[RP] La Grand place

Orthon

Orthon regardait la grand place se remplir. Il alla saluer Fofinah qu'il connaissait depuis fort longtemps puis il s'avança vers Phyla.

Je suis content de vous voir Phyla. Rodown ne doit pas être bien loin dit-il en cherchant du regard au milieu de la foule. Tenez, voici un verre, cela vous fera patienter gentiment.

Un mot à chaque maire, une attention à chaque invité, Orthon se dirigea vers Mari qu'il bisouilla, amie fidèle de très longue date. Il serra les mains de Chevalier et de Hagos. Le père Kaleb a la buvette avait fort attaqué les verres de vin chaud.

Alors mon père dit Orthon en lui donnant un coup de coude volontaire, faites gaffe si vous vous retournez, votre soutane est relevée derrière !!

Puis le laissant, ne sachant pas s'il avait compris le message, il se mit sur le côté, observant l'assistance.
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Sybille_d_angoulm

L'ombre observait. Un pincement au cœur si c'était possible la gagnait. Silencieuse, tourmentée, elle voulait suivre les événements.

.mahaut.

- Ho mais regarde, on a raté des gens, là bas ! Liamm ! Siffle fort dans ton sifflet pour qu'elles nous voient ! Youhouuuuu, Patt, Key, Patouuuu, Marriiiiiii ! Tape fort sur ton tambour, n'hésite pas, c'est plein de soldats, ils sont habitués. Au pire ils se mettront au garde à vous, c'est toujours amusant.

La brune rechaussa rapidement son cache oreilles et fit de grands signes à celles qu'elle avait ratées. Si ce n'était pas malheureux de venir voir plein de gens et d'en rater la moitié juste parce qu'on a un enfant à côté de soi... elle prit note de bien refermer sa porte à double tour le soir au cas où Roudoudou prétextait un oubli de jeu de cartes. On était jamais trop prudents.
D'ailleurs...

- Liamm, regarde ! C'est ton tonton ! la vache ça fait tarte dit comme ça... C'est ton oncle ! regarde un peu cette prestance, cette classe, ce... ce retard, oui, mais bon, ce retard nooooooble !

Radieuse, la brune se pencha pour voir s'il venait les bras chargés d'un paquet pouvant contenir une (ou deux) paire(s) de bottes. Voyant qu'il n'en était rien, elle fronça les sourcils en ôtant son cache-oreilles.

- Salut, Votre Excellente.
- Mon coq de bruyère iridescent !
- ERK ! Qu'est ce que c'est que cette chose pendue à ton bras ?
- Liamm ! Ton neveu ! Dis-lui bonjour, tu verras, il ne mord pas. Enfin c'est le fils de Flex, quand même donc bon... ON NE LEVE PAS SON EPEE SUR UN ENFANT EN PUBLIC ! Figure-toi qu'il a adopté Myrmillmze et Orka. Il les appelle papa et maman. Mouahahah... Liamm, tu veux bien arrêter de taper sur ton tambour un instant ? Liamm ? Bon sang...
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Keyfeya

Bon à un moment la picole c'était bien mais fallait quand même se mettre au boulot, la brune grimpa donc sur l'estrade, faisant signe à Mahaut soit elle lui répondait à son coucou, soit elle lui intimait de se taire et de faire taire le gamin qui la suivait aussi dans la foulée, allez savoir.

Elle s'interrogea un instant sur les moyens de faire silence et se dit que sa voix qui portait loin ferait le travail.

Gaaaaaaaarde à vous !

C'était un bon moyen !

Prévôt, Capitaine si vous voulez bien me rejoindre, nous allons commencer la cérémonie.

Je tiens avant tout à remercier les personnes présentes ce jour, c'est toujours agréable de voir du monde sortir un peu de chez soi, et accompagner les récipiendaires de cette cérémonie.

Sachez avant tout, qu'il a fallu du travail pour retrouver les médailles qui avaient été remises jusque là au sein de la Compagnie d'Ordonnance et c'est avec l'aide de quelques vétérans que nous avons pu les retrouver pour leur rendre une nouvelle jeunesse. Ce fut notre choix de remettre au gout du jour ses médailles plutôt que d'en refaire faire des nouvelles. En effet, nous pensons que si le passé peut être loin, il n'en reste pas moins l'histoire du Périgord Angoumois, qu'il faut savoir faire perdurer.

Voilà bien longtemps qu'une cérémonie de ce genre, n'a pas eu lieu en Périgord Angoumois, comme si, risquer sa vie et porter haut sur les champs de bataille les couleurs du Périgord Angoumois, ou que l'engagement sur le long terme pour notre Comté était considéré comme naturel. C'est sans compter le courage, et l'abnégation qu'il faut pour cela. Le Conseil Comtal a donc décidé de remettre en avant ses services de sécurité qui œuvrent trop souvent dans l'ombre et qui pourtant sont garant de notre sécurité. Et d'honorer ses hommes et ses femmes dont on n'entend trop peu parler.

Nous commencerons par les services de Prévôté. Que le Baron de Castelnaud s'avance, Messire Doc de Sade.

Prévôt Orkaange, nous vous laissons la parole.
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Noahm

Quoi ???? Ma soutane était relevée par derrière et personne ne me l'avait dit ????? J'en avais avalé de travers ma gorgée de vin chaud. Depuis tout à l'heure, la foule pouvait admiré mon vénérable fessier ? Il fallait réagir et tout de suite. Le plus discrètement possible, je passais ma main dans mon dos et j'essayais tant bien que mal de faire descendre cette fichue soutane. Celle-ci refusant que recouvrir mon séant, je n'avais pas d'autre solution que de me retourner. Et arriva ce qui devait arrivé. Comble de malchance, mon fessier se colla contre la marmite de vin chaud. Si on avait pu réellement voir de la fumée sortir de mes oreilles, je crois que ce se serait vraiment passé. Heureusement que Patou m'attira plus loin. Elle n'avait surement pas idée qu'elle venait de sauver la vie de mes fesses et de refaire par la même occasion retomber la soutane sur celles-ci.
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Anefleur03

Ane souriait en buvant son verre de vin chaud. Cette boisson était vraiment merveilleuse. Il y avait beaucoup d'effervescence sur la place, et elle n'avait pas assez d'yeux pour tout voir.

Elle sourit en envoyant Patou entrainer le père dans une tournée de présentation.
Elle rit en voyant la soeur de sa cheffe arriver avec son neveu. Le raffut était à son comble. Ce gamin avait un don. Pas pour la musique par contre...

Il y avait beaucoup de personnes qu'elle ne connaissait pas. Elle s'avançait vers Patou, quelque peu intimidée, quand elle vit le curé manqué de se brûler le fessier. Elle du se mordre la langue de toute force pour se retenir de rire, mais elle ne put empêcher les larmes de couler, et ses épaules de tressauter.

Alors que le discours de la comtesse commençait, elle du tourner le dos à la scène pour essayer de calmer.
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Orthon

Orthon avait croisé le regard de sa comtesse. Il avait l'habitude,depuis le temps, de la comprendre sans parler. C'était un sacré avantage, il savait la lire, presque à livre ouvert.
Donc, il avait commencé à s'approcher discrètement lorsqu'il l'entendit qu'il fallait qu'il la rejoigne.

Sourire en coin, il vit le père Kaleb ouvrir la bouche sans qu'un son n'en sorte, quelle maîtrise de la douleur ! Il vit la rougeur de ses fesses au contact de la marmite bien chaude de vin chaud. En voilà un qui aurait du mal à s'asseoir quelques heures.

Orthon monta sur l'estrade et effleura volontairement la main de sa comtesse. Geste imperceptible pour l'assemblée mais il voulait sentir sa peau douce, avide qu'il était.
Il s'était placé au côté gauche de sa lumière céleste, le côté du coeur. Il salua la beauté comtale d'une révérence et se tint roide.
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Sybille_d_angoulm

Une larme coula le long du visage de l'ombre. Elle se souvenait d'une cérémonie similaire. Il avait été là aussi mais il n'était plus. Dans cette foule parmi ces gens inconnus et ceux qu'elle avait connu, elle se sentait troublée.

Cornelia.

Après avoir répondu à la maire de Périgueux, disant qu'elle allait bien Nélia sourit en voyant paraître le maréchal de Sarlat, Doc. Un sourire qui se fit plus tendre alors qu'il baise sa main et lui glisse quelques mots. Elle répondit en hochant la tete lentement. Bien sur qu'elle serait disposée à le voir plus longuement un peu plus tard, c'était même un de ses souhaits ces derniers jours, alors qu'elle le voyait que peu. Son regard d'ailleurs le suivit alors qu'il alla se présenter à la comtesse, au garde à vous.

Cependant, elle n'eut guère de temps à l'observer que déjà suivaient des arrivants. D'ailleurs la porte parole leur porta un verre de vin chaud, excellente idée que voilà. Nélia remercia Patou. Et inclina la tete pour sa filleulle.

- Enchantée Damoiselle. Puisse votre vie en Périgord vous apporter d'etre heureuse !

Et voilà la prévote, tout de rose vêtue. Cela valait le coup d'oeil comme à chaque fois. Elle salua ensuite Jolius, maire d'Angouléme. Il était gentil cet homme. Elle profita d'un moment ou Patou s'occupe d'accueillir le maire de sa ville pour boire une gorgée de vin. Il était fort bon, quoique un peu chaud. Elle souffla lègèrement sur sa boisson, observant autour d'elle. Cette cérémonie était une riche idée pour qui méritaient d’être récompensés. La Comtesse s'approcha, Nélia la salua comme il se devait, lui adressant un sourire. Un peu après, Patou amena un homme à leur rencontre et le présenta d'abord à Doemie puis à elle comme étant le sacristain d'Angouléme.

- Un plaisir de vous rencontrer mon père !

A Sarlat cela manquait quelqu'un pour guider les âmes dans la foi. Elle songea un court instant à Lanaelle qui avait quitté ses fonctions en quittant Sarlat par la même occasion. Un départ dont elle se sentait responsable encore à ce jour. La mine un peu moins joviale, elle regarda la comtesse qui cria un garde à vous sonore. Signe du départ de la cérémonie. Au nom du baron, elle s'anima à nouveau portant un regard sur l'estrade. Même avec cette chemise rose, il était beau et avait fier allure. Son coeur ne put s'empêcher de bondir joyeusement dans sa poitrine.
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Djull

Une cérémonie de remise de médailles où les soldats sont tous conviés.
Brillante idée. Et connaissant la troupe, il se doutait que ce serait un grand moment de convivialité. Sortant de chez lui, habillé simplement pour l'occasion, il vit passer à toute allure une charrette avec sa jolie rousse à la conduite.

Il ne put s'empêcher de rire. La doc avait dû lui donner des consignes bien précises. Il se mit en marche vers la Grand place. De loin il put voir qu’il y avait déjà grand monde, et oui pour changer, il n’était pas le premier. La charrette de sa rouquine était dans un coin, déchargée avec un stand à coté où deux grouillots faisait le guet.

Il était temps de retrouver tout ce beau monde. Un large sourire se dessina sur ces lèvres quand il vit son vieil ami de Sarlat, par la durée et non par l’âge, Doc. Passant près de lui, il lui fit une petite tape amicale dans le dos. Point de parole, un regard suffisait pour témoigner de leur amitié malgré le peu de temps où il se voyait. Il poursuivait son petit tour de salutations où il s’inclina devant la comtesse, serrant la main au capitaine puis bisa la Doc.

Il aperçut enfin sa rousse qui semblait discuter... avec une autre rousse. Il s’approcha et lui fit une tendre bise aux coins des lèvres tout en arborant son plus beau sourire.

Bonjour toi

Tournant la tête, il se rendit compte de son interlocutrice lui fit un léger sourire.

Bonjour Patt, comment vas-tu ?

Doc.

Le baron qui piccolait , avec les siens , ou même d'autres , vit la comtesse monter sur l'estrade du coin de l'oeil. ..

lui en pleine discution :

Oui .. oui .. moi aussi .. cette chemise.. ce rose... mais que veux tu ! tant qu'on a pas le choix !!
Mais t'en fait pas ... le sous prévot est du même avis !

Et d'entendre la comtesse prendre la parole... Il se dressa , et se mis en position , Corps droit , jambe serrée, bras gauche le long du corps , coude droit plié pour amener sa main droite à la tempe.

De l'ecouter avant d'entendre son nom prononcé , il fallait qu'il s'avance.. alors il s'exécuta.

Arrivé sur l'estrade , il s'inclina devant la comtesse , plein de respect pour elle comme pour le titre , avant de se remettre en garde à vue devant la Cheffe .

Maréchal Doc. de Sade, Maréchal de Sarlat , à votre ordre Prévote.
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Engagé pour le PA et sa ville : Sarlat

Noahm

Je regardais la jeune femme.

- Enchanté de même dame Cornélia.

Patou semblait enfin s'être arrêter et discrètement, je posais ma main sur mes fesses qui me faisaient souffrir. Mais pas le temps de se plaindre, la cérémonie débutait.
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Patou.de.pyerrelade

Au moment des présentations entre le curé et le bourgmestre de Sarlat, Keyfeya prit la parole tentant de se faire entendre en haussant la voix, afin de couvrir le brouhaha de la foule.
Petit à petit le silence s'installa pour n'entendre que la voix de la comtesse.
Enfin la cérémonie commençait. Ane sa filleule, vint les rejoindre.
Chaque récipiendaire avait surement convié la famille pour assister à l’événement.
Orka allait prendre la parole, pour médailler Doc. Celui-ci alla rejoindre la prévôte, alias bonbon rose.
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Pattricia_lcddm

Patt prit donc la direction d'Hagos et Chevalier pour les saluer. Trinquant avec eux et à nouveau avec Mari, la rousse parcouru à nouveau du regard les visages de plus en plus nombreux. C'est à ce moment là qu'elle remarque Fo et la salue d'une inclinaison de tête accompagnée d'un demi-sourire, pour sûr que la Sénéchale aurait préféré être ailleurs... C'est alors qu'elle vit le Goupil faire son entrée, alias Roudoudou 1er, ou encore le "pas roux" pour les naïfs ou aveugles au choix, voire les deux. Le gamin qui tapait sur son tambour commençait à la crisper mais comment expliquer à l'assemblée qu'un gamin ça pouvait aussi s'attacher et se bâillonner sans problème.

Elle était toute à son observation qu'elle ne capta pas l'arrivée de Djull qui lui apparu comme un pantin farceur sorti d'une boite magique. Elle maitrisa difficilement son sursaut de surprise et lui balança un sourire en coin. La réponse qui lui vient à l'esprit sur le moment est un "bonjour, j't'en pose des questions ?" mais elle s'était promis d'être meugnone, tout ça...

Salut...
Ouep et toi ?

Tout à la scène qu'ils sont en train de jouer, la rousse ne capte pas le mouvement d'Orthon et pourtant...

Gaaaaaaaarde à vous !

Et elle s'exécute en totale osmose avec sa tenue
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Orkaange

Euh! Cheffe? pssiiit?Cheeffffe? CHEFFEUUH!
Tain mais Gérard lâchez moi quoi! pis vous faites quoi dans ma chambre? Attendez donc que mon mari vous trouve tiens!
Nan mais vous etes pas dans votre chambre.. zetes à une cérémonie et ça fait juste trois plombes que j'essaye de vous réveiller
Gaaaaaaaarde à vous !
Hein? Quoi? Comment? On nous attaque! RECULEZ VOTE HAUTEUR JE GERE!Il est ou l'agresseur?
Nan cheffe? psst? cheffe??
QUOI ENCORE!
Personne agresse la Comtesse.; Vous devez remettre la grande chouquette au Baron!
Humpf! OUi! Ah... bon

Recette pour faire taire une blonde prévote : Surchargez la de travail pendant quelques mois, puis collez la à côté d'un brasero bien chaud, avec un tonneau de vin chaud à portée de main. Ou de bouche. Vous obtiendrez assez rapidement un état léthargique, qui évoluera lentement vers un sommeil profond et sans rêves. Et par conséquent un état mutique qui fait du bien à tout le monde. CQFD. Vous l'avez compris, pendant que la Comtesse et le baron l'attendaient patiemment sur l'estrade, la blonde était aux pays des rêves, écroulée contre un tonneau et ronflottant doucement. Aux exhortations du périgourdin du nord qui lui servait de garde, elle finit par se redresser dans une pose un peu plus digne,et monta sur l'estrade, prenant un air détaché et néanmoins féroce, coupant court à tout commentaire désobligeant de la part de l'assistance. Elle lissa sa robe, et arbora un sourire éclatant en se rapprochant de la Comtesse et du Baron de Castelnaud, toussota pour s'éclaircir la voix, et pris la parole

Au nom de la Prévôté du Périgord Angoumois et de sa hauteur la Comtesse Keyfeya, je tiens à vous dire que je suis particulièrement fière de vous voir ici aujourd'hui vous, Doc de Sade, baron de Castelnaud, afin d'avoir le plaisir et l'honneur de vous remettre la médaille d'honneur de la Prévôté pour l'ensemble de votre oeuvre à Sarlat. La médaille d'honneur de la Prévôté, appelée plus communément "la grande chouquette" a été créée en 1465 afin de récompenser l'investissement des maréchaux dans notre beau Comté.
Certes, cette vie professionnelle peut être parsemée de moments difficiles et de doutes. Mais ce sont aussi, je l’espère, des années riches de rencontres, de satisfactions individuelles et collectives. Et ce, quelques soient les difficultés que vous avez pu rencontrer lors de votre engagement pour la ville, mais aussi pour le comté. Tant d'années à être maire le jour, maréchal la nuit, et à arpenter les remparts de votre belle cité, arobrant fièrement votre uniforme rose à paillettes en toute circonstance.
La grande chouquette ne récompense pas seulement vos investissements auprès des de la défense ou de l'activité municipale C’est également un hommage à vos apports personnels à la ville de Sarlat à laquelle vous avez tant donné de votre temps et de votre personne. Si! Si! ne rougissez pas! et vous avez aussi de beaux yeux, depuis le temps que je voulais vous le dire! Enfin bon ! Approchez Doc de Sade, et baissez vous un peu, malgré mes talons de douze je pourrai jamais vous la mettre autour du cou cette médaille!
Au nom de la Comtesse Keychouchou, dicte "la mal coiffée" d'après mon adjoint, j'ai l'honneur de vous décorer ce jour de la grande chouquette. Portez la avec fierté sur votre chemise rose, elle est le symbole de la reconnaissance du Comté envers votre investissement et votre fidélité sans failles

En dangereux équilibre sur ses loup bouttins, la blonde souriante passa la médaille autour du cou du baron,

puis le relevant lui donna l'accolade avec force tapes dans le dos; pour finir par sa phrase fétiche

Bon! Maintenant on picole!!
Bien parlé Cheffe!
fayot gérard
Ta gueule Michou
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La Grand place

Orthon

Le monument trônait sur la place centrale. Il était constitué de trois hommes et d'un destrier. Les trois personnages représentaient le Conseil, la Prévôté et la COPA. Le destrier c'était le comté.
Fort, robuste, la puissance de la monture avait été bellement sculptée. Le PA était ainsi. Le sculpteur aurait pu façonner un palefroi, mais ce cheval de parade ou de promenade était trop docile. Un roncin ? Cela aurait pu car il était robuste et courageux mais son encolure n'aurait pas été si fière.
Le PA était donc ainsi, fort, puissant et altier. Les trois hommes étaient tout contre lui.
Le premier, c'était le conseil. Montrant le chemin en ouvrant la marche. Le second, c'était la prévôté. L'homme était rassurant et sûr de lui et le troisième c'était la COPA.
Le bras armé du comté. L'avant-bras sur le bouclier et regardant sur le côté comme pour scruter le moindre mouvement suspect qui pourrait nuire au comté.

Un texte avait été gravé. Les enfants le lisaient souvent et les anciens avaient le coeur serré.

Citation:

C'est au couchant
Que sont parties leur âme,
Survolant les oriflammes
et les casques aux reflets d'argent.

Soldats et cavaliers de l'orage
Sont partis sur les sentiers de l'honneur
courant et galopant sans peur
Au moment où sonnait la charge.

L'herbe s'est teintée de rouge carmin
par une semence de sang
Suite à des assauts pressants
Que nul ne voulait remettre à demain.

Ils sont tombés pour leur terre
N' oublions pas
Qu'ils sont passés de vie à trépas
Sous un ciel crépusculaire.

Votre dernier souffle a gonflé nos poumons
Nous marchons libres et fiers
Sur les routes de nos Pères
Que votre sacrifice soit su par delà les monts !

Orthon de Saint-Loup

Malgré le froid, des enfants jouaient autour du monument. Les uns, armés d'un petit bâton, s'amusaient à mimer des gestes d'escrime en tapant sur une petite planche de bois, que tenaient d'autres enfants, en guise de boucliers. Cris et rires démontraient l'amusement. Tout ce joyeux monde couraient, se poursuivaient, virevoltaient à en donner le tournis.

Quelques anciens, assis sur une poutre de bois, les chassaient, lorsqu'ils s'approchaient trop près d'eux, d'une rotation très lente de leur canne, la même que pour éloigner
des abeilles. Malgré tout, les yeux de ses vénérables s'illuminaient devant la vie qui continuait.

Orthon, qui venait d'arriver, fit le tour du monument,tranquillement, au pas lent de son fidèle Zéphyr. Les fers de sa monture résonnaient quelque peu sur les pavés. Les enfants le regardaient, les anciens l'observaient. Il arrêta son cheval face à la sculpture, devant le regard des statues de pierre. Il baissa sa tête en signe d'hommage car ils pensaient à tous les preux du Périgord-Angoumois qui s'étaient battus pour protéger leur terre et pour représenter leur comté par delà les frontières périgourdines. Noble sang malgré une triste semence qui les avaient couché sur les sentiers, les champs de blés ou les plaines verdoyantes.

S'engager, c'était participer à la vie du comté et à le défendre. C'était s'impliquer sans pour cela tomber du jour au lendemain. De toute façon, La mort ne ferait aucune distinction le jour venu. Dans une bataille, dans son lit, dans son champ, dans son échoppe, dans la rue, elle frappait quand elle le décidait.

Les enfants s'étaient tus, les vieux avaient posé leur menton sur leurs mains l'une sur l'autre et qui s'appuyaient sur le pommeau de leur canne. Tous regardaient Orthon avec un frémissement dans le dos. Puis le capitaine repartit en saluant d'un sourire les témoins. Il ne pouvait douter du sentiment des habitants du PA, servir et protéger était la devise que chacun devait posséder en son coeur.

Il s'éloigna du monument, certain qu'il reviendrait sur cette grand place ou acteurs et spectateurs se réuniraient un de ces jours.

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Raymond_de_petrus

Raymond était revenu dans le Périgord, pour le pire, et pour le très très pire, au vu de comment ça commençait. A peine 12h de présence qu'Orkaange voulait le mettre au turbin, ce qui était totalement inadmissible. Il aurait du demander un congé sabbatique des Poneys Roses. Genre une indisponibilité, ou demander un arrêt de travail longue durée.

Et bien entendu, comme souvent quand on revenait dans un endroit connu, on jouait au jeu des 7 différences. Et là, yen avait une de taille, que Raymond contemplait en mangeant une pomme, avec un scepticisme visible. La contemplation, pas la pomme, bien entendu.

C'était bon les pommes. Mangez des pommes ! Le peintre fit le tour de la sculpture toute neuve, circonspect. L'art martial, c'était un peu comme le génie militaire, c'était un oxymore. Ou pas. Raymond n'arrivait pas encore à se décider si c'était uniquement une impossibilité empirique ou bien une contradiction dans les termes, ce qui était tout à fait différent. L'art martial relevait-il de la même catégorie que l'iconologie braille, de la psychologie des foules dans le désert, ou bien était-on plus simplement du domaine poétique, comme on parlait d'institutions révolutionnaires ou des traditions innovatrices ?

Le verdict fut sans appel.

Sérieux, on a vraiment payé des gens pour faire ça ?

Et oui, il était de retour. Et non, il ne savait toujours pas la boucler.

*Merci au Pendule de Foucault d'Umberto Eco pour m'avoir inspiré ce post

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Patou.de.pyerrelade

Un événement se préparait, fallait tout organiser y compris le banquet. Mais pour l'heure, elle fit venir des hommes qui ramenèrent en carriole, tout ce qu'il fallait pour aménager et monter le chapiteau aux couleurs du comté sur la grand place. Une manifestation en plein air s'annonçait pour ce dimanche. Pas n'importe laquelle ! Une remise de médailles. COPA et Maréchaussée allaient être à l'honneur.

Les villageois se mirent à sortir tous les accessoires, afin de monter la tente. Une fois celle-ci dressée, il se mirent aussi à rassembler du bois mort, herbes sèches, vieux parchemins usagés et autres, pour que le jour "J" on puisse faire démarrer un bon feu de camp, pour ensuite faire une collecte de bois importante, assurant la réalimentation, ayant pour objectif de faire cuire des porcelets et diverses viandes, pour sustenter toutes les personnes qui seront venus assister à la remise des médailles. La besogne effectuée, Patou très fière du travail achevé par les hommes, les invita à boire un coup en taverne

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Fofinha_

La brunette était encore à son bureau en ce jour de grand froid. Hélas elle avait encore du boulot à rattraper. Elle avait plusieurs chapeaux à sa tête.

Elle fouilla dans les dossiers pour les terminer au plus vite. Quand elle tomba sur une missive. Zut de punaise la remisse des médailles . La sénéchale alla direct se faire un brin de toilette. Revêtit une tenue adéquate.

Elle ne voulait pas faire honte quand même. Elle demanda à un coursier de faire venir son carrosse et partit direction de la grande place. La brune arriva un peut à la bourre à son idée . La faute à toute ces charges . Car trop de travail. Elle salut tout le monde présent.

Bien le bonjour par ici.
Vous avez fait un sacré travail déjà à ce que je voit!
Avez vous besoin d'un coup de main ?
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Mariceleste

Un grand événement se préparait pour ce dimanche 29 sur la Grand place de la Capitale, un événement qui
la remplissait de joie car deux de ses amis allaient être mis a l’honneur. Mais avant fallait s’activer dans les préparations pour que tout soit prêt le lendemain.

Patou avait demandé a la Flamboyante de s’occuper du stand de boissons, et du réapprovisionnement de
celui-ci, chose qu’elle savait faire surtout quand il s’agissait de boissons alcoolisées. Bah oui elle s’y connaissait en boissons, bon les ragots son faux je ne bois pas ou alors très peu.

Enfin bref il fallait des boissons, elle prit sa charrette et fila a toute allure a sa taverne et celle de la brunette.
La rouquine piqua tout se qui était fût, bouteilles et autres et les ramena au stand. Elle demanda de l’aide pour décharger la chariote.

- heyyyy vous deux la, oui vous deux, approchez et déchargeaient moi la chariote ! Faite attentions mes gaillards sinon ça va mal aller pour votre matricule…. Comprit.

Elle aperçut la Sénéchal Fofinha approcher.

- Bonjour Sénéchal et merci on a essayé de faire au mieux et je fini de préparer pour demain.

Lui sourit.

- Veuillez m’excuser mais je dois vous laisser un moment.

Elle les surveillait du coin de l’œil depuis le stand, une fois le déchargement fini elle s’approcha d’eux.

- Bon... bien maintenant vous allez me surveiller ce stand jusqu’à demain et attention on garde ses deux n’oeil n’oeil ouverts !
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Keyfeya

Prem's !

Le matin du dimanche, la Comtesse était là, on ne viendrait pas la taxer d'être absente ou en retard cette fois. Elle pénétra dans la tente et se trouva une petite bouteille de poire pour faire passer le temps. Elle avait choisi de ne pas paraître en robe mais en femme d'armes, c'est donc après avoir pris un bon bain matinal, qu'elle s'habilla et avait ceint son épée.

Et puis cela l'arrangeait bien, c'était quand même comme ça qu'elle se sentait le mieux, elle espérait quand même que quelqu'un pense à prendre les-dites médailles, sinon ça serait comme oublier les alliances à un mariage...une aubaine ? Un désastre pour le coup.

Elle s'installa à une table, sur un petit tonneau et se servit un premier verre, là aussi elle espérait que du monde arriverait vite, remettre des médailles bourrée, il paraissait que ça ne le faisait pas. En tout les cas, on voyait bien que les filles avaient mis du coeur à la préparation.
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Orthon

Deuzzzzzzzz !

Petit matin blafard et froid, comme de ceux auxquels on s'habitue difficilement entre Champagne et Empire. Difficile de s'extraire du lit chaud et moelleux alors que le givre recouvre d'un voile les créneaux et les remparts de la ville. Mais Orthon se leva et vaqua à ses ablutions matinales. Après que celles-ci furent terminées, il fit entrer deux soldats de son escorte qui attendaient patiemment devant sa porte pour l'aider à s'équiper... Mordius que cet équipement était pesant...Il vérifia que chaque pièce de l'armure d'apparat s'ajustaient bien, que les courroies avaient été bien graissées et jouaient librement, fit jouer les articulations, puis s'en fut d'un pas décidé comme à son habitude.

Dehors, une sentinelle tenait par la bride son fidèle Zéphyr tout en le caressant. Orthon le salua et mettant le pied à l'étrier, il hissa sa haute stature et s'en alla avec ses cavaliers.

La ville commençait à s'animer, sa traversée se fit au pas, La populace s'interrogeant certainement sur cet homme juché sur son cheval de bataille et qui leur était encore peu connu. Une nuée de marmots suivait l'escouade. Farandole multicolore aux visages rougis par le froid. Tout à ses pensées, Orthon évita de justesse une boule de neige lancée par un gamin un peu plus espiègle que les autres, cavalcade dans les ruelles pour échapper au courroux certain du cavalier monté sur son grand cheval...

Son heaume, étincelant, lançait quelques éclairs sous les pâles rayons de soleil. Des enfants couraient, quelques chiens aboyaient, un léger brouhaha régnait autour de la place qui prenait vie au fur et à mesure du temps qui passait. Quelques jolies femmes faisaient des œillades ou souriaient bellement, essayant d’accaparer un regard ou d’arracher un léger rictus aux soldats.

Sans trompette et sans garde avancée, juste avec ses deux hommes en escorte, portant bannière aux armes du Périgors-Angoumois, Orthon entra sur le terre plein central de la ville. Il s'avança au moment où il vit sa comtesse s'engouffrer dans la tente. Sautant à bas de son fidèle Zéphyr, il donna les rênes à l'un des gardes et pénétra aussi dans la tente, il faisait bon à l'intérieur, c'était tout chaud.

Enlevant son heaume, il la rejoignit en trois pas.

Mon étoile ! Dit-il en l'embrassant langoureusement, Tu m'as tant manqué tu sais. Tu es resplendissante, et mon incessante admiration !

Il s'assit à ses côtés en prenant un verre au passage.
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Pattricia_lcddm

Troizzzzzzzzzzzzeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhh

Elle passait par le PA avec Lucie histoire de récupérer quelques bouteilles de vin, elle avait une dégustation prévue en toulousain. Elle avait laissé sa fille dormir pour une fois car la jeune femme ne se ménageait pas depuis qu'elle savait et la rousse avait juste envie d'être traitée normalement.

Elle arriva en carrosse et harnachée comme dans le temps. Elle avait osé les cheveux lâchés, la bienséance n'avait désormais d'importance que pour l'avenir de Lucie, le reste elle s'en balançait.

Ce dont elle ne se fiche pas par contre, c'est la reconnaissance d'un Comté vis-à-vis de ses soldats ou de ses maréchaux -après tout elle avait été les deux et à plusieurs niveau-, ainsi que la nomination de Sénéchaux dignes de ce nom et ça tombait plutôt bien, les nominés avaient toute son admiration et sa confiance.

A sa descente, elle se dirige vers la tente installée pour l'occasion et c'est en entrant dessous qu'elle assiste à un charmant spectacle. Amusée de surprendre ce moment intime, la rousse avance à pas de loup -bon en même temps Evil étant avec elle...- et toussote une fois toute près.

Excusez mais... rassurez-moi... on est pas obligé de tous se dire bonjour de cette façon hein ?

Souriant de toutes ses dents, elle grattouille la tête du loup en prenant la pose.
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Orthon

Orthon vit apparaître une ancienne connaissance, perdue de vue depuis des années.

Pattricia ! Cela fait un bail que je ne vous avais vu. Vous ne changez pas, vous avez toujours ces paroles directes teintées d'humour, quand il le faut ! dit Orthon en se levant.

Orthon s'avança et lui fit une révérence.

Voici mon bras, je vais vous mener auprès de notre comtesse.

Orthon présenta son bras gauche et passa une caresse de sa main droite sur la tête du loup.

Si vous voulez bien vous donner la peine dit-il en la menant à Keyfeya, je vous apporte de quoi vous restaurer.

Orthon revint avec un pichet et un verre supplémentaire. D'un geste calme, il tendit au canis lupus, un morceau de barbaque.
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Patou.de.pyerrelade

Les festivités allaient débuter. Patou après avoir été vérifier et donner sa dernière touche à la salle des fêtes, rentra à l'auberge pour se préparer. Le temps qu'elle se rende à la salle des fêtes, la brunette avait prié l'aubergiste de lui remplir le baquet d'eau bien chaude afin de se prélasser un peu avant de se laver. Se déshabillant, laissant choir sur le sol ses vêtements, entrant dans le bain parfumé à l'eau de rose, elle sentit la chaleur de l’eau lui envahir le corps.

Une fois savonnée, elle se rinça, terminant d'éliminer le savon de sa longue chevelure ébène, ainsi que de son corps. Sortant du bain, elle s'enveloppa dans un linge blanc, se séchant. Dernière phase, était de se vêtir. Il lui fallait être soignée. La guerrière avait l'habitude d'être en tenue plutôt garçonne que fille. Pour l'occasion elle fît l'effort de porter une robe, bien que pas trop à l'aise dedans. Ses cheveux étant encore humides, elle les laissa tomber en cascade dans son dos. Ils avaient toute la journée pour sécher.

Se chaussant, s'enveloppant dans sa cape, la voici prête pour se rendre à la grand place. Après avoir payé l'aubergiste, la brunette quitta le lieu pour se rendre à la grand place. Pénétrant sous la tente, elle alla biser Patt, son parrain et Key.

Bien le bonjour à vous !

Comment allez-vous ?

Patt je suis ravie de te voir
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Pattricia_lcddm

Ravie de découvrir que Key retrouvait gout à la vie, la rousse sourit de bonne grâce à l'accueil d'Orthon et sa remarque élargit son sourire. Acceptant le bras, elle se laisse guider jusqu'à la Vilaine Brune à qui elle adresse une risette goguenarde.

D'autres diraient que je l'ouvre à mauvais escient, tout est affaire de point de vue Orthon.

Patt s'assied près de son amie et grimace légèrement.

Tudieu qu'est-ce qui m'a pris de me caparaçonner comme ça ! J'en serais presque à préférer être en robe d'apparat. Heureusement que je n'ai pas mis l'armure complète, je serais morte étouffée !

Tout avait été réglé de l'époque où elle avait maigri donc forcément elle se sent à l'étroit. C'est juste le moment où elle chouine que choisit Patou pour arriver. Se reprenant direct pour afficher un sourire dont elle avait l'entrainement depuis quelques semaines face aux gens trop perspicaces, la femme au loup se lève comme si de rien était pour accueillir la barbière, médicastre, PPC, animatrice comtale.

Patou ! Il était temps ! S'écrire c'est bien mais se voir enfin c'est mieux.

Dommage qu'elle ait pas eu le temps de picoler un peu de la gnôle de la Vilaine Brune ça lui aurait donné un peu plus de couleur aux joues.
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Anefleur03

Ane avait lu il y a quelques jours, elle ne savait plus où, qu'aurait lieu une remise de médailles. Bien qu'elle ne connût pas les lauréats, la curiosité l'avait poussé à venir assister à la cérémonie.
Elle avait fait le trajet jusqu'à la grande place après la remise de son rapport journalier à la prévôté. Elle était donc vêtue de l’uniforme rose à paillette des maréchaux, lavé la veille pour l’occasion. Elle avait également refait le bandage de sa main droite, conséquence d’une glissade près d’une cheminée l’avant-veille…
C’est ainsi qu’elle entra sous la tente colorée. Elle avait au départ pensé suivre les évènements dans un coin, mais voyant le groupe déjà présent elle changea d'avis. Elle s'approcha avec un grand sourire de Patou, Orthon, la Comtesse, et d'une femme qu'elle ne connaissait pas.
Elle fit la bise aux premiers, et salua la femme d’un signe de la main gauche :

Bonjour, je me nomme Ane, enchanté !

Puis, elle écarquilla les yeux en remarquant le loup près d’elle. Elle le trouvait superbe. Elle lui signe le même signe, ne sachant pas trop quoi faire :

Bonjour…

Patou.de.pyerrelade

La peste était heureuse de revoir Patt mais quelque chose l'inquiétait. Jamais elle ne l'avait vu si pâle. Il était vrai qu'une rousse avait la peau laiteuse avec de petites taches de rousseur sur le nez et pommettes, mais la ..... aussi blanche que la neige.
Patou était inquiète pour son amie, car son regard de médecin ne la trompait pas. Ne voulant pas gâcher cette journée spéciale, la brunette n'entama pas le sujet sur sa santé et lui répondit en souriant, voulant masquer son tracas.

Oui ! Il était grand temps de se retrouver. Alors raconte nous ! Tu es ici pour plusieurs jours j'espère, qu'on profite de toi un maximum et pourquoi pas abuser en prolongeant en semaines.

Le doc la regarda tout en lui souriant puis annonça.

Qui m'aime me suive, pour se boire un bon godet de vin chaud

Au même moment Ane, sa petite protégée arrivait. Après l'avoir bisée, fit les présentations pour Patt

Ane ! Heureuse de te voir arriver.

Je te présente Patt une vieille amie !

Patt voici ma petite protégée Ane.

Zou je t'emmène boire du vin chaud avec nous Ane

Sourit et fila se servir
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Mariceleste

La charrette allait a vive allure jusqu’à l’auberge ou elle logeait le temps de la cérémonie, elle sauta au sol et courra jusqu’à sa chambre pour faire un brin de toilette.
Elle devait être présentable devant les personnalités qui seraient présentes. Elle choisit sa plus belle robe et l’enfila en se regardant dans le miroir, sa chevelure flamboyante tombait en cascade sur ses épaules, elle était prête et n’avait plus qu’a se rendre sur la grand place.

Devant le chapiteau, elle attendit un moment avant de passer la tête pour zieuter qui était présent et la ressortit aussitôt, prend une grande respiration et en entrant la rouquine entendit Patou parler de vin chaud.

- Bonjour à tous, bah voilà à peine arrivée qu'il faut que je me mette à bosser.

Dit-elle en riant et sort pour remplir des verres et faire le service sourire aux lèvres.
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Keyfeya

Une bonne journée qui commençait. Froide au dehors certes mais vite réchauffée par un baiser. Et elle y prit du temps à ce baiser, savourant l'instant et la chaleur de ses lèvres et de son corps près d'elle. Elle se sentait coupable de ne pouvoir être davantage présente pour lui, mais elle était ainsi, elle ne pouvait se contenter de passer des jours paisibles à contempler les jours passer, les saisons s'écouler, il fallait qu'elle fasse quelque chose, quitte à être débordée. Elle était ainsi et cela forcément jouait beaucoup sur sa vie privée si bien qu'elle avait du mal à se retrouver seule avec non. Non pas qu'elle n'en eut pas envie, bien au contraire, mais simplement parce qu'entre toutes ses charges et le temps que cela prenait , ses journées n'étaient pas extensible.

Les mains glissèrent dans le dos du capitaine, et elle eut le temps de lui souffler quelques mots avant que le moment d'intimité ne s'éteigne. Tu m'as manqué aussi, il serait peut être bien que tu viennes t'installer avec moi au château.

Quand la voix de la vilaine rousse vint se faire entendre et qu'Orthon la ramena près d'elle.

On vous a tous menti en fait, y a pas de remise de médailles, c'est journée "câlin"

D'ailleurs, elle n'était pas si loin de la vérité, puisque toutes les personnes qui suivirent, lui firent la bise. Elle prit cependant un long moment pour étreindre sa rousse, comme si demain n'existait pas, elle profita de la douce odeur de son amie.

Tu es d'une beauté époustouflante. Toujours élégante. Je suis contente que tu sois là.

Elle embrassa ensuite Patou, Mari puis Ane qu'elle était contente de trouver ici, dans son nouvel uniforme rose. Elle leur sourit, glissant ses doigts antre ceux du soldat.

Comment allez vous les filles ? Alors Ane comment se passe ton intégration chez les Maréchaux, je vois que tu as été prise. Tu portes très bien le rose.

Il y a des journées spéciales, celle-ci en était peut être une, une journée faite de petits riens mais des riens importants, des riens qui réunissent les amis, qui voient naître de nouvelles amitiés, des journées qui voient honorer des gens qui sont ici depuis longtemps et qui se sont investis un peu partout en représentant le Périgord Angoumois. Qui sont restés là immuables, c'était un peu la rencontre du passé et du présent. L'ébène s'avala une gorgée de vin chaud aux épices, se baissa doucement vers le loup de Plume et plongeant ses prunelles dans les siennes, vient lui caresser les oreilles. Dans ses yeux, elle revoyait la jeune fille disparue. Se relevant doucement, elle s'enquit des autres.

Et ils sont où les lauréats ? Ça la fout mal d'arriver en retard pour recevoir sa médaille.
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Doemie

Doemie passe devant l'affiche informant la population de la remise de médailles et se rend donc sur la Grand Place.

Elle vit passer Orthon et sa troupe de cavaliers.

Elle évita quelques boules de neige lancées par les enfants en direction des soldats.

Elle finit par arriver à l'endroit indiqué.

Elle entra sous le chapiteau et vint saluer les personnes déjà présentes dont la Comtesse.

Elle se mit à l'écart et prit une chaise pour se reposer de sa longue marche et attendre le début de la cérémonie.
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Cornelia.

Une remise de médaille que visiblement il ne fallait pas manquer, il était sur que la jeune maire de Sarlat n'allait pas briller par son absence. Après un tour rapide de la mairie, le matin même, une toilette parce que tout de même, il fallait paraître bien vétue et hop direction la capitale.

Sur place, elle découvrit les lieux avec un sourire, quelques personnes étaient déjà là. La comtesse, le capitaine Orthon, la filleule de ce dernier, l'adorable Patou. Son regard s'arrêta également sur Patricia qu'elle avait rencontré en Octobre lors du baptéme du baron. HUm elle se souvenait surtout du couple assortis qu'ils avaient alors formé. Nélia avisa plutôt la maire de Périgueux qu'elle rejoignit pour la saluer. Elle irait saluer le reste de la troupe plus tard.

- Bonjour Doemie, comment allez vous ?
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Doemie

Doemie vit arriver Nélia juste derrière elle.

Elle lui sourit ravie de la voir.

"Bonjour Nélia, je vais très bien merci et vous?

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Doc.

Le Maréchal Baron, était passé au bureau de la douane pour quelques affaires , pour ne pas dire y sortir du placard sa chemise rose..
Faut dire que recevoir une médaille était une belle reconnaissance , une nouvelle , il aurait été dommage de tout faire annuler au dernier moment, faute à l'uniforme manquant..
Et pourtant .. ça lui avait démangé de ne pas le porter..

Dans la rue , il avait vue au loin Nelia , qu'il n'avait pu rattrapper.
Ses premiers mots une fois arrivé firent pour elle.

Bonjour Vous !
Ravi de vous voir là !

Je vous vois plus longuement après ?

Il lui sourit , lui fit un baise main, et alla se rapprocher des troupes , passant s'incliner au devant de la comtesse .

Au devant du corps dirigeants des forces armées , il se mit au garde à vous

Maréchal Doc. de Sade , présent !
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Engagé pour le PA et sa ville : Sarlat

Anefleur03

Ane fit un grand sourire à Patou, puis à la dénommée Patt en répétant :

Enchanté !

Elle se retrouva ensuite sans trop savoir comment un verre de vin chaud à la main. Elle salua Mari, et répondit à Key :

Ça va, et j'aime bien l'uniforme, même s'il ne passe pas inaperçu ! Je me fais au travail sinon. J'aime bien travailler de nuit.

Elle salua les nouvelles arrivantes d'un signe de la main gauche. Puis, elle souffla pour refroidir de vin, avant d'en boire une gorgée. Elle vit ensuite arriver un homme vêtu de la magnifique tenue rose de maréchale...

Pattricia_lcddm

Tout ce qu'elle voulait tout de suite c'était boire, le regard de Patou la mettait sur les charbons ardents, heureusement pour la rousse, la peste ne mélangeait pas les genres et aucune question gênante ne viendrait gâcher ce moment. Une jeune femme arrive et Patou la lui présente.

Ravie de faire votre connaissance Ane, appelez-moi Patt, ici la simplicité s'impose, seule la cérémonie respectera les usages.

Remarquant le regard en direction d'Evil, elle se mordille la lèvre et s'exprime d'une voix légèrement voilée.

Ce jeune mâle maladroit et gourmand se nomme Evil. Il est parfois brutal mais c'est simplement qu'il ne sent pas sa force quand il veut jouer. Il a plus un comportement de jeune chien mal élevé que de loup.

Même si elle savait le tenir, le loup de sa fille décédée serait toujours une désolation pour la rousse, "un loup qui se comporte comme un chien... c'est pitié !". Amusée par l'engouement de Patou, elle suit le groupe en direction d'un premier verre "enfin !". C'est un "bonjour" prononcé par une voix bien connue qui se fait soudain entendre dans son dos. Avalant son verre cul sec, elle tourne sur elle-même pour fixer la nouvelle arrivée.

Bonjour Mari...
Tu... as l'air en forme.

Elle pense à l'avenir à cet instant, pas au passé et sourit doucement. Les secondes qui allaient suivre décideraient de bien des choses, la balle était dans le camp de Mari.

C'est ce moment que choisissent deux jeunes femmes que Patt ne connait pas, accompagnées de Doc qui semble bien protecteur avec l'une d'elles "serait-ce la mairesse de Sarlat à propos de qui il m'a écrit ?".

Bonjour.
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Patou.de.pyerrelade

La brunette se marra entendant sa flamboyante. Fallait bien la faire ronchonner un peu. Aussitôt dit, aussitôt fait, Mari fit le service et chacun eut son godet de vin chaud.

Merci Mari tu es un amour.

Puis répondant à sa comtesse unique et préférée

Je vais très bien ! Merci beaucoup, et très heureuse de voir Patt parmi nous.
Je me posais la même question que toi Key !
Ou peuvent bien être nos futurs médaillés...

Deux bourgmestres arrivaient. La future mère Doémie et Nélia. Tout sourire, elle alla les saluer, avec deux verres de vin chaud, en guise de bienvenue et leur présenta sa petite protégée.

Bien le bonjour à vous deux.
Je suis heureuse de vous voir pour cet événement.
Tenez! Buvez cela, pour vous réchauffer un peu.
Je vous présente Ane, ma future filleule, qui s'investit très bien dans notre ville d'Angoulême

Voyant la main d'Ane bandée questionna.

Que t'est-il arrivé ?

Quelques instants plus tard, Doc arriva à son tour.
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Mariceleste

Elle salua tout le monde sans trop s’attarder, puis alla remplir aussitôt des godets de vin chaud et fit le service. Elle connaissait tout le monde….. enfin presque tout le monde.

Quand elle aperçut un visage bien connu, la….. son passé lui revint en mémoire. Les souvenirs défilaient devant ses yeux aussi bien les bons comme les mauvais, toutes deux avaient fait les quatre cent coups y compris un combat pour mesurer leur force, ensemble formaient une vraie tornade.

Sous le coup de l’émotion ses mains se mirent a trembler lorsqu’elle s’adressa a elle. Affichant son plus beau sourire, car il fallait bien l'avouer, Mari était contente de revoir son amie Patt et lui répondit calmement, comme si le passé s’était effacé et faisait place au présent.

Elle voudrait faire table rase du passé et vivre le présent et pourquoi pas le futur à nouveau avec Pattricia

- Bon…. Bonjour Patt, merci je suis en forme et heureuse comme je ne l’ai jamais été . Cela me fait plaisir de te revoir, comment vas-tu ?

A cet instant elle reprit le dessus et lui servit un autre godet, peut être le godet d’une nouvelle amitié.
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Doemie

La conversation de Doemie avec Nélia fut interrompue par Patou qui leur apportait à boire.

"Bonjour Patou, quelle excellente idée ce verre de vin chaud, merci.

Bonjour Ane, contente de faire votre connaissance

Dites moi Patou quels sont les récipiendaires de cette cérémonie?"
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Orkaange

[Le matin même à Blanzac]

-j'ai rien à me mettre! MANON! Vous avez cherché dans le dressingue numéro 42
-Euh! Non... C'est lequel déjà celuici??
-Mais vous savez bien allons! Celui attenant aux appartements du vil mari de moi!
-Mais c'est pas son dressingue personnel?
-Manon un peu de sérieux! Vous avez déjà vu la garde robe du Vicomte?? Et la mienne? Du coup je lui ai laissé un étagère, et j'ai quelque peu investi la pièce
-Bon.. Tout ce que j'ai ici c'est votre robe pour les allégeances, ou votre robe de mariée
-Han! Mais... Je l'es ai déjà mises!!!! nan! Elles sont déjà démodées voyons!
-Votre mari a fait dire que les robes non portées seraient vendues aux enchères prochainement pour payer la note de la maison Lague Herr Felde
- HAN!!!! NAN hein!! Bon..; Exceptionnellement je vais remettre la robe des allégeances. Allez hop hop hop exécution! Pis oubliez pas la coiffure la manucure et les chaussures assorties! C'est pas passque on va remettre des médailles à des Beuargh qu'on doit pas transpirer la classe et le bon gout!!

[Quelques heures plus tard, sur la grand place, descendant d'un carrosse rose]

Elle avait ronchonné, tempêté, frappé , picolé.. Mais finalement était arrivée. Pas en avance, mais aux vues de l"assemblée, pas trop en retard non plus. A la vue des crinières rousses, elle avait un instant cru que son beau frère était arrivé avant elle, mais les têtes sous les tignasses la rassurèrent. Et la maréchaussée était présente!! Comment qu'ils étaient trop beaux les uniformes! Au moins ça avait d'la gueule, pas comme les Beuargh! Elle avança, perchée sur ses stilettos, grand sourire aux lèvres, salua ses maréchaux, dont l'impétrant, fit un sourire à la comtesse Patou et mari, et se précipita pour faire un calin à Patt, en bonne trucmachinchosiste qui se respecte

Hiiiiii! Tu es viendue!! Haaaaaan! Allez perdons pas les bonnes habitudes on picole!! C'est la tournée de Key d'façons!!
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Joulius

Le Maire avais vu l'affiche déposer par Mari dans la salle d'animation, alors il avait décider de pointer le bout de sont nez aussi

Oh il paraît que c'est par ici qu'il faut venir si ont veut bien manger et voir des jolies filles .

Une bonne parti des têtes présentes il les connaissais personnellement et d'autres de vue, il se mêle à la foule pour les saluer .

Anefleur03

Ane sourit à Patt, puis s’accroupit devant le loup. Il était vraiment magnifique. Elle lui fit sentir sa main gauche, et quand elle sentit qu’elle le pouvait, elle caressa Evil entre les oreilles. Elle avait toujours adorée les chiens, et leurs cousins les loups.

Enchanté Evil !

Puis elle se redressa et répondit à la jeune femme puis à Patou :

Ravie de faire votre connaissance également.

Elle montra sa main droite.

Rien de bien grave ! J’ai glissé près d’une cheminée et me suis brûlée la main. Ça va déjà mieux.

Elle vit ensuite arrivée ça cheffe, non étonnée par sa tenue, et le maire d’Angoulême, qu’elle salua.

Patou.de.pyerrelade

Intérieurement, Patou était heureuse qu'enfin les deux amies, ses deux amies, Patt et Mari renouent le dialogue. Elle s'écarta pour les laisser tranquille, afin que personne vienne briser ce lien perdu entre-elles depuis trop longtemps. Revenant vers Doémie qui la questionnait.

Nous avons deux soldats de la COPA, un sénéchal et un maréchal. Je tairais les noms exprès, pour laisser la surprise.

Lui sourit avant de trinquer avec elle et boit quelques gorgées histoire de se réchauffer. Voyant Orka arriver avec sa belle robe scintillante, pria pour que le bonbon rose ne vienne pas déranger la réconciliation entre les deux anciennes amies. Patatraque ! C'était raté. Elles auraient surement l'occasion de se retrouver dans la journée ou soirée. La peste avait espoir.
Le porte parole s'excusa auprès de Doémie pour aller rejoindre son maire d'Angoulême avec un verre de vin chaud qu'elle lui offrit.

Bien le bonjour à vous Joulius, ravie de vous voir en ce lieu.

Puis le prenant à part à voix basse lui fit connaitre son avis sur la future élection municipale

J'ai vu que vous aviez un concurrent.
Ne vous inquiétez pas, beaucoup comme moi sont pour vous et personne d'autre. Si par malheur c'est l'autre qui gagnait, je demanderai s'il n'y aurait pas de possibilité à ce que l'on fasse une prise de mairie, afin de vous la rendre.

Lui sourit avec un clin d’œil supplémentaire, avant de revenir vers sa future filleule Ane

Demain tu viendras à mon cabinet que j'examine ta main d’accord ?
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Keyfeya

Les gens continuaient à arriver, comme quoi une tente au milieu de la place, ça rameutait un peu de monde, voilà qui était une bonne chose.

Le Bonjorn, Doc, ravie de vous voir ici. Vous pouvez vous mettre au repos. Je pense que nous allons attendre un peu encore que le plus gros du monde arrive. Profitez en pour boire un verre.

N'empêche que l'heure commençait à avancer et qu'il manquait la plupart des participants, il fallait donc faire quelque chose, elle se pencha donc vers l'adorable PPC qui par sa diplomatie naturelle, trouverait bien un moyen de réveiller les gens.

Prépare le clystère, sonne le tocsin, sors le Cor, gueule un coup sur la place, je suis sure qu'on entendra ta jolie voix jusque Sarlat. Sinon on est pas là de la commencer cette cérémonie.

Elle sourit à Ane, qui visiblement prenait plaisir à son engagement à la Maréchaussée.

Attention Ane, la cheffe est là, j'espère que tu n'as rien oublié de ton uniforme.

Elle regarda l'échange entre Pat et Mari, elle sentait bien qu'il était temps de tourner la page et de repartir sur des bases plus saines, elle posa donc sa main sur l'épaule de la Baronne. Puis elle alla saluer les bourgmestres. Laissant à Patou, le soin de répondre aux questions posées.

Messieurs, Dames, le bonjour. Comment allez vous ?

Doémie souhaitez vous un fauteuil plus confortable ? Quelque chose pour allonger vos jambes ? Je suis contente que vous soyez tous venus.

Joulius, c'est bien ici en effet, je pense que Mari vous servira un verre, par contre pour les femmes, je pense qu'elles se précipiteront dès que vous nous ferez une danse sur la table.

Puis elle leva son verre de vin chaud.

C'est ma tournée comme le dit la Prévôt, mais les deux prochaines sont pour elle ! A votre santé à tous !
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Hagos

Hagos se pointa sur la grande place alors que pas mal de monde s'y trouvait déjà.
Becerillo jappait, et le soldat lui gratouillage le crâne pour le calmer.

Il avait hâte de voir ses amis décorés pour leur investissement. Ils avaient représentés le PA dans bien des conflits.

Il s'approcha et salua les convives.
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Rejoins l'armée camarade !

Joulius

arque un sourcil à la réponse de la comtesse taquin

Je m'en doutait qu'elles rêvais toutes de mon corps rit
Rhalala s'il ne faut que cela, ont verra après quelques verres , et que cela est moins cérémonieux

Il s'avança vers Mari pour prendre un verre , et après l'avoir lever pour trinquer suite à la Comtesse il prit quelques gorgés en attendant la suite .

Anefleur03

Ane répondit à Patou, de manière pas très convaincu :

Je passerais oui.

Puis aux paroles de la comtesse elle fut prise d'un doute et inspecta son uniforme. La chemise rose, ok. La tunique rose, ok. Les braies roses, ok. Les bottes roses, ok. Les paillettes, ok. Elle en avait même dans sa poche si besoin. Elle ne voyait pas ce qu'elle pouvait avoir oubliée...

Noahm

Ce n'était pas d'un pas joyeux que j'avançais vers la grand place. Je n'étais pas friand de ce genre de mondanité mais si cela pouvait lui faire plaisir, je voulais bien faire un petit effort. Je passais ma main dans mes cheveux pour leur donner un air un peu plus décoiffé et j'affichais sur mon visage un sourire de circonstance. Arrivé sur la grand place, je jetais un oeil aux personnes présentes, tout en m'approchant de Patou sans trop me faire remarquer. Je ne connaissais pas grand monde et je n'étais pas du genre à me faire remarquer.
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Patou.de.pyerrelade

Voilà que Key venait lui murmurer à l'oreille d'aller chercher les futurs médaillés. La brune opina du chef et fila de suite aux pas de course en caserne chercher les soldats. Venant de s'acquitter de sa tache, la jeune peste revint tranquillement vers sa comtesse. Une fois sa mission accomplie, elle revint marchant tranquillement vers Keyfeya, pour la rassurer, en lui murmurant :

J'ai fait de mon mieux ! Tu me connais hein !

J'ai joué de la trompette. Nom d'Aristote ! Que c'est dur de souffler la dedans.

Puis j'ai hurlé " ALERTE! ALERTE!

L'EMPIRE NOUS ATTAQUE. ANGOULÊME EST ENVAHI

A L'ATTAQUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

DEPECHEZ-VOUS, C'EST UN ORDRE DE LA COMTESSE.

La regardant , elle se mit à rire. Voyant le père Kaleb se diriger vers elle, la brunette partit à sa rencontre sourire aux lèvres, heureuse de le voir venir. Il avait tenu promesse, se doutant fort bien de l'effort qu'il fournissait pour se rendre à cette manifestation. Arrivant devant lui, le salua.

Mon père, je suis ravie de vous voir en ce lieu. Venez

Lui dit-elle tout en lui prenant le bras amicalement.

Je vais vous présenter. Mais avant, passons à la buvette pour se prendre un verre de vin chaud.

Une fois sur place, Patou fit le service, puis lui reprenant le bras, l'emmena vers la future maman Doémie.

Mon père, je vous présente le bourgmestre de Périgueux Doémie.
Doémie, voici le père Kaleb d'Angoulême.
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Chevalier16

Chevalier16 arriva sur la Grande Place. Il avait vu l'affiche et ne pouvait manquer à cette cérémonie où seraient mises à l'honneur deux personnes qui le méritaient bien.

Il les connaissait et les estimait pour leur bravoure et leur dévouement au Périgord-Angoumois. Il en avait eu la preuve.

Il se fraya un passage dans la foule pour assister au mieux à la cérémonie, saluant au passage toutes les personnes connues.

Un air de fête régnait sur le Comté. Que cela faisait du bien !
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Noahm

Je souris à la jeune femme et lui présenta mon bras. Elle ne se fit pas prier pour le prendre et m'attira dans la foule. Cela faisait quelques jours que j'étais sorti de mon isolation et Patou était une des rares personnes, pour le moment, dont j'appréciais la compagnie. Nous arrivâmes devant la buvette et souris de plus belle en voyant toutes ces délicieuses boissons. Je pris avec plaisir le godet de vin chaud qu'elle me tendait et la suivis à nouveau. Pas le temps pour la contemplation avec elle, screugneugneu. Nous nous arrêtâmes devant une jeune femme. Patou fit une rapide présentation. Je saluais la future maman d'un hochement de tête et d'un sourire.

- Enchanté de vous connaitre dame Doémie.
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.mahaut.

- Plus fort, siffle plus fort ! N'hésite pas à taper fort sur le tambour, tu tiens à ce qu'on sache qu'on arrive, non ?

Assise dans son carrosse rose auprès de son nouveau neveu, la brune le regardait, des étoiles dans les yeux et des cache-oreilles fuschia sur les oreilles. Non parce qu'on pouvait aimer la musique et promouvoir son développement chez les jeunes générations, surtout celles destinées à pourrir la vie de la blonde et du bof', et tenir à préserver son niveau mental.
N'entendant qu'un lointain rythme lancinant, la brune agitait son doigt en rythme tout en sirotant de la mirabelle. Elle avait passé la soirée de la veille à pourrir le gamin, en prenant soin de lui offrir tout ce qu'il pouvait désirer, en le gavant de boissons sucrées -voire alcoolisées- et de bonbons et en lui rappelant les règles de base pour bien s'intégrer dans la troupe des poneys :

- Et n'oublie pas ! Si on te demande : c'est moi la cheffe des poneys.

Juste ciel, si la blonde avait été assez folle pour lui confier un gamin, il fallait qu'elle en ait pour son argent.
Décidant qu'il était également de son devoir de l'éduquer à la vie de noble jouvenceau, elle lui avait proposé de venir avec elle à la cérémonie de remise de médailles. Rien de tel pour inspirer les jeunes générations que de voir qu'on pouvait obtenir des choses clinquantes en tapant des gens. Et en prime, il comprendrait que son oncle avait quand même une autre classe que son presque père adoptif. A ce propos, il fallait lui apprendre un autre point important.

- Alors tu verras, c'est flagrant. Ton oncle Matpel est blond vénitien. Pas roux, comme peuvent le croire les esprits chagrins ou sous-développés. Non, blond vénitien. Tu apprendras vite la différence, n'aie crainte. Les roux, on les brûle, les blonds vénitiens, c'est ton oncle. Rien à voir.

Le carrosse s'arrêta et la brune ôta ses cache-oreilles. Grimaçant sous l'intensité du bruit, elle masqua rapidement sa douleur sous un sourire radieux à Liamm, l'invitant du bras à avancer avec elle. Pour la peine, elle avait sorti une robe classique, pas tape à l'oeil du tout, histoire de ne pas faire de l'ombre aux héros du jour.

Oui, bon, quand même. Mais pas de bijoux, c'était dire si elle avait fait des efforts, quoi.
S'avançant au bras du garçon, elle fit des signes discrets de poney à ses connaissances, à savoir presque tout le monde, pour aller s'installer dans les premiers rangs, que des sièges lui soient réservés ou pas.

- Pardon, pardon, excusez-nous, mon neveu ne voit pas derrière, pardon, pardon. Voilàààààà, ici nous serons bien. Tu as envie de quelque chose ?
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Pattricia_lcddm

L'espace temps s'est figé et les deux rousses -qu'on ne brûle pas tss...- sont face à face. Machinalement, Patt a pris le verre que lui tend Mari.

Ca va... Merci.

C'est toujours perturbant quand un dialogue c'est interrompu d'un coup, sans dispute juste avec des rancunes qui étaient bien dépassées désormais. Avec les évènements de ces derniers mois, la Languedocienne s'était débarrassée de son côté rancunier, "à part envers Ari, pour lui c'était mort !" et du coup l'appeler la vindicative n'avait plus lieu d'être. Elle était passée à autre chose et considérait les évènements sous un autre angle.

Quand une main se pose sur son épaule, instinctivement elle sourit, elle sait qu'il s'agit de la Vilaine Brune, elles s'étaient beaucoup parlé deux ou trois jours plus tôt, elles s'étaient tout dit, il n'y avait plus qu'à agir.
Elle tourne juste son visage souriant pour rencontrer le regard de Key avant que celle-ci ne s'éloigne puis tend son verre vers Mari.

Merci pour le verre, trinquons tu veux bien ?

Mari n'a pas le temps de lui répondre qu'une tornade rose lui tombe dessus pour un câlin ponesque -enfin une qui ne veut pas bruler les rousses !- ce qui ne laisse d'autre choix sur le coup que de lui rendre son étreinte. Avec un petit sourire provocateur, Patt renchérit.

Et oui je suis venue Bonbon Rose d'Amour !
J'avais des affaires urgentes à régler en PA alors autant joindre l'utile à l'agréable.
Nous avons déjà notre verre Mari et moi, je te laisse te servir nul doute que tu t'en sortiras très bien.

Elle se marre et s'écarte afin de laisser la Prévôte se servir. Patt se penche vers Mari et retend son verre.

Trinquons de suite après ça sera mort avec les tornades ponesques !

Les jades n'en observent pas moins ce qui se passe autour d'elles et c'est un prêtre qui fait son entrée, égale à elle-même, Patou l'accueille et prend en charge sa vie sociale. La rousse sourit, si il y en avait bien une qui était à sa place dans le Conseil Comtal c'était Patou. C'est ensuite sa marraine Trucmachinchosiste qui arrive affublée d'un mouflet "gné ?????" et qui les snobe, un peine un vague salut de la main, pour foncer avec son nouvel ami en direction des boissons.

De là à ce que les deux frangines se télescopent devant le buffet on est mal Mari. Je te propose une retraite discrète en direction de Chevalier et Hagos qui viennent d'arriver et que j'aimerais saluer. Ca te va ?

Nan parce que se retrouver dans l'oeil du cyclone hein... elle est pas suicidaire la rousse, notez qu'en se moment ça serait le comble en plus.

Doemie

Doemie venait de finir son vin chaud et restait assise en attendant la cérémonie.

Elle vit Patou se diriger vers elle accompagnée d'un messire qu'elle ne connaissait pas.

Patou s'adressa au messire puis à elle en ses termes :

"Mon père, je vous présente le bourgmestre de Périgueux Doémie.
Doémie, voici le père Kaleb d'Angoulême."

Doemie regarda Kaleb qui s'adressa à elle :

"- Enchanté de vous connaitre dame Doémie".

Elle se leva pour le saluer

"Ravie de faire votre connaissance mon père"
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Patou.de.pyerrelade

Faisant les présentations, Patou vit au loin Chevalier pointer son bout de nez. A quelque part, elle était contente qu'il sorte un peu car de le savoir toujours enfermé entre ses quatre murs l'énervait un maximum. Elle irait lui présenter le père Kaleb plus tard. La place commençait à se remplir doucement, mais on attendait toujours les héros du jour, qui n'étaient toujours pas encore arrivés.

Une fois les présentations faîtes avec le maire de Périgueux, Patou entraina Kaleb vers un autre maire, celui de Sarlat.

Nélia, je vous présente le père Kaleb d'Angoulême.
Mon père, voici Cornélia, bourgmestre de Sarlat.

Les laissant se saluer, Patou vit la soeur d'Orka arriver avec Liamm qu'elle connaissait très bien. Elle leur fit un petit coucou de loin de la main.
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Mariceleste

Beaucoup de monde avait répondu présent a l’invitation pour cette cérémonie de remise de médailles.

Ils affluaient tous devant le stand pour avoir du vin chaud, elle afficha son plus beau sourire quand Patt s’approcha d’elle et lui répondit calmement. Il était temps pour toute deux d’oublier le passé et de regarder vers l’avenir, elle prit le godet que lui tendit Mari.

Elle salua Ane puis le maire d’Angoulême, Joulius a qui elle servit un gobelet de vin chaud, Key qui passa en tapotant l’épaule de Patt.

D’un coup surgit une tornade blonde toute vêtue de rose, c’était Orka notre prévôte adorée, qui se précipita sur Patt et lui donna un câlin.

Patt se penchât vers la rouquine en lui tendant son verre et lui demanda de trinquer se qu’elle fit avec plaisir.

- Ohh oui trinquons car avec ces deux la c’est l’ouragan garantie !

Se fut l’arrivée du père Kaleb que Patou prit aussitôt par le bras pour le présenter.

Patt proposa a Mari de s’éclipser discrètement en direction d’Hagos et Chevalier qui venaient d’arriver pour les saluer.

- C’est avec plaisir que je t’accompagne, comme ça nous pourrons continuer a discuter tranquillement si tu veux
bien !
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Fofinha_

Si elle avait été un homme, l'on aurait pu la voir adossée à un mur, les bras croisés, avec la nonchalance qui caractérise ceux qui aimeraient être ailleurs. Au lieu de cela, la brune était bien droite mais sont regard était vide d'attention, aussi il lui fallut un petit moment avant de remarquer que le foule était arrivée. Là encore, si elle avait était homme, elle aurait soupiré en vidant tout l'air de ses poumons avant de se redresser et les rejoindre le plus lentement possible. Dommage, la vie l'a faite femme et une femme ne se comporte pas en sauvage, pas en public.

Sans se presser, elle se glissa discrètement allant prendre un verre . Une brune qui avançait discrètement saluant ceux présents , redoutant l'instant où il lui faudrait probablement tenir un brin de causette.

Un regard sur l'ensemble, restant attentive, elle attendit alors là suite, cela était tout de même agréable de voir tout ce monde présent, un moment d’échange convivial et festif le Comté en avait grand besoin .
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Phyladelphia

Rod et Phyla arrivèrent sur le cite ou on les réclamait de toute urgence...
Meme pas le temps de ce reposer un peu chez eux qu'on les rappelaient ailleurs

Phyla entra la première et salua tout le monde

Bonjour
Je vous pries de m'excusez, j'ai essuyer une petite malade
Il fallait que je me soigne avant de me présenter ice lieu
Comment allez vous tous ?
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http://avalon.naturalforum.net/

Noahm

Pas le temps d'en dire plus que déjà, j'étais entrainé ailleurs par Patou. Je fis un signe de la main à Doémie pour terminer la conversation et je me retrouvais devant une nouvelle jeune femme. Je la saluais d'un sourire. Si Patou allait aussi vite, je n'allais pas avoir le temps de retenir tous ces noms et tous ces visages.

- Enchanté dame Cornélia, ravi de faire votre connaissance.
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Matpel

Saleté de cadran solaire qui ne marche pas ! Ben oui, c'était pas sa faute au pas roux, c'était le cadran solaire, je vous dis. Et il avait fallu que la Comtesse ELLE MÊME vienne le chercher chez l... chez heu ... à la taverne, donc dans le temple de sa femme (non, ce n'est pas une expression québécoise) alors que Matpel s'adonnait à la méditation pour implorer Sainte Boulasse de lui apporter des bottes fourrées. Vous allez me dire que c'est le monde à l'envers, vu que c'est Sainte Boulasse qui lui en réclame mais bon, faut tenter hein, sinon on n'obtient rien.
Voilà donc le pas roux, celui là même qui déteste être à la bourre, se pointant sur la grand place avec quelques minutes de retard.
Comme à son habitude, il scruta la foule un instant à la recherche de sa rose dulcinée, qu'il ne manqua pas de trouver en moins de temps qu'il ne faut pour s'écrier "Poney rose !".

Bonjour !
Bonjour !
Pardon !
Mille excuses, bonjour !
Bonjour !
Excusez moi !
Pardon !
Bonjour !

Chouette, il y avait plein de monde. Et que des gens respectables ou presque. On croirait le PA à la grande époque. Arrivé aux côtés de sa douce :

Salut, Votre Excellente. ERK ! Rugit-il
Qu'est ce que c'est que cette chose pendue à ton bras ?

Orthon

Sybille_d_angoulm

L'ombre observait. Un pincement au cœur si c'était possible la gagnait. Silencieuse, tourmentée, elle voulait suivre les événements.

.mahaut.

Keyfeya

Noahm

Anefleur03

Orthon

Sybille_d_angoulm

Cornelia.

Djull

Doc.

Noahm

Patou.de.pyerrelade

Pattricia_lcddm

Orkaange

puis le relevant lui donna l'accolade avec force tapes dans le dos; pour finir par sa phrase fétiche

Bon! Maintenant on picole!!
Bien parlé Cheffe!
fayot gérard
Ta gueule Michou
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[RP] La Grand place