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Une Bourgogne inébranlable face à la Fatumania !

Axwell55
[bataille 20-21 mars 1461]

Un peu plus confiant que la veille, le vigneron retourna au combat. La bataille s'annoncait difficile mais il ne voulait rien lâcher.

Malgré les confrontations qui se multipliaient, l'ambassadeur s'en sortait plutôt bien. Après avoir assommé a coup de pierre, un homme qui l'avait fait tombé, il réussit à blesser grièvement un deuxième, en lui plantant sur la cuisse gauche, une épée trouvée au sol.

On pouvait entendre au loin:


"Charogne !!!!!"

En pleine confiance, Axwell se jeta sur un autre homme, mais ce dernier esquiva le coup et se débarassa du bâton qu'utlisait son adversaire pour se défendre.

La nuit fut longue et sanglante, toutefois, le vigneron en sortit la tête haute.


Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Vous l'avez légèrement blessé.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Zarka.
21/03/1464 04:10 : Votre arme a été détruite.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Chtakanov. Vous l'avez sérieusement blessé.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Arthur.gilgaalad. Ce coup ne l'a pas blessé.
21/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

_________________
H2d2
2e bataille de la semaine. Hersande avait soigné les blessés toute la journée, il avait fait une petite pause juste avant la bataille. Si hier il ne s était pas engagé dans le combat, se soir, il sentait que c était la bonne. Il avait faim de victoire, faim de sang. Il était prêt, il savait se battre.

La bataille commençait, il chargea près de ses frères du moment, ses compagnons d armes, évitant les coups traîtres et en assénant lui même. Il s acharna lui aussi sur un des hommes, lui portant un coup fatal et quand d autres venaient les attaquer, il para une épée et rendit le coup, sentant son épée s enfoncer dans la chaire de l assayant. Une fois son épée sortie, il était prêt à continuer, mais les brigands s'en allait déjà. Fin. La bataille était gagnée, en laissant d innombrables corps sur le sol. Il rangea donc son épée et tourna les talons, marchant droit devant vers les murailles, sans baisser la tête vers les agonisansts, son objectif, rentré pour se reposer. Demain soir, une nouvelle bataille s engagera.




Vous avez frappéZarkaCe coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre
Zarka
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappéKarnifex
. Ce coup l'a probablement tué.

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Egéries de l'Atelier du Lys; http://forum2.lesroyaumes.com/viewforum.php?f=11444
--Dovan
Dovàn donne un coup d'épée à un pauvre gars qui par valdinguer à ses pieds. Il ne calcule plus ce qui se trouve autour de lui. Tout juste sait-il que La Rose et ses hommes ne sont pas loin. Il entend parfois leurs hurlements de guerre tandis qu'ils assènent coup d'estoque et coupent de leurs lames. Il ne craint rien, là, au coeur de la bataille. La Bourgogne, il l'a dans la peau, tout comme sa Maîtresse Elysea. La Bourgogne ne peut pas tomber donc il ne peut pas tomber non plus. Il ne craint pas la mort. Il entrevoit la chevelure rose de sa maîtresse et sa rage redouble. Les Fatums force La Rose à se battre, elle qui n'ai que paix et douceur. Ces faquins l'ont contraint à prendre les armes pour la Bourgogne, cette terre qui leur est si chère.

Il esquive un coup de l'un des siens et grogne.


Abruti, vise l'ennemi !

Il se fait la réflexion qu'il devra leur apprendre à mieux se battre. Ce sont des gardes, leur expérience est rudimentaire. Oui, quand tout cela sera fini, il leur montrera, s'ils sont toujours en vie. Alors qu'il pourfend un autre de ces chiens néfastes, il La voit tomber. La Rose est à terre ! Il se précipite vers elle sans prêter attention à tout ce qui l'entoure. Il plonge vers elle et accroche la fuite de l'assassin. Il n'hésite pourtant pas une seconde entre le poursuivre et secourir sa maîtresse. Il se met à genoux, tout près d'Elysea, évalue rapidement les blessures avec sang-froid. La lame l'a transpercée, elle est inconsciente, peut-être même morte, il ne le sait pas vraiment mais dans le doute, et parce que même morte il ne la laisserait pas sur un champ de bataille, il rengaine son épée et soulève La Rose, sa chevelure atypique s'échappant de son casque pour tomber vers le sol.

Il se presse hors de la zone de combat, son si léger fardeau entre les bras. Il veille à ce que rien ne la touche, que rien ne l'abîme et prie pour qu'elle ne soit pas déjà passée au bras du Très Haut.


De l'aide ! Par ici ! La Rose est tombée !

Il hurle et cherche qui l'aidera. On prend enfin La Rose. Son plastron à lui, bien que de noir et de bleu sombre, est maculé du sang de sa maîtresse. Que pourra-t-il dire à toute la maisonnée de la Dame de Boussenois ? Il ne doutait pas un instant qu'elle serait sauve et, bien que peu enclin à la religion, il prie pour que sa maîtresse ne soit pas trépassée.

Dovàn entend la voix de Léon dans un voilage de brûme. Le matin est arrivée sans qu'il ne s'en rende compte. Par chance, ses six hommes sont saufs mais que dire de La Rose... Il relève la tête et regarde le précepteur d'Elysea. Bien qu'il arbore toujours un visage arrogant et fière, il se lit dans ses yeux une profonde tristesse. Il fait un non de la tête à l'intention de l'homme qui lui fait face puis fixe de nouveau le lointain. Il l'entrevoit s'éloigner rapidement, hagard. La rage lui dévore le coeur. Il se battra encore, autant qu'il le faudra pour venger La Rose, il s'en fait le serment. Il voit passer l'idiot qui a manqué de le pourfendre et se lève pour l'attraper par le cou.

Toi, mon gars ! Il va falloir que tu apprennes à te battre contre l'ennemi ou je te fais décapiter et planter ta tête dans la salle des gardes ! Fais gaffe, t'as compris !

Il le relâche et rassemble ses hommes dans l'attente d'un nouveau combat, la boule au ventre.
--Princesse.sans.nom
3ème nuit de combats sanglants pour les dijonnais et les armées postées aux pieds des remparts. La princesse était confiante quand elle se lança dans le combat mais cette fois-ci elle tomba sur un costaud. Un long échange de coups commença mais face à un homme bien plus fort, elle ne résista pas et finit par tomber sous un coup brisant son épée et son bouclier ainsi que le bras le portant.

Elle s'effondra sous la violence du coup et sombra dans l'inconscience. Cela lui sauva sûrement la vie, son adversaire la croyant morte à coup sûr.

Au petit matin, elle se releva péniblement mais comprit rapidement qu'elle avait quitté le champs de bataille et se trouvait dans le camps arrière des renards. Son bras la faisait horriblement souffrir et elle finit par se rendormir, encore sous le choc.

Tandis qu'elle replongeait, une petite voix se fit entendre dans sa tête :


Citation:
Ma fille, reposes toi, tu es blessée mais tu seras rapidement sur pieds. Je pense fort à toi, embrasse la crevette pour moi, vous me manquez terriblement.
Gannicus1
[Le 21 Mars 1464 Aux premières lueurs du jours.]


Gannicus était assis sur le bord des remparts et regardait l’horizon sans réellement le regarder. A vrai dire ses yeux regardaient mais son esprit n'arrivait plus vraiment à suivre le cours des choses pour le moment.
Il n'arrivait pas à s'enlever les horreurs de la nuit dernière de la tête. L’ennemi avait encore attaqué cette nuit et comme hier les défenseurs avaient réussi à les repousser.

Cette fois la section de Gannicus était allée en première ligne et lui qui s'était plaint la veille de n'avoir eu à faire que des taches peu glorieuses pour le moment n'oserait plus jamais sans plaindre après la nuit qu'il venait de passer.
Le soleil réchauffait doucement la peau du petit blond mais ce dernier ne ressentait pourtant aucune chaleur en lui et restait là assis sur les remparts les yeux perdus dans ses souvenirs. Il était facile de voir que le petit blond avait passé une horrible nuit étant encore recouvert de sang et de crasse.

D'un seul coup il porta son regard vers ses mains qui tremblaient , Gannicus saisit ses braies au niveau du haut de ses cuisses afin d'essayer d’arrêter de trembler.
Les braies du jeune homme était dans un triste état comme le reste de ses habits d'ailleurs. Son amie Poli qui lui avait confectionné cette tenue avant qu'il ne parte en voyage serait sûrement fâchée mais pour l'heure cela ne préoccupait pas vraiment Gannicus.
Il ferma un instant les yeux revivant dans sa tête cette nuit du 20 mars 1464



[Les heures précédant l'attaque]


Après avoir été déposé l'homme à l'infirmerie et prit des nouvelles de ces amis. Gannicus était allé dormir quelques heures dans l’hôtel où il résidait depuis son arrivée à Dijon.
Il s'était réveillé vers le milieu de l'après-midi encore épuisé son sommeil n'avait été qu'une longue suite d'affreux cauchemars.
Gannicus avait donc fini par se rendre en taverne où il avait croisé son amie P3 qui avait malheureusement été grièvement blessée durant la bataille.
Heureusement la petite demoiselle était solide et même s'il lui faudrait sûrement plusieurs semaines pour être complètement rétablie , elle gardait sa joie de vivre et son joli sourire.

Durant l'après-midi Gannicus croisa également quelques Fatums dans les tavernes de la ville chose qui le surprit assez ne comprenant pas comment ces derniers avaient pu entrer. Mais peu importe il était là et essayait d’enivrer les défenseurs espérant sûrement ainsi les empêcher de combattre le soir même .
Malgré les avertissements de la Duchesse Lisa et de Frim , gannicus fut attrapé par l'une de ces attaques et se retrouva rapidement complètement saoul.
Mais par chance cela eut lieu en début d'après-midi et lorsque le soir pointait le bout de son museau. Le petit blond avait presque récupéré tous ses esprits.

Il croisa messire Desneval qui était l'un des seuls de sa section à sans être sorti indem . Cela n'était pas vraiment le jeune homme , le barbu était un solide gaillard. Il apprit cependant à Gannicus que la Duchesse Elisa.malemort qui se trouvait dans la même section avait été blessée et emmenée à l'infirmerie.
Elle avait été la première personne que Gannicus avait rencontrée en arrivant à Dijon et elle avait permis au petit blond de passer un très agréable après-midi et de découvrir le nougat à la cerise. Afin de prendre de ses nouvelles il lui envoya une missive et avant même qu'elle lui réponde. Gannicus l'aperçut en taverne et alla la voir. Elle allait bien du moins aussi bien qu'une personne blessée pouvait aller.

Il passa ensuite le reste de la soirée avec demoiselle P3 qui fut également victime de l'une des attaques enivrantes des Fatum mais cela ne la gênait guère car quoi qu'il arrive elle ne combattrait pas ce soir



[La Bataille ]


Gannicus arriva très tôt sur les remparts et rejoignit sa section sans aucun mal n'ayant pas à esquiver les flèches et enjamber les blessés cette fois. Il retrouva son amie Ati qui par chance n'avait pas été blessée la nuit dernière , messire Dean était également présent et ne semblait pas blessé lui non plus.

Les Joinvillois et les autres membres de la lance attendirent dans le silence  sauf Son Altesse n'était pas là sûrement en train de discuter avec le capitaine ou un autre de ses généraux. Les armées ennemies s’apprêtaient à attaquer . On pouvait d'ailleurs déjà entendre leurs soldats crier leur rage et leur haine.

Quelques minutes après ils sortirent de la noirceur de la nuit les lames de leurs épées reflétant la lune ressemblaient à des centaines de petites étoiles donnant l'impression qu'il y avait deux ciels. Malheureusement cet effet d'optique ne dura pas longtemps et d'un seul coup au milieu des hurlements un ordre clé se fit entendre.



SOLDATS DEGAINEZ LES EPEES !!!


Gannicus hésita un instant puis sortit son épée de son fourreau , cette dernière était tellement lourde qu'il faillit la faire tomber.
Quelques minutes s'écoulèrent ensuite et d'un seul coup les soldats ennemis apparurent tentant de prendre le contrôle du chemin de ronde. Tous les défenseurs présents se précipitèrent alors pour les repousser et ce fut le début de la Bataille .

Le petit blond fit de même et se retrouva rapidement à combattre contre un messire tout de blanc vêtu. Ce dernier avait environ la même carrure que Gannicus.
Il tenta plusieurs fois d’enfoncer sa lame dans le corps de Gannicus qui réussit par chance à bloquer ses coups.

D'un seul coup un autre soldat tenta de venir en aide à Gannicus et détourna l'attention du Fatum. Gannicus profita de la diversion pour donner un violent coup d'épée sur la cuisse de son adversaire. Ce dernier hurla de douleur et lâcha son épée.
Le petit blond resta un moment bloqué devant son adversaire au sol perdant son sang. Il ne savait pas ce qu'il devait faire.


Devait-il l'achever ? Il n'avait jamais tuer qui que ce soit et la chose ne lui semblait guère facile. Pendant ce moment d'hésitation , Gannicus ne fit pas attention à ce qu'il se passait autour de lui.
D'un seul coup un de ses camarades se jeta sur lui et le plaqua au sol. Au même instant une volée de flèches passa juste au-dessus d'eux . L'homme qui venait de sauver Gannicus l'aida à se redresser tout en lui disant.


Courage Gamin et sois prudent .

Merci messire lui répondit le petit blond reconnaissant envers ce dernier.

L'homme lui sourit à son tour et retourna se battre de son coté. Gannicus se retourna et s'aperçut que son adversaire en avait profité pour se carapater. Heureusement ce dernier était quand même sérieusement touché et ne pourrait sûrement pas continuer le combat ou alors se ferait tuer à coup sur.


ILS ONT FAIT UNE PERCEE !!!
AUX PORTES, AUX PORTES SOLDATS!!!



En entendant cela Gannicus se précipita en direction de la porte d'entrée de la ville mais il fut stoppé dans sa course .
Un colosse portant une impressionnante armure se dressa devant lui et barra le chemin de Gannicus qui semblait bien frêle face à son adversaire.
Le monstre balança sa lame en direction du blond qui tenta de contrer le coup mais celui-ci était tellement fort qu'il fut projeté en arrière lorsque leurs épées entrèrent en collision. Il s'écrasa lourdement au sol grimaçant de douleur .
Il n'eut même pas le temps de se redresser que déjà Goliath fonçait sur lui et tentait de lui donner un nouveau coup d'épée .

Gannicus eut le réflexe de lever son bouclier sur laquelle l'épée de son adversaire s’abattit lourdement mais heureusement le bouclier encaissa le choc.
Il tenta alors de repousser son adversaire afin de se redresser mais ce dernier était bien trop lourd et asséna un violent coup de poing au visage du jeune homme qui crut perdre sa mâchoire sous la force de l'impact.
Légèrement groggy Gannicus ne put empêcher son assaillant de lui arracher son bouclier et de l'envoyer à plusieurs mètres de là .
Ce dernier tenta alors d'achever Gannicus qui roula sur le coté afin d'éviter de justesse la lame de son ennemi qui n'en crut pas ses yeux.

Profitant de moment de flottement Gannicus se releva et se précipita sur son épée .
Le colosse se lança à sa poursuite mais le petit blond réussit à attraper son épée et se retourna instinctivement vers son opposant qui surpris s’empala sur la lame de Gannicus. Le jeune qui avait cru sa dernière heure arrivée leva doucement les yeux et vit son adversaire la bouche en sang s'écrouler au sol.

Gannicus se figea sur le champs regardant l'homme mort devant lui l'épée plantée dans son corps. IL s'approcha doucement de lui et lui retira son casque. L'homme avait encore les yeux ouverts sûrement du à la rapidité avec laquelle il était mort.
Le Joinvillois ferma ses yeux et fit une petite prière pour l’âme de ce pauvre qui n'était guère bien plus vieux que lui.


Adieu mon frère murmura Gannicus

Après un léger signe de croix , il reprit son épée et de partit laissant ce corps sans vie derrière lui.
Gannicus essaya de se rendre aux portes mais son esprit était ailleurs encore bloqué sur les yeux de l'homme qu'il venait de tuer. Tellement perdu dans ses pensées Gannicus ne vit pas arriver le bouclier d'un Fatum qui s'écrasa contre son visage. Il s'écroula au sol légèrement assommé par ce coup violent , le sang commençait à couler de son nez.

Par chance son adversaire fut repoussé par d'autres défenseurs et après quelques minutes Gannicus se redressa tenant son nez qui saignait abondamment. Mais aucun médicastre n'était dans les parages. Il déchira légèrement la base de sa chemise et s'en servit pour essayer de stopper son saignement tout en reprenant sa route vers la porte.
Gannicus arriva enfin à la porte et là c'était une véritable zizanie. Les premières lignes se cachaient derrière leurs boucliers et tentaient de blesser l'adversaire en donnant des coups d'épées par dessus. Les Soldats qui se trouvaient derrière eux poussaient afin de soit empêcher l’ennemi d'entrer .

Le blondinet ayant retrouvé à peu près ses esprits ne réfléchit pas un instant et se jeta dans la mêlée poussant de toute ses forces.
D'un seul coup un des ennemis réussit à faire une brèches  dans la ligne des défenseurs.
Gannicus se trouvant à quelques centimètres lui envoya un violent coup d'épée dans le ventre qui blessa gravement l'assaillant qui fut de nouveau transpercé par une épée et s'écroula au sol. Cette fois Gannicus ne put se permettre de s’arrêter et se remit à pousser derrière la première ligne reconstituée.

La bataille pour la porte dura une bonne dizaine de minutes mais le doux son des trompettes résonna aux oreilles des combattants et l’ennemi battit en retraite. Tous les défenseurs s'écrièrent de joie et se prirent dans les bras afin de fêter leur victoire qui avait été durement acquise.
Gannicus avait du mal à se réjouir mais il sourit malgré tout et tacha de célébrer la victoire comme il put .



[Le 21 Mars 1464 Aux premières lueurs du jour.]


Gannicus rouvrit les yeux et secoua légèrement la tête voulant chasser ses images de sa tête. Il se redressa doucement et mit à marcher sur les remparts.
Tout d'un coup il s'aperçut qu'il avait atteint l'endroit exact où il avait tué l'homme hier soir . Le blond baissa légèrement la tête.
Il n'avait pas honte d'avoir tuer cet homme sachant parfaitement que c'était lui ou le colosse mais il ne comprenait pas pourquoi on en était arrivé là .


Pourquoi des dizaines d'hommes et de femmes avaient du mourir ou être blessés ?
Pourquoi ?!
Pour des écus , pour un château telles étaient les raisons pour lesquelles tant de personnes devaient souffrir ?


Le petit blond tourna sa tête en direction du campement des Fatums le regard noir en soupirant puis reprit sa route.
Dean...
Nuit du 20 au 21 Mars 1464. Campement de la Maudificator II

Deuxième nuit d’affilé, la nuit aller encore être rude.. l’heure approcher, c’est silencieux qu’il posa un regard froid sur les porte de la ville puis sur les rempart, il fallait rester concentré et faire attention a chaque coup qui pouvais arrivé, Le jeune homme était posté au côté de sa femme, bouclier et épée en main et cacher par sa capuche qu’il posa ses yeux gris sur sa femme avant d’hocher la tête

T’en fait pas pour moi, sois prudente aussi !


A peine la phrase finit, qu’il reposa les yeux sur les portes qui s’ouvrai, un sourire en coin se mettant a avancer le bouclier bien en avant il tape de toute ces forces sur ceux qu’il l’attaquer. Premier face a face il tapa jusqu’à voir l’homme tomber se protégeant derrière son bouclier se rappelant de tout les conseil que sa rousse lui avais donner, un bref regard sur la foule puis un soupire de sa part voyant qu’il venait de perdre sa femme de vue…

Il secoua la tête pour pas se déconcentrer, le Dean s’avança donnant des coups pour se faire un chemin, quand il tourna la tête entendant un homme étouffé un crie sous le coup d’épée qu’il venais de mettre, le sourire en coin sous sa capuche, il marmonna


Et de deux…


Le regard froid, il continua a frapper de toute ces forces, Une dame en sang était déjà bien mal en point mais surement pas assez a son gout, il s’avança le regard froid et donna un coup bien placer avant d’observer la dame s’effondrer sur le sol puis il continua sa bataille jusqu’au petit jour…

Les premiers rayons du sol faisait surface, le sol rempli de corps il se frai un chemin aidant les blesser a aller au campement, une seule question en tête « es ce que sa femme aller bien ? ». Au Campement, il fit le tour, sentant son cœur battre la chamade ne la voyant pas, il continua de chercher avant de lacher un gros soupire, sa rousse était la en train d’aider les autres, un regard rapidement l’analysant puis il s’approcha choppa son visage sans mot et l’embrassant avec amour

Heureux de savoir que tu t’porte ! tout c’bien passé ?

Il se tourna vers les autres pour les saluer glissant sa main dans celle de sa rousse…

Citation:
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Zarka. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Zarka.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Dje_deforetdechaux. Ce coup l'a blessé superficiellement.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Quentin.. Vous l'avez légèrement blessé.

_________________
Neru
Bataille Nuit du 20 au 21 Mars

Après avoir passé la journée à aider ses amis blessés et chercher les disparus, il regagna sa tente afin de se reposer avant un nouvel assaut.

Cette nuit sera elle la bonne ? Allez ils prendre pied sur les remparts ?

La nuit tombée il se leva, de loin il pouvait observer les lueurs des torches sur les remparts. Elle dansait dans la nuit faisant apparaitre ci et la des morceaux de cuirasse, des tours, des armes...

Il se saisit de ses armes, s'équipa de son armure et rejoint sa ligne de bataille.
Le silence était pesant les armées se faisaient maintenant face, il serra son épée dans le creux de sa main et récita une rapide prière.

Au signal sa ligne s’élança contre les remparts, le choc fût violent, rapidement amis et ennemis se confondirent dans la nuit.

Un premier ennemi se présenta face lui, pas le temps de réfléchir, il para de son bouclier l'épée de son adversaire et enfonca la sienne à la jonction des parties de l'armure protégeant le torse et les bras.

Il eu à peine le temps de dégager son épée qu'un nouvel adversaire venait se mesurer à lui puis un deuxième et un troisième, sentant sa dernière heure arrivée il s'abrita derrière son bouclier et pria de nouveau.

Les trompettes de la deuxième ligne d'assaut venait de résonner et le sortit de ce court moment de perdition, ouf dans la confusion ses adversaires l'avait perdu de vue et il pût s'abriter au milieu de ses frères.

Après avoir été repoussé une première fois, il monta de nouveau à l'assaut de la porte, le temps de pourfendre un nouvel adversaire que les cors donnèrent le signal de la retraite.
La partie était perdue pour ce soir un nouvel assaut devait avoir lieu le lendemain...


Citation:

21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Acedia.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Lyonell. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Lyonell.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Timickey.
21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Elysea. Ce coup l'a probablement tué.
21/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Legio Burgundiae" dirigée par Lenada, l'armée "La Maudificator II" dirigée par Bisac, et les défenseurs de Dijon.
Desneval
      [Nuit du 19 au 20 Mars]


    Desneval. Armé de son épée appelée "l'ex femme" bombait le torse. Dos au futur champ de bataille il allait s'exprimer d'une voix haute et claire. Ce soir tout les hommes étaient égaux, rassemblés. Les bras des soldats ne faisaient qu'un avec leurs épées. Les équipements de mélé étaient prêts, sa section regroupée et confiante.

    - Mes frères, mes sœurs, ce soir nous allons nous battre ! Ce soir nous allons les étriper ! Ce n'est pas parce que nous nous défendons, que nous sommes faibles ! Nous ne leur céderont pas notre terre ! Nous garderons nos femmes, nos enfants ! Dégainez vos épées, resserrez vos casques. L'heure du châtiment a sonné ! Bourguignons, cette terre est la notre ! Montrons leur ce qu'il en coûte ! Par le sang !

    Le juge de bourgogne lâcha un cri de rage. Il était long et puissant. Ses sens, tel un animal, un prédateur, étaient tous en éveil. Son corps, stimulé depuis quelques heures était chaud et tremblant. Son dégoût à son apogée, appelait le sang des futures victimes. Excité à n'en plus pouvoir, ses pulsions arrivaient toutes à un seul et même endroit qui avait fini par gonfler tellement la jubilation était présente.
    Respirant fortement, il aboya quelques ordres envers des gardes qui se trouvaient non loin de lui. Préparer l'attaque était pour lui primordial. Il voulait se retrouver face à ses vermines afin leur montrer qu'ils sont pas tout puissants. Un regard sur ses flancs pour espérer de l'aide de la part de ses partenaires... Ils étaient là ! Tous. Prêts à en découdre avec les engeances.

    Et c'est lorsqu'il entendit les premiers cris au loin que Desneval comprit que la charge fonçait directement de front sur sa section.
    Baissant son épée, penchant la tête en avant il fit quelques pas rapides en avant. Hop... En voilà un ! Balayage de l'épée, de bas en haut et un casque sauta avec la tête de son ancien propriétaire. Une giclure de sang vint alors entacher tout ses vêtements de bataille, en diagonale, elle était vraiment marquante... Le Montpevaurt lâcha un soupire, il n'avait plus l'habitude de travailler sans se salir. Il fallait reprendre l'habitude. Et quelque chose lui disait qu'il allait avoir de quoi s’entraîner.
    Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas tué quelqu'un. Dix ans pour être exact. Mais alors le regret de l'avoir fait n'était pas du présent en lui. La cause aujourd'hui était autre qu'autrefois, et protéger son duché valait bien quelques têtes ennemies. Surtout si se sont des malfrats.


    Après quelques longues minutes de bataille, plutôt isolé au milieu des hordes d'esclaves que la fatum envoyait, Desneval entendit un cri de douleur derrière quelques raclures. Stupéfait et voulant aider son partenaire il fonça directement en direction du cri. Évitant les coups des adversaires, sans avoir le temps des les neutraliser, sa course était malheureusement lente et pourvue de flèches. Levant rapidement son bouclier pour parer une flèche venant d'un long couloir dégagé... Il vit au loin la Duchesse de Malemort souffrir. Il fallait l'aider !
    Desneval jeta alors son bouclier à terre, tant pis. Et courut vers la duchesse qui avait mit genoux à terre... Mais elle tenait bon ! Empoignant son épée elle se releva tant bien que mal... Et c'est exactement à ce moment là que le Juge passa son bras autour de son cou pour la hisser en hauteur. "Duchesse ! Duchesse ! Rentrons, vite. La bataille est gagnée, nous les avons repoussé !" Il ne pu en aucun cas savoir si elle l'avait entendu car il supportait maintenant le poids entier de la femme, et rapidement ils furent rentrés à l'abri, là où la bataille était la pire, l'infirmerie.
    Hommes et femmes ruisselant de sang. Cris et douleurs comme son d'ambiance. Agonie. Mort. Désespoir. Tout était là. La bataille était là. Présente, frappant à notre porte. Laissant avec elle un présent. Du sang et des larmes.


      [Nuit du 20 au 21 Mars]


    Après avoir eu des nouvelles de la Duchesse, Desneval était calmé. La ferveur avec laquelle il s'était battu s'en était allé. La blessure de la Valkyrie lui avait infligé un sacré coup dans le moral. Puis, un peu plus tard il apprit, que toute sa section avait été blessé par les brigands. Sa réaction n'était que douleur et vengeance. Soif. De bière et du sang de l'ennemi.
    Ce soir là. Il fut seul dans sa section. Personne avec lui pour charger l'ennemi. Personne pour l’assister si il se faisait dépasser en nombre. "Quand vous êtes seul, personne ne fera rien à votre place. L'aide est impossible. L'équipe n'existe pas". Voilà ce qu'on lui avait enseigné au jeune Desneval il y des années de cela. Et ce soir, il allait pouvoir se pencher de nouveau sur son passé. Son exil. Là ou il avait trouvé la paix pendant dix ans. Il avait été seul pendant toutes ces années. Il n'avait jamais pu compter sur quelqu'un, faisant tout de part lui même. Mais il y avait une différence énorme entre chasser du cerf seul... Et livrer bataille seul.
    Oui car même si sa section était dans une armée, il ne voulait pour le coup, pas s'intégrer à une autre lance à qui il manque de l'effectif. Ayant derrière la tête un plan d'attaque, il voulait le mettre en oeuvre. Et l'ennemi ne s'affolerait pas si il voit un homme seul. Discrétion allait être le maître mot dans la tête de Desneval, toute la nuit.
    Même si il avait la réputation d'être un morceau de pierre. Autant pour sa froideur que pour sa dureté... Il n'en était pas moins une feuille lorsqu'il avait envie, la possibilité. En effet son combat contre la famine lui avait obligé à attendre des heures, caché, parfois dans des arbres le gibier. Et se sera avec cette connaissance de l'espèce animal qu'il allait livrer bataille.
    Non pas armé de sa longue épée "l'ex femme"... Il avait à sa ceinture cette fois ci une longue dague. Fine et efficace dans un espace réduit, elle allait être parfaite pour faire l'enfoiré à remonter de part derrière les charges ennemies. Aussi dangereux qu'intelligent, son plan était quitte ou double. Soit ça marchait, soit il mourrait.
    Le sort décida en faveur de Desneval.
    Même si son plan avait échoué dès la première altercation avec un porc, il avait quand même réussis à s'en faire un ou deux. Sadique et cruel envers son ennemi. Un chat jouant avec la souris. Il avait l'avantage de la surprise, et il égorgea dans un premier temps un ennemi. Lui bouchant la bouche avec une boule de tissu dans la pomme de sa main, Le sang giclait et coulait, mais pas sur Desneval... Miracle ! Mais cela n'empêcha pas au deuxième type de donner l'alerte. Et tel un félin, il bondit sur la cloche en lui assignant pas moins d'une dizaine de coups de dague dans le corps.
    Il fallait que les morts soient vraiment méconnaissable. Qu'ils puissent inspirer la peur aux yeux de leurs partenaires. Tel était la guerre. Horrible, des deux côtés.

    Courant pour sauver sa peau, il ne pu s'empêcher de lâcher un rire... "Mais qu'ils sont idiots. Mais alors... Qu'ils rentrent chez eux."

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Sinaya
Nuit du 19 au 20 mars

Après être allée voir par ci par là où elle pouvait bien aider, Sinaya trouva une place dans un corps d'arme, qui allait d'ailleurs se joindre à l'armée Legio Burgundiae, pour la bataille.
Plus la nuit tombait, et plus elle sentait son corps battre de plus en plus fort. Oui elle en avait vécu des choses déjà dans sa jeune vie, mais la vision qu'elle eut lorsqu'elle monta sur les remparts lui cloua le bec :
Des dizaines, des vingtaines de torches étaient allumées, créant un halo tout autour des remparts de la ville. Les Fatums étaient bien là, le silence régnait.
Puis soudainement, des cris retentirent, et les premières vagues de soldats se rejoignirent : le bruit des épées s'entrechoquant, les hurlements des soldats, le piétinement des hommes et des femmes courant les uns contre les autres... Une montée d'adrénaline la prit, et elle descendit en courant les escaliers des remparts, traversa la porte cochère, et se retrouva sur le champ de bataille. Et là... L'arrêt, net.

Mais meeeeeeeeeerde ! J'ai pas d'épée !!!

Sinaya regarda rapidement autour d'elle, et aperçut une planche de bois. Elle haussa les épaules, et se dit que de toute façon, c'était mieux que rien. Elle courut la prendre mais manque de pot, lorsqu'elle mit ses mains dessus, une autre paire de main fit de même, à l'extrémité de la planche.
Elle jeta un coup d'oeil et vit un homme à moitié édenté, souriant bêtement avec un filet de bave qui tombait de la commissure droite de ses lèvres.
Oh mais ça me dégoute ! Pensa t elle, ils sont vraiment ignobles ces gens ! Elle tenta de tirer la planche contre elle, mais l'homme faisait de même de son côté.
Le ridicule de la situation l'énervait : des hommes et des femmes étaient en train de se battre, de se prendre des coups qui pouvaient être mortels, et elle, elle tentait désespérément de voler une planche à un vieux crouton.
Elle poussa un hurlement de rage et courut droit devant en plaquant le bout de la planche contre elle : étonné, l'homme trébucha, et lâcha la planche. Sinaya rit de joie, et lui abaissa froidement à l'entrejambe.
Tiens, de la part du Maire !

Elle se retourna, fière d'elle, et commença à donner des coups avec sa planche, se disant qu'il serait peut être plus intéressant, si elle était toujours capable de se battre demain, d'avoir une épée plutôt que cette planche. Elle pourrait faire plus de mal...

[ Nuit du 20 au 21 mars ]

Sinaya était à nouveau présente, mais cette fois ci, directement dans l'armée.
Elle n'avait pas réussi à trouver d'épée, mais avait travaillé sur sa planche toute la journée, et l'avait transformée en un pieu puissant, et très piquant. Elle en était fière, et commençait même à y être attachée !
Mais comme la nuit dernière, malgré sa motivation, et la situation... Elle avait encore du mal à l'idée de prendre la vie de quelqu'un. C'était encore trop flou dans sa tête, et beaucoup trop de questions venaient en elle.

Et si la personne en face de moi avait des enfants ? Et s'il avait été obligé de combattre ? Et si au final, comme moi, il n'aspirait qu'à une vie tranquille, sans encombres ?

Elle n'avait pas trop osé en parler, ayant peur qu'on lui tombe dessus, et l'accable un peu plus. C'est qu'autour d'elles se trouvaient beaucoup de vrais soldats, mais aussi de vrais Bourguignons. Elle, n'était qu'une pièce rapportée, arrivée à Dijon depuis quoi ? 4 mois ? Elle adorait cette ville, elle adorait ces gens, et aimait d'ailleurs de plus en plus ce Duché. Mais cet amour grandissant la motivait à le défendre, oui, mais en tapant, pas en tuant.
C'était encore un peu dur pour elle.

Les cris retentirent, la sortant de ses pensées. Et c'est en courant vers l'ennemi, qu'elle priait le Très Haut pour qu'il la protège, ainsi que tous ses proches, et toutes ces personnages hauts en couleur qu'elle avait pu rencontrer ces derniers temps, et qui comptaient déjà un peu pour elle.
Carmen_esmee.
        [Auberge - Le 20 Mars - Matinée]


    La silhouette encore endormie s'étire contre celle de son époux, elle ouvre les yeux quand il resserre son étreinte autour de sa taille, la pulpe des doigts taquine le torse masculin, elle ponctue d'un baiser sur sa clavicule et se redresse, mais ne veut quitter l'étau de son piège à loup. Pas tout de suite.. Elle se rendort un peu encore, blottie contre lui..
    Quand le soleil enfin inonde la pièce, Carmen est assise sur le bord du lit, elle enfile ses cuissardes, non sans grimacer, courbaturée et éreintée, elle préférerait garder le lit tout le jour... Mais un regard sur son époux lui fait penser qu'elle se reposera davantage sur le champ de bataille que dans cette chambre avec lui. Elle reste ainsi, adossée contre la tête de lit, elle le regarde, elle savoure le sommeil de son aimé, prête à décamper s'il s'éveille d'humeur câline. Elle l'aime et aime plus que tout, leur intimité mais elle sait que les douleurs lancinantes que son corps courbaturé ressent ne sont pas du fait de la rencontre avec Fatum.. Non Drahomir est bien plus redoutable qu'eux.. Efficace pour épuiser la brune.



        [Nuit du 20 au 21 mars 1464 - Dans la mêlée, Aux ordres de La Legio Burgundia]



    Aedan, William et Ely, lui avait tout appris, manier l'épée en combat singulier, la dague sournoisement, lancer un cheval au galop une lance à la main et désarçonner son adversaire en visant la tête ou la poitrine. Et pourtant, là maintenant, elle ne maîtrise plus rien, la peur dévore ses entrailles, elle ne pense qu'à une chose, sa fille. Sa petite Hanna, qui ne se doute pas de l'enfer dans lequel se sont fourrés ses parents. Carmen avance, sa main dans la pogne de Drahomir, elle la serre par moments comme si elle émergeait enfin à la surface de cette triste réalité et avait besoin de soutien pour garder la tête hors de l'eau.

    L'heure de l'affrontement arriva enfin, elle se tenait aux côtés de son époux, derrière les cavaliers composants encore l'armée bourguignonne impeccablement alignés. Le signal de la charge est sonné, un frisson remonte le long de la colonne Sernienne, un dernier regard pour Lui, et elle s'élance, épée à la ceinture, écu au bras, le sol vibre sous ses bottes au rythme effréné du martèlement des sabots. Les chevaux trottent devant eux et finalement partent au galop, au loin, elle voit les oriflammes qui fouettent l'air, le tout couvert par le bruit assourdissant des chevaux qui se ruent sur les assaillants, les lances se brisent. Les cavaliers adverses avancent sur leurs destriers et sont reçus comme il se doit, des corps tombent lourdement.. C'est là qu'ils entrent dans la mêlée et se charge d'achever les cavaliers Fatum et Renard déchus de leurs destriers.

    Le bouclier de son époux déblaye le passage, Carmen dans son sillage dégaine enfin son épée, elle sent dans ses entrailles une sensation enivrante, celle de l'affrontement, proche.. Elle est contaminée par la frénésie de ses frères et sœurs d'armes d'une nuit.
    Une lame s'abat sur son bouclier, elle n'a pas le temps de parer ni assez d'espace, il est trop près.. Elle le repousse avec un coup de pied bien placé, un réflexe qu'elle maîtrise parfaitement, mais cela ne suffit pas, l'assaillant redouble d'efforts, fichue "coquille" ! La brune panique car elle doute d'elle, elle n'a jamais ôté la vie, et elle ne compte pas commencer... Et pourtant lorsqu'il la défait de son bouclier et se jette sur elle, épée dressée au-dessus de sa tête, elle le pourfend sans aucune hésitation. Son épée se plante dans le corps, pourtant d'allure robuste... Mais la lame glisse dans les chairs avec aisance, elle manque de lâcher son épée de surprise, par le dégoût qu'elle éprouve pour son geste et le bruit fort désagréable de succion... L'épée semble légèrement coincée, un os doit gêner... Elle devra repousser sa victime avec violence de sa botte pour récupérer son arme...


      "Désolée.." plus fort qu'elle..


    C'est évidemment sorti tout seul, elle ne l'achève pas.. Elle ne peut s'y résoudre..


        [Soirée du 21 au 22 mars 1464 - En chemin pour le Campement de La Legio Burgundia]


    Un échafaudage de tresses pour Carmen ceint son crâne, dont quelques boucles s'échappent, un sourire aux lèvres, elle arrange sa chemise et la rentre dans ses braies, elle se penche et saisit celle de Drahomir, elle lui lance au visage.

      "Cesse de te rincer l’œil et habilles-toi, c'est certain qu'ils vont recommencer ce soir."

    Elle enfile ses cuissardes en grognant tant le fourreau est étroit, elle suspend sa progression, quand il quitte son lit de paille et se glisse derrière elle, il épouse l'arrondie du dos Sernien, enfin surtout le séant, ainsi voûtée, il enserre sa taille.. La brune se redresse, se cambre contre lui.. Se mord la lèvre lorsqu'il souffle contre sa nuque dégagée... Elle frissonne et soupire un petit "Non" sans conviction, Aucune.. Kouros s'ébroue et elle claque les mains de son amant.

      "Si tu ne t'habilles pas maintenant, j'y vais sans toi."

    Carmen fait volte-face, lui vole un baiser avant de quitter les écuries, les doigts enfoncés dans son chignon pour en retirer toutes traces l'inculpant d'ébat dans le foin..



    Citation:
    21/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Ditreisch. Vous l'avez sérieusement blessé.
    21/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

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Loreanah
Nuit du 22 mars 1464.
○ ○ ○ Campement de la Maudificator II (ou l'armée aux 1000 visages ) ○ ○ ○


La journée du 21 mars s'était révélée étonnante. Déjà, elle s'était prise d'affection pour un mioche du genre pas commun, aveugle et amputé d'un bras, dégueulasse, puant limite la mort.... Tout son contraire.
Mais le gamin s'était aussi attaché à elle, allant jusqu'à piquer du nez, la tête sur ses genoux, dans "la taverne de l'impossible".

Le matin, elle s'était faite une réflexion, toujours la même : Comment avaient-ils décidé de la formation de cette armée ? Car comme sa grande soeur, la chef s'était rapidement fait éjecter et on assistait, chaque jour, à un défilé de "nouveau Commandant".

Cette armée ne devait pas s'appeler "Maudificator" mais "Mortificator". C'eut été plus juste.
Pourquoi ? Car combien de fois, en ce 21 mars, elle avait dit " cette nuit, je sens que c'est la bonne, on y échappe pas 3 fois de suite" Si l'auditoire restait perplexe, invoquant le "mais noooon, faut pas dire ça Duchesse", l'ébène, elle, elle le sentait.

Plus bizarre encore, elle l'avait dit " Il s'est foutu de moi, une parole qui ne vaut rien... Il ne veillera plus et ça se verra"
Et de fait, l'Aigle ne tenait pas parole.

L'assaut de la nuit fut donné, elle sentait comme un goût de sang envahir sa gorge. Mais pas le sang des cadavres ou des blessés geignant. Non, le sien propre.

La soirée s'était pourtant bien déroulée, apprenant que bien du monde la dénigrait dans son dos, m'enfin, les langues de pute, ça ne manquait pas dans le coin, et se foutant pourtant de ce qu'on disait d'elle.
Elle avait même joué la conseillère de morale auprès du petit Clothaire quand il lui avait demandé si il valait mieux mentir ou pas.
La réponse de la Roburienne fut précise et sans détour " ça dépend si tu veux plein d'amis ou si tu te contentes de peu"...

Le tout entourée de membres Fatum.... et bizarrement, elle avait passé une bonne soirée. Bien meilleure que si elle avait du se cogner un paquet de faux culs.
Des allusions.... ses pensées tournées vers son Loup. Sans doute lui en parlerait-elle.
Plus tard.

L'ébène s'en alla se reposer un peu, la boule au ventre, la gorge nouée, et cette saveur tellurique aussi tenace que gerbante au fond de sa gorge....

Quand les pataclop des dadas résonnèrent, elle fut rapidement sur le pied de guerre, pourtant, l'envie n'y était pas.
Un regard vers Jon, pour voir s'il était prêt. Puis un autre regard sur les membres de sa section... ou ce qu'il en restait.
Ce soir son sang coulerait. Elle le savait.

Au commandement de lancer le galop, tout le monde fut fin prêt et une défense solide fit front face aux Renards et aux Fatum.

Une fois n'est pas coutume, le commandant de l'armée finit au sol... à chaque jour son commandant, n'est-ce pas ?
Seulement en plein assaut, il ne faut jamais se laisser distraire. Cette fois c'était différent. Aymeri était un ami de longue date, et c'est lui qui donnait la cadence... c'est lui qu'elle vit s'effondrer.

Bordel : Qu'elle aurait aimer revenir à sa lutte plus rapidement ! Mais le glas sonna et c'est son bras gauche qui encaissa la première entaille... forcément, le bras déjà affaibli et porteur de l'épée...
La douleur fut aigue mais protéger les siens surpassait cela. Pour faire taire certains claques-merde, pour faire comprendre à ces langues de pute que ce soir elle aurait pu les trahir, la porte lui avait été grande ouverte.
Et pourtant elle saignait pour ces charognardes. Ces hyènes.

Et l'épée Roburienne fut levée fermement sans un signe de douleur, effacée par la colère, pour s'abattre sur un trouffion d'en face.
Aucune idée de son identité, mais donnant-donnant... elle avait aussi fait couler le sang.

L'effort fut sans doute celui de trop, et Jon était plus loin, à se défendre comme un beau diable qu'il était...

Cheval à l'arrêt pour aller batailler là où c'était le plus délicat, c'est alors qu'elle observait son futur point d'attaque qu'elle sentit l'acier glisser entre le cou et le thorax, sous l'épaule... La lame était froide et pourtant semblait être une caresse tranchante.

Instantanément le goût du sang se fit plus fort... plus prononcé, encore plus ferreux. Le dernier bruit qu'elle put entendre fut celui de son épée et de son bouclier, qui heurtèrent le sol avant elle.

Si son regard se perdait dans l'inconscience l'enveloppant, elle cherchait des yeux un visage familier...
Elle n'en eut pas le temps, un pote à Morphée l'embarqua dans un tunnel. Restait à savoir si elle en trouverait l'issue...


22/03/1464 04:10 : Votre bouclier a été détruit.
22/03/1464 04:10 : Votre arme a été détruite.

22/03/1464 04:10 : Elviss vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
22/03/1464 04:10 : Victoire1 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.

22/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Papou81640. Ce coup l'a probablement tué.

22/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.


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Cliquez donc ça ! Pour raison logistique, le perso IG aura 1 ou 2 jours de décalage dans sa mort
Carmen_esmee.
        [Nuit du 21 au 22 mars 1464 - Dans la mêlée, Aux ordres de La Legio Burgundia]


    Cette fois encore, c'est au cœur de la bataille que Carmen se rendra, la deuxième nuit, plus éreintée que jamais, les cavaliers se ruèrent sur eux, de sortes à les disséminer. Elle cherchait à se retrancher quand elle comprit rapidement que quelque chose n'allait pas, un bref silence, les hommes et les femmes autour d'elle s'effondraient dans le sang. Il fallait qu'elle bouge.. rester immobile causerait sa perte. Elle court, elle n'a pas l'intention de crever aujourd'hui ! Elle se retrouve au milieu d'une mêlée, les Fatum font le ménage, et elle ne sera pas épargnée. L'assassin le plus proche s'avance, un mouvement de lame circulaire que Carmen a le temps de parer, des gestes parfaits, elle se crut un instant avec feu son frère, à s'entraîner pour la beauté du geste en Eire... Ce souvenir la perturbe, et la force de l'assaillant est bien supérieure à la sienne, elle recule malgré elle, s'enfonce dans la boue... Dans un geste salvateur, elle ramène son bouclier contre elle.. C'est la fin, elle le sait, il ne la lâchera pas avant qu'elle ne tombe...

    La lame effilée se soulève, elle contre avec son écu une nouvelle fois, consciente que sans lui les coups l'auraient tranché en deux, le Bouclier d'ailleurs ne survit pas à la force de l'homme. Deux parades ensuite suffisent à désarmer la brune, elle dégaine sa dague, sans grand espoir vu la distance qu'elle met entre lui et elle... Elle ne sait guère lancer des couteaux..


        *Voila qui aurait été utile Aedan ! M**** ! *

    Elle ne laisse rien paraître, un Serna meurt dignement !
    Il s'avance, elle esquive la lame, consciente qu'elle vient de passer tout près, elle perd l'occasion de parer le suivant, pourfendue à la cuisse, déséquilibrée, elle tombe à genoux dans un hurlement. Un coup de bouclier dans le crâne... Il sait faire taire une femme... Le cri s’étouffe de lui-même dans sa gorge. Il s'apprête à donner le coup de grâce sur l'inconsciente quand une lame s'interpose..

    Étendue, le vide se fait dans son esprit.. Le coup porté à la caboche, ne l'a pas entaillée, mais vigoureusement sonnée. Le liquide sacré, s’échappe à la racine de la cuisse gauche.


Spoiler:
Citation:

22/03/1464 04:10 : Votre bouclier a été détruit.
22/03/1464 04:10 : Votre arme a été détruite.
22/03/1464 04:10 : Metaxasv vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
22/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

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Alexandre.


Sur un champ de bataille, il y avait toujours des chansonniers pour relater dans les chaumières, les tavernes (quand on y était pas banni par discrimination), et parfois les châteaux (quand on y était invité à y entrer !).

Alexandre. était condamné à rester à Dijon encore un mois et demi, au grand dam de ceux et celles qui ne pouvaient pas le blairer, (faites moi sortir de là au lieu de me casser les orphelines !!!!) et il lui fallait trouver de saines occupations.

Il s'informa comme il le faut des évènement de la nuit (tel un petit douanier à sa mémére) et il remarqua que la belle Lisa était tombée de sa monture pour finir le nez dans les pissenlits. C'est du moins ce qu'on racontait çà et là. (Oh bah moi vous savez les rumeurs...).

Il aurait bien voulu être présent pour la relever et la mettre à l'abri mais d'autres bien plus hardis que lui avaient déjà du s'en occuper. Il fallait dire qu'elle était appréciée la Niraco et que tous ses titres forçaient au respect !

Comme de coutume et aussi parce que personne ne pouvait lui retirer ce droit (pas encore du moins !), il prit un joli parchemin immaculé (comme sa Marraine) et il trempa dans l'encre sa plume de canard (oui j'aurai pu dire connard je sais ^^) pour rédiger quelques bouts rimés :

Citation:
Ode à Lisa

Chevelure d'ébène et visage de porcelaine
La belle Lisa s'en va fièrement au combat.
Elle a revêtu son armure et laissé ses poulaines
L'épée affutée, elle s'est lancée vers les débats.

Sa nuit dans sa taverne a du être festive et douce
Accompagnée de ses ennemis Fatum qu'elle admire.
Elle a eu raison d'en profiter pour servir des mousses
Car la nuit fut de celle qui efface tous les rires.

Amis, pleurons ensemble la chute de la sémillante Lisa
Renards et loyalistes lui rendent hommage aujourd'hui.
Mes larmes coulent et je voudrais être près de toi
Mon âme est en peine, je t'en supplie, reviens à la vie !

Alexandre.


Avec un tambourin et un fluteau, il pourrait faire le tour des cantines pour réciter son ode écrite avec le coeur...

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blasone realizzato da Dama Puffetta in dono all'amico Alexandre. medalha oferecida por Dama Bandida Miranda Carvalho bannière réalisée et offerte par Dame
Claire_g


Dean...
Nuit du 22 mars 1464. Campement de la Maudificator II

Une nouvelle nuit de combat arrivé, Dean se retrouve a la tête d’une section, lui qui n’avais jamais gérer d’homme surtout pour un combat avais une pression, il voulait bien faire… Quelques ordres ainsi que quelque conseil donner a ces hommes et le combat commença… Le regard froid sous sa capuche il s’avança en donnant des coups pour se faire un passage. La nuit avança la fatigue du brun commença a se faire sentir, il continua d’avancer en se protegeant et donnant des coup de toute ces force..

La nuit se déroula plutôt bien jusqu’au moment ou il fut l’erreur de ne pas protéger ses arrière, il donna un coup droit devant lui quand il senti une lame se poser sur sa hanche, un crie de sa part sous la douleur se fit entendre en tombant a terre, il posa son regard sur sa blessure après avoir soulever sa chemise serrant les dent sous la douleur…


P’tin !! non..

Il appuya sur sa douleur en serrant les dent, posa sa tête par terre observant le ciel, les pensant allant vers ces enfants et sa femme… le poing et la machoire sous la douleur serrer, il esperer que sa femme n'aller pas le voir comme sa, il regarda sa main plein de sang et ferma les yeux...

Citation:
22/03/1464 04:10 : Votre bouclier a été détruit.
22/03/1464 04:10 : Vivianne vous a porté un coup d'épée. Vous avez été grièvement blessé.
22/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

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Atika
Nuit du 21 au 22 Mars 1464.
Campement de la Maudificator II



Une journée de plus a aider les blessés avant de reprendre le combat le même soir.
Pas de repos quand c'est la "guerre" et c'la la Volcanique le savait très bien.
Un moment de détente en taverne avec son fou puis il était l'heure de se rendre aux remparts encore une fois.
Un "je t'aime" et un "soit prudent" a son époux et la rousse se mit en route pour le combat.
Après avoir vérifier son équipement et l'avoir nettoyer comme il se doit, la rouquine se rendit aux remparts sous les ordres du chef de section.
Tout le monde était là, son collègue Gann et son époux, qui lui dirigé une section a son tour.
Un regard vers son époux et un signe de tête signifiant qu'il fasse attention.
Le regard océan de la volcanique s'assombrit a nouveau en entendant de l'autre côté des remparts, ses chiens qui commencèrent a bouger un peu partout.


Pour la Bourgogne!!!!!!!


Fermant les yeux un instant, elle se concentra puis l'assaut fut donner, c'est sans réfléchir que la flamboyante s'enfonça dans la foule où les épées repoussées certaines et d'autre qui se brisaient sous les coups donner, tout comme les boucliers.
Tantôt en esquivant tantôt en repoussant certains, la volcanique se glissa jusqu'aux portes où un chien galeux l'attaqua.
Toujours sur ses gardes, la rouquine renvoya la charge au destinataire et lui infligea un coup d'épée dans la foulée qui le mit au sol, le laissant pour mort.


Un chien d'moins!

La nuit était rude et épuisante pour tout le monde mais il fallait tenir bon pour la Bourgogne.
La volcanique continua sa progression dans la mêlée quand un autre chien galeux lui infligea un coup puissant qu'elle esquiva a l'aide de son bouclier.
Ce coup la fait plier et la volcanique met un genoux a terre, son bouclier se brisa, Ati avait juste eut le temps de se mettre sur le côté et c'est son épaule gauche qui trinque, légèrement.
Le jour se leva et les cors sonnèrent pour rappeler les troupes de chaque côtés, heureusement pour la volcanique, le salopiaud abandonna la partie.
Fermant les yeux un instant puis la rouquine se releva tout en regardant autour d'elle, toujours autant de corps qui étaient au sol, une seule question lui vient en tête " Son époux va bien?".


Ati était blessée légerement a son épaule gauche mais tout se qui compter c'etait de voir son époux, espérant qu'il allait bien, elle presse le pas tout en observant les blessés au sol, serrant les crocs.
Quand tout a coup son regard océan se transforma en regard de peur, voyant son époux a terre, laissant tomber son épée, la volcanique pressa le pas en sa direction et se mit genou a terre devant lui, posant son regard rouge de peur sur la chemise ensanglantée de son époux.
La main de la flamboyante pressa la plaie et aida son fou a se mettre debout, malgré sa blessure a son épaule gauche.
La douleur était rien comparé a celle de voir son mari a terre.


Chéri, sa va aller, j'va m’occupée d'toi, tiens bon, j't'en prie.

Serrant les crocs comme jamais, la Ati se fit une promesse, celle de repartir dans l'armée une fois guérit et de leur faire la peau a ses charognards d'maleur.
C'est doucement, tout en l'aidant a se déplacer que la volcanique emmena son époux au campement pour le soigner.
Voir son époux comme ça, c'la la rendait folle de rage!


22/03/1464 04:10 : Votre bouclier a été détruit.
22/03/1464 04:10 : Santiagoriccardo vous a porté un coup d'épée. Vous avez été légèrement blessé.
22/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Johnwilliams. Ce coup l'a probablement tué.
22/03/1464 04:10 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

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