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Ivresse d'océan

Tidole
Tidole avançait rapidement pour tenter de rejoindre Skorwatchkha, arriva sur la plage, un sentiment indéfinissable mêlé de crainte et d'impatience à retrouver le voyageur s'empara d'elle.

Au bout de quelques minutes qui lui parurent une éternité, elle aperçut une silhouette au loin étendue sur le sable.

La gorge nouée elle n' osa à peine s'approcher, un homme gisait sur la plage.

Tidole s'approcha et reconnut le jeune homme qu'elle avait accueilli quelques jours,
Il était très faible, mais paraissait toujours en vie, la marche avait due l'épuiser, il avait perdu connaissance.

Elle s'assit à ses côtés, le couvrit de sa cape, il était glaçé , lui murmura des paroles apaisantes.
Tidole, chassa toute pensées négatives de son esprit, posa ses mains délicatement autour du visage du jeune homme pour lui communiquer une énergie bienfaisante.

Au bout d'un certain temps ne sentant aucune amélioration survenir, Tidole chercha des yeux quelque promeneurs qui passeraient à proximité pour venir en aide à Skorwatchkha.

Ne voyant personne, elle décida de courir à la taverne la plus proche pour chercher de l'aide et rencontra Messire Eric.

Après avoir écouté ses conseils, Tidole retourna sur la plage.






Virbule


Après trop de temps perdu chez les nonnes Virbule avait besoin d'air pur et d'espace sans fin où ses pensées ne seraient pas limités par la pierrade froide des murs protecteurs du monastère ... La luminosité de cette chaude journée printanière lui donna l'envie de rendre visite à une vieille amie, la mer.
Reprenant le chemin arpenté milles fois qui séparait l'atelier de la plage elle avait malgré tout le cœur lourd ; la dernière fois elle n'était pas seule ... il y avait si longtemps.
Une bourrasque de vent lui apporta l'odeur du large. Elle en emplit ses poumons comme pour combler le vide qui la ronge et, un peu plus en vie, elle continua de se rapprocher des flots.
Les chausses sur le sable furent vite quittées pour permettre le contact entre les petits grains et la peau.
Elle s'assit là, en bord de plage submergée par le spectacle toujours différent de la danse solaire sur le miroir des vagues ... s'oublier dans une contemplation.
Le chant d'une mouette la fit quitter ses songes.
Virbule alla gouter la fraicheur de l'eau et longea la plage en direction de la falaise les pieds toujours caressés par l'écume. Sans y penser vraiment, sans le vouloir consciemment du moins, elle se dirigeait vers son lieu favori. Elle si sentirait moins seule et peut être même qu'elle si endormirait sereinement, au cœur du vide, au plus près de lui ...
Jad


Regardant au loin assis près de la rive, le soleil si doux sur ma peau, le vent fesait valsé mes cheveux, j'étais surmergé par la vue splendine me fit pensé au bonheur merveilleux que s'annonce maintenant ma vie, perdu dans mes pensées, je m'allongeais doucement sur le sable chaud regardant la beauté du ciel qui s'offrait à moi, me disant qu'un jour le prince charmant viendrait me prendre la main posant ses lèvres douces sur celle-ci, me deshabillant du regard, cela me fit presque frissonné, le creux de mon ventre avait une sensassion si ennivrante comme si vraiment un approche de corps à corps avaient eu lieux.



Soudain j'entendis un bruit, sursaute vitement me rhabille, sans regarder en arrière me rend vers le chemin qui me conduit vers ma maison.
Tidole
Tidole avait enfin trouver une bonne âme dans ce village, Dalmas avait accepté de l'accompagnée pour secourir Skorwatchkha, la sable ralentissait leurs pas mais enfin ils arrivèrent près du corps inanimé.
Skorwatchkha
Combien de temps était-il resté inconscient ? Skorwatchkha ne saurait le dire. Toujours étendu sur le sable, il émergeait des ténèbres petit à petit, incapable encore d'ouvrir les yeux. Le bruit des vagues déchirées sur la plage, l'odeur des embruns de la mer d'Artois, tout n'était que sensation. Serait-ce donc cela la mort ? Il ne pouvait le croire tellement la fièvre le faisait trembler de froid. Cet état semi-comateux lui était pénible, à peine conscient de ce qu'il se passait autour de lui il se laissa sombrer dans l'inconscient.
Tidole
Tidole s'agenouilla près du corps agité de tremblements, soulagée de voire qu'il lui restait un souffle de vie, si ténu soit-il avec de bons soins il restait une petite chance .

Tout en réfléchissant au moyen de le transporter, Tidole murmurait des mots rassurants en tenant la main du jeune homme.

Puis se mit à la recherche de bois flotté sur la plage pour improviser un brancard de fortune, elle prit sa ceinture pour lier les longs bâtons de bois , à ce moment Choupette arriva, toutes deux le posèrent le plus délicatement possible sur le brancard et prirent la direction de la maison de Tidole.

Leur progression dans la sable était difficile, elles avançaient le plus régulièrement possible, faisant quelques poses pour reprendre des forces.
.isabelle
Chou mélancolique arriva sur la plage, elle voulait se retrouver seule pour réfléchir, au loin elle vit son amie Tidole agenouillée le long d'un corps. Elle arriva en courant vers elle

Que se passe-t-il ?
Oh, mais c'est ton ami Skorwatchkha !


Elle le regarda inconscient,

Nous devons le ramener chez toi ! il ne peut rester au froid sur la plage

Elle posa sa main sur son front et constata qu'il était brulant de fièvre

Avec l'aide de Tidole, elles fabriquèrent un brancard de fortune.

et elles se dirigèrent lentement vers la maison de Tidole, avec leur ami .
Tidole
" Je te remercie tant d'être venue m'aider, Chou, Je n'aurais pu le transporter sans ton aide "

Réconfortée par la présence de son amie, l'effort lui paraissait moins pesant.

Chou avait constaté que le blessé avait beaucoup de fièvre et qu'il était urgent de le faire boire.

La maison de Tidole était en vue, bientôt Skorwatchka serait installé bien plus confortablement que sur la plage où il aurait fini en pâture aux mouettes et aux crabes !
Aubree_du_meslay
Les jours succedaient aux nuits , lentement , ineluctablement ....
Elle n'avait plus de nouvelles du monastère dans lequel celui qu'elle avait aimé avait decidé d'entrer .
Il allait être temps de tourner une page de sa vie pensa t'elle , le regard dans le vague , le coeur meurtri
Sa seule consolation etait desormais l'accès qu'elle avait obtenu pour aller etudier à l'Université .
Etudier , apprendre , sa soif de savoir etait sans fin et grâce à celà et à son labeur quotidien , les journées lui paraissaient parfois moins longues .

Le soir venu , alors que la plupart des habitants se retrouvaient en taverne , elle rentrait dans sa petite chambre , à l'auberge , et se replongeait dans ses livres , une façon d'oublier le monde exterieur et d'oublier cet abandon qui lui faisait si mal
Elle n'oubliait pas ceux qui l'avaient acceuillit à son arrivée , ceux qui lui avait fait confiance , ceux qu'elle pouvait appeller ses amis , même s'ils n'etaient pas nombreux il est vrai .

Un jour l'oubli viendra surement , mais elle savait desormais qu'elle n'accorderait plus jamais a aucun homme cet amour qu'elle avait eprouvé ...
L'amitié est et restera sa devise , elle n'avait plus que çà à offrir .....

Les vagues venaient mourir à ses pieds , assise dans le sable humide , elle resta là un long moment , appreciant le calme du lieu seulement interrompu par le cri des mouettes et des goelands , respirant l'air pur et iodé , admirant la beauté sauvage de cette etendue d'eau salée , rêvant de voyages au long court , de bâteaux ...
Ses pensées s'envolèrent vers la Bretagne ...
Ewylan


Un sourire sans tristesse. Enfin...
Pure bonheur qu'éprouvait Ewy en arrivant en cette soirée sur la plage. Son lieu favori, mise à part la taverne naturellement...

Elle revenait de son voyage à Calais. Las et triste de s'être ennuyée à la fin... Et malheureusement, elle n'avait pas revu ses anciens amis...
La jeune femme était seule, ayant faussé compagnie à son Tendre et ses enfants... Un moment de solitude et de liberté n'était jamais de refus ! Et la jeune femme savait pleinement les savourer...!

Elle marchait donc tranquillement. Fermant les yeux, respirant l'air ennivrant et iodé du lieu, Ewy s'assit sur le sable encore chaud.
Ecoutant les bruits tranquilisants des vagues s'échouant sur la plage ou encore le cri incessant des mouettes planantes, elle revisualisa son voyage. Elle s'était refait quelques amis, mais bien peu à son goût... Elle repensa à son aimé, Pallanen, et l'une de leur conversation importante...
Elle rouvrit les yeux en soupirant: ce n'était pas le moment de réfléchir à tout ça.

Plus tard, malgré le froid qui s'imprégnait de plus en plus que le soir tombé, elle admira le couché de soleil, les yeux pétillants d'une joie depuis longtemps interdite !
Elle se leva et se rendit ensuite en taverne, boire un "petit" coup et revoir les amis...

_________________
Sanpif6669


San, après avoir quitté la taverne, vient sur la plage. il y avait longtemps qu'elle n'y était venu, trop longtemps d'ailleurs. Elle avait dit à Nitro qu'elle ne savait s'y rendre, petite plaisanterie, car elle l'a connaissait cette plage, hooo que oui!!

Allant dans un coin, voyant que personne n'était présent, ôte ses affaires, ne gardant que ses aillons, laissant de quoi s'essuyer, plonge dans l'eau fraiche, dans la nuit tombé, laissant libre court à sa nage, allant devant elle. L'eau glissant sur elle comme une caresse, profite de se doux moment de liberté, laissant libre ses pensées, savourant se moment trop longtemps laissé de coté.

Au bout d'un long moment, ressourcés, rejoint la plage, ne faisant attention à rien, se met à se sécher s'emmitouflant dans la couverture qu'elle avait pris a cette effet, s'assit sur le rocher et regarde le couché de soleil.
Merlina
Merlina venait de sortir de la taverne de Clementus....un peu d'aire frais elle en avait bien besoin...Donc tout en déambulant elle marchait hors de la ville pour se rendre sur la plage près de la mer.

Marchant doucement laissant le vent lui faire flotter les cheveux, elle pensa aux confidences de Nitro. La perte de sa femme et de son enfants à naître..ses erreurs qu'il avait commise. Il avait eu tellement peur que elle et Tabatha le juge. Et pourtant, sans le savoir elle éprouvait de forts sentiments pour lui. Elle admirait beaucoup l'homme autant physiquement que ses qualités de générosités, de droitures....et de loyauté envers sa famille et ses amis.

De plus elle se plaisait en sa compagnie..plus qu'elle ne l'imaginait... Et de ce fait elle avait peur. Persmerga depuis quelques temps lui manquait.... Et ses sentiments pour Nitro grandissaient. Mais elle voulait rester honnête envers chacuns.

Pourquoi est-ce que je suis attirée par deux hommes exceptionnels..que dois-je faire...pensait-elle en soupirant....et puis qui me dit que je me trompe, Nitro n'éprouve qu'une bonne amitié pour moi..pourquoi aie-je de telles pensées?

La jeune femme regardait la mer espérant trouver des réponses à ses questions............
Sanpif6669


San, venant de remplir le journal des rumeurs, viens au bord de l'eau, l'air très triste, pourtant, elle ne devrai pas, mais elle sait qu'elle à fait du mal, elle a blessé l'homme qu'elle aimait en le quittant, mais ne se voyait jamais, son amie, qu'elle estimait depuis toujours. Elle se trouve avec un autre homme, avec qui elle se sent bien, et se, depuis qu'elle le connait en fait.
Regardant le ciel qui rejoint la mer, parle à Pat :

"Je suis désolé mon Pat, je ne devais pas t'aimer assez pour t'attendre. Tu es quelqu'un de formidable, je ne te mérite pas, je suis devenue très dur, je sais. Je ne t'oublierai jamais, sois en sur. Je t'ai vraiment aimé, mais l'attente a eu ses raisons. Tu es dans mon coeur à jamais!!"

Regardant autour d'elle, va sur son rocher et enlève ses vêtement pour plonger dans l'eau fraiche, faire quelques brasses afin de ne plus penser, laisser simplement l'eau glisser sur son corps, la laver de toute cette tristesse qui l'envahi depuis le matin.

Réussissant enfin à avoir un peu évacué, regagne la plage sans avoir au préalable, regarder qu'il n'y ai personne. Quoi qu'il fait nuit, personne ne me verra^^. se rajuste après s'être séché, et regagne la taverne
Ewylan


Ewy revint, une fois de plus, en cet endroit qu'elle aimait. Elle n'était pas ivre, en pleine possession de ses moyens donc, et réfléchissait.
Elle n'était pas seule. Malgré l'heure tardive, Lucie marchait aux côtés de sa mère en tenant son petit frère dans les bras. Bientot, celui-ci serait trop lourd pour ses petits bras maigrichons et la princesse en profitait au maximum, le lachant peu...


Toutes les deux pieds nues, elles discutaient tranquillement de l'absence de leur père depuis une semaine environ.
Il revient quand ??
Paraitrait que ce serait dans peu de temps... Peut-être ce soir, qui sait ???
Mais pourquoi est-il tou'ours absent ??
je ne sais pas, ma puce... Mais il ne s'éloignerait pas de toi et d'Edwin sans une bonne raison, tellement il vous aime et vous porte dans son coeur !
Tu n'as pô dis toi, dans son coeur... Môman ??


Ewy avait froncé les sourcils et soupiré en même temps... Les enfants et leurs innocences... Elle aimait Pal, de tout son coeur ! Mais il aurait quand même pu la réveiller ce matin-là pour lui dire qu'il partait au monastère pour un temps indéfinis; ou même laisser un petit mot sur le lit, près d'elle, pour la mettre au courant... Mais non, Le chevalier blanc partait toujours sans mot dire, la laissant un beau matin seule avec ses enfants...

Môman ?! Réponds'oi !!
Mais oui, que je suis dans son coeur ! Je voulais juste te faire peur !


Ewy ébourriffa les cheveux de sa fille tout en continuant leur marche lente. La puce cria de plaisir ce qui réveilla son frère.

Que dois-je faire, môman ??
Berce-le avec douceur.


Faisant ce que sa mère lui disait de faire avec tendresse, Lucie put voir que son petit frère se rendormait. Et Ewy vit que sa princesse ferait une bonne mère, un jour... Mais pas maintenant, heureusement.
Les pensées de la maman voguèrent ensuite dans son nouveau travail de paperasse... Elle était heureuse d'avoir fait un premier petit pas pour aider sa ville adorée. Elle se demandait comme son Ange réagirait à son retour en apprenant la nouvelle...
Elle se tourna vers Lucie pour lui poser une petite question et aperçut au premier coup d'oeil un baillement caché de sa fille.


Rentrons... Tu as sommeil.
Non !! je veux rester ici !!
Chérie... je t'en supplie, ne fais pas la dure ce soir, je suis fatiguée...
Mais...


Voyant une fine larme coulait sur la joue de sa maman, la petite lui tendit son petit frère pour que sa mère le prenne dans ses bras, puis tint gentimment le petit doigt de sa mère pour lui dire qu'elle la suivait. Remerciant d'un vague sourire sa Lucie adorée, Ewy les fit revenir sur leur pas et rentra chez eux...

Il était temps que Pal revienne...
Ewy n'allait plus tenir...

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Sylvine


[Petit entrainement aux aurores à l'heure où tout dort encore]

Sylvine foula les galets et le sable de la plage bien avant le lever du soleil. Elle avait très discrètement descendue les ruelles de Bertincourt évitant les patrouilles du guet pour ne pas attirer les questions inutiles. Elle ne voulait croiser quiconque et c’était la meilleure heure. D’ailleurs, mieux vallait que personne ne se promenât lorsqu’elle ferait ce qu’elle voulait faire.
Elle transportait sous son bras un grand objet plat et rond et son dos était bosselé. Elle avait revêtu sa cape de voyage couleur sombre et se fondait ainsi mieux dans l’ombre.

Elle chercha le coin le plus désert de la plage, celui le plus éloigné des lieux de baignades, de promenade et d’entraînement du guet.
La mer s’était retirée, certaines criques étaient découvertes donc pas de pêcheurs matinaux par contre la belle se méfiait des chercheurs de coquillages.

Tout était calme, le ciel palissait à peine, les oiseaux commençaient juste à balbutier leur bonjour à cette nouvelle journée.
Elle posa et cala l’encombrant rond en paille sur les rochers puis recula d'une centaine de pas, enfin traça un trait sur le sable avec sa chausse.

Elle sortit du revers de sa cape, des bandes fines de charpie et entoura les extrémités de ses pouce, index et majeur droits et protégea également l'intérieur de ses paumes tout en gardant une fluidité de mouvement.
Elle déposa sa besace, enleva sa cape pour être plus à l’aise. Puis, elle fit glisser de son dos, l’arc dont elle banda la corde. Une fois mise en place, la brunette la fit chanter en la pinçant entre pouce et index. Contente du résultat, elle ajouta l’arme à la pile.
Elle remit bien en position le carquois dans son dos et en vérifia chacune des flèches. Elle les remit toutes sauf une. Elle ferma les yeux pour mieux sentir le vent jouer sur son visage et se décala de deux pas sur sa droite. Elle récupéra son arc et mit son index gauche dans sa bouche et le dressa au vent.
Elle vérifia que personne ne venait, empoigna de sa main gauche le bois de l’arme, encocha la flèche, visa la cible, arma et décocha…..

La flèche se planta à une vingtaine de pas de l’objectif…trop court pas assez puissant.
Deuxième essai…mêmes gestes mais la corde plus tendue et l’angle de tir plus large. La flèche siffla et partit au-dessus de la cible derrière les rochers…Rien ne se passa...
La troisième flèche se ficha à l’extrémité de la cible..
Tous ses traits furent tirés, plus de la moitié étaient hors cible.
Elle partit les ramasser une à une tout en les comptant.
Elle recommença ses tirs ainsi par série.

Elle s’arrêterait et repartirait à ses occupations quotidiennes dès qu'elle apercevrait un promeneur ou une personne sur la plage.
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