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Salle de la Loi « Stronghold »

Lenada
Mais ou avait elle rangée cette foutue convocation... elle avait beau tout retourner, impossible de mettre la main dessus.

C'est alors que " Euréka " elle se souvenait, elle l'avait mis pres du feu pour l'allumer en cas de fraicheur nocturne. C'est munie de sa fameuse convocation qu'elle arriva au tribunal, elle y rencontra Maud et Minimoys la petite duchesse.

Elle sourit aux deux femmes, avant de reprendre un visage fermé, la Bourgogne n'avait que faire de ces mécréants et donc en venant devant eux elle leurs montait qu'ils ne lui faisait pas peur et que pour son Duché elle était prête à se battre encore et encore

Elle allait leurs montrer qu'ils pouvaient faire le coq devant les Bourguignons, les malmener même les faire souffrir, personne ne basserait les yeux devant eux

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Dolcevita
Le message avait été clair ... L'Ombre, avait demandé quelque chose d'assez compliqué à faire à une de ces personnes. La personne en question avait accepté, elle en avait marre de vivre cette situation, et qui plus est, marre de vivre, c'était l'occasion rêvée. Si les brigands ne tuaient pas cette personne, il aurait gagné et aurait de nouveau envie de vivre, sinon, ce n'était pas grave. L'Ombre fit une dernière accolade à cette personne en guise de remerciement. Il ne l'oublierai jamais et il espérait pouvoir le revoir. Des gens comme lui, il n'y en avait pas beaucoup.

S'avançant avec un faux acte d'accusation, monté de toutes pièces, il pu passer les gardes facilement. Il pu voir des têtes connues, du moins, quelques unes, comme celle de Lenada, ou de Poucelyna. Tous avaient un procès aux fesses. Tous allaient être mis en prison ou devoir payer des écus, certains demandaient même la mort. Heckart, la personne envoyée par L'Ombre, était rentré, dans la salle. Au lieu de s'installer convenablement. Il resta debout. Devant le procureur. Devant la Juge, qu'il regardait droit dans les yeux. Il se mit à crier en levant le point en l'air.


SUS A LA VERMINE !! SUS AUX BRIGANDS !!! SUS AUX FATUMS !!!! SUS AUX RENARDS !!!!!!!!!!!! SUS AUX SANS NOMS !!!!!!!!!!!!!!!!!!! MOURREZ TOUS ! AUTANT QUE VOUS ÊTES !

Voyant les gardes arriver vers lui, il finit juste sa phrase.

LA BOURGOGNE EST AUX BOURGUIGNONS !!! LES BOURGUIGNONS NE SE RENDRONT JAMAIS ! LA BOURGOGNE SERA LIBRE UNE FOIS VOS TROUPES DE MÉCRÉANTS MORTES !
Goliath
Goliath affairer dans son coin avec joyeux , fit un bond en entendant un malade se mettre a beugler.

Oh!!! CA VA PAS LA TÊTE????

Puis goliath s'approcha du procureur pour lui chuchoter à l'oreille:

sus aux Fatum , sus au Renard...mais pas sus a machin de l'ombre... bizzar ça on a justement eu quelques problème avec eux sur le marché avec ton PVC... étrange...

Puis il repris en regardant l'agité qui chercher à se faire remarquer:

c'est ça oui, sus Fatum, sus Renard etc....
T'es bien gentil mon p'tit pote mais moi je préfère les femmes
Poudevigne
Quel est le meilleur allié d'un brigand se demandait Poudevigne. Son intelligence ? Oui, certainement, car Poudevigne n'était point le genre de brigand que l'on rencontre tous les jours. Car lui restait encapuchonné tandis que d'autres se montraient au grand jour dans leurs pitreries. La stratégie de Poudevigne consistant simplement en de conseils fort avisés sur la manière de brigander. Quoiqu' il faille passer une porte pour cela. Mais une autre porte se refermait sur la stratégie lamentable des Fatums et des Renards. Peut être était-il temps pour eux de quitter la Bourgogne au plus vite avant de se faire laminer, car leur occupation devenait fantaisiste et qu'un piège allait se refermer sur ces rats.
Desirade
Désirade balaya la salle du regard, c'est qu'il commençait à y avoir du monde, mine de rien. La jeune femme paraissait calme et pourtant... pourtant sa tête bouillonnait. Il y avait du bruit. Beaucoup trop. Et ça lui donnait des envies de torgnolage intensif sur certaines figures qui semblaient n'exister qu'à cet effet.

Entre la paysanne qui braillait comme une chèvre, les manifestations dans le public et le bourguignol qui venait de faire son entrée en beuglant comme un veau qu'on égorge, y avait de quoi perdre un tympan. La Juge prit une profonde inspiration avant de prendre le marteau entre ses doigts pour rétablir l'ordre.


*PAN PAN PAN*


- Silence dans la salle !

Devant ce boucan qui n'en finissait pas, elle recommença.


*PAN PAN PAN*


- J'ai dit silence ! Nous ne sommes pas à la foire !


Trois secondes de réflexion avant d'ajouter.

- Même si quelques bêtes de concours viennent d'arriver.


Suivies d'une idée aussi lumineuse que l'illuminée Juge.

- La vente aux enchères ce sera pour plus tard !


*PAN*


Le calme enfin de retour, elle se tourna vers Durandal.

- Monsieur le Procureur, j'ai bien entendu votre réquisitoire. Merci.

Puis, haussant le ton.

- Nous allons rendre le jugement !

Un regard vers le Gardien de la Loi Populaire.

- Euro, dans cette première affaire, je vous laisse l'honneur de rendre un verdict. La parole est à vous.

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Ilays
Ils vivent dans le feu !

L’ordre de mission tout comme les nouvelles du jour étaient arrivé à la lionne Bénoïc. Une cousine presque en sûreté et un enlèvement/sauvetage à préparer. Tout ça pour ramener tout ce petit monde au même endroit. À croire que cette ville qu’elle avait quitté était devenue le centre du monde connu.
Le regard d’ébène parcourait une nouvelle fois le vélin. Avec la chance qu’elle avait ça allait partir en nouille cette histoire. Pas la première ni la dernière qu’elle serait dans sur devant de la scène. Et puis quelle scène, ou elle savait trouver sa cible. Ilays avait passé du temps dans les tribunaux, d’abord comme greffière, puis juge et enfin avocate, elle était implacable et d’une rigueur sans faille. Des qualités qu’elle avait su mettre en œuvre dans son autre job, celui de chevalier. Un paquet de casquettes pour cette femme au passé douloureux.

Elle passa une robe garance pour ne pas changer et glissa une main dans ses cheveux pour nouer brièvement sa crinière. Un baiser pour son mari et ses enfants, cette fois pas d’adieu, elle ne comptait pas crever là et pas pour ça. Le patron avait demandé et elle ne voulait pas le décevoir. L’épée à tête de lion sculptée et aux yeux de rubis, qu’elle avait du faire arranger à cause de ses trous du luc de Fatum, était porté fièrement à sa taille.
Comme beaucoup de personnes, elle glissa dans la salle pour assister à la farce juridique. En quelques secondes, elle examina la situation, les lieux et ferra sa cible.

Bon ben ya plus qu’à.

Et c’est ainsi qu’à l’instar des badauds, elle prit un air totalement absorbé par ce qui se passait pour se rapprocher d’elle.

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Dolcevita
Mine de rien, malgré son intervention plus que déplacé, aucun gardes n'est venu pour le stopper, mis à part un homme qui beugla, disant qu'il préfèez les femmes. De plus la "pseudo juge" demandait le silence, pour qui se prenait elle, celle là. Elle n'est rien. Et il allait lui rappeler de façon plus que déplacé. Mais d'abord, Eckart répondit à l'homme.

Vous êtes bien un porc. Comme tous les brigands de cette assemblée. Périssez tous !


Puis regardant la pseudo juge. Il y alla très vindicativement.

Et oh ! Madame la brigande là, qui se prend pour une juge là ! Vous n'êtes rien ici ! Donc c'est à vous de fermez votre clapet ! Prenez vos affaires et disparaissez, avant que je vous tue.

Sortant une dague. Il s'élança vers elle en courant. Aucun garde pour l'arrêter. Du moins pour le moment. Espérant réussir son coup de Maître, il était encore loin de sa cible. Est-ce que des gardes allaient se mettre sur le chemin ? Est-ce qu'on allait l'arrêter ? Pour lui plus rien ne lui importait. Espérant que cela donne des idées à tout les Bourguignons présent ici. Semer la zizanie ! Voilà ce qu'il voulait, montrer que personne ne se rend et personne n'acceptera la domination de Fatum ou des Renard. Même si tout les Bourguignons devaient mourir, personne ne se rendra ! D'ailleurs il était assez étonnant de voir que les Duchesses ici présente et autres personnes incriminées pour leur "méfait", car oui, il n'y a eu aucun méfait, juste qu'ils ne voulaient pas mourir sous le joue de brigands malfamé, et défendre leur terre, viennent de plein grès et ne tente rien. Sa vie valait moins que ceux qui était en jugement, elles devaient avoir de bonnes raisons de ne rien tenté, ce sont elles les têtes pressentent après tout. Il était de toute façon prêt à mourir. Dans son élan pour atteindre la Juge. Il cria.

GLOIRE A LA BOURGOGNE !
Elle66
la petite était venue pour voir du beau monde

Des duchesses, des capitaines, des gens de la haute... elle en prenait plein les mirettes et s'amusait beaucoup de comparer les vêtures des uns et des autres

C'était d'ailleurs la seule chose qui l'intéressait parce que les débats judicaires lui étaient tellement incompréhensibles qu'ils auraient aussi bien pu être en estranger


Cette paysanne ... macarel, elle est bien fraiche quand même... et ses mains.... lisses et blanches, c'est curieux


Ha la petite poucette ! Pfff faire une duchesse de cette caganis ! quelle idée... pas étonnant qu'ils aient pris une daube les Bourguignons

Et la juge... qu'elle est belle ! de sègur que sur un champ de bataille les drôles doivent juste tomber d'amour en la voyant !


Les hurlements de goret détournent son attention vers un ... un quoi au fait ?
Ha mais ! Quoi qu'il a çui là ?

Elle le regarde s'élancer et comme il passe tout juste devant elle, elle n'a qu'à tendre sa jambe serrée dans une haute botte

Nan mais t'es fada l'ami ? La guerre elle est finie ! T'es sacrément en retard !

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Dolcevita
La guerre fini ? Voilà ce qu'il entendit quand il tomba au sol. Mais la guerre venait tout juste de commencer ! La Résistance ! Elle croit quoi la gamine ? Que parce qu'ils ont prit la ville, personnes ne va leur mettre une branlé ? Se relevant, prenant son courage, car personne encore une fois n'intervient pour l'arrêter. Il reprend sa dague et cours vers le Procureur ainsi que la Juge, pour les tuer. Cela se voyait dans ses yeux, la rage, l'envie de leur faire couler leur sang ! Criant a plein poumons ! Insufflant le courage à ses alliés, il l'espérait du moins.

La guerre n'est pas fini ! La Bourgogne vaincra quelque en soi le prix ! Aucun Bourguignons ne se rendra jamais !

Il n'est plus qu'a une dizaine de mètre du bureau où sièges les deux brigands. Brigands qui n'ont rien à faire sur ce genre de sièges.

A mort la vermine !!!!!! VIVE LA BOURGOGNE LIBRE !!!!!!

Qui allait l'arrêter ? Si personne ne le fait, il n'aura aucun scrupules à les tuer !
Desirade
Alors qu'elle pensait le calme revenu, les beuglements reprirent de plus belle.

- Vache. Mais c'est qui ce branquignol, là ?

Il s'étale comme une crêpe mais rien ne semble arrêter ce Rambo en puissance. Impressionnant ! Il va falloir employer les grands moyens ! La brunette lève une main et appelle les gardes qui ont pour nom de code : les Tortues Ninja.

- Leonardo ! Michelangelo ! Donatello ! Rafael ! Emparez-vous de ce mariole et foutez-le dehors !


Et voilà les quatre hommes qui se jettent sur lui. Bim ! Bam ! Boum !

- Et faites lui goûter à la dolce vita, je suis sûre qu'il va adorer ça !

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Dolcevita
Le voilà, il arrive près, près de son but ultime, près de pouvoir les tuer, espérant insuffler l'envie à tout les Bourguignons de continuer la révolte, ne pas se laisser marché sur les pieds par des brigands malfamés, rien n'y personne ne prendra la Bourgogne, pas même ceux qui sont assis illégitimement sur le trône. Quant elle demanda à ses hommes de mains, cela avait l'air d'être des italiens à premières écoute, de s'emparer de lui, les voyant arrivé, il lança sa dague vers elle. La dague passa à quelques millimètre de sa charmante frimouse, la ratent de peu. Seul quelques cheveux ont pu être découpé et encore, ce n'est pas dit.

MOURREZ BANDE DE CHIENS DE FATUM !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Voilà les derniers mots qu'il pu dire avant de se faire attraper, frapper, martyriser, bref, il s'en prend plein la tronche, il a un beau coquard, même plusieurs bleu un peu partout, la scène est assez violente pour les enfants, ah mais oui, c'est vrai, les fatum recrutes même des enfants. Ils n'ont donc pas de honte ni de scrupules à le voir ainsi. A demi mort. Ses jambes frottant le sol, la tête basses vers le sol, et les gardes qui le traînent par les bras. Il avait échouer ... il s'en voulait, espérons que son acte face des émules.
Ilays
Tous les juristes, en tout cas les bons, pas les acteurs de drôleries, savent qu’une séance publique, c’est le foutoir. Celle-ci ne déroge pas à la règle et quand on a pas le charisme lionnesque, il s’passe quoi ? Exactement, ce qu’il se passe là. N’imp-or-te-quoi !
Cependant comme elle n’était pas le juge et que son rôle, aujourd’hui, n’était pas de coller Luc la Misère à la torture et au marquage au fer du magnifique écu comtois, elle en profita.
La plèbe est belle. Elle est même magnifique quand elle lui offre une occasion en or en plein esclandre. Quand profitant de l’intérêt soudain des autres pour un idiot, elle attrape le bras de la cible.
C’est pas qu’elle devrait offrir de résistance, mais dans le doute, tout en cherchant à la pousser rapidement vers la sortie la plus proche, elle lui souffle.


Nous vivons dans le feu.


Espérons qu’elle comprenne, car elle ne comptait pas commencer un colloque de plusieurs heures sur : « qui je suis, qui m’envoie et qu’est-ce qu’Il vous veut ». D’autant que de la dernière question, elle s’en moquait bien. Une fois la mission terminée, cette blonde ne serait plus le problème de la Comtesse.
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Bisac
Un agitation troublait la quiétude habituelle du Palais de Justice. Les murs et décorations officielles semblaient tressaillir au rythme des cris et vociférations qui sortaient de la salle d'audience.

Le bruit de la canne, qui ne la quittait désormais plus, accompagnait un Bisac claudiquant sur les pavés du Tribunal. Un capuchon couvrait son visage. S'approchant de la salle d'audience, il se mit de côté quand des hommes d'armes sortirent avec force de la salle un individu, inconnu(e), Aymeri pénétra dans pièce, noire de monde. Il se glissa dans les derniers rangs, entre deux curieux. Lui aussi voulait bien voir ce qu'était ce fameux tribunal populaire. Appuyé sur canne et le dos contre le mur, il cherchait des yeux une personne ... Cette dame qui l'avait rejoint il y a plusieurs semaines dans son château de Chevenon pour une étonnante visite de la bibliothèque seigneuriale.

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"Ne croyez donc jamais d'emblée au malheur des hommes. Demandez-leur seulement s'ils peuvent dormir encore ? ... Si oui, tout va bien. Ca suffit."
Poucelyna
La duchesse déchue assistait, l'air indifférent malgré le fait qu'elle bouillait intérieurement, à l'agitation générale. Elle détestait les individus qui cherchaient la gloire et se comportaient en justiciers du dimanche. Ce qui était le cas de Dolcevita qu'elle rangea immédiatement dans la catégorie des imbéciles et des benêts en mal de gloire.

Le château était tombés, la Bourgogne n'était pas en état de jouer à la maligne. Cela n'empêchait pas les bourguignons présents d'avoir organisé une résistance et de garder la tête haute face à l'adversité.

Elle observa le trublion en mal de gloire se faire tabasser, se retint de lever les yeux au ciel face à la bêtise humaine puis demanda à son page d'installer son petit deux-marches afin de monter dessus, ce qui lui permettait malgré sa taille encore réduite puisqu'elle n'avait pas fini sa croissance d'être à bonne hauteur pour être entendue. Son tour était venu
.

J'offre ma tête en échange de la relaxe de tous les bourguignons et étrangers ayant participé à la défense de Dijon.

Là. C'était clair, net et sans appel. L'air dégagé et serein, la princesse de France toisait ses bourreaux sans sourciller.

Alors que le grabuge battait son plein et qu'elle ignorait si elle avait été entendue, elle sentit quelqu'un l'attraper par le bras et la tirer contre elle.

Les sourcils de la jeune fille se froncèrent quand elle entendit la devise de la garde palatine soufflée à son oreille qu'elle reconnut pour l'avoir déjà lue dans les annonces. Elle murmura en retour.


Je ne veux pas être une duchesse en exil didju! je suis bourguignonne!

Se sentant poussée vers la sortie, elle ne pouvait offrir la moindre résistance. Sur l'instant la colère de la jeune fille se dirigeait vers une seule personne: celui qui qui ne pouvait qu'être à l'origine de cet enlèvement. Son identité ne faisait aucun doute, et Il allait l'entendre. Dans l'immédiat, quelquel mots incompréhensibles s'échappaient de temps à autre des lèvres de la Mirandole. Grumph....
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Maud
Un vrai foutoir.. Après avoir fait son "coming out" en plein tribunal, maud s'était evidemment et instinctivement rapproché de l'altessounette.
Un coup d'oeil pour s'apercevoir qu'elle était venue avec son marche pied et elle réprima un " Bien parlé Altesse royale". Ca ne servait à rien de provoquer davantage la vermine.


Ce fut bien plus une inconnue qui empoigna le bras de l'altesse pour la tirer vers la sortie qui intrigua Maud. Elle n'aimait pas ça du tout Maud. Risquer la vie de la duchesse, c'était idiot! En même temps, si elle arrivait à s'enfuir du tribunal sous le nez des ennemis, pourquoi pas? Sauf qu'à la mine de Poucelyna, maud vit bien qu'elle était en colère...

Elle se dirigea alors vers la sortie et répéra ... Aymeri! Il était venu... Elle se glissa vers lui.. Plu personne ne faisait attention à elle depuis l'entrée de la duchesse, de certains ex élus et de ce Dolcevita qui en faisait un sacré paquet. Aymeri était-il là depuis le début? L'avait-il reconnue sous son déguisement? Elle n'avait plus son fichu et ses cheveux roux défaits encadraient son visage sali..
elle lui chuchota
" Mon aimé, on enlève son altesse royale!"
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