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Ivresse d'océan

Missmonde
Miss amena Aphrodite pour la dernière foi a la plage car le froid commence a arriver.

Allez Aphrodite tu veux me faire un château de sable ? Vas y

Miss voix Aphrodite en plein travaille mais bon un château de sable d'un enfants de 1 ans et demi.


Allez Aphrodite en rentre ton petit frère et Maman Noug doit être inquiet de pas nous voir. Si tu veux tu peux prendre un peu de sable et un peu de coquillage pour la maison .


Miss aida Aphrodite a prendre un peu de
sable et de coquillage puis mis Aphrodite dans les bras pour rentre a la maison.
Ewylan


Malgré le froid qui s'installait progressivement sur la ville, Ewy ne pouvait résister à laisser ses pas l'emmener à la plage. Mais pas de bêtise avec les enfants aujourd'hui. Eux resteraient confiné à la maison pendant son détour.

Elle se trouvait au pied du phare et s'y adossa pour y fermer les yeux. Respiration profonde, sensation de l'air iodé dans ses narines. Que cela pouvait faire du bien par là où ca passait !
Il ne lui suffisait plus qu'à faire le vide dans sa tête... Dur dur avec ce qui s'y trouvait ! Bon, ne pas s'affliger et continuer àrespirer profondément, refouler toutes images et toutes pensées. Elle y arrivait parfaitement jusqu'au moment où une mouette pialla au-dessus de sa tête. Alors là, les pensées d'Ewy s'envolèrent dans le ciel, à la recherche de liberté...

Elle leva les yeux dans les nuages avec un sourire mi-triste. Non ! il ne fallait pas retomber dans la tristesse maintenant ! Elle se reconcentra, en vain. Elle finit par s'énerver puis se leva et repartir sur ses pas. Vers son chez elle, autour d'une bonne chopine. Au moins, elle n'avait pas paniqué...

_________________
Sylvine


Encapuchonnée, Sylvine traversa la ville endormie. Les premières lueurs apparaissaient à peine. Le sommeil l’avait trahi cette nuit. Elle avait tourné un moment en rond chez elle puis au moulin. Elle avait besoin de prendre l’air, d’essayer de se vider la tête ou du moins y voir plus clair.

La première chose qu’elle fit, une fois que ses chausses crissèrent sur le gravier, fut de se rendre à la dans la petite caverne accessible à marée basse. Elle avait cueilli quelques brins de bruyère en fleurs en chemin.

Après l’escalade de la digue puis de la paroi naturelle de la grotte, elle déposa le bouquet devant la statue toujours face à la mer et qui représentait son amie. Oh que certains lui manquaient !!! Elle et puis bien d’autres, tous partis rejoindre le créateur. Une vague de nostalgie envahit son cœur, vague qu’elle ne connaissait trop bien.

Non, non ! Secoue-toi ma fille ! Ce n’est pas le moment de t’épandre ! Elle eut un sourire amer. Oui c’est bien ce qu’aurait dit son paternel ! Elle devait être comme ce récif,
qu’elle voyait devant elle, résister aux assauts des vagues même si elle perdait de temps en temps un morceau d’elle-même.

Elle descendit de son perchoir, traversa la petite étendue sableuse, escalada à nouveau la digue fit une partie du chemin inverse mais bifurqua vers les falaises. Elle emprunta une sente sinueuse et se retrouva au-dessus de la caverne. Le poste d’observation d’Aubrée, sourit-elle.

La vue était imprenable : un tour complet sur l’immensité maritime et les terres. Elle pouvait contempler à sa gauche Bertincourt qui s’étalait avec ses échoppes disséminées, son port avec ses quais encombrés puis le champ de chanvre, la plage ; à ses pieds, le théâtre qui semblait abandonné; à sa droite, au loin, se profilaient les murs du couvent et une grande étendue herbeuse . Elle fit un quart de tour sur elle-même toujours à sa droite, aperçut les moulins dont le sien avec en arrière,–plan le terrain de soule. Elle pivota complètement, le lac, les remparts, l’église et la place du marché et les champs qui s’étendaient à perte de vue avec, au loin, les manoirs des différents domaines.

Elle s’assit face à la grande étendue d’eau, couleur pierre, en ce jour d’automne découvrant d’un geste en arrière de la main ses cheveux.
Puis, la brune damoiselle sortit de sa besace un petit instrument en bois, le porta à ses lèvres. Les cheveux se soulevant doucement sous la brise, elle entama un petit air nostalgique destiné à ses amis disparus, puis un autre plus neutre pour ceux en voyage ou loin d'elle, un troisième plus gai pour ceux qui, derrière elle, dormaient encore ou se réveillaient à peine, enfin, un dernier, plus revigorant, pour encourager l’Artois.
La dernière note émise, elle rangea le flutiau, se leva. La taverne et ses obligations l’attendaient.
Sylvine


Plusieurs jours s'étaient écoulés depuis sa dernière promenade. Le temps n'avait pas été des plus souriants.
La meunière profita d'une accalmie pour faire quelques pas sur la grève.
Son attention fut attirée par les cris des mouettes qui tournoyaient, se posaient en s'invectivant les une des autres.

Elle s'approcha de ce groupement ailé.

Qu'ont-elles bien pu trouver???
Tidole


Il y avait bien trop longtemps que Tidole n'avait pris le temps d'aller respirer sur le sentier qui longeait la plage.
C'était une journée sans nuage l'air était vif en cette saison mais devenait plus doux à l'approche de la côte.
Son regard dirigé vers la mer recouverte de fine écume, elle resta un long moment à observer le clapotement des vagues annonciateurs de vent et de pluie.

Elle quitta sa rêverie, pour apercevoir un attroupement de mouettes qui s'agitait au dessus du sable, non loin de là elle reconnu la silhouette de Sylvine, descendit rapidement jusqu'à la plage pour la rejoindre.

"Tu as eu envie d'un tour sur la plage toi aussi, je crois qu'on a raison d'en profiter avant les prochaines pluies ! Regarde les mouettes on dirait que quelque chose les a attiré ici..."
Sylvine


Sylvine approchait sans mouvements brusques afin d’éviter toute attaque de bec.
Elle n’arrivait cependant pas à distinguer ce qui mettait tant d’émoi chez les oiseaux de mer.
Des crissements de pas derrière elle se firent entendre.
Elle s’arrêta et se retourna.

Un grand sourire s’afficha sur son visage lorsqu’elle reconnut leur tribun Tidole.

Bonjour Tidole

"Tu as eu envie d'un tour sur la plage toi aussi, je crois qu'on a raison d'en profiter avant les prochaines pluies ! "
Elle leva les yeux et approuva les dires de la damoiselle.
Oui profitons! J’avais besoin de l’air marin pour changer de celui du son ou de l’étable.
Elle gonfla sa poitrine d'air levant son visage vers le ciel, un court instant.
C’est agréable, même si l’air est frais. Du moment que le ciel ne pleure pas, promenons nous. Elle sourit.

Nous avons eu une jolie petite tempête, il y a deux nuits. Une partie de mon toit en a fait les frais.
J’étais venue chercher quelques bois ou choses que la mer aurait rendus.

Regarde les mouettes on dirait que quelque chose les a attiré ici...
En effet…
Elle reporta son attention sur ce qui l’avait intriguée…Je ne les ai jamais vues agir ainsi sauf sur un panier de poissons non gardé sur le quai.
Tidole


Tidole était ravie de retrouver Sylvine, plutôt habituée aux promenades solitaires la pensée de partager un si beau paysage lui était agréable.

Oui profitons! J’avais besoin de l’air marin pour changer de celui du son ou de l’étable.

J'ai grand besoin d'air aussi, de cet horizon qui laisse filer les pensées au loin.

La vue de la mer c'était un peu comme les saisons qui se succèdent dans un rythme qui se répète à l'infini, ça la rassurait et l'aidait à réfléchir, et de sentir la mer si proche lui donnait plein de force aussi.

Je devrais venir plus souvent ici pour profiter de cet endroit merveilleux.

J'ai hâte de pouvoir me baigner à nouveau dans l'eau fraîche.

Ca ne te manques pas les baignades, te faire un peu remuer dans les vagues, se laisser porter c'est tellement agréable ?

L'hiver n'est pas encore là je crois que je vais devoir encore être patiente...

Nous avons eu une jolie petite tempête, il y a deux nuits. Une partie de mon toit en a fait les frais.
J’étais venue chercher quelques bois ou choses que la mer aurait rendus.


Tidole regarde un peu autour d'elle si quelques morceaux de bois flotter échoués sur la plage seraient bon à ramasser.

Quelques mouettes alertées par leur présence quittèrent la plage pour planer haut dans le ciel puis se poser à nouveau sur l'eau, elle les suivit un instant du regard, puis continua d'avancer aux côté de Sylvine
Sylvine


Pendant que Sylvine discutait avec Tidole, les mouettes s’envolèrent en grande majorité.
La brune damoiselle vit alors un amas de tissus sur le sol détrempé. Son cœur chavira à la pensée d’un éventuel cadavre. Homme, femme enfant ??
Le cœur et les lèvres serrés, elle dévia ses pas vers le tas. Elle prit au passage une branche échouée et continua sa progression jusqu’à ce but.

Du bout de son bâton improvisé, elle souleva un des pans précautionneusement.
La tête blanche d’un os apparut. Elle ne put s’empêcher de déglutir et d’avoir un mouvement de recul, le recouvrant à nouveau.

La brune damoiselle regarda brièvement sa calme accompagnatrice.

Les oiseaux de mer se rapprochaient de plus en plus d’elles, de moins en moins effrayées par leur intrusion.

Faisant fi de son appréhension et devant réagir au plus vite, la meunière reprit ses investigations en soulevant d’un seul coup l’étoffe.
Celle-ci vola un peu plus loin, pour finir plaquée par une nuée blanche.
L’os se dressait fier dans le ciel.
La belle baissa son regard vers le sol.
Elle ne put réfréner un éclat de rire.

Hé bien cela, alors !!!! Je ne m’y attendais pas !
Tidole


S'approchant de plus près, pas très rassurée quand même, Tidole sentait son coeur cogner bien fort dans sa poitrine, redoutant quelque macabre découverte...

Quand courageusement Sylvine écarta le tissu détrempé par la mer pour regarder ce qu'il recouvrait, le temps sembla s'arrêter...
Enfin,elles virent apparaître une tête de l'os de belle dimension avec quelques morceaux de viande plus tout à fait fraîche mais encore appétissante pour attirer la nuée de mouettes.

Tidole eut une pensée émue pour balmusette à cet instant, mais elle était bien trop maline cette brebis pour se faire attraper...Surement s'agissait -il d'un mouton égaré qui aura fait la rencontre d'un ventre affamé.

Soulagée, elles rirent de concert au dessus de leur découverte

On dirait bien un vieux reste de gigot oublié, dommage un tibia de mouton t'aurait été plus utile pour y sculpter une nouvelle flûte, la prochaine fois peut être...

Tout en riant elles s'écartèrent laissant les mouettes revenir à l'assaut de leur festin.
Edenia





A peine arrivé en ville, Edenia chercha le port. Vite la mer! Elle voulait revoir ce majestueux paysage qu'elle avait découvert en Normandie. La voici, la voilà, l'immense étendue d'eau. Une fois de plus, la jeune femme n'en croyait pas ses yeux. Elle courru à travers le port, ne se souciant de rien, au plus vite, elle voulait mettre les pieds sur le sable.

Arrivée, Edenia resta bouche bée devant cette merveille qu'est la mer. Elle s'asseya sur le sable, admirant les rouleaux que l'eau faisait. C'était la première fois que la jeune femme la voyait de jour et c'était encore plus impressionnant car là, on pouvait voir l'horizon. De ses mains, elle laissait glisser les grains de sable dans le vent. De ses yeux, elle s'émerveillait de la grande bleue.

Le plaisir la submergeait qu'Edenia commença à en parler tout haut...mais seule comme la dernière fois. Elle soupira. La jeune femme redevue petite fille en un instant se sentait bien seule dans son bonheur.

Edenia se sentait minuscule face à la mer et par réflexe se recroquevilla sur elle même. C'est à ce moment là qu'elle remarqua son petit ventre qui commençait à s'arrondir. Elle ne put s'empecher de sourire. Bien sûr que non, elle n'était pas seule!

Edenia se redressa donc et caressa son ventre en décrivant à haute voix ce qu'elle voyait, pensant ainsi que le petit être au fond imaginerait l'endroit où sa mère se trouvait.

Et la petite fille devint une petite mère. Edenia restait sur le sable à caresser son ventre qu'elle n'avait jamais osé toucher au paravent.

Le soleil était blanc, la journée était loin d'être finie mais Edenia s'assoupit, allongée sur le sable, la tête sur sa besace. Elle se laissait bercé par le son des vagues et des mouettes. La brise raffraichie caressant son visage. Ses traits s'étaient affinée et la jeune femme qu'était Edenia réapparue.
Edenia
Edenia se réveilla et la nuitée commençait à poindre. Une fine couche de sable s'était posé sur elle et la jeune femme se demanda si elle ne devrait pas rester là jusqu'à être ensevelie. Mais non, elle préféra se lever. Le paysage n'avait pas changé mais Edenia le voyait avec des yeux nouveaux. Elle rebroussa chemin jusqu'au village et le vent prennait soin d'effacer ses traces derrière elle. Comme si elle n'était jamais venue.
William_zola


Will demeurai au 133 rue de l'église, situe juste en face de l'église dans laquelle officiait son frère, le Père William II ...
Lors de sa mort récente, Will décide de déménager de sa maisonnette pour s'installer dans le phare... Will se souvient de ce que lui disait toujours son frère, il aimait tellement ce petit coin du village :
"C'était exceptionnellement beau et calme. La plage, dans toutes les saisons, c'est tellement magnifique ! On s'y ennuis jamais ! Un lieu où la nature est au rendez vous, dans tous ses états !"
Willy II était le propriétaire du phare de Bertincourt. En effet, c'est lui qui allumait au moment venu le phare. Maintenant, avec le port en pleine expansion, c'est au tour de Will de le faire...

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Ginalova


C'est une belle journée d'hivers, froide, enneigée, mais belle. Gina venait de débarquer dans la ville après un long voyage depuis le sud.
Elle n'avait pas d'attache, ni même de famille, elle n'avait rien à vrai dire qu'un petit baluchon qu'elle portait fièrement sur son épaule et ses chausses plus qu'usées qui lui permettaient de marcher longuement!
Elle avait fini par débarquer dans cette ville où l'accueil étai plus qu' agréable.

Bertincourt était un village situé en bord de mer et bien que Gina s'imaginait que la mer pouvait trop facilement l'engloutir si jamais elle venait lui lécher les pieds, elle décida d'aller prouver au Sieur Will que rien ne lui faisait peur... ou presque!

Elle l'avait rencontré en sortant de la mine, ainsi que le sieur Flap et la Tribun du village qui était tous merveilleux!

Vétue de haillons et d'un un gros châle en laine mitée pour la couvrir assez pour en pas devenir bleue qu'une vielle dame en chemin lui avait offert, elle affronter cette grande bleue, vaste étendue d'eau plutôt impressionnante au yeux de la jeune femme.

Marchant courageusement, elle se dirigeait vers le phare qui était vraiment facile à trouver.


Ben dis donc!j'ai survécu à la mer!!pfiouuuuuu!va falloir que je demande une médaille du mérite!! pensait elle tout bas, une petite fumée blanchâtre s'extirpant d'entre ses lèvres charnues, témoin du froid de ce mois de janvier.
Ses grands yeux noirs se levèrent vers le phare au pied duquel elle se tenait.Comment allait elle pouvoir faire savoir qu'elle était là??... elle chercha une entrée, c'était la première fois qu'elle voyait un phare de si près, et avec un peu de chance, la première fois qu'elle y mettrait les pieds.Elle toqua espérant que la chance soit avec elle, son corps frêle tremblant et frissonnant par le vent qui s'engouffrait dans cet endroit étonnant...


humhum! toc toc toc!
....
William_zola


En ce début janvier, Will continu de prendre possession de son nouveau domaine. Le déménagement de sa petite chaumine au phare de Bertincourt ne s'est pas fait sans quelques difficultés. Il a été impressionné de voir la quantité de choses qu'il a pu accumuler au cours des ans.

Une fois quelques affaires sorties des malles, des meubles déplacés, Will se rend en haut du phare pour allumer la lampe, une nouvelle responsabilité ...
Après avoir monté les quelques marches …




Will s'attarde sur la vue que lui offre son nouveau logis. Des souvenirs heureux de lui et son frère entrain de boire une chopine et de fumer une bonne pipe le font sourire. Il s'approche du bord et son regard se perd sur la plage …
Ses yeux sont attirés par une jeune personne entrain de se promener et de tenter de s'approcher des vagues. Will sourit de plus belle en reconnaissant Ginalova qui vient tout juste d'arriver sur Berti. Voyant qu'elle se dirige vers la porte du phare, Will redescend pour aller lui ouvrir.
Arriver en bas, Will reprend son souffle.


"Il va falloir que je trouve un moyen pour gagner du temps et ne pas m'épuiser ainsi à chaque fois …"

Toc, toc, toc …

Will ouvre la porte.

Bien le Bonsoir. Entre vite. Tu m'as l'air de ne pas avoir bien chaud ainsi vêtu.

Il se décale pour laisser la place à Ginalova d'entrer.

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Ginalova


Gina sautillait comme une gamine, d'un pied sur l'autre, pour se réchauffer.
Elle ne cessait de regarder la mer, oh oui bien sur qu'elle la trouvait merveilleuse, mais surtout elle était terrorisée à l'idée de se faire emporter.
Personne ne la connaissait! Personne ne se douterait qu'elle avait disparut si jamais un malheur arrivait! Aaaaahhhhh! Fallait toujours qu'elle s'imagine le pire!!
La porte s'ouvrant la sortit de ses pensées et un large sourire faisant briller ses yeux illumina son visage.


Bbbbb...oonnnn...ssssoiirrrr... Sssssiiirreeee Willlll! dit elle en grelottant! Fait pas bien chaud par ici!!!! répliqua t'elle en riant.Elle se glissa à l'intérieur répondant à l'invitation. Vous voyez, je suis venue!pfffffiouuuuu! J'ai même pas eu peur! dit elle fièrement , pensant en son fort intérieur qu'elle ne tremblait pas que de froid!

Ses yeux balayèrent brièvement l'endroit, le grand escalier qui montait à perte de vue l'impressionna en premier lieux, puis sa curiosité léchait les murs observant chaque détail de cet endroit qu'elle ne connaissait pas du tout.


C'est impressionnant, ça monte drôlement haut! Combien y a t'il de marches?
demanda t'elle en se penchant sur la rampe pour mieux imaginer la hauteur de la chose, puis s retournant vers lui:J'espère que je ne vous dérange pas au moins?Je vous ai apporter un petit quelque chose pour vous remercier de votre accueil et de m'avoir si bien conseillé.et elle sortit une bonne bouteille de vin de noix du Périgord, qu'elle avait acheté lors de son voyage et la lui offrit. Tenez! c'est une spécialité périgourdine.Elle lui sourit replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille! Le vent l'avait complétement ébouriffée et elle ressemblait plus à un épouvantail dans ses vieux haillons qu'une une jeune femme!
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