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Ivresse d'océan

Grunen
Sur le chemin de la plage, Grunen entendit qu'on appelait son cheval. Qui donc pouvait bien s'intéresser à cette rosse à part Allice peut-être ?
Il prit son temps car il savait que Tapecul n'était pas un cheval de course, bien au contraire !

Il arriva en haut d'une petite bosse et eut une vue sur le drame. Pas très loin de lui, tranquillement, Tapecul mangeait de l'herbe comme si de rien n'était.
Plus loin, il vit une forme se relever en pestant puis courir en s'éclaboussant dans l'eau.

Il sourit en s'asseyant et continua à regarder cette forme goûter à nouveau à la vie, un sourire aux lèvres. L'air frais de la mer lui caressait le visage avec délice et lui faisait prendre conscience que, lui aussi, il reprenait goût à la vie...
Allice
Rire dans les vagues...jouer...plonger...
Un souffle...le vent...la douceur du vent dans son cou.

Allice se retourne et aperçoit Grunen.

Emportée par sa joie elle sort de l'eau et court vers lui...


Grunen viiiiiiiiiens!!!! Il fait si chaud...
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Grunen
Grunen se leva en riant après avoir entendu Allice qui l'appelait. Il la laissa venir à lui et la rejoignit juste au pied de la petite bosse.
Il la réceptionna dans ses bras et fit quelques rotations en liant leurs bouches. Elle était mouillée et il profitait ainsi de sa fraîcheur tout en la regardant avec tendresse.
Il finit par la reposer au sol et lui prit la main en la retenant.


On doit partir, ne l'oublie pas. On trouvera d'autres endroits pour s'amuser
Allice
Tourne et tourne et tourbillonne sur ses lèvres...

Partir...déjà...


tu as raison, partons à l'aventure...

Allice prend sa main et la serre tendrement...

Tapecul est là goguenard...
Allice s'installe aidée de Grunen
N'osant plus trop bouger elle s'accroche et l'équipage part en trottinant, guidé par les anges...

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Ewylan


La jeune femme venait de quitter la taverne, courant vers la plage en aveugle, les larmes aux yeux.

Ce n'est qu'une fois bien éloignée de la ville qu'elle glissa et tomba, les grains de sable écorchant vif sa peau sans couleur, sans vie. Elle n'en eut cure. Elle ne ressentait pas cette blessure physique... Pourtant, les larmes coulaient sur ses joues comme l'eau jailli d'une fontaine, d'une cascade. Douleur. Son coeur était douleur, son cerveau était migraine. Une effroyable migraine insatiable.

C'est là, allongée sur le ventre et sur le sable tiède, le front posé sur ses avant-bras qu'elle pleura de ton son saoul. Douleur... Le mot était faible pour caractérisé cet instant, mais seul lui venait à l'esprit d'Ewy... Comme en écho, une bruine tomba, la mer s'agita, trempant la jeune femme jusqu'aux os sans qu'elle s'en aperçoive. Elle pleurait. Elle avait mal.

Il voulait partir ? Ce serait elle qui partirait, s'il le fallait... Un jour, deux jours, pas longtemps, juste le coup de refaire ses forces et de retrouver un semblant de sourire. De toute façon, ses deux retraites arrivaient à grands pas. Elle ne le lui avait pas encore annoncer... Mais il se fichait tellement d'elle, maintenant... Un nouveau flot de larmes coula sur ses joues pâles... Elle puisa en elle pour trouver la force de se relever. Son avant-bras gauche perlait de rouge, une petite douleur accompagnant ce tableau banal. Tombant et retombant sans force, elle se traîna tant bien que mal vers les falaises et s'y adossa. Douleur. Les yeux bleux de la jeune femme, si beau auparavant, s'injecter de rouge. Ou était-ce leur véritable couleur ??

Le visage tourné vers la mer et son horizon, elle fut choquée de voir tout Noir. Et tout Rouge simultanément. Tremblante comme une feuille par le froid de la bruine devenue pluie dense, elle s'endormit là. Ne se réveilla pas.

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Xhena
Xhena venait de quittée son frère et son épouse!

elle se dirigea vers la plage le coeur lourd tout ces endroits que sa soeur Hilde lui avait écrit la faisait souffrir au plus profond de son âme,!

elle regarda cette grande étendue d'eau et avanca doucement laissant l'eau lui caressée le corps!

elle ressentée un bien être tout en avancant!

soudain elle perdu pied et glissa au fond de l'eau!

elle remonta en se débattant sortant la tête hors de l'eau en hurlant!!!!


Au secourssssss

à l'aideeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

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Ewylan


Ewy était fendue dans ses cauchemars. Adossée contre la falaise, elle avait fini par s'affaisser en gémissant. Un cri, lointain, retentit dans son songe, la sortant petit à petite de sa torpeur.
Le front perlé de sueur, ouvrant difficilement les yeux, la jeune femme se demanda combien de temps elle avait bien pu rester inconsciente...


Au secourssssss

à l'aideeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee


Ewy sursauta. Le cri retentissant dans son rêve était un cri provenant de la réalité. La jeune femme n'avait pas fait la différence, au départ, à présent si ! Elle se leva, cherchant du regard d'où provenait le hurlement. C'est au loin, et dans l'eau, qu'Ewy trouva une petite, très discrète, tâche sombre et des bras gesticulants au-dessus. Ne prenant pas plus le risque de voir une personne coulée devant son nez, Ewy se mit aussitôt à courir, sentant à la fois sa terrible migraine reprendre le dessus...
Elle n'en eut cure et alla dans l'eau, se mettant à nager une fois qu'elle n'eut plus pied... Elle sentait une nouvelle force en elle, et la jeune femme mettait cela sur le compte de l'adrénaline. Pourtant, elle savait se mentir en pensant cela... Bref, ni une ni deux, elle attrappa le corps de la jeune femme, puisque c'en était une, en train de se noyer. Ewy s'allongea sur le dos, plaça la femme sur elle en faisant attention de maintenir sa tête hors de l'eau et la tira enfin jusqu'à la plage. Ewy se sentait perdre de pied, ses yeux devenaient rouges à nouveau...


Ah non !! Ca va pas recommencer... cracha-t-elle entre ses deux.

Elle finit par sentir le sable sous elle, se mit debout et tira la pauvre femme loin de l'eau.
Ensuite, Ewy s'assura qu'elle respirait toujours et la voyant éveillée, elle soupira, rassurée. Attendant un peu, elle se rappela son rpopre sauvetage. C'était elle à la place de la dame, et Moineau l'avait sauvé d'une noyade suicidaire... Mmmh...


Ca va mieux ?

Question débile, mais c'était légèrement mieux que, "Bonjour, vous allez bien ?"

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Xhena
Xhena regarda autour d'elle ne sachant plus ou elle était!!

Elle regarda se visage penchée au dessus d'elle!!!


Je ...suis.....ou....

Un ange.........je suis.....au paradis???


Xhena caressa son visage pour la touchée!!!



ohhhhhhhh..mais non vous n'êtes pas un ange!!!!

vous m'avez sauvée!!!!

Merci..Merciiiiiiiiiii.....

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Ewylan


Je ...suis.....ou....

Un ange.........je suis.....au paradis???


Ewy s'inquité de l'état de la Dame. Un Ange ???? Elle ??? Elle ne put s'empêcher de prononcer une petite pointe d'humour. Qui n'en était pas vraiment, d'ailleurs...

Désolée de vous contredire, mais je ne suis pas un ange, plutot un démon. Et hum... vous êtes à Berti, Bertincourt. Sur sa plage, pour être précis.

Ewy sourit en sentant le tatonnement de Xhena sur sa joue, sourit plus encore, rassurée que Xhena comprenne.

ohhhhhhhh..mais non vous n'êtes pas un ange!!!!

vous m'avez sauvée!!!!

Merci..Merciiiiiiiiiii.....


Vous avez eu de la chance que je me sois endormie là et que mon sommeil ne fut pas très profond, que mon rêve soit pas très accueillant... Vous avez eu de la chance que la mer ne soit pas bien agitée, aujourd'hui. Vous auriez pu être loin... M'enfin, de rien.

Bon, maintenant que c'était passé, mieux valait oublier et aller de l'avant...

Vous allez savoir rentrer au village ?

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Jolicoeur
Jolicoeur décida d'aller prendre l'air sur la plage. Depuis son arrivée à Bertincourt, la blonde était à peine sortie de son auberge et le manque de mouvement commençait à se faire sentir. C'est ainsi, qu'elle se dirigea vers l'immensité de la mer. Le bleu de celleci la facinait. Influence de ses yeux bleus, pareil à l'eau qui s'étendait à ses pieds? Elle n'en savait trop rien.

Simplement, Jolicoeur se limita à regarder, laissant son esprit se vider des pensées qui la poursuivaient comme un fantome, lui rappelant à chaque instant son insignifiance. Elle secoua ses boucles blonde, et s'assit sur le sable, en tailleur, laissant le vent jouer avec ses cheveux d'un blond cendré et fermant les yeux pour mieux profiter de cet instant paisible.

C'était la première fois depuis son départ en cachette de Anvers, qu'elle se sentait enfin en paix. La blonde poussa un profond soupire, respirant l'odeur à sel de la mer. Une mouette cria, cassant le bruit des vagues qui venaient s'ecraser doucement sur la rive, l'eclaboussant quand celleci venait avec un peu plus de force qu'une autre.

Un rire s'echappa de ses lèvres quand une grosse goute vint droit dans ses yeux. Jolicoeur se nettoya le visage d'un revers de main, et se remit à regarder la mer devant elle.

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Amanon
Il avait réussi à se libérer plus tôt pour une fois, dans le seul et unique but de retrouver celle qui faisait battre son coeur. Il se sentait jamais très bien lorsqu'il la quittait un peu trop longtemps, se trouvant vide lorsqu'elle n'était pas à ses cotés.
La soirée débuta tranquillement, fut quelques peu mouvementés mais après des retrouvailles en tête à tête, les choses se sont arrangés et bien plus encore.
Cette soirée leur avait fait du bien à ces deux tourteraux, ces deux êtres qui se cherchent sans répit n'ayant qu'un seul but, de se retrouver et ne plus jamais se quitter.

Il la porta dans ses bras l'amenant au bord de la mer, ses pas foulant le sable doux et encore tiède, trâce d'une journée ensoleillée et chaude. Il ne la quittait pas des yeux un seul instant, profitant de chaque instant pour savourer sa présence. Il s'installa enfin s'asseyant sur le séant, sa douce entre ses jambes, l'enlaçant par la taille, tout deux face à la mer qui s'agitait au gré des marées, posant sa tête sur son épaule. Ne souhaitant qu'une seule chose que ce moment soit éternel.
Erinne
Cette soirée en taverne avait été un peu agitée, mais les choses avaient reprit leur cour et comme d'habitude il l'avait comblé. Elle l'aimait comme jamais elle n'avait aimé. Il avait décidé de la surprendre se soir et l'avait emporter dans ses bras, prenant le chemin de la plage.

La nuit était tombé, la lune illuminait de sa douce clarté la plage déserte. Il l'avait posé sur le sable chaud et la serrait dans ses bras, sa douce chaleur la réchauffant. Il avait posé sa tête sur son épaule, lui permettant de lui murmurer de doux mots d'amour. Elle savourait sa présence, bénissant chaque instant avec lui.

La lune gravissait le ciel étoilé, la mer s'avançait plus prés d'eux à chaque vagues qui venaient s'échouer sous l'effet de la marée, tout était paisible et merveilleux. Un délicieux instant rien qu'a eux sans rien ni personnes. Elle se laissait gagner par la quiétude, son corps se détendait à son contact, il lui communiquait son calme, son amour.....

Un coup d'œil à la lune, un sourire naquit sur ses lèvres, un sourire mutin comme elle savait si bien les faire. Elle le regarda .


- Un bain sa te dirait mon ange?



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Amanon
Ils étaient là tout deux, profitant de ce moment de calme et de paix qu'ils chérissaient temps. La mer était calme, provocant parfois de doux remoux qui au fur et à mesure de la marée grimpante venaient leur lécher les pieds. Elle se retourna vers lui, son sourire s'illuminant sur son visage, ce genre de sourire dont elle avait le secret et elle le savait, présageait de belles promesses d'une nuit qui n'était pas fini. Il ne put pas bien résister longtemps à sa proposition. Il lui rendit un charmant sourire lui répondant.

-Pourquoi pas, mais la mer doit être froide, il va falloir trouver quelque chose pour se réchauffer.

Une phrase anodine mais qui invitait à beaucoup de choses où seule l'imagination de ces deux tourteraux seraient limitantes. Il se leva alors, commençant à se déshabiller sans pudeur sous les yeux brillant de gourmandise de sa femme qui n'en perdait pas une miette. Il lui sourit malicieux.

-Alors on y va ou non ?

Il éclata d'un rire clair rompant le silence de la nuit, puis couru sur le sable chaud et doux en direction de la mer, finissant sa course d'un plongeon gracieux. Son corps était entièrement trempée, il passa une main dans ses cheveux remettant sa coiffure en place qui lui genait les yeux, observant sa chérie.
Erinne
-Pourquoi pas, mais la mer doit être froide, il va falloir trouver quelque chose pour se réchauffer.

Son sourire s'agrandit. Elle le regarda faire, ses vêtements ne mirent pas longtemps à disparaitre dévoilant son corps magnifique. Elle l'admira les yeux brillants.Il etait vraiment très bel homme, elle s'extasiât devant ses muscles bien découpé, il respirait la force et la douceur, il était son havre de paix. Il avait su calmé ses peines et apaiser sa douleur. Elle l'aimait plus que tout: c'était son homme! Il la tira de sa rêverie:

-Alors on y va ou non ?

En quelque pas il fut dans l'eau ou il plongea. Elle ôta ses bottes,ses vêtements rejoignirent vite fait ceux de son homme. elle s'étira alors, déliant ses muscles, le clair de lune illuminant sa peau pale lui donnant de doux reflets argentés. Ses yeux reflétait le ciel de cette douce nuit, des étoiles y brillaient de mille feux sur un fond bleu foncé.

Elle s'approchât et entra dans l'eau, la froideur de celle ci la saisi et elle frissonna mais continua d'avancer, elle avait l'habitude des eaux froides. En quelque enjambé elle le rejoignit, le dépassa et plongea à son tour, pour ressortir un peu plus loin. Elle revint alors vers lui et soudain lui lança de l'eau. Sans attendre son reste elle partit en courant, jetant un œil derrière elle pour voir ou il était....
Damefrenegonde


Bien des mois s'étaient écoulés depuis que Frénégonde avait posé ses poulaines sur le sol Bertincourtois. Une visite de courtoisie qui s'était transformée en un séjour prolongé ponctué de surprises et d'évènements. Étrangère à sa ville, la Péronnaise avait trouvé refuge dans cette ville ô combien charmante et accueillante. Des amitiés solides et inébranlables avaient vu le jour, ainsi qu'un amour improbable entre une noble et un charpentier...
La vie s'écoulait, douce et paisible, au creux de bras puissants et protecteurs, au contact de personnes adorables et souriantes. La rousse ne semblait plus vouloir quitter cet endroit devenu si cher à son cœur.

En cette journée de forte chaleur, Frénégonde après quelques heures de sommeil, décida de se rendre sur la plage de Bertincourt afin de profiter d'un peu de fraîcheur. Depuis son arrivée elle n'avait jamais pris le temps d'admirer le lieu et voulut y remédier.
Paisiblement, elle arpenta les ruelles bien désertes en cette heure chaude de la journée et se dirigea vers le phare. Un sourire se dessina sur ses lèvres ourlées lorsqu'elle aperçut l'imposant monument trônant fièrement sur une eau calme et sombre. La jeune femme connaissait la mer, originaire de Provence elle avait été à son contact durant toute son enfance. Mais elle fut légèrement surprise en remarquant que celle-ci ne ressemblait en rien à celle de chez elle. L'eau était chargée d'embruns et la couleur oscillait entre le bleu foncé et le vert profond, loin des couleurs limpides et pures de la Méditerranée, qui étincelaient sous le soleil franc des jours d'été. Pourtant ce paysage bien différent lui rappela son pays natal.

Guettant les alentours et rassurée d'être bien seule, Frénégonde remonta aux genoux sa houppelande et fit un nœud pour la tenir serrée. Elle ôta alors ses poulaines et enfonça ses pieds dans le sable brûlant. Le contact lui arracha une grimace bien vite dissipée par le bien-être ressenti. La brise salée, chargée d'iode et d'embruns vint titiller ses narines et s'engouffra délicatement dans sa chevelure cuivrée lui apportant une fraîcheur plus qu'appréciable. Immobile, un fin sourire étirant ses lèvres, la jeune Péronnaise ferma les yeux et écouta avec enchantement et apaisement le clapotis des vagues qui venaient mourir sur les rochers. Un sentiment profond de liberté s'empara d'elle et toutes les tensions accumulées depuis bien des jours disparurent enfin. Elle ouvrit les yeux après de longues minutes de méditation et admira l'étendue bleue, immense et profonde. Un monde inconnu, un lieu enchanté qui l'attirait irrésistiblement. Revigorée par cet échange avec la nature qu'elle affectionnait tant, la rousse se mit à marcher près de l'eau, laissant l'écume des vagues chatouiller ses pieds menus et traçant dans le sable humide sa traversée...

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