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Une Bourgogne inébranlable face à la Fatumania !

Sofja
    Cela faisait des semaines, voir des mois que Sofja avait rejoint l'armée de la Vicomtesse Maud pour patrouiller sur les routes Bourguignonnes. Elles étaient plutôt calmes malgré une nuit mouvementée par quelques des brigands stupides car en sous nombre. Mais rien de bien sérieux.
    La Jagellon commençait à trouver le temps long sous son armure légère. Malgré ses fesses rebondies, le dos de son cheval n'était pas des plus confortable. Et cette odeur de fumier commençait à lui donner des hauts le cœur. Dur vie de soldat !! Il est vrai qu'elle aimait brusquer sa vie entre deux soirées mondaines au sein du Louvre. Mais à petite dose. Avec l'âge, elle avait perdu le goût de la bataille sanglante. Les joutes lui convenaient parfaitement. Mais bon, elle était sur les terres de sa belle famille et elle souhaitait leur faire honneur. Elle aurait du se douter que les corbeaux lui porterait malheur...


    Citation:
    20/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso, l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum II" dirigée par Wood.
    20/03/1464 04:10 : Larti vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.


    Le combat fut assez rapide et sans appel. L'ennemi l'attaqua par derrière sans qu'elle eut le temps de réagir. La lame s’emplâtra dans son ventre. Une drôle sensation qu'elle avait presque oublié depuis sa mésaventure lors du siège de Chateauroux. Oh elle était aussi fiancé à cette époque. Elle devrait mieux écouter le destin si elle s'en sortait vivante. Mais pour l'instant, elle sentit l'acier froid ressortir de son ventre pour s'écrouler dans la gadoue. Son visage recouvert de terre afficha un sourire. Elle allait rejoindre son frère...

    Triste nouvelle qu'elle avait appris quelques jours auparavant. Il était le dernier membre de sa famille proche d'elle. Et surtout, elle l'aimait malgré ses choix. Son petit frère, qu'elle avait tant surveiller, gronder, aimer. Il lui manquait affreusement. Alors, oui, elle était heureuse à l'idée d'aller le retrouver. De toute façon, rien ne la retenait dans ce monde de vivant. Elle se détestait, faisait souffrir son corps et son âme quotidienne, son fiancé ne l'aimait point, ses fils vivaient leur vie. Non, rien de rien.

    Je meurs...enfin et toujours, seule.

_________________






Durandal


Dans la nuit du 19 au 20, Campement Fatum & Renards.


Allongée sur l'horizon, l'ombre des remparts est couronnée de lueurs agitées.

Les bourguignons s'affairent. Cette vision provoque une inspiration, soudaine.

Froncement de broussaille sourcilière. Air pénétré et grave. Le ton, bas, est rythmé.


- Ils allaient brillants dans la nuit fréquentée...

Autour de lui, de puissants vivats étranglés. Réponse d'une exhortation habile lancée par l'un des capitaines brigand. Sa poésie meurt dans l'indifférence générale.

Éternel génie incompris, parmi cette bande de rustres. Le jeune homme ne s'en formalise pas.

Il se joint alors aux beuglements. Et brandit haut sa bâtarde.

Avec le recul, c'est tout à fait ridicule. Mais sur le coup, ça fait du bien. Ça soude la horde, galvanisée par ce cri de guerre.

Puis vient la bénédiction. C'est une nouveauté. Il trouve ce manège un peu étrange, lui, l'à peu près Réformé. Mais il tolère.

D'abord, parce que l'apôtre est son pote.

Mais aussi parce que :


Le 39ème article a écrit:
39. Ce sont des ennemis du Très Haut, ceux qui interdisent la prédication de la parole de Dieu.


À cheval, le curé s'approche.

- Tu as Sa Bénédiction, tu as Sa Bénédiction

Coup de goupillon. Une goutte au front, l'autre dans la tignasse.

- Merci Crak lève le front.

Et son ami dévôt de poursuivre sa mission divine.

Enfin, c'est l'heure. Les armées à l'étendard sombre avance. Une troupe hétéroclite de coupe-jarrets, défroqués, paysans excédés ou de déshérités.

Les Renards les accompagnent. Ils ont plus fière allure, moins hétérogènes.

Et enfin, la charge est sonnée. Les deux armées s'entrechoquent.


hrp :Quelque part, à 552 ans de là, il est minuit et demi passé. Et un narrateur préfère bien saloper la fin de son post avec une référence moisie plutôt que de se coucher tard. /hrp

La suite ? L'avenir n'est qu'un long passé.
Lionel.parfait
Le Jeune corbeau princier n'avait pas quitté les remparts, donnant sur le campement de la vermine, de la nuit. Son regard s'était habitué à l'obscurité et cherchait à savoir quand le campement commencerait à bouger afin de déterminer le départ imminent de l'attaque. Les deux mains posées sur le mur, il observait sans un bruit, la respiration se voulait très lente. Quelquefois on pouvait voir la fumée sortir de son nez en raison de la fraîcheur du matin quand soudain des ombres se déplaçaient au loin de droit à gauche et de gauche à droit. Telle une fourmilière lorsque enfant vous marchez dessus.
Lionel se redresse faisant volte-face sur ses pieds, main gauche posée sur le pommeau de son épée. Il prend la direction des différentes sections en disant à chacun d'entre eux.


Fier Bourguignons que vous êtes, l'heure arrive, ne tremblez pas face à la vermine, prenez vos armes tètent haute. Faites annoncer le jugement à tous ceux qui osent penser pouvoir faire plier la Bourgogne ! Soyez valeureux et battez-vous pour vos proches, pour votre foyer pour chacune des sœurs et frères d'armes qui se battront à vos côtés.

Ce matin, je serai grandement fier de me battre aux côtés de chacun d'entre vous ! Mes sœurs et mes frères d'armes.


À ses mots il fit les dernières vérifications puis se postant sur le haut des remparts. Une vue sur la duchesse non loin de lui afin de surveiller son derrière ! Car il était le seul à avoir le droit d'exercer la fessée dans cette province !

L'assaut ennemi fut donné, les archès attendaient le signal du Capitaine pour décocher les premières fraîches, encore un peu, juste un peu


TIREZ !

et la première salve fut envoyé, certaines flèches fire mouche, d'autres non et à cela le Blanc Combaz-Saint Just prit la direction de la porte d'entrée bien fermée aux côtés de nombreux Bourguignon et lorsque l'ennemie fut rapprochée des portes de l'huile bouillante fut versée et des flèches enflammées furent tirées et avec une voix forte et Rock.

Tenez-vous près ! Ouvrez les Portes !

À cela les portes furent ouvertes et l'ensemble se jeta sur les chiens qui venaient tenter d'entrer dans Dijon. Lionel fit entrer son épée sur la première charogne devant lui et il lui infligea une blessure au bras.

Citation:
20/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Auron. Ce coup l'a blessé superficiellement.


Ce dernier prit la fuite et Lionel continua la percé, il avait fait en sorte que la duchesse soit cette fois derrière lui pour être certain que personne ne vienne la menacer. Là un homme cherchait à aller vers elle et l'épée du Capitaine venant transpercer l'épaule gauche de l'individu

Citation:
20/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Almodie. Vous l'avez sérieusement blessé.


Lorsqu'il relève son regard devant lui la vermine prenait la fuite la queue entre les jambes. En regardant autour de lui il vit son amie touchée et comme la menace n'était plus il se précipita sur Sofja afin de l'amener auprès d'un médicastre au plus vite.

Lionel fera les allers et retours pour aider les blessées afin qu'ils puissent être remis sur pied pour certains et d'autres trouver du repos.

Cette journée aura été soldé par une victoire, une belle victoire qui démontre que la Bourgogne est une grande Province et qu'elle sait se défendre.


Pour la Bourgogne !
_________________
Loreanah
Nuit du 21 mars 1464.
○ ○ ○ Campement de la Maudificator II ○ ○ ○


Les nuits se suivent et se ressemblent, sauf qu'au vu de la nuit précédente, Jon lui avait dit qu'ils ne se quittaient pas cette fois.
Et en effet, aux premiers claquements de talons sur les flancs des chevaux, les rapières fendaient l'air et.... Tiens, toi là, t'as une sale gueule, on va te maraver...


Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Zarka.


Pfuh ! si ce n'est moi, ce sera les autres.... et bingo, un à un, la pauvre femme se prenait les roustes à la volée...

Moi, j'ai été gentille...

Un rire nerveux s'empare de l'ébène, la soirée fut moche, le début de nuit remoche.
Faut pas la faire chier.
Et la colère, ça rend fort.... Enfin, résistant du moins.

Comme la veille, une lame s'abat sur elle, cette fois, elle a mis un plastron et grand bien lui a pris.
La pointe affutée se heurte à la coque au niveau du foie...

La nature calme et tempérée de la Rose n'est que poussière. Et la présence de Jon décuple sa rage.
Le regard vers son agresseur, la Roburienne se prête à un exercice physique du majeur gauche.... le tendu-détendu.


Avant de déféquer sur les Bourguignons, apprends à viser sac à vin !

De l'autre côté, Jon se démenait comme un beau diable et ressortait vainqueur du duel contre la vermine.
Son agilité était d'une aide précieuse. Preuve en était.

Aux premières lueurs du jour, les combats cessèrent. Il était temps de panser les plaies, recoudre les chairs et nettoyer le sang, se laver de cette odeur putride du sang qui sèche...
Son vassal n'était plus dans les rangs, sa main serra celle de Jon, prise d'inquiétude.

La journée serait longue.... Manifestement.




Lisa :
21/03/1464 04:10 : Josepha vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secouée, mais vous n'êtes pas blessée.

21/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

Lebohemien : ( ljd n'arrive pas à aller sur le fofo depuis son tél ... )

21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Ce coup l'a probablement tuée.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Gobelin. Vous l'avez légèrement blessé.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Durandal. Vous l'avez sérieusement blessé.

21/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

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Cliquez donc ça ! Pour raison logistique, le perso IG aura 1 ou 2 jours de décalage dans sa mort
Drahomir
[Auberge, 20 Mars, petit matin.]

Son épouse dort contre son flanc. Ils sont nus. Leurs jambes se mêlent harmonieusement. La douleur à la cuisse est encore lancinante. Elle est néanmoins tempérée par le bien être qui engourdit son corps.
Elle l'a soigné. Il a hurlé, juré, dans sa langue. Elle est resté de marbre. Il est certain qu'elle a fait exprès de lui faire mal en soignant sa plaie. Il l'a vu à son petit air satisfait. Elle le punit. Pour ses mots de la veille. Pour son imprudence sur le champ de bataille.
Une fois qu'elle a terminé, qu'elle a enrobé la plaie d'une matière graisseuse afin qu'elle ne sèche pas, il s'est jeté sur elle.
Elle a été surprise. Plutôt agréablement. Il n'y a rien de plus bon que l'ardeur de l'amour après celui des combats. L'Ogre dans cette étreinte se fait brutal. Elle semble apprécier. Les canines écorchent l'arrondi d'une épaule. L'étreinte est rude et le rythme insoutenable. La délivrance et délicieuse et se fait dans un soubresaut pantelant.

Il sourit en repensant à l'acte. Un sourire satisfait. Petite congratulation virile. Il baise le front de l'impétrante et décide de s'accorder un peu de repos. Ca a été une longe journée
Sa jambe a besoin de paix. Lui aussi.

[Nuit du 20 au 21.]

Ils ont réussi à dégoter une armure pour l'hispanique. Elle a fière allure à côté de lui. Il l'a laissé l'accompagner. Il n'a pas vraiment le choix et elle lui a prouvé qu'elle n'était pas une faible femme. Il l'aime pour ca.
Ils sont à pied, dans les rangs de l'armée "Legio Burgundiae". Carmen ne fera pas parti des archers, et le tchèque, malgré sa jambe, a voulu en être. Son étalon est resté à l'écurie. Après un examen minutieux, il s'est avéré blessé. Une pointe de flèche fichée dans le flanc. Le barbare le lui a retiré et a failli perdre la vie dans une ruade. Il a réussi a calmer l'animal, son épouse lui a appliqué un onguent.

La rumeur gronde. Les armées brigandes sont en marche. Ils comptent assaillir la ville jusqu'à décimer tous les défenseurs. Le silence avant la bataille. Et les cris.

L'assaut.


-Tu ne t'éloignes pas.

Il est sérieux. Ils sont parmi les premiers sous le flot ennemis. Ces derniers sont nombreux. L'Ogre se sert plus de son bouclier que de sa hache, qu'il fait manœuvrer au hasard autour de lui. Elle ne rencontre que de la ferraille ou du bois. La bataille est longue, et son bras semble s'engourdir. De temps à autre, il jette un oeil sur Carmen. Elle se débrouille à merveille. Il la voit même neutraliser un assaillant. Il siffle, admiratif, avant de se concentrer de nouveau.
Il est bientôt entouré de plusieurs ennemis. C'est sa faiblesse. Il mouline tellement avec sa hache, qu'il se sépare bien trop vite des renforts. Un type tente de lui asséner plusieurs coups qu'il bloque avec son bouclier. Fixant plusieurs assaillant, il n'arrive pas à en parer un qui l'atteint au pectoral. Le coup n'est pas assez puissant. Il chasse l'arme d'un revers de gantelet et narquois, assène.


-Tapette.

Avant de parvenir à rejoindre de nouveau les rangs de l'armée.
Déjà le soleil semble se lever et le groupuscule ennemi fait retraite. Quelques blessés côté bourguignon, d'autre côté fatum. Un brigand bien amoché au sol qui semble se noyer dans un gargouillis de sang. Il l'achève d'un revers de botte.
C'est la guerre.

Il chasse une mèche poisseuse de devant ses yeux et va rejoindre la brune. Elle semble intacte. Il est l'heure de rapatrier les blessés.


Citation:
21/03/1464 04:10 : Balboc vous a frappé Ce coup ne vous a pas blessé.
21/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.
Atika
Nuit du 20 au 21 Mars 1464.
Campement de la Maudificator II


Deux nuits d'affilées que la volcanique était dans les rang de l'armée, du côté des bons, c'te fois.
Le soleil se coucha et le silence régnait, l'Ati prête a en découdre aux portes de la ville, au côtés de son époux, qui lui aussi était dans la même armée qu'elle.
Un regard sur celui qu'elle aimait et le bruit de l'autre côté des portes se fit entendre, une longue nuitée de combat l'attendait.

Bouclier dans une main, épée dans l'autre et casque pour la Volcanique, elle était fin prête a batailler.
Le regard de la rousse se fait plus sombre, une parole lançait a son fou un
" Reste pas a la même place, tape dans l'tas de toute ta force. Soit prudent!"

Les portes de la ville s'ouvre, c’était l'heure du massacre, certain souvenir refond surface pour la Volcanique puis elle se reprend très vite, suivant l'pas des autres de son armée.
Épée en main, bouclier dans l'autre, les coups pleuvent d'un côté et de l'autre.
Jouant de son bouclier pour repousser certains tandis que son épée tournoie devant elle, jetant de temps en temps un regard vers son brun qui avait disparu de son champs de vision.

Les ennemis se font plus nombreux, la volcanique s'enfonça dans la foule un peu plus, le bruit des fer qui se croisent lui rende le regard encore plus sombre, la rage monte en elle, c'est a ce moment là qu'elle passa a l'attaque.
Une dona lui barra le passage, serrant les crocs la volcanique, sans réfléchir elle fit un pas sur le côté tout en tournant, son épée transperça l'abdomen de l'ennemi.


Crève sale chienne! Pour la Bourgogne!

Sans se retourner, la volcanique continua son chemin jusqu'au petit matin où tout redeviens calme, espérant que son époux et Gann, son collègue vont bien.
Le soleil se leva et c'est des corps allongés un peu partout qui recouvrent le sol.

Et d'une Atika qui aida le reste des survivants a emporter les blessés au campement, cherchant son fou du regard.


Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Zarka.
21/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso

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En cours de changement
--Le_causeur
Le cor de bataille a résonné et les armes se sont emmêlées.
Deos le Tres Haut guide ma lame dans des chairs infideles



Il nous jugera à l’heure du trépas
Sur nos actes et surtout notre Foi
Son sourire déjà nous donne de la joie !



Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Acedia. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Acedia. Vous l'avez légèrement blessé.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Acedia.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Gannicus1. Ce coup l'a blessé superficiellement.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Legio Burgundiae" dirigée par Lenada, l'armée "La Maudificator II" dirigée par Bisac, et les défenseurs de Dijon.
Euronium


Dans la nuit du 20 au 21 mars 1464, campement Fatum & Renards


Masqué et armé, Euro n'avait qu'une envie, partir à l'assaut.
Mais avant ça, il était question de bénédiction.
Pour quoi ? Pour qui ?
Le curé de Fribourg arrive, et bénit les combattants les uns après les autres.
De l'eau sur la gueule. D'accord. C'est vrai que maintenant, je me sens plus... mouillé.

Euro faisait le vide dans sa tête, en se posant des questions débiles, du genre :
"Maintenant que l'curé est là, qui c'est qui fait la messe à Fribourg ? On va les r'trouver dans un sale état les culs-bénis Fribourgeois à notre retour."

Il se disait également, qu'avec toute l'eau bénie qu'il lui restait au curé, il risquait pas d'se faire crever au combat.

Les armées se toisaient, essayant de trouver le meilleur moment pour passer à l'attaque, dans un silence de cathédrale.

Puis, le calme de la nuit fut troublé par la voix des trois chefs, Fatum et Renards, ordonnant l'assaut.

Là, un brouhaha se mis en marche, au rythme des armées qui avancaient -ou attendaient.

Des cris de rage d'abord, couvrant la peur que pouvaient ressentir quelques uns.
Puis, le fracas des épées qui s'entrechoquaient, ou contre les boucliers, voire même parfois contre des os.
A ces derniers s'accompagnaient des cris de douleur, reconnaissable car plus fort, et plus aigus.
La vie est un cycle, et le cri de l'amoché semblable à celui d'un nouveau-né en était la preuve.
Peu importe les morts, les démembrés, les futurs infirmes à ses côtés, le combattant qui s'était fait toucher un peu fort pensait que le paroxysme de la douleur, c'était ce qu'il ressentait à ce moment.

Euro savait ce que ça faisait, il avait été blessé la veille.
Sa blessure n'était pas belle à voir, mais il avait été bien soigné.
Il en avait vu d'autres, et il en fallait plus pour l'anéantir.

Alors, épée en main droite, bouclier en main gauche, l'esprit clair car non alcoolisé, il se mit à courir en direction de l'enceinte de la ville, à l'unisson de ses camarades.

Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Legio Burgundiae" dirigée par Lenada, l'armée "La Maudificator II" dirigée par Bisac, et les défenseurs de Dijon.


Il attaqua une personne, une femme, qui combattait en robe.
D'ailleurs, quelle idée de combattre en robe, ils sont fous ces bourguignons, pensait-il.

Il jouait de son épée habilement, tant et si bien qu'elle s'effondra.
Euro continua son chemin parmi la foule, la laissant pour morte.
Peut-être qu'elle ne faisait que simuler ?

Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Effelissianor. Ce coup l'a probablement tué.


Puis, d'un coup, la rumeur d'un groupe arrivant par derrière se fit entendre.

Ni une ni deux, Euro se retourna et les attaqua, un à un, passant d'une cible à l'autre sans faire de détails.
Il ferait le gros oeuvre, ses camarades feraient les finitions.

Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Acedia.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Lyonell.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Timickey.


C'est comme ça que ça marche.




Plus tard dans la nuit, les combats cessent

(HRP : Comme j'ai compris la référence de Durandal, j'y vais de la mienne également.)
Puis, au bout du champ de bataille on entendit le son d'une corne, de chefs ennemis qui rappelaient toutes leurs troupes.

Comme chaque jour, à l'aube, les deux camps s'arrêtaient pour compter les blessés, le temps d'une trêve de courte durée.
Pour sûr, ça continuerait à la tombée de la nuit.
Elle était si propice à masquer les identités après tout...



Récapitulatif
Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Acedia.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Lyonell.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Timickey.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Effelissianor. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Legio Burgundiae" dirigée par Lenada, l'armée "La Maudificator II" dirigée par Bisac, et les défenseurs de Dijon.
Chalry
Nuit du 19 au 20 mars 1464 - Campement de la Maudificator II

Chalry était prêt, il avait reçu ses consignes et il était prêt à les faire respecter. Chaque hommes autour de lui n'étaient peut être pas des soldats, mais au moins tous avaient répondu à la défense de la bourgogne.

Un homme était à côté de lui, armé d'un seul bâton, tremblant comme jamais. Chalry s'approcha pour le réconforter :


"N'ai crainte, celui qui n'a peur de rien et le seul fou qui court à sa perte ! Prend cette peur et utilise la pour faire sortir la rage qui est en toi, elle te permettra de rester toujours aux aguets et de t'en sortir."

Du haut des remparts, chalry attendait l'ennemi, armé de son épée et d'un bouclier pour se protéger.
Un bruit sourd se faisait entendre au loin, il était là, l'ennemi était en marche.

Les réflexes de l'armée ressurgirent, chalry cria très fort pour haranguer ses compagnons d'armes :


Mes frères, l'ennemi arrive à votre porte, il ne vient pas pour vous faire la bise, il ne vient pas pour vous apportez amour et paix !
Ne reculez pas, repoussez le jusqu'à votre dernier souffle, pensez à vos femmes, vos enfants et votre Bourgogne !
Frappez aussi fort que vous le pouvez, ne lâchez rien, et quand le soleil fera son apparition, nous compterons ensemble les cadavres ennemis !


L'assaut était imminent, les barbares se trouvaient presque à portée de tir, ils se ruaient sur la ville.

Il fallait le rentrer dedans, alors la section entière se tint prête en levant les épées

Avant de courir sur l'ennemi, chalry cria pour se motiver et aider les autres :


Pour la Bourgogne !!!!!!!!

Puis il lacha son premier coup d'épée, puis un second. Le combat était rude, les soldats tombaient de chaque côté. Il était difficile de savoir qui était encore debout, mais il reconnu l'homme au bâton, se faisant attaquer par plusieurs lames en même temps.

Chalry se rua sur l'ennemi, et mis son bouclier pour protéger son allié.
La force ennemi était bien trop présente à cet endroit, et une épée vint fracasser son bouclier en plusieurs morceaux.

Tombé inconscient sous le coup puissant, chalry gisait sur le sol, le bras ensanglanté. Heureusement d'autres soldats firent terrasser l'ennemi juste après, lui laissant la possibilité de s'en sortir.

Chalry fut ramené à l'intérieur de la ville, et une infirmière lui prodiga quelques soins pour qu'il s'en sorte.
Il se réveilla dans la matinée, la vision floue de ce qui c'était passé, il ne se rappelait plus du visage qui l'avait blessé.



Le lendemain, chalry se présenta au Capitaine :


Bonjour Capitaine,
je suis encore blessé pour quelques jours, mais je voudrais me rendre utile en attendant. Je peux apporter autrement que part mon épée le temps de me remettre de cette vilaine blessure. Je veux rester utile et ne pas avoir cette sensation d'abandonner le combat
Elysea
Hersande l'avait renvoyée, il avait raison... Elle avait chercher partout la vicomtesse, mais ne l'avait pas trouver... Elle espérait que ce ne soit pas par la plus tragique des tragédies...

[bataille 20-21 mars 1461]


La journée du 20 avait passé. A nouveau le temps approchait. La Rosée se sentait nauséeuse. Avec sa troupe de maréchaux, elle avait commencer à patrouiller. Elle n'était pas rassurée. Ni pour Hersande, Ni pour Dijon, ni pour ses camarades... Il fallait recommencer. La Rosée n'était pas une personne violente, bien au contraire. Elle avait horreur de la violence, horreur de la guerre, horreur de devoir en arriver aux mains. Mais elle venait de comprendre que parfois certaines personnes ne donnaient pas le choix... Et c'était le cas du Fatum.

Quelques paroles ne les convaincraient pas. C'était des gens violents qui passaient leurs idées par la guerre. Aucune parole ne serait utile contre eux... La seule peur qui angoissait Ely c'était la mort de ses camarades, la mort de Dijon et celle de gêner ses camarades. Elle choisissait donc des zones où le risque était minimum. Elle n'avait pas peur pour elle. Pour elle, la mort n'était que le retour vers Corinthe... Alors si elle mourrait, ce n'était pas une fin, mais seulement le début d'une autre vie, une suite à cette vie terrestre.

Elle se dirigea donc avec des maréchaux vers les remparts, à l'extérieur cette fois...

La bataille commença, les armées s'entrechoquèrent et, alors qu'elle pensait ne pas être gênante, elle vit un groupe ennemi faire une petite brèche. Elle cria :

Par là !! Là !!...

Mais dans le vacarme, elle ne vit pas si quelqu'un l'entendit et elle courus sus à l'ennemi, dégainant difficilement sa courte épée et se positionnant peu sûre d'elle face à l'ennemi. L'autre portait une épée... une vraie...

[i]Elle cria :
VOUS NE... PASSEREZ.. PAS !

Bien sûre d'elle, la Rosée vit l'ennemi approcher et perdit toute assurance. Elle déglutit.. Une esquive, une autre in extremis, quelques mèches de cheveux disparaissant sous le fil de l'épée ![/i]

Elle grogna :

Hey !! Mes cheveux !!! Faut faire attention, hein ! C'est du travail ça !

Un vieux réflexe qui, il faut croire, revenait même dans les pires situations.. Elle vit le coup arriver, bien droit, elle tenta une parade, elle tenait mal son épée qui vola au sol.... Aaaaaarggggh ! La douleur fut la pire qu'elle connu, l'épée s'enfonça dans ses entrailles, au bas ventre avec violence... Elle sentait son corps se faire pourfendre et ciseler... le sang lui sortait de partout, très vite une sensation de froid s'emparait d'elle... accentué par le retour de l'épée hors de son corps... La bouche grande ouverte, elle s'effondra au sol...

...Inconsciente avant même de le toucher.



21/03/1464 08:35 : Félicitations ! Vous avez débloqué le trophée Try again. -> parce que je vais juste la mettre dans le commun pendant quelques jours et elle ne pourra plus défendre ni rien
21/03/1464 04:10 : Félicitations ! Vous avez débloqué le trophée Chair à canon.
21/03/1464 04:10 : Metaxasv vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
21/03/1464 04:10 : Vous avez été grièvement blessé.

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Frim
Des niais avaient dit qu'elle ne pouvait pas arborer sa devise, bien ancrée depuis plus d'un an et demi, et la Frim s'en moquait complétement. Elle disait ce qu'elle disait.

Bon, les remparts, c'était plutôt le bon plan. Les affreux les escaladaient, et on les embrochait. Ouai, mais non, parce qu'à côté d'elle, elle avait un soldat complétement bourré, et il semblait avoir du mal à résister à l'appel du vide. Mais les combats, c'était ça aussi. Fallait préserver les gens de bien autant que tuer de l'affreux.

Alors, avant de penser à tuer, elle protégea l'andouille qui avait été saoulée par un fatum quelques heures avant, et quand un abruti les menaça, elle l'envoya dans le pays des songes en criant.


No Pasaroun !
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Crakity


Armée Fatum et Renards, nuit du 19 au 20.


Voilà on y était. Le tocsin avait sonné, le martellement des sabots des chevaux appelait à la curée. Avec un cri qui n'avait rien d'aristotélicien, Crakity chargea, entouré de ses Compagnons.

La vague de soudards s'écrasa sur les rempart. Du sang, de la sueur, des larmes. Crakity, trop éloigné de la tête du combat rageait. Voilà trop longtemps que le tranchant de son épée n'avait pas trempé dans le sang.

Il invectivait, il se dressait sur son cheval, il voyait de loin la mélée se former, les deux camps exhortant les combattants à plus de férocité et de courage. Seigneur, que c'était beau! Un sourire béat aux lèvres, le vaurien semblait admiratif de ce bel ensemble, cette chorégraphie qu'était l'affrontement, toujours avec les mêmes pas, les mêmes cadences. Ca hurlait, ça maudissait, ça gémissait et ça saignait.


20/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Dijon, l'armée "La Maudificator II" dirigée par Bisac, et l'armée "Legio Burgundiae" dirigée par Lenada.

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Fatum non sit necesse
Maud
Nuit du 20 au 21 Mars 1464.
Campement de la Maudificator II


Bon d'accord, elle était quand même un peu fatiguée après sa blessure de la veille, mais heureusement, son bon bras pouvait toujours tenir son épée après les soins de son-médecin-personnel-que-ça-en-jette!
Juste que la lanière de son bouclier lui mordait un peu la chair; mais, c'était rien ça, elle avait rejoint la section de la duchesse Poucelyna.
Et comme une épidémie , ils réattaquèrent cette nuit-là et cette nuit-là encore, ils se défendirent comme un seul homme en attaquant pardi!
Au signe de leur capitaine.
Les remparts crachaient des flèches et eux s'engouffrèrent par les portes pour taper dans le tas. Un gros tas!
Les coups pleuvaient comme une pluie de printemps et elle ne fut pas en reste. en plus la duchesse était parmi eux. S'agissait pas qu'elle soit touchée non plus!

Altesse royale! avec votre taille, coupez leur les jarrets, c'est souverain avec les chevaux comme avec les humains!

Et on taillade comme on débroussaille un potager des mauvaises herbes et des mauvaises graines.

et comme qui dirait que l'une de ces vermines les attira tous et toutes ! De la charpie!
Pas d'état d'âme et même pas mal quand un d'entre eux lui asséna un coup d'épée:

Quand on ne sait pas se servir d'une épée , on reste chez soi!

Un peu secouée quand même, elle ne put pas riposter:
Assaut terminé. Des cris quand même. Ramener les blessés dans les murs et les portes inviolées se refermèrent de nouveau. Ils tenaient bon.

Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Zarka.
21/03/1464 04:10 : Sherif vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secoué, mais vous n'êtes pas blessé.
21/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

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Oxania


Armée de Fatum, Nuit du dimanche 20 mars de l'an 1464.


La nuit était tombée et les chevaux commençaient à s'agiter sous les murmures de leur maître. Les ordres circulaient, et nous étions tous au qui-vive, armes à la main près à les brandir face aux Bourguignons.

La brunette murmura à son étalon quelques doux mots afin de l'encourager dans sa chevauchée :
" Brave bête, jusqu'ici tu as toujours su me porter au plus loin sans jamais faillir. Alors ne me déçoit pas et continue à être vaillant et brave."
Le visage voilé afin qu'on ne la reconnaisse pas, elle prit son épée ainsi que son bouclier fermement à la main et se mit à charger quand les ordres retentirent.

Les Bourguignons, les Fatums, les Renards, voila que tout le monde s'entremêlait dans une bataille acharnée. Chacun avait des idées, une patrie à défendre, mais ils semblaient tous avoir cette même rage de vaincre.

Distraite par des compagnons jonchés au sol, la brunette vit de justesse quelques Bourguignons se diriger vers elle, épée prêtent à l'embrocher. Elle esquiva de justesse un coup d'épée avant de venir embrocher un Bourguigon, puis un deuxième qui tenta de l'attaquer par derrière.

Oxania venait de faire ses premières victimes... Son épée était recouverte de sang, et cela ne risquait pas de s'arrêter maintenant. Elle espérait juste ne pas croiser l'un d'entre eux avec qui elle avait sympathisé malgré les circonstances.


21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Acedia. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Acedia.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Lyonell.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Timickey. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Timickey. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Timickey.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Legio Burgundiae" dirigée par Lenada, l'armée "La Maudificator II" dirigée par Bisac, et les défenseurs de Dijon.

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Bisac
Nuit du 20-21mars 1461 - Maudificator II

Le repos avait été de courte durée. Fort heureusement, il avait rejoint la tente de la Vicomtesse de Sennecey. Les deux amants s'étaient retrouvés. Bisac avait aidé à panser les blessures de Maud, mettant à son service son passé de médecin. Les heures passées ensemble paraissèrent bien courtes. Alors que le cor du rassemblement sonnait, Aymeri déposa un langoureux baiser sur les lèvres vicomtales. - On se retrouve ici même après les hostilités. Revenez-moi en vie. - Un clin d'oeil amusé alluma le regard de Chevenon et, en déposant un baiser dans le cou féminin, il partit à son poste sur les remparts.

A la tête d'une petite section d'hommes, il les harangua une nouvelle fois.


Mes braves ! Pour la seconde fois nous sommes retournés à notre poste. Voyez comme nous allons à nouveau accueillir nos perfides ennemis ! A coup de notre hargne et de notre valeur !

Pour la Bourgogne ! Pour la Duchesse !


... Les premiers ennemis arrivèrent. Bisac leva son épée.

En formation !

Derrière lui les hommes de la section levèrent leur bouclier. Le choc fut âpre. Les premiers cris mêlés de haine et de douleur se firent entendre. Les armes parlèrent, les chairs furent meurtries et les veuves ... de plus en plus nombreuses.

Une furie se lanca sur Bisac. Il para un coup avec son bouclier la faisant reculer de quelques pas. Son ennemi hurla de plus belle avant de le faire choir d'un robuste coup d'épaule. Aymeri perdu son écu dans la chute et, roulant sur le côté il décocha un coup d'épée dans la jambe de son adversaire. Se dernier cria, mit un genou à terre avant que Bisac ne vienne l'achever.

Reprenant son souffle, il avisa le spectacle autour de lui. Du sang, des cris, des armes brisées et le fracas de la guerre. Triste spectacle.


Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Zarka.
21/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

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"Ne croyez donc jamais d'emblée au malheur des hommes. Demandez-leur seulement s'ils peuvent dormir encore ? ... Si oui, tout va bien. Ca suffit."
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