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Ivresse d'océan

Pegas


Pegas éclata de rire et se pencha tendant sa main en direction des cheveux de la jeune demoiselle les décoiffant et tirant la langue....

Vilaine va !!

Il lui fit un bisou sur la joue et lui demanda d'un aire innocent...

Ma jeune cavalière me permettrait elle de lui tenir compagnie un petit moment? ^^ je suis curieux de savoir ce qui l'a faisait rire autant, aurait elle vue peut être un poisson qui ne savait pas nager ? ^^

Il partit dans un rire enfantin et prit une place à coté d'elle ...

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Laureline_squire
Groumph...

L'est po vilaine moi...

Juste rigolote...

La petite lui fit son plus beau sourire de pitre pis elle lui tendit sa petite main pour l'inviter à s'assoir à coté d'elle...

Vi vi...

Tu peu...

Nan nan encore que çà peut être très drôle un poisson qui sais po nagé...


Lauri pouffa de rire à l'évocation du poisson pas nageur et l'imagina très bien ce qui la fit encore plus rire, avant de reprendre...

nan je m'imaginai chevalier princesse de la mer naviguant sur l'océan...
Veropv
Véro arriva à la plage aprés le petit repas qu'elle c'était faite un peu de pain un épis de maïs et un verre de lait.

Elle parti dans ses songes et se rappella de la soirée d'hier et ce qu'avait dit Darflex.

Elle avait aperçu Pegas et Laury au loin mais voulu être seule.
Elle s'isola en partant sur la droite du rivage et s'asseya un moment sur le sable froid.Elle se mit a regarder l'horizon parti dans un rêve elle voyait le visage de son ami lui sourire

Soupire.

Yosh tu me manque tellement

Elle resta un moment comme ça, les genoux remonter vers la poitrine, les avant bras posé sur le genoux et le menton sur sa main droite. elle fit un sourire vers l'horizon, se leva et repartie en direction de sa maison.
Aambre
La jeune femme avait laissé ses amis en taverne, elle avait eu l'envie d'aller faire un dernier tour sur la plage bertincourtoise avant son départ.
Ses pas la guidérent en haut de la falaise, là où Jew avait eu si peur. La petite louve offerte par Vero la suivait, trottinnant et reniflant à tout va..
Un sourire naquit sur les lévres d'Océade en la regardant faire. Puis la jeune femme porta son regard sur l'horizon, admirant encore une fois ce paysage si calme et si bruyant en même temps.
Debout au bord du monticule, elle laissait le vent l'envelopper comme un manteau.
Elle regrettait de partir de Berti, sachant pourtant cela inévitable puisque sa vie était ailleurs.
Vero, Darf, Chriss, Virb -la spécialiste des léchouilles, choses à laquelle Oce avait bien du mal à se faire- et tous les autres aussi..
Ces jours passés dans ce village si accueillants l'avaient apaisé, lui avait permis de voir l'Artois et ces habitants autrement. Bien sur, pas question de dire à sa tantine qu'elle aimait cet endroit..
Elle resta là quelques instants perdue dans ses pensées, imprimant les images dans sa tête pour pouvoir mieux les raconter à ses amis alençonnais.
Elle fit ensuite demi-tour, appellant Angie et reprit le chemin de la plage. Arrivée sur l'étendue de sable, elle ne résista pas à un dernier plaisir. Elle ota ses bottes et ses bas et marcha pieds nus allant jusqu'au bord de la mer où les vagues vinrent lui lécher les pieds.
Un frisson lui échappa puis elle regagna le rivage. Elle s'assit un instant, caressant sa jeune compagne à quatre pattes.


Allez viens ma belle. Il est l'heure d'aller préparer nos affaires et Bravache aussi.

Oceade remis ses bas et ses bottes et repartit vers le village. Une derniére soirée en taverne avant cet aurevoir qu'elle appréhendait déjà et demain elle serait en Normandie..
Aalanae
Nabel vint pour la première fois sur la plage de Bertincourt pour se changer un peu les esprit.
Cela faisait plusieurs jours qu'elle pêcher, elle voyait donc la plage tous les jours mais n'avait jamais eu cette envie d'aller si balader. Elle arriva donc sur le sable, enleva sa paire de chausses pour sentir le sable, froid certes, mais tellement agréable sur la peau.
Elle marcha donc en silence, ses pensées la torturés. Elle ne savait plus quoi penser, elle se remettait en questions. Des erreurs, elle en avait beaucoup fait ces derniers temps mais elle avait promis de se racheter, et elle tiendrait sa parole. Elle pensa aussi aux bonnes nouvelles qu'on lui avait appris...
Le bonheur entouré les personnes l'ai plus chères à son coeur. Elle était tellement heureuse pour sa soeur, son ami... . Les cheveux au vent elle s'approcha de l'eau. La mer... quel bonheur de sentir cette odeur, d'avoir le visage tirer par le vent et sécher par le sel. Elle se risqua à laisser les vagues carresser ses pieds nus. Elle frisonna...
Mais même si l'eau était fort froide elle continua sa marche, les pieds dans l'eau. Se demandant où était le bonheur, elle regarda la mer et se dit qu'il était peut être en un autre endroit... quelques minutes plus tard, elle s'assit sur le sable et s'imagina heureuse...
Niria_helene
Sortie de l'auberge où ils ont passé la nuit, claudicante, elle traîne ses bottes sur le pavé des ruelles de Bertincourt. Elle passe devant les portes des tavernes sans y entrer, traverse le marché sans s'y arrêter et peu à peu ses pas la mènent sur la plage. Il y fait froid, malgré le soleil radieux qui illumine cette journée. La Féline se débarrasse de ses bottes, relève son jupon et s'avance sur le sable frais.

Elle longe la mer pendant un temps qu'elle ne saurait définir, perdues dans ses pensées. Ce soir ils quitteront cette ville dans laquelle ils ne se sentent pas à l'aise, l'accueil de certains leur ayant laissé un goût acre dans la bouche.
Aucun regret quand viendra l'heure de partir et de reprendre la route.

Soudain sa blessure à la cuisse se rappelle à son mauvais souvenir, la forçant à s'arrêter. Elle se défait de son ceinturon portant épée et dagues, le pose au sol et s'assoie sur la sable.

Maudite blessure qui ne veut pas cicatriser, et elle n'a plus de cette potion qu'Avana lui avait confié pour enrayer le mal. Elle sait qu'elle doit la montrer à quelqu'un mais elle ne s'y résout pas, fierté mal placée quand tu nous tiens.

La Féline laisse son regard errer sur la mer, replongeant dans ses pensées, se repassant sans cesse les images des derniers jours de son frère. Elle est obsédée par l'image de cette dague plantée dans son cœur, du regard de son frère sur elle alors que la vie le quittait, ses derniers mots et son dernier soupir. Cette vision ne la quitte jamais, mais le plus souvent elle esquive, pense à autre chose. Mais quand elle est seule, elle se laisse submerger, sans rien pouvoir y faire.

Et là, dans un village portuaire comme celui où son frère a péri, les souvenirs sont plus forts, plus douloureux. Elle doit s'éloigner encore plus des Flandres ; une dernière chose à faire et elle partira pour le Sud avec Saian.

Seule, alors que personne ne peut ni la voir, ni l'entendre, elle s'abandonne à son chagrin et laisse couler ses larmes silencieuses, sans aucune retenue, libérant son cœur meurtri de ce fardeau bien trop lourd à porter mais qu'elle ne veut pas partager.

Plus tard, pour le commun des mortels elle redeviendra la mercenaire, odieuse, froide et agressive, sa seule façon de se protéger et de survivre.

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© Crokie
Veropv
Elle était sortie de la taverne et venait d'arriver à la plage.

Elle se rappelé encore ce que Darflex lui avait annoncé hier et se posé la question de savoir ce qu'elle devait lui répondre.

Devait t-elle le laisser entrer à l'Ost, devait elle le laisser partir au risque d'apprendre qu'un jour qu'il sera blessé et loin d'elle tout comme Judeas,

Judeas mon dieu ou est tu à ce jour? Que fais-tu? Est ce que tout va bien pour toi? T’es tu remis de tes blessures?

Elle se mit à regarder l'horizon, et dit...

Mon dieu aide moi à trouver la bonne réponse
Aide-moi à lui dire qu'il vaut bien plus que ma vie, que je ne survivrais pas sans lui.


Est ce que je manque de maturité à ce point...

Me faut t'il plus de sagesse, de patience, et croire qu'il ne lui arrivera rien.

Véro se leva et repris le chemin de sa maison bien vide et décida d'écrire un pigeon à Darflex
Chevalier_bayard
Le Roy n'arrivant toujours pas, et après avoir éclusé quelques choppes avec Torqual, Bayard sortit de la taverne et prit la direction de la plage, pour s'y promener, seul. Le flux et le reflux des vagues, sur la grève, le calmait.

Il aimait ses terres de Flandres, s'y était investit, jusqu'à dépasser certaines limites, certes, mais toujours selon ses valeurs et pour le bien de son Comté. Il y avait mis beaucoup d'énergie, et y avait beaucoup sacrifié, par sens du devoir. Savoir que les calomnies que ses ennemis avaient lancés contre lui était parvenues jusqu'en Artois l'énervait. Il préférait un combat face à face, les armes à la main, un jugement de Dieu, que toutes ses manoeuvres politiques, manoeuvres de lâches. Dégoutté, il songeait de plus en plus à sa retraite politique.

Son regard azur se porta sur la mer, sur l'horizon... plusieurs chemins s'offraient devant lui. Il devait en choisir un... et ce choix semblait au chevalier bien difficile...

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Margaux.
Merenwen qui allait probablement devoir quitter ses amis dans la soirée se mit en quète du Capitaine Bayard pour l'en informer. Capitaine était-il toujours ? Elle savait que les éléctions étaient terminées depuis quelques jours mais à part le résultat, elle ignorait qui avait été élu Comte de Flandres et n'en saurait probablement rien avant son retour.

Elle le trouva face à la mer grâce aux indications données par plusieurs passants qui lui avait parfois valu quelques détours et retour arrière.

Il paraissait en pleine réfléxion aussi le laissa-t-il seul un moment avant de finalement faire les derniers pas qui la séparait de lui :


Bonsoir Capitaine, vous me semblez bien songeur... pour dire vrai on dirait moi, dit elle dans un sourire. Elle savait pertinement qu'elle était sujette à ce genre d'absence et de réflexion mais à un degré bien plus important que celui de n'importe qui d'autre.

Puis-je vous demander ce qui vous tracasse ?
Laureline_squire
Laureline était heureuse jusqu'à ce qu'elle commette l'irréparable, laisser Radyan seul un instant en taverne le temps d'aller transmettre un message et il s'était envolé loin d'elle.
Elle avait attendu puis triste la fillette avait decidé d'aller faire un tour sur la plage.

Seul endroit de réconfort pour elle après la présence de Radyan...

Après avoir marché un moment la môme posa son cul sur le sable et regarda l'horizon, la mer s'éloigner d'elle comme venait de le faire Radyan parce qu'elle c'était éclipsée...
Elle avait beau chercher, imaginer ou celui-ci aurait pu se rendre...

Rien après avoir tout retourné dans sa tête, Laurie se releva et retourna vers la taverne espérant le retrouver...
Chevalier_bayard
Bayard, se retourna, sortant de ses pensées, ayant reconnu la voix de Merenwen.

- Oh, Merenwen! Je ne vous avais pas entendu arriver...

Il l'invita à s'asseoir près de lui, dans le sable.

- Comme toujours quand on vide quelques chopes, on se pose quelques questions sur ses choix, les chemins à prendre, la politique, les femmes...
Enfin... Vous savez, les élections sont terminées en Flandres. J'ai été prévenu par pigeon d'élite, Wuggalix est de nouveau Comte, et je suis toujours Capitaine... C'est mon cinquième mandat d'affilé, et la politique use! Je me demande si ce ne serait pas mon dernier... et puis... j'ai hâte de rentrer à Tournai... je...


Il marqua un instant de silence.

- Mais je ne veux pas vous embêter avec tout ça! J'ai appris avec regret que vous allez rejoindre votre Ordre... quand nous quittez-vous ?
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pnj
Radyan avait profité d'aller sur la plage, quand laurie était partit pour aller chercher encore des coquillages....Il en avait plein la poche et c'était avec plaisir qu'il s'était installé sur un rocher pour faire un collier à sa princesse en cachette. Toutes ses braies étaient mouillées et il faisait un peu froid mais il fallait qu'il le termine...avec courage il perca les petits coquillages tout en pensant qu'elle serait belle avec son cadeau.
Veropv
Véro arriva sur la plage histoire d'avoir un peu d'air vivifiant.
Elle laissa courir Féroce sur la plage et pris place sur le sable un peu froid.
Les idées un peu embrumé par tout l'alcool de la journée et de la soirée, un légé mal de tête planait,

Cependant elle laissa échapper un sourire car elle avait reçu une très bonne nouvelle, son ami son ange gardien revenait à Bertincourt, enfin il rentrait.

Oh! Elle savait qu'il ne rentrait pas définitivement il n'était que de passage mais ce serait bon de le voir quand même. Il rentrait avec sa douce ils ne serait pas là demain ni après demain mais elle savait qu'il remontait et c'était tout ce qui lui importait.

Elle se mit à sourire de toute ses dents appela Féroce se mit debout et lui lança un baton.

Elle le regardait courir et se mis à sourire

elle le siffla et repartirent chez elle.
Virbule
Il y avait bien longtemps quelle ne s'était pas accordé une balade sur la plage mais par cette froide journée d'hiver l'envie lui pris. Elle se dirigea seule à travers les ruelles du village vers la plage, le pas assuré, le regard vague, les pensées bien lointaines ...

La mer était là, au bout de la plage, grise, immuable, immensément belle. Longuement Virbule l'observa, parfois jusqu'à l'horizon en imaginant ce qui pouvait bien exister au delà, parfois une vague se détachée de l'étendu aquatique en reflétant les timides rayons du soleil et venez mourir sur la plage.

Quittant sa contemplation elle marcha le long de la plage. Triste mais à la fois heureuse, songeuse, rêveuse ... sans s'en rendre compte elle était au bout de la plage. La falaise lui barrait dorénavant la route. Revenant un peu sur ses pas elle pris un petit chemin oublié qui montait au sommet de la magnifique. Elle dérangea quelques animaux sur son passage, huma les senteurs des plantes avoisinante.

Elle s'arrêta à mis parcours pour regarder ce paysage quelle connaissait si bien mais qui était pourtant toujours différents. Le vent emportait les nuages vers d'autres lieux, bientôt il en apportera de nouveaux, peut être la pluie. Pour le moment le soleil taquinait sa peau et elle repris son ascension ainsi que ses pensées.

Déjà elle était en haut et s'approcha du bord. En regardant en bas elle se mit à rire. Le souvenir d'une soirée avec Yann et Océade et beaucoup de fou-rires lui revint. Ils devaient être arrivé chez eux maintenant. Elle leurs rendra visite prochainement, testera l'hospitalité légendaire de Yann sur son domaine ... Elle sourit certaine qu'au fond ils avaient aimé les traditionnelles lechouilles Bertincourtoises.

Son regard se porta sur le chemin de côte par lequel ils étaient très certainement partis et qui bientôt lui apportera un ami cher. Il y a 5 mois qu'il devrait être là et elle lui en toucherai surement deux mots ... mais son arrivée lui faisait grandement plaisir.

Elle s'assit et contempla l'horizon en pensant voir plus loin étant maintenant au sommet de la falaise mais elle ne distingua que la mer à perte de vue. Le temps passa sur ses songes et bientôt la nuit commençait à tomber. Elle se décida donc à rentrer en prenant un autre chemin cette fois si, ne passant pas par la plage.

La nature l'avait apaisée.
La_vieille
La rouquine errait dans les rues de Bertincourt à la recherche du colosse qui l'accompagnait. Elle avait finit par se rendre à l'évidence, il s'était rendu chez les moines. Jean-jean chez les moines... il fallait qu'elle en ait le coeur net. Aussi, Enored grimpa la petite colline qui menait au monastère, remonta sa capuche sur sa chevelure rousse, et frappa à la porte.

- La bonne journée damoiselle, donnez vous la peine d'entrer

Elle fit non de la tête.


- Je cherche mon compagnon de route. Un colosse qui...

- Il est là, il a dit qu'il attendrait le retour de sa rouquine ici pour pas faire de bêtise.

La rouquine baissa sa capuche et planta son regard vert émeraude.

- Ah c'est vous... mais les vêpres ont sonné il ne pourra sortir que demain.

La rouquine serra les poings, haussa les épaules et tourna les talons. Il fallait qu'elle parte et vite pour ne pas forcer l'entrée du monastère. Elle fit quelques pas, ferma les yeux et respira l'air marin. Se laissant guider par l'effluve, la rouquine arriva sur la plage de Bertincourt. Les yeux rivés sur la mer, le flux et le reflux apaisa son ame.

Enored marcha jusqu'au bord de l'eau où elle trempa sa main. Elle sourit. L'eau était froide et elle avait l'impression de revivre. Elle se sentait heureuse enfin à nouveau. Elle se revoyait en mer avec ses frères. Une vague mouilla ses bottes et le bas de ses braies, elle éclata de rire.

La mercenaire recula de quelques pas et s'assit sur le sable. Plongeant ses mains dedans elle regarda le soleil se coucher puis s'allongea, enroulée dans sa cape. La chaleur du tissus la réchauffa et elle s'endormit ainsi bercée par le bruit des vagues...
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