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Salle de la Loi « Stronghold »

Ilays
Voilà que la cible était du genre à avoir un sens moral aiguisée. Comme si elle ne pouvait pas se contenter d’être une blonde moyenne à faible poitrine. Ouaip car au premier coup d’œil on voyait bien que la nénette elle avait pas les longues années d’expériences de la lionne.

Bon, sinon, comme les fatums ça pue du luc, mais ça on l’a déjà écrit, ilays appuyais avec plus de force sur le bras frêle qu’elle n’avait pas lâché.


J’me fou d’vos états d’âme.

Non mais merd’ yen a qui ont des missions à remplir et des gosses à revoir avant de crever. P’tain, elle dirait au patron qu’elle était même pas aussi belle qu’elle au même âge la dudu. Si elle avait su à quoi il jouait, pas sûr qu’elle aurait été là, du genre à marmonner pour l'heure : Si j’aurais su, j’serais pas v’nu.

L’épée encore dans son fourreau. Fallait bien la jouer scred au max. La comtesse de Baelen poussait la duchesse. Nouvelle cible fixée, la porte. Droit devant. Sans obstacle : pour le moment.

Fissa de retrouver "nuit", le pur-sang arabe noir toujours pas cané depuis le temps, les guerres et les missions, D’y foutre la (les) blondes dessus et au galop direction le centre du monde libre.

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Durandal
Tout se passe très vite. Ses yeux sont rivés à la file des accusés de marque. À laquelle s'est ajoutée une des rares victimes de son épée : la baronne Lenada.

Puis, un fanatique maladroit la ramène.

Beugle, s'agite, et s'étale.


- Beau croche-patte ! à la crevette, avec clin d'œil et pouce levé.

Mais l'insignifiant se relève, reprend sa course vaine avant de se faire embarquer.

Trois onomatopées. On en parle plus.

Durandal se tourne alors vers le Gardien de la Loi, qui rend son jugement concernant Maud.

Et c'est au tour de Poucelyna.

Page, marche-pied, et voix juvénile.


- J'offre ma tête en échange de la relaxe de tous les bourguignons et étrangers ayant participé à la défense de Dijon.

Le genevois se lève de son siège, et prend la parole au milieu du tapage assourdissant.

- N'en dites pas plus, Ta Grâce Impériale, j'ai r'çu des instructions vous concernant.

Sourire torve, et s'adresse maintenant à l'ensemble de la salle.

- Peuple de Bourgogne, Votre Honneur et tous les autres. Mes amis. Ouééé, j'sais, tout l'monde rêvait de s'payer la tête de la mouffette...
- C'est mouflette ! une voix anonyme, de l'assemblée.
- Peu importe l'animal !

Silence bref.

- Beaucoup voulaient la voir danser au bout d'une corde. Mais nous avons reçu des instructions.

Pause.

Suite à un accord passé avec Nous, Fatum et Renards, la mouette sera épargnée et passera outre la Justice du Tribunal Populaire, qui continuera à statuer implacablement pour le reste de la plèbe bourguignonne !

Baisse des yeux brillants d'insolence sur la fillette, mais ne la trouve pas. Elle doit être au milieu de la foule... du haut de ses trois pommes, facile de se faire oublier.

Il hausse la voix, pour être sûr qu'elle entende ses derniers mots.


- Pas b'soin d'nous donner ta tête, Votre Grandeur. T'as négocié pour ta peau, et apparemment, t'as payé le prix que nous voulions !

Puis, aux gardes qui ont fini de jeter dehors l'énergumène.

- Laissez partir la Duchesse déchue ! Elle est libre, et ne sera pas même jugée ! J'ai dit !

La foule réagit.

Le brun reste debout.

Jette un coup d'œil à son oiseau, qui remet de l'ordre dans ses plumes.

Et il reprend, après avoir laissé à chacun le temps d'accuser réception.


- Puisque nous en sommes à statuer sur le sort des personnes bénéficiant de passe-droits, causons maintenant d'Alex !

Demande aux gardes de faire avancer Alexandre face aux membres du Tribunal Populaire : la Juge, tout à fait à droite, le Gardien de la Loi, au milieu, sur le piédestal le plus élevé, et lui-même, à gauche.

- Alex, t'as allongé l'blé pour qu'on t'mette en accusation, mais t'as pas voulu payer l'package complet, comprenant réquisitoire et jugement.

Moue déçue.

Du coup, pour des raisons déontologiques, j'demande ta relaxe pure et simple. T'es notre pote après tout, on va pas t'condamner, quand même !

Lui fait un clin d'œil.

- À moins qu'Alex, tu te décides à payer, c'est maintenant au tour de la vicomtesse Lenada !
Scipi
Le jeune homme arriva dans le tribunal pour connaître le verdict.La réponse fut claire et précise.Elle ne sera pas pendu car elle a passé un accord.Mais quelle accord?La curiosité du jeune homme l'emporta. Scipi était très étonné du verdict

Comment la Duchesse Déchue de Bourgogne as-t-elle pu passer un accord avec des brigands ? Quel est cet accord pour que vous la laissiez vivre ? La Duchesse Déchu est donc une traitresse ? Un accord pour sauver sa peau?

Le jeune attendait de pied ferme la réponse.
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Bisac
L'agitation s'accrut davantage encore. La Duchesse fit acte de bravoure en proposant son sacrifice pour la relaxe des défenseurs de la capitale. Dans le brouhaha perpétuel, les bousculades légères et les têtes qui tentaient de se hisser pour voir ce qui se passait sous la chaire des juges, la Duchesse disparue. Les juges délaissèrent la disparition soudaine et, alors qu'Aymeri ne voyait que peu de chose des perturbations actuelles, une voix connue vint résonner à ses oreilles. Maud. Sa chère Maud. Le visage sali et vêtue de frusques datés elle s'approcha. Il n'était présent que depuis peu. S’interrogeant d'ailleurs sur les causes qui avaient amené la Vicomtesse à paraître à son factice procès dans un pareil accoutrement, il lui dit.

Mon aimée, quel plaisir de te revoir malgré les tristes circonstances.

Un sourcil interloqué se leva.

La Duchesse enlevée ? - Bisac suivit des yeux le regard de Maud. D'un signe de tête entendu, il s'éloigna de Maud après lui avoir déposa un rapide baiser. Tendre marque d'affection passée surement inaperçue tant la salle bouillonnait d'une agitation incongrue.

Claudiquant sur sa canne, il tentait de se rapprocher du curieux duo formée par la Duchesse et ... son ravisseur ? Déjà proche de la sortie, Bisac parvint à s'interposer entre la porte et le surprenant couple. Les brouhahas couvraient leurs paroles aux indiscrètes et trop éloignées oreilles.

Un instant. Où allez-vous ainsi d'un si bon pas ? Pour votre gouverne, Son Altesse ne va nulle part pour l'instant. -Lâcha Bisac d'un ton sec. Il ignorait p la cause de ces évènements et, selon sa chère Maud, on était en train d'enlever la régnante légitime du Duché.

Appuyé sur sa canne, en convalescence depuis les affrontements, sans arme, Bisac était certes un bien frêle rempart. Nonobstant, le chancelier de Bourgogne ne comptait point voir la Duchesse ainsi disparaître.
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"Ne croyez donc jamais d'emblée au malheur des hommes. Demandez-leur seulement s'ils peuvent dormir encore ? ... Si oui, tout va bien. Ca suffit."
Dolcevita
Après avoir appris la disparition d'Eckart et au vu de la missive de Maud, l'Ombre de Dijon n'eu pas trop voulu venir au tribunal. Pas envie de se faire attraper diront nous. Ce n'est pas pour autant qu'il n'envoya pas son homme de main. Cette fois si uniquement pour savoir ce qui ce passait, pas pour faire d’esclandre. L'homme de main arrivait pile au moment où la Duchesse déchue dit quelle vendait sa tête contre toutes celles des Bourguignons. L'homme de main versa presque une petite larmes, elle faisait ce qui était bon pour son peuple. Mais l'euphorie tomba rapidement quand la Duchesse fut "enlevée" et surtout au vu de la réponse qu'a émise le .. brigands, surement le procureur ou le juge, il ne savait pas trop, qui avait fais tombé bien bas le masque de la Duchesse, montrant sa félonie ... essayant de ce montré devant la Bourgogne, son tour de passe passe fut détruit par le brigand.

L'homme de main était vraiment très en colère par cette nouvelle, au moment où il voulu plus de renseignement, un homme à demandé quel était cet arrangement. Il allait en rajouté une couche. Car là ce n'était pas clair !


Oui ! Dites nous messire Brigand dont je ne connais pas le nom ! Dites nous tout. De quoi parlez vous quand vous dites que la Duchesse à négocier sa peau ? Quel est l'arrangement ? Ne nous laissez pas sur notre faim, la Bourgogne aimerai savoir ! De quel prix vous parlez ? Non pas que je souhaite voir la Duchesse jugée, elle a encore de beaux jours devant elle. Car là clairement vous dites que c'est une vendu ! Vous insulté une Duchesse et une Princesse.

Sans avoir été désagréable, il avait posé une question dont il aimerai bien avoir la réponse. Il ne veut pas finir comme Eckart qu'il a vu plus loin ... dans un sale état.
Maud
Un sourire éclaira son visage sous le baiser, il devait certainement se demander ce qu'elle faisait accoutrée de la sorte, mais il répondit comme un homme et bourguignon devait l'être, et s'approcha de l'étrange couple formé par Poucelyna et cette inconnue. Elle n'était pas vraiment en meilleur état physique que lui, mais assez quand même pour se poster en renfort juste derrière lui. Indifférente aux billevesées élucubrées par le procureur.
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--Dudu
Ils l'interrogent, et nul ne répond à sa place.

Personne ne se défend de ses allégations.

Car l'estoc de la Vérité est imparable.

Aux marginaux qui attendent son explication :


- Vous m'avez pris pour qui ? J'suis qu'un exécutant, un serviteur du Peuple et de sa Libération.

Demandez directement à l'intéressée, elle saura mieux vous répondre que moi.


D'une voix traînante et pleine de morgue. Signe de son agacement profond à devoir se justifier.

Puis, ses traits se détendent et un peu, et la voix devient plus légère.


- 'Fin, j'sais pas si j'aurais foi en sa parole. C'pas la même qui vous parlait de victoire la veille de la défaite ?
Dolcevita
L'homme de main de l'Ombre de Dijon, le regarde sans aucun ménagement.

Vous n'êtes qu'un exécutant et pourtant vous savez beaucoup de chose. Donc parlez, je ne pense pas que la Duchesse nous dise quoi que ce soit à ce sujet.


Puis en passant, il lâcha une vérité.

Si vous étiez réellement un serviteur du Peuple et de sa Libération, vous ne mettriez pas tout le monde en procès. N'affamerez pas les gens et les laisserai travailler. Or ce n'est pas le cas. Donc si vous êtes un serviteur du Peuple et de sa Libération, parlez !


L'homme de main n'avait pas pour but de faire d’esclandre, mais cette nouvelle le rendit fou. Il regarda l'homme dans les yeux, sans sourciller. Comme pour lui lancer un défit, le défit est simple. Pour une fois brigand, fait réellement ce que tu défend. N'ai pas peur d'une enfants, et parle.
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