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[RP] Terreur de Loup Garou

--Jacquotte


La nuit précédent le drame

En faisant son marché, oh pas grand chose, quelques legumes pour faire une soupe, une activité un peu différente avait eveillé la curiosité de Jacquotte.
Des villageois venaient la voir, pour des remedes,parait qu'elle avait des dons, on disait aussi qu'elle etait un peu sorcière.
Elle jetait des sortilèges.
Mais ce jour là...Elle se pressa dans la foret.
Elle le pressentait, sa corneille aussi, elle etait nerveuse, battait tout le temps des ailes.
Les bêtes immondes etaient en ville!
Apres avoir trouvé les plantes qu'elle voulait, un serpent, un crapeau...
Elle rentre chez elle, prepare ses fioles, et fait bouillir sa marmite dans l'atre de la cheminée.
C'est pas tout ça mais faut preparer la soupe aussi.
Elle decoupe alors en petits morceaux les ptits animaux et les fait macérer avec de l'alcool.
La nuit descend alors, elle regarde à sa fenetre...la lune sera pleine demain.
Sa corneille s'excite, elle sent la mort.
Une pauvre ame va périr...bientot surement.
Elle connait le secret de la vie et de la mort, elle prepare alors ses potions,il faudra que tout soit pret le jour venu .
--Oeil_de_vert


Dans l'ombre, il attendait. Le vieux borgne comptait bien sur ses acolytes pour lui apporter cette viande qui le faisait tant saliver depuis qu'il l'avait senti. De droite a gauche, il avancait en laissant sortir des grognements, laissant sa langue caresser ses babines et faisant decouvrir ses crocs acérés.
La femme avait peur et des cris se faisaient entendre. Elle se debattait et croc blanc infiltra ses crocs dans le cou de la jeune femelle.
Le sang coula doucement le long du cou de la proie. Il s'avanca, renifla cette viande prête à être engloutie par les quatres loups.
D'un coup de langue, il goutta ce sang. Il le va sa tête, redressa son corps et poussa un cri long et rauque.

aaaaaahooooouuuuuuuuuuuuuuuu

--Grand.mama
Grand-mama avait entendu la rumeur qui courait. Non ! Des loup garous ! Impossible ! Ils allaient tous mourir à jamais !!!!! Le soir en allant se coucher elle grelottait tellement elle avait peur. Elle réussit malgré son dos à se hisser dans le lit couvert d'édredon. Elle s'enfouit dans les couvertures.
Mais..... Ce que grand-mama ne savait pas c'est qu'elle avait oublié de fermer sa porte....
--Patte.sombre
PatteSombre avait traqué la femme dans près de la taverne avec les 3 autres. Ils attendaient le moment idéal, pour l'effet de surprise. De ses yeux gris, il observait chacun des gestes de sa proie. Leus Warous bondit devant la proie qui figea de peur. PatteSombre et Croc-Blanc plaquère la victime au sol par derrière. Le Sombre lui arsena un grand coup de patte à la tête, ce qui laissa à la victime avec une grande marque de griffe au visage. L'odeur du sang frais ne faisait qu'agrandir sa fin. la victime se débattais encore, bien vivante, saignante. Le Loups poussa un long hurlement qui déchira la nuit:

-AAAAAAOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUU!
Frère Walde (MDJ), incarné par Ombeline
[RP: Terreur des Loups en Artois -/- Acte 2 – Seconde journée / Les loups ont-ils tués cette nuit ? / Election du Capitaine - aux alentours du Bwork brûlé]




Frère Walde avait bien hâte de regagner sa chambre louée pour quelques écus. Il en fit le tour, observa l’extérieur de sa fenêtre. La nuit avait déjà déposée son velours sombre, quand à la lune, elle était comme il l’avait annoncé quelques heures plus tôt, haute, ronde et brillante. Il aperçut quelques silhouettes se regroupant, munies d’armes, de sacs. Certains villageois avaient décidé de prendre les devants. Ils ne se rendaient sans doute point compte des risques encourus. Il ferma les volets puis prit soin de barricader la porte de sa chambre avec une vieille commode. Il se dévêtit puis se prépara pour la nuit.

Allongé sur son lit, il ferma les yeux un court instant et se repassa en tête tous les visages entraperçus dans la grande salle de l’auberge du Bwork brûlé. Parmi ceux-ci l’homme sentait au plus profond de son être, flotter dans les airs des âmes bien noires et d’autres bienfaitrices.

Peu à peu, Frère Walde plongea dans les brumes du sommeil, rêvant de ces âmes bienfaitrices qui protégeraient les villageois. Moult fracas le réveillèrent en sursaut..

Par Aristote, que se passaient-ils donc dans l’une des chambrées ?
Marmonnant, il rappela que l’auberge était aussi habitée par de ces femmes de peu de vie, gagnant quelques piécettes en échange de frivolités charnelles ou autres activités plus lubriques et perverses. Pfff, tout ce tapage pour cela … Ces gens pourrait laisser les autres dormir en paix, tout de même… Devait être cette Margot donnant du bon temps à ce malheureux vacher. Arfff. Mais bon, c’est incroyable, tout de même, de faire autant de boucan. Il irait se plaindre dés l’aurore au propriétaire de ce bouge. Il attrapa l’une de ses gourdes en peau de chèvre et en but une bonne rasade. Cette décoction lui permettrait de dormir comme un bienheureux sans se soucier des cris avoisinants. Il entendit de nouveaux cris, presqu’inhumains, des râles de bêtes … Par Aristote, ce n’était pas possible que ce ne soit des galipettes qui font cela, bondieu, les lyncans … mais il ne put cogiter plus, la décoction venait de faire son office et il s’endormit aussi sec.


Le jour se leva sur le petit bourg. Dans le poulailler d’Enguerrand, le chant du coq retentit.
Se souvenant des cris durant la nuit, Frère Walde se hâte de débloquer sa porte et sortit dans le couloir, inquiet. Allait-il trouver une victime ? Il longea les couloirs tout en émoi, et serrant sa croix entre les doigts. Rien, il ne vit rien d’anormal… Si ce n’est …

Prudemment, il posa un genou à terre, et frotta le sol. Une boule de poils… une griffure dans le plancher … pas assez pour affirmer que c’étaient eux. Et pis, aucun autre dégâts apparemment … quoique l’une des portes d’une chambre semblait neuve mais il ne pouvait dire si cette dernière fut remplacée dans la nuit, n’ayant guère prêté attention la veille à cette partie du couloir, zone de ces marchandes de bonheur.

Il décida de faire une excursion à l’extérieur pour récolter, peut-être des indices d’un quelconque passage.

Frère Walde rencontra le propriétaire de l’auberge en train de réparer avec les moyens du bord l’une des portes de derrière. Il était en furie contre la ou les auteurs de ce vandalisme. Le moine ne dit mot, inspecta les planches de bois éparpillées au sol, et palabra avec le propriétaire. Il fit le tour de la grande bâtisse, et des alentours. Quelques minutes plus tard, le fin limier sommeillant en lui, avait trouvé ce qu’il cherchait.

Traces de sang et griffures sillonnant le sol et les planches d’un des volets mais aussi sur les lambris plus ou moins intacts de la porte de derrière … des griffes acérées avaient laissé leur marque bien plus loin dans un tronc d’arbre… des branchages étaient aussi brisés… quelques boules de poil jonchaient la terre.

Pas de doute, ces prédateurs étaient venus ici, cette nuit… Par Aristote, à quelques mètres même de sa propre chambre… Et dire, qu’il dormait comme une marmotte. Mais pas de dépouille… Auraient-ils été dérangés ? Leur proie avait-elle eu le dessus ? Avait-elle été protégée par l’une des âmes bienfaitrices ? Seul Aristote pouvait le dire ou encore cette meute sanguinaires et leur cible. Ne pouvant apaiser leur faim, possible qu’ils se soient vengés sur une proie plus facile… des poules…une vache… Enfin, il l’apprendrait sans doute assez tôt, pour l’heure, les faits étaient là : les loups avaient pris le village pour terrain de chasse.


Il fit quérir de nouveau les habitants afin de les informer, et leur présenter les preuves de leur présence. Il ne pouvait plus le prendre pour un vieux fou sénile. Du moins, le nombre d’esprits étriqués se verraient, nul doute, réduit de moitié.

Les villageois se rassemblèrent devant lui, dans la grande salle de l'auberge du Bwork brûlé. Frère Walde s’adressa à la foule.


Villageoises, villageois

Aucun villageois n'a succombé aux morsures des lyncans cette nuit !

Toutefois, nous ne devons point nous réjouir trop vite car j’ai récolté la preuve matérielle de leur présence en ces lieux. Ils ont visité l’auberge du Bwork brûlé. Le propriétaire pourra confirmer mes dires et vous montrer l’une de ses portes.

Il est temps à présent, d’élire l'un d’entre vous qui guidera les conciliabules. Oui, temps d’élire un capitaine. Son vote sera double.


Il regarda les visages tour à tour.

Qui parmi vous se porte volontaire ? Lequel d’entre vous, se sent l’âme d’un guide ?






[HRP ON : Bien à ceux qu’ils veulent se faire élire Capitaine et guider les villageois se présentent.
Aucune victime n’a été donc achevé par les loups, sauvée par elle-même, ou par le salvateur ou encore la sorcière…Quoiqu’il en soit, elle a eu chaud aux fesses pour cette fois.^^
Après l’élection du Capitaine, nous passerons à l’étape du bûcher. HRP OFF]
--Crocblanc
La nuit avait était dure. Beaucoup d'agitation, une lutte sanglante avait eu lieue dans l'auberge...
Mais hélas les lycans restèrent sur leur faim. Alors que Croc blanc maintenait la victime prisonnière et que ses frères s'apprêtaient à la dévorer, ils furent surpris...Une bande de villageois les attaquèrent par surprise jetant sur eux flambeaux et armes.
Les colosses essayèrent de faire face mais ils étaient trop nombreux...Croc blanc fut légèrement bléssé à une de ses pattes arrières. Un petit homme bedonnant, dans un cri de fureur lui avait planté une dague...
Voyant que la situation n'était plus en leur faveur par un signe de tête ils décidèrent de s'enfuir.
Lachant la proie avec un pincement au coeur, ils traversèrent l'une des portes en bois pour se réfugier dans la pénombre des bois.
Leur haine déjà bien présente par cet incident ne fit que croître, les représailles seraient sans limites.
Lorsque enfin les premiers rayons de soleil firent leur apparition, ils disparurent tels des fantômes pour mieux revenir hanter le commun des mortels...
--Mlle_strawberry
Les villageois commençaient à se réveiller doucement, tirer de leur lit par les faibles rayons du soleil qui filtraient entre les volets, le gazouilli des premières mésanges de la journée... Cela pouvait être une journée parfaite si seulement Mlle Strawberry ne devait pas quitter son tendre. A présent que le jour était levé, ils pouvaient être surpris par n'importe quel villageois qui passait dans les environs.

Mon coeur il faut s'en aller maintenant...on risque de nous suprendre.

La femme l'embrassa furtivement avant de tourner les tâlons et de disparaitre derrière une fourré. Elle allait reprendre sa vie de villageoise et faire comme si cette escapade nocturne n'avait pas eu lieu.
--Grand.mama
Un homme avait réunis les villageois et avait dit :

"Villageoises, villageois

Aucun villageois n'a succombé aux morsures des lyncans cette nuit !

Toutefois, nous ne devons point nous réjouir trop vite car j’ai récolté la preuve matérielle de leur présence en ces lieux. Ils ont visité l’auberge du Bwork brûlé. Le propriétaire pourra confirmer mes dires et vous montrer l’une de ses portes.

Il est temps à présent, d’élire l'un d’entre vous qui guidera les conciliabules. Oui, temps d’élire un capitaine. Son vote sera double.
"

Grand-mama sortit de la foule et s'approcha de l'homme, Elle se tourna vers les villageois :

"Bonjour, je suis grand-mama, je préfère ce nom que mon prénom que personne ne connait vraiment. Il est vrai que je ne suis qu'une grand-mère, mais écoutez moi tout de même. Lorsque le capitaine sera élut, les loups, à coup sûr, s'en prendrons à lui. Or, vous êtes tous bien jeunes, moi j'ai vécut je connais la vie par cœur et je n'ai rien d'autre à voir. Si quelqu'un doit mourir c'est... C'est bien moi... Nous ne pouvons pas laisser de si jeune personne comme vous mourir ! Vous avez tant de choses à voir encore ! Et puis, dans le temps, j'avais assez de logiques, je en sais pas si c'est encore le cas mais... Ca vaut le coup d'essayer non ? Mais, il est possible que je vous déçoivent, comme chaque personne ici. Donc c'est à vous de choisir.
Sveltana, incarné par Enelos




[i]Sveltana s'éveilla au gazouillis des jaseurs et des mésanges. Des colombes roucoulaient plantivement et des geais défendaient leur territoire bruyament à grand renfort de battement d'ailes. La jeune femme fut aveuglée lorsqu'elle ouvra les yeux, le soleil baignait abondament son séjour. Il devait déjà faire bien jour, les cloches du villages sonnaient les 10 heures. Elle avait du s'endomir sans s'en rendre compte dans son fauteuil moelleux. Bizarement, aucun loup garou n'était venu pertuber son someil.
Elle enleva sles bijoux en argent qu'elle portait et entreprit de faire sa toilette matinal. Après s'êtres séchée, vêtue et après avoir démêlé sa longue chevelure, elle sortit de chez elle et arriva à la taverne du Browk Brûlé.

Arrivé, la jeune femme apperçut un atroupement autour d'un homme. Elle se fondit dans la foule et écouta.
Salut la compagnie !
Frère Wald était là, s'adressant aux clients. Apparement il disait qu'il n'y avait eu aucune victime cette nuit et qu'il avait les preuves matériels du passage des loups garous. Sveltana écarquilla les yeux. Il y avait donc vraiment des loups ce n'était pas des histoires !! Sa aurait pu être elle qui serait passé sous les griffes de ces bêtes... Elle était soulagée d'apprendre qu'il n'y avait eu aucune victime, mais sentait la peur l'envahir peu à peu. Les loups étaient là. Elle venait juste de se rendre compte de la gravité de la situation. Il fallait agir au plus vite et faire fuir ces monstres.

Il est temps à présent, d’élire l'un d’entre vous qui guidera les conciliabules. Oui, temps d’élire un capitaine. Son vote sera double.
Qui parmi vous se porte volontaire ? Lequel d’entre vous, se sent l’âme d’un guide ?


La rousse, prit dans un élan de courage, joua des coudes pour se frayer un passage entre les personnes présentes et leva son poing en direction du vieux Frère Wald, volontaire à mener la traque.

Il faut chasser ces bêtes !! Les faire fuir, les faire rotir sur le bûcher !! Je me porte volontaire pour nous mener vers la victoire contre ces sales bestioles ! Ils vont voir de quel bois nous nous chauffons quand on vient pertuber notre tranquilité !
Sveltana, incarné par Enelos
désolé on a posté en même temps je continu ...




Sveltana apperçut une dame, d'âge bien avancer déjà, jouant des coudes jusqu'au Frère Walde. Elle disait que si quelqu'un devait mourrir c'était elle car elle était plus vieille et avait déjà vécu de belles choses... La vieille ne disait pas faux, mais comment une vieille dame pourrait mener les villageois à la victoire? A cette âge la elle doit être déjà à moitié aveugle, ses réfléxes plus aussi rapide qu'à l'époque de son jeune âge... Non, il faudrait plutôt quelqu'un en bonne condition physique et prêt à s'engager dans cette difficille tache. Sveltana s'éclaircit la voix et s'adressa à la Dame.

Madame, ne croyez vous pas plutôt que la personne qui menerait les villageois vers la victoire devrait être en pleine forme? Vous avez l'air déjà bien vieille, pensez à vos petits enfants s'ils apprenaient que leur grand maman se serait dévoré par un méchant loup? Ils en feraient des cauchemards la nuit ! Je n'ai rien à perdre, je n'ai ni enfant, ni mari et la seul chose que je voudrais c'est de voir partir ces loups garous, au risque d'y laisser ma vie. Ne croyez pas que sa serait plus judicieux pour notre village?
--Grand.mama
"Ne dites pas que vous n'avez rien à perdre ! Qu'en savez vous ! Et puis... Mes petits enfants sont morts ! Tous morts dans un grande épidémie ! Oui tous morts !! Croyez vous vraiment n'avoir rien à perdre ? Je ne le croit pas ! Réfléchissez mon enfant, réfléchissez bien !"
Sveltana, incarné par Enelos
Sveltana regarda la vieille, elle avait plus à perdre qu'elle.

Ma dame ce n'est plus de votre âge de courrir après les loups vous ne croyez pas? Vous risquerez de vous bloqué votre vieux dos tout âbimé avec les âges... Ce serait un handicap pour les villageois! Je suis en bonne santé, aucun problème. Et j'ai peut être quelque chose à perdre, mais il n'y a pas de prix pour sauver la mort de tout les villageois. Et je me sens prête à mener les troupes vers la victoire !
Nirina
La nuit avait été terrible et éprouvante...Nirina était exténuée.
Après avoir passé la majeure partie de son temps avec les chasseurs , elle avait été voir ses chevaux ....ils étaient si nerveux!!!!! elle avait mis des heures à les calmer!!!!

Quel bonheur quand elle vit le soleil se lever.....la terreur s'enfuyait, les ombres disparaissaient, le moindre buisson s'éclairait et le gazouillis des oiseaux reprenait ...

Il lui fallait libérer ses deux amis maintenant ....elle ne pouvait pas les laisser enfermer trop longtemps....ils avaient vraiment horreur de ça!!!!

En rentrant chez elle , elle décida d'aller prendre un petit remontant.
Le vieil homme était là , entouré de quelques villageois , il parlait d'un guide, un capitaine plus exactement mais Nirina ne pensait plus qu'à une chose ...retrouver son duvet et son oreiller douillet!!!!
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Damefrenegonde


Fréné n'avait pas fermé l'oeil de la nuit. Restée devant chez elle elle avait guettait les troupements éclairés qui passaient et repassaient.
Des cris avaient fendu l'obscurité à plusieurs reprises et la belle compris à ce moment qu'ils étaient là...
Se barricadant comme elle pouvait, l'épée contre sa poitrine elle priait Aristote qu'un miracle se produise.
Les faibles rayons du soleil infiltrèrent sa chambre, elle eu un soupir de soulagement, avec l'arrivée du jour les loups avaient dû regagner les bois. Elle était saine et sauve et remercia le ciel pour cette attention.
Après une toilette sommaire, elle se dépêcha de quitter sa maisonnée afin de se rendre aux nouvelles.
Parcourant les ruelles elle remarqua d'autres villageois se rendre dans la même direction qu'elle. Arrivée devant l'auberge son sang se glaca, il y avait eu du mouvement cette nuit à en voir l'état de celle ci.
Des portes défoncées, des griffures encrées dans le bois, ils s'en étaient donc pris à l'un des résident de l'auberge.
Malgré la foule elle se faya un chemin jusque dans la grande salle où elle entendait la voix portante du saont homme.
Elle l'écouta attentivement, elle ne s'était pas trompée...Les lycans avaient bien attaqué cette nuit mais par miracle aucune mort n'avait été détecté.
La belle se sentit rassurée, dans sa bonté Aristote avait épargné les innocents. Mias l'heure était grave il fallait agir au plus vite car cette chance ne se reproduirait peut être plus.
Il fallait désigner un capitaine pour mener à bien les troupes, elle regarda autour d'elle les différents visages...Elle n'avait confiance en aucun d'eux, mais il en fallait bien un. Une vieille femme se proposa, Fréné sentit qu'elle était sincère mais ne savait si ce choix serait judicieux.
Elle attendit donc l'avis des autres concitoyens...

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--Grand.mama
"Bien, bien, grand-mama va se recoucher et attendre de se faire manger. Après tout c'est vrai j'suis trop vieille, mais y'en a là dedans ! (elle se frappa doucement le crane) Et puis tant pis ! J'aurais pa sfais grand chose de bien dans ma vie !"
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