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Ivresse d'océan

--Balmusette_la_brebis
Notre brebis préférée continua sa balade en venant regarder la mer. Tant d'eau! Elle pissa sur un bout de bois.

Elle tenta ensuite d'engager la conversation avec une mouette, qui s'avéra beaucoup trop conne. balmusette s'en retourna vers la villeEvidemment, tout ça se serait passé ainsi si, comme nous le faisons remarquer frénétiquement au point d'en être pénible mais afin de rester dans une logique RP qui se perd, ce n'était pas une brebis (Ovis Aries feminae).
Tidole
Tidole rentrai de son périple du pays des bombardes, l'esprit un peu confus, ne sachant pas trop bien quel chemin emprunter, quand elle aperçut une brebis égarée.

Sentant que l'animal avait besoin de communiquer, je commençais par sourire bêtement, un peu comme à la taverne ...

Moi c'est Tidole, du village, et toi tu ne serais pas la brebis Balmusette du nouveau paysan qui se fourvoie à l'église, alors une petite envie de prendre l'air, voire si l'herbe est plus verte dans le champs d'à côté ?

Attendant quelque message télépathique, Tidole gratouilla la tête frisée de l'animal.
--Balmusette_la_brebis
Balmusette se laissa gratouiller la laine avec satisfaction. Si elle avait été féline, elle aurait ronronné. Elle était ovine, et se contenta de bêler joyeusement.

Elle approuva vertement le fait que son maître était une saleté de grenouille de bénitier, complètement crétin, qui se faisait endoctriner par le patriarcat rétrogade l'Eglise. Elle commença à déblatérer des tas d'insanités qui aurait défroqué une classe entière de séminaristes, et Tidole pensa que c'était juste du contentement. Balmusette, constatant son échec de communication inter-espèce, mis fin à leur relation torride et repartit pour de bon vers la ville.

But Balmusette was just a sheep, so, etc...
Persmerga


Le jeune homme parcourait le long de la plage du village de Bertincourt.
Debout sur cette plage alors que même les bougies qui éclaircissait les murs du village se sont éteint laissant place aux étoiles et a la lune se reflétant sur les route pavées, l'eau ainsi que le sable de feux.
Magie des dernières heures pour les plus courageux des dormeurs, et une aventure renouveler de ceux qui ne trouve pas le sommeille.

Une paradis d'avant l'heure, remplit de poésie pour les amoureux allongée sur le sable encore chaud. Le jardin d'Éden.
Le jeune homme se risqua de mettre ses pieds dans l'eau encore fraiche.
Un sourire enjoliva son visage, les yeux fixant à présent le croissant de lune.

Une main posé délicatement sur le pommeau de son épée, il continue d'avancer sur la plage se remémorant quelques souvenir d'un passé bien éloigné.

La fête qui avait lieu lui avait permit de revoir quelques connaissance qui ne semblait plus se souvenir de lui. Ou peut être ne le voulaient elles plus.
Il ne pouvait leurs en tenir rigueur.

Le jeune homme continuait de déambuler sur cette plage pensant à ce qu'il avait fait et ce qu'il aurait du faire.
Puis vient alors le moment ou ses jambes ne pouvait plus le porter l'obligeant alors à s'allonger à son tours imitant les quelques couples qu'il avait croisé lors de son long chemin débordante d'émotion.

A cette instant il se demandait ce qu'il pouvait bien lui arriver.
Ses démons le suivait et le suivrai surement jusqu'à son dernier soupir.
Partout ou il passait il rencontrait de très bonne personnes et créait des liens puissant qu'il pensait indestructible.

C'est le visage sur le sable qu'il continuait de pensé ou bien de rêver à ses choses qui lui manquait et qu'il disposait.
Ses liens aussi fort que le diamant qui fonde comme la neige au soleil alors que les malheurs des Hommes passe dévorant leur cœur et leurs humanités.
Lui même avait brisé ses liens amère des souffrances de la guerre qui prenait la vie de ses amis jonchant les champs de bataille.

Une larmes sur la joue abreuva le sable doux. Cette homme qui n'avait déjà que trop pleurer les disparut de la vie ne pouvait s'empêcher de continuer. Ses pensées envahir chaque partit de son être laissant place a un flot de douleur qu'il ne pouvait qu'extérioriser.

Une fois la dernière gout et sa douleur évaporer par le vent qui lui réchauffait son âme meurtrie, il se remémora les visages de tous ceux pour qui lui avait eu des sentiments ses quatre dernière année. Il avait brisée des liens qui s'était affaiblit mais en avait renforcer d'autre. Les larmes de tristesse firent place à celle de joie.

Les épreuves qu'il avait passé avait été des plus dure, mais il n'oubliait pas ceux à qui la vie n'offrait son amour qu'en passant obligatoirement par la haine et la peur mais aussi à ceux à qui l'amour leur avait été privé en un instant. Il n'était pas seul à avoir endurer cette souffrance et pour cela il se devait de relever la tête et continuer avec les personne qu'il admirait.

Fatiguer, il se releva caressant son visage laissant tomber le sable qui s'était accroché a lui. Le visage de sa fille et de sa fiancée lui donnèrent la force d'avancer mettant un pied devant l'autre. Des pas brutal atténuer par le sable qui se voulais envahissant cherchant à le retenir.

Savait il qu'il pouvait encore pleurer et qu'il pouvait encore le rafraichir de ses douleurs et de ses joies? L'homme était pourtant bien décider a s'arracher de ses tourments. Devant lui était l'avenir qu'il se devait de tracer. Il savait qu'il serait confronter a des choix difficile. Mais en continuant de marcher il choisissait le choix d'avancer et de ne pas baisser les bras.

Le vent le poussait alors que le sable se dispersait dans toutes les directions relâchant sont étreinte. Un homme libérer venait de revenir d'entre ses démons qui hantait ses rêves et qu'il avait décider de combattre.
Merlina


La jeune femme avait décidé de marcher un peu sur la plage en cette belle soirée. Elle avait le sentiment très fort de retrouver son tendre chevalier pour qui son coeur ne cessait de battre... Elle avait laissé leurs fille entre les mains de la nourrice puis traîna ses pieds sur la plage...regardant de par delà le couché de soleil ainsi que les étoiles qui semblaient briller plus en cet instant.

Puis elle remarqua enfin l'être de ses pensées qui était devant elle .. et qui semblait avoir un drôle d'air comme si celui-ci portait la terre entière sur ses épaule.... Elle remarqua qui sembla triste et se demanda pourquoi il semblait si soucieux...

Elle s'approcha de lui à pas de loup souriante..confiante mais déterminée à savoir quels étaient les démons intérieurs qui se disputaient tant ses pensées si sombres qui semblaient animer son visage......


Étant enfin à porté de lui, elle le pris par la taille derrière son dos..puis l'embrassa dans le cou en lui disant....

Bonsoir ! Mon aimé.... mais qu'as tu? Tu sembles si triste...... Raconte moi ce qui ne va pas..je t'en pris...lui demanda t-elle tout en le caressant..
Sylvine


Les cheveux voilés ceints d’osier, Sylvine marchait sur la grève mouillée.
Le ciel était parsemé de petits nuages qui blanchissaient devant le jour qui se levait. La journée promettait d’être belle, elle esquissa un sourire. Et pourtant dans son cœur et sa tête, les nuages de tristesse se bousculaient toujours présents mais moins virulents. L’orage était passé, déversant quelques larmes sur ses joues, trois journées auparavant, elle, qui pleurait si peu.

Elle leva, quelques instants, sonvisage, regardant l’immensité au-dessus d’elle, cherchant quelques réponses qui, elle le savait, ne viendraient pas. Seul le temps pouvait effacer comme font les vagues sur les traces d’un sol détrempé, calmer ce mal-être qui s’endormait et se réveillait à tout à propos.

Elle se sentait, si seule, en ce moment. Elle voyait partir vers le créateur de plus en plus d’amis, d’autres prenaient la route avec l’idée de non-retour parmi eux. C’était aussi la saison des retraites, peu de diversions à ses soucis apparaissaient.
L’amitié prodiguée par certains et sa charge de tribun la maintenaient à ne pas rester enfermée dans son moulin.

Oh qu’elle aurait tant aimé se réfugier dans les doux bras de celui qui avait su la conquérir, sentir la chaleur de son corps, ses bras autour de sa taille, ses lèvres sur sa peau.
Dès qu’elle était avec lui, pas besoin de parler, d’expliquer, une brise chaude envahissait son être chassant les ennuis comme par magie. Certes certains revenaient, dès ces instants passés, mais elle était plus apte à les affronter.

La meunière avait maintenant parcouru presque la totalité de la plage, devant elle une barre de récifs se dressait. Elle vérifia que le petit paquet qu’elle avait fixé à sa taille était bien accroché.

Elle commença à escalader les rochers couverts de varech, glissant par moment et se rattrapant de justesse. Sa jupe se couvrit rapidement de trainées vertes. Une fois au sommet, elle vit à ses pieds la cavité recherchée, celle qu’on apercevait qu’à marée basse, et qui était submergée complètement pendant les grandes marées. Un endroit dangereux où l’eau s’engouffrait vite provoquant d’énormes tourbillons.

La descente ne fut guère aisée. L’odeur iodée d’algues décomposées envahissait ses narines et s’insinuait à travers ses vêtements et sa chevelure.
Elle posa enfin une chausse sur le sol. Elle courut vers cette grotte que surplombait la falaise… Elle devait se hâter.
Persmerga


Le jeune homme ressentit un présence s'accrocher a lui.
Elle lui était familière et agréable, apaisant sont cœur troubler.
Elle lui embrassa le coup avec sensualité laissant apparaitre un léger sourire de réconfort dans ses bras.

Avait elle entendu la détresse silencieuse de cette ancien soldat?
Pour l'heure Persmerga n'était pas sur de cela, jusqu'aux moment ou elle lui demanda d'où provenait ces larmes de tristesse.

Le jeune homme se retourna alors vers son âme sœur.
Il passa l'une de ses mains dans ses doux cheveux noir, brillant également pour la lumière de la lune et des étoiles.
Et c'est avec un léger sourire qui venait intensifier la tristesse de ses yeux qui lui répondit d'une voie presque inaudible.


Les mauvais souvenir du passé sont revenus me hanté.
Je me demandais ce qui serai advenu de ma vie si jamais tu n'avais pas été présent.


A ses mots une seul envie l'envahit alors. Celle d'embrasser son aimer avec un long baisé.
Sylvine


Sylvine se retourna, une fois, son objectif atteint, regarda la pointe du récif. Elle n’aurait, en effet, pas beaucoup de temps dès que les vagues la lècheraient. Pour l’instant la mer était encore loin.

La brunette entra dans la cavité sombre encore ruisselante. Le tronc d’un arbre gisait, sur le côté,ramené sûrement lors des grandes marées. Ses yeux s’habituèrent à la pénombre. Elle pouvait discerner les anfractuosités de la roche. Elle leva la tête cherchant des yeux les points de lumières.
Elle voulait un petit espace hors momentanément des eaux mais ouvert sur le large.
Elle tourna sur elle-même lentement, analysant chaque recoin et son accessibilité.

Ce fut au-dessus de l’entrée qu’elle trouva ce qu’elle cherchait. On aurait dit que le temps avait sculpté une niche.
Elle referma sa main droite sur le manche de sa miséricorde, fidèle compagne, toujours à sa ceinture et la dégaina.
Elle la planta à deux mains au-dessus d’elle puis se hissa, plaça ses pieds. S’agrippant à la paroi, elle retira la lame, prit le manche entre ses dents et continua à escalader.
Elle alternait plantage de lame, hissage, escalade à mains nues.

Son visage arriva à la hauteur de l’ouverture, elle se trouvait maintenant bien à huit coudées du sol.
Elle serra le manche de sa dague entre ses dents, colla son épaule contre la masse rocheuse et défit le paquet de sa ceinture. Elle le déposa doucement, desserra les liens et entrouvrit les pans de tissus,puis posa sa dague à côté.
La meunière sourit. Le transport et l’escalade ne l’avaient pas malmenée.

Sylvine passa doucement ses doigts sur la partie du bois ciré qui représentait le visage et les longs cheveux de son amie, la charpentière.
Elle sourit et parla comme si elle avait été présente devant elle.


Je sais.. Tu avais dit aucune cérémonie, aucun hommage… mais bon, on ne me changera pas.
La jeune femme plaça la statuette, face tournée vers la mer, comme elle avait souvent vu son amie le faire.
C’est la vue que tu affectionnais …un peu moins haut, certes, mais le ponton est juste au-dessus de nous.
Je ne pouvais faire autrement.
Que le créateur t’accueille parmi les siens, ma douce amie.
Une larme perla sur sa joue.
Merci encore pour le chemin qu’on a fait ensemble bien que celui-ci fut court.
Sylvine plia et rangea la pièce de tissu à sa taille. Elle baissa la tête et embrassa la sculpture de bois. Adieu…Aubree.

Elle reprit sa petite arme entre les dents et regarda à travers l’ouverture. Elle vit l’écume poindre à l’horizon.
Elle descendit précautionneusement et sauta sur le sol…Le ressac commençait à se faire entendre.
Elle rengaina sa miséricorde.

Une idée folle lui traversa alors l’esprit. Une manie qu’elle avait enfant lorsque son cœur était lourd.
Elle prit une branche et se mit à écrire sur le sol mouillé de la caverne, elle y inscrivit ses peines et ses chagrins. Une fois, le dernier point mis, elle jeta la branche et scruta la pointe du récif. Les vagues accouraient vers elle.
Elle inspecta une dernière fois la caverne. Elle pouvait y rester et oublier…La première vague se brisa sur l’écueil en face de la pointe.

Instinct de survie… Peut-être...En tout cas, elle se mit à courir vers la seule issue à la vie, le chemin par lequel elle était venue. La brune n’avait grimpé qu’une coudée de la barre rocheuse que les vagues lui léchaient déjà les pieds.

Une fois, à son sommet elle se tourna, observa un instant l’entrée se remplir.
Contente du devoir accompli, elle s’empressa de regagner la plage, traversa la ville par des chemins détournés, arriva chez elle, se lava et se vêtit de propre.
Ewylan


Ewy revint sur cet endroit magique alors que l'heure du gouter n'avait encore sonné. Elle se tenait à côté du petit poney de sa fille, où cette dernière et Edwin étaient perchés.

La jeune femme avançait d'un pas maussade, presque douloureux. L'attente était trop longue. Elle rêvait déjà de repartir en voyage: elle y avait pris goût sans s'en rendre compte. Mais partir seule ?? Non, elle ne pouvait s'y résoudre; elle attendrait le retour prochain de Son Chevalier Blanc-jamais-là.
Un sourire cruel lui traversa le visage.

Ils se tenaient à présent sur le sable. Ewy fit descendre les enfants de leur perchoir, ruminant sous l'effort quand vint le tour de Lucie. La petite fille grandissait et devenait lourde à sa pauvre mère fatiguée, usée par la vie. Edwin courrait lentement en badillant de bonheur, fuyant sa soeur qui hurlait après lui à pas lents pour lui laisserde l'avance.
Ewy sourit en les surveillant, caressant rêveusement le derrière de l'oreille de l'animal. Une chance que cette famille soit unie...

Les minutes passaient et Ewy rêvassait toujours lorsqu'Edwin demanda si ils pouvaient s'amuser aussi dans l'eau.


D'accord... Mais ne vous éloignez pas trop !

Elle n'avait pas compris que le "ils" qu'avait employé son fils l'incluait elle aussi. Il ne manqua pas de le lui montrer en la tirant par sa houppelande vers l'eau.

Heu... mon chéri, maman est fatiguée...

Bain froid faire bien ! lui répondit énergétiquement Edwin. Venir avec nous !

S'il te plait ! la pria Lucie qui venait de les rejoindre. Fais nous plaisir !

Un de ces jours, faudra que je me mette à quatre pattes pour vous faire plaisir...

Oh vi ! t'feras cheval !

Ewy éclata de rire en ébourrifant les cheveux de son bout de chou. Elle accepta cet épreuve en riant, la remettant néanmoins pour tout à l'heure à la maison. Elle enleva ensuite sa houppelande, gardant tout de même ses braies et une chemise sur elle, et aida ses enfants à se déshabiller un peu. Ensuite, elle jucha difficilement Edwin sur ses épaules et se mit à courrir doucement. Lucie rigolait en les suivant.

Ils se retrouvèrent bien vite dans l'eau et Ewy cria en sentant la fraicheur de cette dernière. Bigre ce qu'elle était glacée ! Lucie rigolait toujours en l'entourant, essayant de la faire tomber. Edwin criait et tapait le crâne de sa mère de ses petits poings pour descendre. Elle le fit avec empressement.
Les deux enfants se jetèrent avec un rictus effrayant sur leur mère et essayèrent de la faire couler. Ewy les laissa faire de bonne grâce, faisant tout de même mine de se défendre, se pretant au jeu.
Ils s'amusaient tous comme des ptits fous, et rien ne venait entacher un bonheur aussi simple que de jouer en famille !
Pour se venger, la jeune maman attrappa Lucie et la plaqua deux secondes sous l'eau avant de la remonter. La fillettre recracha de l'eau avec une mine de dégout.


Tricheuse ! Tu m'as prise pas surprise !

Héhé ! c'était le but ma princesse.

Edwin vint s'accrocher par derrière aux jambes de sa mère tandis que sa soeur la tirait par les épaules vers l'eau. C'était reparti pour un tour ! Ewy fut dans l'eau plus vite qu'elle ne pensait et n'eut pas le temps de reprendre sa respiration. Ses enfants le comprirent vite et la relevèrent sans plus attendre. Ils éclatèrent de rire en voyant leur mère toute rouge. Celle-ci se joingnit à eux après un temps de réaction.

Plus tard, la jeune femme leur apprenait à flotter sur l'eau. Les bouts de chou n'arrivaient pas à se détendre et ce fut donc un échec total. Lucie et Edwin sortirent de l'eau pour s'affaler sur le sable, épuisés, tandis que leur mère faisait quelques nages.


Tu nages comme un poisson, m'man !

Gros poisson alors !


Elle finit par sortir de l'eau et à s'étaler elle aussi sur le sable, alors que ses enfants se relevaient déjà et effrayaient les mouettes. Ils ne se posent jamais, ces deux-là... C'était le seul soucis d'avoir des enfants: fallait avoir des nerfs redoutable. Et un bon sens de l'humour aussi ! La jeune femme en faisait les frais...

La famille se rhabilla lorsqu'Edwin cria famine. Elle les rejucha sur leur selle.


Allez Bourricot ! Il est temps d'avancer maintenant !

Mais le poney n'avança pas d'un poil. Ewy en resta médusée, les yeux écarquillés. Les enfants eurent là encore un excès de rire en la voyant. La jeune femme eut beau la tirer, la pousser, la bête ne bougea pas.

T'es mignon, Bourricot, mais si tu bouges pas, je t'abandonne là... Elle rajouta en entendant ses enfants rires: avec les enfants ! Tu t'en occuperas bien, je suppose...

Evidemment, la bête s'en fichait éperduement de ses enfants, poids lourds sur son pauvre dos. Lucie, en colère de la proposition de leur môman, se leva et cria doucement en caressant la tête de son poney:

Mon ami, il faut avancer maintenant.

Et la bête avança... Ewy, excédée, demanda à sa fille se de manifester plus tôt la prochaine fois. Lucie, malicieuse et pleine d'innocence, lui répondit qu'elle trouvait cela trop drôle de voir sa mère ne pas réussir à se dépétrer d'un problème si simple. Suffisait de politesse et d'une caresse, tout de même !
Cette histoire finit par une mine boudeuse du côté de l'adulte tandis que les enfants riaient encore et encore.

Tous heureux.

_________________
Merlina


Merlina s'était levée de bon matin..le sourire aux lèvres.. Elle avait laissé Yseult seule avec sa nourrice Alice pour pouvoir faire une chevaucher avec son étalon blanc Goliath. Le pauvre cheval avait été négligé depuis quelques temps. Et la jeune femme avait besoin de s'évader un peu.

Elle enfourcha son destrier et partie au galop accompagné aussi de son fidèle ami Thor, son faucon pélerin...

Arrivée un peu essoufflée, le vent dans ses cheveux, la jeune femme s'arrêta près de la plage puis partie au trot doucement, regardant enfin le levé du jour......

Enfin..un espoir doux mais lumineux arriva dans son coeur...l'espoir qu'une nouvelle vie serait meilleure pour elle et sa fille...L'espoir que le bonheur de vivre de nouvelles aventures seraient le bienvenue..une aventure qu'elle espérait positive et pleine de promesse....

Elle regarda le ciel et ses couleurs..puis le chant des goélands qui volaient près de la mer....

Oui la mer et cette vue va me manquer...mais qui sait un jour peut-être vais-je revenir? Que le temps passe si vite... pensa t-elle....

Elle pensa à sa vie à Bertincourt..à la joie qu'elle avait eu..à tout ce qu'elle avait vécu de biens et de moins biens. Elle se disait que rien n'arriva pour rien...que ce nouveau départ était peut-être une nouvelle vie plus belle, remplit de joie.. et de prospérité..

Puis continuant sa promenade matinale avec Goliath.. elle vit son faucon se poser sur son bras....souriant de le voir près d'elle, la jeune femme lui murmura des paroles que lui seul pouvait entendre..

Ahh..J'ai hâte que messire Julho soit de retour à Bertincourt mon ami...comme cela nous serons en sécurité pour partir..lui confia t-elle..Tu crois qu'il pourrait te présenter à l'un de ses faucons? Ahhh peut-être mon ami!....souriait-elle Allons voir Yseult maintenant hien?..

De ce fait, la jeune femme partie au galop, vent dans les cheveux
Missmonde


Miss alla se promener avec les petits le temps était trop beau pour pas profiter de la plage et de tromper les pieds. Elle poussa la poussette de Martin et Aphrodite tenait la poussette . Aphrodite vit l'eau et Miss avait compris que Aphrodite voulait allez de baigner

Aphrodite je veux bien t'amener au bord de l'eau mais avant faut que Matin ton frère se réveille et on iras se baigner les pieds seulement.

Elle la vit embête un peu son frère qui dormais jusqu'a présent.

Miss enleva ces chaussures et les chaussures de Aphrodite puis pris Martin dans les bras et alla se baigner que les pieds pour le plaisir Aphrodite. Matin regardé partout . Miss s'assied sur le sable après le trempage des pieds pendant que Aphrodite jouée dans le sable. Elle laissa Martin regarder partout il se fixa sur le sable la mer et le ciel.


Allait Aphrodite et Matin on rentre voir Maman Nougat.


Mais vit que Aphrodite commença a être fatiguée. Elle mis Martin dans la poussette et pris Aphrodite dans les bras et rentra les coucher.
Merlina


Chevauchant Goliath qui marchait au trot..Merlina arriva tranquillement vers la plage s'offrant une promenade des plus délicieuses..
La jeune femme semblait renaître depuis quelques temps...Et pour cause, sa petite fille, la prunelle de ses yeux , Yseult grandissait à vue d'oeil mais se portait en très bonne santé... Alice semblait heureuse comme jamais depuis que le portier de l'auberge lui faisait la court ....

Sa cousine Grenat Alexandria allait se marier dans peu de temps avec son fiancé Valric et tout deux lui avait promis de venir très bientôt la chercher.... Enfin^^! tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes...

Mais aussi bien que la jeune femme s'était promise de ne plus avoir d'hommes dans sa vie, avait-elle rencontré une vieille connaissance qui dès qu'il avait apparu lui avait déclaré être amoureux d'elle et que ses raisons d'être réapparu au village était celles-ci... Il voulait la retrouver... et en la voyant le coup de foudre avait éclaté entre eux...

Aussi chaque moments passés en sa compagnie étaient magiques entre eux...Ils ne se lassaient pas d'être ensemble..riants, mais aussi faisant des beaux projets d'avenirs ensemble... La seule peur de la jeune femme était de se dire que tout ceci était peut-être un rêve..... Car sachant le passé de celui-ci, était-il prêt à renoncer à la vie qu'il avait choisis pour en choisir une autre très différente en sa compagnie? En cela Merlina avait quelques doutes mais elle voulait se donner une chance pour croire en ses paroles....
Et aussi lui donner l'espoirs que la vie peut être belle autrement que dans son ancienne vie... Mais bien consciente que les gens ne changeait pas du jour au lendemain... Merlina se donnait du temps...

Oui nous verrons avec le temps ce qu'il adviendra.. pour l'heure je ne veux que penser à notre bonheur et aux moments présents..pensa t-elle...

Et c'est en regardant le soleil se lever vers la mer que la jeune femme continua sa chevauché assise sur son fameux destrier et ami..Goliath..
Ewylan


Dans un moment pareil, Ewy ne pouvait se tourner que vers sa plage...

Les enfants courant plus loin, elle se tenait assise dans le sable, bras et bas des jambes laissés au contact de l'air et du vent. Les yeux mi-clos, ses pensées voguaient au ruissellement des vagues venant s'échouer sur le sable. Berti n'était plus la même... A son arrivée avec Pal et les enfants, l'ambiance était au plus fort ! Elle avait réussi à s'intégrer dans un bon groupe d'amis, âges et mentalités mélangés mais migrant vers un même point d'honneur: l'humour.
Aujourd'hui, il ne restait qu'elle et un autre de ce groupe, une autre personne venait de temps en temps, aussi, mais pas de quoi faire revivre le passé...

La jeune maman enfouit son visage dans ses bras repliés. Pourquoi, dans une vie, devait-on garder le plus douloureux à l'esprit et oublier le meilleur, le laisser s'échapper tout au fond du gouffre ?
Une larme coula, douloureuse et amer.
Ses amis partaient les uns après les autres. Son tour arrivait. Lentement mais surement ! Elle préparait déjà son voyage... Ses affaires étaient prêtes, ne restaient plus qu'à savoir avec qui et dans quelle direction ?


Reviendrais-je, au moins ? murmura-t-elle, complètement perdue...

Elle releva la tête et vit ses enfants se tenant juste devant elle, à la regarder d'un air inquiet.

Aller jouer un peu plus loin, mes chéris...

Môman, tu as froid ! T'as les ptits boutons des poules partout sur le corps... Et pis... La petite eut un temps de pause pour se mordre la lèvre inférieur avant de reprendre: c'est quoi cette histoire de ne "jamais revenir" ??? Nouvel arrêt. Depuis quelques temps, tu me fais peur môman... Tu es toujours pensive.

Lucie, va jouer plus loin que je te dis, ne t'en fais pas pour moi. Môman réfléchit.

Mais... Tu attendras Papa, hein, dis ??

Ewy soupira intérieurement, se retenant de baisser les yeux au sol, puis se leva brusquement en prenant une grimace de colère pour leur faire peur. Le manège fonctionna: Lucie emmena son petit frère en direction du village en courant presque, se retournant même pas. Ewy venait de se mettre à dos les enfants en prime. Elle soupira tristement en se rasseyant lourdement. Tant pis pour le popotin, elle était à bout de force à rien faire... Naturellement qu'elle attendrait Pal, sauf si il ne se décidait pas à sortir de sa retraite. Là, ce serait une autre histoire...

Elle observa la mer, souriant en repensant à se qui s'était déroulé ici y'a une paire de semaines... "Complètement folle !" ricana une pauvre voix dans sa tête. "Il est temps de partir ! "
Un nouveau ricament retentit dans son esprit, une deuxième personne qui voulait se mélanger à elle et qui ne la lacherait pas. Ewy eut un tout ptit sourire cruel avant de redevenir normal.

Quelques minutes plus tard, une jeune femme, seule et toujours aussi perdue, marchait sur la plage en direction de Dieppe pour finalement revenir vers Berti tristement.
Le voyage n'était pas prévu pour maintenant et encore moins dans cette direction... Le bonheur la fuyait comme la peste. Bref, une nouvelle page de sa vie se tournait !

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Marine98
marine se promenait sur le sable ,elle attendait oly pour voir le coucher de soleil avec elle et resté admiré les étoiles,elle prépara tout et attendit tranquillement que sa grande sœur arrive

marine attendait avec martyre la fille de flap quelle faisait barboter dans l'eau elles mangèrent et admirèrent le beau ciel étoilé




tu vois martyre!!nyyaaaaa se sont des étoile la plus belle chose du monde

elle continua de montrer les constellations autour du feu en riant


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Posts groupés. Les explications sont par MP.
Merci d'y donner suite.

{LaChouette}
.isabelle
Chou venait de boucler son baluchon, elle décida d'aller faire un tour à la plage.

A peine quelques pas et elle tombe sur sa puce adorée

Marine, je suis contente de le voir !

la bisouille et la câline fort.

Je pars cette nuit, mais je vais passer cette soirée avec toi. J'ai envie de regarder les étoiles et de pouvoir les toucher, comme tu sais si bien le faire.

Chou lui sourit.

Tu sais, je suis persuadée que le coucher de soleil va être magnifique. Il ni à aucun nuage.

Chou s''allongea sur le sable, passe ses bras sous sa tête. Et scrute le ciel.
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