Edouard_de_noireterr
Le jeune bâtard était à son poste devant la porte, prêt à rentrer si on l'appelait comme il avait lu qu'il devait faire.
On sait maintenant en effet que Édouard est bête et discipliné, Aussi restait-il à portée de voix d'une reine, et ne sachant pas trop quelle était la portée d'une voix de reine, alors il restait réellement tout contre la porte, les fesses contre l'huis.
C'était idiot au demeurant, si quelqu'un ouvrait la porte, un fessier de bâtard se serait retrouvé au sol. C'est ainsi qu'il réfléchissait, essayant de se remémorer les cours de Sylvestre concernant les blasonnements.
Equerre ? Enquerre... Je sais plus tiens marmonnait-il dans sa barbe pourtant rasée de prêt. Toujours est-il qu'il ne perdait pas de vue, ou plutôt douïe la porte. Et vl'à t'y pas que :
SCHOOOOOUUUUMMMM !
Il ne savait absolument pas ce qu'il se passait, ni que le connétable était là, et qu'il était en partie responsable du bruit du reste, et que donc la reine était parfaitement en sécurité... Même si sous le pansu fessard de l'ex et de la future duchesse de Touraine, (les deux en même temps)
Bref, dans l'ignorance dans laquelle il était, et au vu du courage idiot qui était le sien, voici donc Edouard qui se précipite dans la salle du trône, pour s'assurer que la reine n'est pas en danger. Après tout, la Touraine est peut-être une fourmilière de despote, et d'indépendantiste non ?
Majesté ! Tout va bien ? Hurle-t-il bêtement, portant encore plus bêtement la main à la ceinture vide. Car oui, il n'avait logiquement pas pris son épée, le voilà donc les bras ballant devant un tas de tissus qui semblait se relever pour faire une révérence.
Et donc, ce tas de tissus était donc l'ex et futur duchesse de Touraine, encore elle.
Et voilà notre héros bien con devant la reine, Alvira et un homme qu'il ne connaissait pas mais qu'il devinait important vu que lui, il était armé...
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On sait maintenant en effet que Édouard est bête et discipliné, Aussi restait-il à portée de voix d'une reine, et ne sachant pas trop quelle était la portée d'une voix de reine, alors il restait réellement tout contre la porte, les fesses contre l'huis.
C'était idiot au demeurant, si quelqu'un ouvrait la porte, un fessier de bâtard se serait retrouvé au sol. C'est ainsi qu'il réfléchissait, essayant de se remémorer les cours de Sylvestre concernant les blasonnements.
Equerre ? Enquerre... Je sais plus tiens marmonnait-il dans sa barbe pourtant rasée de prêt. Toujours est-il qu'il ne perdait pas de vue, ou plutôt douïe la porte. Et vl'à t'y pas que :
SCHOOOOOUUUUMMMM !
Il ne savait absolument pas ce qu'il se passait, ni que le connétable était là, et qu'il était en partie responsable du bruit du reste, et que donc la reine était parfaitement en sécurité... Même si sous le pansu fessard de l'ex et de la future duchesse de Touraine, (les deux en même temps)
Bref, dans l'ignorance dans laquelle il était, et au vu du courage idiot qui était le sien, voici donc Edouard qui se précipite dans la salle du trône, pour s'assurer que la reine n'est pas en danger. Après tout, la Touraine est peut-être une fourmilière de despote, et d'indépendantiste non ?
Majesté ! Tout va bien ? Hurle-t-il bêtement, portant encore plus bêtement la main à la ceinture vide. Car oui, il n'avait logiquement pas pris son épée, le voilà donc les bras ballant devant un tas de tissus qui semblait se relever pour faire une révérence.
Et donc, ce tas de tissus était donc l'ex et futur duchesse de Touraine, encore elle.
Et voilà notre héros bien con devant la reine, Alvira et un homme qu'il ne connaissait pas mais qu'il devinait important vu que lui, il était armé...
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