Aimeryc.
Un cri. Voir simplement un haussement de voix. Cest tout ce qui avait été nécessaire à lhomme pour se faire entendre de sa jumelle il semblerait car une porte finit par souvrir pour aller laisser apparaître son double. Esquissant un sourire radieux en lapercevant il savança vers elle pour létreindre dans une de ses rares démonstrations daffection avant de se faire couper la priorité par sa fille beaucoup plus volcanique que lui en cet instant. En retrait alors il les observa tout en détaillant les alentours de la pièce en se disant que sil navait pas été chassé par son père, que sil navait pas ainsi disparu de la circulation alors ce domaine lui serait revenu à lui et non à sa sur qui le négligeait à son avis. Mais aujourdhui était une journée de retrouvailles, de renouveau alors il se faisait violence afin de retenir les moindres critiques acerbes quil pouvait avoir sur les lieux ou même de faire toute réclamation. Il aurait amplement le temps de le dire une autre fois. Cest tiré de sa contemplation quil fut lorsque sa fille lui adressa une question. Posant son regard sur elle, il prit le temps danalyser les mots avant de répondre.
Pendant un instant il avait dû se taire. Pendant un instant il avait eu lenvie de dire que ce domaine lui revenait de droit mais il sétait promis quelques minutes avant de ne rien dire et lorsque le Courcy mâle promettait quelque chose il sy tenait et ce même si cétait à lui quil faisait cette promesse. La blonde avait ensuite pénétré dans la pièce doù était sortie Adeline alors quune voix sélevait derrière eux. Une voix quil navait jamais entendue, une voix dhomme qui cela dit le fit se retourner lorsque le deuxième mot avait été prononcé. Mère ? Sagissait-il dErwan ? Il neut même pas loccasion de poser la question que sa jumelle sexclama aussitôt et lui confirma par le fait même ce quil pensait. Son âme avait voulu, du moins il pensait, aller serrer son fils dans ses bras mais elle navait fait quun pas avant de seffondrer au sol assurément dû au trop plein démotions. Rapidement comme le vent, ou presque, il sétait précipité vers elle pour lempêchée de heurter le sol et donc de se faire mal. Cest donc ralenti par ses soins quelle tomba au sol. La seule personne qui était apte à soigner dans toutes les personnes présentes à lexception dAdeline cétait lui et pourtant le neveu sétait approché pour tenter de faire réagir sa mère. Soupirant devant son attitude il lâcha un grognement devant lordre.
Adeline Pourquoi devais-tu autant te surmener si tu nétais pas capable de le supporter ? Secouant la tête devant cette constatation il glissa un bras sous les genoux de létendue alors que lautre glissait sous la nuque afin de la soulever. Il savait parfaitement que dans la salle juste à côté, où se trouvait son plus jeune neveu et sa fille, il y aurait un de ces fauteuils où il pourrait déposer sa jumelle afin quelle soit confortable. Cela fait il retira la cape quil portait afin de recouvrir son double de celle-ci pour la garder au chaud un instant.
Tout en parlant il sétait redressé alors pour jeter un regard aux personnes présentes dans la pièce avant de se figer sur la seule personne quil naurait pas cru voir ici en cet instant. Il y avait si longtemps quil navait pas vu cette femme. Cest sans crier gare quil sélança vers cette femme quil avait toujours apprécié plus que jamais afin de la serrer contre lui.
Le Courcy redevenait un enfant lespace dun instant. Si quelquun pouvait le faire se tenir tranquille cétait bien cette femme au tempérament aussi doux et bienveillant quexplosif lorsque quelquune situation ne lui plaisait pas. Voir cette femme avait relâché en lui plusieurs tensions et cest donc serein quil abordait le reste de la journée.
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- « - Effectivement ce domaine était à Fil, laîné de la famille qui est mort depuis. Il a
légué le domaine à Adeline
Il sagit de La Haye. Jai grandis ici. »
Pendant un instant il avait dû se taire. Pendant un instant il avait eu lenvie de dire que ce domaine lui revenait de droit mais il sétait promis quelques minutes avant de ne rien dire et lorsque le Courcy mâle promettait quelque chose il sy tenait et ce même si cétait à lui quil faisait cette promesse. La blonde avait ensuite pénétré dans la pièce doù était sortie Adeline alors quune voix sélevait derrière eux. Une voix quil navait jamais entendue, une voix dhomme qui cela dit le fit se retourner lorsque le deuxième mot avait été prononcé. Mère ? Sagissait-il dErwan ? Il neut même pas loccasion de poser la question que sa jumelle sexclama aussitôt et lui confirma par le fait même ce quil pensait. Son âme avait voulu, du moins il pensait, aller serrer son fils dans ses bras mais elle navait fait quun pas avant de seffondrer au sol assurément dû au trop plein démotions. Rapidement comme le vent, ou presque, il sétait précipité vers elle pour lempêchée de heurter le sol et donc de se faire mal. Cest donc ralenti par ses soins quelle tomba au sol. La seule personne qui était apte à soigner dans toutes les personnes présentes à lexception dAdeline cétait lui et pourtant le neveu sétait approché pour tenter de faire réagir sa mère. Soupirant devant son attitude il lâcha un grognement devant lordre.
- « - Laisse-moi faire Erwan veux-tu. Elle sen sortira, ce nest pas la première fois que ça lui arrive. »
Adeline Pourquoi devais-tu autant te surmener si tu nétais pas capable de le supporter ? Secouant la tête devant cette constatation il glissa un bras sous les genoux de létendue alors que lautre glissait sous la nuque afin de la soulever. Il savait parfaitement que dans la salle juste à côté, où se trouvait son plus jeune neveu et sa fille, il y aurait un de ces fauteuils où il pourrait déposer sa jumelle afin quelle soit confortable. Cela fait il retira la cape quil portait afin de recouvrir son double de celle-ci pour la garder au chaud un instant.
- « - Elle a besoin de se reposer un peu alors laissez la respirer un peu et tout ira bien. Elle se surmène trop et lémotion des retrouvailles la fait sombrer. Elle sen remettra. »
Tout en parlant il sétait redressé alors pour jeter un regard aux personnes présentes dans la pièce avant de se figer sur la seule personne quil naurait pas cru voir ici en cet instant. Il y avait si longtemps quil navait pas vu cette femme. Cest sans crier gare quil sélança vers cette femme quil avait toujours apprécié plus que jamais afin de la serrer contre lui.
- « - Tant Sigrund ! Je ne pensais pas vous voir ici aujourdhui. Je suis si content Il y avait si longtemps que je ne vous avais vu. Comment allez-vous ? Combien de temps allez-vous resté ici en Normandie ? »
Le Courcy redevenait un enfant lespace dun instant. Si quelquun pouvait le faire se tenir tranquille cétait bien cette femme au tempérament aussi doux et bienveillant quexplosif lorsque quelquune situation ne lui plaisait pas. Voir cette femme avait relâché en lui plusieurs tensions et cest donc serein quil abordait le reste de la journée.
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