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Ivresse d'océan

Faustine59
Faustine suiva sa louve en direction de la plage , le coeur serrer par l'angoisse . Elle courait comme jamais . Elle aperçut cewenne de loin .

Cewenneeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee , se passe quoiiiiiiiiiiiiiii?

Elle arriva prés d'elle a bou de soufle . Elle lui tendit la couverture . Son coeur rata un battement quand elle reconnut nathy innanimer sur le sol .

C'est pour sa qu'elle voulais que je la suivit . Le mots s'explique maintenant .

Citation:
Mon amour


Finalement la faucheuse nous aura eu !! Je ne peux vivre sans toi , sans voir ton sourire quand je me leve, sans tes levres se poser sur les miennnes.
Je m'affaibli sans toi , je t'aime trop.

Ton époux , qui t'aura aimé jusqu'a son dernier souffle.


Citation:
Désolée , je ne peux plus
J'ai essayée....


Elle tomba a genou et tendit les de mots qu'elle avait dans la main a cewenne . Elle prit la main de nathy et demanda du regard se qu'il fallait faire .
Cewenne
C'est avec un certain soulagement que Céwenne entendit Faustine l'appeler. Elle lui répondit aussitôt :

"Viens, vite !! J'ai besoin de ton aide !"

Faustine arriva toute essoufflée et lui tendit une couverture qu'elle avait pris soin d'apporter avec elle. Céwenne s'empressa de l'enrouler autour de Nathy. Puis, elle prit les missives qu'on lui donnait et y jeta un rapide coups d'oeil.

"Je comprends mieux maintenant mais nous n'avons pas une minute à perdre. Son pouls est très faible et je pense que nous n'avons pas le temps de chercher d'autre secours. Il faut que nous nous débrouillons pour l'emmener au dispensaire ; là-bas, ils sauront quoi faire."

Le vent soufflait toujours aussi fort et Céwenne regardant Faustine lui demanda:

"Te sens-tu d'attaque de la porter avec moi en sachant que le vent va nous ralentir ?"
Natanael..
Nat était en taverne se matin là à remonter les braies de Jules quand une jeune personne entra toute essoufflée demandant de l'aide à la plage.


Il arriva donc en courant sur les lieux suivant la jeune femme en question et découvrit avec effroi une femme étendue, inanimée sur le sable.

Il se pencha sur le corps écoutant les battements de coeur ou une respiration.

Je n'entends rien, portons la jusqu'au dispensaire.

Il prit la femme dans ses bras et couru au dispensaire.
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Rubis_jades
Tout son corps tout se crispe ,Elle sombre puis finalement se détend , Elle sait qu'elle est entrain de couler au fond .. profondément .. lentement ... enfin elle le rejoint , enfin ils vont être réunis......
Puis soudain on la tire par le col de sa chemise ,la ramène... ..elle a envie de hurler qu'on la laisse ..Elle voudrait se débattre mais n'en a plus la force .
La chose ou quelqu'un la ramène vers le rivage , elle est trainée , son corps touche le sable ...quelques chose de chaud et humide viens toucher son visage ,suivie d'un hurlement .
Juste avant de s'enfoncer dans les ténèbres ...elle entend des bruits , des cris ... sent des bras qui la soulève ..et le noir.

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Cewenne
29-10

Après cette dure journée de labeur, Céwenne alla à la plage pour se détendre. Le paysage était tout aussi reposant que la dernière fois. Elle prit le petit chemin qui menait au sable fin mais bifurqua avant.

Elle s'assit dans les herbes folles, regarda les voiles lointaines des bateaux qui valsaient lentement sur l'immensité de la mer.

La fraicheur commençait à tomber mais il faisait encore assez chaud pour pouvoir se prélasser.

Sentant la tension de la journée retombée, elle s'allongea afin de mieux profiter de la douce caresse du soleil sur sa peau. Elle était tellement bien qu'elle finit par s'assoupir.
Ermelyne.mailliet
Stella s'était réveillée avant le lever de jour...le coeur en émoi..ses paroles résonnaient encore dans sa tête...elle ne lui avait pas répondu...n'osant y croire...mais comme son coeur avait cogné fort dans sa poitrine..

La brune se décida d'aller à la plage...cela faisait longtemps...qu'elle n'avait pas mis les pieds sur cette plage...et ça lui avait manqué..

La journée promettait d'être belle...Le soleil avait fait son apparition...d'un pas alerte...en chantonnant...elle arrive..la voilà qui respire à pleins poumons...savourant ce moment là...

Stella admire le paysage....les différentes couleurs qu'elle voit...la mer est comme en continu avec le ciel...sur la droite...la forêt avec des arbres qui ont mis leur belle parure d'or...

Elle enlève ses bottes et les pose près d'un rocher..Stella apprécie le sable doux sous ses pieds...et va au bord de l'eau....la mer un peu agitée vient frapper ses jambes...elle jette un oeil à droite et un à gauche...personne aux alentours...soulève sa robe juste au dessus des genoux...et va plus
loin...elle tient sa robe et s'amuse en sautant les vagues...

La voilà bien mouillée..en riant..elle va sur le rocher...s'allonge pour se sécher...le soleil darde encore ses rayons sur sa peau ..
Cewenne
Céwenne, erra longuement le long du rivage. Ce coin, elle l'aimait car il l'apaisait et lui faisait voir plus clair.

Elle avait réfléchi longtemps mais ce qui allait arriver devenait inévitable. Elle avait décidé de prendre son courage à deux mains et de le lui dire de vive voix.

C'était fini et rien n'y changerait.

Elle laissa la brise lui effleurer le visage et regarda au loin. A l'horizon, le soleil se couchait laissant une traînée orange dans son sillon.

"Ah ! si seulement tout était aussi simple."

Et elle repartit chez elle plus déterminée que jamais.
Juste_watelse
Il était tard et Martel sortait tout juste de taverne où il venaient de se faire recoudre la jambe. Il y avait également revu Cewenne, lui conseillant de venir se promener ici, prêt du phare.

La mer était calme, Martel sentait une douleur énorme lui envahir la jambe droite à chaque pas dans le sable. Mais malgré cela, il se sentait bien, une douce brise caressant son visage, accompagnée d'une légère odeur d'algue marine... Durant ces longues minutes à marcher sur cette plage en direction de ce beau monument maritime, la vie lui parut paisible et belle... Loin de cette guerre qui faisait rage... Le bruit des armes entrechoquées remplacé par celui du claquement des vague... Le reflet des armures étincelantes au soleil par celui de la mer sous la lune...
Prit dans ses pensées et l'âme poète, il arriva jusqu'au phare et s'assit à côté... La nuit était paisible... si paisible qu'il s'endormit...

Jamais le tavernier ne se rendrait compte qu'il lui manquait un client. Puis la paille de sa couchette n'était elle pas moins confortable que l'herbe et le sable?...
Cewenne
Après encore une dure journée de labeur, Céwenne prit la direction de la plage. Elle n'arrivait pas à surmonter son ennui. Même Grispoil, son chat, ne la faisait plus rire lorsqu'il jouait avec tout et n'importe quoi. Beaucoup de personnes lui manquaient. Ses amies en l'occurrence.

Se sentant submerger par la mélancolie, elle fixa un point à l'horizon, s'y concentrant le plus possible afin d'essayer d'oublier à quel point elle se sentait seule.

Elle resta là, assise sur le sable, le regard perdu. Elle se remémora les bons moments qu'elle avait eu il n'y avait pas si longtemps et déjà loin pourtant.

Combien de temps était-elle restée ainsi ? Elle n'aurait su le dire mais il faisait déjà nuit et donc, devait être certainement temps de rentrer. Aussi, elle se releva et poussant un grand soupir, suivit le chemin qui menait chez elle.
Azarelle..
Etrange....

Azarelle commençait à faire quelques connaissances à Bertincourt. Elle n'était pas pressée de partir et plus le temps passait moins elle avait envie de partir.
Pourtant, elle était prête et les courriers la pressaient, lui faisaient sentir qu'elle n'était pas seule et qu'on l'attendait.

S'aventurant au travers de Bertincourt, Azarelle déboucha sur la plage, vaste tendue de sable fin grisâtre. Elle enleva ses chausses pour sentir le sable froid et humide sous ses pieds prenant ainsi meilleur ancrage au sol, la tête bien sur les épaules.

Que lui arrivait-il? Depuis que son jumeau avait fui la maison patriarcale avec une donzelle, elle n'était plus la même.
D'abord le baiser inattendu d'Elim puis la rencontre avec Actarus, le rendez vous insipide avec Earlin et maintenant.....
Tout cela en si peu de temps.

Où était passée son insouscience? Sa liberté d'actions inattendues et fantaisistes? Ses aventures glorieuses pour l'enfant qu'elle était en compagnie de son poney Guyzmo.
Elouen, son écuyer de 6 ans, aurait-il raison?
Ne lui répétait-il pas : ne grandissont pas Aza, les grands , c'est trop compliqués.

Azarelle foulait le sol laissant derrière elle ses empreintes si faciles à suivre.
Elle arriva au phare, contourna l'entassement de fagots et les stères de bois bien rangées et alla s'asseoir sur les rochers lèchés par les vagues.
Le regard perdu sur la surface de cette mer mouvante, elle repensa à la soirée d'hier.
Garin
C'était assez inhabituel, Garin n'était pas la personne qui s'aventurait hors des tavernes ou de son échoppe, mais il avait un besoin, celui de la revoir.
Il ne voyait plus que ces yeux, sa douceur, la chaleur de ses lèvres.

C'était pour tenir une promesse qu'il vint ici, devant cette mer glaciale.
Il scrutait l'horizon, ne savait pas si elle serait là.

Il se promenait sur la plage, lentement, son coeur battait fort, plus fort à chaque pas. Il l'apperçu.
Près du phare, assise sur un rocher, quelques vagues se brisaient à ses pieds, ses cheveux flottaient dans le vent.
Une chaleur dans son coeur l'animait, il s'approcha puis s'assi près d'elle.

Il resta silencieux un moment,na laissa que pour seul fond le bruit des vagues et du vent.
Il la contemplait, elle, dans sa jeune beauté.

Et dans un souffle de sentiment profond qui ne pouvait être que l'amour, il pu lui dire quelques mots.


Je suis heureux de vous revoir, le temps me semble si long sans vous.

A ce moment là il ne pu s'empecher de lui sourire, elle était si belle.
Azarelle..
Garin arriva, silencieux. Il s'assit près d'elle.Il la regarda pris par ses émotions.
Elle tourna la tête vers lui et la déposa sur ses genoux remontés contre elle, un sourire aux lèvres, les yeux brillants.
Gagnée par une intense sensation de bonheur, elle ne sut que dire, les mots lui paraissant superflus.
Quelques instants plus tard, Garin souffla :


Je suis heureux de vous revoir, le temps me semble si long sans vous.

Une douce chaleur monta aux joues d'Aza et elle tendit sa main vers celle du jeune homme.

Vous m'avez manqué.

Elle serra doucement la main chaude et elle eut un sentiment de sécurité. Après un moment d'hésitation, elle se lança :

Venez plus près, il fait si froid.

Elle le connaissait si peu pour ne pas dire pas du tout.
Garin
"Vous m'avez manqué."

A ces mots, Garin ressentit comme un frisson de bonheur, la chaleure de cette douce main fut d'un tendre réconfort, il ne voulait plus la lacher.

Ce qui suivit mena Garin au comble du bonheur. de douces paroles qui allaient lui faire totalement oublier le froid de cette mer glaciale.


"Venez plus près, il fait si froid."


Il sourit, se rapprocha d'elle, la serra contre lui et, profitant de cet instant magique, déposa un doux baiser. Garin était au comble du bonheur, heureux de l'avoir dans ses bras.

Il déposa son front contre le sien et se mit à admirer ses yeux sans dire le moindre mot. Elle était si belle.
Azarelle..
Ils se perdirent un long moment les yeux dans les yeux sans une parole...

Le vent monta et devint vif. La réalité reprit le dessus et Azarelle frissonna, se serra un peu plus contre lui.


Garin, rentrons à ton échoppe.
J'aime la mer, elle me rappelle mon pays, mon enfance...mais l'hiver est là et si ça continue, je ne mourrai pas de blessures mais de pneumonie
.

Elle se mit à rire en le regardant puis sauta sur ses pieds et se mit à courrir avec tout l'enthousiasme de ses 16 ans. Elle se retourna pour lui crier dans le vent

Rattrappe moi si tu peux...

et fila.
Nebiros
Les rayons de soleil pales venaient frapper le mur d'enceinte de la ville dans un halo de lumiere laiteuse. En effet, le voile brumeux de l'hiver commencait a faire son apparition en cette matinée qui s'averait plutot douce etant donné le ciel grisonné d'un tapis de nuages freles. Il observait ce spectacle lent, immobile presque ou seule la brise legere laissait entendre sa voix dans de petits gemissements passagers, le faisant frisonner sous ses haillons de fortune.

Il avait hasardé un long moment dans les méandres des rues pavées de la ville, visitant, cherchant pour un lieu de tranquillité et de serenité qu'il n'avait trouvé qu'au detour de cette fameuse fontaine ou il s'etait retrouvé plongé la veille. Il avait observé l'eau danser de ses remous et autres ondulations qui refletait les murs et toits des chaumieres alentours en d'etranges formes presque indistinctes.

La ville etait des plus calme en ce début de matinée et pour le moment, personne n'etait venu troubler sa demarche qui le menait a present au dehors de l'enceinte, déambulant paisiblement vers ce qui lui semblait etre un phare. A vrai dire, le batiment se trouvant devant lui importait peu, mais cela lui donnait un but provisoire a atteindre.

Souriant legerement, il repensait aux mesaventures qu'il avait vecu la veille et se disait qu'il allait sans doute etre bien en cette belle ville de Bertincourt qui l'avait acceuillit quelques jours plus tot, tout comme ses habitants.

Plongé dans ses pensées, il ariva tout proche du haut batiment circulaire devant lequel il s'assit, les roches legerements humides le faisant frisonner a leur contact alors que ses yeux se perdaient a l'horizon, celui ci se fondant presque imperceptiblement entre ciel et mer. Il semblait qu'il avait pu trouver un lieu tranquille ou il pourrait venir se detendre.
C'est ainsi qu'il resta la, assis, durant un long moment, heureux de cette nouvelle vie qui s'offrait a lui...
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