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Ivresse d'océan

Lineluna
Reconnaissante, la jeune femme saisi le bras de la brune et se releva avant de la suivre, légèrement chancelante, en direction de la fameuse taverne des Soiffards.

Avez-vous un toit ? Si non, voulez-vous que l’on apprête une chambre en taverne ?

Je viens tout juste d’arriver en ville avec mes compagnons de route. Demain, nous serons déjà repartis je pense.


Elle se montrait si gentille avec elle alors qu’elle ne la connaissait même pas. Elle l’avait même probablement empêché de faire une bêtise. Mais que dire, que faire dans une telle situation ?
Eh bien, remercier, tout simplement.
Line lui sourit gentiment :


C’est très aimable à vous, merci beaucoup.
Ah, et puis… je m’appelle Line.
Sylvine


Sylvine rendit le sourire au jeune visage qui se tournait vers elle.
A son étonnement, cette jeune femme la remerciait.
La meunière répondit à son tour lorsque celle-ci se présenta.


Enchantée, Line. Mon nom est Sylvine. Je suis meunière et je sers de temps en temps à la taverne.
La taverne n'a que deux chambres, il n'y a pas de dortoir.
Si vous êtes nombreux, on pourra toujours vous faire dormir dans la grange.
Enfin si vous ne dépassez pas la dizaine.. Les chevaux ont besoin de place aussi.


La voyant pas sûre sur ses jambes, elle la soutint discrètement et la fit remonter là où la pente était la moins raide.

Venez au moins boire la bière de bienvenue.
La jeune femme ne lui laissa pas le temps de répondre. Elle l'embarqua dans les ruelles et eut vite fait de l'amener jusqu'à l'estaminet. Elle l'assit devant l'âtre et lui déposa une chope bien mousseuse dans les mains.

Reprenez des forces puis vous me direz ce qu'il en est.
Jack_oliver


Luca tentait de se promener au lac en cette froide soirée pour se changer les idées.
Cette nouvelle qui venait de lui tomber dessus le mettait hors de lui. Et c'est en marchant qu'il donnait des coups de pied sur ce sable si léger, le repoussant et faisant un léger tas chaque fois devant lui, qu'il aplatissait aussitôt au fur et à mesure de ses pas.

Le bruit de ces légères vagues lui donnait envie de s'avancer vers elles pour s'éloigner du monde réel et partir vers un monde meilleur.
Mais il ne se contenta que de marcher, énervé, pour s'arrêter et se poser sur ce petit rocher enneigé.

Il s'allongea alors dessus, ses vêtements se mouillaient peu à peu, le froid prit le dessus sur son corps, mais restait là.
C'était de toute façon mieux que de retourner là bas. Il s'endort alors après quelques minutes comme il s'était posé.

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Frère de Macaron - Fillot d'Olympe
Hambre


Hambre se baladait, respirant à pleins poumons l'air frais de cette journée de février...
Le vent jouait dans ses cheveux et fouettait ses joues qui en étaient rouges...et fraîches...
Ses pas l'amenèrent au bord du lac, et le souvenir du lac d'Honfleur lui remontèrent en tête...avec Rebel, et leur promesses ...leurs.....pfftt il faut que Hambre chasse ça de sa tête..ne plus penser au passé..jamais

La jeune femme s'était arrêtée, laissant son regard glisser sur l'eau...et un profond soupir lui échappa..

Elle reprit sa promenade, et son regard fut capté par l'image d'un homme au bord de l'eau....Luca...mais il va etre tout trempé !!

Hatant le pas, elle vint doucement lui poser la main sur l'épaule pour l'éveiller en douceur...

Luca, Luca ???
Eveille toi, c'est..Hambre..tantine Hambre..

Ca va pas ? Tu as l'air bien tristounet..


Elle le regardait, devinant en lui une peine immense...et en avait mal au coeur pour lui.

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Jack_oliver


Luca, qui dormait depuis quelques heures déjà, était trempé comme un poisson.
Mais le bruit des vagues, l'air de la mer... Cela lui faisait du bien.
Soudain, il entendit une voix dans son sommeil:


Citation:
Luca, Luca ???
Eveille toi, c'est..Hambre..tantine Hambre..

Ca va pas ? Tu as l'air bien tristounet..


Luca relevait la tête et le buste.
Il se frotte alors les yeux, regarde devant lui, et vu son amie, Hambre, qu'il appelait Tati Hambre.


Ohhhhh, il baille alors un grand coup. Tati Hambre!
Il jette alors un coup d'oeil autour de lui, se demandant pendant quelques secondes ce qu'il fait là. Puis la regarde, se lève légèrement pour lui faire un gros bisous, et lui dit alors:

Je... J'ai dormi combien de temps? Et baille alors à nouveau. En se frottant les yeux.








Ermelyne.mailliet
Le voyage l'avait fatiguée et d'un pas lourd se dirigea vers la plage....rien que de sentir l'air iodé lui faisait du bien
Stella retire ses chausses et entre doucement dans l'eau...des vagues claquent sur ses jambes....elle aurait aimé être en bonne compagnie que seule....mais voilà c'est comme ça...
L'eau la stimule et se met à courir comme une gamine le long de la plage....
La brune se met à penser que ça serait bien de s'allonger sur le sable...en regardant le ciel étoilé....qui sait...ça arrivera peut être un jour!!!!
Stella remet ses chausses...pensive et retourne à la ville ....où elle a été si bien accueillie....
Jack_oliver


Luca arrivait au lac en ce beau matin.
Il se posa sur un rocher, en attendant qu'elle arrive.
Il fixa alors l'horizon, et regardait au loin, trouvant la vue magnifique.
Cet air de la mer lui faisait du bien, faisant le vide dans sa tête.

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Frère de Macaron - Fillot d'Olympe
Madorote
encore une journée de passé sous le ciel de Bertincourt , voila a quoi pensais Madorote apres deux semaine passés au village, on pouvais lire son mécontement de cette routine qui pese deux fois plus lourd quand on vie dans la solitude
[/b]
sur la plage,il savait relativiser ,ce vent frais ,le bruit des vagues , se phare, tout ce decors faisait du bien a madorote ,le sable fouler par ces pied nue était plus confortable ue ces rocher a la mine

la mine, la mine,la taverne , la mine , mon champ , la mine , mon champs ses sa mon avenir ici , quel est mon but , ai je le droit d aimer a nouveau, fonder une famille, ou vivre de combat

[i]Madorote savait tres bien que la solitude fait apel a la folie il ferma les yeux un bon coup et soupira d un bon coup ,il s allonga sur le sable quand il vit au loin un silouhette ui lui était familiere

[b]mais qui c est je connais cette dame .....

[b] pour confirmer , il decida d s approchez d elle il arriva discretement derrieree elle est d une voix curieuse dit ,

Excuser moi mdam.....il me semble que je vous connait
Ermelyne.mailliet
(Hier sur la plage)

En longeant la plage....pour aller vers la ville...Stella aperçoit Luca..assis sur un rocher... songeur...on dirait...en tant qu'amie...la brune ne va pas le déranger...bien qu'elle en a envie...il doit attendre quelqu'un...et d'un geste de la main....le salue...continue son chemin....songeuse aussi...
Quand.....
Citation:
Excuser moi mdam.....il me semble que je vous connait


La damoiselle se retourne surprise....

Bonjour...oui...on s'est rencontrés en taverne...lui sourit
Madorote
le sourir de Stella detait ci beau que Madorote se leva

[/b]vous allez bien? , toujours aussi jolie

quece que vous faite toute seul sur la plage ?
Ewylan


Une envie, simple et irrésistible, qui l'entraîne toujours en cet endroit. Cela faisait si longtemps ! Quatre mois... Un voyage et hop !, elle oubliait les bonnes vieilles habitudes !

Ewy l'avait compris... Au fil du temps, des rencontres et des souvenirs, cette plage devenait une amie, une confidente à qui tout dire et qui ne rirait pas aux secrets... Peut-être folle à souhait, la jeune femme, m'enfin c'était mieux de se confier à un paysage que de se morfondre sur soi-même... Cela aussi, elle l'avait parfaitement compris.

Malgré l'hiver toujours présent, elle se déchaussa et alla se tremper les pieds en marchant le long de la côté. La jeune femme s'emplit les poumons de cet air si pur, hum un peu trop iodé peut-être mais cela ne la dérangeait en rien. Ca nettoyait les mucosités au moins.
Sa cape claquait au vent, derrière elle, tout comme ses cheveux à mèches roses et verts (merci Cel!) détachés.
Fermer les yeux avec délice, écouter les murmures ou clameurs du vent... et lacher un petit cri en sentant la fraicheur d'une vague plus grosse que les autres grimpait jusqu'à mi-mollet ! Le cri se remplaça vite par un rire.
La jeune femme s'emplit de cet instant magique, riant par à-coups, profitant du temps clément qui s'offrait au village.

Ewy quitta l'eau pour aller poser son séant sur le sable, un peu plus loin. Enfouissant ses orteils et ses doigts dans le sable, elle observa d'abord le scintillement des rayons du soleil sur l'eau, clignant des yeux de temps en temps pour ne pas perdre la vue. Elle regarda ensuite les figures des mouettes. Rhalala, qu'ils avaient de la chance d'être libres et de pouvoir voler... Hum, là, elle changeait de sujet. Elle n'était pas venue ici exprès pour se morfondre sur des simples ailes !
Le temps était donc arrivé d'ouvrir son coeur comme les secrets enfouis à l'intérieur... Elle referma les yeux et murmura, murmura, murmura... La force du vent emportait tout dans le lointain...

Une larme finit par couler, suivie par quelques congénères aqueuses. Fallait toujours qu'elle pleure à un moment ou à un autre. Ca gâchait toujours le tout !
Soupirant, elle haussa les épaules et laissa libre cours à sa peine. A son chagrin. Resserrant les pants de sa cape autour d'elle pour ne pas attrapper froid, elle posa son menton sur ses genoux et regarda la mer au loin, les yeux embués...

Elle ne risquait pas grand chose, au moins, à par attrapper un gros rhume ou avoir mal au coeur... C'est dans ces moments-là que les choppes sont le plus le bienvenue !
Elle restait là, espèrant que personne ne vienne la troubler dans sa peine... Ou au contraire, qu'on vienne la sortir de sa bulle...

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--Broceliande


Mes pieds s’enfoncent dans le sable. Le vent soulèvent le bas de mes jupettes et s’amuse à mettre mes cheveux dans mon visage. Ça chatouille et je rigole pendant que mon chien court autour de moi. Nous sommes toujours aussi amis; lui et moi. Il devient fou quand je l’amène courir sur la plage. Je crois qu’il aime cela autant que moi.

Aujourd’hui, il y a un beau soleil qui nous réchauffe et je me sens bien. Depuis que nous sommes ici, je n’ai plus peur. Nous avons une jolie maison près de la plage avec un jardin, une grosse cheminée et des murs partout. Ça change de la roulotte ! Au début, j’avais du mal à dormir toute seule dans ma chambre, j’entendais des bruits effrayants ! Maman m’a dit que je pouvais pas dormir tout le temps avec elle. Lorsqu’elle a suspendue des courtines roses autour de mon lit, j’ai eu envie d’y dormir. C’est comme si j’étais une princesse dans un château et mes sujets viennent me visiter. Bon, pour l’instant il n’y a que Genova, notre chat, qui ose grimper sur le l’édredon. Il ne comprends pas quand je lui parle celui-là, c’est normal car maman l’a trouvé en Italie. Il parle la langue des chats italiens.

Pour en revenir à la maison, je trouve ça bien d’en avoir une. Bon, d’accord elle ne peut plus bouger mais c’est parce qu’elle est trop grosse et lourde ! Ce qui est le mieux, c’est le jardin où je peux courir et quand on longe un petit chemin, il y a la plage !


Youhou !

J’adore ça ! J’essaie d’attraper le vent et je tourne, je tourne ! Je sais que le vent ne s’attrape pas, hein ! Je suis encore petite, mais il y a certaine chose que je sais quand même ! Quand papa va revenir de son voyage, je vais tout lui montrer. Il va être très impressionné de voir qu’il est le papa d’une princesse ! Oulà !

Marieodile
Le printemps. Il semblait à Marie-Odile que celui-ci n’arriverait jamais. Après tant de route, de déboires, d’attaques et de blessures, l’odeur à la fois saline et printanière était un baume pour l’âme de la femme. Respirer ces vents du large la calmait de ses angoisses parfois oppressantes et soulevait en son cœur des poussières trop longtemps agglutinées.

Elle avançait doucement sur la plage de Bertincourt, observant les vagues encore froides lécher le sable dans son ressac incessant. Le soleil brillait réchauffant l’air et le sol, sortant la doucement de son mutisme la végétation de cet hiver trop long. Quelques oiseaux piailleurs volèrent au dessus de sa tête, reprenant leur vol vers d’autres horizons, d’autres vagues à la recherche de poissons.

Marie regardait sa fille, plus jolie de jour en jour en reprenant des couleurs et sa joie de vivre. La petite avait bien pâtie des rudes derniers mois et le cœur de mère qui battait dans la poitrine de Marie-Odile en souffrait encore un peu…sans doute trop. C’est sans doute pourquoi elle avait tant insisté pour s’établir et offrir à Brocéliande ce qu’il y avait de mieux.

Le cabot de la fillette se mit à aboyer et courir autour des jupes de la femme. Enjoué, l’animal sautillait au même rythme que l’enfant, excité du jeu que celle-ci lui offrait à courir avec lui. Marie tendit les mains à sa fille et celle-ci vint les prendre jusqu’à ce que la mère soulève dans ses bras ce précieux fardeau rieur.


Tu crois que papa se plaira ici ? En tout cas…moi ça me plait bien !

L’enfant hocha la tête dans un assentiment spontané avant de la déposer sur l’épaule de sa mère. Marie-Odile la serra solidement contre elle, embrassant ses cheveux follets et son front. Un élan de tendresse la submergea et une boule d’émotion se forma dans sa gorge. Elle adorait sa fille et cela la bouleversait à chaque fois que l’enfant lui démontrait son amour réciproque.

Pour chasser les larmes qui voulaient glisser de ses yeux, Marie-Odile se mit à tourner sur elle-même dans une danse folle qui fit rire sa fille; réconciliant les deux silhouette avec le bonheur simple d’être ensemble et en vie.
Melisande_asclepiade


Elle est arrivée en ville depuis quelques jours et déjà elle rêve d'aller voir la mer, les vagues, le sable.......
Elle s'approche , enlève ses chausses, au fur a mesure qu'elle se promène les souvenirs remontent , elle se souviens de la première fois ou ses pieds ont foulés une plage , quand elle les a sentie pour la première fois s'enfoncer dans le sable.

elle était jeune et surtout ne savais pas quel serait son destin.

les sensations sont toujours là , elle se souviens de cette époque , combien de fois elle venait s'assoir au bord , regardant un point a l'horizon , admirant l'écume de la mer qui faisais des va et vient .

Le temps était en ce jour d’Avril, venteux, auréolé d’un fin rayon de chaleur, une petite brise souffle dans ses cheveux , elle sent l'air marin s'incruster sur sa peau .

Elle continue sa balade , et comme par le passé , s'installe a même le sable , enfonçant ses mains dedans , sentant la fraicheur , puis le laissant finalement glisser entre ses doigts , rêveuse elle regarde le sable de couleur ocre, jaune, lourd, humide et tiède

Elle pense a ce qu'elle a laissé derrière elle , elle se demande comment elle a pu abandonner ce a quoi elle croyais si fort , ce qu'elle aimais par dessus tout , elle pense a ce qui aurais dût être une vie toute tracée , sans chemins tortueux , sans surprise , au coté d'un fiancé, un futur mariage en perspective...
Pour finalement se retrouver au fin fond du royaume , avoir parcouru tant de chemins , fait tant de rencontres sur sa route .

Pour finalement ne rien regretter.
Sourire en se rappelant une histoire de contrat qui dure depuis plusieurs mois .
Un contrat établi en bonne et du forme ..
Un contrat qu'elle ne veux pas voir se terminer ou plutôt qu'elle craint qu'il est une fin possible.
Ne rien vouloir changer surtout ...
Et finalement découvrir que les jours passant a Bertincourt , les amitiés se nouant , elle se verrais presque s'établir...
Elle remonte sa cape sur ses épaules , donnant son visage aux derniers rayons de soleil de la journée, heureuse tout simplement de la tournure de son destin .
Tororo
La mer, enfin la mer
Infinie, à perte de vue
l'eau, les vagues, l'écume
Le ressac se brisant
assourdissant sur l'estran
le vent m'apportant
les embruns toniques,
balayant mon visage

Tororo contemple cette force
du haut de la dune
cherchant du regard
celle qui a laissé des traces sur le sable
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