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[RP] Terreur de Loup Garou

Sveltana, incarné par Enelos


Les ombres du crépuscule s'allongeaient sur la prairie qui bordait la maison de Sveltana.
Son épée était si tranchante à présent qu'elle pouvait trancher un cheveu.
Bien pensa t-elle, il fallait être sur ses gardes à présent que la nuit était tombée.
La jeune femme hésitait à sortir, après tout les bruits qui avaient courru cette journée sur le retour des bêtes monstrueuses. Elle en avait froid dans le dos rien qu'en y pensant. Et si la prochaine victime c'était elle? Non, il fallait se battre, aucune bêtes n'avait le droit de venir semer la zizani dans ce village paisible.

Par précaution, la jeune femme s'était muni d'une cuiller d'argent, de collier en argent, de boucle d'oreille en argent, de bagues d'argents et tout autres ustensile en argent. Elle avait entendu dire que les loups n'osaient pas s'approcher des personnes portant ce métaux. Elle avait barricadée sa maisoné, bloquant chaque issus, portes comme fenêtres.
Que les loups viennent pour voir de quel bois je me chauffe !!
Plus déterminé que jamais, elle se mit à faire les 100 pas dans le salon, son épée battant contre sa hanche et les "glings glings" de ses bijoux.
Nirina
Le soir tombait, les bougies commençaient à danser devant les fenêtres des maisons , les bruits se faisaient plus rares....on n'entendait plus que le vent dans les arbres et les coassements de quelques crapauds près de la rivière ...
Après avoir mis ses deux amis en sécurité, Nirina prit le chemin pour rejoindre les autres villageois.
A l'entrée du village , elle reconnut Gabic, qu'elle avait rencontré une fois en taverne.

Bonsoir, vous vous souvenez de moi dame?
Les autres ne vont certainement pas tarder
Dites moi vous croyez qu'on en verra ....comment les appelle t-il déjà?Ah oui....
DES LOUPS GAROUS!!!!!

Nirina eut un petit sourire mi-figue, mi-raisin, elle ne savait pas trop si elle devait vraiment avoir peur....
Tantôt elle croyait à cette histoire terrifiante, tantôt elle n'y croyait pas...
_________________
--Mlle_strawberry
[Dans un parc, un peu plus loin]


Mlle Strawberry sortit de chez elle discretement, munit d'une longue cape et d'une capuche qui lui couvrait le visage et ne laissait dévoiler aucune de ses formes. C'était une nuit parfaite de fin d'été, la lune était haute et laiteuse, ses rayons se propageaient partout dans le petit bourg.
La femme attendait chaque nuit avec impatience, c'était le seul moment où elle pouvait rencontrer son cher et tendre amour. Ils avaient une liaison secrète, et se cachaient tant bien que mal des regards indiscrets. La première fois qu'elle l'avait vu, elle était tombée follement amoureuse de lui. Ce fut le coup de foudre, l'amour éternel. Il avait emprisoné son coeur à tout jamais.

Leur point de rendez vous était dans un petit parc, au centre du village. Il y avait nombre de recoins et de chemins pour ceux qui recherchaient un peu de discretion. Mlle Strawberry s'arrêta au bout d'un sentier qui menait à un recoin du jardin. Dissimulé par des buissons denses et de gros rochers disposés avec astuce, cet endroit était un lieu de rendez vous prisé des amoureux. Elle s'assit sur un banc de pierre rustique, la capuche relevait sur sa tête, et attendit son tendre.

Pendant l'attente, elle se mit à songer aux propagations du vieillard qui était arrivé en ville. Mlle Strawberry ne croyait pas en ce genre d'histoire farfelu, sortit tout droit des livres d'épouvantes. Mais pour proteger ses arrières, elle avait ammené avec elle une petite dague qu'elle dissimulait précieusement sous sa cape.
Le vétéran de Cambraisis, incarné par Dagoon
Bon c'est pas tout ça mais vos conneries ça me gave
Le vétéran de Cambraisis en avait assez entendu.
pas grand chose d'intéressant. De toutes façons il avait pas peur lui!

Il avait perdu son après midi a entendre des inepties et il allais encore devoir veiller tard pour rattraper son retard.
Il se dépêchât donc de rejoindre son atelier.
des loups garoux , et puis quoi encore, pourquoi l'archange Gabriel en fou du roy

Le vétéras faisait celui qui n'avait pas peur mais il ferma bien les volets et la porte de son atelier dés qu'il fut rentrer chez lui
Gabyc5
À l'entrée du village presque personne. Elle aurait cru qu'il y aurait plus de chasseur... Les hommes ont eu peur? Elle reconnaissait quelques ombre,mais rien de plus ni d'aaez claire pour les identifié de loin. La lueur de la torche éclairait a peine assez pour qu'elle voit ou elle métait les pied. Derrière elle, elle entendu une voix:

Nirina a écrit:
-Bonsoir, vous vous souvenez de moi dame?
Les autres ne vont certainement pas tarder
Dites moi vous croyez qu'on en verra ....comment les appelle t-il déjà?Ah oui....
DES LOUPS GAROUS!!!!!


-Euh... Bonsoir. Oui, je crois vous avoir déjà croiser. Vous n'auriez pas vu un groupes d'homme passé? J'ai quelques comptes à régler avec eux...

-Ah, les loups-garous... J'ai bien peur que ce vieux fou n'aie mit en alerte le village pour rien. Il a surement juste entendu des loups hurler la nuit dernière. Et il n'y a encore aucune victime. Voyez par vous même, il n'y a pas beaucoup de chasseur.


Gabyc regarda la jeune femme un moment, peut-etre une chasseuse aussi. Vous attendez un groupe de chasseur? Mon groupe à eu la trouille.

Gabyc tourna son regard vers le ciel. le ciel était quelque peu nuageux, mais on devinait bien que l'aura de la lune n'était pas bien loin. Si il y avait des lycanthropes, on le saurait bien assez vite.

-Bon... Je vais vous laissez... J'ai des loups à trouver. Le frêre Wald va bien rire demain. Bonne chasse.

Gabyc planta la torche à l'entrée du boisé, pris son épée en main et s'y aventura.
_________________
--L_amoureux
L’amoureux s’était préparé avec soin, il avait rendez vous avec la belle et la douce damoiselle Strawberry.

Ce nouvel amour lui occupait ses nuits et lui occupait l’esprit le jour. Comment faire pour que cet amour reste secret ? Il leur fallait se cacher
Il sortit de chez lui aux aguets. Un sentiment de traque l’envahissait.
Cette histoire de loup garous n’était pas pour l’arranger. Les gens allaient espionner de chez eux et d’autres allaient roder dans la ville.

Mais il n’allait pas faire attendre sa belle, il hâta donc ses pas pour rejoindre le petit parc.

Il la vit sur le rocher a l’endroit convenu. Il fit un petit détour pour arriver de face et ne pas l’effrayer
Bonsoir mon cœur
Damefrenegonde


Après l'animation de la taverne Fréné décida de rentrer chez elle.
Rasant les murs, guettant les moindres faits et gestes d'un pas mal assuré elle s'approchait de sa maisonnée.
Elle se barricada avec les moyens du bord et s'installa dans son fauteuil un bouquin à la main.
Elle voulait chasser ces idées de son esprit et reprendre son train train, elle qui se plaignait de sa monotonie voulait à ce moment précis la retrouver.
Les yeux rivés sur sa page son esprit vagabondait ailleurs, les ombres dessinés sur les murs par sa bougie lui faisaient froid dans le dos. Tout était calme...trop calme.
Le vent commencait à se lever, la nuit avait enveloppé de son voile noir le village...Intriguait elle jeta un coup d'oeil à travers sa persienne et observa la lune. L'astre était d'une rondeur parfaite et illuminé le paysage environnant. Le saint homme avait dit vrai...
Ne se sentant pas à l'abris dans sa propre maisonnée et manquant d'air elle se précipita vers sa porte d'entrée, pris au passage son épée et sortit au devant.
Elle respira un grand coup, l'air était remplie d'ondes indescriptibles, le ciel était lourd, les chauves souris s'affolaient...Tant de signes qui laissaient présager une nuit pas comme les autres...
Au loin la belle aperçut des groupements, des torches, les villageois les plus téméraires avaient décidé de partir à la chasse.
Mais elle préféra restait ici, de là elle pouvait distinguer beaucoup de mouvements et qui sait ne les cherchant pas peut être la laisseraient ils tranquille.

--Cupidindon
Cupidindon était arrivé depuis quelques jours au village.
Il avait pris l'habitude de se cacher parmi les habitants, se mélant à eux et imitant leurs habitudes de vie. Le soir venue, il revétait son superbe tutu rose et laissait sortir ses 2 petites ailes angevines. Il faisait 2-3 étirements et prenait son envol par dessus les toits des chaumières.

il l'avait survolé à mainte reprise à la recherche d'un beau petit couple. Son oeil avisé avait eut vite fait de repérer ses cibles. Il avait sorti son arc tout neuf et aiguisé ses nouvelles flêches pour l'occasion. Il attendit que les 2 futurs amoureux soient dans sa ligne de tir et ... le moment était venu.



Il mit la première flêche entre ses doigts, la glissa le long de l'arc et tendit la corde... Quand il ouvrit les doigts, la flêche fila dans l'air et vint toucher directement le messire qu'il visait... Des mois et des mois d'entrainement à viser des pommes pour un tel résultat. Cupidindon était très fier de lui...

Vint le tour de la damoiselle, ce jour là elle faisait son marché... il prit sa deuxième flêche... Il eu un doute... faisait-il le bon choix... Il la regarda de nouveau, hésitant... puis finalement, se demandant ce qu'il risquait si il se trompait, il enocha la flêche dans son arc. Il reprit sa respiration et, au moment ou il lachait sa flêche, un insecte jaune et noir viint se poser sur son nez! Surpris... la flêche partit directement dans les airs...elle montait , montait puis redescendit en tourbillonant... Cupidindon était bouche bée! Par la barbe d'Aristote!!! Qu'avait-il encore fait!!! Allait-il arriver encore une de ses gaffes légendaires ??? Mais Cette fois ci, Cupidindon était chanceux... la flêche magique redescendait vers sa cible...
Bingo!!!!

Satisfait du devoir tant bien que mal accompli, Cupidindon avait retiré son habit d'ange et reprit sa forme humaine pour vaquer à ses occupations.

Les jours qui suivent, il irait suivre et aider les deux amoureux à atteindre le bonheur parfait...

--Crocblanc
Deux pupilles ocres illuminèrent la pénombre.
Un sourire carnassier laissa entrevoir deux crocs blancs accérés.
La lune de ses timides rayons permis au loup de visualiser les alentours.
Ils étaient là ces satanés et maudits humains! Cherchant de toute part les "bêtes sanguinaires".
Croc blanc sentait l'angoisse les envahir, la peur les rongeait et en léchant ses babines généreuses il imaginait leur fin...
Il fallait les exterminer un à un dans des souffrances inimaginables. Femmes, enfants, vieillards, personne ne serait épargné!
Sa meute non loin de lui, ils commencèrent à avancer à pas de loup. L'obscurité ne laissait entrevoir que des formes mi canidé mi homme à travers les cimes...L'heure était venue...
maman de princesse rose, incarné par Nefi


Les paroles du frère raisonnaient dans sa tête alors qu elles prenaient le chemin de leur chaumière.
Sa princesse rose frissonnante de peur dans ces bras elle hâtait le pas pour bien vite la mettre en sécurité. La nuit viendrait bien vite et il fallait qu elle agisse.

Elle entra dans sa demeure et déposa sa fille dans un fauteuil prés de la cheminée, prés de son père qui était rentrée de sa journée de labeur. À son air il comprit bien vite que quelques choses n allait pas mais ne dit rien et s'approcha de sa fille l'air protecteur.

Les laissant tout les deux, elle se dirigea vers une armoire fermée à clé et l'ouvrit. Se saisissant de sa serpette elle referma la porte et sortit bien vite.

Grimpant avec agilité dans le chêne du jardin elle se cala sur une branche et coupa en prononçant une incantation deux belle boule de gui bien fourni.

Sa tache effectué elle entra dans la grange pour chercher un sac de seigle qu elle persa puis fit le tour de la maison en faisant les graines se rependre sur le sol dans son sillage tout en plasmodiant des formules ancestral dans un langue ancienne. Sa tache achevé elle rentra dans la maison avec ses boule de gui les divisant elle en accrocha un bouquet à chaque portes et fenêtre de la chaumière sous les yeux médusé de son époux qui gardait cependant le silence.

Revenant à son armoire elle en sorti un paquet et le déposa sur la table, retirant le linge élimé qui l enveloppait, elle en sortit deux dague d argent ornée de symboles étrange. Elle était très ancienne et se transmettaient dans sa famille depuis la nuit des temps bénites lors d une assemblé de druides.

Les glissant dans ses ceintures elle revient vers son époux et sa fille et sourit tendrement, la princesse avait fini par s'endormir dans les bras de son père.

On va la mettre au lit et je te conterais ce qui se passe. Il va nous falloir être vigilant.
Papi Mougeot, incarné par Odas
Papi Mougeot n'avait pas trainé pour quitter la taverne et rentrer, une fois n'était pas coutûme, juste avant la tombée de la nuit dans sa petite chambre vétuste légèrement à l'écart de la cité Artésienne.

Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il avait l'esprit tourmenté ne pouvant s'empêcher de se remémorer certains faits ignobles et atroces s'étant déroulés par le passé et mettant en scène .... les loups garous. Il pensait s'être débarrassé de ces affreux souvenirs, mais visiblement ils étaient vivaces et le mettaient dans un bien sale état.

Après s'être calfeutré chez lui, il avait bien essayé de trouver le sommeil ..... impossible .. ces images sanguinolantes ... remplissaient immédiatement son esprit. Il tournait dans son lit, ne sachant que faire, terrifié, emprisonné dans ses angoisses et par cette peur d'une forçe surhumaine.

Il se releva en sueur, les jambes tramblantes, sentant plus qu'un autre jour le poids des années, il se sentait faiblard et n'arriva même pas à avaler ne serait-ce que quelquechose ou même de boire un peu d'eau fraîche.

Il se décida tout de même à sortir, ne pouvant en cette nuitée des plus invraisemblables supporter la solitude. Passant la tête au dehors, il était loin d'être rassuré, un vent mauvais s'engouffra dans ses cheveux et dans son coup, lui raidissant tout son être. La lune était de mauvaise augure et donner aux moindres objets, des ombres et des éclats inquiétants, de minces files de nuages tentaient un coup de forçe, mais en vain.

Il s'avança à tatons dans la nuit et remarqua tout de suite une agitation inhabituelle dans la cité. Certains se barricadaient chez eux, d'autres manifestement, prenant leur courage à deux mains, partaient à la chasse aux loups garous, les pauvres, ils ne mesuraient pas la hauteur et la gravité du danger qu'ils allaient affronter. Il n'eut pas le courage d'aller leur parler.

S'asseyant a l'une de ses places habituelles, il regardait tout ce beau monde s'agiter, tentant d'oublier ce qui le secouait autant .... et priant également pour avoir un peu de compagnie ...... la peur et l'angoisse le rongeant à petit feu.
--La_margot
Trop occupée avec Mathurin, Margot ne prêtait pas attention à la tension qui régnait dans la taverne, elle n'avait pas entendu les propos du moine, qui en grimpant les escaliers ne manqua pas de lui lancer un regard dédaigneux.
C'est sur que sa profession ne faisait pas bon ménage avec la religion, beaucoup de ces bigottes la regardait de travers...Pour sur c'etait pas elles qui donnaient du bon temps à leurs hommes, si ils avaient besoin de tendresse c'etait toujours vers la Margot qu'ils se tournaient!
Elle en connaissait des secrets, c'est que ça cause un bonhomme avant de faire sa p'tite affaire!

Mais pour l'instant c'etait le beau vacher dont elle s'occupait, et il n'etait pas insensible....


Citation:
Dame, je vous offre une 'tite chope ???


Avait il enfin fini par dire....

Qu'il est chou...il m'appelle dame! pas de dame entre nous mon chéri, appelle moi Margot, comme tout le monde, et toi c'est quoi ton ptit nom!

En attendant qu'il lui reponde , elle commande au tavernier deux bières.

Patron, apporte nous deux bières, c'est mon nouvel ami qui m'invite!

Elle le regarde ensuite bien droit dans les yeux, lui offrant son plus beau sourire, les deux mousses viennent d'arriver sur le comptoir, elle se saisit de la sienne et trinque avec lui, puis s'approche un peu plus pres et lui chuchote à l'oreille...

Tu montes avec moi mon coeur, j'ai une belle chambre là-haut, j' pourrais te faire visiter et t'montrer mes trésors cachés....Qu'est ce t'en dit?
Et puis c'est plus prudent d'pas dormir seuls ce soir, on s'tiendra chaud....Il fait nuit noire maintenant, tu pourrais faire de mauvaise rencontre!

Allez dit moi oui! J'te fais un prix!
La.princesse.rose, incarné par Laureline_squire



[[Les cauchemars ne sont en fait que des rêves, en plus réalistes.]]


La chipie était tellement pétrifiée qu'elle n'avait pu marché seule tellement ses jambes tremblées de peur.
On avait pas idée de raconter de tel histoire devant une enfant.
Sa mère l'avait donc ramenée chez eux.
Celle-ci une fois rentrée avait déposée l'enfant dans un fauteuil près de son père qui ne tarda pas a sentir un malaise et à prendre sa fille dans ses bras pour la réconforter.

Après une journée pareil et suivit de quelques histoires conté de son papa la fillette avait finit par s'endormir péniblement dans la bras de celui-ci.

La nuit risqué d'être courte il était sur que le chérubin ferait certainement des cauchemars vue ce qu'elle avait apprit, mais pour l'heure elle rêvée.

Elle rêvait d'animaux tous plus mignon les uns que les autres, Allant de conversations en conversations avec eux, jouant avec eux.
Dans son rêve Chipie allait de rencontre en rencontre mais à chaque fois, à un moment donné la blondinette tombé sur un monstre hirsute avec un peu beaucoup de poil, sortie de l’enfer, avec des grandes dents acérées, et de grandes griffes aiguisées, prés à la dévorer…

A tout les coups la princesse se réveillée en hurlant de frayeur parce que les monstres qu'elle voyait dans ses songes était tous plus horrible les uns que les autres...
--Ratounet


Alors que la nuit tombée, Ratounet était partie en quête de nourriture. C'est donc vers les ruelles de son village natale qu'il s'était dirigé, espèrant trouver aux coins de rues quelques victuailles pour combler son appétit.
Après quelques heures de recherches peu fructeuses, Ratounet se rappella de l'endroit le plus propice à un bon repas. C'est donc sur ses quatres pattes qu'il partie en direction de la taverne Bwork... a près tout, où trouver le plus de restes que près d'une taverne?

Arrivée devant il vit à même le sol quelques restes de légumes, des épluchures ... il se servient et commença donc à grignoter, il y avait de quoi faire un vrai festin de roi. A croire que beaucoup de personnes c'étaient trouvé ici dans la journée !
Grâce à ses pattes avant, Ratounet mangeait donc ce que Mère Nature m'était à sa disposition, bon d'accord c'était plutôt les Hommes que Mère Nature mais quand même !
Didiou qu'il fut triste quand un grand homme sortit et le chassa, essayant de lui mettre des coup de pieds, pour faire enfuire voir même tué le rongeur...

C'est donc le coeur battant la chamade, et la peur au ventre, que Ratounet partie en galopant! Il se dirigea vers la forêt, là bas au moins personnes ne le dérangerai.
Après s'être calmer, il cherche par ci par là, de quoi se mettre sous la dent, plus par gourmandise que par faim certes ! quelle ne fut sa surprise quand il tomba sur quelques crétures, jamais vu auparavant...

Beurk, quelle minstruosité, sont franchement moche ces bestioles ! Des poils partout partout, de grands crocs... pas l'air très gentils en plus !
Ratounet rester là, à les observer, se cachant dans les bosquet de notre forêt. Les Choses, avaient l'ai quelque peu excitées, cherchant surement de quoi manger...
Ombeline
Post rédigé par un des loups mais déposé suite à sa requête (absent pour des raisons hrp).



PNJ Oeil de vert



Oeil de vert était affamé. Avec sa meute, il arriva tout droit dans une ville. Les odeurs lui faisaient déjà léché ses babines. Il savait déjà qu'il allait se régaler. Quelques proies par ci, des autres par la. Certains ricanaient, d'autres étaient plus inquiets.

Oeil de vert, un oeil crevé se fiait beaucoup à son odorat et à son ouïe. Lui, cherchait la chair bien ferme, le sang bien rouge et les os croquant sous ses canines. Il se délectait déjà et l'eau devenait abondante dans sa gueule. Il ne fallait plus attendre.

Un regard aux autres loups, levant sa truffe afin d'indiquer une direction, il suivait tous ses sens qui lui restait.

Il renifla deux trois fois, et enfin, trouva la victime idéale. Il s'arrêta, abaissa ses deux pattes de devant, prêt a bondir mais attendit que les autres avancent au devant de lui. Tel était son rôle dans la meute. Il ne mordait jamais la victime en premier. Il était vieux et laissait les loups se charger de tuer la proie avant de partager son sang.
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