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Une Bourgogne inébranlable face à la Fatumania !

Carmen_esmee.
        [Matin du 19 mars 1464 - Auberge de Dijon]

    Allons en Bourgogne taper du brigand, pendant notre Lune de Miel... Ouais, autant dire que la brune était Ra-vie ! Pragmatique, elle céda à son cher époux non sans feuler, après tout c’était presque sur leur route, elle n'avait jamais pris le temps de visiter la Bourgogne, une occasion se présentait, une pierre, deux coups. Mais jamais, Ô grand jamais, elle n'aurait pensé qu'il lui ordonnerait de garder la chambre pendant que lui irait se défouler sur le champ de bataille...

      "Tu es ma femme et tu feras ce que je dis !

      - Non mais je rêve !"


    Et d'une aiguière qui n'a rien demandé qui vient se fracasser sur la porte de leur chambre, elle peste, non elle enrage, il se prend pour qui ? Son père ? Il est vrai qu'il en a l'âge... Et si elle ne veut pas qu'elle le traite comme un vieillard, il a tout intérêt à cesser de la considérer comme une gamine, fragile et incapable de se défendre.

        *Si tu crois que tu vas être le seul à te défouler ce soir...*

    Des courriers sont échangés avec le Capitaine, elle s'en fait d'abord pour Zig et sa compagne en chemin pour les rejoindre, puis elle se renseigne sur quelle armée rejoindre le soir venu, il est hors de question qu'elle reste à se planquer alors que Lui, il ira en découdre. Mais elle doit se résigner à quelques concessions, elle n'a pas d'armure, et il est peu probable qu'on lui en trouve une en un si court délai, elle n'est pas inconsciente, elle gardera son corps derrière les remparts et rejoindra les archers.



        [Nuit du 19 au 20 mars 1464 - Sur les Remparts, Aux ordres de La Legio Burgundia]

    Une chasse nocturne se joue depuis les remparts, une chasse bien différente des habitudes de La Serna, car le vil gibier ne fuit pas devant le bruit, il ne se déplace pas avec grâce, elle n'a donc pas de remords à décocher ses flèches, et par-dessus tout, elle ne croquerait dans aucun de ses pillards... même rôti.. Une chasse sans aucun plaisir, elle ne songe qu'à une chose, plus elle en blessera, moins Drahomir en affrontera. Cela a le mérite de la maintenir éveillée. Car sur les remparts, les yeux se fatiguent vite sous le manteau de la nuit, à discerner ami et ennemi, tâche difficile quand on est non-résidente de Bourgogne. Elle ne le voit pas, et cela l'inquiète, car il est difficile de ne pas voir l'imposante stature de son époux.

    La bataille cesse, les armées se retirent et commence bientôt la danse des brancards, chacun prend soin à sa manière de ses blessés et officie pour ses morts. Elle se sent rapidement inutile sur les remparts, ne tenant pas en place et voulant s'assurer de ne pas trouver son époux sous la fameuse tente des blessés, elle s'y rend. Le carquois et l'arc, barrent sa silhouette, elle se triture les doigts, les empennages et les encoches lui ont partiellement brûlé la pulpe des doigts de la dextre, la senestre quant à elle, se fait douloureuse, à trop serrer son arc, les phalanges blanchies retrouvent un peu de leur rose.. Elle balaye de son front, les boucles brunes et moites de sueur. Oui, même la-haut, elle s'est fait peur. Et bien que cela ait pris fin pour ce soir, elle n'en demeure pas moins apeurée, elle veut le retrouver, s'assurer qu'il va bien... Venir ici est une mauvaise idée, elle en est intimement persuadée.

    C'est là, alors qu'elle quitte les remparts, empruntant les escaliers d'une tour qu'elle le voit traîner sa jambe, le garrot attire l’œil, elle dévale les marches en criant son nom et se rue sur lui. Heureuse qu'il soit en vie, mais également folle de rage... Elle met pour l'instant de côté sa colère pour le caractère paternaliste du Vadikra et l’étreint en prenant garde de ne pas ajouter à ses maux. Le minois trouve le cou de l'Ogre et s'y niche, elle souffle, soulagée de le retrouver, sa question avec une pointe d'inquiétude... Ouais, elle se muselle pour ne pas lui hurler dessus.. pas tout de suite, elle veut des réponses avant...


      "Comment est-ce arrivé ? Où étais tu ? Tu as vu un médecin ? Tu as mal ?"


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Maud
[ Nuit du 19 au 20- Ca tape! Campement de la Maudificator II -]
Les choses se précisaient. A force de potions et d'encouragements chaleureux de Aymeri qui partageait sa tente et que même que ça-regardait-personne, Maud retrouvait sa combativité, disons-le tout net, l'envie d'en découdre.
Et harnachée dans son armure légère, parce que les grosses casseroles, c'était pas pour elle, elle l'embrassa avec toute la fougue qui l'animait.

Mon aimé, on va aller se dépenser sainement et bouter cette vermine loin de Dijon!

Les chefs maréchaux et maréchaux étaient en première ligne pour repousser les assauts et cette nuit -là, ils firent honneur à la prevôté et à leur chef: Eliete.

La tension était palpable, tous les combattants , éveillés comme en plein jour, tendus à l'extrême . Attaquer pour mieux défendre et au signe du capitaine et au cri de la jeune duchesse,


Pour la Bourgogne! Que Saint Bynarr nous protège! Sus à l'ennemi!

Elle rameuta toute la section de commandement derrière elle

On frappe dans le tas! Pas de quartiers ou alors de gros quartiers pour nourrir leurs comparses, les chiens!

Eh oui et ce qui devait arriver arriva. Un homme surgi de nulle part la prit en traitre et la blessa
Ouch!
Même pas "Aie" non! Juste "Outch!" Mais ça suffit à lui faire lâcher son épée
Chien !
Ca c'est la première réaction
La seconde

Tu ne l'emporteras pas au paradis!
Et elle ne croyait pas si bien dire
Elle vit dans le brouhahas général, le géant lui faire son affaire

Drahomir! Vous m'avez vengée! je vous en dois une!
Et tout redevint silencieux. On comptait les blessés et les morts. Un passage dans sa tente , à chercher Aymeri qui la soignerait et à écrire un mot

Citation:
Line,
Prenez le commandement de l'armée, nous sommes avec vous.
Maud


Elle y retournerait le soir même.


Citation:
20/03/1464 04:10 : Drakeyras vous a porté un coup d'épée. Vous avez été sérieusement blessé.
20/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso, l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum II" dirigée par Wood..


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H2d2
Fatum, encore une fois. Hersande était un habitué des champs de bataille, les croisés, fatum, Hersande les avait tous pratiqué. Pour dire vrai, il s'ennuyait sans de grandes batailles comme ça. Il aimait se battre, il pouvait se défouler, et ensuite s'exercer à la chirurgie. Voila donc que Fatum revenait, et il arrivait à sympathisait avec ses membres, ce n'était pas un sauvage, et ils avaient beaucoup de points en commun avec lui. Mais à l'heure de la bataille, il était prêt à tuer quiconque se dresserait devant lui, même ceux avec qui il avait partagé un verre plus tôt.

Il était placé en 2e ligne, dressait droit sur son cheval, portant fièrement ses couleurs sur son bouclier. Il haranguait les hommes.


Tenez vos positions, on ne bouge pas. Attendez.


Et voilà que la bataille commençait, de loin, il voyait les corps se rentrer dedans et se battre. Il resta sur ses positions et dégaina sn épée.

Préparez vous, si ils avancent, on charge.

Mais voilà que les fatum n'avançaient pas, qu'ils repartaient même. Hersande appela donc son valet qui avait sa précieuse mallette de chirurgien, et une fois qui l'eut récupéré, il élança son cheval vers les blessés, mit pied à terre, et regarda qui avait besoin de lui.
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Egéries de l'Atelier du Lys; http://forum2.lesroyaumes.com/viewforum.php?f=11444
Axwell55
[ Nuit du 19 au 20- Campement de la Maudificator II -]

Alors qu'il devait partir pour Montpellier, le nouvel Ambassadeur Bourguignon avait finalement décidé de s'engager pour défendre le Duché. Il n'aimait pas la guerre et n'avait jamais vraiment bataillé mais il ne pouvait pas se dérober.

Armé d'un bâton, on ne pouvait pas dire que le vigneron était bien équipé. Il allait falloir resister et tenir face à l'ennemi armé jusqu'aux dents.

Hébété en arrivant sur le champ de bataille, il finit par reprendre ses esprits, lorsqu'il vit un homme avec une épée foncer droit sur lui.

Il empoigna son bâton, en déposa le bout sur le sol et puis se décala rapidement vers la droite.

l'adversaire qui n'avait pas pu s'arrêter finit par tribucher et tomber par terre.

A peine eut-il le temps de se retourner, qu'Axwell vit un autre homme armé se diriger vers lui. Ne pouvant réagir assez vite, l'épée du deuxième homme frola sa cuisse et le fit tomber sur la première personne qui était en train de se relever.

Alors qu'il se voyait déjà mort, deux hommes vinrent l'aider. Il put ainsi se dégager et continuer à défendre la ville jusqu'à la fin de la bataille.


Citation:
20/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso, l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum II" dirigée par Wood..

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Alexandre.


Alexandre. ressuscité des morts, se releva, un peu la tête dans le derrière.

Il était bon pour 45 jours de convalescence dans la capitale.

Poucelyna et ses sbires voulaient à tout prix qu'il quitte la Bourgogne mais cette pétasse n'avait pas pensé qu'un combat pouvait le maintenir sur place.

Les affichages revendicatifs des deux camps sur les murs de la ville lui apprirent qu'il avait tué des soldats.

Tout cela était invraisemblable puisque Alexandre. était désarmé lors de son arrivée à Dijon. Il aurait donc tué quatre soldats en armure et bien équipés rien qu'avec ses mains ? Waouwwwww !

Il apprit aussi que ces mêmes morts avaient pu établir des témoignages accablant contre lui.

Même les Grands qui se trouvaient dans leur campement racontaient partout qu'ils avaient vu le curé d'Autun en train de batailler.

Qu'est-ce qu'il pouvait se raconter comme conneries même dans les hautes sphères !
(c'est peut-être çà qui leur montait à la tête !)

Il allait être défroqué et viré de son poste par une évêque fantôme mais il se disait qu'après tout c'était mieux ainsi.

Il lui vint soudain l'envie de croiser ces soldats morts qui pouvaient parler.

Il allait être accusé de meurtre sur des gens vivants.

La situation ne manquait pas d'être cocasse et il adorait cela...

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blasone realizzato da Dama Puffetta in dono all'amico Alexandre. medalha oferecida por Dama Bandida Miranda Carvalho bannière réalisée et offerte par Dame
Claire_g
Gannicus1
[Le 20 Mars 1464 Aux premières lueurs du jours.]

Gannicus se trouvait sur les remparts de la ville regardant l'horizon et le soleil qui commençait à se lever dévoilant les horreurs de la nuit dernière.
Il n'était aucunement blessé , pas même une égratignure mais cela il le devait simplement au fait de ne pas avoir été affecté en première ligne. Mais il le savait cela était loin d'être fini , les trois armées étaient toujours devant les portes de ville se remettant sûrement eux aussi de leurs offensives et se préparaient pour lancer une nouvelle attaque cette nuit.

Tout en profitant de la chaleur apportée par les rayons du soleil le petit blond se remémora les jours passés et la bataille de la nuit dernière.



[Les jours précédents l'attaque]


Gannicus était arrivé à Dijon quelques jours avant l'alerte afin de visiter la Capitale pendant ces jours de congé.

Grâce à l'arrivée de son amie Ati à la maréchaussée , il avait obtenu deux semaines de congé au lieu d'une seule et avait donc pu partir plus longtemps en voyage.
Il en avait profité pour visiter Langres et Tonnerre qui malheureusement était un désert où il n'avait pas croisé le moindre habitant et avait donc décidé de pas s'y arrêter comme il l'avait prévu à la base. Il était ensuite arrivé à Sémur où il avait rencontré quelques voyageurs venant de Montpellier et du Poitou mais aussi quelques habitants de Sémur. Les quelques jours passés à Sémur furent agréables malgré le fait qu'il n'y avait pas grand monde en ville.

Après Sémur Gannicus s'était dirigé vers Dijon et il fallait l'avouer c'était une toute autre histoire. Il avait tout de suite compris pourquoi Dijon était une Capitale , la ville était immense et il y avait un nombre impressionnant d’habitants.
Les premiers jours de son séjour s'étaient déroulés tranquillement allant de taverne en taverne , de rencontre agréable en rencontre agréable. Gannicus avait fait de très belles rencontres aussi bien au premier qu'au seconde degré. Il faut dire qu'il y avait de sacré belles femmes à Dijon.

Sans parler des nombreuses boutiques que comptait la Capitale Bourguignonne. Gannicus avait pu trouver tous les cadeaux qu'il voulait pour ses amis à Joinville sauf le chat de messire Clavyguy qui lui avait été trouvé près de l'église de Dijon. Il avait reçu ce conseil part demoiselle Janet qu'il avait rencontrée en taverne. Elle était l'une des nombreuses que Gannicus avait salué afin d’honorer sa promesse faite à demoiselle Socklyne qui lui avait demandé de dire bonjour à ses amis de Dijon lorsqu'elle était passée à Joinville.

Après quelques jours , il avait entendu parler de l'alerte des trois armées qui se dirigeaient droit vers eux. Gannicus avait alors discuté avec ses collègues de Joinville et afin de savoir s'il pouvait rester quelques jours pour aider à la défense de la ville.
D'ailleurs il eut l'heureuse surprise de voir qu'Ati et son chéri messire Dean étaient à Dijon et avaient décidé eux aussi de rester afin de défendre la Capitale. Messire Flakiller leur avait dit qu'il s'occuperait des gardes de Joinville le temps que la menace existerait permettant ainsi à Gannicus et à Ati de restent à Dijon.

Ils avaient alors rejoint la lance de son Altesse Poucelyna pour être intégrés à l'armée de la Vicomtesse Maud. Gannicus n'était pas réellement certain de son utilité n'étant pas très costaud et ne sachant pas manier une épée ou se servir d'un bouclier mais bon il était là alors il n'avait pas vraiment le choix que d'aider sa province.
Polianna lui avait dit qu'il était l'homme qui tombait et il fallait l'avouer que le petit blond était bien arrivé premier voyage et hop une guerre éclate !!

Les jours qui suivirent furent entièrement consacrés à cela . Tout le monde parlait des armées qui arrivaient. Les dirigeants et les généraux s'attelaient à trouver des volontaires qui d'ailleurs arrivaient des quatre coins de la Bourgogne voir des quatre coins de la France. Il y avait des gens de Province comme Sa Magnificence Frim ou Dame Carmen Esmée qui venait de Normandie avec son mari.

Gannicus avait reçu une épée et un bouclier de la part de la Connétable Dame Lionix d'Aroz qui avait reçu une demande de son Altesse afin d'équiper le petit blond. Et malgré son hésitation , le jeune homme avait fini par prendre cet équipement Dame Lionix n'étant pas du genre à accepter les non facilement.
Elle lui avait dit qu'il était beaucoup plus redoutable avec lui avait plus l'impression d'être coq lui aurai trouver une fourchette.

Il avait d'ailleurs bien fait de s'équiper car le lendemain les trois armées arrivèrent et dressèrent leurs campements à deux pas de la ville et se préparaient à attaquer. Il se demanda d'ailleurs à ce moment pourquoi l'armée de Dame Dex était partie dans la nuit car cela faisait moins de force à Dijon et puis son amie Embellena était également partie faisant partie de cette armée là.
Heureusement il avait pu lui dire au-revoir la veille et que les armées arrivent à Dijon cela signifiait qu'elle n'aurait pas à combattre pour le moment. Cela le rassurait un peu.

La journée du 19 se déroula lentement très lentement , tout le monde attendait la nuit. Certains étaient excités , d'autres inquiets , d'autres en avaient tout simplement rien à foutre. Gannicus lui était légèrement inquiet n'ayant jamais combattu de sa vie, enfin du moins en armée il ne savait pas trop comment réagir ni quoi faire. Il se demandait ce qui se passerait le soir , allait-il mourir ou vivre telle était la question que beaucoup d'autres devaient également se poser.
Il allait souvent sur les remparts afin d'observer l’ennemi qui ne bougeait pas mais on voyait qu'il se préparait à attaquer. C'était la première fois que Gannicus voyait autant de monde sur les remparts , d'habitude lors de ces gardes il était seul. Là il n'y avait même plus la place de circuler.

D'ailleurs c'était pareil dans les tavernes. Gannicus aurait bien aimé dormir un peu avant la bataille mais cela lui était impossible il passa donc de longues heures en taverne en compagnie de messire Desneval et la Duchesse Lisa de Niraco surnommée l'énervée. A chaque fois qu'il la croisait elle était énervée, il avait même été fier comme un paon la fois où il avait réussi à la faire rire .
Messire Desneval lui était un homme un vrai la guerre ne lui faisait pas peur il avait d'ailleurs passé sa soirée à l'attendre avec impatience. Enfin les fois où il ne jouait pas au chat avec la Duchesse.

Leurs échanges avaient beaucoup amusé Gannicus qui avait essayé d'intervenir par moment mais malheureusement cela n'avait pas fonctionné. Vers deux heures du matin Gannicus les avait laissés afin de se rendre sur les remparts. Sur le Chemin il entendit :


ILS ATTAQUENT !!!!!


[La Bataille]

Gannicus se mit à courir en direction des remparts qu'il atteignit en quelques secondes. Il se mit alors à la recherche de sa section baissant la tête pour éviter les premières flèches qui ne mirent pas longtemps à pleuvoir sur la tête des défenseurs de la ville.

Les remparts étaient un vrai bazar, tout le monde essayait de rejoindre son poste et ceux qui s'y trouvaient repoussaient l’ennemi.
Certains transportaient des seaux remplis d'un liquide bouillant , d'autres des pierres ou des flèches.
Quelques médecins couraient ici et là s'occupant des premiers blessés dont les hurlements de douleur pourraient être entendus par un sourd.
On entendait également de part et d'autre du rempart les rugissements des soldats prêts à en découdre ainsi que le fracas de leurs lames qui s'entrechoquaient les unes contre les autres.

Il n'était pas évident de rester concentré dans un tel brouahaha mais Gannicus réussit finalement à rejoindre sa section. Il ne savait pas trop quoi et regardait les autres s’affairer autour de lui sans réagir légèrement pétrifié par ce qu'il se passait. D'un seul coup le cri d'un supérieur le fit sortir de cet état. Il écouta attentivement les ordres et obéit. Gannicus passa sa nuit à apporter des projectiles sur les remparts , à s'occuper de rapatrier les blessés en dehors des zones de combat et tout un tas d'autres petites choses du même genre. Cela n'avait rien de bien glorieux évidemment, il aurait préféré combattre mais il cela n'était pas son rôle se soir.

La bataille toucha peu à peu à sa fin comme la nuit d'ailleurs.
Elle avait été douloureux mais l’ennemi avait été repoussé et battait en retraite. Cependant il était loin d'être vaincu et il était facile de deviner que la prochaine nuit serait très semblable à celle-ci. Gannicus continuait lui ces petites missions ne se préoccupant pas trop de la prochaine mais de savoir si tous ceux qu'il connaissait étaient restés en vie et se portaient bien.



[Le 20 Mars 1464 Aux premières lueurs du jours.]

Gannicus attendit qu'on l'appela et cessa de lézarder au soleil en pensant au horreur de la nuit dernière. Celui qui l'appelait était un blessé assis contre le mur.
Le petit blond s'abaissa et lui offrit un peu d'eau en lui donnant une petite tape sur l'épaule.


Tenez mon Brave lui dit-il espérant qu'un peu de chaleur humaine remonterait le moral de ce malheureux. La blessure de l'homme ne semblait pas très grâce du moins si on la comparait à certaines vues par Gannicus cette nuit.
Il aida l'homme à se redresser afin de l'accompagner jusqu'à l'infirmerie ce qui lui permettrait également d'aller prendre connaissance de l'état de certains de ses amis.
Elysea
[après bataille, 20 mars 1464]

Après la bataille, la Rosée qui était restée le long des rempart à observer sans vouloir s'en mêler... Elle n'était pas combattante et mourir inutilement était...inutile. Elle pourrait apporter peut-être soin ou réconfort aux blessés, il fallait qu'elle se renseigne...

Elle se rassurait également en se disant deux choses : si elle n'était pas la bas, les vrais combattant ne perdrez pas leur vie ou ne se mettraient pas en difficulté pour la protéger. Elle ne gênerait pas ses alliés... Et puis aussi, rester sur les rempart a observer de loin permet de vérifier de loin qu'il n'y a pas de coup bas, de contre coup, de traitres à l'intérieur de la cité pour en ouvrir les portes ou bien des choses encore de ce style... Bref, il fallait bien se rassurer.

Mais la bataille était fini et elle fonça au dehors.. Elle cherchait quelqu'un, un homme précisément... son compagnon... Hersande. Elle regardait les gens par terre en se mordant la lèvre. Un homme gisant au sol leva la main... Fatum ? Bourguignon ? Peut importe, elle n'avait jamais laisser quelqu'un souffrir... Elle se pencha, les larmes aux yeux devant tous ces cadavres et elle vit la lumière quitter ses yeux.... Elle se releva, les larmes coulant, imaginant Hersande dans cet état... Elle vomit alors ses tripes rajoutant un ragoutant liquide sur l'herbe rougie par le sang. C'était la première fois que la Rosée approchait un champs de bataille... Et cela la répugnait plus encore. La violence c'était décidément bien moche !

Après quelques hauts le coeur, elle se releva et s'essuya la bouche... il fallait trouver Hersande. Elle regardait tout autour. Elle ne le vit pas.... Mais où était-il ?
Elle retourna près les remparts, elles visita les campements de leurs armées avant de finir par le trouver près des blessées... Elle reconnu ses armoiries et sa démarche. Elle se précipita vers lui en criant :

Herss ! Heeers !

Et arrivée à sa hauteur, elle passa les bras autour de son cou et l'embrassa longuement, folle heureuse qu'il ne soit pas blessé ! Elle finit par pleurer un peu dans ses bras...
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Drahomir
Alors qu'elle se jette sur lui, il esquisse un sourire pour dissimuler la grimace de douleur. Il l'entoure de ses bras et enfouie son nez dans sa chevelure parsemée de sueur..
Il inspire longuement et chasse en battant plusieurs fois des cils les images horrifiantes de la nuit.
La guerre n'est pas un jeu. Elle est réellement horrible. Elle fait peur. L'odeur du sang se mêle à celle des déjections. Les bruits sont assourdissants, les râles traumatisant.

La guerre a pourtant toujours été son métier. Il l'a dans le sang. Il la chérit. Il sait qu'elle lui permet, parfois, de pouvoir continuer à profiter des gens qu'il aime. La guerre est un mal nécessaire. Une expiation, une purge.

Il met un terme au flot de question par un baiser appuyé. Il mord la lèvre Sernienne. Et lui dit pour toute réponse:


-Ca va... Ce n'est rien.

Il recule et plonge son regard dans le sien. Elle semble indemne. Il remarque l'arc dans son dos. Un sourire nait sur sa trogne.

-Tu n'as pas pu t'en empêcher.

Il saisit la main de sa femme, sans même attendre une réponse. Et commence à marcher, sa jambe droite trainante, en direction d'un contingent armé. Il pense y trouver la duchesse, et par là s'assurer qu'elle va bien. Après tout, c'est pour feue sa mère qu'il est présent sur le sol de Dijon. Il pousse un léger grognement et manque de trébucher. Il s'arrête.
Il se courbe légèrement et masse les contours de son garrot.


-Je... Je n'ai pas vu de médecin... Mais tu l'es..Et j'aurais besoin d'être opérationnel... Pour la prochaine nuit.

Et il ne sert à rien de crier. L'ogre est aussi entêté qu'un troupeau de mules.
Arambour
[ Nuit du 19 au 20 - Campement de la Maudificator II ]

De petites lueurs de l'autre côté du rempart, les armées ennemis se préparaient probablement à l'assaut, peaufinant les derniers détails d'un bataille qu'ils s'imaginaient gagnée d'avance. C'était sans compter sur la ténacité des Bourguignons qui, même s'ils ne s'appréciaient pas tous, savaient se rejoindre lorsque la cause en valait la peine. La Garriguette n'était plus vraiment attachée au Duché, du moins le pensait-elle, mais elle ne comptait pas quitter le territoire tant que la vermine n'aurait pas battu en retraite ; il en allait de son honneur, du peu de respect qu'elle avait encore pour elle même.

Finalement, l'assaut fut enfin donné. Vu d'en haut, tout avait l'air extrêmement désordonné, comme s'ils frappaient un peu partout dans l'espoir que leurs attaques perce le bouclier formé par les volontaires bourguignons. A priori, personne ne semblait intéressé par le pan de rempart sur lequel la Démesquine veillait depuis des heures. Avaient-ils senti que se prendre un goupillon dans la mâchoire ne les rendraient assurément pas plus beaux, ni plus malins ? Pourtant, une femme en robe devait inspirer la confiance pour un brigand, donner l'impression d'une proie facile à tuer et donc d'un passage facile vers le château.


-Foutre !

Elle était prête à quitter son poste pour aller tâter du Fatum un peu plus loin. Il était hors de question qu'elle reste à stagner ici alors que ses compatriotes étaient très probablement en train de croiser le fer. Peut être Le croiserait-elle d'ailleurs... A peine eut-elle tourné les talons, déjà animée par l'idée de le voir, que son oreille fut attirée par un cliquetis. Dans l'instant qui suivit, elle fit un volte face tout en se saisissant de l'arme qu'elle avait à la ceinture. Une seconde plus tard, constatant l'élan haineux de la jeune femme, elle ne tarda pas à faire virevolter les chaînes de son goupillon pour envoyer les trois boulets dans la cuisse de son adversaire. La force et la vitesse eurent probablement raison de l'ennemi. La Fraise tapa du bout de sa botte dans le corps inanimé pour s'assurer du sale état dans lequel elle l'avait mise, et pour débarrasser la ville de l'infamie, elle rebalança le corps de là où il venait. Morte ou vivante, elle serait de toute façon "inutilisable" pour l'ennemi pendant un certain temps.

Puis le soleil se leva enfin, les combats prirent fin, probablement dans l'attente de ceux qui auraient lieu la nuit prochaine. Elle n'avait plus qu'à rentrer dans ses appartements pour voir ses enfants, avant de repartir en direction des campements pour s'assurer discrètement qu'Il était toujours là, lui aussi. La discrétion était de mise, parce qu'il ne fallait pas que la Vicomtesse Maud, qui avait déjà bien compris le manège alors que la Gorella n'en avait rien dit, se doute qu'il s'agissait bien de celui qu'elle avait évoqué...

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Carmen_esmee.
        [Après les Combats - Remparts]


          *Ce n'est rien ? Je le pousse dans les escaliers ou... Non.. il m'a trop manqué.. Mais il ne perd rien pour attendre..*


    Un baiser, un sourire, et une constatation quant à l'équipement Sernien, elle n'a pas commis de folie, elle est indemne, il ne peut en dire autant et s'abstient donc de la gronder, une once de fierté semble même passer dans son regard.
    Ils marchent ensemble, Carmen le soutient subtilement, en se calant à sa gauche, telle une béquille afin qu'il ne s'appuie point trop longtemps sur sa jambe blessée. Elle se retient de lui dire de s'arrêter.. c'est inutile, il n'en fera rien, elle se laisse guider tout en observant la blessure de son époux, soudain il manque de trébucher, le poing de la brune se resserre dans le dos de l'homme, s'agrippant à la côte.
    Lorsqu'il retrouve son équilibre, elle se glisse à genoux face à lui, et écarte les pans des braies fendues par le coup de lame juste au-dessous du garrot. La plaie ne saigne plus, c'est un fait mais l'onguent ne suffira pas, il faut réunir les deux lèvres de la plaie et sans tarder. Les sourcils sont froncés, les masséters dansent entre les maxillaires, elle rage contre celui qui a osé abîmer son époux.. Elle veut le garder au lit, il veut y retourner... Pour demain, ils aviseront pour ce soir, elle décide, et elle compte bien appuyer sa décision. Elle se relève.


    "Drahomir.. Les combats sont finis pour cette nuit, où veux-tu aller ainsi ? Rentrons, il faut te recoudre, et je ne le ferai pas ici."

    Elle se hisse sur la pointe des pieds, chuchote quelques mots à son oreille pour argumenter sa décision, n'est ce pas ? Et si cela ne suffisait pas, elle n’hésiterait qu'une seconde avant de venir plaquer sa main avec violence sur sa plaie. Sadique ? Si peu.. Avec l'Ogre, il faut avoir plus d'un tour dans son sac pour le faire obéir.. ou euh non.. juste être sa femme.


        [Auberge - Le 20 Mars - Petit Matin]


    Dans un seau d'eau froide, des étoffes ensanglantées trempent, l'Aubergiste semble avoir profité de l'absence du couple, pour retirer toutes faïences de la pièce.. Sur un guéridon, une aiguille, du fil, des chutes de bandages, le cadavre d'une bouteille de liqueur, et sur la couche, les deux silhouettes entrelacées, c'est donc cela le repos du guerrier, une nuit à veiller, guerroyer et à le soigner auront eu raison des dernières forces serniennes, elle sombre dans un sommeil profond.


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Elisa.malemort
[Nuit du 19 au 20 mars – Dijon]

La Bourgogne. La Malemort était venue ici pour retrouver un peu de paix. Pour remettre un peu d’ordre dans sa vie, dont elle avait perdu le contrôle depuis plusieurs mois maintenant. Se laissant aller à des actes et des folies dont elle n’avait aucune envie. Elle voulait lui redonner un sens, trouver ce qui pourrait désormais animer son corps, son envie, ses désirs et le reste de son avenir. La Bourgogne avait été donc la destination souhaitée. Pourquoi ? Et bien pourquoi pas !
Mais elle n’avait pas prévue qu’en arrivant là-bas, quelques jours plus tard, une guerre allait se déclarer. Et c’est alors sans hésiter une seule seconde, que la Duchesse avait répondu à l’appel des autorités pour leur venir en aide. Elle ne possédait ni terre, ni propriété en Bourgogne, seulement un appartement dans la Capitale Dijonnaise et pourtant, cela ne l’empêcherait pas de prendre son épée pour les aider à combattre cette vermine de Fatum. Elle avait toujours luté contre eux, ici, là-bas, ailleurs. Et elle continuerait jusqu’à la fin de sa vie, pour les éliminer tous un par un.
Alors cette nuit, la Malemort avait couché ses enfants, les embrassant tendrement les uns après les autres, leur murmurant combien elle les aime. Elle attendit qu’ils s’endorment tous, pour aller rejoindre la section avec qui elle défendrait ce soir.

Arrivant au campement de l’armée "La Maudificator II", on lui précisa qu’il était temps de se changer et de se préparer pour cette nuit. Une nuit qui serait certainement longue et difficile. Personne ne connaissait encore la véracité de ces mots. Son valet l’aida à revêtir sa lourde amure, bien que tout à fait approprié à son corps frêle afin qu’elle puisse garder un minimum de précision dans ses attaques sans aller outre sa sécurité. Une fois prête, elle installa en dernier, son épée, à sa ceinture. Puis elle retourna rejoindre la section. La garde débutait. Il ne fallut pas longtemps pour voir les premières lueurs des épées ennemies grâce à l’astre lunaire. Et bientôt, le silence nocturne s’effaça pour laisser place au bruit des lames qui s’entrechoquaient. Ennemis se battant pour sauver sa peau, certain pour avancer leur position, elle pour les repousser loin des remparts.
Au loin, elle vit le chef de la section, Desneval, l’épée à la main, menant ses troupes sans failles, courageux et déterminé. La Malemort tâcherait d’en faire de même. Soulevée par l’entrain de cet homme qu’elle ne connaissait pourtant pas mais qui savait motiver ses troupes pour s’engager dans une bataille dont personne ne connait pourtant l’issue.

Justement, l’issue de cette bataille ne sonnerait pas glorieusement pour la Duchesse. C’est après avoir repoussé un coup, qu’une flèche vint se planter dans le haut de son bras droit. C’est un cri qu’y s’échappa d’entre ses lèvres, la douleur aussi vive que la flèche venait de transpercer ses chairs. Son épée tomba lourdement au sol, et ses genoux vinrent se plaquer eux aussi contre le sol terreux. Sa main valide s'entoura sur les pourtours de la flèche, bien ancrée dans son bras. Une fois les cris de douleurs lancés, sa mâchoire se crispa. Elle devait garder l’esprit, oublier la douleur. Elle n’avait plus qu’aucune chance de pouvoir combattre, la douleur était bien trop forte pour lui permettre de réussir à porter son épée, alors réussir à se battre avec ? Non, peine perdue. La Duchesse récupéra son épée de sa main gauche, elle tenta de se lever, lorsqu’un homme vint passer un bras sous ses épaules, pour l’aider à se remettre debout. Le regard embrumé, elle ne pu vérifier si elle le connaissait, et sans refuser son aide, elle le suivit vers les rangs arrières.
Ils croisèrent de nombreux blessés, allongés, criant leur douleur, certains amis, d’autres ennemis. Les prunelles noires de la Malemort croisèrent le plus de regards possible, et elle remercia le Très-Haut que cette nuit c’était elle qu’on était venu aider pour la mettre en sécurité.



Citation:
20/03/1464 04:10 : Libellux vous a porté un coup d'épée. Vous avez été sérieusement blessé.
20/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso, l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum II" dirigée par Wood..

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H2d2
Hersande scrutait les corps sans vie et agonisant, ne sachant pas par où commencer quand vint Ely qui l'embrassa. Il la réconfortait doucement en regardant les blessés. Pas de place pour la tendresse ce matin, il la câlinait car il était obligé, son objectif était juste de soigner. Il finit par la secouer.

Assez, retourne à l'abri, je dois soigner les blessés, chaque seconde compte pour certains. Cherche plutôt ma suzeraine et fait moi appeler si elle a besoin de soin.

Puis ayant repéré son premier patient, il s'avança en courant vers lui, l'examina attentivement et commença ses soins, attendant qu'on l'appelle pour des blessures plus sérieuse.
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Egéries de l'Atelier du Lys; http://forum2.lesroyaumes.com/viewforum.php?f=11444
Ameria
    La rouquine n'était plus à une aventure palpitante, sa vie était menée par cette adrénaline au grand désespoir de sa soeurette. Après le Périgord pour reprendre Castillon, après la Champagne contre l'Empire, après un espionnage en Anjou et un gout amer de leur satané armée, elle proposa son aide pour s'enrôler dans l'une des armées Bourguignonne. Elle ne tenait plus en place, des années qu'elle entendait parler des fatum sans jamais avoir l'occasion de se dresser contre eux. C'est quand qu'on les décime?

      Dijon, dans la nuit du 19 au 20 mars 1464

    Littéralement excitée comme une puce dans les rangs de l'armée "La Maudificator II", elle pousserait bien tout le monde pour passer la première. La benjamine de la famille Duval n'avait pas froid aux yeux contrairement à sa soeur qui fuyait les champs de bataille, Noé ressemblait à ses trois frangins, elle devait sa force de caractère à son père. L'épée bien en main, droite, pointée vers le haut, elle pressa sa course pour croiser le fer avec les fatum. Fichtre! Pas un seul ne vient gouter sa lame. Auraient ils peur d'une rouquine? Elle trainait les pieds pour retourner au campement espérant que la nuit prochaine serait plus sanglante.


20/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso, l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum II" dirigée par Wood..

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Jewelle_archer
Du haut des remparts, elle entendit les premiers sons des lames qui se croisent et des cris d'hommes, des cris de guerre et des cris de souffrance, des sons qu'elle détestait plus que tout.

La bataille était lancée, les Fatum venaient de profiter du calme de la nuit pour faire d’innombrables dégâts. Les flammes qui consumaient les tentes éclairaient les soldats de la pénombre, dansant devant les nombreux cadavres qui gisaient déjà sur le sol tandis que les hommes encore debout se dressait pour sauver leur vie et leur Bourgogne.

Au milieu de la masse, la blonde était là se battant avec ferveur, bloquant les épées et tranchants les chaires de ses ennemis pas le moins du monde déstabiliser par les cris d'agonis des Fatum dont elle ôtait la vie.

Citation:
20/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Harchette. Vous l'avez sérieusement blessé.
20/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso, l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum II" dirigée par Wood..
--Dovan
Allez, les gars ! On ne traîne pas !

Le fière Chef de la Garde d'Elysea "La Rose" De Boussenois se fraye un chemin dans la ville, s'assurant que les six hommes qui le suivent soient toujours derrière lui et en alerte. Ces chiens de Fatums, ce n'est pas juste par les couilles qu'ils les pendrait ! Assiéger Dijon, le coeur de la Bourgogne... Il bouscule, passe entre les gens, son armure aux couleurs de la Dame de Boussenois est l'ombre d'elle même, un peu cabossée et rayée mais rien de bien grave. Elle est là pour ça après tout.

On va leur en coller dans les dents ! Allez ! On ne flanche pas !

Tout en exhortant les gars de la garde, il grimpe rapidement vers les remparts et observe les armées en bas. Un sourire mesquin et agacé se dessine sur ses lèvres. Encore une belle nuit... oui.

Un belle nuit pour pourrir les faquins, Messieurs ! hurle-t-il à ses hommes par-dessus le fracas des armures qui se meuvent. Il protégera sa Maîtresse, il protégera la Bourgogne qui lui est si chère.
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