Naestho
Refoulés manu militari par la garde, le reître et un groupe de badaud se font entraîner vers une artère du réseau pavé qui alimente la place.
Un pas en avant pour les gardes, un pas en arrière pour le groupe.
Les insultes fusent, les corps se bousculent, on relève ceux qui chutent. Épaules contre épaules cette association de boutiquiers désarmé quittera la place mais personne ne tournera le dos aux soudards de métier.
Prenant à parti des royalistes lui faisant face.
« La raison de tout cela ? Empêcher une propagande ? Mais faite moi rire, notre meilleure propagande cest bien vous !
Vos purges, les exactions que vous appelez justice cimentent notre résistance, liant toujours plus la population encore indécise à ceux qui vous font bloc.
Vous auriez un minimum dentendement quvous vous enfermeriez vous-même au cachot en jetant les clés par les meurtrières. Privé d'action, voilà c'qui lutterait au mieux contre cette propagande que vous voulez combattre. »
En nouveau pas en arrière ponctué dun grognement alors quune hampe lui frappe les côtes, expulsant lair de ses poumons bien plus vite que lexpulsion en cours sur la place.
Un pas en avant pour les gardes, un pas en arrière pour le groupe.
Les insultes fusent, les corps se bousculent, on relève ceux qui chutent. Épaules contre épaules cette association de boutiquiers désarmé quittera la place mais personne ne tournera le dos aux soudards de métier.
Prenant à parti des royalistes lui faisant face.
« La raison de tout cela ? Empêcher une propagande ? Mais faite moi rire, notre meilleure propagande cest bien vous !
Vos purges, les exactions que vous appelez justice cimentent notre résistance, liant toujours plus la population encore indécise à ceux qui vous font bloc.
Vous auriez un minimum dentendement quvous vous enfermeriez vous-même au cachot en jetant les clés par les meurtrières. Privé d'action, voilà c'qui lutterait au mieux contre cette propagande que vous voulez combattre. »
En nouveau pas en arrière ponctué dun grognement alors quune hampe lui frappe les côtes, expulsant lair de ses poumons bien plus vite que lexpulsion en cours sur la place.