire sur leur vraie identité, sans voler la sienne ! Ses lèvres subissaient une nouvelle torture alors qu'elle était perdue entre la colère, la confusion et peut-être, aussi, la jalousie.
Puis d'un coup, un geste de la main, elle détacha le ruban qui était sur ses cheveux avant de faire un signe à un de ses hommes d'arme qui devaient veiller à sa sécurité et qui, contrairement à elle, portaient les armes flamandes sur son armure légère. L’homme en question s'approcha d'elle en s'inclinant.


Votre grandeur, que puis-je faire pour vous ?
Frédéric, pouvez-vous, je vous prie, vous rendre à l’endroit où se rend mon jouteur, avant ces dames, et remettre ceci à Gailen, en main propre. Vous lui direz également que s'il avait demandé à la bonne personne de jouter en son honneur, cela lui aurait sans doute porté plus de chance. Vous conclurez en disant que je le laisse en bonne compagnie, n'osant le déranger, et que nous nous reverrons sans doute ce soir, au repas, s'il est disposé à y assister.

Alors que le garde hocha la tête, Rose ajouta, un peu à voix basse, de peur que sa tante comprenne :

Prenez également nouvelle de son état de santé auprès des médicastres. Il a l'air de souffrir de la jambe.

L'homme s'inclina avant de filer rapidement, il savait où se trouver la tante de Gailen et l'infirmerie, il y serait sans aucun doute avant les demoiselles inconnues et les croiserait à la sortie de la tante, une fois sa mission terminée. Rose quand à elle prit le bras de Louise et annonça :

Rentrons un instant à l’hôtel avant les festivités de ce soir, cette usurpation m’a donné mal à la tête, je souhaiterais me reposer un peu ainsi que voir mon neveu.
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Jeroen
Citation:
Klementein d'Andecy, Comtesse d'Antin et Baronne de Moumour, Héraut d'Armes Royal dict Poitou, affronte Jeroen d'Arnwald, Duc de Castelnau-Montratier, Seigneur de Carignan



Keltica retourne à la tribune, pour faire appeler la Comtesse d’Antin et le Duc de Castelnau-Montratier. Ils prennent place de part et d’autre de l’étendue de sable, puis quand tout est prêt, la jolie blonde donne le départ.

C’est la Comtesse qui se met de suite en valeur, en étant seule à toucher dès le premier assaut. L’impact n’est pas assez fort pour briser la lance, mais il parvient suffisamment à déstabiliser son adversaire, qui malgré ses efforts, chute de sa monture, sans blessure à déplorer.


Par chute de son adversaire, Klementein d'Andecy est déclarée vainqueur !



Quand faut y aller, faut y aller.

Son atèle etait bien fixé sous son armure, sa jambe ne bougerait pas ainsi, pas très pratique pour un jouteur qui use habituellement de sa puissance, mais il n'avait pas le choix. Beaucoup serait encore au lit après la fracture qu'il avait eu en Savoie, lui était a cheval, prêt a concourir.

Au signale il lance sa monture en avant, fonçant sur sa cible, l'Arnwald lorgne sur l'écus qui lui fait face au moment du contact, voulant prendre appuie par réflexe sur sa jambe, il ne parvient a se propulser, tous juste le tend de retirer legerement son bouclier pour se défendre, qu'il se sent partir sur le côté, le mauvais bien sur, et ne pouvant se stabiliser de sa jambe dur, ne peut eviter l’inéluctable, la chute....

Oui, ses medecins avaient eu raison, c'etait encore trop tot, mais au moins, il ne sentait rien de plus a sa jambe blessé, déjà ca....




Messer, rien d'abîmé ?


Se relevant avec peine.


Non non dame, pas de bobo pour moi, enfin rien de plus. Toutes mes félicitations pour cette victoire.
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Sepa
[quote="Keltica"]

Partie 4


Reprise de la saison, le Borgne s'était inscrit aux joutes pour se changer les idées aux vues des déboires encourus depuis le début d'année. Comme à son habitude, le Baron y alla sans pression, assez confiant de la fin d'année tout de même. Son esprit était tout de même d'ailleurs mais étant accompagné de sa jeune écuyère, celle lui l'aidait à garder pied quand il était loin de sa famille. Tout était prêt pour l'occasion, le Stavanger attendait juste son passage au milieu de toute cette foule.

La Juge et Vicomtesse Keltica prononça alors son nom, il se présenta attirail en main et demanda à Mhaellanne de ne rester pas trop loin et au bord pour mieux voir le déroulement du duel.


Citation:
Sepa von Stavanger, Baron de Beaurain, Seigneur de Hautpont, affronte Vittoria Farnezze de Sulignan, Comtesse de Château-du-Loir, Baronne de Courcelles-la-Tour et de Louplande, Dame de la Tour du Bost, Grand Chambellan de France



Sont appelés le Baron de Beaurain et la Comtesse de Château-du-Loir ; alors qu’ils prennent place de part et d’autre, Keltica les salue, puis le départ est donné.

Le Baron manque sa cible et la Comtesse en profite ; d’un coup bien placé, elle touche et brise sa lance ! Le Baron perd l’équilibre sur sa selle et chavire, atterrissant sans douceur dans le sable ; aïe… Il semble souffrir de l’avant-bras… (blessure légère). Les médecins viennent à sa rencontre pour évaluer les dégâts.


Par chute de son adversaire, Vittoria Farnezze de Sulignan est déclarée vainqueur !


Malheureusement, rien se passa comme prévu, le Borgne finit les joutes les quatre fers en l'air et douleur à l'avant bras. Se relevant, le membre de l'Ordre Souverain de l'Etoile bougea son bras et vit que ce n'était pas cassé. Assez en colère contre lui, juste une salutation et félicitation d'un signe de tête suffirent pour son adversaire et gagnante de cette joute. Trainant les pieds, le Stavanger sortit du terrain en ronchonnant et pestant contre lui même
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Merveylle_mirandole
    Citation:
    Susi Llobregat de la Duranxie Niraco, Vicomtesse d’Audaux et de Domezain, Dame de Momas, affronte Merveylle de la Mirandole, Princesse de France, Dame de Saint Agil



    Elle s'était préparée pour le duel à venir, était grimpée sur son cheval et avait été jusqu'à la lice aux côtés de son suzerain. Elle s'était trouvée une place dans les tribunes et avait suivit les duels, les uns après les autres. Elle était la première de la famille à passer. Lorsque son tour vint, elle entra sur la lice. Des gradins, elle entendit son frère lui crier "MERVEYLLE CATHERINE ELISABETH DE LA MIRANDOLE. SI TU PERDS TU VAS M ENTENDRE ! ". Pfeuh, même pas un encouragement... Face à elle, il y avait Susi. La dernière fois qu'elle l'avait vue c'était au baptême de sa fille de mémoire. Un bon bout de temps donc. Guy tenait vraiment à ce qu'elle mette à terre la mère de sa filleule ? Elle ferait de son mieux quoi qu'il en soit. Mais viser était toujours un réel soucis pour l'altesse. Elle salua Susi alors qu'elles se mettaient en place.

      - Bonjour Vicomtesse. C'est un plaisir de vous avoir comme adversaire, comment va votre fille ? Elle doit avoir grandi...

    Pas le temps de papoter plus que cela, place au duel, elle s'élança une première fois, sans arriver à bien placer sa lance. Susi brisa la sienne mais Mery tint bon sur sa selle - pour une fois ! Cependant ce fut de courte durée, deuxième passe, et hop sous l'impact la Mirandole s'échoue dans le sable. Pfeuh ! M'enfin elle s'en doutait que cela finirait comme ça. Elle se releva, fit signe que tout allait bien puis fila se changer. La partie était terminée pour elle, il ne lui restait plus qu'à remballer ses affaires et retourner vaquer à ses occupations.

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Aimelin
[ Eliminatoires Pamounette VS Aimelin ]


Mais non fallait pas être cocu pour gagner aux joutes ! Et puis lui en avait gagné son saoul mais certains ne pouvaient pas le savoir, n'étant pas présents à l'époque. La chance mélangée à quelque talent, y était aussi pour quelque chose et c’est avec ces vilaines pensées, que le jeune brun se saisit de la lance que lui tendait un valet de lice… une nouvelle carte à jouer.

Cette année serait périlleuse, car il avait eu le malheur de relever le défit de sa blonde amie et complice Keltica. Leur motivation souvent émoussée, les deux acolytes se soutenant en joutes, avaient décidé de participer à tous les tournois. Il allait sans dire, que la poursuivante de Minerve allait devoir tenir son rôle de poursuivante, et le poursuivre sans répit, afin que le Millelieues ne se fasse pas porter pale à la moindre occasion. Mon cheval est malade, j’aim’ pas ce noble, j’aim’ pas cet endroit, j'ai mal à la tronche. Rébroussié, mais tellement attachant. L’année 65 promettait donc d’être très animée.
Et aujourd'hui, il avait décidé qu'il sortirait vainqueur de son passage contre une jeune Dame qu’il ne connaissait pas. Penser positif était vital. C’était ce qu’il avait dit à sa fille ainée âgée d'un peu plus de trois années, tandis qu’il enfourchait Altaïr.


ne t’inquiètes pas ma merveille, ton père va revenir vainqueur encensé par la foule.

Les enfants aiment les contes de fées. Il avait claqué un baiser sur la joue enfantine accompagné d’un petit clin d’œil et l’avait laissé aux bons soins du Flottant, et avait donc perdu. Mais ! il n’avait pas joué au fruit trop mûr, il avait juste eu une lance plus courte que celle de son adversaire, car il toucha des pécadilles, nada, rien, du vent. Ou alors peut être que l’écu adverse était minuscule. Il irait d’ailleurs se plaindre à la Ligue. Premier tournoi, et même pas passer ces satanés éliminatoires, il y avait de quoi décourager.
Pour Lily, il lui offrirait une grande timbale de jus de pommes champenoises, celles qui contiennent le plus de vitamines, parce que de toute façon elle se fichait qu’il soit encensé ou pas, il était SON chevalier, SON roi, SON héros, SON tout, son père quoi !

Un sourire à Pamounette après avoir relevé la visière de son heaume.


Enchanté. Donc un futur chevalier.
Félicitations à vous, et je vous souhaite d’aller loin dans ce tournoi.


Il avait accompagné la jeune Dame hors de la Lice, et avait suivi quelques duels qui l’intéressaient.
Durant ces éliminatoires il avait assisté à la victoire de la petite galette béarnaise, à celle de Sya, à la défaite de sa blonde face à Calico, à la victoire du Mirandole qui le faisait toujours sourire, à la victoire du crapaud qui même en sautillant gagnait des joutes, la victoire de son amie et vassale, si si, Jujoss face à la jeune Poucelyna, la victoire de Klementein. Il ne s'était pas ennuyé quoi parce que pour y avoir du monde, y'avait du monde.

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~ activité fortement réduite les week end -
Isabelle.sorel

Partie 3


Citation:
Belisaire Lablanche d'Abancourt, Seigneur de Gayrac, en qualité de Champion d'Aemilia d'Amahir, Duchesse de Vernou, Damoiselle de Roissy-en-France et de Villebon, affronte Isabelle Sorel, Vicomtesse du Labourd d'Ustaritz, Baronne de Mugron, Dame de Barnetchia



C’est au tour du Seigneur de Gayrac, champion de la Duchesse de Vernou, et de la Vicomtesse du Labourd d’Ustaritz de s’affronter ; Keltica les salue puis le départ est donné.

Le Seigneur, novice, ne parvient pas à toucher son adversaire, et la Vicomtesse en profite ; elle touche et brise sa lance, et la secousse est telle que le Seigneur finit par chuter dans le sable de la lice. Heureusement, il n’y a pas de blessure à déplorer.


Par chute de son adversaire, Isabelle Sorel est déclarée vainqueur !


Il y avait bien longtemps que la Vicomtesse n’était venue pour participer aux joutes. Quand elle reçut l’invitation de la Duchesse elle avait hésité, y aller ou pas…… elle manquait vraiment d’entrainement. Mais voilà ses enfants insistèrent et elle finit par s’inscrire. Ils n’avaient pas eu le temps de monter leur campement. Alors ils s’installèrent dans une auberge qui n’était pas très loin. Elle n’a pas regretté avec le froid et une chambre bien douillette c’était au final pas plus mal.
C’est dans la précipitation qu’elle arriva, c’était déjà son tour. Elle monta sur son cheval blanc, baissa son heaume, prit la lance que l’on lui tendit. Quelques respirations pour éviter tout énervement, il fallait qu’elle reste concentrée. Un coup sur les flancs de sa monture et elle fonça elle arriva à hauteur du Seigneur. Celui-ci ne la toucha pas mais elle lance tendue un craquement et plus de lance. Le cavalier était à terre dans le sable. Elle descendit pour se rendre immédiatement auprès de son adversaire. Elle l’aida à se relever
Je suis désolée de vous avoir mis à terre, Rien de cassé j’espère !


Isabelle était agréablement surprise d'avoir gagné ces éliminatoires ....

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Margauth


Partie 4

Citation:
Margauth de Garlaban, Dame d'Irouléguy et de Mauré, affronte Eliete de la Pernelle, Dame de Marnay



Entrent en lice la Dame d’Irouléguy et la Dame de Marnay ; après le salut de l’arbitre, le signal est donné.

C’est la Dame de Marnay qui est seule à toucher, sa lance se brise même dans l’impact ! Son adversaire a du mal à encaisser le choc, et finit par chuter, sans se blesser.


Par chute de son adversaire, Eliete de la Pernelle est déclarée vainqueur !


Nous y étions, les premières joutes pour Margauth! Pas trop le temps de s'échauffer, de faire quelques pompes, que la voilà harnacher dans son armure, ses 96 livres avaient un peu de mal à supporter le poids de toute cette ferraille dont elle était vêtue, à cet instant présent, elle regrettait bien les robes de satin et de soie, mais nous étions la pour jouter, alors nous allions jouter.



Notre jeune jouteuse !! (ça se dit ça?) bref !! Notre Margauth c'était concentré à observer les premières rencontres, il faut dire qu'elle n'avait pas eu trop le temps de s'entrainer et entre-nous, pas trop facile de jouter sur un bateau.

Il fallait donc commencer par le commencement, "Les éliminatoires" tout à coup, elle entendit son nom, c'est avec beaucoup de difficulté qu'elle monte sur son Ulysse, une fois fait, voilà notre Margauth, lance à la main qui avance en regardant son adversaire. C’est qu'elle n'a pas l'air très méchante la dame en face de moi, un signe de tête accompagné d'un beau sourire, on n'est pas des sauvages quand même, restons courtois, un salut à l'arbitre. Une caresse sur le cou de mon bel étalon et nous voilà partis, lance en avant tout en criant
"Desperta Ferro !"

Pas le temps de dire oufffffffffff !!!! Que je sens un coup et me voilà le derrière par terre, mon Ulysse continuant sa route sans moi. Dignement, je me relève tout en constatant que je n'ai rien de cassé. Je m'avance vers ma charmante adversaire qui se dirige vers moi.

Je vous remercie pour cette joute et je suis surtout bienheureuse que vous n'ayez aucun mal , à charge de revanche.

Tout en adressant un grand sourire.

C'est moi qui vous remercie de la douceur du coup donné, je vous souhaite bonne chance pour la suite, oui à charge de revanche, avec grand plaisir.

Margauth, lui adresse de nouveau un sourire et va récupérer son Ulysse et voir la suite des joutes.
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Gnia
[Agnès de Saint Just vs Eléïce de Valten]


Ce fut résignée que la Saint Just fit son tour de montre.
Elle était intimement convaincue que la malédiction des éliminatoires allait encore frapper. Appréhension que des mois sans jouter avaient bien évidemment renforcée. Devenue conviction après avoir découvert qui elle affronterait.

De fait, son passage fut pour le moins lamentable.
Pas de touche, et pire que tout, elle fut désarçonnée, elle qui excellait pourtant usuellement dans l'art de tenir en selle.

La rencontre avec le sol de la lice fut douloureuse. Et lorsqu'il lui fut permis de ne plus ressembler à une piteuse tortue sur le dos, elle releva la visière de son heaume et salua son adversaire.


Mes félicitations, Votre Seigneurie.

Une grimace déforma un instant ses lèvres, et elle fut bien en peine de poursuivre. Sa nuque la lançait.
Elle n'avait aucune envie d'aller à la tente médicale mais cette fois, peut être qu'elle n'y couperait pas.

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Agnès de Saint Just ~ Ne pouvant se corriger de sa Folie elle lui donnait l'apparence de la raison.
Toto.dangely
Citation:
Toto Dangely, Duc de Guiche, Seigneur de Aincille et de Harrewin, affronte Lanceline de Valdesti, Dame de Laguian



Le Duc de Guiche et la Dame de Laguian font leur entrée, et Keltica les salue pendant qu’ils prennent place ; une fois que tout est prêt, le départ est donné.

Le Duc ne fait pas dans la dentelle ; il touche seul, brise sa lance avec un violent impact, qui déséquilibre la Dame. Malgré ses efforts, celle-ci finit au sol, sans dommages.

Par chute de son adversaire, Toto Dangely est déclaré vainqueur !


Depuis le temps... Saurait-il encore jouter... là était la question, mais bon quand faut y aller... comme dit l'adage, faut y aller. Aussi, c'est le ventre bien rempli que le Duc de Guiche se rend sur la lice avec sa jument Quinine, 4ème du nom. avant cela il était passé faire vérifier son équipement, que sa lance soit conforme.

Quinine 4ème du nom, une belle jument bai, des balzanes blanches, et le chanfrein blanc également. Une tête bien large, avec des naseaux au vent, comme si la jument cherchait de l'air. Le Duc carrasse la ganache de sa jument avant de s'installer sur la scelle.

Il apprends alors le nom de son adversaire, nom qui lui rappelle une personne de Gascogne, de la famille.. peut être ... surement d'ailleurs. Mais, ne pas se laisser distraire, un regard vers son épouse avant de rabattre sa visière, il est prêt ! Deux coups de talon dans les flancs et le voila partir au galop. A l'approche, il place sa lance, touche et toujours en galopant, se retourne et constate sa victoire, son adversaire jonchant au sol.

Tirer rapidement sur ses rennes, s'arrêter, et rejoindre son adversaire après avoir confié sa jument aux mains d'un serviteur.


Vous allez bien ? Pas trop de mal ?

Oui le Duc s'inquiétait toujours, gagner.. oui, mais blesser son adversaire l'ennuyait toujours
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Floriantis
- En tribunes, avec Lily de Millelieues -

Encensé par la foule, mais qu'est ce qu'il ne fallait pas entendre.
Sa Grasce, comme il l’appelait, l’étonnerait toujours par cette façon qu’il avait de s’enlever la pression en balançant la première connerie qui passait à sa portée et le Flottant, puisque c’était son nom de code, avait jeté un oeil à la gamine qui subrepticement avait glissé sa petite main dans la sienne comme pour l’obliger à l’embarquer avec elle.


allons y moussaillon mais je te porte.

Et d'un mouvement de la dextre, l'attraper pour la mettre sur ses épaules. Faudrait pas non plus le perdre ce petit truc.

tout le monde est à bord ? parfait on peut appareiller !

Dans la tribu, je voudrais le plus dingue, il avait toutes ses chances, mais fallait dire pour sa défense qu’il était à bonne école pour ça chez les corsaires.
Il y avait d’ailleurs pire que lui, comme Tyg, qui le harcelait sans cesse avec son quatuor, et qui était restée sur le cul parce qu’il parlait.
Sauvage oui, mais doté de parole lorsque ça l’arrangeait ou qu’il le fallait, comme par exemple latter du gougnafier pas poli, ça c’était des restes des leçons de sa marraine.
Les deux Millelieues avait perdu et le blond avait dû cacher les yeux de la petite lorsque Aliénor avait chuté, de peur qu’elle ne se mette à pleurer parce que là, ça aurait été pire que les combats contre la koiné. Il connaissait un peu les gosses, parce que cotoyer Pom’ et ses huit ans l’avait un peu forgé, et il avait appris à Lily le jeu du je te vois je te vois plus, ça pourrait toujours servir.
Il avait aussi observé certains passages de personnes qu’il avait côtoyées en Anjou, comme le chevalier qui avait fait son baptême du feu à leur arrivée chez les rebelles ou Margauth connue du côté de Mimizan et qui faisait avec son époux, partie des leurs.
Il se devait aussi d’observer la façon de faire, parce qu’il avait été averti qu’il devrait s’y mettre tôt ou tard à cette drôle d’occupation.

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Mhaelanne
Citation:
Sepa von Stavanger, Baron de Beaurain, Seigneur de Hautpont, affronte Vittoria Farnezze de Sulignan, Comtesse de Château-du-Loir, Baronne de Courcelles-la-Tour et de Louplande, Dame de la Tour du Bost, Grand Chambellan de France


[Dans les tribunes]

Les joutes,c 'etait tout nouveau pour Mhaelanne, elle avait suivi Sepa dont elle était devenue son écuyère et le suivait partout où il allait enfin partout pas vraiment nous dirons presque partout

La brunette alla donc dans les tribunes au premier rang ben oui quoi comme çà elle pouvait intervenir rapidement puis elle encouragea le chevalier . La brunette regardait donc le déroulement grimacant parfois en les voyant se toucher assez fort

Bing boum ben v'la qu'il se retrouve a terre et en plus avec une blessure au bras, la brunette se fraya un chemin afin d'aller a sa rencontre .
Gailen_d_arduilet
Après les éliminatoires : Lice puis tente d'Arduilet.


C'est donc, un comte blessé à la cuisse qui quitta la Lice soutenu par deux de ses mercenaires reconvertis en porteurs pour l'occasion. En quittant le sable il n'osa regarder vers celle dont il avait voulu porter les couleurs. Il n'était pas digne et, sans doutes avait-elle eu raison de ne pas lui faire l'honneur de son ruban. C'était son ressenti. Non loin de lui une autre blonde s'était levée, d’où il était il n'avait pu l'entendre crier mais il l’aperçut sans faire plus attention. La blessure était légère et ne nécessitait pour ainsi dire pas de soins. Mais L'Arduilet était assez douillet. Ses proches se souvenaient, encore, d'une chute lors de précédentes joutes ou il hurlait qu'il était à l'agonie et ou les médicastres avaient conclu une blessure bénigne . Pour le coup, il s'en sortirait, certainement avec un gros Hématome, mais ne le savait pas encore....

Arrivé à son campement situé à l'écart des autres à cause de sa paranoïa sur les tentatives d'attentat à l'encontre de sa comtale personne, il fût interpellé par Bart son fidèle garde du corps. L'endroit était gardé comme une place forte. Les hommes d'armes composant sa suite veillaient à ne laisser approcher personne.

"Mijn Graf, les mannen ils ont attrapé un homme. Un homme qui vouloir entres dans campement. "

Gaïlen se redrassa, repoussant les porteurs.

"Comment, un homme ? Un royaliste ? Un homme de main des Mirandoles ? Qui ?"


"Nee , mijn graf, il venir van vlaanderen. Il parler notre langue et il porter couleurs van graafschap vlaanderen. Il dire avoir message pour vous. "

Gaïlen comprit, vite, qui l'envoyait. Bien que peu motivé à l'idée d'évoquer sa prestation en lice avec sa suzeraine, il dût se résoudre à recevoir le message. Après tout, il avait juré fidélité, aide et conseil.

"Je vais sous ma tente. Amenez moi ce messager et traitez le bien."

Il boitilla, donc jusqu'à sa tente. Se fit déshabiller et s'installa. Il demanda qu'on fasse chercher un médicastre et en attendant demanda à un des hommes de lui masser la cuisse avec des onguents . La troupe n'avait pas de réel médecin, mais plusieurs de ces guerriers aguerris savaient prodiguer les premiers soins. C'était une question de vie ou de mort pour eux. Il se fit, également servir à boire ...Il aimait boire pour oublier, bien trop sans doutes ...

Assez vite, le messager fit son entrée, toujours "escorté" par deux hommes d'armes.


"Parle ! Que me veux-tu ?"

L'homme, bien que Flamand, parlait un français correct . Rien à voir avec les hommes de main de Gaïlen.

"Votre grandeur, je suis envoyé par la régente de Flandres. Elle m'a remis ceci pour vous."

Il lui tendit un ruban il était rose mais plus foncé que celui que celle à qui il avait demandé ses honneurs portait dans ses cheveux. Sa couleur ressemblait plus à celle de la robe de l'autre femme qu'il avait inconsciemment aperçut en quittant la lice.

"Elle a aussi dit que si vous aviez demandé à la bonne personne de jouter en son honneur, ceci vous aurait sans doutes porté plus chance.
Elle a, enfin, dit qu'elle vous laisse en bonne compagnie n'osant vous déranger mais que vous vous verrez sans doutes au repas de ce soir si vous êtes disposé à y assister."


Tout était plus clair dans l'esprit comtal. Il s'était trompé. Fichu coursier qui n'avait pas su mieux la lui décrire. Mais alors qui était l'autre ?

"En bonne compagnie dis-tu , la tienne ? Tu diras à la comtesse que je lui suis reconnaissant mais que tu n'es pas mon genre. Je serai, par contre, très honoré de me rendre à ce repas et de lui prêter mon bras si elle a besoin d'un cavalier ....légèrement boiteux."

L'homme fût raccompagné et le comte ordonna qu'on continue à le soigner à coup de baume et d'alcool de prune. Il ordonna, également qu'on lui fasse couler un bain, loin de se douter qu'il allait recevoir d'autres visites.
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