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[RP] Terreur de Loup Garou

--La_margot
Elle avait une chambre un peu plus haut, à l'etage de la taverne, elle se couchait toujours aux aurores, vu l'turbin qu'elle occupait, de son village elle était la catin, c'est d'ses charmes qu'elle vivait...
Et par la même occasion ça faisait v'nir plus de clients dans la taverne, c'est que des charmes elle en avait beaucoup la Margot, et l'patron il le savait bien, ça mettait du beurre sur sa tartine que d'avoir une fille de joie dans son etablissement, et puis il en profitait aussi de temps en temps...En echange elle avait le gite et le couvert gracieusement offert.
Mais à c't'heure là en principe elle dort encore profondément, mais des cris provenaient du rez de chaussée.
Il semblait que du monde était dejà arrivé, la Margot s'tira d'son lit, s'habilla et descendit voir qui faisait donc tant de bruit


Ben c'est y pas qu'y a dejà tout'l village présent...

Margot le sourire aux lèvres voyait dejà plusieurs clients potentiels parmis les habitués installés.

Elle s'approcha alors de Mathurin qui était en larmes


Ben qu'est ce qui t'fait pleurer mon tout beau, approche donc que j'te console, pose ta tête contre ma poitrine....J'te promets tu oublieras vite ton chargrin tout contre mon sein!
Damefrenegonde


A la fin de sa discussion avec la jeune rousse, le père Walde se releva pour faire son discours. Le regard du vieil homme croisa celui de Fréné ce qui lui fit froid dans le dos. Un regard transpercant, pouvant lire jusqu'au plus profond des âmes, la malicieuse en eu le sang glacé.
L'homme pris place au milieu de la foule et avec une voix grave et forte informa les villageois de la malédiction qui les guettait...
Il hurlait en s'approchant des visages que le mal était parmi eux, que ces "démons" n'étaient autre que des loups assoiffés de sang et cde hair.
La belle écarquillait ses yeux couleur émeraude, la bouche entre ouverte elle vivait ses paroles.
L'auberge entière était à son écoute, les badauds avaient cessé de s'amuser, les danseurs et musiciens livides se taisaient. Bien qu'à en voir certains cela ne les touchaient guère l'atmosphère était pesante et tous le ressentaient.
Des mères avaient emmenés leur marmaille et les pauvres enfants se blotissaient dans leurs jupons horrifiés et apeurés.
Le saint homme ne cessait d'alerter la foule, Fréné se crispait à chacun de ses mots...Si cela était vrai comment s'en sortiraient ils face à ces monstres sanguinaires??
Il fallait les chasser voilà la solution qu'il proposait mais de pauvres humains face à des créatures du sans nom, cela était déjà perdu d'avance...
A la fin de son annonce le vieillard laissa une nuée de villageois dans la peur et le doute, le visage transfiguré. Fréné n'y tenant plus remarqua à sa droite un homme au regard froid et solitaire qui buvait une bière.
Sans réfléchir elle s'approcha, prit la chope et bu une rasade afin de se mettre les idées au clair.
L'homme surpris la regardait et dans un éclair de lucidité elle comprit ce qu'elle venait de faire. Confuse et rougissante elle souria bêtement.

"Je m'excuse messire mais cette nouvelle m'a quelque peu abasourdie...Veuillez accepter ces quelques écus en guise de dédomagement."

Fouillant dans sa besace elle sortit une poignée de pièces qu'elle déposa sur la table en espérant que l'homme serait compréhensif...

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Gabyc5


Gabyc arriva un peu en retard au rendez vous. L'homme quel avait croisé dans la matiné sur la place public avait déjà commencé son discours. Sans trop se faire remaquer dans son retard, la jeune femme se mela a la petite foule et l'écouta attentivement.

Frère Wald a écrit:
Une chasse s’ouvrira … guère une chasse à laquelle vous pourriez être habitués … car cette fois, ce seront vous les proies. Oui, villageoises, villageois, à partir de cette nuit, des monstres tout droit sortis des entrailles de l’Enfer vont s’abattre avec violence et sans vergogne sur votre beau village !!!
[...]

Tuez-les, traquez-les avant qu’ils ne s’occupent de vous et vous tuent tous !
Ils sont là, je le sens… Quatre loups cruels !!!


Des loups! Il y en avait toujours eu dans les foret des environ. Mais il semblait sérieux celui la. 4 bêtes venue des enfer pour nous punir. Voila, on est encore maudit. Gabyc, bien qu'encore sceptique, savait qu'il ne faudrait pas tardé si la menace était bien réel. Avant même que le frère Wald eu fini son discours, déjà dans la foule on entendait quelque groupe se former pour la premiere chasse. Gabyc alla se chercher une chope.

Des monstres sanguinaire qui n'hésiterais pas a attaqué tout ce qui leurs tombe sous la main, ou la patte dans ce cas ci. Gabyc trouvait quelque peut éxagérer le discours du Frère Wald, mais bon, mieux vaut se préparer. Elle était prête, ses armes était déjà bien affilé dans sa bicoque, bien qu'il y avait fort longtemps qu'elles n'avaient pas servit.La jeune femme alla s'assoir à une table rejoindre un petit groupe qui s'était formé a la fin du discours.


-Je peux? dit la jeune femme en arrivant devant la table où trois hommes discutaient.

-Bien sur, venez. dit l'un des homme. On est en train de planifié un petit groupe pour la traque de ce soir. Vous voulez nous rejoindre?

Un autre homme assez costeau de la table: - Elle! Mais non! laissons les femme au village. Elle ne pourra meme pas se défendre seule si l'on crois l'une des bête.

Gabyc lui jeta un regard noir, presque insulté: -Alors, C'est ce que vous croyez? Que je suis la "pauvre et frêle jeune fille" qui va aller s'amuser dans les bois sans défense? L'écossaise ne le lacha pas du regard. -Je vous rejoins où et quand?

Le premier homme tentat de calmer le malaise: -Mais non, mais non, faut pas s'énervé! On se rejoint à la fontaine, à la tombé de la nuit. On est déjà 4, trop peu. Il faudrait peut-être rejoindre un autre groupe...

-C'est parfait. alors je vous y retrouve à cette heure. Gabyc fini d'un trait sa chope et se leva. Elle se dirigea rapidement vers la sortie.

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Le vétéran de Cambraisis, incarné par Dagoon
Ha ça y est le vieux fou c'est mis en route
des monstres mais oui bien sur , des monstres et puis quoi encore. Il en avait vu d'autres.

un groupe se constituait
Hé mais vous allez pas croire ce vieux singe sénile. Regardez moi ce ramassis de conneries qu'ils nous raconte et vous tels des gamins écervelés vous allez le croire?
Mathurin., incarné par Mrbouba
Mathurin ne comprenait à ce que disait le vieu fou qui s'exprimait au milieu de la taverne. Encore un discours sans aucune importance. D'ailleurs plus rien n'importait pour lui. Sa meilleure laitière, sa bretonne aux mamelles si pleines tout les matins avait disparu... Rien de pire ne pouvait lui arriver aujourd'hui.

La rousse qui avait déclenché ses sanglots s'était régalé d'un morceau saignant en avant de lui, elle s'était empiffré sous ses yeux, plantant ses canines dans la chair rouge légèrement tiède. Une sauvage, une canibale qui mangeait sans aucun respect de l'animal qui avait vécu et puis donné sa vie pour elle.

Puis la goinfre s'était levé et l'avait bousculé sans aucune gène...
Citation:
Mon brave, ne pleurer pas ainsi par cette nouvelle, mettez votre femme et vos enfants à l'abris, ce n'est juste qu'une petite chasse ! Vous devriez goûter le plat du jour, cela vous requinquerait! Leurs viandes de boeuf est à tomber par terre ! On dirait que leurs vaches ont été abbatu le matin même


Un filet de sang coulait encore le long de son menton, partant de la commissure de ses lèvres. L'ogresse était en avant lui la, sa bouche grande ouverte pour se curer les dents laissait entrevoir ses dents cariées. Encore perdu dans ses sanglots, il ne savait pas quoi lui répondre à part:

Madame... Il renifla un grand coup et se passa le coin de sa manche sous le nez. Je n'ai pas de femmes, ni enfants, seulement mes vaches à chérir et protéger. Je ferai tout ce qu'il faut pour elles...
Sa fierté repris le dessus, il essuya une larme...se trouvant ridicule de s'être laissé aller devant tout le monde. Mais enfin...pourquoi avait-elle parlé de manger tout un boeuf alors que... Il sentait les larmes lui piquer les yeux et préféra détourner le regard ailleurs vers........... une superbe créature qui venait d'apparaître devant ses yeux.




Citation:
Ben qu'est ce qui t'fait pleurer mon tout beau, approche donc que j'te console, pose ta tête contre ma poitrine....J'te promets tu oublieras vite ton chargrin tout contre mon sein!

Il comprit de suite que son charme avait encore fait des ravages - Elle l''avait appellé 'Mon beau', apparemment l'odeur du bestial ne génait pas la donzelle. Elle lui parlait de ses seins qui lui rappellèrent les mamelles de ses tendres chéries... En voila une qui savait parler aux hommes! Surtout à lui... Ses yeux se baissèrent et le bustier de la dame semblait effectivement très prometteur et il était expert en la matière. La proposition était alléchante, il commençait à en oublier sa peine. Mais pas sa colère... avant tout, il devait s'occuper de savoir ce qu'il advenait de sa laitière préférée... Il prit une respiration.

Dites madame, Vous n"auriez pas vu ma vache ???


Il avait quand même du mal a la regarder dans les yeux.

Nirina
Nirina avait écouté la conversation des villageois , attentive et silencieuse.

Il s'agissait donc d'une chasse aux loups!!!!
Elle pensa à Toundra et Filou qui se promenaient souvent dans la forêt..

Mes loups n'ont rien de sanguinaire se dit-elle, je dois les cacher au plus vite ....des monstres, mais aussi des villageois!!! ils pourraient se tromper.
Elle s'approcha lentement du vieil homme, elle ne croyait pas trop à ces histoires , mais elle se dit qu'il valait mieux participer à cette chasse que de rester chez elle à attendre.

Je vous accompagnerai aussi ce soir,si vous voulez, la nuit est si noire en ce moment, qu'elle semble tombée pour toujours! je connais la forêt comme ma poche....
_________________
La.princesse.rose, incarné par Laureline_squire



[[L'heure, c'est l'heure ; avant l'heure, c’est pas l'heure ; après l'heure, c'est plus l'heure.]]


La princesse rose avait finit par retrouver sa maman, à qui elle ne cessait de quémander l’heure, il ne fallait surtout pas rater le vieil homme pour en savoir plus.
La gamine piaffé d’impatience ce qui exaspéré sa mère à force ; la lune la rendait insupportable aujourd’hui.

D’étal en étal sur la place du marché les heures défilèrent, Chipie avait refusé de rentrer manger il fallait rester au village, et c’est avec obstination et argumentation que l’enfant avait encore obtenue ce qu’elle voulait et réussit à faire céder sa mère.

Quand l’heure tant attendu arriva enfin, la blondinette traina sa mère dans la taverne ou le vieux avait dit qu’il serait prétextant une grande soif …

La fillette poussa la porte en trombe et manqua de peu de bousculer le vieil homme qu’elle cherchait.

Pas le temps de s’excuser le vieux commença à parlementer et à continuer son histoire commencer un peu plutôt le matin.

La princesse blottis contre sa maman écouta l’homme qui recommencé avec ses phrases frémissante, à faire peur. Plus l’homme parlait plus elle avait peur, ses paroles foutaient une trouille terrible à la môme qui finit l’histoire enfouie dans les jupons de sa maman pétrifié à l’idée d’être dévoré par un monstre hirsute comme rufus mais avec un peu beaucoup plus de poil, sortie de l’enfer, avec qui plus est de grandes dents acérées, et de grandes griffes aiguisées…

La blondinette étouffa un cri de peur au quel s'ensuivirent quelques paroles destinées à sa mère pour que celle-ci la rassure…


Maman j’ai peur…
--La_margot
Le ptit eleveur de vaches avait séché ses larmes, Margot savait redonner le sourire aux hommes, mais celui là semblait un peu moins sensibles à ses charmes, plus reservé que ses clients ordinaires...Il semblait plus soucieux de ses vaches que des mamelles qu'elle venait de lui proposer.

Avant de lui répondre, et pour donner plus de poids à l'offre qu'elle venait de lui faire, elle lui plaque son visage dans le creux de sa poitrine, lui offrant un oreiller des plus moelleux.


Non mon ange, pas vu de vache aujourd'hui! Mais que penses tu de ce que t'offre?
maman de princesse rose, incarné par Nefi


elle l'avait enfin retrouve sa princesse plus nerveuse que jamais, mais elle n'en était pas surprise, la position de la lune et l'alignement des étoiles ne présageait rien de bon et une sourde appréhension étreignait son coeur depuis la nuit dernière. la chouette hululant devant la maison. la quantité anormale de corbeau dans les environs depuis le matin, l'ora étrange qui cerclait la lune. tout ceci n'était pas bon et un grand malheur se préparait mais elle ne savait quoi.

elle essaya bien de calmer l enfant mais rien a faire. elle la suivit donc restant patiente fasse a sa détresse qu'elle savait incontrôlable.

elle entrèrent donc dans la taverne à la demande de sa princesse puis écouta le vieille homme, c'était donc ça, ils étaient de retour....

un frisson glacial parcouru son échine. tant de mauvais souvenir remontèrent en elle, la terreur, et l horreur du carnage qu ils laissaient derrière eux.

elle sentit sa fille se serrer contre elle et elle l enlaça tentant de la rassurer du mieux qu elle pouvait sans laisser paraître ses craintes.

regardant les groupes ses préparer elle se dit "si il savait que tout ceci est inutile les armes ne valent rien contre eux..."
Sveltana, incarné par Enelos


La jeune femme était sortit de la taverne en ricanant. Elle savait bien où le proprio aller chercher ses vaches qu'il servait en plat du jour ! Et biensûr, le pauvre éleveur de vache ne comprenait pas pourquoi ses vaches disparaissaient chaque jour ! Svel trouvait sa drôle, mais il y avait autre chose à se préoccuper. Les loups. Jamais elle n'avait entendu parler de ces loups garous, qui pouvaient se cacher parmis les villageois. Sa pourrait être un simple berger, le maire, un forgeron, ou même n'importe quel commère du village... Surtout que ce village était le plus calme, le plus charmant de tout ceux qui existaient. Rien n'avait pertubé l'endroit depuis au moins une centaine d'année. Cette "malediction" semblait sortir des histoires qu'on racontait aux enfants pour leurs faire peur et pour qu'ils ne sortent pas trainer n'importe où la nuit. Et si ce n'était pas qu'un simple conte? Elle frissona et hâta le pas.

La maison de Sveltana se trouvait un peu plus loin de l'auberge, sur les rives d'un ruisseau qui lui permaittait de prendre un bain chaque jour. Elle se demandait si les villageois savaient ce que voulait dire "prendre un bain", ils avaient tous une odeur nauséabonde qui flottait autour d'eux. Surtout le vachier. Pouhaa on aurait dit qu'il dormait avec ses vaches !

Au fur et à mesure qu'elle avançait, elle s'arrêta nette sous une vision d'horreur. Un homme se dorait la pillule, nu comme un vers. La jeune femme le contempla un instant, puis tourna les tâlons et fit un grand détour pour se rendre chez elle.

Une fois à sa maison, elle sortit de son fourreau une épée qu'elle avait gardée précieusement. Sveltana l'aiguisa pendant un long moment, en songeant à la chasse. Elle reviendrait à l'auberge un peu plus tard, il fallait mieux se reposer pour être en forme cette nuit et chasser ces monstrueuses bêtes.

Eleuthère, incarné par Hyunkel


Tant de barouf pour une histoire rocambolesque. Tel pouvait être le résumé de ce qu'il venait de se passer.
Dire que ce pauvre Eleuthère avait du mettre à plusieurs reprises un pied devant l'autre pour arriver à la Taverne du Bwork brûlé. Tout ça pour ça.

Quelle journée pourrie!!!
Déjà, planter les légumes du voisin, ce n'était pas trop sa tasse de Karlsdotter mais il fallait bien gagner sa croute, même si sa condition physique ne permettait plus d'être aussi rentable qu'à ses 20 ans. Y'avait qu'à le regarder pour que ça saute aux yeux. Ses cheveux trempés par la sueur laissaient transparaitre une calvitie déjà bien avancée. Les gouttes ruisselaient sur son visage squelettique ridé. Il était continuellement courbé vers l'avant comme si les muscles de son buste ne pouvaient plus porter la lourdeur de sa tête.
Oui les temps sont vraiment durs pour rassembler quelques écus lorsque l'on est comme lui.

C'est alors qu'un "troubadour" (Il saura plus tard qu'il se fait appeler Frère Walde), sorti de nulle part, s'en vient vous perturber avec ses cris dignes d'un porc que l'on égorge pour vous faire perdre du temps et de l'argent.
Apparemment, la mort rôdait et c'est ce qui avait motivé notre maraicher d'un jour, à rejoindre la taverne citée et écouter l'histoire du Frère Walde. Ça ne pouvait être que des hallucinations.

Après quelques minutes de réflexion, des paroles du Frère Walde commençaient à hanter l'intérieur de sa tête. Finalement, une histoire peut être pas si rocambolesque que ça. Il avait déjà entendu parlé de créatures à la forme démoniaque, aux dents pointues, aux crocs acérés, aux poils hirsutes et aux griffes aiguisées... mais ce ne semblait être qu'un mythe...
--Mathurin.
Citation:
Non mon ange, pas vu de vache aujourd'hui! Mais que penses tu de ce que t'offre?


La tête enfoui dans la dame, il finissait d'éponger ses larmes. Que pouvait-il répondre à ça ? Rien... sa face coincée au coeur des nichons de la belle... L'oreiller était très généreusement garni, il pourrait fermer les yeux et s'y endormir paisiblement... rien à voir avec la paille avec laquelle il dormait d'habitude. Et elle sentait bon... Ça lui rappellait l'odeur des dames qui sortent de l'église le dimanche. Il aimait bien se promener parmi elles et sentir discrètement leur odeur.

Soudainement il réalisa que la taverne était bruyante... plus que d'habitude. Redressant la tête il regarda autour de lui. Une certaine agitation régnait dans le lieu... Que se passait-il ? Était ce la disparition de sa vache qui créait cet émoi ???
Sa gorge noué était sèche, il avait besoin de boire pour se remettre de toutes ces émotions... Il donnait parfois de la bière à ses vaches, on lui avait dit que c'était bon pour le lait...


Dame, je vous offre une 'tite chope ???
--Branruz
Depuis ta naissance tout est déjà en toi. Tu ne fais qu‘apprendre ce que tu sais déjà, lui avait dit son maitre.
Tout est en moi. Tout est déjà en moi…
Il lui avait semblé que ce serait en voyageant et en accumulant des expèriences qu’il découvrirait le monde. Redécouvrait-il sans cesse des choses qu’il savait déjà, qu’il aurait du savoir où qu’il avait toujours sues ? Cette idée obnubilait sa vie : tout est déjà en soi… RIEN n’est à apprendre, on se révèle à soi-même des vérités cachées. Ainssi les mèchants étaient méchants depuis leur enfance. Les barbares, barbares. Les despotes, despotes et les ânes, des ânes.

Bran ruz était un garde épiscopal connu de ses supèrieurs et de l’église pour ses positions pour le moindre anti-conformiste, mais étant pourtant bien apprécié en raison de sa pugnacité a réussir ses missions. Son naturel à être solitaire le faisait travailler seul et ses méditations l’isolaient souvent du reste du monde. Lidée , le simple éfleurement de L’idée, que tout était dès le départ en soi l’obsédait.

Apercevant une tarverne dans la ville qu’il traversait, il se dit qu’une bonne tasse fumante de breuvage d’herbes le revigorerait. Il laissa sa cavale à l’entrée de l’antre iluminée et pènètra sans bruit en celle-ci. Bran ruz se dirigea imédiatement sans un salut vers une table empénombrée et s’assit en déposant son épée, sa lance et sa hâche à coté de lui. Il s’enferma dans son esprit au milieu des causeries et des déclamations puis se mit à méditer ne parvenant plus a penser à autre chose. Tout serait donc déjà en moi. Tout, se disait-il, cela signifierait que vivre dans le monde ne sert à rien.

Se rappelant au monde, il se remémora la mission que le saint pére lui-même, lui avait confié il y avait de cela plusieurs années en le lieu le plus insolite qu’il soit pour des croyants. Une maison de prostitution en plein Rome. Le saint père avait été conçis et bref. Ce qui le surpris le plus n’etait pas la teneur du message mais la langue utilisée pour le faire. En breton, la langue maternelle de Bran ruz. La phrase résonait encore souvent en son esprit.
« Paotr beniged, ur mision evidout, un mision braz ha gentil… chaseadennoù an diaoul, chaseadennoù an euzhusterioù… chaseadennoù an den-loened (fils béni, une mission pour toi, une mision grande et noble… chasses au diable, chasses aux montruosités… chasses aux anumains (licans, goules, vampires, et zoomorphes) » .

Bran se mit a écouter les conversations environnantes la téte baissée et de côté, attentif aux autres et triturant de ses doigts usés et sales la croix qui pendait à son cou par dessus son pendentif de garde.

« Tavernier, de ton breuvage chaud et du pain pour un liard de bourgogne. »
Frère Walde (MDJ), incarné par Ombeline


[RP: Terreur des Loups en Artois -/- Acte 1 – Fin de journée & début de la première nuitée - Taverne du Bwork brûlé]


Certains s’affairaient déjà à planifier pour la nuit une traque, quand à d’autres… ils avaient quitté l’auberge le traitant de vieux fou… Arfff, même un qui avait sorti une espèce de tirade veineuse envers lui. Il s’en souvenait mot pour mot.

Hé mais vous allez pas croire ce vieux singe sénile. Regardez moi ce ramassis de conneries qu'il nous raconte et vous tels des gamins écervelés vous allez le croire?

Quel esprit étroit, marmonna-t-il dans sa barbe. Et l’autre qui pleure sa laitière … qu’il s’estime, heureux que cela ne soit pas lui qui est disparu…Si cela se trouve, sa bête est en pièce depuis belle lurette par ces viles charognes.

L’heure tournait. Il était temps que tous regagnent leur chaumine et que le Frère Walde prenne lui aussi congé. Il se leva et reprit la parole.


Bien … La nuit ne va point tarder à poindre son nez. Le soleil était déjà bien bas.

Pour ceux qui sont dotés du bon sens, je vous conseille fortement de rentrer chez vous, de vous barricadez, si vous ne voulez pas vous retrouvez en charpies dans les entrailles de l’une de ses bêtes sanguinaires. Eloignez-vous des abords des bois, priez Aristote de protégez votre famille et que ces monstres passent leur chemin.

Ceux qui comptent les combattre cette nuit, prenez garde, ces êtres sont retors, et il est peut-être encore trop tôt de vouloir rivaliser avec elles …
Pour les autres, vous, oui, vous, les esprits trop conformistes, trop hum étriqués, trop bornés oui, vous, ceux qui me prennent pour un fou, vous vous apercevrez bien vite que vous aviez eu tord de vous gausser de ma personne. On ne rit point de ces choses là.
Qu’Aristote, prenne soin de vous tout de même.



Sur ces derniers avertissements, il prit la direction de l’escalier en colimaçon menant à l’étage des chambres. Il se retourna une ultime fois vers les habitués encore présents... Son regard se porta sur l’une des habituées de cette auberge, à la poitrine bien généreuse, aguichant outrageusement le vacher. Hum, les lyncans n’étaient pas les seuls à être manipulés par le Sans Nom. Secouant la tête, il soupira puis croisa le regard d’une petiote de rose vêtu, enlacé dans les bras de sa mère.

Qu’Aristote vous protège, innocente enfant, ne quittez point le giron de votre mère.

Je logerai en ces lieux, vous saurez me trouver si vous avez besoin de mes lumières.

A demain, si Aristote le veut !











[HRP ON Voilà, nous passons donc à la nuit.
(Pour les retardataires, ce n'est pas encore trop tard, hein...)

Que la voyante pense à user de son don de clairvoyance pour découvrir l’identité d’un villageois (mp en cours)
Que les loups se déchaînent !!! (les mp de confirm de l‘identité de votre proie ont été donnés donc tout est ok^^)
Que la sorcière se prépare à utiliser ses filtres si elle le souhaite (mp reçu)
Quand au salvateur, il a déjà fait son office et une aura de protection tournoie autour d’une maisonnée.
Chasseur, Cupidon, Amoureux et autres personnages pensez à rejoindre la troupe et à vous manifester pour cette première nuit particulière.

Allez hop !!! HRP OFF]
Gabyc5


La nuit approchait. À l'horizon, on voyait encore le ciel rougâtre de ce crépuscule. Gabyc se dirigeait vers le point de rencontre du petit groupe de chasseur qu'elle devait rejoindre pour la nuit. Bien caché sous son plaid et sa cape, on ne voyait plus son visage dans son sombre capuchon. Elle avait resortie sa courte épée qu'elle n'avait pas utilisé depuis qu'elle n'était plus sergent. Ce pourait peut-etre être utile. Passant devant la taverne ou le frêre Wald avait semé l'alerte plus tot, elle s'arreta et regarda par la fenêtre. Il était encore la. Surement en train de déliré sur la folie que nous avions de vouloir allez chasser à cette heure. Il en fesait beaucoup trop. La jeune femme en avait assez entendu. Elle irait avec les chasseurs confirmer qu'il n'y avait pas d'affreuses bêtes et tout le village retrouvera son calme. C'est pas des petits loups qui vont lui faire peur.

Arrivé à la fontaine, à l'heure prévu, elle ne voit aucun des hommes du groupes. Voilà. Elles s'est encore fait jouer un tour! Non mais! c'est n'importequoi! Tant pis. Elle ira quand même. Elle croisera surement un autre groupe à l'entrée du village. L'obscurité était maintenant quasi total et le silence raignait dans le village. Elle passa prendre une torche et se dirigea seul vers la sortie du village...

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