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[RP] D'Ailhaud ou l'histoire de la pine...

Prinne
La blonde avait décidé de passer se jour là voir comment marchait les affaires de sa boulangerie. En fait elle le faisait tous les jours cette grosse radasse mais bon elle se plaisait à croire qu'elle n'était pas si radine que ça.

Arrivant par l'entrée arrière elle vit son boulanger tout paniqué et le commis tétanisé. Arquant un sourcil elle s'approcha.


Ne me dites pas que vous avez encore cramer une fournée de pain?
Non vot'e grasce, l'pain il est b'en cuit comme vous l'aimez!
Alors pourquoi cette tête?
M'virez pas vot'e Grasce mais j m'ai trompé et j'ai mis du beurre dans l' lait à chauffer!
Mais kilékon! Vous savez combien sa me coute la livre de beurre? 2 écus! Vous en avez mit combien là dedans?
2 livres vot'e grasce!
Mais vous est fou?
Oh oui! Vot'e grasce, m'chassé pas j'ai 12 enfants à nourrir


La blonde dépose Grégoire dans les bras de la nourrice et s'approche de la marmite dépitée. Même son blond aurait pas fait une erreur pareil. Elle remue le mélange et le sort du feu.

Qu'est ce que l'on va faire de ça? Je vais pas gâcher 5 écus et 15 deniers de marchandises à cause de vous!
On peux ajouter d'la farine vot'e grasce pour faire une pâte!
Une pâte de quoi? Pas de pain c'est certain! Passez moi la farine, on est jamais mieux servi que par sois même!
Oui vot'e grasce!
Et apportez une douzaine d'oeufs, ça va peux être servir!
Oui vot'e grasce!


Il est pas futter le boulanger mais il est docile c'est déjà pas mal, son mari devrait en prendre de la graine! Elle prend le demi sac de farine qu'il a amené et verse le tout dans la marmite. Cuillère en bois en main elle commence à remuer énergiquement, c'est souverain pour ses nerfs. Une espèce de panade se forme et la blonde regarde cela dubitative.

Oeuf je vous prie!

Le boulanger casse un à un les œufs dans le mélange blanchâtre et gluant pendant que la blonde remue encore et encore elle lève sa cuillère pour tester l’onctuosité de la chose et au bout d'un moment.

Stop y'en a assé! le four et chaud?
Oui vot'e grasce.
Passez moi un plat, on va tester cela!


Elle forme quelque boules dans le plat, les badigeonne d’œuf et les met au four en surveillant attentivement.

Si je me suis pas trompée on devrait avoir des chouquettes!
J'espère vot'e grasce!
Oui priez le très haut pour que votre erreur n'en soit pas une malheureux!


Se tournant vers le commis qui n'a pas osé bouger une oreille depuis le début. Encore un réveillé lui tiens.

Va me chercher de la crème!
Oui m'dame!
Vot'e grasce abruti!
Oui vot'e grasce abruti


Les yeux ce lève au ciel dans un long soupire de dépit. Elle est cernée de con à cet instant précis c'est sur.

C'est votre fils?
Oui vot'e grasce!
Y'a un air de famille!
Merci vot'e grasce.
...

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.mahaut.


- Mais mamaaaaan, je te juuuuure ! Je n'ai pas pu venir parce que j'étais en Limousin !
- Ben voyons...
- Mais si ! en mission officielle pour le PA ! Même que j'en suis revenue et repartie immédiatement pour aller à Rochechouart et...
- Rochechouart ! Tu n'irais jamais à Rochechouart, ne me mens plus comme ça mon p'tit' chat !
- Mais c'est vraiiiii ! J'avais un mandat de plusieurs milliers d'écus et j'ai acheté des pierres et...
- Et tu les as rendues ? Et moi j'm'appelle Simone.
- Ha bon ? C'était pas Michèle Makrel ?
- SI !
- M'maaaaan, je te jure que j'ai pas boudé ta soirée " jeu ! jeu ! suis libertineuh !". J'étais juste pas là !
- Et ton mari, hein ?
- Il était avec moi. C'était mon escorte.
- ET PUIS QUOI ENCORE ! On commence comme garde du corps et on finit en garde à vue au lit !
- Hein ?
- J'me comprends... Ne va pas perdre ton honneur en fréquentant un roux, hein.
- Alors déjà c'ets mon mari, hein, et il est blond vénitien, m'man, et tu le sais très bien !
- Non mais si tu préfères passer ton temps avec des limousins de Rochechouart plutôt qu'avec ta mère, il fallait le dire tout de suite, mon p'tit chat... Je délocalise la Sainte Honorée à Limoges, hein !

Plantée au beau milieu de l'artère principale de Périgueux, Makrel avait lancé la phrase bien haut pour que tout le monde l'entende. Autour d'elles, de nombreux passants s'arrêtèrent, choqués, tandis que soeur Bout'Hain lança un "ha ! enfin ! à bas la chienlit !" sonore depuis sa prison.
Gênée, la brune avait empoigné le bras de sa mère adoptive pour l'entraîner loin des oreilles indiscrètes.


- Ne dis pas des horreurs comme ça, m'man, sans la Sainte Honorée, Périgueux perd la moitié de ses habitants ! C'est la ruine du Comté, que tu veux ?
- Et toi mon p'tit chat ? C'est la mort de ta mère que tu souhaites en boudant ses soirées à thème ?
- Raaaah mais j'étais pas làààààààààà ! Bon. Attends, je sais. On va trouver un témoin.


Agrippant le bras de la maquerelle, la ponnette avait remonté la rue à la recherche de la boulangerie de la Cac Normando-périgourdine. Normalement, le terme "périgourdine" aurait dû suffire pour la dénommer mais les mouvements pro-périgourdins et anti-estrangiens menés par sa soeur semblaient dangereusement en forme ces temps-ci. Alors que les étrangiens, c'était bien : ça amenait du calva.
Bref, elle repéra la boulangerie en question et passa la porte, certaine de trouver la Cac ici. DE toute façon ce n'était pas dur : où trouver un ou une CAC, hein ? Vue l'activité au château, ce n'était certainement pas là bas. Or, un cac étant par nature radin, c'était forcément dans son atelier qu'on la trouverait, occupée à compter ses deniers en murmurant des phrases étranges comme "si je fais un mandat de 8600 et qu'ils passent par Nevers, je revends de l'argile pour 3400 et je reprends des fromages de chèvre pour 120... oui mais non, c'est trop lourd, les fromages de chèvre, non..."
Sûre d'elle, la brune poussa donc la porte en entrainant Makrel à sa suite.


*Dreling*
- On a mis une sonnette à la porte ?
- Non, ce sont mes poulaines à grelots ! C'est pratique, hein ? Dites-moi mon brave, la Cac est-elle là ?
- Oui Votre Excellente, elle est derrière à... enfin elle...
- Elle ... ?
- Elle cuisine, Votre Excellente.
- Ah ? En effet, ça sent les chouquettes. Allons-y !


Passant outre les protestations des commis, elle passa dans l'arrière salle et aperçut la brune en train d'enfourner quelque chose.

- Ah, Prune, bonjour ! Vous connaissez Makrel, qui tient la Sainte Honorée ? M'man, tu connais Prune ?
- C'est la femme du type que tu voulais embaucher pour refaire la déco de la Sainte Honorée ?
- Voilàààà !
- Comme si j'avais pas assez de bon goût pour décorer mon établissement ?
- M'maaaaaaan, enfin, c'était une proposition, c'est tout ! Tout le monde adore tes tableaux avec les chèvres. Bon, Prune, pouvez-vous expliquer à ma mère que j'étais bien en Limousin en mission officielle et que donc, je ne pouvais pas être à sa soirée thématique "jeu ! jeu ! suis libertineuh ! j'aimeuh les grappins !" ?


S'appuyant contre un plan de travail, elle posa ses mains derrière elle le temps que la conversation la prouve innocente. C'était globalement ce qu'elle attendait de 80% des conversations la concernant, de toute façon. Ce faisant, elle ne s'aperçut pas qu'elle mettait de la farine sur sa robe et ses mains, malgré les airs horrifiés des commis et du maître boulanger.
Makrel, quant à elle, avait reniflé de mauvaise grâce, passant son doigt un peu partout pour montrer la poussière et avait fini par se pencher vers le four pour regarder ce qui cuisait.

- Dites... Elles sont trop collées, vos chouquettes, elles n'en font plus qu'une seule en forme de... OOOOooooh c'est intéressant, ça... Sortez-moi ça tout de suite !
- Mais c'est pas cuit, ça risque de retomber !


A ces mots, la brune se pencha pour voir ce qui attirait tant le regard de la maquerelle.

- Oh ben oui, ce serait dommage, elles sont bien gonflées, là ! C'est toujours décevant quand ça retombe sans qu'on en profite, après. C'est quoi au juste, Prune ?
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Prinne
La blonde attentive à la cuisson de ses chouquettes entendit la porte s'ouvrir et la voix de Mahaut retentir à ses oreilles. Pas besoin de se retourner, confirmation fut faite très vite quand elle l'appela Prune.

Elle soupira de désespoir, il est certains qu'entre la brune et Ork elle allait encore manger du Prune et de l'étrangien un moment.

Elle se retourna et sourit aux 2 femmes.


Le bonjour Mahaut, plaisir de te voir!
Madame Makrel c'est un plaisir! Non je ne connait pas la Saint-Honorée!


La vieille se penchait déjà pour voir le contenu du four.

Mais c'est pas cuit, ça risque de retomber !
Vous êtes sur?
Oh ben oui, ce serait dommage, elles sont bien gonflées, là ! C'est toujours décevant quand ça retombe sans qu'on en profite, après. C'est quoi au juste, Prune ?
J'essai de rattraper les boulettes de mon boulanger et je tente les chouquettes mais j'en avais jamais fait jusqu'à maintenant!


La blonde s’exécute et sort le plat du four tout en répondant à la question de la chancelière pour le LM!

Oui j'ai emmener Mahaut, ou plutôt je l'ai accompagnée au Limousin pour aller chercher de la pierre pour le comté!

Mais quelle horreur on dirait des.... enfin un .... bref le spectacle est consternant. La blonde mortifiée vire pivoine et ne sait si elle doit rire ou pleurer. Mais une chose est sur c'est gonflé! Très gonflé!

Je suis navrée pour ce pathétique spectacle. Je voulais juste des boules pas des... enfin pas une...

La blonde chercher ces mots toujours aussi pivoine.

Mais misère on dirait l'andouillette de mon époux! En moins gros cela dit.

La blonde observe la "chose" la tête penchée sur le côté.

Elle est aussi comme ça celle de votre époux Mahaut?

Vu la situation, il n'y avait guère plus trop de gêne à avoir!
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.mahaut.


D'humeur soudain ragaillardie, Makrel regardait le plat de presque-chouquettes d'un air gourmand. Tournant autour du plat en lâchant de petits "oooooh", elle se redressa soudain en entendant la Cac.

- Ha ben rassurez-vous Dame Prune, vous avez très bien réussi les boules ! Hein machin ?

Le commis ainsi apostrophé recula brusquement d'un pas tandis que les autres apprentis pouffèrent nerveusement. Souriant à moitié, Makrel souleva alors le plat tandis que la Cac poursuivait :


- Mais misère on dirait l'andouillette de mon époux! En moins gros cela dit.
- Hein ? Bouche-toi les oreilles, Mahaut !
- Mais pourquoi ? On parle gastronomie, j'ai le droit d'écouter !
- Dites voir un peu, c'est plus gros que ça votre mari ? J'vais peut-être l'embaucher alors... Vous me le prêtez quelques temps ? Il me fallait justement un porte-manteau dans l'entrée, un truc un peu di-saillne, qui attire le regard du client.
- Un porte-manteau à l'andouillette ?
- J't'ai dit d'te boucher les oreilles, mon p'tit chat !
- Mais c'est dégoutant, c'est gras une andouillette, personne voudra accrocher son manteau à ça...
- Elle est aussi comme ça celle de votre époux Mahaut ?


Interdite, la brune regarda Prinne.
Avait-elle la moindre idée de l'aspect de l'andouillette de son mari ? Fiouchtrement que non. A vrai dire, elle ne savait même pas s'il aimait les andouillettes. Peut-être était-ce un plat très apprécié de la gent masculine, et donc qu'on en déduisait que tous les hommes aimaient leur andouillette, peu importe le gras qui l'accompagnait ? Pourtant, elle avait beau y réfléchir, elle ne se souvenait pas l'avoir vu manger d'andouillette devant elle. Ni même en public. Peut-être ne pouvait-il en manger qu'en privé ? Sans doute à cause des projections de gras. Oui, c'était forcément ça, ça se tenait. Pourtant, Prinne semblait laisser entendre qu'elle voyait régulièrement son propre mari et son andouillette...
Soudain, la brune s'éclaira : c'était une pratique normande, voilà tout. Tout le monde savait que les estrangiens mangeaient bizarrement, contrairement aux périgourdins qui bourraient leurs canards et leurs oies de maïs à l'aide d'entonnoir pour leur bouffer sereinement le foie au bout de quelques mois. Les estrangiens étaient des barbares sans savoir vivre.
Néanmoins, sa position de diplomate l'empêchait clairement de dire le fond de sa pensée, sous peine de rupture des contrats de livraison de calva. Heureusement, ce fut Makrel qui la sauva.


- Ecoutez, en matière d'andouillettes, je m'y connais assez bien...
- Oh, tu as en as déjà mangées, m'man ?

Un commis sortit de la pièce en s'étouffant. Makrel le regarda sortir, impassible, avant de se retourner vers sa fille adoptive.

- Quelques unes, oui.

Un autre commis sortit précipitamment, rouge comme une pivoine.

- Bref, quoiqu'il en soit...
- C'était pas trop gras ?
- QUOIQU'IL EN SOIT...
- Non mais je demande juste, hein !
- QUOIQU'IL EN SOIT, je ne sais pas comment vous voulez appeler cette trouvaille mais j'en veux dans mon établissement ! Enfin peut-être pas sous le nom d'andouillette, remarquez.
- Ben oui, les andouillettes c'est gras et là c'est tout sec, y'a rien dedans ! Avouez, ça fait pas envie quand y'a rien qui coule.


Le dernier apprenti sortit rejoindre ses congénères en train de se tremper dans un baquet d'eau bien froide.
Attrapant une poche à douille, Makrel la remplit de crème et s'attaqua à la création du jour.
Les yeux écarquillés par la curiosité, la brune se pencha pour suivre ses gestes. Quand elle eut fini, elle s'écria enfin :


- Mais M'man, c'est bien trop gros, personne n'arrivera à mettre ça dans sa bouche d'un coup !
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Prinne
Alors comment dire... Vous prenez une bonne planche de bois, vous la passez au savon noir et vous l'incliner avant d'y mettre une blonde. En gros la blonde ne savais plus quoi penser entre la makrell qui pensait pire qu'elle et Mahaut qui ne comprenait rien.

Elle se savait naïve mais elle avait trouvé pire qu'elle. Il faut dire que sa nuit de noce l'avait un peu éduquée sur l'andouillette ducale consort et qui sort de temps à autre et sur son utilisation.

Elle regarda impassible les commis sortir de la cuisine, les enviant presque et elle arca un sourcil à la proposition de la mère adoptive.


- Dites voir un peu, c'est plus gros que ça votre mari ? J'vais peut-être l'embaucher alors... Vous me le prêtez quelques temps ? Il me fallait justement un porte-manteau dans l'entrée, un truc un peu di-saillne, qui attire le regard du client.
- Je suis navrée de refuser votre charmante proposition mais l'andouillette de mon mari n'est point une attraction publique. Je suis là seule à avoir le droit de la voir et.... enfin vous me comprenez.


Elle secoue la tête, pas qu'elle soit égoïste la blonde mais son mari c'est son mari et malheur a celle qui essayera d'y toucher foie de blonde possessive.

Regardant Mahaut elle prit sur elle de tenter de lui apporter quelques explications plus précise.


- En effet l'andouillette est grasse et parfois elle ne sens pas très bon mais cela fait partie des devoir d'une femme envers son mari. C'est comme lui faire des enfants, c'est aussi un devoir et l'utilisation de l'andouillette de votre époux sers à cela.

Ouai super précis l'explication. Mahaut allait croire que les enfants naissent dans des andouillettes. Déjà que son mari pensait que les filles naissaient dans les roses, les garçons dans les choux et les nains dans des radis. En fait là il aurait fallu une paire de rame en plus à la blonde pour se sortir de cette discussion on ne peux plus étrange.

Quand Makrell prit la crème et fourra les chouquettes ratées la blonde eu une illumination divine.


- Mahaut si je ne m'abuse, vous et votre époux avez les terres de Barbezieux?

Elle sourit en coin et regarda maman poule.

- Je vous présente les pines de Barbezieux.

Fière d'elle la blonde? Tout à fait.

- C'est ma façon de vous remercier de votre aide en honorant vos terres que de donner leur nom à cette douceur. Je suis sur que cela va marcher et que ce sera reconnu bientôt dans tout le comté et au delà.
- Je vous en ferrai livrer 2 douzaines à la Saint Honorée dès demain et une douzaine pour Mahaut.


La blonde eu son sourire commercial en imaginant les écus qui allaient bientôt entrer grâce à cela.

- 2 écus la pine, vous pensez que c'est trop cher?
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Theodoric_
Il n'est jamais trop tard pour intervenir, surtout quand on parle de pine. Surtout quand on parle de SA pine. Et Théo était du genre à aimer montrer ses attribut virils. Notamment en taverne. Mais sa blonde n'aimait pas trop ça. Ce qu'il comprenait désormais. Mais avant !

Enfin, il ignorait tout de ce qui se tramait dans la boulangerie de sa femme. Tout. Aussi il ne savait pas qu'il allait tomber dans le piège de la Pine de Barbezieux. Théo arriva, les bourses vides. Oui en effet, sa femme lui avait racheté du blé, et il attendait ENCORE le paiement. Bien entendu, comme à son habitude. Elle ferait genre "Ha mais non je vous ai payé mon époux !" Mais Théo le savait bien que Prinne mentait. Tout ça pour gagner quelques écus...

Il entra dans la boulangerie, croisant un commis blanc comme le cul d'une Hérote de Normandie, et compris qu'il se tramait quelque chose... Dans l'arrière boutique il trouva sa blonde, Mahaut et une heu... Dame ? Théo ignorait de qui il s'agissait. Il salua quand même respectueusement l'assistance. Il interrompait la conversation. Ca parlait de pine, et d'andouillettes. Théo ignorait alors qu'il allait frôler la mort !

Oh ! De la nourriture gratuite !

Ni une, ni deux, le Walburghe s'empare de ladite Pine, et croque dedans. Mais c'est bien chose ardue, tant l'objet est énoooorme !


Hmmm ché bon vot' truc ! Ché quoi ? Cha remplit son homme cha !

Et il avale. Oui, Théo avale toujours, presque sans mâcher. Il en a plein la barbe le bougre. Ô Gourmandise ! Péché s'il en est ! Il enfonce la pine plus profond encore, pour en profiter au MAX-IM-UM !

Miam, ché vraiment délichieux ! On dirait que ché...ché...ché...


Le disque est rayé ? Meuh non ! Théodoric est en train de devenir blême, puis vire au rouge. Par Aristote, Théo était en train de s'étouffer avec une grosse pine ! Il lance un regard suppliant aux dames présentes autour de lui, alors qu'un long filet de crème dégouline de sa bouche, et s'écroule en essayant de respirer.

Que dirait il au Très Haut, une fois qu'il serait mort ? "Désolé, j'ai été idiot de vouloir prendre la pine en entier dans ma bouche. Elle était beaucoup trop grosse pour moi..."
Prinne
Quand on parle de la queue du loup il montre son museau. La blonde regarde son époux arriver et devient rouge pivoine. Ben oui il est peux séant de parler de l’andouillette de son mari en publique.

Il demande ce que c'est? La blonde le voit prendre une pine et croquer dedans a plaines dents. AÏEUUUUU ça doit être douloureux.

C'est un sourire en coin qu'elle répond.


Ce sont les pines de Barbezieux!

Elle le regarde se baffrer de la pâtisserie et soupire

Vous êtes un goret mon époux et un égoïste, vous ne partagez même pas.

Et en plus il fait son show a faire mine de s'étouffer. Ah non il s'étouffe vraiment. La blonde ne réfléchi pas vraiment et tape un bon coup dans le dos de son mari. Riena faire, le pauvre vire violet. Elle le redresse et se positionnant derrière lui et serre de ses mains. Un miracle? Un hasard? Sur un malentendu tout peux arriver? Bref le blond arrête de suffoquer. Elle l’assoit sur une chaise.

C'est bien fait, il ne faut pas dévorer berdol de marde. il faut la SA-VOU-RER.
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