Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

Salle de la Loi « Stronghold »

Arnaudo
Je proposerais bien une loi sur les achats massifs aussi.
parce que des que quelqu’un va placer au marché, il va se trouver des malins pour tout racheter.
Goliath
Alors que Goliath étais tranquillement en train de refaire le plein de bière en taverne le procureur lui tombas dessus , tel un faucon attrapant une proie.

Le proc : Hé la poch'tron!!! t'es ptet bléssé de guerre, mais tu vas pas te la coulée douce.J'ai remarquer ton interet pour les geuzes de toutes sortes, donc je t'es recycler ta un nouveau boulot!!!

Goliath : Gné??? pas potib... pas travailler... beuuuurp

Le proc : Tais toi dont ivrogne, c'est pas difficile, vas voir à la nouvelle salle de loi tout est expliquer. Mais avant ça va te rincer les dents tu empêste la bibine!

Goliath : Avec quoi??? du rhum???

Notre brave pochtron pris le chemin de la dite salle et lu l'affiche.



Citation:
Noces en terres brigandes

- Le droit de cuissage est établi pour toute noce célébrée à Dijon.
- Goliath (IG : Goliath08) et Joyeuxdrille sont officiellement nommés Cuisseurs Assermentés ; charge au couple nouvellement marié de choisir l'un, l'autre, ou les deux pour exercer le droit de cuissage.



Son sang, ou son alcool , ne fis qu'un tour


Goliath : Ah ouai ça c'est dans mes cordes! houla!!! ça va remuet dans les braies s't'affaire.

Bien chers futur mariés, ont vas faire deux colonnes, les dames dans la colonne face à moi et les messieurs dans la colonne de joyeux

Il sortit une flasque pour la siroter tranquillement en attendant les jeunes mariés
Joyeuxdrille
Joyeuxdrille lit l'annonce et déclara :

" Que nenni, sire Colosse, je ne me ferai point les hommes. Rien que les femmes et je te propose d'échanger les colonnes."


Joyeuxdrille changea les pancartes et dirigea les hommes vers le Colosse.
Goliath
Ah beh non, tu vas pas déjà saloper toute ma belle organisation!!! bon, ont vas s'arranger, parce que j't'aime bien!

Donc comme j'ai dis en premier, et les ptites vielles vous allez dans la colonne de joyeux.

satisfait???
Maud


Et dans la salle, loin de l'agitation qui régnait dehors, Maud écouta d'abord abasourdie l'acte d'accusation. Ils faillirent l'avoir!
Ils ne savaient pas à quel point c'était facile pour elle de parler comme une paysanne. Elle en était une , quand toute jeune, elle arriva mal dégrossie et si naïve à Dijon. Elle se leva quand même, grimaçant un peu. Saleté de blessure! Et aussi placide qu'elle pouvait se forcer à l'être:


Euh, m'sieur! c'es à moi d'causer maint'nant?
Nan mais parce que si c'est à moi, j'dois vous dire d'abord que m'dame maud elle est pas vice baronne, mais vicomtesse, et que même qu'elle est vicomtesse de Sennecey! C'est un beau domaine m'sieur vous savez, et j'en connais plein d'gens là bas qui aiment y travailler.
La paie est bonne, m'sieur et m'dame maud, elle a pas son pareil pour donner un bon travail à tous les paysans!

J'vous jure, m'dame maud elle a du vin , un des meilleurs d'la région! Et c'est pas de conn'ries ça m'sieur! J'en ai bu, j'sais d'quoi j'parle moi au moins. Pas comme vous. Et même que vous pourriez aller en prison pour parler mal d'elle com' ça!

Pis j'me rends compte qu'vous savez rien de rien et qu'c'est pas la peine d'crier parc'qu'j'vous entends très bien. Et m'dame maud, elle m'avait prév'nue. elle m'a dit com' ça

"Ne te démonte pas, Tricia, ils vont certainement te hurler dessus en disant que tu es une imbécile"

Bne j'vois qu'c'est bien vrai parc'que m'dame maud, elle a été blessée pas une fois, mais trois fois m'sieur et la troisième, on a bien cru qu'elle y rest'rait tant qu'elle était faible .

Pis , j'la r'présente pas m'sieur, j'suis qu'une paysanne, j'suis v'nue pour vous r'mettre un pli à elle.


Et de s'avancer vers Durandal, de décacheter le courrier..

Elle m'a dit que j'devais vous la lire à voix haute d'abord...Alors voilà....

Et se râclant la gorge et en articulant bien:

Citation:
A Riri, Fifi, Titi et tous les nains empaffés de cette guignolade de tribunal,

Je ne viendrai dans un tribunal en votre présence que lorsque je pourrai entendre de la bouche d'un juge légitime votre condamnation à vous balancer tous et toutes au bout d'une corde!


Elle fit une pause..

Et c'est tout m'sieur! J'savais pas que vous vous appeliez Riri... j'peux vous la donner maintenant..

Et de la déposer sur le pupitre et du doigt..

Vous voyez, c'est bien elle qui l'dit.. Y a sa signature là...



Et de se reculer

ben v'là m'sieur riri.. j'vais y aller maint'nant, hein?
Arnaudo
Spectateur au tribunal, Arnaud remarque la gueuse, servante de la nobliote Maud.
Elle déclame pour sa maîtresse son refus de défense.
Particulièrement provocante la note déclamée haut et fort explique clairement le sort qu'elle aimerait réserver aux soldats de la libération

Arnaud depuis la foule crie alors


JUGE
ACCORDES LUI CE QU ELLE NOUS RESERVES
LA MORT
Blackjack212
BJ pense tout bas.
Il faut un exemple. Ces nobles sont trop habitués aux privilèges, et ne comprennent pas que la justice, maintenant, c'est nous.
Quelques pendaisons publiques, voila qui devrait calmer les ardeurs de ces provocateurs.
Joyeuxdrille
Joyeuxdrille répondit au colosse :

"Satisfait, ben tu manques pas d'air. Disons que pour être plus équitables : les plus belles dans ma colonne et les plus moches dans la tienne."

Joyeuxdrille sourit tout en regardant le colosse.
Atchoumeuh
Atchoumeuh se curait le nez en se balançant sur sa chaise lorsque l'énergumène arriva pour crier la libération de je sais plus qui ...
Cet abruti restant immobile devant la porte, les gardes s'en étaient saisit. Le Grand Procureur Durandal ayant beaucoup de paperasse à faire, le Préposé Vendu en Chef Atchoumeuh se dit qu'il allait se charger de lui :

Alors mon gros ? On vient réclamer la libération de sa famille ? Mais s'ils ont des problèmes avec la justice, c'est qu'ils doivent pas être blanc comme neige, hein ?


Voyant l'air ahuri de l'individu, Atchoumeuh fronça les sourcils :

La ... la neige ?! Tu sais ce que c'est non ? Vous en avez en hiver parfois !!
C'est blanc, froid et .. 'fin surtout blanc quoi ! D'où l'expression "blanc comme neige" ! Pour dire qu'on est innocent ...
Non mais laisse tomber, t'es trop bête !

Et arrête de te tenir les oreilles bon sang, mais t'es complètement timbré ??


Une paysanne arriva ensuite pour un procès. Mais le grand Procureur était sur le coup, aussi, en brave PVC, Atcha' se dirigea vers l'entrée, prêt à accueillir de nouveaux dénonciateurs, ou à coffrer de nouvelles andouilles ...

Salut drille, salut gogo, ça gaze en ce moment ? Plutôt beau temps hein ? Mais bon, c'est toujours quand il fait beau que les plus débiles sont de sortis ...
Si vous voulez on pourra organiser 2-3 mariages forcés pour vous occuper, si on a rien d'autre à faire ... Ben t'nez : y a une paysanne à l'intérieur en plus : elle va p'têtre se marier ?
Goliath
Le débat n'en finissez plus entre Joyeux et Goliath. Mais soudain un accord fut passer entre eux. Goliath pris de nouveau la parole.

Bien! après délibération, nous avons décidés que:

Les rousses devant moi
Les blondes devant Joyeux
Les brunes seront quant a elles tirées également mais aux dés pour déterminez quel colone rejoindres.
Les hommes, devant le proc, beh oui il en faut pour tout le monde.
Poucelyna
Convocation en main, Poucelyna se rendit au tribunal accompagnée de son page qui portait son petit deux-marches.

La duchesse déchue avait mis plusieurs jours pour se remettre de ses blessures physiques, les blessures morales mettraient quant à elles, bien plus de temps pour guérir.

Le visage fermé, elle avait pris place dans la salle après avoir décliné son identité et attendait à présent que son tour arrive.

Elle opposait une indifférence de façade face aux regards de ceux qui avaient massacré son peuple et qui la toisaient à présent, railleurs, hautains et méprisants.

Le menton levé, son regard ne quittait pas les acteurs de ce procès. Elle n'avait d'autre choix que de ronger son frein et attendre le sort qui lui serait réservé.

Son inquiétude immédiate allait vers les autres accusés, dont le sort lui importait bien plus que le sien au final.

Elle avait écouté Tricia, qui avait pris la parole au nom de la vicomtesse Maud, et un fin sourire avait étiré son visage, le premier depuis bien longtemps. La paysanne avait du répondant. La jeune princesse de France reprit espoir, l'esprit bourguignon était bien là, malgré la défaite, malgré le sang coulé.

Son tour n'allait pas tarder.


_________________
Alexandre.


C'est au beau milieu de la confusion qui régnait en Bourgogne et à Dijon que Alexandre. reçu le message qu'il attendait.

Depuis qu'il avait appris la mise en procès, en vue d'une condamnation à la peine de mort de ses Frères et Soeurs Prélats du Diocèse, il avait demandé aux autorités en place d'être mis en procès lui aussi. Il avait du batailler ferme pour obtenir ce droit en solidarité avec les autres membres du clergé.

Il estimait que ces mises en procès étaient tout à fait injustes puisque les clercs n'avaient rien à voir dans la guerre de pouvoir et qu'ils consacraient seulement leur vie à prêcher auprès de leurs paroissiens bien loin des cardinaux de Rome.

Citation:
De Le tribunal du Comté Date d'envoi Le 02 Avril 1464 à 21h12
Objet Avis de plainte déposée à votre encontre
Expire le 24 Avril 2016
Par la présente, les autorités de police du Comté vous signifient votre mise en accusation.
Il vous est reproché notamment des faits de trouble à l'ordre public.

Votre procès commence dès aujourd'hui. Vous êtres prié de vous rendre au tribunal d'ici à deux jours ouvrables.

Pendant la durée de l'instruction, vous resterez en liberté.


Alexandre. se présenta devant le tribunal et il écouta l'acte d'accusation à charge contre lui avec au bout du compte la peine de mort déjà assurée.

Quand le Procureur eut fini son laïus, il répondit tranquillement et serein :

"Je suis prêt à mourir et à rejoindre le Très-Haut !

Que le Très-Haut vous pardonne vos péchés !"


Il n'avait aucun témoin à faire venir, seul le Très-Haut était témoin de ces faits et gestes sur cette terre devenue champ de ruine.

En attendant le second réquisitoire de l'accusation, il aperçut Poucelyna at Maud. Il se dit alors qu'elles seraient bientôt à la place du Procureur et du Juge, quand les Fatum partiraient et qu'il serait à nouveau mis en procès. Il n'était plus à une condamnation près...

_________________

blasone realizzato da Dama Puffetta in dono all'amico Alexandre. medalha oferecida por Dama Bandida Miranda Carvalho bannière réalisée et offerte par Dame
Claire_g












Euronium
Euro était à l'entrée, écoutant Atchoum tenter de faire comprendre à un pauvre gars l'expression "blanc comme neige".

Hé, Atchoum, oublie pas de lui dire que si on dit "blanc comme neige", c'est aussi car la neige ça dure pas bien longtemps. Et l'innocence non plus...

Fier de son explication, il jeta des coups d'oeil à droite et à gauche pour voir les réactions... Elles étaient inexistantes. Donc elles n'étaient pas, en fait.

Alors qu'il entamait son deuxième va-et-vient gauche-droite avec la tête, il remarqua la gamine, la duduche comme les autres l'appelaient.

Bah dis-donc, on pouvait dire ce qu'on veut, mais au moins elle était là.
C'était bien surprenant, compte tenu de ce qui l'attendait.

En avait-elle au moins conscience ?

Elle ne sourcillait pas, elle qui en temps normal aurait du être apeurée de voir tous ces brigands.
On aurait dit la cour des miracles, y avait plein de fous.
Il ne manquait que des infirmes, et c'était pas faute d'avoir essayé de recruter Clothaire pour étoffer la panoplie.

Si jeune et face à la mort, elle impressionnait Euro.
Il aurait bien tenté de lui épargner son châtiment qui ne tarderait à arriver, mais il était le Gardien de la Loi Populaire, pas de la loi des nobles.
Sans majuscules, car fallait pas déconner.

Puis, à nouveau à Atchoum :


Dis Tchoumtchoum, tu sais si ya aussi un droit de cuissage pour les condamnations à mort ? Car c'est un peu comme le mariage non ?
Si c'est le cas, je la plains vraiment la pauvre petite.
Le Joyeux là, il n'en a que le nom, mais c'est pas un tendre...
Maud
Il ne répondait pas et elles serait bien partie quand en se retournant, elle aperçut Poucelyna.
Avec un grand sourire, elle enleva alors le fichu qui retenait ses cheveux.

Je vous attendais Altesse royale. j'ai comme l'impression que la salle est bien chauffée pour la suite.
Et de nouveau à Durandal
C'est bien ma signature et vous avez de la chance que je n'ai pas ajouté ma devise "Mort aux brigands".
_________________
Durandal
Tricia lit à voix haute les mots de Maud.

La salle s'emplit d'un grondement indigné. Des vivats fusent. Une voix, venue du pays vaudois, s'exclame :


- JUGE, ACCORDE-LUI CE QU'ELLE NOUS RÉSERVE ! LA MORT !

L'immobilité du procureur et de l'accusée font revenir peu à peu le calme.

Visage impassible, lui n'est pas vraiment surpris de la déclaration. Elle est cohérente avec les affiches désespérément affichées un peu partout en ville.

Se lève de son siège avec calme, sourit doucement de la seule façon qu'il sait sourire : sincèrement.


- Tu peux t'en aller, Tricia, si c'est tout ce que Maud avait à dire.

D'un regard, signifie aux gardes que la paysanne est libre de partir.

Puis, s'adresse au public et à la Magistrate :


- Amis du Peuple, Peuple Libre de Bourgogne, Votre Honneur.

Que pouvions-nous attendre d'autre de l'ordre oppresseur : la noblesse despotique ? Elle juge illégitime la Justice du Peuple, et nous entendons bien son raisonnement.


La diction est calme et distincte.

Car Nous-même, Plèbe, jugeons illégitime le jugement des Noblaillons !

Et alors qu'il s'apprêtait à poursuivre son réquisitoire, un murmure parcourt une partie de la salle.

Tricia, en fait, c'est Maud.

Rebondissement !

Il masque mal sa défaillance.

Car il réalise que la moitié de son accusation, qui reprochait la lâcheté de Maud, s'effondre. L'archiduchesse s'est présentée en chair et en os, quoique déguisée.

Cette dernière salue Poucelyna. Tranquilou OKLM comme à la maison. Pendant que lui s'échinait à exposer son projet de société.


- Eh oh, on vous sert du vin, des petits-fours, ça va là ?
- C'est bien ma signature et vous avez de la chance que je n'ai pas ajouté ma devise "Mort aux brigands".

- Oué-oué, je tremble de peur...

Il a déjà l'esprit ailleurs, cherchant à reprendre là où il s'était arrêté.

Lumière soudaine dans l'œil. Raclement de gorge, et se remet en piste.


- Hem hem. Je disais donc...

Que votre sang consanguin juge sa cousinaille dans ses fiefs fleuris, nous nous occuperons du reste !


Le jeune procureur poursuit de sa voix grave, qu'il n'a pas besoin d'expulser en des beuglements pour être entendu.

Laissez-nous champs, mines, vergers, lacs et forêts. Laissez le peuple gérer le peuple, la justice, le commerce et sa sécurité. Nous vous laissons vos boucliers bariolés, vos armoiries qui rappellent atrocement à quel point vous êtes apparentés, et vos prédicats ridicules !

N'ayant pas pu terminer son powerpoint à temps, il espère que les images de son discours suffiront à inspirer la foule.

Laissez-nous la boue, la sueur, l'effort et l'humilité. Nous vous laissons la soie, le luxe, la paresse et l'orgueil déplacé !

Il cherche comment conclure sa diatribe. Pendant un moment, il pense à dire : « Laissez-nous vos têtes tranchées, nous vous laissons le reste de votre corps flaccide ! » mais il n'est pas sûr de la prononciation de flaccide. Il se contente d'un plus modéré :

- Gardez les symboles, l'apparat du pouvoir ! Nous, nous supporterons le fardeau du devoir !

Ça veut rien dire, mais ça rime.

Puis adopte un ton plus posé, et moins péremptoire.


- Votre honneur, nous requérons contre Maud la condamnation suivante : qu'il lui soit interdit d'éponger sa dette auprès du Peuple, en écus ou en jours de prison.

Que lui soit interdit l'accès à toute responsabilité, et qu'elle soit condamnée à l'oisiveté éternelle.

En rappel de son statut désuet, qu'elle porte des fichus assortis à ses chapeaux et à sa robe, aux couleurs vives de préférence ; qu'on l'appelle Votre Majesté et qu'un Premier Ministre fasse tout le boulot à sa place.


Et, retournant vers sa place.

Votre Honneur, Durandal, procureur de Bourgogne, terminé.

À vous le jugement.


Assis à sa place, le jeune homme scrute la file des accusés à venir, et sourit en apercevant la jeune duchesse déchue, et Alexandre, le curé défroqué.

Il a hâte que Desirade rende son jugement, et qu'il puisse passer à la suite.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)