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[RP] Terreur de Loup Garou

Jolan.de.vaucanson
Le jeune Vaucanson avec son petit canif taillait des branches de bois afin de s'en faire des flèches, comme chaque jour qu'Aristote faisait, suite à cela Jolan s'entrainait au tir à l'arc son sport favori. Quand soudain un vieux prédicateur harangua la foule, pour annoncer qu'un grand malheur allait s'abattre sur le village.

- "Encore un fou."

Dit-il, avant de décocher une flèche en plein centre de sa cible.
Le jeune homme regardait les autres villageois qui s'interrogeaient sur cette annonce, d'autre, qui comme lui, s'en contre fichaient et vaquaient à leurs occupations.

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~~ ~~
Frère Walde (MDJ), incarn
[RP: Terreur des Loups en Artois -/- Acte 1 - Suite de la première journée - Taverne du Bwork brûlé]




Frère Walde déambula dans les ruelles, muni de son bâton de pèlerin, observant les bâtisses et notamment l’étonnant grenier à sel, du village. La bâtisse permettait de conserver les produits de la pêche, morues, rougets, harengs en autre.


Dans le tournant du bâtiment, il heurta de plein fouet une villageoise qui courait. Une petiote âgée d’une dizaine d’années, peut être moins, vêtue d’une robe de toile simple et de sandalettes en cuir brodée. Son visage ouvert ne présentait aucun signe distinctif, hormis un regard pétillant d’intelligence, un léger nez retroussé et une fine cicatrice au menton … sans doute due à une autre galopade du même genre … Arfff ces garnements ... En tout cas, cette petite sauvageonne fut fort surprise de se retrouver les quatre fers en l’air tandis que le moine, beaucoup plus robuste, était encore debout. Après quelques marmonnements … excuses de politesse, peut-être … Cette dernière s’éclipsa bien rapidement.


Sa nuque le picotait légèrement … une sensation d’être observée, voir même suivi. D’ailleurs il l’avait ressenti après avoir quitté les marches de l’église … il jeta un regard discret, derrière lui, et eut le temps de distinguer une silhouette féminine nattée. Songeur, il gratta sa barbe puis poursuivit son chemin. Il en aurait le cœur net sous peu.


Frère Walde arriva donc à l’auberge du village avec l’espoir d’y trouver de quoi se loger et se remplir un peu la panse. Malgré cette nouvelle bien sinistre à communiquer, il n’en avait pas perdu l’appétit… Hé, c’est que le route, cela creuse et pis un tel gabarit doit bien se nourrir.
Il s’arrêta devant la grosse porte en bois, leva la tête afin de lire le nom de cette auberge.






La taverne du Bwork brûlé… Tiens, sans doute de nouveaux propriétaires, je ne me rappelais pas de cet intitulé… étrange nom… enfin, voyons donc ce qui nous attend là dedans, murmura l’homme, avant de s’engouffrer à l’intérieur.

Quelques badauds occupaient l’une des tablées à droite et plus loin, semblait être la zone des piliers de comptoirs. Une mélopée flottait dans les airs… quelques villageois s’exerçaient en pirouettes acrobatiques, d’autres au bras de fer, et plus loin un petit groupe jouait aux cartes, D’alléchantes odeurs titillèrent ses narines … un cochon bien gras rôtissait dans l’antre. Hum cela, par contre était de bon augure pour ses papilles et l’intéressait au plus haut point.


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Il avança vers le fond de la salle. La lourde porte derrière lui claqua d’un coup sec. Une autre personne venait d’entrer à sa suite. Sa nuque le picotait à nouveau … la sensation d’avoir été suivie se confirmait… Une frimousse pleine de tâche de rousseur l’aborda avec une familiarité bien désinvolte. Ah, l’impulsivité de la jeunesse, songea-t-il… Ce village n’en manque nullement… Il ne quitta pas des yeux la jeune femme à la natte, attentif à son flot de paroles… Quel débit…Que d’interrogations ...

Bonjour! Je suis Sveltana, j'étais là tout à l'heure. Asseyons- nous voulez vous?
Je pourrais peut être vous offrir un verre aussi?


Levant la main, elle commanda derechef de quoi se désaltérer et enchaîna pendant qu’ils se dirigèrent ensemble vers une table avoisinante.

Donc si j'ai bien compris, la mort rôde au village?
Pourtant il n'avait jamais eu de problème auparavant, des gens meurent et d'autres arrivent. Qu'est ce qu'il y a de si grave ?



Le moine esquissa un sourire grave, apposa un doigt sur les lèvres de Sveltana pour l’interrompre. Ce n’était pas l’heure d’être l’objet de curiosité des autres convives… Peut-être que certaines créatures étaient déjà là… Un accident est si vite arrivé. Il s’exprima d’une voix forte et fit comme s’il la connaissait depuis toujours aux yeux des curieux qui avaient déjà tourné leur tête en leur direction.

Allons, allons ma chère Sveltana, grave, grave, toute chose trouve une solution dans la vie, ne vous alarmez point. J’ai dis cela pour vous intriguez, mon amie et vous invitez à me rejoindre et c’est chose faîte, n’est-ce pas ? La mort rôde partout, hein, toute le monde meurt un jour… vous, moi, ainsi en est la vie … Vous avez de magnifiques tâches de rousseur, le saviez-vous ? Oui, vraiment cela vous va à ravir …


Ces derniers compliments bien appuyés furent succédés de rires forts du moine … espérant ainsi avoir détourné l’intérêt des curieux sur les premières paroles de la jeune femme et laissant ainsi entrevoir une conversation tout à fait anodine parmi tant d’autres … Le brouhaha reprit d’ailleurs peu à peu dans la salle, certains visages se détournèrent de l’étrange duo que faisait Sveltana et le frère Walde.
Ce dernier prit place à l’une des tablées, invitant la demoiselle à en faire de même avant de reprendre la parole. Il déposa sur le banc sa besace et son bâton de pèlerin puis balaya la salle d’un regard circonspect, s’arrêtant un instant pensif sur l’un des hommes près du bar ensuite d’une voix basse, s’adressa de nouveau à Sveltana.




M’enfin, demoiselle, vous désirez créer une panique en ces lieux !!!
Quelle impétuosité, et fougue mais ne savez-vous donc pas que la patience est une vertu, et qualité fort utile pour éviter de se trouver dans d’inexplicable et dangereux bourbier…

Attendez donc, comme vos concitoyens, inutile d’alarmer à tout vent. De surcroît cela pourrait attirer d’autres vautours qui viendraient s’en délecter. Je préfère point me répéter et encore moins passer pour un vieux fou mais ce que je peux vous assurer, adorable demoiselle, c’est que ce problème concerne toute la populace de ce village, personne ne sera épargnée si nous ne faisons rien.
Personne, vous m’entendez ? Personne !
Ah, mais je commence déjà à vous répondre, je vais m’arrêtez là avant de vous en dire trop … et …


Nouveau regard circulaire puis il élèva la voix, tout en attrapant sa chopine d’une main.

Et pis, j’ai faim, demoiselle ! N’avez-vous point vous aussi envie de goûter à l’une de ses tranches de lard que l’on propose en ces lieux ou de ses fameuses crêpes aux orties ? Allez, buvez votre chopine, trinquez avec moi, et accompagnez moi donc.
Nous ferons ainsi plus amplement connaissance et vous me raconterez ce qui vous a amené en cette bourgade.

D’ailleurs, je constate mon impolitesse, je ne me suis point présenté à vous. Veuillez m’en excusez. Demoiselle Sveltana, je me nomme Frère Walde. Allez à la bonne votre !



Frère Walde se tourna vers le tavernier.


Tavernier ! Deux plats du jour pour nous et rajoutez nous donc deux autres coupettes, je vous en serai grès. De la cervoise bien fraîche, hein !


Il ne fut pas mécontent de ne point manger seul. En outre, cette jeune femme pourrait s’avérer d’agréable compagnie… mais… il l’observa soudain à la dérobée, une lueur inquiète traversa ses yeux… et si sous ses innocentes tâches de rousseur, se dissimulait l’un des envoyés du Sans Nom… Bien, hummm, guère besoin de s’affoler pour l’instant, la nuit n’était point encore tombée, il ne courait donc aucun risque… Le rendez-vous était dans trois bonnes heures avec le reste du village et il était dans un lieu public truffé de témoins. Il aurait le temps de voir venir et de réfléchir à la manière d’annoncer tout cela.







[HRP ON : Je n’ai nommé personne dans la taverne, (sauf Sveltana vu qu’elle accoste le frère Walde^^) à vous donc de vous y incorporer si certains préfèrent être déjà sur place (jouant un des curieux, un des badauds, un des danseurs, plein de possibilités ) ou bien, venir dans celle-ci à l’heure fixée suite à la première annonce du Frère Walde sur les marches de l’église, lors du marché… ou encore être la petite sauvageonne, qui se retrouve les quatre fers en l’air bref faîtes votre sauce. Il peut même y avoir des retardataires, hein^^ qui arriveraient donc après la seconde annonce du frère Walde ... Laissez votre imagination faire son office.
Tout le monde connaît son rôle à part les zamoureux mais cela ne saurait tarder.
Pensez à faire interagir vos personnages ça permet au rp d’être plus vivant… allez hop, tous à vos plumes et faîtes nous transporter dans un autre monde^^ Ne vous tracassez pas des fautes orthographiques ou de votre style, l’essentiel est de prendre plaisir à écrire et de participer. Bon jeu et à très bientôt. / HRP OFF ]
Damefrenegonde


Fréné avait attendu impatiente que le clocher sonne enfin les trois coups de l'après midi pour se rendre à la taverne.
Arpentant les ruelles étroites elle songeait toujours au discours du veillard et ses mots résonnaient encore dans son esprit.
Elle voulait vraiment avoir une explication, ce n'est pas qu'elle était crédule mais ce visage criant de vérité laissait perplexe...
Arrivée devant la bâtisse la belle jeta un coup d'oeil sur la pancarte de bois et lu le nom et regarda amusée le dessin qui l'illustrait. Drôle d'endroit pensa t elle...Vraiment toute cette histoire était remplie de mystère.
Prenant une grande inspiration elle poussa la porte massive et s'engouffra à l'intérieur l'air inquiet...
L'auberge était bien animée : des petits groupes jouaient aux cartes en hurlant de temps à autre sur un qui avait triché, d'autres préférant le comptoir et la compagnie de l'aguichante tavernière descendaient des tonneaux entiers d'alcool.
Ne se sentant point à l'aise la belle se faisait discrète et cherchait du regard le fameux messager.
Mais dans une telle foule difficile de se repérer...Elle avanca doucement, se faufilant entre quelques badauds qui ne manquèrent pas de l'interpeller, sans y prêter attention elle continua son chemin de croix et aperçut enfin le dit homme.
Il n'était pas seul, une jolie jeune femme coiffée d'une natte l'accompagnait. Fréné se demanda alors si elle pouvait se permettre d'avancer et de les interrompre, peut être parlaient ils de choses qui ne la regardaient pas et déranger n'était pas son genre.
Telle une ombre elle se colla contre un mur face au couple en espérant que le vieil homme la remarque...

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Sveltana, incarné par Enelos


La jeune femme était frappée par l'arôme de la viande grillée et du pain tout juste sortit du four qui flottait dans l'air. Elle avait l'eau à la bouche en voyant des tourtes qui refroidissaient, posé
sur le rebord de la fenêtre. Son ventre grogna, comme pour l'avertir qu'elle n'avait pas encore prit son déjeuner. Des serveurs entraient et sortaient en coup de vent des cuisines par une porte battante, balançant à bout de bras des plats chargés ou dépouillés de nourriture. Des badauds du village riaient à gorge déployée à des blagues idiote et stupide. Les femmes quant à elles, étaient toute assise au comptoire, plongées dans les ragots du village. Svelatana ne prêtait guère attention aux rumeurs qui courraient sur elle, elle avait d'autre chat à fouetter. Certains autres hommes faisaient des duels de force et certaine accrobaties. Mais dans quel endroit était-elle encore tombée? Cette auberge ne lui disait rien de bon, jamais elle ne s'aventurait dans ce genre d'endroit.

A peine eut-elle finit sa phrase, que l'homme lui posa son doigt sur la bouche pour la faire taire. Quoi ?
La jeune femme haussa un sourcil interrogeateur et eut un mouvement de recul quand l'homme commença à parler tout fort, comme s'il l'a conaissait depuis toujours.
Les joues de Sveltana s'enflammèrent, lui laissant une jolie teinte rosé, quant elle s'apperçut que tout les badauds du coin s'était retournés vers eux, les dévisageant de leur regard grossier. Puis le vieux rit aux éclats lorsqu'il la complimenta sur ses taches de rousseur. Peut être faisait-il exprès de parler si fort, pour montrer aux villageois qu'il n'y avait rien d'important dans leur conversation. Cela eut son effet car après quelques minutes, les villageois s'étaient retourné à leurs occupations.

euuh je ne vois pas trop le rapport avec ce que vous disiez tout à l'heure...

La jeune femme s'assit à la table à côté avec le vieil homme, curieuse de savoir s'il allait en dire plus.

M’enfin, demoiselle, vous désirez créer une panique en ces lieux !!!
Quelle impétuosité, et fougue mais ne savez-vous donc pas que la patience est une vertu, et qualité fort utile pour éviter de se trouver dans d’inexplicable et dangereux bourbier…

Attendez donc, comme vos concitoyens, inutile d’alarmer à tout vent. De surcroît cela pourrait attirer d’autres vautours qui viendraient s’en délecter. Je préfère point me répéter et encore moins passer pour un vieux fou mais ce que je peux vous assurer, adorable demoiselle, c’est que ce problème concerne toute la populace de ce village, personne ne sera épargnée si nous ne faisons rien.
Personne, vous m’entendez ? Personne !
Ah, mais je commence déjà à vous répondre, je vais m’arrêtez là avant de vous en dire trop … et …


La jeune femme garda le silence, se penchant pour mieux entendre; apparement, tous le monde aller mourir. Le ciel leur tomberait-il sur la tête?! Svel commença à s'agiter sur sa chaise, mal à l'aise.
Donc vous êtes entrain de me dire que tout le monde va mourrir! Mais il faut le dire à tout le monde ! Il faut les prevenirs !
Puis, la jeune femme se retourna, s'adressant à la foule.
Ecoutez moi ! Tout le monde va....
Ses mots restèrent en suspent alors qu'elle fut interrompi par le vieil homme qui leva son verre et lui proposa de manger un petit quelque chose.
Svel resta bouché bée pendant un court instant, mais se reprit en main quant elle s'apperçu qu'elle devait être ridicule à ne rien dire.
Oh je n'osais vous le demander, mais j'ai une faim de Loup! Je pourrais manger un boeuf entier, voyez vous, avant votre intervantion au marché, j'étais en train de négocier mon repas du midi! Svel leva son verre A votre santé messire ! et bascula sec sa cervoise le long de son gosier qui la rafraichit aussitôt.
Ahh ! Vous êtes donc moine,Frère Walde ! J'ai déjà rencontré des moines mais jamais je n'en avais vu de si près !
Svel essaya de lui donner une bonne impression en lui souriant, mais au fond, elle trouvait sa louche qu'un moine vienne trainer dans ce village perdu au fin fond du royaume. Et pour rajouter à tout ça, il venait les avertir que la mort rôdait. Cela ne présageait rien de bon.
Laureline_squire
la.princesse.rose:





[[Il était une fois......]]

Une petite fille que l'on appelait princesse rose,
on lui avait donné ce nom parce sa maman lui avait offert une très jolie houppelande rose.
Au village, quand on la voyait arriver, on disait: Tiens voilà la princesse rose

Ce jour là…

Après moult négociations avec sa mère, la blondinette avait réussit à obtenir l’autorisation de sortir et d'accompagner celle-ci pour se rendre au village.

L'enfant trop pressée pour attendre, promit de se méfier, puis toute joyeuse, elle mit sa cape rose, ses bottes roses et elle prit son petit panier.
Ne parle à personne si tu ne connais pas lui recommanda sa mère. Et si je ne te retrouve pas reviens avant la tombée de la nuit, lui avait elle dit.
La petite princesse rose lui donna un gros baiser et partit au devant de celle-ci en sautillant.

Arrivant sur la grand place la gamine y trouva une foule de monde et au centre de cette dite foule un vieil homme, surement un crieur de rue comme on en croise beaucoup, mais celui-là n'annoncer rien de bon.
Chipie pour mieux voir et mieux entendre, se faufila et bouscula les grands pour arriver tout au devant de l'attroupement.

Le vieil homme prononcer des mots qui faisait frémir la môme.
Des mots tel que sinistre, terrible nouvelle, ou encore oiseau de mauvais augure, L'heure est grave mais aussi et celui terrifia la fillette qui resta figé sur place La mort rôde...
Suite à cette annonce glaciale chacun eut sa réaction, certains badauds continuèrent à vaquer à leurs occupation, d'autres se mirent à paniquer et les commères suivirent l'homme pour essayer d'en savoir plus.

Quand à Chipie la princesse rose, enfin la pour le coup elle était plutôt blanche la princesse, elle resta figé sur place, pale comme la blancheur d'une colombe, comme si elle avait vue un fantôme, et la phrase la mort rode tournant encore et encore dans sa petite tête blonde.

Au bout de plusieurs minute l'enfant repris ses esprits, toujours blanche colombe mais bien décider à retrouver l'homme la ou il avait dit et à l'heure donnée, pour en savoir plus, et comprendre ce que cela voulait dire.

Mais pour l'heure il fallait retrouver maman et la convaincre, puisqu'elle savait ou trouver le vieil homme et à quelle heure, mais qu'elle ne voulait pas s'y rendre seule.




l'intro de mon rp est tiré du petit chaperon rouge que j'ai remplacé par la princesse rose... un petit clin d'oeil au vue du jeu et parce que ma chipie en à des airs ...


Édit et rajout : la suite sera sous pnj signé la princesse rose ...
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Nirina
Nirina se rendait au haras pour soigner les chevaux que Vénusia et elle avaient sauvés d'un incendie ,quand elle aperçut un vieil homme qui tenait des propos étranges.....
il racontait partout que la mort était présente ,il donnait rendez-vous à ceux qui voulaient savoir...

Elle avait déjà connu la crainte et l'angoisse , elle en avait vu des illuminés et des excentriques....
Néanmoins elle écouta ce que l'homme avait à dire jusqu'au bout .

Nirina adorait les mystères, elle n'avait pas vite peur , elle voulait en savoir plus!!!!
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Nefi
maman de la princesse rose ça a pas marché va savoir pourquoi grrr



affairé à ses taches ménagère matinale, elle avait fini par céder à sa turbulente princesse qui depuis le matin piaffait d impatience de se rendre au marché. elles adoraient s'y rendre ensemble mais pour on ne sait quelle raison la fillette était fort pressé ce matin là. quémandant que sa mère la laisse s y rendre seul et qu elles se retrouve sur place. arguant qu'elle était une grande fille et pouvait se débrouiller seul.
après maintes recommandation la maman avait fini par céder sous la joyeuse pression de la fillette.
elle la rejoindrait bien vite de toute façon...

la petite avait donc quitté la maison familiale toute guillerette et c'est bien vite après avoir achevé ses taches que la maman avait panier sous le bras prit le chemin du marché profitant le nez au vent de cette douce chaleur qui s'installait ces derniers jours...

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Le vétéran de Cambraisis, incarné par Dagoon
Le vétéran de Cambraisis était à travailler dans sa forge lorsqu'il s'aperçut que quelque chose clochais. Une animation malsaine était apparue dans le misérable village ou il avait trouver repos.
Qu'est ce que c'est que ce boxon?
Il mis la tête a sa fenêtre et vit passer un pèlerins qui prociferais le malheur. Il en avait tellement vu chez les nains d'Hollande. Ces dégénérés qui se sont lobotomisé la cervelle en fumant l'herbe qui fait rire. Celui ci parlais françois, une première; de plus c'était presque intelligible.
Le vétéran avec l'expérience de ce genre d'hurluberlus pris une dague a lame courbe en précaution et se dit qu'il ferait bien d'aller voir se qui se tramais.

il entra dans la taverne et ne fut qu'a moitié surpris quand il vit que Sveltana était déjà en train de tailler la bavette avec l'étranger
grremllmml huumm rrrhh, elle change pas celle là pfffff

Il se dirigea ver le tavernier.
Tu me met une mousse sur l'ardoise du maire ! Non aller!! bon oki je te payerais après demain, enfin si je vend mes coutelas, sinon la semaine prochaine, mais t'inquiètes pas.
Au faite racontes il dit quoi le camé pour attirer autant de monde?
Mathurin., incarné par Mrbouba
Mathurin élevait des vaches, enfin mieux que les élever, il était dévoué à elles et les considérait comme ses propres enfants. Il les connaissait chacune par leur prénoms, connaissait les coins d'herbe qu'elles préféraient, il savait les retrouver n'importe ou qu'elles soient rien qu'en suivant les traces qu'elles lui avaient laissé au sol. Il comprenait ses vaches et était rendu maître dans l'art de leur presser le trayon vers le bas pour sortir le meilleur lait de leur mamelles...bref, il connaissait tout d'elles. Il les aimait et elles lui rendaient bien l'amour qu'il leur portait.

Tout les matins, il les accompagnait au près et les mener paître l'herbe la plus verte qu'il trouvait. Il passait la journée avec elles, se répétant sans cesse ce qu'on lui avait enseigné dès son plus jeune age sur ces ruminants à corne si gracieux. Ainsi se passaient toutes ces journées depuis de nombreuses années déjà. Tout les jours, avant que la nuit tombe, il rassemblait son troupeau et regagnait son étable pour passer la nuit en leur compagnie.

Mais en cette fin d'aprés-midi, en rassemblant ses chéries il vit tout de suite que quelque chose n'allait pas, il refit le tour de son troupeau, les comptant dans sa tête puis passant une main dans sa tignasse il dut bien s'avouer... sa vache préférée, sa bretonne au pie noir, sa vache kiriri avait disparue.

Il partit à sa recherche, regardant d'abord dans la plaine puis fouillant les sous-bois... rien aucune trace. La mort dans l'âme, complètement abattu, il finit par se résigner et repartir en direction du village. Arrivé devant la taverne, il essuya ses yeux humides et abandonna ses vaches dans la rue, le temps de prendre un petit remontant. Il poussa la lourde porte et entra dans la taverne, la première phrase qu'il entendit le fit partir dans un interminable sanglot:

Citation:
...Je pourrais manger un boeuf entier...
Frère Walde (MDJ), incarné par Ombeline
[RP: Terreur des Loups en Artois -/- Acte 1 – Funeste nouvelle du Frère Walde lors de cette première journée - Taverne du Bwork brûlé]





Cette jeune femme lui plaisait bien … débordante d’énergie, alalala. Elle avait toutefois faillit chambouler ses projets pour l’après-midi. Heureusement, il pouvait remercier la Divine Providence que cette force de la nature soit rattrapée par son péché de gourmandise... Qui plus est, il allait découvrir qu’elle avait effectivement un appétit d’ogre… de loup, même qu’elle avait scandé en attrapant sa cervoise… Par Aristote, serait-il possible que sous cette pétillante jeune femme se dissimule les traits d’une de ses immondes bestioles aux poils hirsutes et crocs acérés…

Seconde fois qu’il venait à y songer. L’image de l’un des ses monstres entrecroisés au détour d’un des ses voyages l’assaillit.




Il en frémit sur le coup mais se reprit, mais non, mais non, allez Walde, reprend toi, elle ne le crierait point ainsi à tout vent… quoique très retors ces monstres… et si … Allez, allez Walde, toi le légendaire limier du monde monacale, tu seras démêler tout cela, allez allez, pour l’heure, profite des mets apportés par le tavernier.

Sur ses alléchantes pensées, le Frère Walde partit dans une longue et bien animée conversation avec Sveltana, parlant de tout et de rien, mais aussi de sa vie passée et ses diverses excusions … tout comme elle, qui était un vrai moulin. Ils ne virent point les heures défilées et trois heures sonnèrent bien vite à la vieille pendule de l’auberge du vieux Bwork brûlé. La salle principale, sans qu’ils ne rendent compte, trop occupés à palabrer et manger avec entrain, s’était remplie et d’autres habitants passaient le pas de la lourde porte en bois. Il remarqua enfin une autre jeune femme, à la chevelure d’un roux flamboyant, collée au mur en face d’eux. Hum, une rouquine … La dernière qu’il avait rencontré était une désagréable sorcière, qui plus est, l’avait entourloupé et délesté d’herbes précieuses. Leurs regards se croisèrent. D’un signe de tête, il la salua puis prit congé de Sveltana.



Demoiselle, je m’en vais faire mon devoir. Vous allez enfin avoir les réponses à vos questions.
Quoique vous pensiez de ce que je vais conter à tous, sachez chère Sveltana que j’ai apprécié votre compagnie et j’espère que vous ne me prendrez point pour un vieux fou sénile. Sur ce…


Prenant son bâton de pèlerin et sa besace, il se leva lorsqu’une gamine toute de rose vêtue accompagné sans doute de sa mère au vu des traits de ressemblance pénétrèrent dans l’auberge. Il observa à nouveau la salle d’un regard circonspect. Beaucoup d’habitants étaient déjà là, les yeux rivés sur lui. Il s’exprima d’une voix monocorde et forte.

Bien, ce que je vais vous conter, je ne le fais point de gaieté de cœur mais je me dois de vous prévenir tous… Moi, frère Walde, enfant natif de ce village, viens à vous tel le messager de mauvais augure … Arfff, pourquoi a-t-il fallu que cela soit moi et ce village particulièrement … Enfin, je me dois de vous avertir. Je ne pourrais point trouver le sommeil en vous laissant sans savoir ce qui vous attend.

Ah par Aristote, quelle infamie, quel drame !!!

Cette nuit, la lune sera ronde et haute … mais bien différente des lunes habituelles … et la conjonction des planètes sera dans l’alignement de … Enfin bref, j’en viens au fait car je sens sur ma personne, vos regards interrogateurs et perplexes à mes dires.


Une chasse s’ouvrira
… guère une chasse à laquelle vous pourriez être habitués … car cette fois, ce seront vous les proies. Oui, villageoises, villageois, à partir de cette nuit, des monstres tout droit sortis des entrailles de l’Enfer vont s’abattre avec violence et sans vergogne sur votre beau village !!!

Ils n’auront qu’un seul but : apaiser leur faim en se repaissant de vos chairs, de votre sang, vous dévorez tous jusqu’au dernier !!!
Tremblez, villageoises, villageois, oui tremblez car ceux-ci sont déjà parmi vous. Oui, ils sont là, sous les traits de simples villageois le jour mais la nuit, ils reprennent leur forme démoniaque, des dents pointues, des crocs acérés, des poils hirsutes, des griffes aiguisées …


Priez, priez villageoises, villageois. Oui, priez pour le salut de votre âme.
Cachez vos enfants, protégez-vous, barricadez-vous, armez-vous !!!
Il est encore temps mais sachez, car je ne peux vous le cachez que beaucoup d’entre vous ne survivront pas à ce carnage… Chaque nuitée, ils chasseront en quête d’une proie. À vous de les reconnaître, à vous de faire attention aux personnes que vous côtoyez.
Tuez-les, traquez-les avant qu’ils ne s’occupent de vous et vous tuent tous !
Ils sont là, je le sens… Quatre loups cruels !!!

Prenez moi pour un vieux fou, gaussez-vous de moi, mais vous verrez que je ne mentais point. Cette nuit, ils ont l’intention de faire de l’un d’entre vous leur repas. Je prie Aristote que celui-ci soit protégé … Oui, je le prie de tout mon être mais si ce n’est cette nuit… ils recommenceront et s’acharneront de plus belle sur la prochaine qui elle, ne s’échappera pas, tant leur faim sera grande. Je vous en conjure, ouvre l’œil, et préparez-vous au pire.




Frère Walde ferma les yeux un moment. Il sentit que parmi les présents, certains avaient des dons particuliers, peut-être que ces derniers seraient profitables à la survie de tous. Il le souhaita de tout son cœur, de tout son être.

Il rouvrit les yeux et afficha un visage grave. Il n’avait plus rien à rajouter… Tout était dit. Les habitants venaient d’être tous mis au courant de la situation. Tout dorénavant était entre leurs mains. Le messager se rassit sur son banc, et se tut, les regardant un par un. Il avait quelques soupçons sur l’identité de certains… Il ne pouvait en dire plus, ne voulant point apporter plus de panique sur cette assemblée déjà bien angoissée par son discours.

Tous s’observaient déjà avec un mélange de crainte et de soupçon enfin pas tous, d’autres, haussaient des épaules, le prenant lui pour un dément.




[HRP ON : Je vous laisse donc réagir au discours du frère Walde. Ma prochaine intervention indiquera très certainement que nous serons la nuit. Je rappelle à deux des loups que j’attends par mp, la confirmation de l’identité de leur proie, à notre voyante, la personne qu’elle souhaite sonder, et à notre sorcière, d’être prête.^^ Bon jeu. LJD Ombeline. HRP OFF ]
Jolan.de.vaucanson
Le jeune Vaucanson après son entrainement quotidien de tir à l'arc, avait grand besoin de se désaltérer. Il commanda une bonne mousse de part le nord une bien blonde, juste ce qu'il faut d'amertume.
Son instant de tranquilité fut très vite perturbé par le prédicateur. Jolan grogna dans son coin, voilà pour quoi il n'aimait pas rester avec les gens de la ville, ragot sur ragot, mensonge sur mensonge. Il était bien mieux dans sa cabane à l'orée du bois.

- Vieux fou !

Lança t'il laconiquement, Jolan dict le taciturne bu sa bière s'essuya du revers de sa manche, jeta un regard noir au prédicateur, avant de prendre la direction de la rivière.
Il se dévêtit complètement et piqua une tête dans l'eau fraiche, puis après de longues ablutions il sortit de l'eau et se posa nu comme vers sur la prairie à se dorer la pilule tranquillement.

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Sveltana, incarné par Enelos


La jeune femme mangeait avec un appétit bestial une bonne côte de boeuf bien saignante, garnit de pommes de terre et de différents légumes verts. L'ambiance était convivial entre le duo; chacun conter leurs souvenirs de voyage en élevant la voix de temps à autre pour surplomber le brouhaha de l'endroit. Après tout ce vieillard n'a pas l'air si fou que ça.

L'auberge était bomdée, un ménestrel accordait son luth dans un coin éclairé de la salle, les serveurs effectuaient toujours leurs vas et vient chargé de plats entre la cuisine et l'enceinte de l'auberge.
Le vétéran de Cambraisis qu'elle conaissait bien, s'était adossé au comptoir et parlait avec le tavernier. Sveltana lui adressa un petit sourire et un clin d'oeil. Ah lala ! qu'est ce qu'elle aurait voulu aller parler avec lui et prendre de ses nouvelles ! Mais elle était déjà accompagnée du frère Walde, ce serait impoli de sa part de le quitter ainsi. La jeune femme se renforgna, mais les 15 heures de l'après midi sonna.

Le vieux l'abandonna en la remerciant pour sa compagnie et il se lança dans un débat animé, au sujet de loups, de mort et de chasse.
Sveltana adorait la chasse, à chaque fois qu'elle avait du temps libre elle s'éclipsait armée de son arcs et de ses flêches dans les sous-bois, chasser le gibier qui lui servirait de repas.
Malgré son corp svelte, elle avait apprit l'art du combat et de l'épée avec son premier maitre lorsqu'elle n'était encore qu'une enfant. Voilà longtemps qu'elle n'avait pas eu l'occasion de mettre ces arts à l'oeuvre, cette chasse était une occasion à cueillir.

Svel se leva en faisant crisser sa chaise bruyament sur le plancher, et donna une bourrade à l' homme qui pleurer comme une madeleine sur le seuil de la porte.

Mon brave, ne pleurer pas ainsi par cette nouvelle, mettez votre femme et vos enfants à l'abris, ce n'est juste qu'une petite chasse ! Vous devriez goûter le plat du jour, cela vous requinquerait! Leurs viandes de boeuf est à tomber par terre ! On dirait que leurs vaches ont été abbatu le matin même ! La rousse partit dans un rire ironique, et se passa une brindille en guise de cur dent entre une canine et une molaire où un morceau de viande s'était nichée.
Papi Mougeot, incarné par Odas
Papi Mougeot ne venait que très peu souvent dans cette taverne ouverte depuis peu. On lui avait indiqué que le désormais célèbre Frère Walde allait s'y trouver et allait donner de plus amples explications suite à son intervention plus qu'inquiétante un peu plus tôt au marché.

Il s'était mis à l'écart puis rapprocher discrètement. il voulait avant tout vérifier la validité des dires du Messire et surtout sa sinçérité. Manifestement, il savait de quoi il parlait et maniait à merveille les mots et l'art oratoire.

C'était donc cela, il parlait du retour des loups garous, ici dans leur cité. Il paraissait lui-même effrayé par ses propres dires, balayant l'assistance de son regard noir remplit de peur et de craintes.

Papi Mougeot regardait tout ce beau monde quelque beu éberlué par ses explications, toutes ces nouvelles lui rappelant bien de mauvais souvenirs. En effet, il y a bien longtemps, il avait déjà eu à faire à ces terribles et infames bêtes assoiffés de sang et sans aucune pitié.

Un frisson parcouru son dos, il espérait que frère Walde se trompe, mais il était tellement convaincant qu'il sentait déjà l'angoisse le gagner .... Il resta silencieux n'en menant vraiment pas large, se jurant de faire attention, tremblotant quelque peu mais priant déjà pour que cela ne soit que pures fabulations ... mais mais .....
Fanfan
Fanfan était une brave villageoise qui faisait ses achats au marché quand le frère Walde avait fait son annonce et comme toute personne curieuse, elle n'avait pas résisté à l'envie d'aller faire un tour à La taverne du Bwork brûlé. Elle n'y avait jamais mis les pieds et s'y sentit un peu perdue.
Tandis qu'elle entrait, elle entendit le frère Walde qui finissait son funeste discours:

Tuez-les, traquez-les avant qu’ils ne s’occupent de vous et vous tuent tous !
Ils sont là, je le sens… Quatre loups cruels !!!

Prenez moi pour un vieux fou, gaussez-vous de moi, mais vous verrez que je ne mentais point. Cette nuit, ils ont l’intention de faire de l’un d’entre vous leur repas. Je prie Aristote que celui-ci soit protégé … Oui, je le prie de tout mon être mais si ce n’est cette nuit… ils recommenceront et s’acharneront de plus belle sur la prochaine qui elle, ne s’échappera pas, tant leur faim sera grande. Je vous en conjure, ouvre l’œil, et préparez-vous au pire.


Elle frissona.
Mais que se passait il donc? Un village pourtant si tranquille. Depuis qu'elle y vivait, elle n'avait jamais entendu parlé de loups.
Elle vit l'air effrayé de certains.
Pourtant, elle l'aurai volontiers pris pour un vieux fou,ce frère Walde, mais il semblait sûr de lui...

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Enguerrand, incarné par Tulle
Enguerrand commanda une nouvelle bière. Il était assis dans un coin de la pièce, à sa table habituelle. Depuis des années déjà, il avait pour manie d'aller une fois par semaine au marché très tôt puis ensuite de passer la journée dans cette taverne du Bwork brûlé. Il avait appris à connaitre les patrons ainsi que les habitués.

Cependant il préférait rester de longs moments seul à cette table avec une bière. Il mangea le plat du jour que le tavernier lui apportait sans même demander car il avait pris cette habitude.
A partir de cette place, il pouvait regarder toute la taverne et surtout les entrées et sorties, chose qu'il faisait de manière ostentatoire.

Aujourd'hui il avait remarqué un couple qui était arrivé. Enfin un couple... Il devait plutôt s'agir de deux amis car l'homme semblait être un homme d'église. D'ailleurs qui avait pu ne pas les remarquer ? L'homme s'était mis à parler d'une voix forte et toute la taverne avait pu en profiter. Les type de ce genre, Enguerrand ne les appréciait guère. Ils les avait regardé s'assoir et avait reporté sont attention sur la porte.

Il remarqua que la taverne semblait être plus remplie que d'habitude. Il vit des visages qu'il n'avait encore jamais rencontré. Enguerrand se posait des questions quand l'homme qui avait fait une entrée fracassante réclama l'attention.

Encore un qui voulait se faire remarquer, surement une chopine de trop... Enguerrand l'écouta cependant. Il annonçait une mort certaine pour tout le village... Des fois l'alcool a vraiment des effets bizarres...

Cependant un sentiment de peur parcouru Enguerrand. Depuis deux jours déjà ses poules refusaient de pondre, ce qui n'était pas un bon présage. Il savait qu'il avait arriver quelque chose. Enfin là c'était quand même un peu trop gros à ses yeux.

Et si cet illuminé avait raison ? Si un tel évènement arrivait ? Pour la première fois depuis qu'il venait dans cette taverne, Enguerrand rentra plus tôt que d'habitude chez lui. Il était préoccupé. Dans le doute il préférait rentrer avant la nuit. Si l'homme disait vrai, il n'était pas bon de rester dehors quand la lune sortirait...
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