Joulius
arque un sourcil à la réponse de la comtesse taquin
Je m'en doutait qu'elles rêvais toutes de mon corps rit
Rhalala s'il ne faut que cela, ont verra après quelques verres , et que cela est moins cérémonieux
Il s'avança vers Mari pour prendre un verre , et après l'avoir lever pour trinquer suite à la Comtesse il prit quelques gorgés en attendant la suite .
Anefleur03 Ane répondit à Patou, de manière pas très convaincu :
Je passerais oui.
Puis aux paroles de la comtesse elle fut prise d'un doute et inspecta son uniforme. La chemise rose, ok. La tunique rose, ok. Les braies roses, ok. Les bottes roses, ok. Les paillettes, ok. Elle en avait même dans sa poche si besoin. Elle ne voyait pas ce qu'elle pouvait avoir oubliée...
Pattricia_lcddm
L'espace temps s'est figé et les deux rousses -qu'on ne brûle pas tss...- sont face à face. Machinalement, Patt a pris le verre que lui tend Mari.
Ca va... Merci.
C'est toujours perturbant quand un dialogue c'est interrompu d'un coup, sans dispute juste avec des rancunes qui étaient bien dépassées désormais. Avec les évènements de ces derniers mois, la Languedocienne s'était débarrassée de son côté rancunier, "à part envers Ari, pour lui c'était mort !" et du coup l'appeler la vindicative n'avait plus lieu d'être. Elle était passée à autre chose et considérait les évènements sous un autre angle.
Quand une main se pose sur son épaule, instinctivement elle sourit, elle sait qu'il s'agit de la Vilaine Brune, elles s'étaient beaucoup parlé deux ou trois jours plus tôt, elles s'étaient tout dit, il n'y avait plus qu'à agir.
Elle tourne juste son visage souriant pour rencontrer le regard de Key avant que celle-ci ne s'éloigne puis tend son verre vers Mari.
Merci pour le verre, trinquons tu veux bien ?
Mari n'a pas le temps de lui répondre qu'une tornade rose lui tombe dessus pour un câlin ponesque -enfin une qui ne veut pas bruler les rousses !- ce qui ne laisse d'autre choix sur le coup que de lui rendre son étreinte. Avec un petit sourire provocateur, Patt renchérit.
Et oui je suis venue Bonbon Rose d'Amour !
J'avais des affaires urgentes à régler en PA alors autant joindre l'utile à l'agréable.
Nous avons déjà notre verre Mari et moi, je te laisse te servir nul doute que tu t'en sortiras très bien.
Elle se marre et s'écarte afin de laisser la Prévôte se servir. Patt se penche vers Mari et retend son verre.
Trinquons de suite après ça sera mort avec les tornades ponesques !
Les jades n'en observent pas moins ce qui se passe autour d'elles et c'est un prêtre qui fait son entrée, égale à elle-même, Patou l'accueille et prend en charge sa vie sociale. La rousse sourit, si il y en avait bien une qui était à sa place dans le Conseil Comtal c'était Patou. C'est ensuite sa marraine Trucmachinchosiste qui arrive affublée d'un mouflet "gné ?????" et qui les snobe, un peine un vague salut de la main, pour foncer avec son nouvel ami en direction des boissons.
De là à ce que les deux frangines se télescopent devant le buffet on est mal Mari. Je te propose une retraite discrète en direction de Chevalier et Hagos qui viennent d'arriver et que j'aimerais saluer. Ca te va ?
Nan parce que se retrouver dans l'oeil du cyclone hein... elle est pas suicidaire la rousse, notez qu'en se moment ça serait le comble en plus.
Matpel Saleté de cadran solaire qui ne marche pas ! Ben oui, c'était pas sa faute au pas roux, c'était le cadran solaire, je vous dis. Et il avait fallu que la Comtesse ELLE MÊME vienne le chercher chez l... chez heu ... à la taverne, donc dans le temple de sa femme (non, ce n'est pas une expression québécoise) alors que Matpel s'adonnait à la méditation pour implorer Sainte Boulasse de lui apporter des bottes fourrées. Vous allez me dire que c'est le monde à l'envers, vu que c'est Sainte Boulasse qui lui en réclame mais bon, faut tenter hein, sinon on n'obtient rien.
Voilà donc le pas roux, celui là même qui déteste être à la bourre, se pointant sur la grand place avec quelques minutes de retard.
Comme à son habitude, il scruta la foule un instant à la recherche de sa rose dulcinée, qu'il ne manqua pas de trouver en moins de temps qu'il ne faut pour s'écrier "Poney rose !".
Bonjour !
Bonjour !
Pardon !
Mille excuses, bonjour !
Bonjour !
Excusez moi !
Pardon !
Bonjour !
Chouette, il y avait plein de monde. Et que des gens respectables ou presque. On croirait le PA à la grande époque. Arrivé aux côtés de sa douce :
Salut, Votre Excellente. ERK ! Rugit-il
Qu'est ce que c'est que cette chose pendue à ton bras ?