--Dovan
A travers son demi sommeil, Dovàn perçoit l'agitation autour de lui. Il somnole car il n'a pas d'autres choses à faire de toute façon. Son maître ne l'a toujours pas autorisé à retourner au combat. Il s'ennui du terrain. En soupirant, il entre-ouvre les yeux et, d'abord comme dans un rêve, il voit la chevelure rose de sa maîtresse qui s'approche en boitillant. Elle l'appelle par ce petit sobriquet qu'il aime tant mais qu'il fait mine de ne pas supporter.
Eh, hurlez pas comme ça ! bougonne-t-il, un sourire crispé sur les lèvres. Ma Dame... je savais bien que vous en reviendrez !
Il se redresse en grognant, un rictus souffreteux mais brave sur ses lippes séduisantes. Observant l'air inquiet et résolument désolée de sa douce maîtresse, il se reprend et lutte contre sa douleur pour ne rien laisser paraître.
Comment vous sentez vous, Ma Dame ? C'est que j'ai bien cru vous avoir perdu !
Il ne dit rien de plus mais n'en pense pas moins. Il a eut peur pour elle, de la peine de s'imaginer la perdre. Il s'en serait voulu de ne pas la défendre comme s'était son rôle et le sera encore dès qu'il se remettra sur pied.
Eh, hurlez pas comme ça ! bougonne-t-il, un sourire crispé sur les lèvres. Ma Dame... je savais bien que vous en reviendrez !
Il se redresse en grognant, un rictus souffreteux mais brave sur ses lippes séduisantes. Observant l'air inquiet et résolument désolée de sa douce maîtresse, il se reprend et lutte contre sa douleur pour ne rien laisser paraître.
Comment vous sentez vous, Ma Dame ? C'est que j'ai bien cru vous avoir perdu !
Il ne dit rien de plus mais n'en pense pas moins. Il a eut peur pour elle, de la peine de s'imaginer la perdre. Il s'en serait voulu de ne pas la défendre comme s'était son rôle et le sera encore dès qu'il se remettra sur pied.