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Ivresse d'océan

Candye


Il se faisait tard… très tard! La nuit approchait. Le chien d’Aubrée, Canaille, qui n’était encore qu’un bébé, pleurait, réclamant la présence de sa maîtresse. Candye avait beau le tenir dans ses bras et le câliner pour tenter de le réconforter mais rien n’y faisait.

De plus, elle était très inquiète pour sa sœur. Celle-ci n’était jamais rentrée si tard et il était dans ses habitudes de donner de ses nouvelles, lorsqu’elle retardait pour ne pas que sa sœur s’inquiète inutilement.

Seshat qui s’inquiétait tout autant que Candye, lui proposa de prendre une lanterne et d’aller faire un tour du côté du village. Peut-être qu’elle s’était un peu attardée en taverne et n’avait pas vue le temps passer…

Candye acquiesça à la proposition de son amie. Elles revêtirent leurs capes, enroulèrent Canaille dans une douce couverture et toutes deux partirent vers le village à la recherche d’Aubrée.
Karan
Candye et Seshat, inquiètes de ne pas voir revenir Aubrée, se vêtirent d'une cape à la hâte et partirent à sa recherche au village.

Candye avait enveloppé dans une couverture la petite Canaille, qui réclamait Aubrée, et Seshat emporté sa petite Caline, bien à l'abri dans sa besace, dont le rabat restait ouvert pour laisser passer la tête de la petite chatte.

Elles partirent munies d'une grosse lanterne, faire le tour des tavernes pour voir si elles pouvaient y trouver leur soeur et amie.

Mais hélas, elle ne se trouvait dans aucune des tavernes, qui étaient déjà presques toutes fermées.

Soudain Seshat fut prise d'une inspiration ... comme elle, Aubrée aimait se promener sur la plage, et par cette nuit étoilée, peut-être qu'elle s'y trouverait. Mais dans ce noir, elle aurait bien besoin de la lanterne pour rentrer. Les deux amies se dirigèrent donc vers la falaise, et descendirent le petit sentier escarpé qui menait à la plage, faisant bien attention de ne pas trébucher.
Candye


À la plage! Euh... elle n'aurait pas eue cette imprudence à cette heure aussi tardive!

Puis, fixant Seshat dans les yeux, elle comprit que c'était possible surtout lorsque cette dernière hocha la tête tout en lui expliquant que lorsqu'elle avait un chagrin ou le coeur trop lourd, cet endroit était son lieu préféré pour s'y recueillir.

Elle ne dit rien et dressa le bras, main ouverte dans la direction menant à la plage, incitant ainsi Seshat à ouvrir la marche puisque c'était elle qui tenait la lanterne.

Candye ne put réprimer un léger sourire au coin des lèvres lorsqu'elle aperçut Caline se pointer le nez par l'ouverture de la besace laissée entrouverte par Seshat.

Il faisait noir, la nuit étant à présent arrivée. La lune était à son comble dans le ciel étoilé leur apportant une lumière qui les aidait à s'y retrouver. Il fallait faire très attention, le sentier menant à la plage étant escarpé.

Soudain se dressa devant elles, un peu plus loin, le profil d'une jeune femme assise, dont le visage était enfouis dans ses genoux pliés...

Candye reconnue la blonde chevelure de sa soeur. Elle dépassa Seshat, tenant fermement Canaille dans ses bras, puis, arrivée à la hauteur de sa soeur, sans dire un mot, se glissa sur le sable à ses côtés et passa un bras autour de ses épaules avant de déposer un bisou sur sa tête penchée.

Canaille reconnut immédiatement sa maîtresse et sans crier gare, se débattit tant et si bien qu'il se rua sur Aubrée qui relevait la tête, sauta dans ses bras et entreprit de la consoler, se donnant à coeur joie dans des léchouilles interminables...

Seshat qui était arrivée tout juste derrière Candye, s'assis de l'autre côté d'Aubrée et à son tour, sans dire un mot, l'entoura de ses bras.

Aubrée les regarda tour à tour, lorsque les deux femmes venues la rejoindre, penchèrent la tête et l'appuyèrent sur la sienne.
Aambre
Le Caramel avait passé une mauvaise nuit encore perturbée par sa brouille avec son ami de toujours. Intérieurement elle s'en voulait d'être partie en claquant la porte de la taverne.. Mais elle avait été vexé lorsque Tipiou avait classé son calin dans la catégorie des léchouilles. Il savait qu'elle n'était pas du genre à caliner en public.. Cette taquinerie, car le Cara supposait que c'en était une, avait été celle de trop.. et puis le cara avait reçu une pas trop bonne nouvelle de la journée de la part du Duc en place..
Le travail qu'elle avait accompli était déjà mis en péril et cela la chagrinait fortement.
Se levant aux aurores, elle avait vu Virb et avait un peu discuté avec elle. Toujours aussi chagrine, espérant qu'elle se réconcilierait avec son ami, elle prit le chemin de la plage, perdue dans ses pensées.
Elle arriva en bord de mer, accompagnée par sa louve et Bravache. Elle les laissa vaquer à leurs occupations et s'assit sur le sable continuant à songer à cette fin de soirée.. Si seulement son caractére était autre, si seulement elle avait pu retourner à l'auberge pour s'expliquer.. Mais le portier n'avait pas voulu la laisser rentrer.
Un profond soupir lui échappa et elle resta là, se laissant bercer par le bruit des vagues, regardant Bravache qui prenait un bain de sabots et Angie qui courait aprés les vagues.
Trop de pressions avaient pesé sur ses épaules derniérement, elle était fatiguée, prenait tout à coeur.
Ce séjour qu'elle avait souhaité mettre à profit pour se rapprocher de ses amis commençait bien mal.
Un autre soupir et le Cara laissa couler une larme de dépit, se reprenant aussitot.. Pleurer ne servait à rien, restait plus qu'à espérer voir son ami le plus tot possible et s'expliquer sur son attitude de la veille..
Alixane
C'est dans une euphorie indescriptible qu'elle avait quitté Amiens.

Bien qu'elle ait pu sympathiser avec quelques personnes, la désertification flagrante du village l'avait poussée à prendre la route.
Question de survie mentale.
Alix avait profité de chaque bosquet, de chaque détour du chemin pendant tout le temps qu'avait duré ce qu'elle considérait comme une promenade, laissant les ombres de la nuit débrider son imagination, prêtant l'oreille à tous ces bruits générés par la vie nocturne.

Elle était vraiment heureuse, se sentait comme libérée d'un carcan.
Excitation due en partie à la perspective de voir la mer, dont la fraîcheur et l'odeur des embruns lui chatouillaient les sens bien avant qu'ils ne fussent effectifs.
Tout naturellement, elle avait donc accéléré le pas malgré les lieues déjà parcourues, à l'approche des portes de la ville, alors que la brume matinale se dissipait à peine sous les assauts d'un soleil qui faisait sa percée.

Ses réserves d'eau depuis longtemps épuisées, elle s'était, dès les contrôles franchis, mise en quête d'un endroit où contenter son gosier desséché.
A sa grande surprise, l'établissement dans lequel elle entra, avait déjà ses clients, du jamais vu pour Alix qui en serait bien restée bouche bée si ses tendances à bavarder n'était pas si développées.
Elle avait donc pu deviser agréablement et de manière instructive pour la suite de son voyage, avant de les abandonner provisoirement ; elle devait mettre à exécution l'idée qui la taraudait depuis son départ : tremper ses pieds dans la mer!

Guidée par la brise marine, elle eut tôt fait de se retrouver sur cette plage dont le phare trônait en maître des lieux.
Sa retenue vola en éclat tandis qu'elle lâchait sa besace pour délacer ses bottes en un temps record, faisant valser ses bas dans la foulée, avant de courir sur le sable humide léché par les vagues conquérantes.
Peu soucieuse de se mouiller outre mesure, elle barbota joyeusement dans l'eau salée.*il serait bien temps d'attaquer les formalités qui l'attendaient.
Des missives en perspective pour écarter un maximum de problèmes toujours possibles en voyage.
Sauf que les réponses tardaient, parfois, et qu'elle avait la patience parcimonieuse...
Exhalant un soupir, elle dût finir par regagner l'endroit où gisaient ses affaires abandonnées.
Elle se laissa tomber sur le sable, agitant les orteils pour accélérer leur séchage, tout en sortant de sa besace de quoi écrire.

Avec application, elle composa les missives qu'elle enverrait aux Prévôts des Comtés qu'elle devrait traverser, pestant silencieusement contre celui dont elle attendait en urgence le feu vert.
Il ne lui manquerait plus que de s'enquérir des identités respectives des destinataires.
Sa tâche accomplie, rangement effectué, elle s'allongea, mains croisées sur la nuque, l'esprit vagabondant au gré du vol des mouettes, faisant le plein d'optimisme et se réjouissant à la perspective de ses découvertes futures.

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Aubree_du_meslay
Aubrée sentit la presence de sa soeur plus qu'elle ne l'entendit , le bruit des pas etant couvert par le roulis des vagues .
elle fut soudain assaillie par Canaille qui lui faisait pleins de lechouilles .
elle rit legerement , serrant contre elle ce petit être qui lui etait si fidele , contrairement aux êtres humains ....

Puis Seshat prit place a côté d'elle et passa ses bras autour de ses epaules .
Aubrée les regarda l'une et l'autre , leur sourit doucement , heureuse de voir que quelqu'un s'inquietait un peu pour elle .


Merci d'être venues me rejoindre , c'est gentil de votre part .
J'espère que vous ne m'envoulez pas de vous avoir inquieté , je m'en excuses , çà n'etait pas volontaire , mais j'avais besoin de venir ici .....


Elles restèrent un moment assises toutes les trois , serrées les unes contre les autres , puis finalement , elles se levèrent et reprirent doucement le chemin de la demeure
Veropv
Véro venait de quitter la taverne le coeur lourd elle avait vu Darflex et une fois de plus en coup de vent juste l'espace d'un instant , un long instant ou il y avait eu des explications, des mises aux points, des mots qui se sont envolés, des promesses qui ne serait pas tenues.Elle s'en voulait de ne pas avoir su retenir son propre mari quoi qu'il en avait dit c'est ce qu'elle pensait.

Comme une brume qui se posait devant ses yeux, elle sentit les larmes chaudes lui roulé sur les joues, elle avança dans le sable enleva ses bottes et continuait d'avancer ainsi doucement il lui avait crié qu'il l'aimait qu'il ne fallait pas qu'elle l'oublie mais tout ceci n'était que des vint mots, elle se souvenait que sont grand père lui avait dit un jour.

Gamine tu auras du mal à ton petit coeur bien dés fois, tu entendras des gens te dire ceci ou cela, fait ceci ou fait cela, mais Gamine n'oublie jamais ceci. Les paroles s'envolent seul les écrits sont authentique et reste.

Elle c'était assise machinalement su le sable, elle regardait le noir immense que la mer offrait ce soir elle regardait le ciel puis tout ce dégagea peu à peu, elle vit les étoiles apparaitre et le quartier de lune poindre derrière un nuage. Elle se mit à sourire. Et sans qu'elle sache comment ni pourquoi il lui vint une image

Elle partie dans ses songes et commença à fredonner un air de chanson.


Dit moi ma Roze
Le temps à déjà bien filé
Je prends une petite pose
Pour te conter ceci
Et te dire encore une fois Merci
Merci d’avoir été mon amie

Oh ! Oh ! Oh ! Toi mon amie, toi mon amie
Tu as, tu as toujours tes beaux yeux
Toi mon amie, Toi mon amie
Tu aurais pu rendre Vainsyl heureux

Di t moi ma Roze
Toi qui c’est envolé
Toi qui nous à quitté
Toi qui à tant aimé
Nous vois-tu de là haut
Ne vois-tu en nous que le plus beau
Tu n’auras que très peu vécu
Et c’est cette fièvre qui t’aura vaincu

Oh ! Oh ! Oh ! Toi mon amie, toi mon amie
Tu as, tu as toujours tes beaux yeux
Toi mon amie, Toi mon amie
Tu aurais pu rendre Vainsyl heureux

Dit moi ma Roze
Les années on filé
Les rides sur mon visage, se sont dessinaient
Mais mon amour pour toi, n’a toujours pas changé
C’est dans le cœur, que on nom est gravé
Et que j’emporte notre amitié

Oh ! Oh ! Oh ! Toi mon amie, toi mon amie
Tu as, tu as toujours tes beaux yeux
Toi mon amie, Toi mon amie
Tu aurais pu rendre Vainsyl heureux

Je t’aime et t’aimerais à jamais ma Roze


Elle se leva se dirigea vers sa maison, pris sa besace Féroce et part rejoindre le groupe et va faire un tour à Amiens. Changer d'air lui ferait le plus grand bien.

[ Hrp: Titre d'origine de la chanson " Céline" de Hugue Aufray]
Verya
Le jardin, les grands arbres … le calme, la tranquillité, la sérénité lui manquaient tant …
La baie de Somme s'offrait … ses prés-salés, ses falaises, l'immensité des plages …
C'est sur les dunes, loin de tous et de tout, qu'elle se réfugia … la mer a perte de vue …

Verya s'assit, replia les genoux sous sa chemise trop grande, le menton sur ses bras croisés, les yeux fixés au large ...
elle vit les ombres du passé … non loin d'ici … à quelques lieues …
un arbre gigantesque, un preux chevalier se battant contre d'invisibles forces … elle connaissait ce visage … elle n'était qu'une enfant …
des marais … deux enfants se dirigeaient vers les marais … un cri … "revenez" … une cabane … la besace pleine, un homme souriait … ils mangeraient …
une femme hurle, pleure … les cris d'un nouveau –né … elle se voit blottie dans les bras du chevalier … c'était son frère …
Elle venait de voir sa famille … cette famille dont elle n'avait plus le souvenir … elle ferma les yeux.

Inconsciente, on l'amène à Conflans-les-les-Sens en Champagne ! quelle ironie!
Elle se remémora son arrivée, Ana , Blue, les nonnes … son désarroi, ses interrogations face à la nature humaine … et puis … ce jour …

Ce jour de septembre qui avait changé sa vie … cette merveilleuse rencontre… un prince … son prince …
un regard avait suffit … de ce jour, elle n'avait vécu que pour le rejoindre …

Elle repensa à son rôle de Tribun … à la confiance qu'on lui avait donné … à tous ses filleuls … à tous ceux qui comptaient sur elle …
Puis vinrent les voyages, les espérances, les désillusions et toujours ces mêmes questions … pourquoi l'humain est-il ainsi fait ?

le pouvoir, le despotisme, la domination, le mensonge, l'hypocrisie, est-ce là le propre de l'homme ?
qu'elles qu'en soient les raisons, les motivations, pourquoi se sent il obligé de trahir, de salir, de bafouer, de réduire à néant ?
Peut-il impunément se servir de la confiance, du respect qu'on lui confère?
pourquoi ne pas dire la vérité ? … est-ce si difficile ? … est-il si dangereux que d'être sincère, honnête ?

Epuisée, lasse, aigrie, Verya se releva, dévala la dune, fit provision de galets, s'approcha de l'eau … sourit … elle se souvenait … son frère lui avait appris …

C'était une belle nuit d'été … l'hiver n'avait pas quitté son cœur … ils reprendraient la route …
elle garderait ses rêves et ses secrets … ils tenaient leur promesse, un ami les attendait.

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http://www.univers-rr.com/lengadoc.html
Aambre
[HRP : Topic qui RPistiquement se déroule le 1er Juillet, veille du départ du troupeau Alençonnais et de leurs amis Bertincourtois..Il est ouvert à tout ceux qui veulent dire aurevoir aux voyageurs ^^ /HRP]


Le soleil était présent, chauffant Berti de ses rayons. Oceade s'était levée de bonne heure, mais pas forcément avec le sourire, avait rangé ses affaires dans sa malle puis avait été quérir couvertures et nappes en prévision du pique nique qui allait avoir lieu.
Elle se dirigea ensuite vers l'écurie suivi de sa boule de poil et fit sortir Bravache. Cette derniére, sentant un bain de sabots en approche, donna un coup de museau à sa deux pattes pour lui montrer sa joie.. Joie qu'elle montra un peu trop fort manquant d'envoyer son caramel s'écraser à terre. Oceade éclata de rire, fit une gratouille à sa jument puis partit en direction de la plage.
La petite troupe arriva sur les lieux encore déserts et Oceade en profita pour marcher pieds nus au bord de la mer, savourant l'instant. Bravache, elle, prit un bain de sabots en profitant pour éclabousser un peu son humaine ainsi qu'Angie qui courait aprés les vagues..
Les vacances touchaient à leur fin et c'est avec regret qu'elles voyaient le départ approcher mais elles savaient qu'elles reviendraient, un jour, bientot..
Chassant ce petit instant de nostalgie, Oceade toujours pieds nus commença à étaler les nappes sur le sable. Elle laissa les couvertures en tas en prévision pour la fraicheur du soir.
Elle s'assit ensuite se perdant dans la contemplation du paysage magnifique qui s'offrait à ses yeux. Les pique niqueurs allaient bientot la rejoindre et la fête pourrait commencer.
Crysline
Crysline arriva comme prévu avec sa chariotte remplie de fûts...

Elle voulait être sure que ce départ soit fêté dignement et que la boulasse règne en reine...

Elle regarda autour d'elle....Hmmm pas grand monde...

Elle finit par voir Océade...

"Coucou Océ je te déposes ça ou?....et ou sont donc les autres pique-niqueur?"

Sans même que celle-ci lui ai répondu,Crys déposa les fûts dans un endroit ombragé qu'elle venait de remarquer....

"Ne prend pas trop attention mais je dois filer je repasserai plus tard..."

Sur ces mots Crysline fila en vitesse....Mais promis elle reviendrait...
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Clody
La nuit précédente

Elle avait demandé à l’aubergiste le droit d’utiliser sa cuisine. Elle n’avait pas le gout de partir, surtout pas le gout de rentrer, les bagages étaient rassemblés et il ne restait que les trucs de dernière minute à ranger.

Les filles étaient déjà au lit, Shirus était sorti quelques minutes dans la soirée pour s’assurer que la chariote était toujours en état. Puis il était venu la rejoindre. Ensemble ils avaient contemplé la ville depuis la fenêtre de leurs appartements. Puis Clody lui dit.


Mon ange, on est bien ici, je n’ai pas le gout de rentrer.

Puis, après un long moment en silence.

Je vais à la cuisine une petite heure, tu veux prendre soin des filles?

Tout en riant il l’avait taquiné lui demandant si elle était enceinte pour avoir faim à une heure aussi tardive. Clody lui sourit pour ensuite ajouter :

Na mais hooo!!!! Deux ce n’est pas assez!!!

C’est que demain, Océ nous attend sur la plage pour un pique nique et je me suis dit qu’une bonne tarte serait bien. Reste à savoir si j’ai perdu la main. J’ai demandé la permission à l’aubergiste et fait quelques courses au marché. Je viens te rejoindre ensuite. Prends soin des filles.

Puis elle était sortie, s’était rendu à la cuisine et s’était mise à la tâche.

C’est le museau enfariné qu’elle était revenue à leur chambre une heure plus tard, fatiguée, elle l’avait rejoint dans le sommeil.



Au petit matin

Quelques couvertures, son ombrelle, un panier de provisions bien garni, de quoi changer les filles, elle était prête. Elle réveilla la maisonnée.

Allez tout le monde debout…. On va a à la plage!!!!!!!

Doryanne toute excité sauta sur le lit, près de son père qui rigola de la voir si heureuse de passer un jour de plus à la plage, comme si elle n’y était jamais allée.

Bras dessus, bras dessous, la petite famille se dirigea vers la plage. Clody remarqua une personne au loin et devina qu’Océade était déjà là. Clody l’interpella, là sortant de sa rêverie.


Océéééééééé…..on arrriveeeee!

Ils s’installèrent rapidement non loin d’Océade que Clody s’empressa de bisouiller ensuite Océade.

Coucou ma belle… alors tes malles sont faites?

Petit soupire.
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Aambre
Oceade perdue dans ses rêveries avait sursauté quand Crysline l'avait salué. Cette derniére repartit presque aussi, laissant les futs de bière à l'ombre et promettant de revenir.
Arriva ensuite Clody et sa petite famille. La jeune Alençonnaise lui rendit sa bise et salua Shirus qui surveillait les petites.


Oui mes malles sont prêtes, dit elle en laissant échapper un soupir. Remarques cela a été vite à les préparer.. Et toi, prête à rentrer à Mortagne ?
Veropv
Véro avait préparé ces besaces elle déposa le tout dans l'entrée de sa maison. et c'était rendu à la boulangerie afin de prendre les deux paniers de miches de pains qu'elle avait fait cuire la veille.

Elle parti quelque temps plus tard avec ses paniers et ce rendit à la plage pour faire ce pique nique d'au revoir à certain Bertincourtois et Bertincourtoise. Certaine personne lui manquerait et d'autre pas du tout. Elle ne savait pas quand elle reviendrait ici sur cette plage, dans ce village, peut être jamais.

Elle se rendit à la plage et y trouva Océade.

Hé! Coucou ma belle comment vas tu?

Lui fait la bise

Bon alors je te met ça ou ma belle?

Elle là regardait avec un sourire et attendit la réponse
Clody
Clody repondit gentiment à Océ que oui elle était prête à partir.

Avec les achats que j'ai fait pour l'un et l'autre j'ai mis beaucoup de temps à faire tout tenir dans ma malle. Shirus l'a d'ailleur trouvé très lourde.

J'ai fait des tartes la nuit dernière, je les met ou?

N'attendant pas la réponse, Clody se dirigea vers le panier de provision et sortit deux belles grosses tartes, l'une aux pommes et l'autre aux petites fruits qu'elle ramena à Océ.

Véro arriva ensuite, Clody en profita pour retourner vers les siens.

Elle avait le coeur gros, une boule se formait dans sa gorge.

Shirus, je vais marcher avec Doryanne un peu, elle est trop grouillante ça lui fera du bien.

A son regard, Shirus savait bien qu'elle avait besoin de marcher plus que la petite pour retrouver son sourire. Il prendrait soin de la petite derniere qui dormait sous l'ombrelle et en profiterait peut être pour faire une petite sieste lui aussi en attendant les invités. Et si Océ avait besoin d'une coup de main pour les préparatifs, il serait là tout près.

Clody retira ses bottes, qu'elle laissa près de la couverture que Shirus avait installé sur le sable. Elle pourrait ainsi marcher sur le bord de l'eau. Elle s'éloigna tranquillement en donnant la main à sa petite princesse.
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Methea
A l'atelier

Oceade leur avait parlé d'un pique nique à la plage, il était justement prévu aujourd'hui. Au petit matin lorsqu'il se réveilla aprés une nuit assez mouvementée, un réveil taverne.. S'étirant, il s'était dirigé à l'atelier de Virbule pour la rejoindre. Sur place, il la trouva encore endormi et patienta en préparant quelques mets pour le pique nique.

Quelques légumes et poissons fumés, deux bons morceaux de pains, et le tout glissé dans un panier en osier. Posé sur la table, il n'attendait plus que Virbule pour se diriger vers la plage.

Un peu de bruit dans l'escalier, voila Virbule qui descend, un franc sourire et quelques mots échangés. C'est en vitesse qu'elle se prépara, l'heure du rendez vous approchait à grands pas. Pendant ce temps la Methea farfouillait dans l'atelier observant les différents travaux en cours, un chapeau, une robe? peut être.. Lorsqu'il se retourna elle était déjà prête le panier en main avec un sourire.


A la plage :

Sortant de l'atelier main dans la main, ils se dirigèrent vers la plage, le petit chemin qu'il avait l'habitude de prendre ensemble assez souvent. C'est sans un mot qu'il profitait du soleil déja bien haut, une certaine chaleur les entourait, l'été était bien là, t ne faisait que commencer. Une belle saison en perspective, sur les routes.. Le pique nique était avant tout fait pour permettre à tout le monde de se regrouper avant le départ. Un peu anxieux de savoir que demain il serait sur les routes, Methea se plongeait dans ses pensées, se remémorant ses derniers mois à Bertincourt.
Les premiers sables se firent, il s'arrêta pour retirer ses bottes. Deja quelques bruits se faisaient entendre, masqués par le chant de la mer, les vagues s'écrasant sur le sable et les mouettes qui jacassaient.

Quelques silhouettes se dessinaient, il les salua de sa main libre l'autre toujours dans celle de Virbule. S'approchant petit à petit, il ne put s'empêcher de jeter un regard à la mer, un bleu azur étincelant sous ce soleil.

Enfin aux cotés des autres, il léchouilla comme à son habitude depuis quelques temps les personnes deja présentes.


Belle journée pour organiser un pique nique ! Voila un début d'aprés midi qui va se vouloir bien agréable.
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