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Une Bourgogne inébranlable face à la Fatumania !

--Dovan
A travers son demi sommeil, Dovàn perçoit l'agitation autour de lui. Il somnole car il n'a pas d'autres choses à faire de toute façon. Son maître ne l'a toujours pas autorisé à retourner au combat. Il s'ennui du terrain. En soupirant, il entre-ouvre les yeux et, d'abord comme dans un rêve, il voit la chevelure rose de sa maîtresse qui s'approche en boitillant. Elle l'appelle par ce petit sobriquet qu'il aime tant mais qu'il fait mine de ne pas supporter.

Eh, hurlez pas comme ça ! bougonne-t-il, un sourire crispé sur les lèvres. Ma Dame... je savais bien que vous en reviendrez !

Il se redresse en grognant, un rictus souffreteux mais brave sur ses lippes séduisantes. Observant l'air inquiet et résolument désolée de sa douce maîtresse, il se reprend et lutte contre sa douleur pour ne rien laisser paraître.

Comment vous sentez vous, Ma Dame ? C'est que j'ai bien cru vous avoir perdu !

Il ne dit rien de plus mais n'en pense pas moins. Il a eut peur pour elle, de la peine de s'imaginer la perdre. Il s'en serait voulu de ne pas la défendre comme s'était son rôle et le sera encore dès qu'il se remettra sur pied.
H2d2
[Nuit du 25 au 26 mars]

Hersande était tout à fait remis de sa légère égratignure au bras. Fort heureusement, ce n'était pas le bras qui tenait l'épée. Une nouvelle nuit de combat s'annonçait. L'ennemi sembait toujours aussi nombreux alors que la faim et les nombreuses pertes devaient forcément avoir un impact sur leur nombre et surtout leur moral. Pourtant, ils chargeaient chaque nuit, et chaque nuit, ils étaient repoussé.

Aujourd'hui, c'est en première ligne qu'il avait pris place, intégré dans la section de sa sœur vassale qui était aussi le commandant de la Maudificator. En effet, les vassaux de Maud portaient haut leur couleur même si leur suzeraine avait été touchée. Mais se soir, il ne portait pas seulement ses propres couleurs, il avait joint à l'étendard les couleurs d'Elysea, Dame de Boussenois, sa promise. Il avait également accrochée à son bras blessés, le gauche, un brassard rose, représentant encore sa fiancée, elle qui arborait fièrement cette couleur au quotidien, même dans les cheveux. Ce brassard constituait l'ultime protection de sa précédente blessure.

Le combat commençait, Hersande restait bien droit sur ses jambes quand la première charge arriva. Il leva son épée, frappa, et toucha le flanc de son premier adversaire, qu'il laissa quasiment sans vie, sérieusement blessé et immobile. Il campa toujours sur ses positions quand un second groupe arriva, de 2 personnes, qui ne semblaient rien à voir dans cette guerre. En tout cas il avait des ordres, ils ne passeraient pas et quand ceux ci insistèrent violemment, il du frapper.




26/03/1464 04:09 : Vous avez frappé Milana. Ce coup l'a probablement tué.
26/03/1464 04:09 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Samuel40 et de Milana.
26/03/1464 04:08 : Vous avez frappé Euronium. Vous l'avez sérieusement blessé.
26/03/1464 04:08 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

_________________


Egéries de l'Atelier du Lys; http://forum2.lesroyaumes.com/viewforum.php?f=11444
Durandal


Nuit du 25 au 26 mars


Ce soir-là, le déshérité retrouve le combat. Sa mission : protéger l'Euro. Celui-ci porte une gaine accrochée à une chaîne, dont Durandal tient une extrémité.

Ils se sont dit que le meilleur protectionnisme, ce serait d'empêcher le libre-échange de coups dans l'espace chaîne-gaine.

Cette escorte semble plus que nécessaire, ces temps-ci. Depuis qu'Euronium défend le droit à une justice équitable pour tous, et surtout pour les pendards, on craint les représailles.

Faut dire, l'avocat Fatum semble plus à l'aise avec la loi et les coutumes bourguignonnes que le Proc'.

À ses côtés pendant la charge, le genevois perd de vue l'orléanais au moment de l'impact entre les armées. Le choc est brutal. Chaotique. Ya encore du monde, après une semaine de combats.

Quand le Genevois retrouve de vue l'Orléanais, en remontant du regard la chaîne qu'il tient dans sa main gauche, il est au sol. Celui qui l'a frappé, c'est...


-At' ! Dundun... c'est toi ?!

Ah, non. C'est pas lui.

Mais le type porte aussi un tas de couleurs sur ses sapes. On dirait le parterre de fleurs, devant la Maison de la culture Fatum.

Sans tergiverser plus longtemps, il accourt auprès d'Euro blessé. Il se contente de le protéger, repoussant quiconque souhaiterait l'approcher.

Enfin, quand la ferveur des combats faiblit, le grand brun parvient à éloigner Euro loin de la bagarre, et l'amène jusque sous la tente où s'amassent les assaillants blessés.
Sinaya
Sinaya était complétement dans les vapes depuis quelques jours... Elle avait maigri à vue d'oeil, perdu de nombreux kilos.. Elle le voyait bien, ses vêtements flottaient complétement autour d'elle. Et surtout... cette blessure, cet énorme coup d'épée qu'elle s'était pris au niveau du bas ventre, et qui l'avait ouverte sur une vingtaine de centimètres.

Tout ce dont elle se souvenait, c'est qu'elle était sur le champ de bataille, se battant férocement. Elle avait commencé cette bataille en n'osant pas vraiment taper fort, en ayant peur de tuer. Mais plus les jours avançaient, et plus elle avait remarqué en elle un sentiment haineux, froid et malsain, qui montait de plus en plus. Et elle s'était entrainée chaque jour, et chaque soir, elle devenait de plus en plus mauvaise... Jusqu'à la nuit du 24 au 25 mars, où elle avait tué, pour la première fois.

Elle essayait à présent de ne plus y penser, et tentait plutôt de se rappeler ce qu'il s'était passé ensuite. Un homme qu'elle avait aperçu en taverne. Un coup d'épée. Une douleur atroce. Et puis le noir.

Le réveil difficile sur son lit, un bandage fait. Et rien. Personne, pas un mot.

Qui l'avait aidé ? Que lui avait on fait ? Elle n'en savait rien. Et depuis ce jour, le flou qui entourait ces derniers moments l'agaçait, et la plongeait dans ses pensées....




Citation:
25/03/1464 04:09 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.
25/03/1464 04:09 : Vous avez frappé Arthur.gilgaalad. Ce coup l'a probablement tué.
25/03/1464 04:09 : Vous avez frappé .isabelle. Vous l'avez légèrement blessé.
25/03/1464 04:09 : Sherif vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
Drahomir
[Soirée du 25 Mars - Auberge de l'ennui, suite!]

Même si sa trombine reste de marbre, il hallucine intérieurement devant l'accoutrement de son épouse. C'est époustouflant, c'est terriblement scandaleux et ca provoque chez lui la réaction attendue.
L'excitation le saisit, presque douloureusement alors qu'elle se colle à lui. Il l'enserre de ses bras, en fait un étau.
Ses mains caressent la soie. Il ne sait différencier la peau du tissu noble. Dextre d'épouser parfaitement l'arrondi d'une fesse alors qu'elle commence à lui parler, ponctuant sa demande de quelques baisers.
Il est un homme, qui réagit comme un homme devant une femme sublime, en déshabillée, consentante et coquine. Il ne réfléchit plus beaucoup. Du moins, il réfléchit à comment il va s'occuper d'elle. Senestre vient se saisir de l'autre fesse. C'est l'avantage d'avoir de larges battoirs, elles permettent de saisir entièrement la croupe féminine.Une pensée fugace pour Aristote qu'il remercie chaleureusement. Et il passe à l'attaque.

Il ne prend même pas la peine de lui répondre. Il ne lui laisse pas vraiment le choix, il la pousse sur le lit qu'elle à bien trop côtoyé dernièrement et en fier barbare se jette sur elle. Le tissu ne résiste pas longtemps sous ses mains. Il a tôt fait de l'en débarrasser. Une sorte d'empressement le saisit. Il est due à la pressions des jours derniers, à la peur. Il ne prend même pas la peine de se débarrasser de ses braies qu'il est en elle. Il met fin à un de ses râle par un baiser langoureux...


[Auberge, toujours, quelques instants plus tard.]

La chambre est un véritable champs de bataille. Elle est couchées sur lui. Ils sont pantelants et tentent de reprendre leur souffle. Il a finit par se débarrasser de ses vêtement. Sa main se perd dans les boucles brunes et il vient lui mordiller la joue.
Maintenant que la pression redescend, il se souvient des paroles de la jeune femme à son arrivée. C'était un piège, pour qu'il accepte sa demande. Sans réfléchir. Heureusement, il est du genre peu loquace quand ses instincts primaires le guident. Sa main s'ingénue dans le bas de son dos, qu'il caresse avec une tendresse non feinte. Il redresse un peu la tête pour la regarder.


-Tu es très imaginative quand il s'agit d'obtenir ce que tu veux...

Un petit sourire satisfait sur la trogne, il est loin d'être dupe.

-Je vais d'ailleurs songer à t'interdire plus souvent les choses.

Il rit alors qu'elle le frappe. Il la fait basculer afin de se retrouver sur elle. Elle a les jambes autour de sa taille et il emprisonne ses poignets contre le matelas. Une lueur lubrique dans le regard.

-Mais j'accepte... Oui, j'accepte que tu te rende utile... A condition que tu reste derrière.

Et à condition qu'elle se montre encore ingénieuse. Il le lui fait comprendre quand il se penche sur elle et lui mord l'épaule avant de la couvrir de baisers.

[Les nuits de combat, jusqu'à celle du 27 au 28.]

Les nuits se ressemblent. Il se bat avec rage. Il blesse des adversaires, est souvent touché mais n'est jamais, lui, endommagé. Il se bat comme un beau bougre. Il a depuis son arrivé un joli panel de brigand sur son tableau de chasse.
Il est plutôt fier.

Éternel recommencement dont il ne se lasse pas. Se battre la nuit, aimer le jour lui procure une vigueur et une nouvelle vitalité.
Mais il n'est plus le jeune premier qu'il était jadis. Une semaine de combats l'ont fatigué. Sa blessure à la cuisse cicatrise difficilement et il boite encore. Ses muscles sont perclus et il lui arrive souvent d'éprouver des crampes.
La nuit du 27 mars, il ne se sent pas au mieux de sa forme. Il n'a pas vu beaucoup sa femme, partie s'occuper des blessés et une sorte de frustration l'a travaillé presque toute la journée.

La première charge est similaire à toutes les autres, il est à pied, il lève son bouclier pour parer est des lances viennent se fracasser dessus. Sauf qu'il a rudement souffert ces derniers jours. Il se brise et l'ogre, soufflé, s'écroule rudement. Il pousse plusieurs jurons alors qu'il se lève avec difficulté. Lasse. Un assaillant est déjà sur lui. Il s'agit d'une femme. Elle profite qu'il n'ai plus de protection pour lui porter plusieurs coups. Il en pare plusieurs mais l'épée finit par lui percer le flanc. Il lâche sa hache et porte sa main à sa blessure. Le sang s'écoule tel un fleuve tumultueux. L'engourdissement s'empare de lui alors qu'il tombe à genoux. Il hoquete. Autour de lui le massacre se poursuit.

Il tombe sur le côté. La nuit commence à envelopper son regard. Il a une dernière phrase, tout à fait vadikrienne.


-Putain.. Je me suis fais niquer par une femme..

Et la nuit.

Citation:
28/03/1464 04:08 : Victoire1 vous a porté un coup d'épée. Vous avez été sérieusement blessé.
28/03/1464 04:08 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.
Arnaudo
Comme chaque soir depuis qu'il était en visite à Dijon, le d'Estac avait bataillé

Citation:
28/03/1464 04:08 : Vous avez frappé Maud. Vous l'avez grièvement blessé.
28/03/1464 04:08 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Legio Burgundiae" dirigée par Frim, l'armée "La Maudificator II" dirigée par Lyoson, et les défenseurs de Dijon.


Le quart de la cité l'avait suivi quand il avait appelé à la guerre contre la France. Moitié de l'ost familial était engagé ici.
Lui ne pouvait faire défection, et devait montrer l'exemple. L'honneur de la famille était en jeu.

Pourtant ce matin, un calme étrange règne en maître absolu, et seul le gémissement des blessés trouble le silence épais.

Preste, il escalade une cariole brisée, et contemple les murailles de la cité.
Rien.
Aucun oriflamme, aucune garde.
Les armées ennemies ont été débandées.
Les français ont abandonné la bataille


DEBOUT AMIS
ILS OUVRENT LES PORTES.
NOUS AVONS GAGNE LA BATAILLE DE DIJON
C'EST MA TOURNEEEEE



UN POUR TOUS TOUS POUR UN




Armées présentes ici :


Armée "L'ost des Renards" commandée par Roedric
L'armée est aux portes de la ville



Armée "Fatum II" commandée par Wood.
L'armée est aux portes de la ville



Armée "Fatum" commandée par Tugaluso
L'armée est aux portes de la ville

Groupes présents ici :
Corps d'armes de Niall
Sur autorisation Demander à adhérer
Lance de Mic
Admission libre Adhérer
Lance de Selvagem., Birdinflames
Admission libre Adhérer
Groupe de Ardacos, Lolizy
Admission libre Adhérer
Corps d'armes de Lilouanne
Fermé
Corps d'armes de Thomass, Morghan, Lancelot.
Admission libre Adhérer
Lance de Aldur, Mirko2, Ernestvs, Amelliane, Sarymah
Admission libre Adhérer
Corps d'armes de Sigismond_ulfrid, Naelhy
Admission libre Adhérer
Corps d'armes de Ares125
Fermé
Corps d'armes de Gannicus1
Fermé
Contrôle de la zone
La mairie est maîtresse du statu quo sur ce nœud.
--Princesse.sans.nom
De sa tente de convalescence, elle écoutait chaque matin les rapports de forces qui se jouaient et se régalait des nouvelles. Ces derniers temps les chefs d'armées se succédaient, preuve que les hommes tombaient comme des mouches dans la ville.

Mais ce matin, le rapport qu'elle entendu lui provoqua un éclair dans le corps, les armées avaient été détruites, pas seulement rejetées hors de la ville mais elles avaient disparues totalement sans laisser la moindre trace si ce n'est celle de leur sang...

La princesse du sans nom était furieuse car elle était bloquée encore 3 jours dans cette maudite tente de repos et la victoire allait se jouer sans elle mais tant pis. Elle savait que ses compagnons d'armes avaient tous une pensée pour les blessés à chaque combat.

Pour une première guerre, elle se n'es était pas trop mal sortie et avait réussi a tuer du monde. Mais cette guerre avait aussi révélé en elle une chose endormie et la discussion qui s'ensuivrait avec son père et "lui" comblerait sûrement de nombreuses lacunes...

Qui était-elle donc en réalité et pourquoi "il" l'avait appelé princesse ? Pourquoi aimait-elle tant manger de la chair humaine ? Et pourquoi.......... pourquoi..... pourquoi, pfffffffffff trop de questions et pas de réponse.

Mais pour le moment, elle devait vitre guérir pour reprendre les armes...


Trop de questions à poser
Yukimura
La Legio avait pris un fameux coup dans les dents au point de devoir battre en retraite. Maigre consolation, il avait pu assurer la protection de son Chef d'armée. Ils se retrouvèrent donc au milieu de nulle part, telles des sauvages, à assurer la survie de ceux qui restaient.

Les boules, le Yuki? Il ne connaissait pas. Tant qu'il serait en vie, rien n'était joué. Un peu comme pour une partie de ramponneau. Tant qu'il pouvait miser la blinde, il y croyait. Mais là, ça sentait le tapis quoi qu'il fasse.

Par acquis de conscience, il aiguisait son épée. Cela lui remontait le moral de savoir que sa lame pouvait trancher tout ce qui ne déclinerait pas la bonne identification en cas de rencontre fortuite.

_________________
Yukimura Sanada de Tourbillon

Francoeur
En vieux briscard qui aimait le fracas des armes et les odeurs de la guerre, Francoeur était servi. Les assauts des remparts de Dijon c'était quelque chose quand même ! La dernière bataille contre les deux armées qui défendaient la capitale de Bourgogne avait été moins intense que les précédentes mais c'est que les combattants d'en face n'en pouvaient s'en doute plus. Il savait reconnaître quand un ennemi se battait bien et les bourguignons s'étaient battus comme des lions, mais les Renards et les Vipères avaient eu raison d'eux. Les troupes ennemies, contraintes de se replier, couraient la campagne dans le plus grand désordre. Les murailles de Dijon, à présent dégarnies, lui faisaient de l'œil, Francoeur rejoignit ses compagnons de la Mesnie Hellequin pour vider quelques godets de vin avant que retentisse l'appel du rassemblement. Il avait hâte d'être à ce soir.
Euronium


Dans la nuit du 25 au 26 mars, sur le champ de bataille.


Très en forme depuis le début du conflit, Euro s'était un peu relâché en cette veille de week-end.
Toujours est-il que ça n'était pas le bon moment pour ça, les menaces pesant sur lui de plus en plus.

Certains imbéciles, même pas bourguignons, se chauffaient au point de sortir leur épée en taverne.
D'autres l'insultaient dès lors qu'il se pointait.
La vie était dure lorsqu'on s'appelait Euro.

Nul doute, donc, que la foudre finirait par tomber.
Alors, Durandal avait eu une idée.


Dudu, t'es sûr pour la ceinture de chasteté ? Tu peux l'appeler comme tu veux, ça en est bien une, et ça me plait pas trop...

Durandal était plutôt confiant, alors Euro n'eut pas son mot à dire.

Puis vint le moment de passer à l'assaut.
Peu de distance le séparait de Durandal, mais la ceinture l'empêchait de bouger de façon optimale.

Très rapidement, un homme se rua sur lui et le frappa au flanc gauche.
Euro tomba aussi sec, poussant un cri de rage.

L'homme passa à une autre cible, et l'Orléanais appela Durandal :


Dudu.... aide-moi, vite... je suis blessé, je vais pas pouvoir continuer...

Le Genevois rappliqua aussi sec, repoussant les ennemis le temps que le bruit des lames s'éloigne.

Me laisse pas là hein, ramène moi chez nous...


Citation:
26/03/1464 04:08 : H2d2 vous a porté un coup d'épée. Vous avez été sérieusement blessé.
26/03/1464 04:08 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Dijon, l'armée "La Maudificator II" dirigée par Lyoson, et l'armée "Legio Burgundiae" dirigée par Frim.
Ameria
    Dijon, dans la nuit du 23 au 24 mars 1464
    et la nuit du 24 au 25 mars 1464


    La jeune Normande prenait plaisir à aider la Bourgogne, elle y prenait gout tout court à cette guerre, cette adrénaline qui s'emparait d'elle à chaque fois que les grilles se levaient. Ses hommes et ses femmes qui se battaient tous ensemble pour défendre Dijon, attendant que l'assaut soit ordonné par le capitaine des armées, criant à l'unisson pour la gloire de la Bourgogne, entendant les épées s'entrechoquer ou s'abattre sur les métaux. Deux nuits à combattre et trois personnes avaient gouté sa lame. Elle rentrait au campement sur ses deux pieds aidant les blessés en se sentant observer lorsqu'un homme s'approcha pour lui murmurer quelques mots. Elle l'avait bien reconnu c'était le capitaine celui qui donnait le coup d'envoi des nuits passées, elle devait lui répondre avant de rentrer même s'il l'impressionnait. Je... je vous remercie je dois ce maniement à mon père.


    Dijon, dans la nuit du 25 au 26 mars 1464


    Impossible pour la rouquine de trouver le sommeil pour être en forme ce soir pour les combats, cette journée s’annonçait pas bonne. Malgré sa fatigue elle ne lâchait pas pour ne pas décevoir sa future suzeraine. Elle rejoignait les combattants attendant que les grilles se lèvent pour s'élancer son épée en main, son bouclier devant elle pour la protéger. Elle croisait son épée avec un homme d'une force supérieure à la sienne, elle avait du mal à lui rendre les coups. Il ne la loupa pas la touchant sauvagement en plein fouet, impossible pour elle d'esquiver le geste de cette brute. Sous la douleur la brune lâcha ses armes en tombant les genoux au sol, elle ne crierait pas sa mère irlandaise lui avait appris à encaisser en silence, elle serrait les dents. On ne tardait pas à lui porter secours pour la soigner au campement, ses mains appuyaient sur sa blessure.




24/03/1464 04:11 : Vous avez frappé Sedeleude. Ce coup l'a probablement tué.
24/03/1464 04:11 : Vous avez frappé Ayline_de_montestier. Ce coup l'a probablement tué.
24/03/1464 04:11 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Sedeleude et de Ayline_de_montestier.

25/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Nina1964. Ce coup l'a probablement tué.
25/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Nina1964. Ce coup l'a probablement tué.
25/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Nina1964.
25/03/1464 04:09 : Vous avez été attaqué par l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

26/03/1464 04:08 : Votre arme a été détruite.
26/03/1464 04:08 : Sawar vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
26/03/1464 04:08 : Vous avez été attaqué par l'armée "Fatum II" dirigée par Wood., l'armée "L'ost des Renards" dirigée par Roedric, et l'armée "Fatum" dirigée par Tugaluso.

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Josepha
Satisfaite.
Aujourd'hui, nous sommes entrés en ville.
Bientot les roles vont s'inverser, et nous défendront le pouvoir contre les troupes du Roi.
Mais cela m'amusait plus qu'autre chose.
Quand aux fous qui défendaient encore, Dieu sera leur secours.


Citation:
29/03/1464 04:08 : Vous avez frappé Margoot. Ce coup l'a probablement tué.
29/03/1464 04:08 : Vous avez frappé Margoot. Vous l'avez légèrement blessé.
29/03/1464 04:08 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Dijon..
Frodon
Notre chef de section nous a donné un objectif spécifique, prendre une corniche défendue par un petit groupe.
Surprise, sur place un ensoutanné nous a mené la vie dure, pour finallement trépasser non sans lacher sa petite flaque sanglante.


Décidément, on trouve de tout sur les champs de bataille francais.
Meme des eveques


Citation:
29/03/1464 04:08 : Vous avez frappé Eilinn_melani. Ce coup l'a probablement tué.
29/03/1464 04:08 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Dijon.
Petite_altesse
Citation:

De nous, Mélissandre d'Armantia-Malemort, Comtesse du Maine, Princesse de France, Dame de Gasnerye, Première Dame de sa Majesté.
A vous, Lionel Christos Parfait de Blanc-Combaz, Prince de France, Vicomte de Digoine et Baron de Mâlain




Salutation et providence,


Votre Altesse, je ne puis vous dire quel effroi fut le mien d'apprendre vos blessures. Vous connaissant, je ne peine pas à me douter que loin de vous reposer, vous continuez à arpenter les remparts, vous souciant de votre duché avant tout.


Je ne puis vous en vouloir d'être brave, et je serais probablement à vos cotés si, par un caprice du sort, je n'avais du ceindre la couronne du Maine et prendre soin de ma province avant de me soucier de mon coeur qui, lui, aspire à vous retrouver. Vous n'êtes pas sans savoir que nous sommes nous même dans une situation bien difficile.


Joins à ce courrier vous trouverez un sachet d'herbes médicinales que je vous conseille de prendre le soir avant vos rondes et qui apaiseront un rien vos douleurs.


Je pense à vous, à chaque instant, et ma fierté n'a d'égale que mon inquiétude.


Affectueusement,




Au Mans, le 28 ème jour de Mars.






_________________
Rosy
Posté, avec son accord, pour le compte d'Eilinn Melani.


Quel idée de mourir à Pâques !

Eilinn aurait grandement préféré faire la chasse aux œufs de lapin, ou de poules, en compagnie de sa bonne amie Jehanne Elissa, mais celle-ci était partie loin. Elle ne savait pas ou. C’était la dèche, être sans sa BFF, toute seule, avec l’arrivée du printemps, des pollens et de FATUM.

La jeune évêque avait décidé d’aider un peu les armées. Mais sans épée ni bouclier, il ne lui restait que le verbe. Et son Livre des Vertus.
Si précédemment, elle avait été épargnée par les combats, récitant ici et là aux impies quelques passages marquants du Livre Saint pour qu’ils reviennent vers la voie de la Vertu, il fallait admettre que son livre ne tapait pas bien fort quand elle se retrouvait encerclée.

C’est d’ailleurs ce qui arriva cette nuit-là. Toutefois, Eilinn ne se démonta pas, et récita son Crédo avec ferveur.


Je crois en la Très Sainte Eglise Aristotélicienne,
[etc… on a compris]
Am… ARGHHH !


Ca, ce fut les 13 coups d’épée, comme les apôtres de Christos d’ailleurs, comme quoi rien n’était jamais du au hasard, qui la transpercèrent. Eilinn réussit tout de même à flanquer un dernier coup à une pastille Renny avant de succomber à ses blessures.

Christos l'accueillit alors, presque comme un vieil ami (même si il avait été plutôt du genre psy avec elle), lui demandant pourquoi elle était autant à la bourre, et qu'il y avait du boulot pour elle là-haut...

Eilinn regrettera les lapins, Jehanne, Arnault, mais conçut que cela était mieux.

Fin !
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