Ivresse d'océan

--Angyx

Le silence était en train de le blesser, Angyx était-il ; intimidé, traversé par un violent sentiment de peur ? Il devait réagir et vite ! La main qui caressait son visage se figea l'instant de lui murmurer.

Je m'excuse Bonnie, j'ai été maladroit.

Sa main s'effaça peu à peu de la douceur charnelle de son visage et le jeune homme se leva. Ses yeux se mirent à briller en offrant la main à son Amie pour l'aider à se relever. Il savait que sa voix allait se troubler dans les prochaines secondes, et en aucun, il ne souhait qu'elle le remarque, et ce, pour une autre raison que la faiblesse. Il saisit sa main et lui dit :

Allons dire au revoir à Vicky et Param en taverne qui doivent nous attendre et nous pourrons ainsi rejoindre Ade et Tulle pour commencer à marcher.

Il l'aida son Amie à se relever et admira, béat, une dernière fois le coucher de soleil, le gravant ainsi, dans ses souvenirs.
Ils commencèrent à marcher tous deux en direction de la taverne, Angyx ne pouvait plus émettre le moindre son de sa bouche, les tavernes n'étaient pas si loin, il devait de ressaisir rapidement, Vicky ne devait pas le remarquer non plus.

Le jeune homme essayait de penser a tout autre chose, mais rien n'y faisait, il avait rêvé de cet instant depuis si longtemps, a quelques jours près, depuis leur première rencontre. Il ne voulait pas vivre avec le regret de son silence et avait donc ce jour, décidé de le briser ! Avait-il brisé plus que son silence, l'avenir lui, le lui dira.

Tayla

[A la découverte de la mer...]

Ca y est, elle y était près de la mer quelques pas et enfin elle la verrait mais la brunette choisi d’aller en taverne. Elle n’était pas encore prête à la découvrir, Tayla fit connaissance d’une femme agréable qui lui parla de la mer, des grands oiseaux blancs, des coquillages. Elle avait eut du mal à en croire ses oreilles de tout ce qu’elle apprenait.
Quand elle alla rejoindre la chambre au-dessus de la taverne et dormir, Tayla était encore a penser aux propos échangé si bien que son rêve fut peuplé de poisson, de grand oiseaux blanc, de coquillage même si elle voyait pas à quoi cela pouvait ressembler et le tout mélanger avec ses tourments. Le matin la brunette se réveilla en nage et légèrement tremblante de se songe étrange…

Et à présent, elle y était, elle sentait une odeur différente, encore un peu et enfin elle allait voir la mer. Le cœur accélèrent, la main passe sur son ventre par reflexe, les pas la font avancer. C’est les yeux grands ouverts, la bouche ouverte d’étonnement qu’elle continua d’avancer. Tayla regarde autour d’elle émut par la beauté de la mer et du lieu. Elle s’avance près de l’eau, en récupère et la porte à ses lèvres. Elle voulait s’assurer qu’elle était bien salée et une grimace se fit sur son visage…

Poua…

Le revers demain essuie les lèvres puis la brunette commence le jeu des vagues, avançant et reculant et riant quand celle-ci lui lécher les pieds…
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Tayla

[Deuxième jours à la mer...]

Elle était retournée à l’auberge de la mairie retourner sa chambre et s’y reposer un peu. Pendant un bref instant, la brunette avait oublié ses tourments où du moins les avaient mit en veille. Allongé sur la couche, le regard portait au plafond tout lui revenait et la peur qu’il la retrouve encore plus…
Contrairement à lui elle n’avait aucune connaissance pour l’informer s’il se déplacer ou s’il l’avait finalement retrouvé. Vers qui pouvait-elle se tourner ?
La main se pose sur son ventre encore plat mais la vie grandissait, 1 mois maintenant. Elle avait menti au père disant que l’enfant n’était plus, l’avait-il seulement cru ? Arriverait-elle à maintenir de mensonge s’il la retrouve ?...
Et son époux qui espère qu’elle revienne avec ou sans l’enfant, malgré ses paroles rassurante avait-elle le droit de lui imposé sa faute ?...

Sans s’en rendre compte tant elle était plongée dans ses pensées, la voilà de retour sur la plage et devant la mer. Le même regard émerveillé se pose sur l’étendu de l’eau et cette fois Tayla se mit à la recherche de coquillage, le bas de sa robe fut bien vite rempli et naturellement elle se pose sur le sol et admire ses trésors et sélectionne les plus jolie…
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Sylvine

Une fois n'était pas coutume, Sylvine décida de se promener sur la plage avant de se rendre prendre ses fonctions à la taverne.
Elle était quitté plus tôt de sa demeure au moment où les brumes s’effilent.

L'humidité transperçait un peu sa cape. Le silence n'était troublé que par le crissement de charrettes de paysans se rendant au marché et les bonjour des pêcheurs ou des maraîchers.

Le ciel retirait son habit de nuit et pâlissait devant l'astre oranger. Les grands oiseaux blancs prenaient leur envol.
Une paix intérieure l'envahissait.

Elle resserra les pans de sa cape contre elle et admira la naissance du jour.
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Tayla

[Troisième jour à la mer...]

La brunette a bien cru finir la soirée seule en taverne jusqu'à l’arrivé de la tenancière qui vint vite au nouvelle de ses découvertes. Elle devait surement passait pour une enfant émerveillé devant la mère. Mais Tayla ne s’y arrêter pas remerciant intérieurement la présence de la jeune femme et de demander qu’elle découverte elle avait fait.

Et c’est tout naturellement que Tayla lui montra le plus beau des coquillages trouvé dans la journée sur la plage. Et de là est partie une leçon de comment percer un coquillage et le parait d’un ruban pour en faire un bijou. Touché par le cadeau, la brunette en remercia la tavernière et s’appliqua au mieux pour percer le coquillage. Plus d’une fois elle crut qu’elle allait blesser Sylvine qui lui tenait le fameux coquillage mais fort heureusement rien de fâcheux n’arriva. Et c’est avec plaisir que Tayla se para du coquillage et du ruban beige…

La nuit quand à elle fut bien plus calme pour la brunette que la veille et c’est avec le sourire et saluant les passants, qu’elle se rendit à la plage.

Le jour était bien levé et les marins en mer pour leur journée de pêche depuis bien longtemps quand son regard se porte à nouveau sur la mer.
Tayla sourit en reconnaissant la tenancière et s’approche d’elle…

Bonjour Sylvine…
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Sylvine

Bonjour Sylvine…

La jeune femme tourna la tête. Le vent balaya une de ses mèches dans la bouche. D'un geste de la main, elle retira l'importune.
Elle reconnut la voyageuse qui voulait découvrir la mer, elle opina de la tête pour la saluer.

Bonjour Tayla. Déjà en promenade? A la recherche d'autres coquillages?
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Tayla

La brunette sourit et regarde la mer en soupirant tout en l’écoutant.
Oui, déjà en promenade. Comment ne pas l’être en sachant telle beauté à proximité…Non aujourd’hui je part à la chasse aux crabes !
Regard qui se pose aux alentours…
Vous voulez m’accompagner ?
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Sylvine

Oui, déjà en promenade. Comment ne pas l’être en sachant telle beauté à proximité…Non aujourd’hui je part à la chasse aux crabes !
Vous voulez m’accompagner ?

Pour attraper ce genre de bêtes, il vous faut....

La jeune femme regarda autour d'elle et aperçut des roseaux.
Elle sortit sa dague dans sa chausse et alla en couper deux.
Elle revint avec les deux tiges.

Si vous voulez attraper des crabes mieux vaut ne pas y laisser des doigts.
Elle fouilla dans sa besace et trouva un vieux sac de jute.
Si vous voulez je cherche avec vous. Ils adorent s'enfouir dans le sable. Par contre il y a d'autres animaux qui font la même chose.Dessabler avec un roseau évite les mauvaises surprises.
Sinon, on trouvera plus de ces bêtes entre les rochers là-bas.

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Tayla

Pas le temps de dire quoi que ce soit que la voilà parti couper deux roseaux et revenir avec. La main se tend machinalement pour se saisir du roseau tendu et la brunette l’écoute.
Ah oui c’est vrai vous m’aviez mise en garde contre leur pince.
Elles avancent vers les rochers, Tayla attentive au propose de Sylvine.
D’autres animaux ? Mais c’est dangereux ?
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Sylvine

D’autres animaux ? Mais c’est dangereux ?

Sous le sable peuvent se cacher des vives. C'est un poisson dont la piqûre est empoisonnée.

Sur les rochers il faut faire attention aux châtaignes de mer. Il est difficile de retirer les épines. Elles filent sous la peau.

La jeune femme entra dans un trou le roseau et le fit ressortir.
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Tayla

Tayla frissonne de crainte en entendant parler de ses animaux qui glisse sous la peau et avance avec prudence dans le sable. La brunette imite Sylvine avec le roseau et tente d'avancer et de trouver ses fameux crabe...

Alors que le roseau ressort pou la 3fois une petit crabe fat son apparition.
Dame en voilà un!
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Sylvine

Dame en voilà un!

La Brunette sourit. Il lui était si agréable de faire quelque chose de simple.
Elle était heureuse de voir la joie sur le visage de cette jeune femme qui découvrait la mer, milieu si familier à la Bertincourtoise.

Tayla, il me ravit que vous repartiez avec plein de souvenirs en tête. J'espère que ce séjour parmi nous vous donne l'envie de revenir nous voir.

Cette petite matinée avait été des plus agréables à la meunière tavernière. Son âme s'était un peu reposée.
Il était des plaisirs si simples qu'elle les avait presque oubliés.
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Sylvine

Le temps était chargé mais la jeune femme n'avait pu dire non au petit bonhomme de cinq ans.

Ils avaient marché une partie de la matinée le long des falaises. Le garçonnet tenant la bride d'un étalon noir. La bête était étonnamment calme avec ce petit bout d'homme.
La balade avait été silencieuse.

Sylvine regardait souvent les flots ourlés de blanc... Il était quelque part par là. Puis ses prunelles se reportaient sur les cheveux châtains légèrement bouclés qui la précédaient.

Ils étaient arrivés à la longue plage qu'était celle de Bertincourt à marée basse: la tentation fut trop grande pour l'enfant et la bête.

La demande en avait été si bien formulée. Son père ne lui avait-il pas dit aussi qu'il était excellent cavalier malgré son jeune âge. Puis l'enfant resterait ensuite de longues journées sans pouvoir le faire.
Elle fit un mouvement de tête favorable à la requête. L'enfant ne se fit pas dire deuxfois et bondit sur l'encolure avant de partir au galop.

FAITES ATTENTION A NE PAS BLESSER CHEVAL!!! Je vous attends!

Elle serra ses mains contre sa poitrine craignant une éventuelle chute. Elle regarda les silhouettes décroître.
Puis elle s'assit sur un rocher en attendant leur retour.

La brune sentit les doigts froids du vent dans sa chevelure lui arrachant un léger frisson.
Elle resserra son fétu sur ses épaules, croisa les bras et porta son regard vers l'horizon.
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Nahia_

Elle n'a pu résister la vagabonde, et tandis que Loup se prélasse au chaud sous la courtepointe de l'Auberge où ils ont établi leur quartier d'hiver ... elle n'a pas résisté à l'appel du vent et de la mer.

Et bottes à la main, les pieds dans le sable froid, elle affronte les éléments un peu déchainés ce matin. Elle redresse la tête, hume les embruns,pose ses bottes et tend les bras à son amant le vent qu'elle a délaissé depuis quelque temps, au profit d'un amant moins venteux mais bien plus caressant.

Elle contemple le phare qui se dresse au dessus des flots, les vagues qui submergent une large part de la plage, mais elle ne s'approchera pas. ... la vagabonde rebelle a trouvé son maitre en l'élément liquide, et il semble qu'ils ne fassent pas bon ménage tous deux. Pourtant elle ne se lasse pas de regarder l'horizon, même si il est un tantinet brumeux ce matin, de suivre des yeux la bande d'écume qui vient déposer, comme par malice, une frange blanche sur le bout de ses orteils ...

La mer la défie, la lorgne et elle recule d'un pas, ne lui laissant pas l'avantage.

Elle n'a pas froid, le corps et la peau endurcis par tous les temps passés dehors, sur les routes, à coucher n'importe où au gré de sa fantaisie. Mais désormais, elle n'est plus seule et Loup n'est pas prêt à passer les hivers hors d'un lit douillet et d'un bon feu de cheminée, alors elle se prête bien volontiers à son désir ... sans s'avouer forcément qu'elle y a pris goût ! toujours un peu rebelle la sauvageonne .... mais un seul Loup a su dénicher en elle la femme épanouie qu'elle n'a jamais voulu montrer aux autres.

Et son esprit s'échappe vers Imamiah ... Ima ! va t-il donc répondre à ses messages ? Et où est il ce frère qu'elle n'a pas vu depuis longtemps, ce frère jumeau qui lui manque terriblement par moments ? elle sait qu'il voyage, et elle l'a prévenu de leur halte ici à Bertincourt ..... mais son pigeon s'est il perdu en route, s'est il fait avaler par un rapace .... toujours est il qu'elle n'a aucunes nouvelles !

Ses cheveux volent en tous sens, sa peau se couvre de l'humidité des embruns, et elle profite Vehuel, elle profite de ce froid qui entre maintenant en elle, le désirant, l'appelant ... avant de courir dans les bras chauds de Loup qui saura la réchauffer comme il sait si bien le faire.
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Adelais

Elle venait d’apprendre que son ami avait disparue, elle était triste, elle s’en voulait, peut être que si elle l’avait accompagné, peut-être qu’elle aurait dû lui écrire plus souvent, peut être… elle pouvait plus rien faire maintenant c’était trop tard.

Elle marcha sur la plage pour se changer l’idée, pour penser à autre chose, pour l’oublier enfin pas tout à fait juste l’oublier un instant.

Elle trouva un coin a l’abri du vent, des regards, elle s’installa la, à regardait la mer. En pensant à tout ça et fini par s’endormir au bruit des vagues régulières qui l’avaient bercé.
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Ivresse d'océan

Cewenne

Céwenne, erra longuement le long du rivage. Ce coin, elle l'aimait car il l'apaisait et lui faisait voir plus clair.

Elle avait réfléchi longtemps mais ce qui allait arriver devenait inévitable. Elle avait décidé de prendre son courage à deux mains et de le lui dire de vive voix.

C'était fini et rien n'y changerait.

Elle laissa la brise lui effleurer le visage et regarda au loin. A l'horizon, le soleil se couchait laissant une traînée orange dans son sillon.

"Ah ! si seulement tout était aussi simple."

Et elle repartit chez elle plus déterminée que jamais.

Juste_watelse

Il était tard et Martel sortait tout juste de taverne où il venaient de se faire recoudre la jambe. Il y avait également revu Cewenne, lui conseillant de venir se promener ici, prêt du phare.

La mer était calme, Martel sentait une douleur énorme lui envahir la jambe droite à chaque pas dans le sable. Mais malgré cela, il se sentait bien, une douce brise caressant son visage, accompagnée d'une légère odeur d'algue marine... Durant ces longues minutes à marcher sur cette plage en direction de ce beau monument maritime, la vie lui parut paisible et belle... Loin de cette guerre qui faisait rage... Le bruit des armes entrechoquées remplacé par celui du claquement des vague... Le reflet des armures étincelantes au soleil par celui de la mer sous la lune...
Prit dans ses pensées et l'âme poète, il arriva jusqu'au phare et s'assit à côté... La nuit était paisible... si paisible qu'il s'endormit...

Jamais le tavernier ne se rendrait compte qu'il lui manquait un client. Puis la paille de sa couchette n'était elle pas moins confortable que l'herbe et le sable?...

Rubis_jades

Tout son corps tout se crispe ,Elle sombre puis finalement se détend , Elle sait qu'elle est entrain de couler au fond .. profondément .. lentement ... enfin elle le rejoint , enfin ils vont être réunis......
Puis soudain on la tire par le col de sa chemise ,la ramène... ..elle a envie de hurler qu'on la laisse ..Elle voudrait se débattre mais n'en a plus la force .
La chose ou quelqu'un la ramène vers le rivage , elle est trainée , son corps touche le sable ...quelques chose de chaud et humide viens toucher son visage ,suivie d'un hurlement .
Juste avant de s'enfoncer dans les ténèbres ...elle entend des bruits , des cris ... sent des bras qui la soulève ..et le noir.
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Cewenne

29-10

Après cette dure journée de labeur, Céwenne alla à la plage pour se détendre. Le paysage était tout aussi reposant que la dernière fois. Elle prit le petit chemin qui menait au sable fin mais bifurqua avant.

Elle s'assit dans les herbes folles, regarda les voiles lointaines des bateaux qui valsaient lentement sur l'immensité de la mer.

La fraicheur commençait à tomber mais il faisait encore assez chaud pour pouvoir se prélasser.

Sentant la tension de la journée retombée, elle s'allongea afin de mieux profiter de la douce caresse du soleil sur sa peau. Elle était tellement bien qu'elle finit par s'assoupir.

Ermelyne.mailliet

Stella s'était réveillée avant le lever de jour...le coeur en émoi..ses paroles résonnaient encore dans sa tête...elle ne lui avait pas répondu...n'osant y croire...mais comme son coeur avait cogné fort dans sa poitrine..

La brune se décida d'aller à la plage...cela faisait longtemps...qu'elle n'avait pas mis les pieds sur cette plage...et ça lui avait manqué..

La journée promettait d'être belle...Le soleil avait fait son apparition...d'un pas alerte...en chantonnant...elle arrive..la voilà qui respire à pleins poumons...savourant ce moment là...

Stella admire le paysage....les différentes couleurs qu'elle voit...la mer est comme en continu avec le ciel...sur la droite...la forêt avec des arbres qui ont mis leur belle parure d'or...

Elle enlève ses bottes et les pose près d'un rocher..Stella apprécie le sable doux sous ses pieds...et va au bord de l'eau....la mer un peu agitée vient frapper ses jambes...elle jette un oeil à droite et un à gauche...personne aux alentours...soulève sa robe juste au dessus des genoux...et va plus loin...elle tient sa robe et s'amuse en sautant les vagues...

La voilà bien mouillée..en riant..elle va sur le rocher...s'allonge pour se sécher...le soleil darde encore ses rayons sur sa peau ..

Natanael..

Nat était en taverne se matin là à remonter les braies de Jules quand une jeune personne entra toute essoufflée demandant de l'aide à la plage.

Il arriva donc en courant sur les lieux suivant la jeune femme en question et découvrit avec effroi une femme étendue, inanimée sur le sable.

Il se pencha sur le corps écoutant les battements de coeur ou une respiration.

Je n'entends rien, portons la jusqu'au dispensaire.

Il prit la femme dans ses bras et couru au dispensaire.
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Cewenne

C'est avec un certain soulagement que Céwenne entendit Faustine l'appeler. Elle lui répondit aussitôt :

"Viens, vite !! J'ai besoin de ton aide !"

Faustine arriva toute essoufflée et lui tendit une couverture qu'elle avait pris soin d'apporter avec elle. Céwenne s'empressa de l'enrouler autour de Nathy. Puis, elle prit les missives qu'on lui donnait et y jeta un rapide coups d'oeil.

"Je comprends mieux maintenant mais nous n'avons pas une minute à perdre. Son pouls est très faible et je pense que nous n'avons pas le temps de chercher d'autre secours. Il faut que nous nous débrouillons pour l'emmener au dispensaire ; là-bas, ils sauront quoi faire."

Le vent soufflait toujours aussi fort et Céwenne regardant Faustine lui demanda:

"Te sens-tu d'attaque de la porter avec moi en sachant que le vent va nous ralentir ?"

Faustine59

Faustine suiva sa louve en direction de la plage , le coeur serrer par l'angoisse . Elle courait comme jamais . Elle aperçut cewenne de loin .

Cewenneeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee , se passe quoiiiiiiiiiiiiiii?

Elle arriva prés d'elle a bou de soufle . Elle lui tendit la couverture . Son coeur rata un battement quand elle reconnut nathy innanimer sur le sol .

C'est pour sa qu'elle voulais que je la suivit . Le mots s'explique maintenant .

Citation:

Mon amour

Finalement la faucheuse nous aura eu !! Je ne peux vivre sans toi , sans voir ton sourire quand je me leve, sans tes levres se poser sur les miennnes.
Je m'affaibli sans toi , je t'aime trop.

Ton époux , qui t'aura aimé jusqu'a son dernier souffle.

Citation:

Désolée , je ne peux plus
J'ai essayée....

Elle tomba a genou et tendit les de mots qu'elle avait dans la main a cewenne . Elle prit la main de nathy et demanda du regard se qu'il fallait faire .

Cewenne

C'est en rentrant chez elle que Céwenne entendit un hurlement de loup. Il se trouvait tout près en direction de la plage.

"Etrange !!! Depuis que je suis à Bertincourt, c'est bien la première fois que j'entends hurler un loup ainsi. Il se passe quelque chose ; je dois aller voir."

Elle rentra chez elle, prit quelques petits flacons et sortit en courant en direction des hurlements.

C'est toute essoufflée qu'elle arriva à la plage. Elle la scruta d'un bout à l'autre essayant de repérer le loup. Son regard s'arrêta soudain sur le loup qu'elle reconnut aussitôt comme étant Adès, la louve de Faustine mais surtout sur quelque chose qui se trouvait près d'elle.

"Oh ! Miséricorde !"

Céwenne dévala la pente et rejoignit la personne qui se trouvait avec Adès. Elle l'a retourna précautionneusement afin de vérifier s'il elle était toujours en vie. Tout en cherchant le pouls de l'inconnue, qui était inconsciente, elle enleva les cheveux du visage afin de constater si elle respirait quand....

"Ce n'est pas possible ! NATHYY... !"

Le pouls de Nathy était très faible mais elle pouvait le sentir palpiter sous sa main. Puis tout doucement elle lui dit :

"Ca va aller, Nathy, je suis là ! Je m'occupe de toi !"

Puis, elle se retourna vers Adès.

"C'est bien ma belle. Va chercher Faustine, s'il te plait, j'ai besoin d'elle"

Il ne faisait pas très chaud et le vent était plutôt fort. Du coups, Céwenne retira son châle et le posa sur Nathy. Malheureusement, elle savait que cela ne suffira pas longtemps. Ensuite, elle la prit dans ses bras pour essayer de la réchauffer du mieux qu'elle pouvait. D'une main, elle fouilla dans sa poche et en sortit un flacon de sels. Elle le passa plusieurs fois sous le nez de Nathy afin de la faire revenir des Abîmes où elle s'était enfoncée.

"Nathy ! Reviens parmi nous !"

Céwenne avait l'impression que cela faisait une éternité que la louve était partie chercher de l'aide. Mais cela n'était que le fruit de son imagination car elle avait très peur de perte son amie.

Jetant de des coups d'oeil de temps en temps, elle attendit les secours.

Adesse

ades était en train se reposer au soleil . Quand elle entendit du bruit de pas foulé le sol . Elle leva le museau et reconnait nathy . Elle la regarde avansser puis allait dans l'eau . Elle se demande se qui se passe .

Elle se baigne habiller . Penssa la louve . Étrange .

Elle desida de se lever et d'allait voir de plus prés . Les seconde s'ecoule . La louve n'aime pas l'eau et encore moins l'eau salé . Mais s'en hésiter elle plonge dans l'eau a la recherche de nathy .

Elle finit par la retrouver et la ramène non sans mal sur la plage . Elle lui donne des coups de langue et de museau pour la faire réagir mais rien ne passe . Elle fit la dernière chose qu'elle pouvais et hurla a la mort , espérant que quelqu'un vienne l'aider

waouuuuuuuuuuuuuuuuuuufffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff

Adesse

ades la louve au poil gris foncé . Vient faire un tour prés du bord de l'eau . Elle regarde si elle voit des être humain . N'en voyant pas elle dessida donc de s'allonger et de profiter du soleil pour se dorer la pilule . Ce n'est pas que les humain la déranger mais elle s'en méfiait . Elle venait de se regaller en mangeant un gros lapin et une sieste s'imposer ........

Rubis_jades

Elle s'avance , le visage pale , elle ne peut plus lutter , elle n'en a plus le courage ...Elle vois bien que son cœur ne suis plus , qu'il ralenti ..
Elle ôte une botte ..puis la seconde..continue de marcher face a elle , elle sait qu'elle la réclame depuis le début .
Elle est fraiche .. elle avance la sent contre sa cheville , ses mollets , la jupe viens a la coller pourtant elle continue d'avancer , elle monte a hauteur des genoux..Ces cuisses , elle a du mal a avancer , la faiblesse la prend ..la saisie ..maintenant elle a l'eau a hauteur du ventre..de la poitrine.
Elle n'a même pas peur , elle ne réagit pas a ce qu'elle fait.
Elle tend une main devant elle , un sourire viens éclairer son visage, dans son esprit embrumé elle caresse sa joue , passe Sa main se referme sur la sienne , l'eau arrive sur sa bouche ,elle est si salée , elle prononcera juste son nom et quelques mots
Nathan , je t'aime...
Elle se laisse emporter par les vagues , sans faire de bruits , sans se débattre..

Cewenne

Bien des jours avaient passés depuis sa dernière venue. Céwenne n'en avait pas eu le temps. Mais aujourd'hui, elle avait besoin de se retrouver seule avec elle-même.

Après avoir retirer ses chausses et ses bas, elle avança jusqu'au bord de la mer. Elle releva légèrement sa jupe pour ne pas la mouiller et fit deux pas dans l'eau. Le contact frais de la mer lui donnait des frissons et lui procurait un bien être interne comme un soulagement. La brise faisait virevolter ses cheveux et effleurait doucement son visage. Pour mieux s'imprégner de ce moment, elle ferma les yeux.

Entendant du bruit, elle rouvrit les yeux et se retourna. Un peu plus loin, elle vit Grispoil, son chat qui avait dû la suivre, jouer avec les herbes folles qui poussaient le long de la plage. Elle alla le rejoindre, s'assit près de lui et rigole en le voyant.

"Tu as de drôle de jeux Grispoil. Allez viens !!"

Oreilles baissées et tapis dans les hautes herbes, il bondit sur les genoux de Céwenne, se coucha et se mit à ronronner. Le caressant doucement, elle lui dit :

"Tu vois Grispoil, ici, c'est mon havre de paix !! Je viens m'y ressourcer. Toutes mes tensions s'envolent en fumée et je peux rêver. Oh !! Regarde comme c'est beau."

Durant ce temps, le ciel avait pris une couleur orangé. Le jour tombait et un magnifique couché de soleil était apparu à l'horizon.

Après ce beau spectacle, Céwenne pris doucement son chat et le posa à terre. Elle se releva, se rechaussa et pris le chemin qui menait à sa maisonnette.

Cewenne

Après avoir rentrée sa vache car le temps ne laissait rien présager de bon, Céwenne prit le chemin qui menait au phare. Il était visible de chez elle ; la mairie lui ayant octroyé une maisonnette au bord de la mer à la sortie du village.

La veille au soir avant été terrible pour elle et la nuit pas mieux, elle ne dormit presque pas. Elle s'en voulait. Jamais auparavant elle n'avait souffrir quelqu'un. Comment en était-elle arrivée là ? Ce n'était pourtant pas son genre de colporter des ragots. Maintenant qu'elle avait eu l'information, elle s'en voulait encore plus.

"Plus jamais je n'oserai aller à la taverne maintenant. Je ne pourrai pas affronter son regard plein de reproches".

Arrivée au pied du phare et voulant être seule, elle descendit vers une petite cavité qu'avait creusée naturellement, au fil du temps, la mer. Seule avec ça propre bêtise pour pouvoir méditer.

"Peut être devrais-je repartir ? Mais je suis tellement bien ici. J'ai des amis hors du commun. Ma vie se construit, ici. Qu'aurais-je à gagner si je repartais ?"

Ce paysage la réconfortait, lui pansait ses plaies. Non, elle ne partirait pas et affronterait la tête haute les critiques. Et puis, il était là aussi celui qui faisait battre son coeur. Il ne le savait pas bien sûr, personne ne le savait. Elle savait cacher ses sentiments. Peut être trop d'ailleurs.

Cette pensée lui arracha un sourire. Tout allait s'arranger, il fallait y croire.

Le vent fouetta son visage et la pluie commença à tomber. Il était tant de rentrer...

Cyrianna

Cyrianna vit que bien trop tard la dame qui quittait déjà l'endroit, et se demandait si elle avait de quoi qui faisait fuir les gens pour que personne ne lui adresse la parole ainsi... même en taverne peu lui avait adresser la parole et pire, certains avait quitter pour aller dans une autre taverne.. J et les autres commençait à lui manquer... mais elle essaya de garder son sourire, après tout elle était ici pour sa vocation, celle de servir le très haut. Elle avait reçu des missives de l’Angleterre et du sud de la France. Elle regarda donc les sceaux des missives de l’Angleterre quand elle cru reconnaitre le sceaux, et puis non... cela ne pouvais être le roi déjà qui répondait à sa demande... elle ouvrit donc le sceau et lut rapidement. Ses yeux brillait de plus en plus pendant la lecture. Son vieux confrère du bureau épiscopale de l'Angleterre, de l'écosse et l'Irlande était devenu Roi en son absence... elle avait due lui écrire et voilà.

- My goodness, je n'aurais pu espéré mieux comme réponse! Je devrai pensée à renouveler mes vœux plus souvent!

Petit rire moqueur et emplis de joie tout en même temps, Cyrianna se leva d'un bon et approcha de l'eau. Dans l'espoir de pouvoir partager son bonheur, elle regarda partout pour voir si elle ne pourrait pas faire de nouvelles connaissances.
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Cewenne

Après s'être rendue à la Sénéchaussée, Céwenne décida d'aller faire une tour à la plage afin de calmer son coeur qui battait à la chamade.

Depuis son arrivée, elle n'avait pas encore eu l'occasion de voir la mer de près ; elle n'en n'avait pas eu le temps. Mais aujourd'hui, n'était pas un jour comme les autres. Elle allait enfin avoir un chez elle et allait pouvoir élever des bovins.

Arrivée sur la côte, elle regarda tout d'abord, la mer. Même si elle en avait déjà entendu parler, la voir en vrai n'avait rien à voir avec ce qu'elle avait pu imaginer. La mer n'avait pas de fin. D'une couleur bleuâtre, elle était très calme. Les légères vagues léchaient doucement le sable fin. Le sable, d'un jaunâtre doucereux luisait par ci par là au reflet du soleil. Une légère brise, lui effleura le visage faisant virvolter ses longs cheveux. Elle ferma les yeux pour mieux s'imprégner de cette douceur. Un peu plus loin se trouvait le phare, haute bâtisse qui regardait la mer droit dans les yeux

"La montagne est belle mais la mer aussi. Tellement différent l'un de l'autre mais un point commun tout de même : l'apaisement."

Elle respira à fond et à ce moment là, elle pensa à son père et ses frères, très loin d'elle et se promit de les faire venir un jour afin de leur faire découvrir cette petite merveille.

En poursuivant son chemin, Céwenne vit une Damoiselle assise au pied d'un arbre, un sourire aux lèvres. Ne voulant pas la déranger dans son recueillement, elle passa doucement près d'elle et poursuivit sa route...

Cyrianna

Cela faisait déjà plusieurs mois qu'elle habitait chez la Vicomtesse Ombeline et restait plutôt discrète. Mais ce n,était pas en elle de rester ainsi, inactive et secrète. Sa retraite lui pesait énormément, oui, elle avait prise sa retraite de son poste d'archevêque et voilà que maintenant, elle ne faisait plus grand chose et s'ennuyait. Elle vint vers la plage en espérant croiser des gens et qui sait, peut être se trouver des amis ici en France.

Solitaire elle était dans ses pensée en arrivant.

- My goodness, ce paysage est simplement magnifique, j'aurais du venir ici bien plus tôt!

Elle s'assoya sous un arbre, qui lui donnait le couvert de son ombre. Cyrianna était souriante, assise ainsi en observant le paysage de son nouveau chez soi.
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--Lasilhouette.

Il est surpris de la trouver ici , décidément ils se rencontrent souvent que cela sois dans les rues du village, en taverne autour d'une chope de cervoise de Tastevin.
Il ne veut pas se faire voir d'elle , pas en ce moment , pas maintenant , il comprend qu'elle a besoin surement de prendre sur elle , Il la regarde , décidément , c'est tout un mélange de force , de fragilité en elle.
Il sursaute en l'entendant crier ... le lieu ou elle se trouve , le nom qu'elle hurle , il comprend qu'elle revit encore ce naufrage..
Il aimerait s'approcher , passer ses bras autour de ses épaules , lui essuyer les larmes qui coulent le long de ces joues et la soutenir , mais il ne peut que rester sans bouger a la regarder a la dérobé
Alors sans faire de bruit il repart a contre coeur

Rubis_jades

Nathy s'avance craintivement , ôte ces bottes , faut dire qu'actuellement c'est son plus précieux bien , et elle y tient comme a la prunelle de ses yeux...
Elle a était touchée du cadeau , elle ne s'attendait pas, qu'on lui offre sans rien attendre en retour ainsi , Elle est émue plus qu'elle ne le voudrait..
Elle continue a marcher, ses pieds s'enfonce dans le sable ..Elle se souvient d'une autre plage , d'un port , Elle revoit le bateau... le nom elle préfère l'oublier , ne plus y penser , son regard se voile , elle le porte au delà de cette étendue d'eau d'un bleu profond , revois comme si c'etait hier la mer déchainée....Les vagues si hautes.

Elle ré entend Nathan hurler "Nat tiens le gouvernail , le lâche pas"

Il fait beau et pourtant , elle ne peut s'empêcher d'avoir froid , elle est des semaines , voir des mois en arrière , elle est sur ce bateau , la tempête qui se déchaine , tout échappe a leurs contrôle ,

le bateau est pris en plein dedans , ils arrivent plus a marcher , les secousses les projètes d'un côté et de l'autre, se cognant aux parois du bateau , s'accrochant aux rampes...Elle entend encore les vague taper contre le bateau

Se bouche les oreilles , elle est en pleine mer méditerranée l'arrière est soulevé par les vagues. Le le bateau qui tangue ,elle a l'impression encore de l'entendre se briser de tous les côtés. 'Comme si tout cela recommençaient .Elle murmure tout bas

Mais quand est ce que ça ne va s'arrêter ....

sans s'en rendre compte elle hurle son nom

Nathannnnnnnnnn aide moi ...

Et elle est a mille lieu , plus sur cette plage en securité mais dans cette mer agité , a nouveau le noir qui se fait , elle s'en qu'on la soutien , qu'on lui parle , elle reviens a elle

Nathy résiste , on va s'en sortir , Elle nous aura pas , on l'aura , et on se mariera , je te le jure , mais tu dois vivre pour ca ....

Elle est allongé sur une planche , puis une autre vague plus forte , plus haute et a nouveau le noir, au petit matin elle se trouve sur une plage .

Elle ne sait pas ou elle est jusqu'à ce qu'on l'aide , la conduise dans le village , lui mettant une couverture pour protéger sa pudeur du regard des badauds...

Elle reprend ses esprits , les joues baignées de larmes , grelotante , elle reste ainsi , attendant que tout redevienne normal ..Regarde ses bottes et ...se dit

Demain est un autre jour.....
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Grunen

Grunen était sur la plage depuis un long moment quand il vit arriver Allice sur Tapecul. La mer lui avait manqué durant ces longs mois de voyage à l'intérieur des terres. L'appel de la mer, de la liberté était trop fort. Il allait échapper à la guerre généralisée sur terre. Un dernier petit voyage pour Dieppe et il reprendrait l'Odalisque avec le duo qui avait toujours du mal à se comprendre sur cette plage.
Grunen suivait des yeux la cavalière et sa monture. Tapecul reprenait de la vigueur sur la plage. Il était plus dynamique qu'avec son propriétaire. Allice ne semblait pas diriger la manoeuvre et donnait l'impression de ne pas contrôler du tout le cheval capricieux.
Comme plusieurs mois auparavant, le résultat fut identique : Allice fut désarçonnée sous le regard rieur de Tapecul.
Grunen s'inquiéta dans un premier temps pour la santé de celle qu'il aimait puis il sourit franchement quand il vit que la belle n'avait pas de mal.

Il attendit un moment avant de se lever et d'aller la rejoindre en appelant Tapecul. Grunen aida Allice à se relever et la serra contre lui.

Allez, mon coeur, j'ai le laisser-passer pour gagner Dieppe. On va pouvoir poursuivre notre route. Tu sais, il va falloir que tu aies une explication avec Tapecul pour lui dire que c'est toi qui doit diriger et non lui...

Grunen éclata de rire puis embrassa Allice en l'entrainant hors de la plage.

Allice

Une plage, LA plage!!!...du sable, LE sable...rien autour...toujours...
Un cheval...du vent...Un désir fou...
Un bonheur à exprimer...
Une course...Un emballement...Une chute...

Naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannnnnnn!!!
Tapecul!!!!!!!!!!
reviiiiiiens!!!!!!!!!!!!!
Maiiiiiiiiiiiiis c'est pas vraiiiiiiiiiiiiii!!!

Les vagues...fraiches...
Mouillée...Réveillée... taper des mains dans l'eau...

rire......

Chaque fois qu'elle vient ici, décidément, Tapecul s'emballe et la jette à la mer!!!
elle a déjà vécue cette scène, elle aime cette scène, elle rit encore

Une pensée...

Grunen...je t'aime...

Au loin, Tapecul...apaisé...de l'herbe toujours verte...

Se reposer du voyage... Se laisser bercer par les vagues...

Vivre maintenant tout simplement...

Allice s'allonge face au ciel gris bleu...
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Olympe

Olympe ventre bien rebondit arriva sur la plage et rejoignit son fillot qui faisait les cents pas.

ah pour une fois tu arrives pas trop en retard!!

le regarde tout sourire

bon allez on va commencer l'entrainement, tu vas lever tes braies comme si tu partais à la pêche aux moules et on va marcher dans l'eau.. enfin toi surtout et à contre courant

lui fait signe de commencer à marcher dans l'eau

je reste près de toi et tu t'appuie sur mon épaule
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Jack_oliver

Luca arrivait en courant au phare, vachement en retard pour le rendez-vous que lui avait fixé sa marraine, il espérait qu'il n'était pas trop tard, qu'elle n'était pas partie... Il l'attendit, assis non loin du phare...

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Frère de Macaron - Fillot d'Olympe

Damefrenegonde

Bien des mois s'étaient écoulés depuis que Frénégonde avait posé ses poulaines sur le sol Bertincourtois. Une visite de courtoisie qui s'était transformée en un séjour prolongé ponctué de surprises et d'évènements. Étrangère à sa ville, la Péronnaise avait trouvé refuge dans cette ville ô combien charmante et accueillante. Des amitiés solides et inébranlables avaient vu le jour, ainsi qu'un amour improbable entre une noble et un charpentier...
La vie s'écoulait, douce et paisible, au creux de bras puissants et protecteurs, au contact de personnes adorables et souriantes. La rousse ne semblait plus vouloir quitter cet endroit devenu si cher à son cœur.

En cette journée de forte chaleur, Frénégonde après quelques heures de sommeil, décida de se rendre sur la plage de Bertincourt afin de profiter d'un peu de fraîcheur. Depuis son arrivée elle n'avait jamais pris le temps d'admirer le lieu et voulut y remédier.
Paisiblement, elle arpenta les ruelles bien désertes en cette heure chaude de la journée et se dirigea vers le phare. Un sourire se dessina sur ses lèvres ourlées lorsqu'elle aperçut l'imposant monument trônant fièrement sur une eau calme et sombre. La jeune femme connaissait la mer, originaire de Provence elle avait été à son contact durant toute son enfance. Mais elle fut légèrement surprise en remarquant que celle-ci ne ressemblait en rien à celle de chez elle. L'eau était chargée d'embruns et la couleur oscillait entre le bleu foncé et le vert profond, loin des couleurs limpides et pures de la Méditerranée, qui étincelaient sous le soleil franc des jours d'été. Pourtant ce paysage bien différent lui rappela son pays natal.

Guettant les alentours et rassurée d'être bien seule, Frénégonde remonta aux genoux sa houppelande et fit un nœud pour la tenir serrée. Elle ôta alors ses poulaines et enfonça ses pieds dans le sable brûlant. Le contact lui arracha une grimace bien vite dissipée par le bien-être ressenti. La brise salée, chargée d'iode et d'embruns vint titiller ses narines et s'engouffra délicatement dans sa chevelure cuivrée lui apportant une fraîcheur plus qu'appréciable. Immobile, un fin sourire étirant ses lèvres, la jeune Péronnaise ferma les yeux et écouta avec enchantement et apaisement le clapotis des vagues qui venaient mourir sur les rochers. Un sentiment profond de liberté s'empara d'elle et toutes les tensions accumulées depuis bien des jours disparurent enfin. Elle ouvrit les yeux après de longues minutes de méditation et admira l'étendue bleue, immense et profonde. Un monde inconnu, un lieu enchanté qui l'attirait irrésistiblement. Revigorée par cet échange avec la nature qu'elle affectionnait tant, la rousse se mit à marcher près de l'eau, laissant l'écume des vagues chatouiller ses pieds menus et traçant dans le sable humide sa traversée...

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Erinne

-Pourquoi pas, mais la mer doit être froide, il va falloir trouver quelque chose pour se réchauffer.

Son sourire s'agrandit. Elle le regarda faire, ses vêtements ne mirent pas longtemps à disparaitre dévoilant son corps magnifique. Elle l'admira les yeux brillants.Il etait vraiment très bel homme, elle s'extasiât devant ses muscles bien découpé, il respirait la force et la douceur, il était son havre de paix. Il avait su calmé ses peines et apaiser sa douleur. Elle l'aimait plus que tout: c'était son homme! Il la tira de sa rêverie:

-Alors on y va ou non ?

En quelque pas il fut dans l'eau ou il plongea. Elle ôta ses bottes,ses vêtements rejoignirent vite fait ceux de son homme. elle s'étira alors, déliant ses muscles, le clair de lune illuminant sa peau pale lui donnant de doux reflets argentés. Ses yeux reflétait le ciel de cette douce nuit, des étoiles y brillaient de mille feux sur un fond bleu foncé.

Elle s'approchât et entra dans l'eau, la froideur de celle ci la saisi et elle frissonna mais continua d'avancer, elle avait l'habitude des eaux froides. En quelque enjambé elle le rejoignit, le dépassa et plongea à son tour, pour ressortir un peu plus loin. Elle revint alors vers lui et soudain lui lança de l'eau. Sans attendre son reste elle partit en courant, jetant un œil derrière elle pour voir ou il était....

Amanon

Ils étaient là tout deux, profitant de ce moment de calme et de paix qu'ils chérissaient temps. La mer était calme, provocant parfois de doux remoux qui au fur et à mesure de la marée grimpante venaient leur lécher les pieds. Elle se retourna vers lui, son sourire s'illuminant sur son visage, ce genre de sourire dont elle avait le secret et elle le savait, présageait de belles promesses d'une nuit qui n'était pas fini. Il ne put pas bien résister longtemps à sa proposition. Il lui rendit un charmant sourire lui répondant.

-Pourquoi pas, mais la mer doit être froide, il va falloir trouver quelque chose pour se réchauffer.

Une phrase anodine mais qui invitait à beaucoup de choses où seule l'imagination de ces deux tourteraux seraient limitantes. Il se leva alors, commençant à se déshabiller sans pudeur sous les yeux brillant de gourmandise de sa femme qui n'en perdait pas une miette. Il lui sourit malicieux.

-Alors on y va ou non ?

Il éclata d'un rire clair rompant le silence de la nuit, puis couru sur le sable chaud et doux en direction de la mer, finissant sa course d'un plongeon gracieux. Son corps était entièrement trempée, il passa une main dans ses cheveux remettant sa coiffure en place qui lui genait les yeux, observant sa chérie.

Amanon

Il avait réussi à se libérer plus tôt pour une fois, dans le seul et unique but de retrouver celle qui faisait battre son coeur. Il se sentait jamais très bien lorsqu'il la quittait un peu trop longtemps, se trouvant vide lorsqu'elle n'était pas à ses cotés.
La soirée débuta tranquillement, fut quelques peu mouvementés mais après des retrouvailles en tête à tête, les choses se sont arrangés et bien plus encore.
Cette soirée leur avait fait du bien à ces deux tourteraux, ces deux êtres qui se cherchent sans répit n'ayant qu'un seul but, de se retrouver et ne plus jamais se quitter.

Il la porta dans ses bras l'amenant au bord de la mer, ses pas foulant le sable doux et encore tiède, trâce d'une journée ensoleillée et chaude. Il ne la quittait pas des yeux un seul instant, profitant de chaque instant pour savourer sa présence. Il s'installa enfin s'asseyant sur le séant, sa douce entre ses jambes, l'enlaçant par la taille, tout deux face à la mer qui s'agitait au gré des marées, posant sa tête sur son épaule. Ne souhaitant qu'une seule chose que ce moment soit éternel.

Erinne

Cette soirée en taverne avait été un peu agitée, mais les choses avaient reprit leur cour et comme d'habitude il l'avait comblé. Elle l'aimait comme jamais elle n'avait aimé. Il avait décidé de la surprendre se soir et l'avait emporter dans ses bras, prenant le chemin de la plage.

La nuit était tombé, la lune illuminait de sa douce clarté la plage déserte. Il l'avait posé sur le sable chaud et la serrait dans ses bras, sa douce chaleur la réchauffant. Il avait posé sa tête sur son épaule, lui permettant de lui murmurer de doux mots d'amour. Elle savourait sa présence, bénissant chaque instant avec lui.

La lune gravissait le ciel étoilé, la mer s'avançait plus prés d'eux à chaque vagues qui venaient s'échouer sous l'effet de la marée, tout était paisible et merveilleux. Un délicieux instant rien qu'a eux sans rien ni personnes. Elle se laissait gagner par la quiétude, son corps se détendait à son contact, il lui communiquait son calme, son amour.....

Un coup d'œil à la lune, un sourire naquit sur ses lèvres, un sourire mutin comme elle savait si bien les faire. Elle le regarda .

- Un bain sa te dirait mon ange?

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Jolicoeur

Jolicoeur décida d'aller prendre l'air sur la plage. Depuis son arrivée à Bertincourt, la blonde était à peine sortie de son auberge et le manque de mouvement commençait à se faire sentir. C'est ainsi, qu'elle se dirigea vers l'immensité de la mer. Le bleu de celleci la facinait. Influence de ses yeux bleus, pareil à l'eau qui s'étendait à ses pieds? Elle n'en savait trop rien.

Simplement, Jolicoeur se limita à regarder, laissant son esprit se vider des pensées qui la poursuivaient comme un fantome, lui rappelant à chaque instant son insignifiance. Elle secoua ses boucles blonde, et s'assit sur le sable, en tailleur, laissant le vent jouer avec ses cheveux d'un blond cendré et fermant les yeux pour mieux profiter de cet instant paisible.

C'était la première fois depuis son départ en cachette de Anvers, qu'elle se sentait enfin en paix. La blonde poussa un profond soupire, respirant l'odeur à sel de la mer. Une mouette cria, cassant le bruit des vagues qui venaient s'ecraser doucement sur la rive, l'eclaboussant quand celleci venait avec un peu plus de force qu'une autre.

Un rire s'echappa de ses lèvres quand une grosse goute vint droit dans ses yeux. Jolicoeur se nettoya le visage d'un revers de main, et se remit à regarder la mer devant elle.
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Xhena

Xhena regarda autour d'elle ne sachant plus ou elle était!!

Elle regarda se visage penchée au dessus d'elle!!!

Je ...suis.....ou....

Un ange.........je suis.....au paradis???

Xhena caressa son visage pour la touchée!!!

ohhhhhhhh..mais non vous n'êtes pas un ange!!!!

vous m'avez sauvée!!!!

Merci..Merciiiiiiiiiii.....
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Ewylan

Je ...suis.....ou....

Un ange.........je suis.....au paradis???

Ewy s'inquité de l'état de la Dame. Un Ange ???? Elle ??? Elle ne put s'empêcher de prononcer une petite pointe d'humour. Qui n'en était pas vraiment, d'ailleurs...

Désolée de vous contredire, mais je ne suis pas un ange, plutot un démon. Et hum... vous êtes à Berti, Bertincourt. Sur sa plage, pour être précis.

Ewy sourit en sentant le tatonnement de Xhena sur sa joue, sourit plus encore, rassurée que Xhena comprenne.

ohhhhhhhh..mais non vous n'êtes pas un ange!!!!

vous m'avez sauvée!!!!

Merci..Merciiiiiiiiiii.....

Vous avez eu de la chance que je me sois endormie là et que mon sommeil ne fut pas très profond, que mon rêve soit pas très accueillant... Vous avez eu de la chance que la mer ne soit pas bien agitée, aujourd'hui. Vous auriez pu être loin... M'enfin, de rien.

Bon, maintenant que c'était passé, mieux valait oublier et aller de l'avant...

Vous allez savoir rentrer au village ?

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Xhena

Xhena venait de quittée son frère et son épouse!

elle se dirigea vers la plage le coeur lourd tout ces endroits que sa soeur Hilde lui avait écrit la faisait souffrir au plus profond de son âme,!

elle regarda cette grande étendue d'eau et avanca doucement laissant l'eau lui caressée le corps!

elle ressentée un bien être tout en avancant!

soudain elle perdu pied et glissa au fond de l'eau!

elle remonta en se débattant sortant la tête hors de l'eau en hurlant!!!!

Au secourssssss

à l'aideeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
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Ewylan

Ewy était fendue dans ses cauchemars. Adossée contre la falaise, elle avait fini par s'affaisser en gémissant. Un cri, lointain, retentit dans son songe, la sortant petit à petite de sa torpeur.
Le front perlé de sueur, ouvrant difficilement les yeux, la jeune femme se demanda combien de temps elle avait bien pu rester inconsciente...

Au secourssssss

à l'aideeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Ewy sursauta. Le cri retentissant dans son rêve était un cri provenant de la réalité. La jeune femme n'avait pas fait la différence, au départ, à présent si ! Elle se leva, cherchant du regard d'où provenait le hurlement. C'est au loin, et dans l'eau, qu'Ewy trouva une petite, très discrète, tâche sombre et des bras gesticulants au-dessus. Ne prenant pas plus le risque de voir une personne coulée devant son nez, Ewy se mit aussitôt à courir, sentant à la fois sa terrible migraine reprendre le dessus...
Elle n'en eut cure et alla dans l'eau, se mettant à nager une fois qu'elle n'eut plus pied... Elle sentait une nouvelle force en elle, et la jeune femme mettait cela sur le compte de l'adrénaline. Pourtant, elle savait se mentir en pensant cela... Bref, ni une ni deux, elle attrappa le corps de la jeune femme, puisque c'en était une, en train de se noyer. Ewy s'allongea sur le dos, plaça la femme sur elle en faisant attention de maintenir sa tête hors de l'eau et la tira enfin jusqu'à la plage. Ewy se sentait perdre de pied, ses yeux devenaient rouges à nouveau...

Ah non !! Ca va pas recommencer... cracha-t-elle entre ses deux.

Elle finit par sentir le sable sous elle, se mit debout et tira la pauvre femme loin de l'eau.
Ensuite, Ewy s'assura qu'elle respirait toujours et la voyant éveillée, elle soupira, rassurée. Attendant un peu, elle se rappela son rpopre sauvetage. C'était elle à la place de la dame, et Moineau l'avait sauvé d'une noyade suicidaire... Mmmh...

Ca va mieux ?

Question débile, mais c'était légèrement mieux que, "Bonjour, vous allez bien ?"

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Ewylan

La jeune femme venait de quitter la taverne, courant vers la plage en aveugle, les larmes aux yeux.

Ce n'est qu'une fois bien éloignée de la ville qu'elle glissa et tomba, les grains de sable écorchant vif sa peau sans couleur, sans vie. Elle n'en eut cure. Elle ne ressentait pas cette blessure physique... Pourtant, les larmes coulaient sur ses joues comme l'eau jailli d'une fontaine, d'une cascade. Douleur. Son coeur était douleur, son cerveau était migraine. Une effroyable migraine insatiable.

C'est là, allongée sur le ventre et sur le sable tiède, le front posé sur ses avant-bras qu'elle pleura de ton son saoul. Douleur... Le mot était faible pour caractérisé cet instant, mais seul lui venait à l'esprit d'Ewy... Comme en écho, une bruine tomba, la mer s'agita, trempant la jeune femme jusqu'aux os sans qu'elle s'en aperçoive. Elle pleurait. Elle avait mal.

Il voulait partir ? Ce serait elle qui partirait, s'il le fallait... Un jour, deux jours, pas longtemps, juste le coup de refaire ses forces et de retrouver un semblant de sourire. De toute façon, ses deux retraites arrivaient à grands pas. Elle ne le lui avait pas encore annoncer... Mais il se fichait tellement d'elle, maintenant... Un nouveau flot de larmes coula sur ses joues pâles... Elle puisa en elle pour trouver la force de se relever. Son avant-bras gauche perlait de rouge, une petite douleur accompagnant ce tableau banal. Tombant et retombant sans force, elle se traîna tant bien que mal vers les falaises et s'y adossa. Douleur. Les yeux bleux de la jeune femme, si beau auparavant, s'injecter de rouge. Ou était-ce leur véritable couleur ??

Le visage tourné vers la mer et son horizon, elle fut choquée de voir tout Noir. Et tout Rouge simultanément. Tremblante comme une feuille par le froid de la bruine devenue pluie dense, elle s'endormit là. Ne se réveilla pas.

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Grunen

Sur le chemin de la plage, Grunen entendit qu'on appelait son cheval. Qui donc pouvait bien s'intéresser à cette rosse à part Allice peut-être ?
Il prit son temps car il savait que Tapecul n'était pas un cheval de course, bien au contraire !

Il arriva en haut d'une petite bosse et eut une vue sur le drame. Pas très loin de lui, tranquillement, Tapecul mangeait de l'herbe comme si de rien n'était.
Plus loin, il vit une forme se relever en pestant puis courir en s'éclaboussant dans l'eau.

Il sourit en s'asseyant et continua à regarder cette forme goûter à nouveau à la vie, un sourire aux lèvres. L'air frais de la mer lui caressait le visage avec délice et lui faisait prendre conscience que, lui aussi, il reprenait goût à la vie...

Allice

Rire dans les vagues...jouer...plonger...
Un souffle...le vent...la douceur du vent dans son cou.

Allice se retourne et aperçoit Grunen.

Emportée par sa joie elle sort de l'eau et court vers lui...

Grunen viiiiiiiiiens!!!! Il fait si chaud...
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Grunen

Grunen se leva en riant après avoir entendu Allice qui l'appelait. Il la laissa venir à lui et la rejoignit juste au pied de la petite bosse.
Il la réceptionna dans ses bras et fit quelques rotations en liant leurs bouches. Elle était mouillée et il profitait ainsi de sa fraîcheur tout en la regardant avec tendresse.
Il finit par la reposer au sol et lui prit la main en la retenant.

On doit partir, ne l'oublie pas. On trouvera d'autres endroits pour s'amuser

Allice

Tourne et tourne et tourbillonne sur ses lèvres...

Partir...déjà...

tu as raison, partons à l'aventure...

Allice prend sa main et la serre tendrement...

Tapecul est là goguenard...
Allice s'installe aidée de Grunen
N'osant plus trop bouger elle s'accroche et l'équipage part en trottinant, guidé par les anges...
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Allice

Une plage...du sable...rien autour...
Un cheval...du vent...Un désir fou...
Une course...Un emballement...Une chute...

Naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannnnnnn!!!
Tapecul!!!!!!!!!!
reviiiiiiens, je vais me faire tuer!!!!!!!!!!!!!

Les vagues...fraiches...
Mouillée...Réveillée...

Aïe!!!

Une pensée...
Grunen...je suis désolée...

Au loin, le cheval...apaisé...de l'herbe encore verte...

Il fait si chaud tout à coup...

Courrir dans l'eau...s'éclabousser...se rafraichir...

Revivre enfin...
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Ombeline

Quand elle rouvrit les yeux, il faisait déjà nuit. Elle se releva doucement, observa cette immense étendue d'eau scintillante sous les halos de la lune et des étoiles se reflétant dedans. L'atmosphère était calme et sereine. Une brise s’était levée, les vagues s'écrasaient régulièrement, laissant l'écume sur le sable. Elle se laissa une fois de plus imprégner et bercer par les senteurs iodées de la mer, le cri des mouettes, le roulement des vagues venant mourir sur la plage ... Sans s'en rendre compte, ses pas la guidèrent de nouveau auprès de l'eau. Cette dernière lui léchait les chevilles puis les genoux.

Jupons et jupe relevés à mi-cuisse, elle joua un moment avec les vaguelettes … Elle s'amusait a sauter dans les flaques que les vagues laissaient dans le sable. Prise, petit à petit par le jeu, elle finit par rire aux éclats. Toutefois, il fut un temps où elle dut se résigner à rentrer … trempée, la fraicheur de la nuit lui mordait sa chair.

Elle retourna bien vite près de ses sandales afin de les remettre à ses pieds. Une fois, sandalettes au pied, elle quitta les lieux décidant de faire un petit détour sur les quais du port … peut-être le croiserait-elle en train de vérifier méticuleusement l’avancement des travaux de son futur navire.

Miss.juju

Après une discussion forte agréable en taverne, Juliette suivit ce charmant jeune homme jusqu'à cette charmante plage.
Elle s'allongea dans le sable et écouta le bruit des vagues durant quelques instants.
En fermant les yeux elle repensa à sa journée, et finit par s'assoupir.
Réveillée par la fraicheur du début de soirée elle retourna en taverne pour tenter de revoir son beau guide…

Ombeline

Ombeline déambulait, songeuse dans les ruelles de la ville, passant devant les marchands sans vraiment mirer leurs étalages. Elle bifurqua en direction des côtes et plus principalement de la plage.

Main en visière, elle observa l'horizon bleu sous ses prunelles. Le temps était au calme, les mouettes peu braillardes. La jeune femme ôta ses sandales de cuir et elle s'avança sur la berge sablée. Ses pieds s'enfoncèrent dans le sable fin et humide. Agréable sensation que voila. Sandales en main, elle fila jusqu'au rebord de l'eau, laissant les vaguelettes lécher ses orteils puis venir jusqu'à ses fines chevilles.

Elle resta là un temps certain, appréciant la fraicheur de la mer et fit quelques pas dans l'eau salée. Une fois sa trempette achevée, elle retourna sur la berge et s'assit près d'un énorme rocher.

Elle contempla le magnifique phare, puis porta son regard vers l'horizon. Elle ferma les yeux.

Ewylan

Pour une fois, Ewy fera le contraire: c'est à la sortie de taverne qu'elle dirigea ses pas vers la plage, et non avant d'y aller pour se mouiller la glotte.
Son fils courraient autour d'elle pour l'entraîner elle ne savait où.

Rentre à la maison, mon chéri. Tu vas attrapper froid...

Mmouiii, m'mam !

Elle s'étonna de voir que son fils l'écoutait du premier coup. D'habitude, il aimait trop s'amuser dehors pour rester une après-midi entière à la maison...

Une légère bruine rafraichissait l'atmosphère mais la jeune femme n'en avait cure.
Elle venait de traverser la ville pour arriver jusqu'au paysage sablé. Elle était trempée de la tête à pied, jusqu'aux os. Elle avait dénoué son chignon et quelques mèches humides lui tombait sur le visage, gouttant tranquillement sur sa peau mâte.

Si la jeune femme défiait ce temps médiocre, c'était juste en raison d'avoir passé une excellente après-midi, et avoir fait une belle et jolie rencontre autour d'une choppe ou deux seulement. Petit sourire. Tu vois, les plus belles choses dans la vie sont les plus simples, ma tite Ewy !
Elle s'éloignait doucement mais sûrement des habitations, savourant ce plaisir de se sentir seule. Pourtant, un visage trottait dans ses pensées.

Ma fille... fais attention à toi...

La jeune femme ferma les yeux quelques instants, tentant de chasser son trouble. A quoi pensait-elle à cet instant précis ? A une chose bien précise, elle aussi, mais elle n'osait mettre un nom sur cela. Elle n'oserait pas en parler non plus.

Ma pauvre, tu vas devenir folle... Voilà peut-être le caractère exceptionel qui fait que tu sors du sac... La folie !

Elle se tourna vers la mer, et l'horizon grise à perte de vue. La pluie battait plus fort, gifflait presque, le ressac trouvait de la puissance en cela, devenant ainsi plus bruyant... Elle semblait vouloir repousser la jeune femme en peine.
Aujourd'hui, la plage ne veut pas de moi... Elle ne veut pas entendre mon secret. Mes murmures...
Elle observa le sable sous ses bottes avec colère, finissant par lancer des coups de pieds dans cette masse jaune et compacte.

Il n'était jamais juste de se sentir prisonnière d'un sentiment si inconnu, et pourtant qu'elle ressentait tous les jours.

Faisant fi de savoir que le sol était trempé, elle s'assit dessus, replia ses genoux contre elle et laissa aller son regard dans le lointain... Le lointain de ses pensées...
Ses cils, alourdis par la masse de l'eau, durent se fermer.
Ewy avait la bougeotte, elle se releva et marcha d'un pas pressé vers un troupeau de pierre et s'y assit, repliant comme tout à l'heure ses genoux contre elle, posant ses bras puis sa tête dessus.

Elle était perdue.

Là, le regard toujours aussi perdu dans le lointain du paysage et de ses pensées, se réchauffant comme elle le pouvait dans cette position de repli de soi-même, elle figurait comme une âme vagabonde et perdue...

Elle attendait...

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Melisande_asclepiade

C'est la rage au ventre que ses pas la conduise ici même , devant l'ignominie , le mensonge et les insultes , seule chose qu'elle désire , c'est de se retrouver face a elle même ...
Faire taire cette colère , qu'elle tente de faire partir....
Elle ré-entend ces mots dis avec haine , s'en veut de s’être fait berner pour finir jour après jour par découvrir son caractère...
Même les brigands a la prise de leurs village étaient plus respectueux envers les femmes qu'il ne le fut....
Elle s’assoie a même le sable , remontant ses genoux sous son menton , appuyant son visage contre.
Elle sait qu'il n'aurait pas permis cela , s'il avait été ici ...elle préfère pas lui raconter , de quel droit peut on se permettre de décider que telle personne n'est pas faite pour une autre ....
Ils sont bien ensemble , cela devrais suffire , mais non , la médisance est plus forte.
Elle tente de repousser tout cela , mais a son tour la haine prend possession d'elle , sentiment qu'elle ne connaissait pas encore...

Ermelyne.mailliet

Fatiguée de sa journée...Stella se balade au gré de ses envies...jusqu'à la plage....là...elle enlève ses chausses...le sable chaud sous ses pieds la chatouille...elle sourit de bien être...va tremper ses pieds....et va au devant de vagues...en mouillant ses braies...mais ça n'a pas d'importance...

Une envie soudaine la prend et se met à courir dans l'eau...en riant ...elle s'arrête en voyant un rocher...qui sera bien pour méditer en attendant que le soleil se couche...

La brune pense à aller rejoindre son ami Luca...elle a un peu le blues...mais ça lui passera...

Sylvine

Sylvine traversa l'immense baie à marée basse. Elle n'avait pas voulu tant s'éloigner du rivage.
Un pas suivit d'un autre, l'esprit ailleurs. Et la voilà hors de portée de vue des maisons de Bertincourt.

Lasse de marcher, elle s'assit sur un rocher en soupirant. Son siège était gluant mais peu lui importait.
Elle devait faire le point sur elle, ses fonctions et la réaction de certains Bertincourtois vis à vis d'elle.

Elle enlaça ses genoux dans ses bras, laissant le vent défaire, une à une, ses mèches.

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Melisande_asclepiade

C'est avec surprise qu'elle entend une voix la sortir de ses pensées , se retourne pour voir qui a l'audace ... car pour elle , il ne peut s'agir que d'un sans gêne ...

Citation:

Je suis en pleine promotion ces jours ci et mes conseils sont gratuits avant mon départ vers des contrées fortes éloignées.

Elle écoute la longue tirade qu'il lui débite , essayant de démêler le tout de son cerveau légèrement au ralentis depuis quelques jours...

non messire au contraire je fait moi la promotion des idées noires je crois avoir un bon stock d'avance... donc si cela vous dis messire...je peux vous en donner un échantillon ....

Le regarde de la tête au pied se demandant si la plage et si étroite qu'il est fallut qu'il vienne au bout de la jetée , le seul endroit ou elle croyais avoir un moment de tranquillité sans avoir a répondre aux sempiternelles questions sur le pourquoi elle boit......

Et si vous êtes venue me dire que je suis soule , on me le répète tant que je commence a le croire , donc vous auriez fait tout ce chemin pour rien.....

Yoshilas

Yoshilas vint faire un tour de bon matin pour se remémorer les bons moments passé sur cette plage. Il aperçu une femme juché sur les rochers, le regard dans le vague ….

Il sourit à cette image et se souvint de son activité hyper pas lucrative d’empêcheur de tourner en rond sur les plages. Il s’approcha d’elle et lui tint ce discourt.
Madame auriez vous besoin des services un temps mis en sommeil du bon Yoshilas pourfendeur des mauvaises idées qui s’épanchent sur la plage ?
Je suis en pleine promotion ces jours ci et mes conseils sont gratuits avant mon départ vers des contrées fortes éloignées.
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Melisande_asclepiade

Elle a attendue jusqu’à ce que le soleil annonce les environs de midi, aucune réponse n’étant venu rejoindre son pigeonnier .
Elle a grimpée sur les rochers regardant au loin, les idées embrouillées par les vapeurs d'alcool elle reste la fixant l'horizon là ou le ciel rejoint la mer.
Elle sait que l'heure est venue..., elle n'a aucun regret , l'histoire était ainsi écrite , une bien belle histoire ...

Ewylan

Ewy revint vers la plage, cet endroit avec qui elle partageait tous ses souvenirs sans que quiconque ne vienne l'enquiquiner.

Mmmh... Que dire ? La semaine passée fut extrèmement riche en émotions. Une semaine à la fois simple et complexe. Que dire d'autre ? Elle avait eu quelques gestes déplacés, quelques paroles blessantes, à l'égard d'une personne qu'à présent elle chérissait. Et pour cause, un sourire, une infime hésitation, une affirmation... et Ewylan était devenue une tout autre personne. Et cela ne la dérangeait pas. Ou plus. Il lui restait simplement une étape enquiquineuse à passer mais elle ne reculerait pas. Ce ne serait qu'un court instant avant de vivre dans un bonheur plus que complet !

La jeune femme sourit en marchant paisiblement sur le doré. Elle venait de retrousser ses manches de houppelande tout en rêvant, par obligation sous cette chaleur de mi-printemps.
Fermant les yeux, écartant les bras, elle goûta à la caresse du vent, et de la Liberté, la parcourir de tous ses membres avec un délice dont la jeune femme ne se lassait guère. Les meilleurs choses dans la vie sont les plus simples... Et si quelqu'un l'observait et se moquait d'elle, grand bien lui fasse, cela ne l'atteignait plus !

Le soleil couchant faisait son chemin, Ewy prit le chemin du retour d'un pas tranquille. Les jours défilaient sans qu'elle les vit, les moments en famille se multipliaient de plus en plus. Une seule Chose pouvait rompre ce bonheur sans pareil, mais la jeune maman n'y pensait plus.
C'est avec son éternel sourire qu'elle retourna parmi les siens.

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Senorita_fantasia

Qu'il y faisait bon de s'y balader le soir, pourtant la Belle appréciait guère la nuit. Elle appréciait les lanternes du village et les tavernes encore animées. Ce village lui plaisait énormément. Si elle n'avait pas fait une rencontre imprévue, elle aurait déménagé sur un seul coup de tête.

Elle aimait la douceur de l'eau sur ses pieds, et la fraicheur qui emplissait peu à peu tout son être. Le pan de sa robe légèrement relevée pour ne pas la souiller avec de l'eau. La Douce se promena, pieds dans l'eau en pensant. Il y avait longtemps qu'elle avait pas respiré un air marin, peut-être est-ce le fait d'avoir quitté la Teste depuis bien trop longtemps.

Elle avait en sa possession une vieille bouteille du vin de Bordeaux, un plaisir qu'elle s'était fait avant son départ pour son périple qui n'est d'ailleurs pas encore terminé. Fanta prit une goulée en regardant l'eau. On ne savait pas jusqu'où ça allait, mais on pouvait imaginer une terre inconnue avec de nouvelles Aventures. La Vieille Branche avait soif d'aventure mais était si fatiguée de chercher quelque chose à se mettre sous la dent.

Préférant oublier ce qu'il y avait de l'autre côté de l'eau, elle se concentra sur sa soirée qui s'était avéré être un vrai désastre. Elle s'était fait avoir du début à la fin. N'avait-on jamais dit qu'une femme était stupide et aussi intelligente que ses pieds? Autant dire que Fanta n'avait rien dans la cervelle, du moins c'est ce qu'on croyait. Elle avait un immense savoir mais également une stupidité énorme pour tomber dans les "bras d'un inconnu" sans queue ni tête.
Poussant un petit soupire en direction des auberges de Bertincourt, elle continua à marcher un moment.

Quelques heures avaient défilées avec la bouteille de vin d'ailleurs. Fanta se sentait fatiguée et presque souillée de cette histoire. Elle n'en avait fait part qu'à une seule personne à Bertincourt. Il lui avait rendu la fin de sa soirée plus agréable.

Elle se laissa aller doucement vers le sol et regarda la lune refléter dans l'eau avec un petit sourire. Ses cheveux volaient dans le vent et venaient, quelques fois, se coller à son visage, giflant au passage ses lèvres abimées suite à de nombreux mordillements répétitifs en taverne. Ses yeux se fermaient peu à peu, ses paupières devenaient lourdes.

La nuit allait être longue et mouvementée.

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Ewylan

Ewy se laissa bercer par l'illusion d'un murmure. Le murmure des vagues au lointain...
Haussant les épaules, abandonnant son blé, sa farine et son moulin, elle alla en direction de la plage alors qu'un soleil d'été et la chaleur étouffante d'un milieu de journée l'accompagnaient...

C'est pied nus qu'elle commençât sa marche dans le sable brûlant, comme à l'accoutumée. Sourire exprimant le trop plein de bonheur, elle se laissa porter par les divers bruitages de la côte: cris des mouettes, va et vients des vagues, musiques du vent dans les arbres d'alentours. Quelle belle journée que celle-ci !!!
Si elle pourrait, elle batirait une taverne ici, pour que ses deux endroits favoris soient inlassablement liés... Hum ! elle s'emportait dans les songes, là...
Sourire grandissant, elle alla tremper ses pieds dans l'eau fraîche, savourant ce banal contraste entre le chaud et le froid. Mmmh... Chaud-froid. Jour-nuit. Ewy n'était jamais venue ici lors d'une nuit. Il faudrait remedier à cela. Mais plus tard. Pourquoi parler d'un futur proche alors qu'il ne faut perdre une goutte du présent ?!

Elle poursuivait son avancée tandis que les petites vagues continuaient de lui lécher les orteils. La jeune femme ferma les yeux, lacha ses bottes et se mit à courrir ainsi, se perdant complètement de son effort et ses pensées... Ce n'est que quelques minutes après qu'elle ouvrit les yeux pour se voir suivit de loin par une Lucie éreintée... La jeune maman pila net, et courut dans l'autre sens pour rejoindre sa fille:

Oh ! Ben ma puce, tu aurais du me prévenir que tu trottais derrière moi !

C'est qu'Ewy ne voulait pas voir sa fille crouler sous la fatigue et la chaleur...

Beh Maman... tu semblais tellement heureuse que j'voulais pas t'embêter, moi...

Ah, Ewy avait été prise en flagrant délit ! Elle sourit innocement puis malicieusement avant d' ébouriffer une fois de plus les cheveux de sa fille, qui recula d'un bond pour ne plus être à porter de mains.

Eeeeehhhhh !!! Ca va pas, non ??!!! Va embêter d'autres gens, au lieu de moi ! Argh !! Elle ne parlait plus très bien tellement qu'elle était en colère... Regardant aux alentours et tendant un doigt dans une direction:Là-bas, y'a une Grande: va l'embêter elle si tu veux !!

Ewy haussa un sourcil et se tourna dans la direction indiquée. Ah beh oui, y'avait bien une personne mais qui ne semblait pas aussi heureuse qu'elle... La jeune femme se mordit la lèvre... Que faire ?? La rejoindre et lui parler, ou la laisser tranquille dans quelques certaines sombres pensées ? Ewy soupira... A sa place, elle-même aurait voulu qu'on la laisse en paix pour réfléchir... Ne sachant que faire, elle grimaça puis prit la main de sa fille et alla reprendre ses bottes.

On rentre, princesse ?? J'ai du travail qui m'attend et ton frère aussi, certainement...

Il t'attend tout le temps, de toute manière, répondit la petite en haussant les épaules.

Mais c'est que tu es jalouse ! la taquina Ewy.

Ah non, moi j'ai papa !

Mmmh, faut pas de préférences dans une famille... On aime tout le monde avec le même amour.

Lucie hocha la tête et, en signe de bonne foi, s'accrocha à la main de sa mère pour montrer qu'elle avait compris.
C'est ainsi, mère et fille main dans la main, qu'elles rentrèrent chez elles voir les hommes de la maison.
Heureuse.

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Tororo

La mer, enfin la mer
Infinie, à perte de vue
l'eau, les vagues, l'écume
Le ressac se brisant
assourdissant sur l'estran
le vent m'apportant
les embruns toniques,
balayant mon visage

Tororo contemple cette force
du haut de la dune
cherchant du regard
celle qui a laissé des traces sur le sable

Manon__

La jeune femme était d'une tristesse infinie et pourtant elle savait que'elle devait aller de l'avant mais ...point facile quand son coeur pleure...
Elle errait dans cette ville inconnue, et ses pas l'emmenèrent jusqu'à la mer.
Elle se rappelait celle d'Honfleur et son coeur se serra encore un peu plus...
Qu'elle avait été idiote de penser qu'il l'aimait....Il lui avait fait croire qu'elle était importante à ses yeux...
Manon, s'avança sur la plage et malgré le sable mouillé, marcha encore et encore jusqu'à trouver un rocher où elle s'assit et laissa ses larmes couler sur sa triste destinée.
Il s'était joué d'elle et elle n'avait rien vu ...Elle aurait du se douter de quelque chose vu l'empressement qu'il avait de la rejoindre.
Mais quel lache de ne lui avoir donné aucune exmplication qu'un silence infâme.
Manon leva les yeux et se perdit dans l'horizon, se laissant berser par le ressac et les cris des mouettes....

Melisande_asclepiade

Elle est arrivée en ville depuis quelques jours et déjà elle rêve d'aller voir la mer, les vagues, le sable.......
Elle s'approche , enlève ses chausses, au fur a mesure qu'elle se promène les souvenirs remontent , elle se souviens de la première fois ou ses pieds ont foulés une plage , quand elle les a sentie pour la première fois s'enfoncer dans le sable.

elle était jeune et surtout ne savais pas quel serait son destin.

les sensations sont toujours là , elle se souviens de cette époque , combien de fois elle venait s'assoir au bord , regardant un point a l'horizon , admirant l'écume de la mer qui faisais des va et vient .

Le temps était en ce jour d’Avril, venteux, auréolé d’un fin rayon de chaleur, une petite brise souffle dans ses cheveux , elle sent l'air marin s'incruster sur sa peau .

Elle continue sa balade , et comme par le passé , s'installe a même le sable , enfonçant ses mains dedans , sentant la fraicheur , puis le laissant finalement glisser entre ses doigts , rêveuse elle regarde le sable de couleur ocre, jaune, lourd, humide et tiède

Elle pense a ce qu'elle a laissé derrière elle , elle se demande comment elle a pu abandonner ce a quoi elle croyais si fort , ce qu'elle aimais par dessus tout , elle pense a ce qui aurais dût être une vie toute tracée , sans chemins tortueux , sans surprise , au coté d'un fiancé, un futur mariage en perspective...
Pour finalement se retrouver au fin fond du royaume , avoir parcouru tant de chemins , fait tant de rencontres sur sa route .

Pour finalement ne rien regretter.
Sourire en se rappelant une histoire de contrat qui dure depuis plusieurs mois .
Un contrat établi en bonne et du forme ..
Un contrat qu'elle ne veux pas voir se terminer ou plutôt qu'elle craint qu'il est une fin possible.
Ne rien vouloir changer surtout ...
Et finalement découvrir que les jours passant a Bertincourt , les amitiés se nouant , elle se verrais presque s'établir...
Elle remonte sa cape sur ses épaules , donnant son visage aux derniers rayons de soleil de la journée, heureuse tout simplement de la tournure de son destin .

Marieodile

Le printemps. Il semblait à Marie-Odile que celui-ci n’arriverait jamais. Après tant de route, de déboires, d’attaques et de blessures, l’odeur à la fois saline et printanière était un baume pour l’âme de la femme. Respirer ces vents du large la calmait de ses angoisses parfois oppressantes et soulevait en son cœur des poussières trop longtemps agglutinées.

Elle avançait doucement sur la plage de Bertincourt, observant les vagues encore froides lécher le sable dans son ressac incessant. Le soleil brillait réchauffant l’air et le sol, sortant la doucement de son mutisme la végétation de cet hiver trop long. Quelques oiseaux piailleurs volèrent au dessus de sa tête, reprenant leur vol vers d’autres horizons, d’autres vagues à la recherche de poissons.

Marie regardait sa fille, plus jolie de jour en jour en reprenant des couleurs et sa joie de vivre. La petite avait bien pâtie des rudes derniers mois et le cœur de mère qui battait dans la poitrine de Marie-Odile en souffrait encore un peu…sans doute trop. C’est sans doute pourquoi elle avait tant insisté pour s’établir et offrir à Brocéliande ce qu’il y avait de mieux.

Le cabot de la fillette se mit à aboyer et courir autour des jupes de la femme. Enjoué, l’animal sautillait au même rythme que l’enfant, excité du jeu que celle-ci lui offrait à courir avec lui. Marie tendit les mains à sa fille et celle-ci vint les prendre jusqu’à ce que la mère soulève dans ses bras ce précieux fardeau rieur.

Tu crois que papa se plaira ici ? En tout cas…moi ça me plait bien !

L’enfant hocha la tête dans un assentiment spontané avant de la déposer sur l’épaule de sa mère. Marie-Odile la serra solidement contre elle, embrassant ses cheveux follets et son front. Un élan de tendresse la submergea et une boule d’émotion se forma dans sa gorge. Elle adorait sa fille et cela la bouleversait à chaque fois que l’enfant lui démontrait son amour réciproque.

Pour chasser les larmes qui voulaient glisser de ses yeux, Marie-Odile se mit à tourner sur elle-même dans une danse folle qui fit rire sa fille; réconciliant les deux silhouette avec le bonheur simple d’être ensemble et en vie.

--Broceliande

Mes pieds s’enfoncent dans le sable. Le vent soulèvent le bas de mes jupettes et s’amuse à mettre mes cheveux dans mon visage. Ça chatouille et je rigole pendant que mon chien court autour de moi. Nous sommes toujours aussi amis; lui et moi. Il devient fou quand je l’amène courir sur la plage. Je crois qu’il aime cela autant que moi.

Aujourd’hui, il y a un beau soleil qui nous réchauffe et je me sens bien. Depuis que nous sommes ici, je n’ai plus peur. Nous avons une jolie maison près de la plage avec un jardin, une grosse cheminée et des murs partout. Ça change de la roulotte ! Au début, j’avais du mal à dormir toute seule dans ma chambre, j’entendais des bruits effrayants ! Maman m’a dit que je pouvais pas dormir tout le temps avec elle. Lorsqu’elle a suspendue des courtines roses autour de mon lit, j’ai eu envie d’y dormir. C’est comme si j’étais une princesse dans un château et mes sujets viennent me visiter. Bon, pour l’instant il n’y a que Genova, notre chat, qui ose grimper sur le l’édredon. Il ne comprends pas quand je lui parle celui-là, c’est normal car maman l’a trouvé en Italie. Il parle la langue des chats italiens.

Pour en revenir à la maison, je trouve ça bien d’en avoir une. Bon, d’accord elle ne peut plus bouger mais c’est parce qu’elle est trop grosse et lourde ! Ce qui est le mieux, c’est le jardin où je peux courir et quand on longe un petit chemin, il y a la plage !

Youhou !

J’adore ça ! J’essaie d’attraper le vent et je tourne, je tourne ! Je sais que le vent ne s’attrape pas, hein ! Je suis encore petite, mais il y a certaine chose que je sais quand même ! Quand papa va revenir de son voyage, je vais tout lui montrer. Il va être très impressionné de voir qu’il est le papa d’une princesse ! Oulà !

Madorote

le sourir de Stella detait ci beau que Madorote se leva

[/b]vous allez bien? , toujours aussi jolie

quece que vous faite toute seul sur la plage ?

Ewylan

Une envie, simple et irrésistible, qui l'entraîne toujours en cet endroit. Cela faisait si longtemps ! Quatre mois... Un voyage et hop !, elle oubliait les bonnes vieilles habitudes !

Ewy l'avait compris... Au fil du temps, des rencontres et des souvenirs, cette plage devenait une amie, une confidente à qui tout dire et qui ne rirait pas aux secrets... Peut-être folle à souhait, la jeune femme, m'enfin c'était mieux de se confier à un paysage que de se morfondre sur soi-même... Cela aussi, elle l'avait parfaitement compris.

Malgré l'hiver toujours présent, elle se déchaussa et alla se tremper les pieds en marchant le long de la côté. La jeune femme s'emplit les poumons de cet air si pur, hum un peu trop iodé peut-être mais cela ne la dérangeait en rien. Ca nettoyait les mucosités au moins.
Sa cape claquait au vent, derrière elle, tout comme ses cheveux à mèches roses et verts (merci Cel!) détachés.
Fermer les yeux avec délice, écouter les murmures ou clameurs du vent... et lacher un petit cri en sentant la fraicheur d'une vague plus grosse que les autres grimpait jusqu'à mi-mollet ! Le cri se remplaça vite par un rire.
La jeune femme s'emplit de cet instant magique, riant par à-coups, profitant du temps clément qui s'offrait au village.

Ewy quitta l'eau pour aller poser son séant sur le sable, un peu plus loin. Enfouissant ses orteils et ses doigts dans le sable, elle observa d'abord le scintillement des rayons du soleil sur l'eau, clignant des yeux de temps en temps pour ne pas perdre la vue. Elle regarda ensuite les figures des mouettes. Rhalala, qu'ils avaient de la chance d'être libres et de pouvoir voler... Hum, là, elle changeait de sujet. Elle n'était pas venue ici exprès pour se morfondre sur des simples ailes !
Le temps était donc arrivé d'ouvrir son coeur comme les secrets enfouis à l'intérieur... Elle referma les yeux et murmura, murmura, murmura... La force du vent emportait tout dans le lointain...

Une larme finit par couler, suivie par quelques congénères aqueuses. Fallait toujours qu'elle pleure à un moment ou à un autre. Ca gâchait toujours le tout !
Soupirant, elle haussa les épaules et laissa libre cours à sa peine. A son chagrin. Resserrant les pants de sa cape autour d'elle pour ne pas attrapper froid, elle posa son menton sur ses genoux et regarda la mer au loin, les yeux embués...

Elle ne risquait pas grand chose, au moins, à par attrapper un gros rhume ou avoir mal au coeur... C'est dans ces moments-là que les choppes sont le plus le bienvenue !
Elle restait là, espèrant que personne ne vienne la troubler dans sa peine... Ou au contraire, qu'on vienne la sortir de sa bulle...

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Madorote

encore une journée de passé sous le ciel de Bertincourt , voila a quoi pensais Madorote apres deux semaine passés au village, on pouvais lire son mécontement de cette routine qui pese deux fois plus lourd quand on vie dans la solitude
[/b]sur la plage,il savait relativiser ,ce vent frais ,le bruit des vagues , se phare, tout ce decors faisait du bien a madorote ,le sable fouler par ces pied nue était plus confortable ue ces rocher a la mine

la mine, la mine,la taverne , la mine , mon champ , la mine , mon champs ses sa mon avenir ici , quel est mon but , ai je le droit d aimer a nouveau, fonder une famille, ou vivre de combat

[i]Madorote savait tres bien que la solitude fait apel a la folie il ferma les yeux un bon coup et soupira d un bon coup ,il s allonga sur le sable quand il vit au loin un silouhette ui lui était familiere

[b]mais qui c est je connais cette dame .....

[b] pour confirmer , il decida d s approchez d elle il arriva discretement derrieree elle est d une voix curieuse dit ,

Excuser moi mdam.....il me semble que je vous connait

Ermelyne.mailliet

(Hier sur la plage)

En longeant la plage....pour aller vers la ville...Stella aperçoit Luca..assis sur un rocher... songeur...on dirait...en tant qu'amie...la brune ne va pas le déranger...bien qu'elle en a envie...il doit attendre quelqu'un...et d'un geste de la main....le salue...continue son chemin....songeuse aussi...
Quand.....

Citation:

Excuser moi mdam.....il me semble que je vous connait

La damoiselle se retourne surprise....

Bonjour...oui...on s'est rencontrés en taverne...lui sourit

Jack_oliver

Luca arrivait au lac en ce beau matin.
Il se posa sur un rocher, en attendant qu'elle arrive.
Il fixa alors l'horizon, et regardait au loin, trouvant la vue magnifique.
Cet air de la mer lui faisait du bien, faisant le vide dans sa tête.

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Frère de Macaron - Fillot d'Olympe

Ermelyne.mailliet

Le voyage l'avait fatiguée et d'un pas lourd se dirigea vers la plage....rien que de sentir l'air iodé lui faisait du bien
Stella retire ses chausses et entre doucement dans l'eau...des vagues claquent sur ses jambes....elle aurait aimé être en bonne compagnie que seule....mais voilà c'est comme ça...
L'eau la stimule et se met à courir comme une gamine le long de la plage....
La brune se met à penser que ça serait bien de s'allonger sur le sable...en regardant le ciel étoilé....qui sait...ça arrivera peut être un jour!!!!
Stella remet ses chausses...pensive et retourne à la ville ....où elle a été si bien accueillie....

Jack_oliver

Luca, qui dormait depuis quelques heures déjà, était trempé comme un poisson.
Mais le bruit des vagues, l'air de la mer... Cela lui faisait du bien.
Soudain, il entendit une voix dans son sommeil:

Citation:

Luca, Luca ???
Eveille toi, c'est..Hambre..tantine Hambre..

Ca va pas ? Tu as l'air bien tristounet..

Luca relevait la tête et le buste.
Il se frotte alors les yeux, regarde devant lui, et vu son amie, Hambre, qu'il appelait Tati Hambre.

Ohhhhh, il baille alors un grand coup. Tati Hambre!
Il jette alors un coup d'oeil autour de lui, se demandant pendant quelques secondes ce qu'il fait là. Puis la regarde, se lève légèrement pour lui faire un gros bisous, et lui dit alors:

Je... J'ai dormi combien de temps? Et baille alors à nouveau. En se frottant les yeux.

Jack_oliver

Luca tentait de se promener au lac en cette froide soirée pour se changer les idées.
Cette nouvelle qui venait de lui tomber dessus le mettait hors de lui. Et c'est en marchant qu'il donnait des coups de pied sur ce sable si léger, le repoussant et faisant un léger tas chaque fois devant lui, qu'il aplatissait aussitôt au fur et à mesure de ses pas.

Le bruit de ces légères vagues lui donnait envie de s'avancer vers elles pour s'éloigner du monde réel et partir vers un monde meilleur.
Mais il ne se contenta que de marcher, énervé, pour s'arrêter et se poser sur ce petit rocher enneigé.

Il s'allongea alors dessus, ses vêtements se mouillaient peu à peu, le froid prit le dessus sur son corps, mais restait là.
C'était de toute façon mieux que de retourner là bas. Il s'endort alors après quelques minutes comme il s'était posé.

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Frère de Macaron - Fillot d'Olympe

Hambre

Hambre se baladait, respirant à pleins poumons l'air frais de cette journée de février...
Le vent jouait dans ses cheveux et fouettait ses joues qui en étaient rouges...et fraîches...
Ses pas l'amenèrent au bord du lac, et le souvenir du lac d'Honfleur lui remontèrent en tête...avec Rebel, et leur promesses ...leurs.....pfftt il faut que Hambre chasse ça de sa tête..ne plus penser au passé..jamais

La jeune femme s'était arrêtée, laissant son regard glisser sur l'eau...et un profond soupir lui échappa..

Elle reprit sa promenade, et son regard fut capté par l'image d'un homme au bord de l'eau....Luca...mais il va etre tout trempé !!

Hatant le pas, elle vint doucement lui poser la main sur l'épaule pour l'éveiller en douceur...

Luca, Luca ???
Eveille toi, c'est..Hambre..tantine Hambre..

Ca va pas ? Tu as l'air bien tristounet..

Elle le regardait, devinant en lui une peine immense...et en avait mal au coeur pour lui.

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Sylvine

Sylvine rendit le sourire au jeune visage qui se tournait vers elle.
A son étonnement, cette jeune femme la remerciait.
La meunière répondit à son tour lorsque celle-ci se présenta.

Enchantée, Line. Mon nom est Sylvine. Je suis meunière et je sers de temps en temps à la taverne.
La taverne n'a que deux chambres, il n'y a pas de dortoir.
Si vous êtes nombreux, on pourra toujours vous faire dormir dans la grange.
Enfin si vous ne dépassez pas la dizaine.. Les chevaux ont besoin de place aussi.

La voyant pas sûre sur ses jambes, elle la soutint discrètement et la fit remonter là où la pente était la moins raide.

Venez au moins boire la bière de bienvenue.
La jeune femme ne lui laissa pas le temps de répondre. Elle l'embarqua dans les ruelles et eut vite fait de l'amener jusqu'à l'estaminet. Elle l'assit devant l'âtre et lui déposa une chope bien mousseuse dans les mains.

Reprenez des forces puis vous me direz ce qu'il en est.

Lineluna

Reconnaissante, la jeune femme saisi le bras de la brune et se releva avant de la suivre, légèrement chancelante, en direction de la fameuse taverne des Soiffards.

Avez-vous un toit ? Si non, voulez-vous que l’on apprête une chambre en taverne ?

Je viens tout juste d’arriver en ville avec mes compagnons de route. Demain, nous serons déjà repartis je pense.

Elle se montrait si gentille avec elle alors qu’elle ne la connaissait même pas. Elle l’avait même probablement empêché de faire une bêtise. Mais que dire, que faire dans une telle situation ?
Eh bien, remercier, tout simplement.
Line lui sourit gentiment :

C’est très aimable à vous, merci beaucoup.
Ah, et puis… je m’appelle Line.

Sylvine

Sylvine observait le corps inerte. Un dormeur ou un blessé ? Elle s’approcha, la main gauche tendue vers ce qui paraissait être une épaule.
La forme eut un léger mouvement. Une voix empâtée mais douce lui répondit.
Bonsoir… Oui je… Merci, je vais bien. J’ai seulement du m’assoupir…

La brune damoiselle sourit : Il n’est guère prudent de s’endormir ici en cette saison.

Je pense que nous ferions bien de rentrer au chaud, vous ne croyez pas ?

Voilà une sage parole. La taverne des Soiffards est à une centaine de pas d’ici. Vous pourrez vous y réchauffez.
Un peu d’aide ? Sylvine lui tendit le bras.

Avez-vous un toit ? Si non, voulez-vous que l’on apprête une chambre en taverne ?

Lineluna

Petit à petit, ses noires pensées l’avaient envahie toute entière et ses yeux s’étaient doucement soustraits à la vue des étoiles. Ses paupières étaient lourdes de peine et son corps si las de lutter contre le froid qu’elle s’abandonnait doucement à l’oubli.

Oubliés ses précieux enfants, évanoui son amour si fort, effacés ses si beaux souvenirs, délaissés ses amitiés si fortes et négligés ces souvenirs à venir, ces rires, ces joies qui n’avaient finalement plus d’importance. Elle glissait, doucement, ailleurs, sans pouvoir rien y faire. Si seulement… rien qu’une petite branche… une toute petite branche…

Finalement une vie c’est tellement fragile, tellement éphémère, que si l’on n’y prenait pas garde, en quelques heures à peine on pouvait déjà la perdre.

"Bonsoir… Vous allez bien ?"

Une voix s’éleva soudain à quelques pas de la jeune femme, si proche et pourtant si lointaine. La voilà la branche qu’elle n’espérait plus… elle s’y agrippa alors de toutes ses forces pour enfin sortir de sa torpeur.

Le froid de la nuit lui apparu à nouveau, plus violent encore qu’auparavant, et son cœur se mit à battre violemment dans sa poitrine. Line ouvrit alors les yeux dans une puissante inspiration. Mais où était-elle ? Elle se redressa légèrement et observa l’inconnue qui se tenait debout devant elle.

La douceur du sable, la fraicheur de la nuit, le ciel étoilé, le grondement des vagues, ça y est… les souvenirs lui revenaient à présent.

Elle resserra plus fermement sa cape autour de ses épaules et articula quelques mots, un peu abasourdie.

Bonsoir… Oui je… Merci, je vais bien. J’ai seulement du m’assoupir…

Elle ne réalisa pas vraiment, pourtant… Dire qu’elle était passé si près de ne jamais se réveiller…

Il ne lui fallu pas faire très attention pour remarquer que le bas des vêtements de la jeune femme étaient mouillés, et se rappelant alors ces fameuses complaintes, Line se releva doucement et ajouta d’une voix douce, un peu plus lucide à présent :

Je pense que nous ferions bien de rentrer au chaud, vous ne croyez pas ?

Sylvine

Un vide se fit en Sylvine. La fatigue prit le dessus sur sa peine.
Les larmes se tarirent. Elle se releva puis resta immobile, quelques instants, les bras croisés. Elle sentait la bise s'insérer dans les plis et replis de ses vêtementst mordillant ses chevilles et mollets trempés.
Elle écouta le ressac des vagues et un oiseau de nuit poussa son cri de chasse.

Pas la peine de rester pour attraper froid.
Elle rebroussa chemin. Sous les rayons lunaires, une forme se dessina sur la grève.
Etrange! Il n'y a point eu de grandes marées ou de tempêtes depuis que je suis revenue, songea-t-elle.
La meunière ralentit l'allure et dévia de sa trajectoire pour s'en approcher. Sa main, par instinct, se maintint sur sa cuisse droite, prête à dégainer sa miséricorde, si nécessaire.

Est-ce un animal blessé? Elle espérait juste que ne ce ne fût pas un loup, la meute n'était souvent pas loin. Les loups dans les rues, c'était un mauvais présage.

Ses craintes s'estompèrent en reconnaissant les pans d'une cape.
Elle hésita à parler. Échevelée comme elle était, elle devait ressembler à une océanide sortant du bain.

Elle rabattit un peu sa chevelure et gardant une petite distance, d’une voix douce prit la parole.

Bonsoir… Vous allez bien ?

Lineluna

[A quelques mètres de là... il y avait pourtant quelqu'un d'autre sur la plage]

N'ayant emporté ni bougie ni lanterne avec elle, la jeune femme s'était finalement allongé sur le sable, silencieuse, invisible, les yeux rivés vers le ciel. Sa respiration avait maintenant pris le rythme lent d'un calme incertain et ses yeux, reflet de son âme, semblaient maintenant dépouillés de toute émotion.

Elle observait le ciel constellé d'étoiles brillantes, scintillantes, solitaires. Elle avait froid malgré qu'elle soit chaudement vêtue. Un froid mordant qui lui enserrait le coeur, elle avait froid au plus profond d'elle-même.

Le vent s'était légèrement levé, intensifiant le grondement des vagues et les complaintes d'une jeune femme lui parvinrent par bribes.
"Vas-tu tous me les enlever ?? ... Pourquoi ? ... Suis-je maudite ??? Est-il dit que tous ceux avec qui mes liens sont les plus serrés doivent partir plus tôt ?"

Maudite... Elle l'était certainement, elle, il ne pouvait en être autrement.

S'insinuèrent alors les souvenirs de ces amis, si chers, dont la perte avait été si terrible autrefois. Puis ses pensées voguèrent vers les personnes qui lui étaient encore proches aujourd'hui. Elle tenait tant à leur amitié, elle les aimait tellement, tellement fort... Mais son corps n'était plus que haine et rage mêlées, souvenir de ses erreurs passées, souvenir de ses amours bafoués. Elle n'arrivait plus à retrouver la sérénité qui l'avait enfin gagnée. Aujourd'hui elle avait l'impression d'avoir achevé de tout perdre, ses amis, son intégrité, son équilibre.

L'envie de fuir la reprenait, plus forte encore qu'auparavant. Fuir le plus loin possible, fuir le plus vite possible, sans regarder en arrière, tout effacer, tout oublier... Mais elle savait qu'elle n'oublierait jamais, qu'un jour ou l'autre ses douleurs remonteront à la surface à nouveau et que ce jour là, tout recommencera encore une fois. Elle savait que si elle les perdait eux, elle en mourrait. Oui, elle mourrait de douleur, elle mourrait de désespoir, elle mourrait d'épuisement.

Mais peut-être que c'était ce qu'elle désirait finalement... mourir... avoir enfin la paix qu'elle n'espérait plus...

Sylvine

Les cheveux au vent, Sylvine descendit sur la plage totalement déserte à cette heure avancée de la nuit . Elle n’arrivait pas à s’endormir.
Non pas parce qu’elle avait installée sa couche dans l’étable depuis que son toit s’était envolé mais elle était si..si courroucée. Elle avait même réussi dans sa rage à y mettre tout sans dessus dessous, effarouchant ses porcelets.

Elle avait besoin de marcher, d’évacuer la bouillonnante mauvaise humeur qui était en elle. Elle rageait, elle pestait.
Le froid de la nuit n’arrivait pas à éteindre cette colère qui ronronnait en elle.

Elle lui en voulait ou plutôt elle leur en voulait.
La damoiselle leva la tête au ciel et pointa un poing rageur :
Vas-tu tous me les enlever ?? Je n’arrive plus à compter mes amis qui t’ont rejoint. Je te soupçonne déjà de m’avoir dérobé mon tendre et attentionné Jehan. Et que viens je d’apprendre ? Pourquoi ai-je eu l’idée de me rendre au château !!!

La jeune femme continua sa marche faisant jaillir quelques gerbes d’eau sous ses pas. Elle serrait les dents et marmonna :
Pourquoi ? Pourquoi m’en a-t-on pas avertie ? Une semaine c’est long…
Ses yeux se remplirent de larmes. La contrée est si loin, en plus ! Même si je partais, je ne pourrais récupérer le corps en un état transportable.

Elle s’arrêta et regarda à nouveau le ciel.
Suis je maudite ??? Est-il dit que tous ceux avec qui mes liens sont les plus serrés doivent partir plus tôt ?

La colère était moins sourde mais son cœur saignait. Plus que la tristesse, c’était le sentiment d’avoir été trahie qui la submergeait.
Pourquoi n’en ai-je pas été avertie plus tôt ??

Elle s’arrêta , tomba à genoux.
La brunette sortit un médaillon de l’échancrure de sa chemise en lin: elle l’avait tout le temps gardé près d’elle avec sa médaille aristotélicienne. Elle le tourna dans ses mains. Ce serait le seul souvenir qu’elle aurait d'elle.
Très-Haut, ma sœur de cœur n’était pas un modèle mais elle avait des qualités. Ne la jugez pas trop sévèrement !
Son corps fut secoué par des spasmes. Ses larmes rejoignirent les vaguelettes de la grande immensité sombre.

Elle leva un peu la tête et un long gémissement sortit de sa gorge. La douleur et la peine compagnes depuis plusieurs semaines déjà, s’étreignirent et quittèrent son corps pour s’envoler vers les étoiles.

Lineluna

Les quatre voyageurs étaient arrivés à Bertincourt par une belle matinée. Le ciel était légèrement dégagé et la bise, moins fraiche que celle de la veille, transportait inlassablement ces effluves d'eau salé si ennivrantes. Ce que c'était beau de voyager, on découvrait des paysages sublimes, on s'émerveillait devant des choses toutes simples et puis, on laissait voguer son imagination.

La mer, la mer... Ce qu'elle était belle ! Line aimait plus que tout flâner sur les plages, écouter le bruit des vagues, regarder l'eau se fracasser sur les rochers, admirer les reflets du soleil que renvoyait cette immense étendue d'eau.
La mer... tout le monde voulait un jour voir la mer... Il fallait voir la mer !

Seulement cette fois, Line était épuisée, tout comme ses compagnons d'ailleurs. Cela faisait des jours qu'ils marchaient sans interruption, visitant la région, allant d'un village à un autre, inlassablement. Seulement cette fois elle était lasse... Lasse de ce voyage, lasse de son attitude, lasse de faire des efforts qui ne menaient nul part, lasse de cette vie qui ne lui plaisait plus...

Sur la route Anna, sa meilleure amie, sa soeur jumelle, son ange gardien, lui avait parlé d'autrefois : leurs insouciences, leurs rires sains, leurs plaisanteries. "Avant tes rires, tes animations, ta bonne humeur était l'oriflamme d'un rassemblement de toutes les bonnes âmes." Autrefois... car aujourd'hui rien n'était plus pareil. "Maintenant tu rallies qui ? ..." Les deux amies s'aimaient tout autant qu'avant, ça oui, car leur amitié était éternelle. Seulement, le temps les avait fait changer, comme tout le monde. Mais l'on n'évolue pas toujours dans le sens que l'on désirait, c'était en tout cas ce que pensait Line. Les deux amies s'étaient séparées un temps, une séparation qui n'avait pas été de leur plein gré et qui leur avait fait énormément de mal à toutes les deux. Son caractère avait changé, normal direz-vous peut-être, mais changé dans un sens qui ne lui plaisait guère, ce qui fait qu'aujourd'hui elle se trouvait dans une impasse. "Je ne reconnais plus ma Line, ce n'est plus la même. T'es pas ce que tu veux faire paraître. " Une impasse si étroite qu'on ne pouvait en ressortir qu'à reculons, sans voir où l'on posait ses pieds. Mais tout au bout du chemin, là-bas, il y avait des voix qui l'appelaient "Line, redeviens ce que tu étais, redeviens la Line d'avant, on est là Line, reviens-nous" comme un espoir, comme une douce chaleur qui l'enveloppait.

Ce soir, Line avait besoin de solitude. Ses yeux rougis n'avaient plus de larmes à présent. Elle s'assit sur la plage, s'enroula dans sa cape et observa l'horizon, bercée par le murmure des vagues mourant sur le sable. Le soleil couchant répendait sa merveilleuse lumière dorée avant de sombrer à l'horizon, remplissant le ciel de mille couleurs. Un savant mélange de teintes rouge, orangé, rose, bleu puis violacé dont ne se lasserait jamais de contempler la belle.

Hildegarden

Hilde sortie de la taverne les yeux pleins de larmes en quittant sa soeur jumelle Recto

...
elle se dirigea vers la plage en trainant les pieds!
en arrivant elle aperçut le reflet des étoiles sur l'eau,elle leva les yeux et admira la beauté qui éclairée le ciel,elle mit une couverture et s'allongea un moment sur le sable.....

Elle enleva ces bottes et se mit à courir dans l'eau en riant,soudain elle sentie quelques choses la pincée a l'orteil!
aieeeeeeeeee!mais ces quoi ça!!
saleté de bestiole!pffffffff un crabe nonméoooo !tu va me lâcher oui..

Hilde sortit de l'eau et remis ces bottes et ramassa sa couverture elle grimpa en haut et enfonça ces pieds dans le sable pour y laisser ces empreintes pour que Recto mette les siennes demain dedans!
elle éclata de rire en s'imaginant la scène.

Bon en route pour Azincourt la route et longue pourvut que l'ont trouve une grange pour dormir un peut le voyage ma épuisée moi

Ginalova

Gina regardait Will qui dégustait tranquillement et ne put s'empêcher de rire quand elle vit qu'il buvait le vin de noix comme du vin...

Oh sire Will!! Vous êtes vraiment très drôle! Car le vin de noix...ben.. hihihi... c'est un apéritif en fait!Faut le boire avant le repas pas avec le gibier!Va paraitre fade sinon!!!!

Elle rit de plus belle et cela lui fit du bien! après tout il n'y avait pas de mal! on pouvait faire comme on voulait!puis il lui demanda pourquoi elle était venue... elle se grattouilla la tête en se disant que l'homme avait la mémoire courte!

Sire Will, lorsque nous nous sommes rencontrés plus tot en taverne, vous m'avez invité à venir vous rendre visite dans votre phare! Et je vous ai dit que je viendrais! Voilà pourquoi j'ai décidé de venir! Et puis je viens d'arriver! Je n'avais nul part où aller alors je ne pouvais pas refuser votre invitation!puis la mer a cette heure ci on ne la voit pas très bien... le soleil est déjà partit!

elle lui sourit tendrement et finit son assiette.

Je ne vais pas vous importuner plus longtemps sire will! Je vous remercie beaucoup de votre hospitalité! Faut que je me trouve une paille pour dormir! J'aurai bien trop peur de rentrer si j'attends encore trop longtemps!

Elle se leva et pris son assiette demandant où est ce qu'elle pouvait poser le tout.

William_zola

A peine avait-il posé le plateau sur la table que Gina faisait le service.
Will sourit en voyant son invité s'activer de la sorte. Il prend place à table et observe cette damoiselle énigmatique.
Apparemment, Will commence à devenir un bon cuisinier au regard de la façon dont Gina savoure le plat proposé.

Fé 'hi chi'ta chion!

Merci, mais je ne suis que les petites mains, c'est une amie à moi qui à eu l'idée de la recette.

Will sourit

Excusez moi!! Je suis un peu trop spontanée parfois... Je manque d'éducation! Mais enfin d'où je viens... Enfin bref! C'est divin! Mais mangez! Sinon ca va refroidir!!

Will éclate de rire

Ne vous en faites pas, je ne suis point choqué. Et j'apprécie votre spontanéité. Je peux paraitre noble, mais je ne le suis point, je suis juste un artisan et un soldat. Donc, ici, vous pouvez oublier les tenues protocolaires et faire comme vous l'entendez.

Sur l'invitation de son invité, Will déguste à son tour son repas... Il l'accompagne d'une gorgé de vin de noix ...

Hum, je ne connaissait pas cette spécialité, elle a comme un petit goût de r'viensy.

Will avale une seconde gorgé ...

Dites moi Dame Gina, pourquoi avez vous voulu braver le froid sur la plage ce soir ? Vous testiez si la mer pouvait vous avaler ?
Ou vous vouliez juste apercevoir la mer ?

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Ginalova

On entendait du bruit de la cuisine. Gina souriait impatiente de découvrir comment l'homme s'en sortait en cuisine.
elle l'écoutait lui répondre quand il apparut enfin avec le plat qui embaumait la maison.

Son visage s'illumina et son ventre grogna de plus belle lorsque l'odeur alléchante rempli ses narines.elle rougit et se plia sur sa chaise pour étouffer les bruits et ne pu s'empêcher de rire comme pour effacer le malaise qui la saisissait de ne pouvoir contenir sa faim!

Pardon! hihi! Je suis intenable! Mais ca sent drôlement bon! Je vais vous dire si c'est aussi bon que ca en a l'air!

N'en pouvant plus de ne rien faire, elle saisit les assiettes et les remplie toute les deux, remplissant les verres d'un peu de vin et pris place en souriant!

Et voilà! Y a pas de raison que je me fasse servir tout de même!

Elle passa sa langue sur ses lèvres, roulant des yeux, sentant de plus près la douce odeur du gibier qui avait mijoté.

hummmmmmm... dit elle ne plongeant son couvert dans son assiette et soufflant sur la buchée pour ne pas se bruler. Elle la porta à sa bouche et attendit un moment... laissant chaque saveur exploser sur son palais, la sauce couler délicatement dans sa gorge... C'était un délice... Elle fondit!

Fé 'hi chi'ta chion! Dit elle la bouche encore pleine! Je vais vous épouser si vous cuisiner aussi bien tous les jours!

Elle rit et avala le tout pour pouvoir parler convenablement.

Excusez moi!! Je suis un peu trop spontanée parfois... Je manque d'éducation! Mais enfin d'où je viens... Enfin bref! C'est divin! Mais mangez! Sinon ca va refroidir!!

Elle lui sourit tendrement et continua de déguster son repas.

William_zola

En cuisine, Will regarde le sanglier mijoter. Il tente une recette façon Jehanne, une amie de longue date...

*Quelques épices en plus ... et hop prêt pour être dégusté.*

Il farfouille dans ses placards pour trouver les ustensiles nécessaire pour le repas ...

* Boudiou ... ou ai-je bien pu ranger mes affaires moi ... *

Will entend Gina lui parler depuis le salon ... Il se hâte de prendre un plateau de le charger des victuailles et des couverts qui étaient toujours dans leur malle et retourne voir son invité.

C'est la moindre des choses chère damoiselle. Bertincourt est une ville accueillante et ses habitants sont là pour défendre cette réputation. De plus, je n'allais pas vous laisser dehors par ce froid. La nuit n'est pas encore haute que vous trembliez déjà malgré votre châle. Et les hivers sont plutôt rigoureux par ici.

Will dépose le plateau sur la table et se dirige vers le buffet pour sortir des verres.

Bon, je vous préviens, je ne suis pas un chef cuisinier et je teste une recette. J'espère que cal vous plaira.

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Ginalova

J'adorerais ca! en espérant que je n'ai pas le vertige!!

Elle rit et s'installa à la demande de son hôte.

Merci encore de me garder à diner! C'est vraiment adorable de votre part surtout que je suis une inconnue ! Vous êtes très gentil d'ouvrir votre porte ainsi. J'en suis très touchée. dit elle en attendant que Will revienne avec les plats. Son ventre se mit à grogner. C'est qu'elle était épuisée et affamée la brunette.Elle passa sa main sur son ventre comme pour calmer la bête folle qui criait famine!

Vous n'avez pas besoin d'aide pour apporter ce qu'il faut?

Elle demeura là, heureuse d'avoir fait une si agréable rencontre, pensant qu'elle avait vraiment de la chance d'être tombé ici. Son regard se promenait sur la pièce et elle se remit à penser un instant d'où elle venait et ce qu'elle fuyait...Elle soupira et d'un geste de la main, elle chassa ses pensée.

William_zola

Will se réjouie de voir Gina reprendre des couleurs et se détendre. Par un froid pareil, rester dehors risque de causer beaucoup de tords ...

Pour le repas d'aide je n'ai point besoin puisqu'il est déjà prêt. J'ai juste besoin de l'apporter. Donc, prenez place, je reviens vite.

Voyant son inviter regarder par le hublot.

Je vous mènerai en haut du phare pour y admirer la vue après le repas si cela vous intéresse. Et vous pourrez comptez les marches rajoute Will en rigolant.

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Ginalova

L'homme était gentil et avenant. Cela changeait des hommes sur les routes qui ne cherchait que quelques instants de plaisir!Il ne faisait pas bon être une femme seules sur les routes du royaume.
Elle le suivit avec joie, heureuse de trouver une âme avec qui parler.

Je me demande comment n'avez vous jamais pensé compter les marches!! dit elle malicieusement!Faudra y songer un de ces jours! Juste par curiosité.

Il la remercia pour le petit cadeau.

Lorsqu'on s'invite chez les gens la moindre des choses ,c'est d'offrir un petit quelque chose il me semble! J'ai beau être vêtue de haillons je n'en sais pas moins vivre pour autant! elle lui fit un petit clin d'œil malicieux et découvrit une petite salle de séjour fort agréable mais surtout réconfortante et pleine de chaleur, elle soupira d'aise et se tourna vers lui pour accepter l'invitation à rester diner.

Je serai bien sotte de dire non!J'accepte avec joie de partager votre repas! J'en serais ravie! et si je peux vous aider cela me va aussi! je n'ai pas l'habitude de me faire servir!et puis je serais heureuse de ne pas me retrouver seule après ce long voyage qui m'a mené jusqu'ici!

Elle sourit et s'approcha d'un carreau pour tenter de voir ce que l'on pouvait découvrir dehors. Elle espérait bien démarrer une jolie vie ici, et profiter de chaque instant. Elle était à l'aise et sans complexe, juste la joie de vivre pouvait se lire sur son visage qui ne cessait de sourire.

William_zola

Will sourit en écoutant son hôte le bombarder de questions ...
Tout en la conduisant à travers l'édifice pour rejoindre le salle de séjour, il tente de lui répondre.

Concernant le nombre de marches, sincèrement, je ne me suis jamais posé la question. Tout ce que je sais, c'est qu'il y en a toujours trop ... mais une fois en haut, on est heureux et on se demande pourquoi il n'y en a pas plus pour monter encore plus haut.

Recevant la bouteille de son invité, Will s'incline.

Il ne fallait pas damoiselle. Je l'accepte avec bon coeur si vous acceptez de partager mon repas. Et ne dites pas non, je vois que vous êtes morte de froid pour avoir voulu voir la plage. Donc, prenez le temps de vous réchauffer, de profiter d'un bon repas avant de vous sauvez. De plus, je n'aime pas boire du vin tout seul ... Et je profiterai du repas pour répondre à vos questions et vous parlez de Bertincourt et de ses environs.

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Ginalova

Gina sautillait comme une gamine, d'un pied sur l'autre, pour se réchauffer.
Elle ne cessait de regarder la mer, oh oui bien sur qu'elle la trouvait merveilleuse, mais surtout elle était terrorisée à l'idée de se faire emporter.
Personne ne la connaissait! Personne ne se douterait qu'elle avait disparut si jamais un malheur arrivait! Aaaaahhhhh! Fallait toujours qu'elle s'imagine le pire!!
La porte s'ouvrant la sortit de ses pensées et un large sourire faisant briller ses yeux illumina son visage.

Bbbbb...oonnnn...ssssoiirrrr... Sssssiiirreeee Willlll! dit elle en grelottant! Fait pas bien chaud par ici!!!! répliqua t'elle en riant.Elle se glissa à l'intérieur répondant à l'invitation. Vous voyez, je suis venue!pfffffiouuuuu! J'ai même pas eu peur! dit elle fièrement , pensant en son fort intérieur qu'elle ne tremblait pas que de froid!

Ses yeux balayèrent brièvement l'endroit, le grand escalier qui montait à perte de vue l'impressionna en premier lieux, puis sa curiosité léchait les murs observant chaque détail de cet endroit qu'elle ne connaissait pas du tout.

C'est impressionnant, ça monte drôlement haut! Combien y a t'il de marches? demanda t'elle en se penchant sur la rampe pour mieux imaginer la hauteur de la chose, puis s retournant vers lui:J'espère que je ne vous dérange pas au moins?Je vous ai apporter un petit quelque chose pour vous remercier de votre accueil et de m'avoir si bien conseillé.et elle sortit une bonne bouteille de vin de noix du Périgord, qu'elle avait acheté lors de son voyage et la lui offrit. Tenez! c'est une spécialité périgourdine.Elle lui sourit replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille! Le vent l'avait complétement ébouriffée et elle ressemblait plus à un épouvantail dans ses vieux haillons qu'une une jeune femme!

William_zola

En ce début janvier, Will continu de prendre possession de son nouveau domaine. Le déménagement de sa petite chaumine au phare de Bertincourt ne s'est pas fait sans quelques difficultés. Il a été impressionné de voir la quantité de choses qu'il a pu accumuler au cours des ans.

Une fois quelques affaires sorties des malles, des meubles déplacés, Will se rend en haut du phare pour allumer la lampe, une nouvelle responsabilité ...
Après avoir monté les quelques marches …

Will s'attarde sur la vue que lui offre son nouveau logis. Des souvenirs heureux de lui et son frère entrain de boire une chopine et de fumer une bonne pipe le font sourire. Il s'approche du bord et son regard se perd sur la plage …
Ses yeux sont attirés par une jeune personne entrain de se promener et de tenter de s'approcher des vagues. Will sourit de plus belle en reconnaissant Ginalova qui vient tout juste d'arriver sur Berti. Voyant qu'elle se dirige vers la porte du phare, Will redescend pour aller lui ouvrir.
Arriver en bas, Will reprend son souffle.

"Il va falloir que je trouve un moyen pour gagner du temps et ne pas m'épuiser ainsi à chaque fois …"

Toc, toc, toc …

Will ouvre la porte.

Bien le Bonsoir. Entre vite. Tu m'as l'air de ne pas avoir bien chaud ainsi vêtu.

Il se décale pour laisser la place à Ginalova d'entrer.

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Ginalova

C'est une belle journée d'hivers, froide, enneigée, mais belle. Gina venait de débarquer dans la ville après un long voyage depuis le sud.
Elle n'avait pas d'attache, ni même de famille, elle n'avait rien à vrai dire qu'un petit baluchon qu'elle portait fièrement sur son épaule et ses chausses plus qu'usées qui lui permettaient de marcher longuement!
Elle avait fini par débarquer dans cette ville où l'accueil étai plus qu' agréable.

Bertincourt était un village situé en bord de mer et bien que Gina s'imaginait que la mer pouvait trop facilement l'engloutir si jamais elle venait lui lécher les pieds, elle décida d'aller prouver au Sieur Will que rien ne lui faisait peur... ou presque!

Elle l'avait rencontré en sortant de la mine, ainsi que le sieur Flap et la Tribun du village qui était tous merveilleux!

Vétue de haillons et d'un un gros châle en laine mitée pour la couvrir assez pour en pas devenir bleue qu'une vielle dame en chemin lui avait offert, elle affronter cette grande bleue, vaste étendue d'eau plutôt impressionnante au yeux de la jeune femme.

Marchant courageusement, elle se dirigeait vers le phare qui était vraiment facile à trouver.

Ben dis donc!j'ai survécu à la mer!!pfiouuuuuu!va falloir que je demande une médaille du mérite!! pensait elle tout bas, une petite fumée blanchâtre s'extirpant d'entre ses lèvres charnues, témoin du froid de ce mois de janvier.
Ses grands yeux noirs se levèrent vers le phare au pied duquel elle se tenait.Comment allait elle pouvoir faire savoir qu'elle était là??... elle chercha une entrée, c'était la première fois qu'elle voyait un phare de si près, et avec un peu de chance, la première fois qu'elle y mettrait les pieds.Elle toqua espérant que la chance soit avec elle, son corps frêle tremblant et frissonnant par le vent qui s'engouffrait dans cet endroit étonnant...

humhum! toc toc toc! ....

William_zola

Will demeurai au 133 rue de l'église, situe juste en face de l'église dans laquelle officiait son frère, le Père William II ...
Lors de sa mort récente, Will décide de déménager de sa maisonnette pour s'installer dans le phare... Will se souvient de ce que lui disait toujours son frère, il aimait tellement ce petit coin du village :
"C'était exceptionnellement beau et calme. La plage, dans toutes les saisons, c'est tellement magnifique ! On s'y ennuis jamais ! Un lieu où la nature est au rendez vous, dans tous ses états !"
Willy II était le propriétaire du phare de Bertincourt. En effet, c'est lui qui allumait au moment venu le phare. Maintenant, avec le port en pleine expansion, c'est au tour de Will de le faire...

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Edenia

Edenia se réveilla et la nuitée commençait à poindre. Une fine couche de sable s'était posé sur elle et la jeune femme se demanda si elle ne devrait pas rester là jusqu'à être ensevelie. Mais non, elle préféra se lever. Le paysage n'avait pas changé mais Edenia le voyait avec des yeux nouveaux. Elle rebroussa chemin jusqu'au village et le vent prennait soin d'effacer ses traces derrière elle. Comme si elle n'était jamais venue.

Edenia

A peine arrivé en ville, Edenia chercha le port. Vite la mer! Elle voulait revoir ce majestueux paysage qu'elle avait découvert en Normandie. La voici, la voilà, l'immense étendue d'eau. Une fois de plus, la jeune femme n'en croyait pas ses yeux. Elle courru à travers le port, ne se souciant de rien, au plus vite, elle voulait mettre les pieds sur le sable.

Arrivée, Edenia resta bouche bée devant cette merveille qu'est la mer. Elle s'asseya sur le sable, admirant les rouleaux que l'eau faisait. C'était la première fois que la jeune femme la voyait de jour et c'était encore plus impressionnant car là, on pouvait voir l'horizon. De ses mains, elle laissait glisser les grains de sable dans le vent. De ses yeux, elle s'émerveillait de la grande bleue.

Le plaisir la submergeait qu'Edenia commença à en parler tout haut...mais seule comme la dernière fois. Elle soupira. La jeune femme redevue petite fille en un instant se sentait bien seule dans son bonheur.

Edenia se sentait minuscule face à la mer et par réflexe se recroquevilla sur elle même. C'est à ce moment là qu'elle remarqua son petit ventre qui commençait à s'arrondir. Elle ne put s'empecher de sourire. Bien sûr que non, elle n'était pas seule!

Edenia se redressa donc et caressa son ventre en décrivant à haute voix ce qu'elle voyait, pensant ainsi que le petit être au fond imaginerait l'endroit où sa mère se trouvait.

Et la petite fille devint une petite mère. Edenia restait sur le sable à caresser son ventre qu'elle n'avait jamais osé toucher au paravent.

Le soleil était blanc, la journée était loin d'être finie mais Edenia s'assoupit, allongée sur le sable, la tête sur sa besace. Elle se laissait bercé par le son des vagues et des mouettes. La brise raffraichie caressant son visage. Ses traits s'étaient affinée et la jeune femme qu'était Edenia réapparue.

Tidole

S'approchant de plus près, pas très rassurée quand même, Tidole sentait son coeur cogner bien fort dans sa poitrine, redoutant quelque macabre découverte...

Quand courageusement Sylvine écarta le tissu détrempé par la mer pour regarder ce qu'il recouvrait, le temps sembla s'arrêter...
Enfin,elles virent apparaître une tête de l'os de belle dimension avec quelques morceaux de viande plus tout à fait fraîche mais encore appétissante pour attirer la nuée de mouettes.

Tidole eut une pensée émue pour balmusette à cet instant, mais elle était bien trop maline cette brebis pour se faire attraper...Surement s'agissait -il d'un mouton égaré qui aura fait la rencontre d'un ventre affamé.

Soulagée, elles rirent de concert au dessus de leur découverte

On dirait bien un vieux reste de gigot oublié, dommage un tibia de mouton t'aurait été plus utile pour y sculpter une nouvelle flûte, la prochaine fois peut être...

Tout en riant elles s'écartèrent laissant les mouettes revenir à l'assaut de leur festin.

Sylvine

Pendant que Sylvine discutait avec Tidole, les mouettes s’envolèrent en grande majorité.
La brune damoiselle vit alors un amas de tissus sur le sol détrempé. Son cœur chavira à la pensée d’un éventuel cadavre. Homme, femme enfant ??
Le cœur et les lèvres serrés, elle dévia ses pas vers le tas. Elle prit au passage une branche échouée et continua sa progression jusqu’à ce but.

Du bout de son bâton improvisé, elle souleva un des pans précautionneusement.
La tête blanche d’un os apparut. Elle ne put s’empêcher de déglutir et d’avoir un mouvement de recul, le recouvrant à nouveau.

La brune damoiselle regarda brièvement sa calme accompagnatrice.

Les oiseaux de mer se rapprochaient de plus en plus d’elles, de moins en moins effrayées par leur intrusion.

Faisant fi de son appréhension et devant réagir au plus vite, la meunière reprit ses investigations en soulevant d’un seul coup l’étoffe.
Celle-ci vola un peu plus loin, pour finir plaquée par une nuée blanche.
L’os se dressait fier dans le ciel.
La belle baissa son regard vers le sol.
Elle ne put réfréner un éclat de rire.
Hé bien cela, alors !!!! Je ne m’y attendais pas !

Tidole

Tidole était ravie de retrouver Sylvine, plutôt habituée aux promenades solitaires la pensée de partager un si beau paysage lui était agréable.

Oui profitons! J’avais besoin de l’air marin pour changer de celui du son ou de l’étable.

J'ai grand besoin d'air aussi, de cet horizon qui laisse filer les pensées au loin.

La vue de la mer c'était un peu comme les saisons qui se succèdent dans un rythme qui se répète à l'infini, ça la rassurait et l'aidait à réfléchir, et de sentir la mer si proche lui donnait plein de force aussi.

Je devrais venir plus souvent ici pour profiter de cet endroit merveilleux.

J'ai hâte de pouvoir me baigner à nouveau dans l'eau fraîche.

Ca ne te manques pas les baignades, te faire un peu remuer dans les vagues, se laisser porter c'est tellement agréable ?

L'hiver n'est pas encore là je crois que je vais devoir encore être patiente...

Nous avons eu une jolie petite tempête, il y a deux nuits. Une partie de mon toit en a fait les frais.
J’étais venue chercher quelques bois ou choses que la mer aurait rendus.

Tidole regarde un peu autour d'elle si quelques morceaux de bois flotter échoués sur la plage seraient bon à ramasser.

Quelques mouettes alertées par leur présence quittèrent la plage pour planer haut dans le ciel puis se poser à nouveau sur l'eau, elle les suivit un instant du regard, puis continua d'avancer aux côté de Sylvine

Sylvine

Sylvine approchait sans mouvements brusques afin d’éviter toute attaque de bec.
Elle n’arrivait cependant pas à distinguer ce qui mettait tant d’émoi chez les oiseaux de mer.
Des crissements de pas derrière elle se firent entendre.
Elle s’arrêta et se retourna.

Un grand sourire s’afficha sur son visage lorsqu’elle reconnut leur tribun Tidole.
Bonjour Tidole

"Tu as eu envie d'un tour sur la plage toi aussi, je crois qu'on a raison d'en profiter avant les prochaines pluies ! "
Elle leva les yeux et approuva les dires de la damoiselle.
Oui profitons! J’avais besoin de l’air marin pour changer de celui du son ou de l’étable.
Elle gonfla sa poitrine d'air levant son visage vers le ciel, un court instant.
C’est agréable, même si l’air est frais. Du moment que le ciel ne pleure pas, promenons nous. Elle sourit.

Nous avons eu une jolie petite tempête, il y a deux nuits. Une partie de mon toit en a fait les frais.
J’étais venue chercher quelques bois ou choses que la mer aurait rendus.

Regarde les mouettes on dirait que quelque chose les a attiré ici...
En effet…Elle reporta son attention sur ce qui l’avait intriguée…Je ne les ai jamais vues agir ainsi sauf sur un panier de poissons non gardé sur le quai.

Sylvine

Plusieurs jours s'étaient écoulés depuis sa dernière promenade. Le temps n'avait pas été des plus souriants.
La meunière profita d'une accalmie pour faire quelques pas sur la grève.
Son attention fut attirée par les cris des mouettes qui tournoyaient, se posaient en s'invectivant les une des autres.

Elle s'approcha de ce groupement ailé.
Qu'ont-elles bien pu trouver???

Tidole

Il y avait bien trop longtemps que Tidole n'avait pris le temps d'aller respirer sur le sentier qui longeait la plage.
C'était une journée sans nuage l'air était vif en cette saison mais devenait plus doux à l'approche de la côte.
Son regard dirigé vers la mer recouverte de fine écume, elle resta un long moment à observer le clapotement des vagues annonciateurs de vent et de pluie.

Elle quitta sa rêverie, pour apercevoir un attroupement de mouettes qui s'agitait au dessus du sable, non loin de là elle reconnu la silhouette de Sylvine, descendit rapidement jusqu'à la plage pour la rejoindre.

"Tu as eu envie d'un tour sur la plage toi aussi, je crois qu'on a raison d'en profiter avant les prochaines pluies ! Regarde les mouettes on dirait que quelque chose les a attiré ici..."

Sylvine

Encapuchonnée, Sylvine traversa la ville endormie. Les premières lueurs apparaissaient à peine. Le sommeil l’avait trahi cette nuit. Elle avait tourné un moment en rond chez elle puis au moulin. Elle avait besoin de prendre l’air, d’essayer de se vider la tête ou du moins y voir plus clair.

La première chose qu’elle fit, une fois que ses chausses crissèrent sur le gravier, fut de se rendre à la dans la petite caverne accessible à marée basse. Elle avait cueilli quelques brins de bruyère en fleurs en chemin.

Après l’escalade de la digue puis de la paroi naturelle de la grotte, elle déposa le bouquet devant la statue toujours face à la mer et qui représentait son amie. Oh que certains lui manquaient !!! Elle et puis bien d’autres, tous partis rejoindre le créateur. Une vague de nostalgie envahit son cœur, vague qu’elle ne connaissait trop bien.

Non, non ! Secoue-toi ma fille ! Ce n’est pas le moment de t’épandre ! Elle eut un sourire amer. Oui c’est bien ce qu’aurait dit son paternel ! Elle devait être comme ce récif,
qu’elle voyait devant elle, résister aux assauts des vagues même si elle perdait de temps en temps un morceau d’elle-même.

Elle descendit de son perchoir, traversa la petite étendue sableuse, escalada à nouveau la digue fit une partie du chemin inverse mais bifurqua vers les falaises. Elle emprunta une sente sinueuse et se retrouva au-dessus de la caverne. Le poste d’observation d’Aubrée, sourit-elle.

La vue était imprenable : un tour complet sur l’immensité maritime et les terres. Elle pouvait contempler à sa gauche Bertincourt qui s’étalait avec ses échoppes disséminées, son port avec ses quais encombrés puis le champ de chanvre, la plage ; à ses pieds, le théâtre qui semblait abandonné; à sa droite, au loin, se profilaient les murs du couvent et une grande étendue herbeuse . Elle fit un quart de tour sur elle-même toujours à sa droite, aperçut les moulins dont le sien avec en arrière,–plan le terrain de soule. Elle pivota complètement, le lac, les remparts, l’église et la place du marché et les champs qui s’étendaient à perte de vue avec, au loin, les manoirs des différents domaines.

Elle s’assit face à la grande étendue d’eau, couleur pierre, en ce jour d’automne découvrant d’un geste en arrière de la main ses cheveux.
Puis, la brune damoiselle sortit de sa besace un petit instrument en bois, le porta à ses lèvres. Les cheveux se soulevant doucement sous la brise, elle entama un petit air nostalgique destiné à ses amis disparus, puis un autre plus neutre pour ceux en voyage ou loin d'elle, un troisième plus gai pour ceux qui, derrière elle, dormaient encore ou se réveillaient à peine, enfin, un dernier, plus revigorant, pour encourager l’Artois.
La dernière note émise, elle rangea le flutiau, se leva. La taverne et ses obligations l’attendaient.

Ewylan

Malgré le froid qui s'installait progressivement sur la ville, Ewy ne pouvait résister à laisser ses pas l'emmener à la plage. Mais pas de bêtise avec les enfants aujourd'hui. Eux resteraient confiné à la maison pendant son détour.

Elle se trouvait au pied du phare et s'y adossa pour y fermer les yeux. Respiration profonde, sensation de l'air iodé dans ses narines. Que cela pouvait faire du bien par là où ca passait !
Il ne lui suffisait plus qu'à faire le vide dans sa tête... Dur dur avec ce qui s'y trouvait ! Bon, ne pas s'affliger et continuer àrespirer profondément, refouler toutes images et toutes pensées. Elle y arrivait parfaitement jusqu'au moment où une mouette pialla au-dessus de sa tête. Alors là, les pensées d'Ewy s'envolèrent dans le ciel, à la recherche de liberté...

Elle leva les yeux dans les nuages avec un sourire mi-triste. Non ! il ne fallait pas retomber dans la tristesse maintenant ! Elle se reconcentra, en vain. Elle finit par s'énerver puis se leva et repartir sur ses pas. Vers son chez elle, autour d'une bonne chopine. Au moins, elle n'avait pas paniqué...

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.isabelle

Chou venait de boucler son baluchon, elle décida d'aller faire un tour à la plage.

A peine quelques pas et elle tombe sur sa puce adorée

Marine, je suis contente de le voir !

la bisouille et la câline fort.

Je pars cette nuit, mais je vais passer cette soirée avec toi. J'ai envie de regarder les étoiles et de pouvoir les toucher, comme tu sais si bien le faire.

Chou lui sourit.

Tu sais, je suis persuadée que le coucher de soleil va être magnifique. Il ni à aucun nuage.

Chou s''allongea sur le sable, passe ses bras sous sa tête. Et scrute le ciel.

Missmonde

Miss amena Aphrodite pour la dernière foi a la plage car le froid commence a arriver.

Allez Aphrodite tu veux me faire un château de sable ? Vas y

Miss voix Aphrodite en plein travaille mais bon un château de sable d'un enfants de 1 ans et demi.

Allez Aphrodite en rentre ton petit frère et Maman Noug doit être inquiet de pas nous voir. Si tu veux tu peux prendre un peu de sable et un peu de coquillage pour la maison .

Miss aida Aphrodite a prendre un peu de
sable et de coquillage puis mis Aphrodite dans les bras pour rentre a la maison.

Marine98

marine se promenait sur le sable ,elle attendait oly pour voir le coucher de soleil avec elle et resté admiré les étoiles,elle prépara tout et attendit tranquillement que sa grande sœur arrive

marine attendait avec martyre la fille de flap quelle faisait barboter dans l'eau elles mangèrent et admirèrent le beau ciel étoilé

tu vois martyre!!nyyaaaaa se sont des étoile la plus belle chose du monde

elle continua de montrer les constellations autour du feu en riant

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Posts groupés. Les explications sont par MP.
Merci d'y donner suite.

{LaChouette}

Merlina

Chevauchant Goliath qui marchait au trot..Merlina arriva tranquillement vers la plage s'offrant une promenade des plus délicieuses..
La jeune femme semblait renaître depuis quelques temps...Et pour cause, sa petite fille, la prunelle de ses yeux , Yseult grandissait à vue d'oeil mais se portait en très bonne santé... Alice semblait heureuse comme jamais depuis que le portier de l'auberge lui faisait la court ....

Sa cousine Grenat Alexandria allait se marier dans peu de temps avec son fiancé Valric et tout deux lui avait promis de venir très bientôt la chercher.... Enfin^^! tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes...

Mais aussi bien que la jeune femme s'était promise de ne plus avoir d'hommes dans sa vie, avait-elle rencontré une vieille connaissance qui dès qu'il avait apparu lui avait déclaré être amoureux d'elle et que ses raisons d'être réapparu au village était celles-ci... Il voulait la retrouver... et en la voyant le coup de foudre avait éclaté entre eux...

Aussi chaque moments passés en sa compagnie étaient magiques entre eux...Ils ne se lassaient pas d'être ensemble..riants, mais aussi faisant des beaux projets d'avenirs ensemble... La seule peur de la jeune femme était de se dire que tout ceci était peut-être un rêve..... Car sachant le passé de celui-ci, était-il prêt à renoncer à la vie qu'il avait choisis pour en choisir une autre très différente en sa compagnie? En cela Merlina avait quelques doutes mais elle voulait se donner une chance pour croire en ses paroles....
Et aussi lui donner l'espoirs que la vie peut être belle autrement que dans son ancienne vie... Mais bien consciente que les gens ne changeait pas du jour au lendemain... Merlina se donnait du temps...

Oui nous verrons avec le temps ce qu'il adviendra.. pour l'heure je ne veux que penser à notre bonheur et aux moments présents..pensa t-elle...

Et c'est en regardant le soleil se lever vers la mer que la jeune femme continua sa chevauché assise sur son fameux destrier et ami..Goliath..

Ewylan

Dans un moment pareil, Ewy ne pouvait se tourner que vers sa plage...

Les enfants courant plus loin, elle se tenait assise dans le sable, bras et bas des jambes laissés au contact de l'air et du vent. Les yeux mi-clos, ses pensées voguaient au ruissellement des vagues venant s'échouer sur le sable. Berti n'était plus la même... A son arrivée avec Pal et les enfants, l'ambiance était au plus fort ! Elle avait réussi à s'intégrer dans un bon groupe d'amis, âges et mentalités mélangés mais migrant vers un même point d'honneur: l'humour.
Aujourd'hui, il ne restait qu'elle et un autre de ce groupe, une autre personne venait de temps en temps, aussi, mais pas de quoi faire revivre le passé...

La jeune maman enfouit son visage dans ses bras repliés. Pourquoi, dans une vie, devait-on garder le plus douloureux à l'esprit et oublier le meilleur, le laisser s'échapper tout au fond du gouffre ?
Une larme coula, douloureuse et amer.
Ses amis partaient les uns après les autres. Son tour arrivait. Lentement mais surement ! Elle préparait déjà son voyage... Ses affaires étaient prêtes, ne restaient plus qu'à savoir avec qui et dans quelle direction ?

Reviendrais-je, au moins ? murmura-t-elle, complètement perdue...

Elle releva la tête et vit ses enfants se tenant juste devant elle, à la regarder d'un air inquiet.

Aller jouer un peu plus loin, mes chéris...

Môman, tu as froid ! T'as les ptits boutons des poules partout sur le corps... Et pis... La petite eut un temps de pause pour se mordre la lèvre inférieur avant de reprendre: c'est quoi cette histoire de ne "jamais revenir" ??? Nouvel arrêt. Depuis quelques temps, tu me fais peur môman... Tu es toujours pensive.

Lucie, va jouer plus loin que je te dis, ne t'en fais pas pour moi. Môman réfléchit.

Mais... Tu attendras Papa, hein, dis ??

Ewy soupira intérieurement, se retenant de baisser les yeux au sol, puis se leva brusquement en prenant une grimace de colère pour leur faire peur. Le manège fonctionna: Lucie emmena son petit frère en direction du village en courant presque, se retournant même pas. Ewy venait de se mettre à dos les enfants en prime. Elle soupira tristement en se rasseyant lourdement. Tant pis pour le popotin, elle était à bout de force à rien faire... Naturellement qu'elle attendrait Pal, sauf si il ne se décidait pas à sortir de sa retraite. Là, ce serait une autre histoire...

Elle observa la mer, souriant en repensant à se qui s'était déroulé ici y'a une paire de semaines... "Complètement folle !" ricana une pauvre voix dans sa tête. "Il est temps de partir ! "
Un nouveau ricament retentit dans son esprit, une deuxième personne qui voulait se mélanger à elle et qui ne la lacherait pas. Ewy eut un tout ptit sourire cruel avant de redevenir normal.

Quelques minutes plus tard, une jeune femme, seule et toujours aussi perdue, marchait sur la plage en direction de Dieppe pour finalement revenir vers Berti tristement.
Le voyage n'était pas prévu pour maintenant et encore moins dans cette direction... Le bonheur la fuyait comme la peste. Bref, une nouvelle page de sa vie se tournait !

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Missmonde

Miss alla se promener avec les petits le temps était trop beau pour pas profiter de la plage et de tromper les pieds. Elle poussa la poussette de Martin et Aphrodite tenait la poussette . Aphrodite vit l'eau et Miss avait compris que Aphrodite voulait allez de baigner

Aphrodite je veux bien t'amener au bord de l'eau mais avant faut que Matin ton frère se réveille et on iras se baigner les pieds seulement.

Elle la vit embête un peu son frère qui dormais jusqu'a présent.

Miss enleva ces chaussures et les chaussures de Aphrodite puis pris Martin dans les bras et alla se baigner que les pieds pour le plaisir Aphrodite. Matin regardé partout . Miss s'assied sur le sable après le trempage des pieds pendant que Aphrodite jouée dans le sable. Elle laissa Martin regarder partout il se fixa sur le sable la mer et le ciel.

Allait Aphrodite et Matin on rentre voir Maman Nougat.

Mais vit que Aphrodite commença a être fatiguée. Elle mis Martin dans la poussette et pris Aphrodite dans les bras et rentra les coucher.

Merlina

Merlina s'était levée de bon matin..le sourire aux lèvres.. Elle avait laissé Yseult seule avec sa nourrice Alice pour pouvoir faire une chevaucher avec son étalon blanc Goliath. Le pauvre cheval avait été négligé depuis quelques temps. Et la jeune femme avait besoin de s'évader un peu.

Elle enfourcha son destrier et partie au galop accompagné aussi de son fidèle ami Thor, son faucon pélerin...

Arrivée un peu essoufflée, le vent dans ses cheveux, la jeune femme s'arrêta près de la plage puis partie au trot doucement, regardant enfin le levé du jour......

Enfin..un espoir doux mais lumineux arriva dans son coeur...l'espoir qu'une nouvelle vie serait meilleure pour elle et sa fille...L'espoir que le bonheur de vivre de nouvelles aventures seraient le bienvenue..une aventure qu'elle espérait positive et pleine de promesse....

Elle regarda le ciel et ses couleurs..puis le chant des goélands qui volaient près de la mer....

Oui la mer et cette vue va me manquer...mais qui sait un jour peut-être vais-je revenir? Que le temps passe si vite... pensa t-elle....

Elle pensa à sa vie à Bertincourt..à la joie qu'elle avait eu..à tout ce qu'elle avait vécu de biens et de moins biens. Elle se disait que rien n'arriva pour rien...que ce nouveau départ était peut-être une nouvelle vie plus belle, remplit de joie.. et de prospérité..

Puis continuant sa promenade matinale avec Goliath.. elle vit son faucon se poser sur son bras....souriant de le voir près d'elle, la jeune femme lui murmura des paroles que lui seul pouvait entendre..

Ahh..J'ai hâte que messire Julho soit de retour à Bertincourt mon ami...comme cela nous serons en sécurité pour partir..lui confia t-elle..Tu crois qu'il pourrait te présenter à l'un de ses faucons? Ahhh peut-être mon ami!....souriait-elle Allons voir Yseult maintenant hien?..

De ce fait, la jeune femme partie au galop, vent dans les cheveux

Ewylan

Ewy revint sur cet endroit magique alors que l'heure du gouter n'avait encore sonné. Elle se tenait à côté du petit poney de sa fille, où cette dernière et Edwin étaient perchés.

La jeune femme avançait d'un pas maussade, presque douloureux. L'attente était trop longue. Elle rêvait déjà de repartir en voyage: elle y avait pris goût sans s'en rendre compte. Mais partir seule ?? Non, elle ne pouvait s'y résoudre; elle attendrait le retour prochain de Son Chevalier Blanc-jamais-là.
Un sourire cruel lui traversa le visage.

Ils se tenaient à présent sur le sable. Ewy fit descendre les enfants de leur perchoir, ruminant sous l'effort quand vint le tour de Lucie. La petite fille grandissait et devenait lourde à sa pauvre mère fatiguée, usée par la vie. Edwin courrait lentement en badillant de bonheur, fuyant sa soeur qui hurlait après lui à pas lents pour lui laisserde l'avance.
Ewy sourit en les surveillant, caressant rêveusement le derrière de l'oreille de l'animal. Une chance que cette famille soit unie...

Les minutes passaient et Ewy rêvassait toujours lorsqu'Edwin demanda si ils pouvaient s'amuser aussi dans l'eau.

D'accord... Mais ne vous éloignez pas trop !

Elle n'avait pas compris que le "ils" qu'avait employé son fils l'incluait elle aussi. Il ne manqua pas de le lui montrer en la tirant par sa houppelande vers l'eau.

Heu... mon chéri, maman est fatiguée...

Bain froid faire bien ! lui répondit énergétiquement Edwin. Venir avec nous !

S'il te plait ! la pria Lucie qui venait de les rejoindre. Fais nous plaisir !

Un de ces jours, faudra que je me mette à quatre pattes pour vous faire plaisir...

Oh vi ! t'feras cheval !

Ewy éclata de rire en ébourrifant les cheveux de son bout de chou. Elle accepta cet épreuve en riant, la remettant néanmoins pour tout à l'heure à la maison. Elle enleva ensuite sa houppelande, gardant tout de même ses braies et une chemise sur elle, et aida ses enfants à se déshabiller un peu. Ensuite, elle jucha difficilement Edwin sur ses épaules et se mit à courrir doucement. Lucie rigolait en les suivant.

Ils se retrouvèrent bien vite dans l'eau et Ewy cria en sentant la fraicheur de cette dernière. Bigre ce qu'elle était glacée ! Lucie rigolait toujours en l'entourant, essayant de la faire tomber. Edwin criait et tapait le crâne de sa mère de ses petits poings pour descendre. Elle le fit avec empressement.
Les deux enfants se jetèrent avec un rictus effrayant sur leur mère et essayèrent de la faire couler. Ewy les laissa faire de bonne grâce, faisant tout de même mine de se défendre, se pretant au jeu.
Ils s'amusaient tous comme des ptits fous, et rien ne venait entacher un bonheur aussi simple que de jouer en famille !
Pour se venger, la jeune maman attrappa Lucie et la plaqua deux secondes sous l'eau avant de la remonter. La fillettre recracha de l'eau avec une mine de dégout.

Tricheuse ! Tu m'as prise pas surprise !

Héhé ! c'était le but ma princesse.

Edwin vint s'accrocher par derrière aux jambes de sa mère tandis que sa soeur la tirait par les épaules vers l'eau. C'était reparti pour un tour ! Ewy fut dans l'eau plus vite qu'elle ne pensait et n'eut pas le temps de reprendre sa respiration. Ses enfants le comprirent vite et la relevèrent sans plus attendre. Ils éclatèrent de rire en voyant leur mère toute rouge. Celle-ci se joingnit à eux après un temps de réaction.

Plus tard, la jeune femme leur apprenait à flotter sur l'eau. Les bouts de chou n'arrivaient pas à se détendre et ce fut donc un échec total. Lucie et Edwin sortirent de l'eau pour s'affaler sur le sable, épuisés, tandis que leur mère faisait quelques nages.

Tu nages comme un poisson, m'man !

Gros poisson alors !

Elle finit par sortir de l'eau et à s'étaler elle aussi sur le sable, alors que ses enfants se relevaient déjà et effrayaient les mouettes. Ils ne se posent jamais, ces deux-là... C'était le seul soucis d'avoir des enfants: fallait avoir des nerfs redoutable. Et un bon sens de l'humour aussi ! La jeune femme en faisait les frais...

La famille se rhabilla lorsqu'Edwin cria famine. Elle les rejucha sur leur selle.

Allez Bourricot ! Il est temps d'avancer maintenant !

Mais le poney n'avança pas d'un poil. Ewy en resta médusée, les yeux écarquillés. Les enfants eurent là encore un excès de rire en la voyant. La jeune femme eut beau la tirer, la pousser, la bête ne bougea pas.

T'es mignon, Bourricot, mais si tu bouges pas, je t'abandonne là... Elle rajouta en entendant ses enfants rires: avec les enfants ! Tu t'en occuperas bien, je suppose...

Evidemment, la bête s'en fichait éperduement de ses enfants, poids lourds sur son pauvre dos. Lucie, en colère de la proposition de leur môman, se leva et cria doucement en caressant la tête de son poney:

Mon ami, il faut avancer maintenant.

Et la bête avança... Ewy, excédée, demanda à sa fille se de manifester plus tôt la prochaine fois. Lucie, malicieuse et pleine d'innocence, lui répondit qu'elle trouvait cela trop drôle de voir sa mère ne pas réussir à se dépétrer d'un problème si simple. Suffisait de politesse et d'une caresse, tout de même !
Cette histoire finit par une mine boudeuse du côté de l'adulte tandis que les enfants riaient encore et encore.

Tous heureux.

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Sylvine

Sylvine se retourna, une fois, son objectif atteint, regarda la pointe du récif. Elle n’aurait, en effet, pas beaucoup de temps dès que les vagues la lècheraient. Pour l’instant la mer était encore loin.

La brunette entra dans la cavité sombre encore ruisselante. Le tronc d’un arbre gisait, sur le côté,ramené sûrement lors des grandes marées. Ses yeux s’habituèrent à la pénombre. Elle pouvait discerner les anfractuosités de la roche. Elle leva la tête cherchant des yeux les points de lumières.
Elle voulait un petit espace hors momentanément des eaux mais ouvert sur le large.
Elle tourna sur elle-même lentement, analysant chaque recoin et son accessibilité.

Ce fut au-dessus de l’entrée qu’elle trouva ce qu’elle cherchait. On aurait dit que le temps avait sculpté une niche.
Elle referma sa main droite sur le manche de sa miséricorde, fidèle compagne, toujours à sa ceinture et la dégaina.
Elle la planta à deux mains au-dessus d’elle puis se hissa, plaça ses pieds. S’agrippant à la paroi, elle retira la lame, prit le manche entre ses dents et continua à escalader.
Elle alternait plantage de lame, hissage, escalade à mains nues.

Son visage arriva à la hauteur de l’ouverture, elle se trouvait maintenant bien à huit coudées du sol.
Elle serra le manche de sa dague entre ses dents, colla son épaule contre la masse rocheuse et défit le paquet de sa ceinture. Elle le déposa doucement, desserra les liens et entrouvrit les pans de tissus,puis posa sa dague à côté.
La meunière sourit. Le transport et l’escalade ne l’avaient pas malmenée.

Sylvine passa doucement ses doigts sur la partie du bois ciré qui représentait le visage et les longs cheveux de son amie, la charpentière.
Elle sourit et parla comme si elle avait été présente devant elle.

Je sais.. Tu avais dit aucune cérémonie, aucun hommage… mais bon, on ne me changera pas.
La jeune femme plaça la statuette, face tournée vers la mer, comme elle avait souvent vu son amie le faire.
C’est la vue que tu affectionnais …un peu moins haut, certes, mais le ponton est juste au-dessus de nous.
Je ne pouvais faire autrement.
Que le créateur t’accueille parmi les siens, ma douce amie. Une larme perla sur sa joue.
Merci encore pour le chemin qu’on a fait ensemble bien que celui-ci fut court.
Sylvine plia et rangea la pièce de tissu à sa taille. Elle baissa la tête et embrassa la sculpture de bois. Adieu…Aubree.

Elle reprit sa petite arme entre les dents et regarda à travers l’ouverture. Elle vit l’écume poindre à l’horizon.
Elle descendit précautionneusement et sauta sur le sol…Le ressac commençait à se faire entendre.
Elle rengaina sa miséricorde.

Une idée folle lui traversa alors l’esprit. Une manie qu’elle avait enfant lorsque son cœur était lourd.
Elle prit une branche et se mit à écrire sur le sol mouillé de la caverne, elle y inscrivit ses peines et ses chagrins. Une fois, le dernier point mis, elle jeta la branche et scruta la pointe du récif. Les vagues accouraient vers elle.
Elle inspecta une dernière fois la caverne. Elle pouvait y rester et oublier…La première vague se brisa sur l’écueil en face de la pointe.

Instinct de survie… Peut-être...En tout cas, elle se mit à courir vers la seule issue à la vie, le chemin par lequel elle était venue. La brune n’avait grimpé qu’une coudée de la barre rocheuse que les vagues lui léchaient déjà les pieds.

Une fois, à son sommet elle se tourna, observa un instant l’entrée se remplir.
Contente du devoir accompli, elle s’empressa de regagner la plage, traversa la ville par des chemins détournés, arriva chez elle, se lava et se vêtit de propre.

Persmerga

Le jeune homme ressentit un présence s'accrocher a lui.
Elle lui était familière et agréable, apaisant sont cœur troubler.
Elle lui embrassa le coup avec sensualité laissant apparaitre un léger sourire de réconfort dans ses bras.

Avait elle entendu la détresse silencieuse de cette ancien soldat?
Pour l'heure Persmerga n'était pas sur de cela, jusqu'aux moment ou elle lui demanda d'où provenait ces larmes de tristesse.

Le jeune homme se retourna alors vers son âme sœur.
Il passa l'une de ses mains dans ses doux cheveux noir, brillant également pour la lumière de la lune et des étoiles.
Et c'est avec un léger sourire qui venait intensifier la tristesse de ses yeux qui lui répondit d'une voie presque inaudible.

Les mauvais souvenir du passé sont revenus me hanté.
Je me demandais ce qui serai advenu de ma vie si jamais tu n'avais pas été présent.

A ses mots une seul envie l'envahit alors. Celle d'embrasser son aimer avec un long baisé.

Sylvine

Les cheveux voilés ceints d’osier, Sylvine marchait sur la grève mouillée.
Le ciel était parsemé de petits nuages qui blanchissaient devant le jour qui se levait. La journée promettait d’être belle, elle esquissa un sourire. Et pourtant dans son cœur et sa tête, les nuages de tristesse se bousculaient toujours présents mais moins virulents. L’orage était passé, déversant quelques larmes sur ses joues, trois journées auparavant, elle, qui pleurait si peu.

Elle leva, quelques instants, sonvisage, regardant l’immensité au-dessus d’elle, cherchant quelques réponses qui, elle le savait, ne viendraient pas. Seul le temps pouvait effacer comme font les vagues sur les traces d’un sol détrempé, calmer ce mal-être qui s’endormait et se réveillait à tout à propos.

Elle se sentait, si seule, en ce moment. Elle voyait partir vers le créateur de plus en plus d’amis, d’autres prenaient la route avec l’idée de non-retour parmi eux. C’était aussi la saison des retraites, peu de diversions à ses soucis apparaissaient.
L’amitié prodiguée par certains et sa charge de tribun la maintenaient à ne pas rester enfermée dans son moulin.

Oh qu’elle aurait tant aimé se réfugier dans les doux bras de celui qui avait su la conquérir, sentir la chaleur de son corps, ses bras autour de sa taille, ses lèvres sur sa peau.
Dès qu’elle était avec lui, pas besoin de parler, d’expliquer, une brise chaude envahissait son être chassant les ennuis comme par magie. Certes certains revenaient, dès ces instants passés, mais elle était plus apte à les affronter.

La meunière avait maintenant parcouru presque la totalité de la plage, devant elle une barre de récifs se dressait. Elle vérifia que le petit paquet qu’elle avait fixé à sa taille était bien accroché.

Elle commença à escalader les rochers couverts de varech, glissant par moment et se rattrapant de justesse. Sa jupe se couvrit rapidement de trainées vertes. Une fois au sommet, elle vit à ses pieds la cavité recherchée, celle qu’on apercevait qu’à marée basse, et qui était submergée complètement pendant les grandes marées. Un endroit dangereux où l’eau s’engouffrait vite provoquant d’énormes tourbillons.

La descente ne fut guère aisée. L’odeur iodée d’algues décomposées envahissait ses narines et s’insinuait à travers ses vêtements et sa chevelure.
Elle posa enfin une chausse sur le sol. Elle courut vers cette grotte que surplombait la falaise… Elle devait se hâter.

Merlina

La jeune femme avait décidé de marcher un peu sur la plage en cette belle soirée. Elle avait le sentiment très fort de retrouver son tendre chevalier pour qui son coeur ne cessait de battre... Elle avait laissé leurs fille entre les mains de la nourrice puis traîna ses pieds sur la plage...regardant de par delà le couché de soleil ainsi que les étoiles qui semblaient briller plus en cet instant.

Puis elle remarqua enfin l'être de ses pensées qui était devant elle .. et qui semblait avoir un drôle d'air comme si celui-ci portait la terre entière sur ses épaule.... Elle remarqua qui sembla triste et se demanda pourquoi il semblait si soucieux...

Elle s'approcha de lui à pas de loup souriante..confiante mais déterminée à savoir quels étaient les démons intérieurs qui se disputaient tant ses pensées si sombres qui semblaient animer son visage......

Étant enfin à porté de lui, elle le pris par la taille derrière son dos..puis l'embrassa dans le cou en lui disant....

Bonsoir ! Mon aimé.... mais qu'as tu? Tu sembles si triste...... Raconte moi ce qui ne va pas..je t'en pris...lui demanda t-elle tout en le caressant..

Persmerga

Le jeune homme parcourait le long de la plage du village de Bertincourt.
Debout sur cette plage alors que même les bougies qui éclaircissait les murs du village se sont éteint laissant place aux étoiles et a la lune se reflétant sur les route pavées, l'eau ainsi que le sable de feux.
Magie des dernières heures pour les plus courageux des dormeurs, et une aventure renouveler de ceux qui ne trouve pas le sommeille.

Une paradis d'avant l'heure, remplit de poésie pour les amoureux allongée sur le sable encore chaud. Le jardin d'Éden.
Le jeune homme se risqua de mettre ses pieds dans l'eau encore fraiche.
Un sourire enjoliva son visage, les yeux fixant à présent le croissant de lune.

Une main posé délicatement sur le pommeau de son épée, il continue d'avancer sur la plage se remémorant quelques souvenir d'un passé bien éloigné.

La fête qui avait lieu lui avait permit de revoir quelques connaissance qui ne semblait plus se souvenir de lui. Ou peut être ne le voulaient elles plus.
Il ne pouvait leurs en tenir rigueur.

Le jeune homme continuait de déambuler sur cette plage pensant à ce qu'il avait fait et ce qu'il aurait du faire.
Puis vient alors le moment ou ses jambes ne pouvait plus le porter l'obligeant alors à s'allonger à son tours imitant les quelques couples qu'il avait croisé lors de son long chemin débordante d'émotion.

A cette instant il se demandait ce qu'il pouvait bien lui arriver.
Ses démons le suivait et le suivrai surement jusqu'à son dernier soupir.
Partout ou il passait il rencontrait de très bonne personnes et créait des liens puissant qu'il pensait indestructible.

C'est le visage sur le sable qu'il continuait de pensé ou bien de rêver à ses choses qui lui manquait et qu'il disposait.
Ses liens aussi fort que le diamant qui fonde comme la neige au soleil alors que les malheurs des Hommes passe dévorant leur cœur et leurs humanités.
Lui même avait brisé ses liens amère des souffrances de la guerre qui prenait la vie de ses amis jonchant les champs de bataille.

Une larmes sur la joue abreuva le sable doux. Cette homme qui n'avait déjà que trop pleurer les disparut de la vie ne pouvait s'empêcher de continuer. Ses pensées envahir chaque partit de son être laissant place a un flot de douleur qu'il ne pouvait qu'extérioriser.

Une fois la dernière gout et sa douleur évaporer par le vent qui lui réchauffait son âme meurtrie, il se remémora les visages de tous ceux pour qui lui avait eu des sentiments ses quatre dernière année. Il avait brisée des liens qui s'était affaiblit mais en avait renforcer d'autre. Les larmes de tristesse firent place à celle de joie.

Les épreuves qu'il avait passé avait été des plus dure, mais il n'oubliait pas ceux à qui la vie n'offrait son amour qu'en passant obligatoirement par la haine et la peur mais aussi à ceux à qui l'amour leur avait été privé en un instant. Il n'était pas seul à avoir endurer cette souffrance et pour cela il se devait de relever la tête et continuer avec les personne qu'il admirait.

Fatiguer, il se releva caressant son visage laissant tomber le sable qui s'était accroché a lui. Le visage de sa fille et de sa fiancée lui donnèrent la force d'avancer mettant un pied devant l'autre. Des pas brutal atténuer par le sable qui se voulais envahissant cherchant à le retenir.

Savait il qu'il pouvait encore pleurer et qu'il pouvait encore le rafraichir de ses douleurs et de ses joies? L'homme était pourtant bien décider a s'arracher de ses tourments. Devant lui était l'avenir qu'il se devait de tracer. Il savait qu'il serait confronter a des choix difficile. Mais en continuant de marcher il choisissait le choix d'avancer et de ne pas baisser les bras.

Le vent le poussait alors que le sable se dispersait dans toutes les directions relâchant sont étreinte. Un homme libérer venait de revenir d'entre ses démons qui hantait ses rêves et qu'il avait décider de combattre.

--Balmusette_la_brebis

Balmusette se laissa gratouiller la laine avec satisfaction. Si elle avait été féline, elle aurait ronronné. Elle était ovine, et se contenta de bêler joyeusement.

Elle approuva vertement le fait que son maître était une saleté de grenouille de bénitier, complètement crétin, qui se faisait endoctriner par le patriarcat rétrogade l'Eglise. Elle commença à déblatérer des tas d'insanités qui aurait défroqué une classe entière de séminaristes, et Tidole pensa que c'était juste du contentement. Balmusette, constatant son échec de communication inter-espèce, mis fin à leur relation torride et repartit pour de bon vers la ville.

But Balmusette was just a sheep, so, etc...

--Balmusette_la_brebis

Notre brebis préférée continua sa balade en venant regarder la mer. Tant d'eau! Elle pissa sur un bout de bois.

Elle tenta ensuite d'engager la conversation avec une mouette, qui s'avéra beaucoup trop conne. balmusette s'en retourna vers la villeEvidemment, tout ça se serait passé ainsi si, comme nous le faisons remarquer frénétiquement au point d'en être pénible mais afin de rester dans une logique RP qui se perd, ce n'était pas une brebis (Ovis Aries feminae).

Tidole

Tidole rentrai de son périple du pays des bombardes, l'esprit un peu confus, ne sachant pas trop bien quel chemin emprunter, quand elle aperçut une brebis égarée.

Sentant que l'animal avait besoin de communiquer, je commençais par sourire bêtement, un peu comme à la taverne ...

Moi c'est Tidole, du village, et toi tu ne serais pas la brebis Balmusette du nouveau paysan qui se fourvoie à l'église, alors une petite envie de prendre l'air, voire si l'herbe est plus verte dans le champs d'à côté ?

Attendant quelque message télépathique, Tidole gratouilla la tête frisée de l'animal.

Aubree_du_meslay

Assise sur le sable que les rayons du soleil commençaient à rechauffer , Aubrée epuisée et affaiblie par un mal inconnu , qui la rongeait doucement , vint dire au revoir à cette plage et à la mer , qui avaient été pour elle des endroits où elle avait souvent trouvé réconfort .
Souvent le fait de venir y mediter et y cacher ses chagrins l'avait apaisé.

Cette plage avait aussi souvent été le témoin des moments de joie et de bonheur .
Elle sourit en songeant aux tendres moments passés dans les bras de celui qu'elle avait tendrement aimé et qui un jour etait parti sans jamais revenir ...
Tout avait une fin , elle le savait , mais elle ne pensait pas que celà arriverait aussi vite
Aussi se trouva t'elle desemparée et perdue lorsque Garchcroc l'avait abandonné .

Son chagrin l'avait rongé petit à petit et en ce beau jour ensoleillé , elle etait là en train de faire ses adieux à ce morceau de terre qui un jour l'avait acceuilli , elle... la bretonne ....

Avec nostalgie et tendresse , elle songea à tous ceux qui l'avaient acceuilli dans ce village , notamment Virbule qui etait tribun à l'epoque , aux ami(e)s qu'elle avait trouvé ici même , aux bons moments passés en taverne , à grimper sur les poutres pour avoir droit à une noisette de l'ecureuil ^^.

Se levant avec difficulté , les joues inondées de larmes , elle regarda la mer une derniere fois , puis doucement elle reprit le chemin du couvent, où l'attendait sa Canaille que la mère superieure avait adopté avec joie et où elle rendrait son dernier soupir dans quelques jours ....

Kiria

Elle était pourtant certaine de n'avoir vu personne sur ce coin de plage.

Entrée dans l'eau jusqu'à la taille elle entendit un bruit de pas dans l'eau et une voix qu'elle connaissait

Citation:

bonjour Kiria! Tu viens nager avec moi ?

Minuit la dépassa et entra à son tour dans la mer.
Depuis quand était-il sur la plage ?

Un instant confuse de se trouver si peu vêtue, elle s'enfonça dans l'eau jusqu'au cou. Après tout, elle lui avait vanté les beautés de la plage, et se baigner en bonne compagnie serait bien plus agréable. Elle sourit et le voyant déjà éloigné de quelques mètres lui cria "J'arrive" , se mettant à nager en sa direction.

Une mouette rieuse passa au ras des vagues, à un mètre de sa tête, faisant entendre son cri moqueur.

Aurore81

Bah le v'la, l'coup foireux !!!! Pffff, elle l'avait pourtant sentit v'nir, même si c'était au dernier moment, aucun réflexe, c'est quoi c'tte donzelle. Son sourire sadique l'avait pourtant prévenu. Lorsqu'elle voulut s'échapper, elle se sentit soulevée d'un coup net, c'était la fin là... se sentant balloté et essayant de s'extirper de l'étreinte de Sernays, ses efforts était vain, c'est qu'il avait une bonne poigne le bougre!! Elle voulut le mordre, sur le coups mais elle pensa aussi à la chute qui lui ferait plus de mal. Erf là, elle ne pouvait se défendre comme de coutume. C'est alors qu'il lui dit que c'etait pour la rafraichir. Aurore ecarquilla les yeux et cette fois elle se tenu bien a Sernays.

-NAAaaaaan, n'fais pas ça !!!!!

Elle n'eut pas le temps d'en dire plus et elle se retrouver immergée, elle se redressa pour sortir de l'eau, ne voyant pas Sernays elle se tourna et re retourna.... Elle sentit néanmoins des remous dans l'eau, sourire en coin, attendant qu'il en sorte.... Elle le louperais pas pour sûr... C'est alors qu'il sortit d'l'eau et ne le laissant pas r'prendre sa respiration entièrement, elle appuya avec ses deux mains sur ses épaules, le voyant s'engouffrer, elle ne perdit pas de temps a se carapaté , elle nagea vers le bord pour pas qu'elle se retrouve une fois la tête sous l'eau... Du moins c'était plus pour s'éloigner de son démoniaque amour que pour sortir, la fraicheur de l'eau était appréciable au plus haut point, finalement c'était pas une si mauvaise idée qu'il avait eu là...

Minuit

Minuit eut envie de se baigner dans cette eau, il n'en avait pas encore eu l'occasion mais cette fois ci c'était différent.
Il vit un peu plus loin Kiria qui trempée ses pieds.

Il vint à sa rencontre.

"bonjour Kiria! Tu viens nager avec moi?"

Il se mit alors face à la mer sans lui laisser le temps de répondre et s'enfonça dans l'eau sombre.

Sernays

Après avoir rit de bon cœur sur ses réflexions où elle se mélangea les pinceaux, il la regardait d'un air sadique, comme un coup fourré préparer de toutes pièces. Après tout pour lui, c'est nul de rester assis alors qu'il y a toute une plage à disposition, bien que quelques autochtones emplissaient le paysage.

Et là il se leva, attrapa les jambes d'Aurore d'un bras et et son dos de l'autre, la souleva et courut avec vers la mer. Un coup traître, elle blêmissait, mais il n'en fit qu'a sa tête. Ils atteignirent l'eau qui lui noya d'abord les chausses, puis les genoux, puis le bassin. Elle n'y était qu'à quelques centimètre du bain.

Je disais ça... pour te rafraichir!

Ni une, ni deux, il la balancèrent devant lui, juste un peu plus profond. Avant qu'elle repris son équilibre et se dégager de l'eau, il plongea furtivement, la contournant, nageant au niveau de son dos...
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For every man there is a cause which he would proudly die for. Defend the right to have a place for which he can belong to. And if we go and fight, we face their hearts in desperation. And shed his blood to stem the flood of an barricade invasion.

Aurore81

Pourquoi vouloir remuer le passé ?! Il est bien où il est, du moins c'est ce qu'elle pensait.Ne pas laisser les autres lire en elle, ne pas se dévoiler, ne pas montrer ses points faibles, paraitre se qu'elle n'est pas, voila se qu'était devenu Aurore. Très peu la connaissait enfin de compte, a part son frère et sa sœur. qui même sous la torture ne dévoileraient rien.

Avant elle était douce, gentille, aimable, souriante et ravie de connaitre tout le monde, sociable en somme. Elle fut Sœur, Chapitraine, Intendante et responsable de l'orphelinat avec sa marraine a l'ordre équestre du St Sépulcre. Elle se battait pour se qu'elle semblait être juste, contre des brigands, mercenaires et hérétiques, elle aimait la vie et tout se qu'il en faisait le piment. Il lui aura fallut qu'une chose pour que tout bascule, cette chose qu'il la blessa, qui fit qu'elle se referma sur elle même sans cri-égard, elle était tombée dans le je m'en foutisme complet, provocant sans cesses les personne qu'elle avait en face d'elle, n'hésitant plus à tuer si nécessaire, plus personne la blesserait, elle en avait décidée ainsi, l'armure était mise.

Alors quand elle rencontra Sernays bien sur, aucune concession étaient possible et puis elle était tellement désagréable qu'elle ne pensait pas qu'il se tiendrait a se qu'il lui disait. Paroles et promesse en l'air!! se disait elle. Elle se tassait en sa présence, s' apaisée, se sentant nullement menacée, elle l'aimait, tout simplement... Mais elle ne comptait pas lui ouvrir les portes de son monde, elle voulait autre chose, pour lui, pour eux...

Rhoooo... Mais c'est quoi cet homme... Elle sourit amusée quand il fit la remarque pour le sable, il retenait décidément tous se qu'elle disait, il était incroyablement merveilleux avec elle, d'une patience hors paire aussi.

-Bah oui, j'aime pô. Mais... je t'aime toi et c'est largement suffisant pour passer outre.

Elle le regarda effarée devant se qu'elle venait de dire... de tournant le regards vers le sol... Venait elle de le dire en toute sincérité cette fois? Voyant sa tête aucun doute...

-Enfin, je veux dire que...on peut.. ne pas aimer une chose la veille et euh... le lendemain en une occasion... spécial aimer...

Elle arrête les dégâts, elle s'enfonce lamentablement et voila qu'il lui demande si elle a chaud et soif... Il lui faudrait bien une dizaine de verres de chouchen pour faire passer la pastille, allons au plus fort carrément de l'eau de vie. Sur l'instant, elle ne saisit pas pourquoi il lui disait ça, pensant ces paroles toutes innocente, alors bêtement elle lui dit...

-Comment ne pas avoir chaud et soif dans de tel circonstance et chaleurs et euh... après .... Tu veux rentrer ?

Aurore regarde une nouvelle fois Sernays, se redressa, se mettant sur ses genoux à elle, la nana aux multiples coups foireux n'avait pas sentit celui la venir, erf....

Sernays

Bon, voilà reparti pour leur balade. Prêt du phare, sans crier garde, elle se laissa tomber sur le popotin, pouf, sans le sable. Le comble! Bien sûr qu'il faisait un drôle de tête.

Hé mais tu... j'croyais qu't'aimais pas le sable! Faut savoir!

Il s'assit à son tour à côté d'elle, qui immédiatement cette dernière se blottie contre lui. Alala, il ne savait pas si c'était à cause de l'amour qui les liés, les femmes en général ou elle spécialement, mais alors il était vraiment impossible pour lui d'anticiper les mouvements et décision de sa belle protégée. Elle aussi lui cachait beaucoup de chose, même si cet effet de mystère était voulu, sa curiosité voulait en savoir d'avantage, mais pourtant il s'arrêta. Les choses lui chagrinaient. Avant, il était un homme sans foi ni loi, vivant au jour le jour de ses proies. Quand il fut recruté par le Baron noir par son caractère si spécial, il crut pouvoir s'élever dans les échelons du pouvoir, faire la guerre sans vergogne, se battre encore et toujours plus. Et bien qu'il était régulièrement en mission, il n'était plus aussi libre qu'avant, il suffoquait même parfois d'être obligé de s'auto-censurer, même si il restait très acerbe.
Finalement, sans trop le voir, il s'assagit petit à petit avec les gens, se laissant plus facilement lié d'amitié, même si encore une fois il n'était pas du genre sociable et le faisait bien voir. Par contre, il était toujours le même au combat, une sorte de transe.

Puis y'a eu Bertincourt, Aurore, puis Rouen. Son amour allait-il le mollir? Il le craignait, même si il a fait un sans-faute lors de son opération qui lui fit sa gloire et sa richesse aujourd'hui, il était avec elle, et ne pensait même plus au combat, alors qu'avant c'était une obsession. Mais il espéra qu'une fois qu'ils se séparèrent il pourrait reprendre son caractère d'antan en Flandres. Après tout, il ne provoquait plus personnes au combat, même les plus chiants et forts, il se laissa battre avant d'engager un réel conflit. Il en avait peur, il fallait absolument qu'il se ressource, plus tard. Et ouais, la brute épaisse se rendit compte qu'il était ensorcelé, et ignorait si cela était un bien ou un mal, mais le reste de son instinct guerrier le rappelait, faiblement mais constamment.

Tu as chaud, tu as soif? murmura Sernays, taquin.
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Aurore81

Dans l'étreinte de Sernays, savourant son baiser qu'elle lui rendit avec passion et tendresse, lui caressant la nuque du bout des doigts. Ne voulant quitter le contact contre lui, frissonnant sous ses caresses, Aurore sourit un brin amusée au paroles de Sernays.
Elle le regardait dans les yeux le plus possible, lui caressant la joue, passant le bout de ses doigts sur les contours de son visage. Aurore savait qu'ils devraient se quitter prochainement, elle avait l'impression de marcher en équilibre sur un fil, elle a toujours su quoi faire, se qu'elle voulait mais là... Il l'a laissé sans certitudes aucunes...Elle voulait lui poser plein de questions, mais ne voulant le contraindre, elle se tut tout simplement.
Un jour un homme lui avait dit:" je t'ai adoré quand je t'ai rencontré, superbe, tellement intense et finalement comme toutes les autres avec son mec." Si elle se dévoilait, Sernays, allait il penser la même chose d'elle ? Surement, car elle n'était différente en rien de toute les femmes, malgré son caractère bien trempé. Aurore lui déposa un dernier baiser sur le coin des lèvres, glissant sa main dans la sienne, pour les faire avancer.

Ils avancèrent jusque près du phare, ses pieds s'enfonçaient dans le sable chaud, l'air était encore respirable et faut dire que l'air marin lui faisait du bien mine de rien. Elle s'arrêta net et posa son postérieur dans le sable, stop elle voulait plus marcher, trop fainéante pour continuer et puis ça fatigue de se bécoter en chemin, hein !!

Elle sourit à son Cher et tendre, grimace devant sa mine genre "tu fous quoi là ?!" Aurore lui dit de venir près d'elle.
Sernays était à Aurore se que la pluie était a la terre (je sais l'image est bizarre xD^^), une bénédiction en somme. Ils se connaissaient peu, mais certaine évidence ne trompent pas. Il était roux, oui et alors !! Il avait au moins des sourcils.^^ Il était mercenaire, pilleur, chiant, con par moment et grande gueule, mais pour Aurore , il était un homme comme les autres, gagnant bien sa vie dans un métier ou il y avait des débouchés^^, il était bagarreur mais pour Aurore il s'entrainait, c'est dire qu'il avait du muscle. Pouvons nous dire qu'elle éprouve un once d'amour pour cet homme ? Voui !!! Et même si elle ne voulait l'avouer, car le dénie et la miss étaient copains, une histoire commençait, qu'elle soit, passionnée, amoureuse,triste ou brève, elle voulait la vivre avec Sernays. Sans mot dire, la chieuse se cala dans les bras de son chieur....

Kiria

Le soleil dardait ses rayons de plus en plus chauds, s'élevant telle une boule de métal en fusion dans un ciel d'un bleu si intense qu'il en aurait fait pâlir un champ de bleuets.

Dix fois elle lut et relut les quelques lignes, ne sachant que penser. Le petit mot qu'elle rangea enfin dans son aumonière était froissé et quelques lettres commençaient à déteindre.

Elle cligna des yeux, tentant d'apercevoir la barque qui avait disparu à l'horizon.

La chaleur était telle que même son éternel éventail était impuissant à la rafraîchir. Un léger voile de sueur perlait à son front et dans son décolleté.

La fraîcheur des flots lui semblait infiniment tentante. Elle jeta un rapide coup d'oeil autour d'elle, et ne voyant personne se décida à aller se baigner. Elle délaça son corsage qu'elle posa sur le gros rocher et laissa glisser sur le sable son ample jupe de lin gris perle, ne gardant sur elle que sa fine chemise de baptiste blanche et le pendantif qui ornait son cou. Relevant ses cheveux en chignon, elle les fixa d'une grande épingle de bois avant de se diriger vers la mer. Un frisson délicieux la parcourut quand les premières vaguelettes vinrent lui lécher les chevilles, et c'est avec bonheur qu'elle s'enfonça dans l'onde claire, soulevée par les vagues qui venaient s'écraser sur le sable doré.

Kiria

La plage était immense et, chose étonnante, presque vide.

Laissant au loin les quelques silhouettes qu'elle avait aperçues depuis le sentier, Kiria se faufila le long de la falaise. Plus loin, près des rochers, elle avait repéré des hautes herbes qui séparant de petits coins de sable isolés lui fourniraient un peu d'intimité.

Une bouteille de chouchen à la main, elle marcha jusqu'à trouver l'endroit parfait. Un gros rocher poli par le temps et le vent semblait avoir roulé au pied de la falaise. Elle y déposa sa houpelande et se déchaussa, ôtant ses bottes de cuir blanc, une vraie folie mais elle n'avait pu résister... Elle roula ensuite ses bas noirs, l'un après l'autre, jusqu'à ses chevilles, et les ôta, savourant le plaisir d'enfoncer ses pieds dans le sable fin que le soleil de midi avait rendu brûlant. S'asseyant par terre, adossée au rocher, jupes relevées haut sur ses longues jambes blanches pour profiter des rayons bienfaisants, elle déboucha la bouteille de chouchen encore bien frais, et observa le vol d'un goéland au dessus des vagues frangées d'écume.

Elle but quelques gorgées, contemplant une barque qui croisait au loin, voile gonflée par la brise légère, avant de prendre dans sa besace le pigeon qu'elle avait reçu le matin pour le relire. Devait-elle ou non modifier ses projets ? Elle ne le savait trop, et resta un moment à réfléchir, cherchant dans le ciel un quelconque signe qui la mettrait sur la voie.

Minuit

Minuit était enfin décidé à mettre les pieds sur la plage ce qui lui avait beaucoup manqué.
Il parcourait la plage en quête d'un petit abris tranquille, il vit alors de gros rochers, il s'assit sur un des rochers contemplant l'étendue d'eau, tout ceci lui rappelant des souvenirs bien douloureux.

Il se mit face au vent et chuchota quelques mots tendres et passionnés espérant qu'ils arrivent à l'oreille de celle qu'il aime.

Minuit s'allongea se laissant bercer par les bruits extérieurs.

Sernays

Bah oui, Sernays fonce tête baissé et alors? C'était pas un scoop! Il avait peur de rien, même pas de la mort. Il fallait pas? Que fallait-il répondre alors?! Il cherchait, cherchait... mais bon! ^^'
Pendant qu'il était en train de penser des évènements et des choses grotesque, il senti une étreinte à son cou, des dents venues conquérir un territoire, puis une léchouille, des lèvres délicatement posées sur sa peau. Il frémit une nouvelle fois. Surtout quand elle lui murmura dans l'oreille avec une voix si sensuelle, si désireuse.

Il n'arrivait jamais à la cerner, au du moins parfois si, mais rarement. Encore maintenant, elle lui réservait des secrets et des énigmes, malgré sa volonté d'être dans détour. Peut-être parce que c'était juste lui et qu'elle voulait se montrer taquine voir coquine jusqu'au bout. Après tout, Sernays en savait si peu sur elle, et elle surement tout de lui tellement il ramenait sa grande de gueule.
Il la regarda avec passion. Il n'en croyait pas ses yeux. Cette être existait vraiment? Si proche? A chaque seconde que le temps faisait découler, ils se rapprochèrent, comme aimanté.

Hé ben, manges-moi, je suis ton repas. murmura t-il, fébrile par la passion envahissant ses veines.

D'abords, il déposa simplement ses lèvres contre les siennes, puis l'embrassa délicatement, il voulait que ce moment dure le plus longtemps possible. Tout en le faisant, ses mains faisaient quelques allés et venus entre ses cheveux de soies, son dos délicat et doux et son postérieur divins. Jamais il n'avait eu pareil sentiment de bonheur autre que la satisfaction de tuer, d'être reconnu ou par la richesse. Il le découvrit.
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Aurore81

Il parait qu'il y a un temps pour chaque chose, là pour Aurore c'était le moment de se montrer taquine et de débiter des bêtises plus forte qu'elle. Faut dire que les derniers jours, elle avait été douce dirons nous, ce n'était pas dans son habitude.

Ils se regardaient, son pincement n'avait pas laissé Sernays sans réaction, cela l'amusait, mais de la à dire que c'est une dinde !!! pfff .
C'est alors, qu'il lui fit remarquer que l'ombre au loin c'était un navire, alala il était vraiment obsédé par les bateau celui là. Faut dire qu'en plus, la jeune femme n'avait pas vraiment vu de baleine, c'était juste pour mieux faire passer le pincement sur le p'tit postérieur de son... tendre ami? ^^

-Rhooo, j'dis une chose et tu fonce tête baissé dans s'que j'te dis !!! T'es pas croyable...

Elle ne put s'empêcher de rire aux éclats, c'était vraiment trop fort là. Elle l'avait parfois la sensation de le déstabiliser, ou peut être était ce lui qui la faisait vaciller. Peu importe au final, elle était bien près de lui. Surprenant, désinvolte, égocentrique, parfois elle se demandait même s'il fallait pas qu'elle l'attache pour ne pas qu'il s'envole, tellement il s'envoyait des fleurs. Il n'était pas poète, ni même enjôleurs, il n'était pas assuré dans ses mots envers elle, mais les moments qu'ils passaient ensembles la comblée, comme cet instant là.

N'empêche, la riposte ne se fit pas attendre, il la pinça a son tour et fichtre, au même endroit !! Elle se raidit un instant, laissa glisser sa main sur celle de Sernays, léger sourire, se rapprochant un peu plus de lui, calant sa tête au creux de sa nuque. Elle respira un instant son odeur, puis lui mordilla délicatement le cou, pour à la fin y déposer un doux baiser.
Au creux de l'oreille, elle lui dit...

-hmm.. ça me donne envie de te croquer mon chéri...

Timo

Timo marche sur la plage, la mer est tranquille, l’odeur des vagues le repose
Il voit tabatha au loin seul dans ses pensées.
Timo avance doucement,il la voit mieux.
Timo lui fait la bise et ils se dirigent au bord de l eau.
Puis il etend la couverture et sort du panier,les victuailles
ils allongent et savoure ce lieu,ce calme,
deguste ces bonne choses puis elle prit son gateau qu avec amour elle avait preparees
Timo mangea joyeusement, savourant chaque morceau du délicieux gâteau
le soleil tape fort, la mer est belle et chaude, ils sont super bien.
Un regard bienveillant, une douceur à ces côtés, ce sont là des désirs dont il est difficile de se lasser et de se passer.
De ces mains timo a caressé son visage et ces lèvres sur les siennes se sont posées pour un magnifique baiser.
Subtilement sa bouche c’est écarté de ces lèvres encore humides,elle rougit mais garde ces mains dans les siennes .
N'osant pas croire à son bonheur, il l'a blottit dans ses bras.
Elle se serre tout contre lui, timo se sens si bien mais helas il commence a se faire tard et ils prennent le chemin du retour main dans la main.
Il la raccompagnera jusqu'à chez elle,lui donne un dernier baiser avant de partir

Aurore81

Voila une journée qui s'annonçait pour le moins sous de bon hospices. Ils s'étaient retrouvés comme convenu, sur cette plage... Voila qui faisait cliché pour la mistinguette, qui plus est fallait bien qu'il y ait une chose qui aille pas. Bah ouais, elle n'aimait pas le sable !!!

Une brise légère et fraiche, les odeurs d'algue et d'eau salées, la mer semblait calme et sans conteste c'était un paysage digne d'une toile. Mais la plus belle chose se trouvait près d'elle.
Ce moment qu'elle qualifierait d'unique, elle voulait se rappeler chaque détails pour que cela reste un agréable souvenir car qui sait, on ne peut prévoir l'avenir et Aurore n'était pas du genre a se faire d'illusion.

Sernays, l'avait enlacé, silencieux, égal à lui même quoi. Que fallait il qu'elle fasse pour qu'il lui décroche ne serait ce que deux mots et avec un peu de chance une phrase entière ? Une petite idée lui vint, elle passa donc son bras autour de la taille de son cher et tendre "non officiel", le regardant et lui souriant d'un air malicieux, Aurore descendit sa main mine de rien jusqu'au postérieur de son ange. Ah ah, vous pensez qu'elle va s'arrêter là ? Meuuhhh nan, ça serait pas drôle du tout ça !! Elle lui pinça les fesses, mine de rien, léger sursaut, elle se retint de rire, car fallait l'dire certaine chose n'était drôle que pour elle...

-Oh regarde une baleine j'crois bien !!!

Sernays

Ils s'arrêtèrent de marcher pour se regarder face à face. Tiens, allait-elle déjà l'embrasser? Pour l'instant, il ne sentit qu'un délicate caresse descendant jusqu'à ses fesses. Cela le fit frémir, et il regardait passionnément sa belle. Il ne voyait qu'elle, sa peau crémeuse reflétant au soleil, ses cheveux portés par la brise du vent marin et ses yeux coquine qui allait superbement bien avec la situation. Il continua de penser qu'elle méritait vraiment son nom: rayonnante. Il pensa se jeter. Enfin, il fut stopper net par un pincement qui commençait à être fichtrement habituel. Il devait en recevoir une dizaine chaque jours avec elle, au minimum. Et pas qu'au postérieur.

Il voit qu'elle glousse. Telle une dinde. Et là elle parla de baleine. Les répliques d'Aurore avait toujours le chic pour poser des problèmes au mercenaire: une baleine, ou ça? Qui ça? Il décida de regarder à la mer. On voyait au loin l'ombre d'un bateau.

Mais non, tu te trompes, c'est un navire!

Il passa à son tour une main sur sa taille puis son postérieur, qui de même les lui pinça. Hmm... elle en avait une jolie paire

Alors, ça fait quel effet?
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Sernays

Ils s'étaient dit rendez-vous le lendemain sur la plage de Bertincourt. Bah! Un bon moment à passer en perspective, les retrouvailles des deux êtres n'allaient être que très court, autant en profiter un maximum avant un nouveau départ. Le soleil commença à pointer son midi, et ses éclats firent miroir à la mer. Bah, ce n'était pas la méditerranée, mais c'était jolie, avec ces phases de marée, ou la mer déposa toutes sortes de coquillages, d'algues...
Pied nu et braies retroussés pour éviter de se prendre l'eau salée ou trop de sable dans ses habits, et le couple "non-officiel" :p se promenèrent le long de l'immense plage. Il l'avait enlacé de son bras gauche et lui, en tout cas, apprécia cette balade qu'ils ne feront peut-être plus jamais.

Il resta silencieux, pour le moment. Il n'avait rien d'intéressent à dire pour le moment, préférant savourer l'instant. Comme on dit, quand on sait pas quoi dire on se tait!
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Marco7088

contrarier pas plein de penssee et n ayant pas de reponsses,il ce promena du cotes de la plage.

marchant sans but precis quand soudain il entendit des sanglots.

s aprocha il reconu merlina, il alla ver elle la prie contre lui et lui demanda pourquoi toutes ces larmes , la jeune femme etant toujour d humeur joyeuse

Merlina

Voyant Marco lui demander pourquoi toutes ses larmes....La jeune femme était un peu perturbée. Mais elle se décida quand même à parler.

Je viens d'apprendre que deux personnes que je connaissais bien étaient mortes. L'un était comme un frère pour moi...il se nommait Relookmesfesse..Je sais ce n'est pas commun alors tout le monde l'appelait affectueusement Rel. Et l'autre était mon ex belle soeur qui se nommait San. Je ne sais pas de quels mots ils ont soufferts. Tout ce que je sais c'est qu'ils ne sont plus de ce monde..... Et ce depuis des mois... Je me demande pourquoi personne ne m'a rien dit.....

À ses mots la jeune femme pleura de plus belle....

Marco7088

ecoutant ce reçit sans un mots cela lee toucha plus qu il ne voulait le montrer.

il la garda contre lui laissant s ont amie pleurer, sa ne pouvait que la soulager du moin l esperait t il

Tabatha

Hier soir,Tabatha avait longuement discuté avec Timo en taverne.
Elle le connaissait peu,il était nouveau à Bertincourt;mais il lui avait tout de suite plu,surtout sa gentillesse.
Ils en étaient venu à parler de la plage et de son phare,des promenades, des pique-niques et des baignades, que l'on pouvait y faire.
A ce moment-là, Timo lui avait proposé de faire un pique-nique sur la plage;ils s'étaient donc fixé un rendez-vous à 10 heures sur la plage.
Il avait voulu s'occuper de tout et avait quand même accepté qu'elle amène une bouteille et un gâteau.
Aussi ce matin avait-elle confectionné un délicieux gâteau aux noix et mise à rafraîchir dans la fontaine près de chez elle, une bonne bouteille de chouchen.
Avançant à son habitude en chantonnant vers la plage, son coeur se mit à battre plus vite en apercevant le phare et une silhouette masculine tenant un panier et souriant.

Marco7088

sentie que l ont secoua, mille pensser lui traversere l esprit, une bete feroce ou un vagabond.

ouvtit les yeux et vie que c 'etait un ange, sa jol, sa bien aimee, il ne peut retenir dezs larmes de joies.

mai que fait tu ici la nuit est glaciale , tu va prendre froid.

ce leva et l enveloppa dans une couverture qu il avait sur lui, et la frota pour la rechauffer.

je t aime lui dit il entre deux expiration

Merlina

Merlina courut le plus vite qu'elle pouvait malgres sa condition. Comment on avait pu lui dire cette nouvelle absurde. Comment depuis si longtemps elle n'avait rien su. Personne ne lui avait dit sauf aujourd'hui.

Elle qui n'avait pas eu des nouvelles de son meilleur ami depuis des mois. Presque un frère pour elle, venait d'apprendre qu'il était mort....

La jeune femme très effondrée alla près d'un arbre s'assit puis pleura tout son sous. Elle pleura quelqu'un qui avait été si chère à elle.....

Non c'est pas possible..pourquoi? J'aurais tellement voulu que tu sois là Rel pensa t-elle en pleurant......Pourquoi personne ne m'a rien dit? Pourquoi?....

Jolyann

La nuit était claire,la lune bien ronde mettais des reflets sur la mer .
Jol s'était relever,les yeux bouffis,le nez rougit elle marchait sans but sur la plage.
Le bruit des vagues ,l'air salin la rendais encore plus triste,le souvenir de sa baignade avec lui refit surface.
Elle avait attendu longtemps qu'il vienne vers elle dans la soirée et s'était éclipser titubante a cause des verres consommés .
Ses yeux se posèrent sur une forme un peu plus loin....Jol s'en approcha doucement avec méfiance.
Plus elle se rapprochais plus elle était convaincu que c'étais une épave rejeter par les vagues.

Son coeur ne fit qu'un tour quand elle reconnut Marco endormit sur le sable.
Il devait etre frigorifié,la nuit était quand meme fraiche,elle s'agenouilla et le secoua afin de ne pas le laisser dormir la,elle ne voulait pas qu'il se rende malade.

Marcoooooooo réveille toiiiiiiiii........

Marco7088

voit que s ont amour l ignorre, est pensse qu il est infidel, il prefere partir loin de cette ville ou il penssait revivre enfin.

le passe revient toujour, mai la marco n 'avait pas pecher et s ont amour si pure est sincere etait pour la belle yol.

le coeur briser, il rentra a la taverne ou il redonna la clef a sylvine, d autre ont peut etre besoin de la chambre

Jolyann

Le coeur lourd Jol alla se terrer dans sa chambre.
D'une journée a l'autre tout changeait....
Hier elle avait pas dormi en pensant a ses doux baisers...puis ce soir le sommeil ne viendrais pas mais pas pour les memes raisons.

Jol avait passer par derrière pour ne pas les déranger dans leurs retrouvailles.
Allonger sur son lit ,elle les entendais parler sans comprendre leur conversation.
Des larmes amères coulaient sur ses joues.

Marco7088

n arrivant pas a dormir marco, deriva du cotes de la plage, la nuit etait calme, et pourtant dans s ont coeur c 'etait le chaos.

sa yol lui manquait teriblement, il esperait bien la retrouver demain pres de la plage, ou ailleur voire les etoiles brillee dans ces yeux.

voyant un viel arbre il prit s ont couteau et grava

je t aime yol.

ranga s ont couteaux et alla s alonger au bord de l eau

Jolyann

Jol retourna seule sur la plage,une marche ,de l'air pur ....
Se demande si son coeur ne s'est pas emballé trop vite.
Les vagues viennent froler ses pieds nus.
Pense prendre du recul.....
Son regard se pose au loin vers le soleil qui se couche....
La route demain sans doute,son champs vendu et hop vers d'autres horizons.
Soupire en pensant qu'elle a été vraiment trop rapide sans meme le connaitre vraiment.
Se dit que s'il ferais plus chaud elle dormirais la sur la plage ....

Marco7088

cherchant sa belle partout, il arriva sur la plage, elle etait la au bord de l eau, belle ces cheveux aux vent.

il s aprocha doucement, lui prit la main , la regarda droit dans les yeux, lui dit tu est mon seule est unique amour , ne le voit tu pas?

il ne voulait pas la perdre, s ont coeur battait a tout rompre quand elle etait pres de lui

s assie non loin d elle elle regarda les vagues

Marco7088

un verre de vin oui sa me fera du bien je pensse sa me donnera des couleur.
pris le verre en bue une gorgee, et en souriant mangait quelque menu, avec sa jolie sirene, tremblante a premiere vue.

meme en couverture elle avait du charme.

cette penssee le fit sourire

Jolyann

Après avoir vidé la bouteille et bien manger Jol se leva et vit que Marco avais repris de bonnes couleurs.

Alors té pret pour rentrer ,tu vas tenir debout???

Jol bien enrouler dans la couverture,ramassa le panier et ses habits éparpillés sur le sable fin.

Allez hop a la taverne pour un bon bain!!!

Marco7088

oui je pensse que cela devrait aller est au pire tu pourra m aider , lui dit t il en clignant de l oeil.

ramassant ces affaies il entrepris de la suivre a l auberge, pour un bain meriter.

le vent jouant avec les cheveux de jol

Marco7088

regardant jol a ces cotes du regard lui fit comprendre qu il allait bien.

cherche sylvine des yeux pour la remercier egalement et l aperçoit qui s eloigne.

regarde sa charmante voisine et ce perd dans ces yeux

Jolyann

Jol l'aida a s'assoir puis remercia les deux hommes tout trempés.

Merci mes bons messires pour votre rapidité a sauver ce messire .

Elle se retourna vers Marco qui reprenait des couleurs lentement.

Alors mon pauvre ami,ça va mieux?
Tu veux un ptit verre de vin a boire pour te remettre?
Je vais chercher l'autre couverture et la panier de victuailes attend moi....

Jol trembait de froid ou de peur qui sait ,mais bon elle s'enroula dans la couverture restante et pris place près de lui avec de quoi se rassasié

Alors tu veux un verre Marco?

Tourne le regard vers lui et s'aperçoit qu'il ne la quitte pas des yeux

Jolyann

Ohééé ou vas tu Sylvine???
Je veux te remercier de ton aide et la vitesse avec laquelle tu as réagit.
Moi stupide comme je suis, je pensait qu'il simulait pour me coincer.
Encore heureux que tu sois passer nous voir!!
Merci de tout coeur Sylvine^^

Jol lui fit une bise puis retourna voir comment allait Marco.

Marco7088

ce sourire lui fit chaud au coeur, il lui sourit ne la quittant pas des yeux en la remerciant pour ce geste qui sauvait sa pudeur.
il ce sentait bien ainsi

Sylvine

Les deux pêcheurs commencèrent à lui faire dégurgiter l’eau avalée. Sylvine vit derrière eux Jol sortir des flots. La naïade vint se placer à ses côtés.
J'espère qu'il va bien
Tu sais Sylvine c'est ma faute ...je croyais qu'il blaguait et j'ai tarder a le rejoindre.
La meunière regardait toujours les pêcheurs. Tu ne pouvais savoir…. Regarde, il revient à lui.

Au lieu de s’approcher, Jolyann se retourna et partit… chercher une couverture pour couvrir Marco…
Il n’est pas mort !!! Allait-elle crier. Elle ne comprit pas trop ce que la belle blonde faisait mais les regards et le sourire que s’échangèrent le réanimé et la jeteuse de couverture montraient qu’eux, ils s’étaient compris.

Elle recula de quelques pas et fit demi-tour.
On n'avait plus besoin d’elle.

Marco7088

etant secouer de partout ouvrit un oeil puis le deuxieme ce demandant ce qui ce passait.
regardant autour de lui il vie jol blanche comme un linge et sylvine a peu pres de la meme couleur.

sourit en regardant jol lui faisant comprendre que ce n 'est pas sa faute a elle

Jolyann

Jol le vit sourire et courrut chercher une couverture pour le cacher .
Son haillon remonté ne dissimulait plus rien de son anatomie.
Elle le couvrit et lui sourit heureuse qu'il soit hors de danger.

Jolyann

Jol sortit elle aussi de l'eau et se rapprocha de Marco allonger sur le sable.

J'espère qu'il va bien dit-elle a Sylvine

Les hommes s'affairaient a le réanimer,Jol priait pour qu'il se réveille enfin.

Tu sais Sylvine c'est ma faute ...je croyais qu'il blaguait et j'ai tarder a le rejoindre.

Sylvine

Deux pêcheurs tiraient leur barque sur la grève. Elle alla à leur rencontre. Allongeant le bras, elle leur désigna l’endroit où avait disparu Marco.
Dépêchez vous !!! Un homme se meurt !!
Ils comprirent de suite et se précipitèrent dans les flots. Elle les suivit en courant, les regarda plonger et ramener Marco sur la plage, le portant chacun par une épaule.
Ils le posèrent à ses pieds.
Merci de votre aide.
Marco bougeait les paupières. Il était donc vivant.

Jolyann

Jol le vit caler en criant un truc qu'elle ne comprenanit pas.
Elle se rapprocha doucement méfiante et le vit refaire surface pour re caler encore.
Il semblait s'étouffer et pensa qu'il jouait la comédie pour l'attraper plus aisément.

Tu fais quoi la Marco????
Je ne suis pas dupe....

Il resta un peu plus longtemps sous l'eau et Jol pris peur et nagea sous l'eau pour se rendre plus rapidement.
Elle le souleva pour lui faire respirer un peu d'air quand elle vit deux hommes accourir vers eux pour l'aider.
Les hommes le prirent et l'emmenère vers la rive.
Jol vit Sylv sur la berge qui tremblait de peur.

Jolyann

Plonge sous l'eau pour qu'il ne voit pas ou elle se trouve....lui pince une cuisse et se sauve plus loin.
Remonte a la surface et rigole de le voir chercher partout.

Bah quoi Marco ya des sirènes qui te pinçouille?????

Se rapproche en se tenant sur ses gardes,ne lui fais pas confiance après les tours qu'elle lui a jouer .

Marco7088

cherche partout d ou sa vient ces picotements.

ce doutant que c 'est cette jolie fille il fait mine de couler.

je perd pieds g une crampe au secourt

Sylvine

Sylvine plissa les yeux. Ils ne nageaient pas comme tous les autres.
Elle voyait par intervalle la tête de Jolyann puis celle de Marco. Un jeu pensa-t-elle..
Mais elle entendit
je perd pieds g une crampe au secourt
Panique !! Elle qui ne sait nager. Elle fit demi-tour et partit en courant chercher un des pêcheur sde Bertin qui revenaient de la pêche.

Marco7088

il etendit la couverture comme elle lui demenda, prenant s ont temp pour que tout cela soit parfait.

aller a l eau oui d accord,

heee tu triche tu est partie la 1ere dit il en riant et sans hesiter alla la rejoindre

Jolyann

Le laisse la rejoindre et lui saute dessus pour le caler sous l'eau en rigolant.
Jol le lache et s'enfuit en nageant vers le large.

Hihihihi les poissons sont plus rapide que toi .....et moi aussi!!

Le regarde s'étouffer avec l'eau salée qu'il a bu et se moque de lui

Marco7088

s etouffe a moitier les yeux brulants avec le sel, la cherche du rehard , la voie nager vers le large ce moquant de lui.
ce dit tu reviendra pres de moi ma belle et je t aurait a ma façon
sourit a cette penssee

Sylvine

Sylvine avait réussi à tout ranger et même à passer le balai. Comme personne ne se pointait et que le soleil lui faisait de plus en plus la douce invitation à sortir.
Elle ne résista guère longtemps.

Elle s’assura une dernière fois que tout était en ordre et sortit la barrique vide.
Le soleil jouait sur ses cheveux. Elle les libéra retirant une à une chaque épingle. Les grandes mêches brunes s’envolèrent au gré de la brise.

Elle prit la direction de la plage descendant calmement la pente.
Arrivée sur les hauteurs, elle aperçut le couple déjà à l’eau dans une des petites criques.
Elle descendit suffisamment pour les entendre, puis posa les chausses sur les galets. Elle les vit s’éloigner du bord.

Jolyann

Tout les deux se rendirent vers la plage,le sable chaud....Jol retira ses bottes et ses bas pour marcher dans le sable fin .
Ils s'installèrent non loin des rochers a la vue de tous pour que si Sylvine les rejoignait.

Tu veux étendre une couverture Marco pour déposer nos choses????

Pendant qu'il s'affairait Jol regardait l'immensité de l'ocean.
Elle se dépècha de retirer ses habits et resta en haillon en lui criant:

Dernier a l'eau est une tortue!!!

Puis un peu tricheuse elle courru vers l'eau et y plongea carrément

Jolyann

Avant de partir ,Jol et Marco font une ptit virée dans la taverne et récoltes une bonne bouteille de vin offert par Sylvine et des gateaux confectionner par Rene.
Les couvertures sous le bras ils partent vers la plage gaiement.

Sylvine

Sylvine s'empressa de donner aux deux voyageurs une des flasque de vin qu'elle mettait de côté pour les grandes occasions.
Ils étaient d'agréable compagnie, ce n'était qu'un petit cadeau.
Bonne promenade
Elle soupira derrière son comptoir en les voyant partir.
Elle irait bien faire un tour finalement sur la grève.

Marco7088

en partant accompagner de jol, marco ce retourne et salut sylvine en lui adressant un sourire amical

Sylvine

Sylvine les regarda s'éloigner. Marco se retourna et lui sourit. La tavernière lui fit un petit signe de la main.

Elle se sermona: Non, non ma belle. Tu dois rester travailler en taverne.
Elle rendit son sourire au messire.
Peut-être à la fin de ton service mais pas avant.

Elle eut un petit soupir, ramassa les miettes sur une des tables et desservit.

Ewylan

Ewy se mordit la langue, n'eut pas le temps de réagir plus amplement que Moineau fut attiré en arrière... Mais qu'est-ce que...
Elle voyait devant elle le visage imprégné de rage et de tristesse de celui qu'elle aimait. Qu'ais-je donc bien pu faire ? pensa-t-elle alors que Pal avançait à pas lents vers elle. Elle se leva pour lui faire face, retomba quand il la giffla... Toujours cette faiblesse...

Je suppose que c'est un rendu pour un rendu... ? murmura-t-elle pour elle-même.

Elle leva des yeux outrés en l'entendant. Comment osait-il la traiter de trainée alors qu'elle n'avait jamais rien fait ! Elle lui était toujours resté fidèle !
Elle loucha sur ses griffures avant qu'il ne s'en aille. Elle ne fit aucun geste pour le retenir. Il venait juste de se venger.

Ewy se sentait coupable et en colère ! Elle n'osait même plus regarder Moineau... Il n'avait pas sa place dans cette histoire; si quelqu'un devait prendre, c'était bien elle !

Je suis désolée... Deux bagarres en l'espace d'une journée... et tu subis autant que moi alors que tout est de ma faute depuis le début !

Elle fondit en larmes.
Cinq minutes avait suffit pour bouleverser sa vie. Il y a cinq minutes, elle coulait. Quelques instants plus tard, son ami la repêchait et ensuite Pal piquait sa crise de jalousie pour un rien !
Elle leva la tête pour chercher ses vêtements. Les vit toujours en tas, un peu plus loin et alla les mettre sur son dos trempé.
Elle revint vers Moineau et serra de tristesse les dents en le voyant.

Que dois-je faire pour payer ma dette ? Tu viens de me sauver et on te crie encore dessus, que dois-je faire pour me faire excuser de tout ?

Des larmes recoulèrent en repensant à toute cette histoire. Elle se laissa tomber, proche et en même temps loin de son ami, lorgnant l'étendue bleue avec envie.

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Marco7088

ce reveilla en surssaut en entendant la voix melodieuse de sa voisine de chambree.

il ce rappela sa promesse de venir a la plage avec elle, et ce depecha de s habiller pour la rejoindre.

j arrive lui dit derriere la porte d ici 1 minute atendez moi a la cuisine

Jolyann

Bon voila je vous attend et apporter deux couverture Marco ,on en auras besoin ...

Jol redescendit en se disant que les hommes adorent flaner au lit.
Pour ne pas perdre plus de temps ,elle lui prépara comme a elle deux tartines de miel afin qu'il mange avant de partir .

Marco7088

sourit a la demande de la jeune femme qu il trouve agreable.

oui j aporte cela lui repondit t il derriere la porte.

descend en apportant les deux couvertures et ce dirigant vers la cuisine, humant un gout de miel

Jolyann

Jol s'était réveillée tot ,le soleil deja haut dans le ciel plombait ses rayons dans la chambre.
Elle s'étira avant de mettre pied au sol,trop fatiguée la veille ,Jol avait laisser tomber ses habits sur le parquet et avait sauté droit dans la couche douillette.
Satisfaite d'une nuit confortable,elle s'habilla vitement pour aller déjeuner.
Personne a la cuisine....elle se dit que la tavernière roupillait encore et se fis quelques tartines de miel.
Elle fourra quelques provisions dans un ptit panier et remonta réveiller Marco qui lui avait promis de se joindre a elle pour une balade a la plage.

OHÉÉÉÉÉÉÉÉ Marco vous etes pret?????

Pallanen

Palla n'avait plus la volonté d'attendre au dispensaire, il arriva donc sur la plage.
Le jeune homme se mit à scruter le bord de la plage en courant. Son regard tomba sur celui de deux personnes proche l'un de l'autre et accéléra pour leur demander si il n'avait pas vu sa bien-aimée.

Palla reconnu ses deux personnes quand il ne fut plus qu'à une vingtaine de mettre d'eux ... Moineau et Ewy... Moineau penché sur sa douce... A ce moment, Palla senti la rage monté en lui et a chaque foulée sa rage augmentait et quand Palla arriva juste derrière moineau...
Son regard croisa celui de celle qu'il m'aimait quand celle ci enlaçait son ami.

Le regard de Palla n'était que rage et tristesse, il se sentait trahi. Nécoutant que sa rage il attrapa Moineau et le projeta quelques mètres plus loin sur le sable. Puis il s'approcha d'Ewy avec lenteur tentant de retrouver son état normal... Mais sa main fila et Atterrissa sur la joue d'Ewy. Palla venait de gifler Ewy.

JE M'INQUIÈTE POUR TOI ET TOI... TU ... TU PRENDS DU BON TEMPS AVEC MOINEAU !

Palla ne laissa pas le temps à sa douce de répondre se releva et fila comme le vent le plus loin possible de celle qui venait de briser son coeur. Une larme était néanmoins tomber sur le haillons d'Ewy trahissant la tristesse de Palla.

Moineau s'il te plait ne le prend pas mal ne crois pas qu'on voulait t'utiliser... mais LJD Ewy et moi on voulait ( surtout moi ) que Palla est une crise de jalousie... mais Il comprendra qu'il a fait fausse route et viendra excuser et remercier moineau promis ! Et il s'excusera au près d'Ewy de lavoir gifler bien sur! Alors s'il te plait ne m'en veut pas!...

_________________

Moineau

La plage, le sable sous ses pieds. Enfin. Il dépose son fardeau au sol. Elle ne semble pas bouger. Il reconnait Ewy, fort peu vêtue, mais n'y songe pas. La sauver, il doit la sauver.

Ou comment faire évacuer l'eau des poumons d'une personne ? Les remplir. De quoi ? D'air. Et appuyer sur le ventre pour forcer le passage de l'eau... C'est ainsi qu'il se met à la tâche. Souffler dans le nez... trois fois. Pour lui donner de l'air. Appuyer sur le ventre... trois fois... Pour tenter de faire ressortir l'eau... Deux petites claques entre deux pour tenter de lui faire reprendre conscience. Pas de réactions. Désespoir qui menace.
Raaah... Ewy bon sang réveille toi !

Recommencer.

Ewylan

Ewy, au comble de la douleur, ressentait quelque chose remontait sa trachée. On n'allait vraiment pas la laisser tranquille, ce jour !

Une giffle...
Puis elle sentit quelqu'un appuyait sur son ventre encore maigre... Elle sourit en se disant que ses mains ne pouvaient appartenir qu'à une seule personne, Pal, et un fin sourire non-visible apparut sur ses lèvres craquelées, trop sèches.
Il resta là jusque ce que l'eau arriva dans sa bouche... Elle mit sa tête sur le côté et le cracha, dégoutée, avant de se relever et de se serrer les yeux fermés contre son sauveur, qui avait totalement réussi !

Un rayon de soleil la brûla et elle ouvrit ses yeux pour regarder ce dernier. Vit Pal debout !
Cette information ne fit qu'un tour dans son cerveau: elle ourna la tête pour voir qui elle serrait dans ses bras et... Ouvrit des yeux effarés, commença même à rougir: elle avait cru que...

A présent, elle se pensait bête et ignoble ! Tout ce qu'elle voulait, s'était Y retournée au lieu de faire du mal tout le temps autour d'elle !!
Elle les regarda tristement en ne sachant que faire.

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.isabelle

Chou alla sur la plage, elle savait maintenant que plus rien ne la retenait à Bertin, elle venait même de se faire gronder par son patron en taverne, pour avoir rendu service à un de ses amis.
Toute sa vie partait en paillettes, en deux jours tout s'effondrait, ce qui lui fendait le coeur. C'est qu'elle ne comprenait pas comment elle en était arrivée à ce point de non retour.
Elle pensa à sa marraine, elle n'avait pas osé lui dire ce qu'elle traversait, à Nat à qui elle avait promis de passer dans sa taverne et qu'elle n'allait malheureusement pas pouvoir tenir sa promesse. A son frère Nit trop occupé , à tous ses amis de Bertin, qu'elle allait porter dans son coeur à jamais.
Chou se promenait en marchant dans les vagues. Le coeur gros, mais elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Elle devait fermer sa maison, sa boulangerie.

Je dois quitter l’Artois
Elle chuchota : Pardon à vous tous, Prenez soin de vous…..

Ewylan

Ewy ne faisait plus rien, ne pensait plus rien, se laissait couler, emportée par la profondeurs de la mer...
Elle avait été très audacieuse d'avoir nager si loin du rivage; et personne n'aurait pu entendre son appel au secours...

Les images défilaient de plus en plus: elle ferma les yeux.
Que pouvait-elle "voir" de toute façon ? La surface qu'elle n'atteindrait plus jamais, narguante à souhait ? Le soleil tout à son apogée ? Non, elle ne verrait plus jamais cela.
Ni ses enfants...
Ni son compagnon qu'elle venait de griffer au sang, le blessant physiquement et peut-être plus au coeur. Elle le quitterait sur la mauvaise entente, et il se ficherait d'apprendre sa disparition...
Punition et Douleur.

Mais Ewy ne pensait plus à cela. Elle ne se débattait plus, se laissait aller au grès de l'attirance vers les profondeurs. Ses poumons en feu lui fit ouvrir la bouche et respirer l'eau de mer dans sa trachée et ses poumons, la faisant terriblement souffrir mais elle savait que ce serait bientot terminé...

Jusqu'à ce qu'elle se sente happé... Des doigts doux, fins, emplis de force, la hissaient loin de la faible lumière qu'elle entrevoyait... Grandissait...
Elle se débattit pour elle-ne-savait-quelle-raison: recouvrer la vie, ou rejoindre la mort ?

Les yeux clos, elle sentit l'étau de l'eau se desserrer, la reprendre et repartir une fois de plus... Une impression de flotter la rendait Libre mentalement...
Ses poumons en proies à la sensation désagréable des flammes l'empêchaient de respirer correctement, l'étouffant à moitié.

Lorsque le sable vint la soutenir dans son dos et que le soleil commença son travail de sécheur, la jeune folle ne se rendit compte de rien...

Tout ce qu'elle comprennait, c'est qu'elle suffoquait sous les brûlures du sel bloqué dans son appareil respiratoire...
La mort ne comptait pas abandonnait sa proie à sa douce et belle vie, dirait-on...

_________________

Moineau

La journée avait pourtant bien commencé. Il avait passé toute sa matinée peletonné dans son petit lit douillet. Il s'était levé aux alentours de midi. Il avait mangé alors un morceau de pain généreusement recouvert de confiture aux fraises.

Après cela, il s'était occupé, quelques instants, à s'entrainer, d'abord au bâton, puis à l'épée, et finalement il était parti au pas de course pour ce qu'il appelait le "décrassage matinal". Un peu repoussé par rapport à l'habitude, mais il ne devait pas perdre le rythme.

Finalement, il avait rejoint le quartier de la crêperie, et y était entré.
Il l'avait retrouvée, une fois de plus, vide. Se demandant où était passé Kalon... Un soupire. Il attendit patiemment. Quelques secondes plus tard avaient vu l'arrivée de ses amis, en train de se disputer pour une raison incompréhensible.

Ewy était alors partie sur une promesse... elle allait se jeter à l'eau. Moineau n'avait pas pris au sérieux ses paroles, supposant à tord qu'elle avait récupéré.

Quelques instants plus tard, il était parti pêcher.

Alors qu'il restait à l'affut des poissons sur la côte, il aperçut un superbe hareng. Patiemment, il attendit que l'animal s'approche de lui, puis, une fois à portée, il fit un brusque mouvement du bras, forgé par l'habitude, pour l'attraper. Soudain, alors que tout son corps était élancé dans le seul but d'attraper le poisson, il entendit un cri, et il tourna au même instant la tête pour essayer de comprendre ce qui dérangeait sa pêche. Deux choses à la fois. Il manqua sa proie, et s'étala de tout son long dans l'eau.

Il avait tout de même entendu l'appel au secours venant de non loin. Il se releva donc rapidement, laissant sa fierté s'oublier, bien qu'elle fut quelque peu entâchée.
Un peu plus loin, il voyait vaguement des bras disparaitre dans l'écume, sous les vagues. Abandonnant ses idées de pêche, et sa fierté blessée, il s'élança dans leur direction. Quelqu'un avait besoin d'aide. Il chercha mentalement en tentant de se rappeler d'où il connaissait la voix qui l'avait dérangé.

Il arriva vite près de l'endroit où il avait vu la noyée. Des bras, il ne voyait même plus les mains. Il plongea. Trouva une main, remonta jusqu'au bras, attrapa le noyé sous les épaules. Non, pas le noyé, la noyée ! La tenant bien contre lui pour ne pas la perdre, il poussa sur ses jambes pour lentement commencer à regagner la surface. Tenta de remonter, c'était sans compter les mouvements désordonnés de survie.

Difficile d'assomer quelqu'un sous l'eau. Encore plus sans le lâcher.

Retenant de plus en plus difficilement sa respiration, il remonta jusqu'à la surface. Ses poumons heureux de retrouver l'air inspirèrent avec bonheur. Une seule fois, avant qu'une vague lui remplisse la bouche d'eau.

La tasse... Voilà bien longtemps qu'il ne l'avait pas bue. Recrachant tant bien que mal, se demandant si elle était toujours en vie, il tirait le corps vers la berge.

Ewylan

Ewy avait décidé d'aller sur la plage pour oublier qu'elle était enfermée très souvent dans sa chambre au dispensaire !
Elle avait prévenu en taverne à Pal et Moineau qu'elle irait là-bas... Et, elle avait promit qu'elle essaierait de ne pas couler... "Essaierait" !

Bon, Renelada l'avait déjà fait couler et il en avait fallu de peu avant que Nat vienne la repêcher, sacrebleu !! Elle ne savait pas si elle était prête à renouveler l'expérience de sitot...
Sourire aux lèvres, elle marchait à pas lents sur le sable fin et brulant. Le soleil brillait fort dans le ciel et Ewy avait souhaité nagé... mais hésitait toujours. Moineau avait dit qu'il la sauverait si elle venait à couler mais heuuu, elle savait bien qu'il ne la suivait pas, là.
Enfin, espérait parce qu'elle se dénuda, loin de l'entrée de la plage, abandonnant ses vêtements en tas pas très loin de l'eau, et entra dans celle-ci. Fit quelques brasses. Hou la la ! Mes pauvres muscles ont totalement diparu !
La jeune nageuse avait froid mais elle continua jusqu'à ce qu'elle se sente vidée. Et même là, elle ne souhaitait pas sortir...

Peut-être bien que je vais vraiment me laisser couler... murmura-t-elle d'une petite voix exténuée...

Se maintenant à flot sans avancer, elle revit les griffures qu'elle avait infligé au sire Pallanen... Bizarrement, elle ne s'en voulait pas; elle le revit approcher sa joue vers sa main: pour elle, il ne demandait qu'à être giffler. Et, elle, elle l'avait griffé jusqu'au sang pour ne pas lui offrir ce que, bêtement, il souhaitait ! Espèce de nounouille va ! pensa-t-elle avec un rictus méprisant à l'égard de celui qui partageait sa vie...
Et la punition tomba... Elle perdit toutes ses forces d'un seul coup et se sentit avalée par la mer... D'un coup de jambes, elle creva la surface et appella quelqu'un:

A l'aide !!!!! Au secours !!!!! Je vous en...

Nouvel engloutissement ! Au début elle ne comprit pas... mais après vint le moment où le manque d'air devint insupportable...
Fermant les yeux, elle se mit à espérer de tout son coeur une arrivée inattendue... vit défiler sa trop courte vie devant elle: ce n'était pas donc pas un mensonge le fait de revoir ses bons moment avant que la Mort ne vous prenne...
Tout au fond d'elle, elle espérait toujours.

Normalement, je dis bien "normalement" ^^, une personne est déjà prévue pour sauver la pauvre folle... Soyez juste spectateur ^^

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Imaginy

La plage

Depuis le temps qu'elle en rêvait, Ima retrouvait enfin la mer qu'elle ne se lassait pas de contempler. Cette immensité lui donnait toujours cette sensation de liberté qui lui était si nécéssaire. Et la plage de Bertincourt faisait partie de celle qu'elle rêvait d'arpenter, avec l'envie peut-être de ne pas savourer ce paysage seule ... pour une fois.
Elle découvrait le plaisir d'avoir envie de partager ... et réalisait surtout que c'était possible de partager, même l'envie de liberté et d'indépendance.
Elle ôta ses bottes, ses bas (après avoir pris soin de remettre ses braies .... rhoooo^^) et enfonça ses pieds dans le sable. Le contact familier avec le sable rafraîchi par la nuit, la fit frissonner doucement et elle avança doucement en sentant le sable s'immiscer entre ses orteils.
Elle aperçut le phare dont elle s'approcha. Ainsi, à la lueur alternée de celui-ci, elle put rédiger un rapide parchemin qu'elle mit entre les mains (enfin entre les serres) de son pigeon.

Hep blondinet ... Viennnnnnnnsssssssssssss !!!!!!!!!
Oups pardon .... Viennnnnnnnnnnssssssssss steuuuuuuuuuupplllllaiiiiiitt !
Je suis au bord de la mer, c'est merveilleux, je suis sûre qu'on pourra trouver un coin où dormir ... et puis si tu crains pas le froid, tu pourrais prendre un bon bain de minuit. Enfin bon j'dis ça j'dis rien !!
Les puces aiment pas trop le grand froid je pense.
Mais si tu te décides pour un bain de minuit, je te promets d'affronter mon côté frileux et je t'accompagne ... pour vérifier que le bain est pris correctement bien sûr.
J't'attennnnddddddssssssssss !
Tu me trouveras je suis pas loin du phare ... et puis y'a pas un chat ! Ni même une mouette ....

Ima lâcha le pigeon et se mit en quête d'un coin abrité. Dormir au bord de la mer était un des endroits qu'elle préférait.
A l'abri d'un rocher imposant, Ima déploya un curieux morceau de tissu sur le sable, s'assit en tailleur dessus après avoir pris soin, du fait du froid, de remettre ses bas et ses bottes. Il faisait frais quand même ! Elle sortit une couverture, y'en avait des choses dans sa besace, et la passa sur ses épaules. Elle continua de fixer la mer, les genoux repliés et la tête posée dessus. Elle sentit doucement ses paupières se fermer, le froid, mêlé à la fatigue, commençant à anesthésier tout son corps.

Ewylan

Ewy marchait à pas lents. Elle venait seulement de se rendre compte qu'elle arrivait sur la plage, son ancien lieu favori maintenant qu'elle n'en avait plus...
Elle venait aussi de se rendre compte qu'elle se mourrait petit à petit...
Un ami cher à ses yeux essayait de le lui expliquer mais elle ne savait quoi faire !
Ne plus manger. Ne plus boire. Ne plus dormir. Devenir folle ! Elle savait ce que cela faisait, à présent...

La jeune femme s'écroula doucement dans le sable... Son pauvre corp squelletique ne la supportait même plus.
Renouvelant ses efforts, Ewy sortit un fruit de sa besace et croqua dedans, essayant de se nourrir. Mais elle n'en mangea qu'une bouché. On pouvait tout de même qualifier cela de progrès, non ??
Ewy se mit alors à divaguer... Que deviendrait les enfants si elle partait très très loin... Est-ce que Pal serait triste ? Et pendant combien de temps...
Les images de ses amis défila dans son esprit. Elle les chassa d'un coup de tête. Complètement maboule ma pauvre !! Pas le moment de laisser tomber...

Elle se releva difficilement, espérait que personne ne l'avait vu dans cet état-là, assise inconfortablement dans le sable sans couleur pour elle...
Elle bailla !

Mmmh... Je vais aller me coucher, peut-être que le sommeil me revient... Ca serait plus que chouette là...!

Souriant vaguement, elle reprit sa route dans le sens inverse. Il était le milieu de la journée, et pourtant elle s'apprêtait à aller se coucher... Quelle ironie...
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Merlina

La jeune femme respira l'aire pure de la mer.Cela calma ses nausées du matin. Parfois elle vomissait mais c'est en marchant sur le bord de la plage que cela aidait à calmer son estomac. Depuis quelques temps et surtout hier en songeant devant le feu chez elle, Merlina réalisa qu'elle portait la vie en son sein.

Elle se devait de le dire au père du bébé mais comment prendra t-il la nouvelle? Tant d'angoisses et de questions trottait dans sa tête. Elle regrettait vraiment et amèrement de l'avoir laissé réalisant soudain qu'il avait été l'homme de sa vie!. Tout ça car elle s'était laissé éblouir par un autre pour qui il ne méritait en aucuns cas ses pensées et son coeur.

Mais qu'est ce que j'ai fais?? Me pardonnera t-il? Ahh Persmerga....je dois te dire la vérité....se disait-elle..

Mais avant tout quoi qu'il arriva...si il ne voulait pas avoir cet enfant, elle se promit de le gardez coute que coute.... une vie en elle qui grandissait!! C'était si merveilleux!! Elle se devait de lui dire la vérité.....

Persmerga

Les dernier rayons du soleil commençait a s'éteindre derrière la mer.
Il éraflerais de justesse les champs blés, les transformant en or.
La plage quand a elle rayonnais laissant croire à une rivière en flamme .

Le jeune homme laissait derrière lui des traces de pieds plus ou moins enfoncer ressentant la chaleur du sable.
Il déambula quelques minutes, ce demande ce que pouvait bien lui offrire l'avenir .

Le choc était dure, mais cela lui avait permit de récupérer se qui a présent était rester cacher dans l'ombre. Des souvenirs agréable auquel il se raccrocha dans cette épreuve.

Quand plus rien ne voguait dans sa tête il s'arrêta, puis s'allongea un instant regardant les étoiles qui brillait de mille feu.

Peut être attendait il quelque chose ou quelqu'un, de nouvelle idées défilait dans sa tête aussi rapidement que des étoiles filantes

Aubree_du_meslay

Attends-moi, alors!!Nous allons faire un petit morceau de chemin ensembles.

Ah tu pars aussi passer quelques jours au couvent?
Et bien çà sera avec grand plaisir que je ferai le chemin avec toi , sauf que moi çà va durer beaucoup plus longtemps je pense ....

Mais à mon retour on pourra s'entrainer ensembles pour le tir à l'arc , çà sera un plaisir de me mesurer à toi ...
Bien que ... tu seras surement meilleure que moi , j'ai tendance à être plus dans la lune que concentrée , tu gagneras facilement ^^

Sur ces quelques mots Aubrée eclata d'un rire franc et joyeux , imaginant dejà les parties et les flèches se diriger dans tous les sens au grand desespoir de Canaille et des pêcheurs du coin.

Puis pendant que Sylvine recuperait ses flèches , elle alla chercher sa besace et ses paquets , avant de la rejoindre et de commencer a longer le bord de plage avec son amie , tout en discutant de choses et d'autres ...

Des voyageurs comme d’habitude et quelques nouveaux...
La rencontre de soule a commencé mais tu le sais déjà …

Oui la rencontre de soule , je me suis dis " allez vas donc encourager les equipes ma fille , bouges toi un peu " ^^ Rigole
J'ai tendance a me renfermer un peu , depuis cet echec cuisant ...Enfin bref passons , c'est de l'histoire ancienne maintenant !

Des nouveaux tu dis ? Il est vrai que comme je ne viens plus en taverne , ma foi je n'ai pas fait leur connaissance , mais on verra tout çà en rentrant du couvent en août Grand sourire

Puis elles quittèrent la plage et prirent le chemin du village avant de se diriger vers le couvent et la mère superieure qui les attendaient de pieds fermes ^^

Aubree_du_meslay

Veux-tu essayer ?

Oh!! Euh!!

Voyant l'arc et les flèches que Sylvine lui tendait , elle ne put que s'executer , se disant que vu sa maladresse elle etait bien capable de planter une flèche dans le posterieur d'un pauvre pêcheur qui tirait sa ligne ^^

Humm !! Tu sais c'est risqué de me donner çà Sylvine
Je n'ai jamais tiré a l'arc et je ne sais même pas si j'arriverais a placer la flèche ^^

Tout en riant elle fit un premier essai qui vi la flèche se planter à quelques mêtres a peine , dans le sable ...
Un deuxieme essai après avoir bander l'arc du mieux qu'elle put et la flèche cette fois alla s'echouer au pied des vagues
Canaille qui visiblement etait inquiet pour lui , sa maitresse etait par trop maladroite avec des armes , vint se planquer derriere Sylvine et n'en bougea plus !

Houlla!! Comme tu peux le voir je ne suis pas franchement douée
Mais qui sait un jour peut être

Aubrée rendit l'arc à Sylvine , ainsi que les flèches restantes et lui sourit
Je suis heureuse de t'avoir croisé ce matin , je suis en partance pour le couvent et ce pour un long moment
Mais en attendant j'ai encore un peu de temps , donnes moi donc des nouvelles du village , je passe rarement desormais tu as du le remarquer

Regarde Sylvine dans les yeux et sourit , ne laissant voir son chagrin d'avoir été abandonnée sans un mot d'explication .....

Sylvine

La belle Aubrée accepta de prendre l’arme et essaya sans succès.
De la fourrure chaude se frotta aux mollets de Sylvine. Le chien d’Aubrée ne semblait guère rassuré de voir sa maîtresse pareillement équipé. Il ne quitta sa cachette que lorsque celle-ci rendit l’arc à la meunière.
Aubree avait ce sourire que Sylvine lui connaissait bien plein de douceur et avec un soupçon d'embarras.

Houlla!! Comme tu peux le voir je ne suis pas franchement douée
Mais qui sait un jour peut être

Ne t’inquiète pas. Je ne le suis guère. Je crois que je ne me présenterai pas cette année pour représenter les couleurs de Bertincourt. Une année d’entraînement me sera plus que nécessaire. Nous pourrons nous motiver tout au long de l'année et faire un duo.

Je suis heureuse de t'avoir croisé ce matin , je suis en partance pour le couvent.

Attends-moi, alors!!Nous allons faire un petit morceau de chemin ensembles.

Sylvine courut chercher les flèches disséminées. Il lui en manquait deux !!
Tant pis !! Elle attrapa la cible, la plaça sous son bras. En passant, elle récupéra sa besace et sa cape puis rejoignit la charpentière.

Mais en attendant j'ai encore un peu de temps , donnes moi donc des nouvelles du village , je passe rarement desormais tu as du le remarquer
En ce moment, c’est plutôt calme. Elle reprit son souffle.

Elles commencèrent à longer lentement le bord de mer.
Des voyageurs comme d’habitude et quelques nouveaux...
La rencontre de soule a commencé mais tu le sais déjà …

Sylvine

Sur sa gauche, un râclement de gorge, une présence...
Humm Humm !!! …Son oeil quitta une fraction de seconde la cible pour en connaitre la provenance mais trop tard la corde se détendit la flèche partit, dévia vers les cieux et disparut du champ de vision de Sylvine.

Bonjour Sylvine !! Tu est bien matinale dis donc

La jeune femme se tourna vers la nouvelle venue, un sourire illuminant son visage.
Bonjour Aubrée. Bien matinale, toi aussi. Elle lui sourit et lui rendit ses bises.

Je vois que tu est en plein entrainement?
Tu as l'intention de t'attaquer à qui ?
Attaquer non !!! mais plutôt défendre.

Montrant son arc,
je m’entraîne au cas où aucun autre Bertincourtois ne se participerait pour représenter nos couleurs au festival de la sixième couronne.

Elle regarda la cible. Comme tu vois je n’ai que des progrès à faire.

Un rire argentin sortit de sa gorge et s’égrena dans l’air du matin.
Veux-tu essayer ? Sylvine lui tendit arc et flèches.

Aubree_du_meslay

Aubrée s'etait levée à l'aube et après avoir prit un petit dejeuner et s'être occupée de Canaille , elle rangea la chambre de l'auberge
Jetant un regard du pas de la porte , elle verifia que tout etait en ordre et prenant sa besace et ses maigres possessions , referma la porte de la petite chambre où elle avait passé tant de jours à attendre le retour de Garchcroc ...

Elle ne voulait plus songer à celà , un pan de sa vie etait tournée desormais , sa decision etait prise depuis quelques temps et c'est le coeur léger qu'elle decida d'aller faire un petit tour sur la plage avant son depart au couvent .

Elle avait ecrit à la mère superieur et avait demandé si son chien serait accepté parmis elles ? C'est avec bonheur qu'elle avait reçu la reponse il y a quelques jours , l'arrivée de Canaille ne pouvait être que benefique vu qu'il y aurait un troupeau de moutons à surveiller .

Elle parcouru silencieusement les rues de Bertin , son chien sur les talons , ils traversèrent donc le village et arrivérent sur la plage
Canaille fila vers l'eau sans demander son reste , mais malin il n'entra dans dedans , juste y mettre les pattes et courrir après les mouettes
Aubrée le regarda un moment , un sourire sur les lèvres , son fidèle compagnon , c'est grâce à lui qu'elle s'etait accrochée à la vie dernierement et en remerciait chaque jour Aristote

Un sifflement se fit soudain entendre ....Puis un deuxieme ...Un troisieme ...
Intriguée , elle posa ses affaires sur le sable et se dirigea vers un endroit de la plage qui etait dissimulé des regards
Quelle ne fut pas sa surprise d'y voir Sylvine en plein exercice de tir à l'arc .
Ne voulant pas l'effrayer , Aubrée decida de se racler la gorge afin de signaler sa présence ( on ne sait jamais , c'est dangereux ces trucs là ^^ )

Humm Humm !!!
Bonjour Sylvine !! Tu est bien matinale dis donc
Je vois que tu est en plein entrainement?
Tu as l'intention de t'attaquer à qui ?

Sourire malicieux , Aubrée s'approcha et attendit la réponse , avant de lui faire la bise

Sylvine

[Petit entrainement aux aurores à l'heure où tout dort encore]

Sylvine foula les galets et le sable de la plage bien avant le lever du soleil. Elle avait très discrètement descendue les ruelles de Bertincourt évitant les patrouilles du guet pour ne pas attirer les questions inutiles. Elle ne voulait croiser quiconque et c’était la meilleure heure. D’ailleurs, mieux vallait que personne ne se promenât lorsqu’elle ferait ce qu’elle voulait faire.
Elle transportait sous son bras un grand objet plat et rond et son dos était bosselé. Elle avait revêtu sa cape de voyage couleur sombre et se fondait ainsi mieux dans l’ombre.

Elle chercha le coin le plus désert de la plage, celui le plus éloigné des lieux de baignades, de promenade et d’entraînement du guet.
La mer s’était retirée, certaines criques étaient découvertes donc pas de pêcheurs matinaux par contre la belle se méfiait des chercheurs de coquillages.

Tout était calme, le ciel palissait à peine, les oiseaux commençaient juste à balbutier leur bonjour à cette nouvelle journée.
Elle posa et cala l’encombrant rond en paille sur les rochers puis recula d'une centaine de pas, enfin traça un trait sur le sable avec sa chausse.

Elle sortit du revers de sa cape, des bandes fines de charpie et entoura les extrémités de ses pouce, index et majeur droits et protégea également l'intérieur de ses paumes tout en gardant une fluidité de mouvement.
Elle déposa sa besace, enleva sa cape pour être plus à l’aise. Puis, elle fit glisser de son dos, l’arc dont elle banda la corde. Une fois mise en place, la brunette la fit chanter en la pinçant entre pouce et index. Contente du résultat, elle ajouta l’arme à la pile.
Elle remit bien en position le carquois dans son dos et en vérifia chacune des flèches. Elle les remit toutes sauf une. Elle ferma les yeux pour mieux sentir le vent jouer sur son visage et se décala de deux pas sur sa droite. Elle récupéra son arc et mit son index gauche dans sa bouche et le dressa au vent.
Elle vérifia que personne ne venait, empoigna de sa main gauche le bois de l’arme, encocha la flèche, visa la cible, arma et décocha…..

La flèche se planta à une vingtaine de pas de l’objectif…trop court pas assez puissant.
Deuxième essai…mêmes gestes mais la corde plus tendue et l’angle de tir plus large. La flèche siffla et partit au-dessus de la cible derrière les rochers…Rien ne se passa...
La troisième flèche se ficha à l’extrémité de la cible..
Tous ses traits furent tirés, plus de la moitié étaient hors cible.
Elle partit les ramasser une à une tout en les comptant.
Elle recommença ses tirs ainsi par série.

Elle s’arrêterait et repartirait à ses occupations quotidiennes dès qu'elle apercevrait un promeneur ou une personne sur la plage.

Ewylan

Ewy revint, une fois de plus, en cet endroit qu'elle aimait. Elle n'était pas ivre, en pleine possession de ses moyens donc, et réfléchissait.
Elle n'était pas seule. Malgré l'heure tardive, Lucie marchait aux côtés de sa mère en tenant son petit frère dans les bras. Bientot, celui-ci serait trop lourd pour ses petits bras maigrichons et la princesse en profitait au maximum, le lachant peu...

Toutes les deux pieds nues, elles discutaient tranquillement de l'absence de leur père depuis une semaine environ.
Il revient quand ??
Paraitrait que ce serait dans peu de temps... Peut-être ce soir, qui sait ???
Mais pourquoi est-il tou'ours absent ??
je ne sais pas, ma puce... Mais il ne s'éloignerait pas de toi et d'Edwin sans une bonne raison, tellement il vous aime et vous porte dans son coeur !
Tu n'as pô dis toi, dans son coeur... Môman ??

Ewy avait froncé les sourcils et soupiré en même temps... Les enfants et leurs innocences... Elle aimait Pal, de tout son coeur ! Mais il aurait quand même pu la réveiller ce matin-là pour lui dire qu'il partait au monastère pour un temps indéfinis; ou même laisser un petit mot sur le lit, près d'elle, pour la mettre au courant... Mais non, Le chevalier blanc partait toujours sans mot dire, la laissant un beau matin seule avec ses enfants...

Môman ?! Réponds'oi !!
Mais oui, que je suis dans son coeur ! Je voulais juste te faire peur !

Ewy ébourriffa les cheveux de sa fille tout en continuant leur marche lente. La puce cria de plaisir ce qui réveilla son frère.

Que dois-je faire, môman ??
Berce-le avec douceur.

Faisant ce que sa mère lui disait de faire avec tendresse, Lucie put voir que son petit frère se rendormait. Et Ewy vit que sa princesse ferait une bonne mère, un jour... Mais pas maintenant, heureusement.
Les pensées de la maman voguèrent ensuite dans son nouveau travail de paperasse... Elle était heureuse d'avoir fait un premier petit pas pour aider sa ville adorée. Elle se demandait comme son Ange réagirait à son retour en apprenant la nouvelle...
Elle se tourna vers Lucie pour lui poser une petite question et aperçut au premier coup d'oeil un baillement caché de sa fille.

Rentrons... Tu as sommeil.
Non !! je veux rester ici !!
Chérie... je t'en supplie, ne fais pas la dure ce soir, je suis fatiguée...
Mais...

Voyant une fine larme coulait sur la joue de sa maman, la petite lui tendit son petit frère pour que sa mère le prenne dans ses bras, puis tint gentimment le petit doigt de sa mère pour lui dire qu'elle la suivait. Remerciant d'un vague sourire sa Lucie adorée, Ewy les fit revenir sur leur pas et rentra chez eux...

Il était temps que Pal revienne...
Ewy n'allait plus tenir...

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Sanpif6669

San, venant de remplir le journal des rumeurs, viens au bord de l'eau, l'air très triste, pourtant, elle ne devrai pas, mais elle sait qu'elle à fait du mal, elle a blessé l'homme qu'elle aimait en le quittant, mais ne se voyait jamais, son amie, qu'elle estimait depuis toujours. Elle se trouve avec un autre homme, avec qui elle se sent bien, et se, depuis qu'elle le connait en fait.
Regardant le ciel qui rejoint la mer, parle à Pat :

"Je suis désolé mon Pat, je ne devais pas t'aimer assez pour t'attendre. Tu es quelqu'un de formidable, je ne te mérite pas, je suis devenue très dur, je sais. Je ne t'oublierai jamais, sois en sur. Je t'ai vraiment aimé, mais l'attente a eu ses raisons. Tu es dans mon coeur à jamais!!"

Regardant autour d'elle, va sur son rocher et enlève ses vêtement pour plonger dans l'eau fraiche, faire quelques brasses afin de ne plus penser, laisser simplement l'eau glisser sur son corps, la laver de toute cette tristesse qui l'envahi depuis le matin.

Réussissant enfin à avoir un peu évacué, regagne la plage sans avoir au préalable, regarder qu'il n'y ai personne. Quoi qu'il fait nuit, personne ne me verra^^. se rajuste après s'être séché, et regagne la taverne

Sanpif6669

San, après avoir quitté la taverne, vient sur la plage. il y avait longtemps qu'elle n'y était venu, trop longtemps d'ailleurs. Elle avait dit à Nitro qu'elle ne savait s'y rendre, petite plaisanterie, car elle l'a connaissait cette plage, hooo que oui!!

Allant dans un coin, voyant que personne n'était présent, ôte ses affaires, ne gardant que ses aillons, laissant de quoi s'essuyer, plonge dans l'eau fraiche, dans la nuit tombé, laissant libre court à sa nage, allant devant elle. L'eau glissant sur elle comme une caresse, profite de se doux moment de liberté, laissant libre ses pensées, savourant se moment trop longtemps laissé de coté.

Au bout d'un long moment, ressourcés, rejoint la plage, ne faisant attention à rien, se met à se sécher s'emmitouflant dans la couverture qu'elle avait pris a cette effet, s'assit sur le rocher et regarde le couché de soleil.

Merlina

Merlina venait de sortir de la taverne de Clementus....un peu d'aire frais elle en avait bien besoin...Donc tout en déambulant elle marchait hors de la ville pour se rendre sur la plage près de la mer.

Marchant doucement laissant le vent lui faire flotter les cheveux, elle pensa aux confidences de Nitro. La perte de sa femme et de son enfants à naître..ses erreurs qu'il avait commise. Il avait eu tellement peur que elle et Tabatha le juge. Et pourtant, sans le savoir elle éprouvait de forts sentiments pour lui. Elle admirait beaucoup l'homme autant physiquement que ses qualités de générosités, de droitures....et de loyauté envers sa famille et ses amis.

De plus elle se plaisait en sa compagnie..plus qu'elle ne l'imaginait... Et de ce fait elle avait peur. Persmerga depuis quelques temps lui manquait.... Et ses sentiments pour Nitro grandissaient. Mais elle voulait rester honnête envers chacuns.

Pourquoi est-ce que je suis attirée par deux hommes exceptionnels..que dois-je faire...pensait-elle en soupirant....et puis qui me dit que je me trompe, Nitro n'éprouve qu'une bonne amitié pour moi..pourquoi aie-je de telles pensées?

La jeune femme regardait la mer espérant trouver des réponses à ses questions............

Ewylan

Un sourire sans tristesse. Enfin...
Pure bonheur qu'éprouvait Ewy en arrivant en cette soirée sur la plage. Son lieu favori, mise à part la taverne naturellement...

Elle revenait de son voyage à Calais. Las et triste de s'être ennuyée à la fin... Et malheureusement, elle n'avait pas revu ses anciens amis...
La jeune femme était seule, ayant faussé compagnie à son Tendre et ses enfants... Un moment de solitude et de liberté n'était jamais de refus ! Et la jeune femme savait pleinement les savourer...!

Elle marchait donc tranquillement. Fermant les yeux, respirant l'air ennivrant et iodé du lieu, Ewy s'assit sur le sable encore chaud.
Ecoutant les bruits tranquilisants des vagues s'échouant sur la plage ou encore le cri incessant des mouettes planantes, elle revisualisa son voyage. Elle s'était refait quelques amis, mais bien peu à son goût... Elle repensa à son aimé, Pallanen, et l'une de leur conversation importante...
Elle rouvrit les yeux en soupirant: ce n'était pas le moment de réfléchir à tout ça.

Plus tard, malgré le froid qui s'imprégnait de plus en plus que le soir tombé, elle admira le couché de soleil, les yeux pétillants d'une joie depuis longtemps interdite !
Elle se leva et se rendit ensuite en taverne, boire un "petit" coup et revoir les amis...

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.isabelle

Chou mélancolique arriva sur la plage, elle voulait se retrouver seule pour réfléchir, au loin elle vit son amie Tidole agenouillée le long d'un corps. Elle arriva en courant vers elle

Que se passe-t-il ?
Oh, mais c'est ton ami Skorwatchkha !

Elle le regarda inconscient,

Nous devons le ramener chez toi ! il ne peut rester au froid sur la plage

Elle posa sa main sur son front et constata qu'il était brulant de fièvre

Avec l'aide de Tidole, elles fabriquèrent un brancard de fortune.

et elles se dirigèrent lentement vers la maison de Tidole, avec leur ami .

Tidole

" Je te remercie tant d'être venue m'aider, Chou, Je n'aurais pu le transporter sans ton aide "

Réconfortée par la présence de son amie, l'effort lui paraissait moins pesant.

Chou avait constaté que le blessé avait beaucoup de fièvre et qu'il était urgent de le faire boire.

La maison de Tidole était en vue, bientôt Skorwatchka serait installé bien plus confortablement que sur la plage où il aurait fini en pâture aux mouettes et aux crabes !

Aubree_du_meslay

Les jours succedaient aux nuits , lentement , ineluctablement ....
Elle n'avait plus de nouvelles du monastère dans lequel celui qu'elle avait aimé avait decidé d'entrer .
Il allait être temps de tourner une page de sa vie pensa t'elle , le regard dans le vague , le coeur meurtri
Sa seule consolation etait desormais l'accès qu'elle avait obtenu pour aller etudier à l'Université .
Etudier , apprendre , sa soif de savoir etait sans fin et grâce à celà et à son labeur quotidien , les journées lui paraissaient parfois moins longues .

Le soir venu , alors que la plupart des habitants se retrouvaient en taverne , elle rentrait dans sa petite chambre , à l'auberge , et se replongeait dans ses livres , une façon d'oublier le monde exterieur et d'oublier cet abandon qui lui faisait si mal
Elle n'oubliait pas ceux qui l'avaient acceuillit à son arrivée , ceux qui lui avait fait confiance , ceux qu'elle pouvait appeller ses amis , même s'ils n'etaient pas nombreux il est vrai .

Un jour l'oubli viendra surement , mais elle savait desormais qu'elle n'accorderait plus jamais a aucun homme cet amour qu'elle avait eprouvé ...
L'amitié est et restera sa devise , elle n'avait plus que çà à offrir .....

Les vagues venaient mourir à ses pieds , assise dans le sable humide , elle resta là un long moment , appreciant le calme du lieu seulement interrompu par le cri des mouettes et des goelands , respirant l'air pur et iodé , admirant la beauté sauvage de cette etendue d'eau salée , rêvant de voyages au long court , de bâteaux ...
Ses pensées s'envolèrent vers la Bretagne ...

Tidole

Tidole s'agenouilla près du corps agité de tremblements, soulagée de voire qu'il lui restait un souffle de vie, si ténu soit-il avec de bons soins il restait une petite chance .

Tout en réfléchissant au moyen de le transporter, Tidole murmurait des mots rassurants en tenant la main du jeune homme.

Puis se mit à la recherche de bois flotté sur la plage pour improviser un brancard de fortune, elle prit sa ceinture pour lier les longs bâtons de bois , à ce moment Choupette arriva, toutes deux le posèrent le plus délicatement possible sur le brancard et prirent la direction de la maison de Tidole.

Leur progression dans la sable était difficile, elles avançaient le plus régulièrement possible, faisant quelques poses pour reprendre des forces.

Tidole

Tidole avait enfin trouver une bonne âme dans ce village, Dalmas avait accepté de l'accompagnée pour secourir Skorwatchkha, la sable ralentissait leurs pas mais enfin ils arrivèrent près du corps inanimé.

Skorwatchkha

Combien de temps était-il resté inconscient ? Skorwatchkha ne saurait le dire. Toujours étendu sur le sable, il émergeait des ténèbres petit à petit, incapable encore d'ouvrir les yeux. Le bruit des vagues déchirées sur la plage, l'odeur des embruns de la mer d'Artois, tout n'était que sensation. Serait-ce donc cela la mort ? Il ne pouvait le croire tellement la fièvre le faisait trembler de froid. Cet état semi-comateux lui était pénible, à peine conscient de ce qu'il se passait autour de lui il se laissa sombrer dans l'inconscient.

Jad

Regardant au loin assis près de la rive, le soleil si doux sur ma peau, le vent fesait valsé mes cheveux, j'étais surmergé par la vue splendine me fit pensé au bonheur merveilleux que s'annonce maintenant ma vie, perdu dans mes pensées, je m'allongeais doucement sur le sable chaud regardant la beauté du ciel qui s'offrait à moi, me disant qu'un jour le prince charmant viendrait me prendre la main posant ses lèvres douces sur celle-ci, me deshabillant du regard, cela me fit presque frissonné, le creux de mon ventre avait une sensassion si ennivrante comme si vraiment un approche de corps à corps avaient eu lieux.

Soudain j'entendis un bruit, sursaute vitement me rhabille, sans regarder en arrière me rend vers le chemin qui me conduit vers ma maison.

Virbule

Après trop de temps perdu chez les nonnes Virbule avait besoin d'air pur et d'espace sans fin où ses pensées ne seraient pas limités par la pierrade froide des murs protecteurs du monastère ... La luminosité de cette chaude journée printanière lui donna l'envie de rendre visite à une vieille amie, la mer.
Reprenant le chemin arpenté milles fois qui séparait l'atelier de la plage elle avait malgré tout le cœur lourd ; la dernière fois elle n'était pas seule ... il y avait si longtemps.
Une bourrasque de vent lui apporta l'odeur du large. Elle en emplit ses poumons comme pour combler le vide qui la ronge et, un peu plus en vie, elle continua de se rapprocher des flots.
Les chausses sur le sable furent vite quittées pour permettre le contact entre les petits grains et la peau.
Elle s'assit là, en bord de plage submergée par le spectacle toujours différent de la danse solaire sur le miroir des vagues ... s'oublier dans une contemplation.
Le chant d'une mouette la fit quitter ses songes.
Virbule alla gouter la fraicheur de l'eau et longea la plage en direction de la falaise les pieds toujours caressés par l'écume. Sans y penser vraiment, sans le vouloir consciemment du moins, elle se dirigeait vers son lieu favori. Elle si sentirait moins seule et peut être même qu'elle si endormirait sereinement, au cœur du vide, au plus près de lui ...

Tidole

Tidole avançait rapidement pour tenter de rejoindre Skorwatchkha, arriva sur la plage, un sentiment indéfinissable mêlé de crainte et d'impatience à retrouver le voyageur s'empara d'elle.

Au bout de quelques minutes qui lui parurent une éternité, elle aperçut une silhouette au loin étendue sur le sable.

La gorge nouée elle n' osa à peine s'approcher, un homme gisait sur la plage.

Tidole s'approcha et reconnut le jeune homme qu'elle avait accueilli quelques jours,
Il était très faible, mais paraissait toujours en vie, la marche avait due l'épuiser, il avait perdu connaissance.

Elle s'assit à ses côtés, le couvrit de sa cape, il était glaçé , lui murmura des paroles apaisantes.
Tidole, chassa toute pensées négatives de son esprit, posa ses mains délicatement autour du visage du jeune homme pour lui communiquer une énergie bienfaisante.

Au bout d'un certain temps ne sentant aucune amélioration survenir, Tidole chercha des yeux quelque promeneurs qui passeraient à proximité pour venir en aide à Skorwatchkha.

Ne voyant personne, elle décida de courir à la taverne la plus proche pour chercher de l'aide et rencontra Messire Eric.

Après avoir écouté ses conseils, Tidole retourna sur la plage.

Skorwatchkha

Skorwatchkha s'était bien remit de ses blessures, notamment grâce aux potions et onguents prodigués par Tidole, hôtesse d'une semaine qui lui avait accordé hospitalité, gîte et couvert. Quelques instants plus tôt il venait de quitter sa maison de douce convalescence. Heureux était le charpentier anversois d'avoir découvert cette charmante bourgade côtière, où il fait assurément bon vivre. La découverte de ces gens et ces tavernes chaleureuses renforçait la conviction de Skorwatchkha que tout homme et toute femme étaient bons, ou du moins possédait une certaine bonté d'âme.

Ses affaires sur l'épaule, il déambulait sur la plage se préparant à son bref retour à Antwerpen pour se procurer quelques documents officiels afin de poursuivre son voyage, sa quête pourrait-il dire, de façon plus tranquille que lors de sa traversée de la frontière normande.

Arpentant la plage, s'éloignant du phare, Skorwatchkha se mit en marche, vers les Flandres. Il se sentait apte à reprendre le chemin, malgré le peu de temps de repos qu'il s'était lui-même accordé.

La longue plage n'en finissait pas, immense, lointaine. Skorwatchkha peinait dans le sable, il avait hâte de retrouver le sol rugueux des chemins. Afin de retrouver Muscari, âme perdue, âme-soeur peut-être.

Kentoc’h mervel eget bezañ saotret !

Une devise, un destin !

Skorwtachkha avançait de plus en plus péniblement dans le sable fin, son esprit s'embrouillant peu à peu. Ses pensées confuses lui faisait perdre le sens des réalités, la plage s'étirait de plus en plus, semblant à présent mesurer plusieurs centaines de lieues.

L'amour pour épée, l'humour pour bouclier !

Le monde autour de lui s'obscurcit soudain, un voile noir couvrait à présent son esprit. Le sable se transformait en sol instable, l'équilibre se faisait incertain. Quelques mètres encore.

Il est mieux de mourir que de se déshonorer.

Tout s'arrêta, le monde devint invisible. L'effort fourni était par trop intense pour si peu de convalescence. Et ce jeune homme sans sourcils gisait là, inconscient, inanimé, sur le sable d'une plage artésienne.

Muscari

Le vide, plus de pensées, plus de sensations, le néant. Le temps ne se mesurait plus, l'espace était infini.

Muscari

Skorwatchkha restait inconscient, à la lueur d'une lune se reflétant dans l'eau froide de la mer.

Merlina

Cela faisait presque deux mois que Merlina était partie en voyage vers la Normandie et ses environs....et pendant ces jours le temps avait filé à toute allure comme un sablier qui s'écoule et dont on a aucune emprise sur le sable coulé.

Elle décida par cette nuit de sortir un peu de la taverne et de marcher près de la plage en direction de la mer. Tout était si calme et majestueux.....elle en avait oublié la beauté des lieux. Ainsi que les souvenirs s'y rattachent. MasterG...Vaslav....ses anciens amoureux de jadis.... mais un seul lui avait pris son coeur pour de bon cette fois-ci... Il était loin..en Normandie.....Elle avait les larmes aux yeux rien qu'en y pensant....

Pourquoi a t-il fallu que je parte..je sais je le devais.....se dit-elle. Te reverrais-je un jour?? se demanda t-elle.

Regardant les étoiles dans le ciel, elle vit apparaît une qui fillait telle une comète avec sa traîné derrière elle!!

De ce fait, Merlina ferma très fort ses yeux et fit un voeux secret, puis retourna à sa marche, majestueuse sur la plage..cheveux aux vents...

Wedyco

L'eau est fraiche, même froide. Elle s'infiltre lentement et l'encercle. Ses pensées sont ailleurs, elle avance vers l'horizon, elle avance vers les profondeurs du large.

Elle ne se rend même pas compte que déjà l'eau s'infiltre en elle. Elle a coupé sa respiration pour pouvoir avancer plus loin. Une barre sinueuse vient transpercer son front , surement l'eau froide qui lui parait à présent glacée. Ne pas s'arrêter, continuer d'avancer, quand.....

Un étau qui marque sa taille, une force qui la fait reculer, l'air a nouveau et le soleil qui sort de derrière un nuage.

Quelqu'un la frictionne, renouveau d'énergie.

Elle ouvre a nouveau les yeux, elle est sur la plage. Elle est transis de froid quand enfin elle le voit.

Juste les grand yeux vert qui s'exprime. Elle ne le remercie pas, elle se demande juste pourquoi il est là.

Elle claque des dents a présent dans ses vêtements trempés. Ses cheveux laissent glisser des coulées d'eau salées dans son dos, son visage est trempés.

Sur ses joues, le choc de deux eaux salés qui se mêlent et qui ne peuvent être différenciées que par elle. Ses larmes tièdes la réchauffent.

Et cette jeune femme près d'elle, si attentionnée, si gentille, alors qu'elle la connait à peine.

Elle entend vaguement sa voix

Dame Wed, Dame Wed, répondez nous, vous verrez tout va s'arranger, Nat à raison, il veillera sur vous et vous verrez que la vie peut être si belle ..............

*Tiens mais c'est à moi qu'on parle. Répondre, mais répondre quoi?*

Elle demande simplement.

Où sommes nous?

Bernielabohemienne

Bernie resta assise en face de Nat, il était si faible qu'il ne pouvait dire un mot, elle lui donna un sourire qui pouvait traduire, ne dit rien, tu n'as pas à t'expliquer, même le plus vaillant à ses faiblesses....

Lorsqu'elle se retourna, elle ne vit plus la jeune femme, elle sursauta lorsque Nat partit d'un coup d'aile, pour une fois il n'a pas fallu deux heures à Bernie pour comprendre ce qu'il se passait, elle courru vers Nat qui ramenait la jeune femme sur la plage....

Bernie ne savait quoi faire, quoi dire le visage pâle de la jeune femme, son corps inerte devant elle, unepeur terrible envahissait le corps de Bernie...

Quand soudain elle entendit,

Aurais tu une couverture mon ange?

Bernie sorta un peu de son état second et prit sa cape, elle n'avait pas sa besace avec elle donc pas de couverture, elle entoura sa cape sur la jeune femme et regarda Nat et dit d'une voix un peu peureuse mais haute

Elle va bien Nat, dis moi elle va bien?

bernie ne cessa de frotter le corps de la jeune femme qui se laissait aller sous ses mains

Dame Wed, Dame Wed, repondez nous, vous verrez tout va s'arranger, Nat à raison, il veillera sur vous et vous verrez que la vie peut être si belle ..............

Natanael..

Natanael rangeait ses affaire lorsqu'un pressentiment, un horrible pressentiment le força à se retourner vers la mer.
Il regarda et vit Wedy qui sembalit se beigner, ne s'en inquiéta pas.
Il parcourut la mer du regard sans rien voir d'autre.
Il fut étoné de ce pressentiment et s'apprêtait à finir de ranger ses affaires lorsqu'une voix de l'interieur lui cria:

Elle ne sait pas nager!!!! Elle va mourir!

Cette voix!!! Il n'avait pas encore entendu la deuxième phrase qu'il avait déjà déployé ses ailes et quitté le sol, il fit demi tour brusquement et fondit sur Wedyco, l'enleva de l'eau en la prenant par la taille et la ramena sur la plage en trois coups d'ailes.

Wedyco!!! Ne fait pas ça! Laisses moi une chance de te montrer que c'est toi qui à tord et moi raison! Demande à Bernie, je peux t'aider, fait moi confiance!

Ma douce? Aurais tu une serviette ou une couverture avec toi à tout hazard s'il te plait? Je ne possède plus grand chose moi là.

Il vit quelques plumes tomber encore et comprit le châtiment mérité d'Aristote, n'en dit rien, résigné.

Je sais , j'ai eue un moment de faiblesse en venant ici, j'ai laissé tout le monde sans surveillance, y compris les plus faibles, je ne le ferais plus, je serais plus attentif mais accordes leurs encore un peu de temps, pour Bernie ma douce, pour Wedyco, Morgane et orick, pour doudounnette et les autres. Je t'en supplie, pour eux, laisse moi, laisse leur une chance, j'y arriverais, dussèje y laisser mes ailes ou plus si tel est ta volonté!

Quelques jours bon sang Aristotes, quelques jours encore, dis lui toi qu'elle se trompe!!Elle t'écoutera sans doute plus que moi! Pensait il.[/rp]
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Wedyco

Wedy était plongée dans ses pensées, ses larmes toujours plus proches, lorsqu'une s'était enfuit, une autre arrivait. Son coeur semblait meurtri, écrasé dans ses chairs, elle étouffait de l'intérieur.

Une voix faible, au timbre chantant lui fit lever un instant la tête qu'elle gardait baissée.

Nat, mon ange, .je suis là ..........

Elle vit alors une jeune femme s'agenouiller au devant de Natanael. Elle sortie immédiatement de son demi songe si poignant. La voix de l'homme la sortie de sa torpeur.

Ho!!!

Aussitôt elle retira sa main. A nouveau cette envie de courir, de s'enfuir, de disparaître la saisit.

Courir à l'abbaye, courir se cacher, ne plus être vue, ne plus exister.

Il s'était retourné, elle ne pouvait soutenir le regard clair comme l'eau qui l'entourait.
Il s'assoie, la regarde. Elle ne veux pas déranger, elle regarde un instant la jeune femme qu'elle a déjà croisé la veille.
Tel une ombre elle s'éloigne déjà. Elle marche lentement sur la plage, laissant à peine des traces de ses pieds nus sur le sable. D'un pas lent elle va vers la mer, d'un pas lent, elle entre dans l'eau, d'un pas lent elle continue a avancer oubliant, qu'elle ne sait pas nager.

Natanael..

Ce qui lui sembla sur le coup être une goutte d'eau de pluis sur sa nuque le laissa sur le coup indéférent, puis il pensa qu'il était surprenant d'avoir une seule goutte d'une part et tiède de surcroit aux vues des températures remontantes mais encore fraiches.

Il n'eut pas le temps d'ouvrir les yeux qu'il entendit:

Nat, mon ange, .je suis là ..........

Il sursauta, ouvrit les yeux et vit Bernie devant lui malgrès ses yeux embués.
Mais alors!!!! Cette main sur son épaule???
Il se retourna et vit Wedy.

Ho!!!

Dit il plus que surprit.
Bernie était agenouillée face à lui, ses bottes plus loin, sa main carressant ses cheveux et Wedy, debout, la main sur son épaule, toutes deux le fixaient avec attention, compassion.

Il resta interdit un court moment qui lui sembla pourtant une éternité pour lui. Comment allait il se tirer de ce mauvais pas, il ne devait pas être faible, il DEVAIT les aider, mais il prennait concience maintenant qu'il aurait beaucoup de mal seul.
Elles lui tendaient la main, une main charitable qu'il ne pouvait prendre pas plus que laisser.
Que faire? Il prit concience que sans aide, sans soutient, il ne survrivrait pas assez pour finir ses missions.
Il se retourna, s'assit, las, sur la plage face à elles et commença par un long soupir.

Il essaya de parler, mais, la gorge nouée, aucuns sons ne sortirent. Il essaya une deuxième puis une troisième fois de tout expliquer, mais rien.
Il avait beau avaler sa salive, respirer profondément, se calmer, rien ne sortait, rien.
Il pesta contre lui même intérieurement d'abord puis compris que cette absence de possibilité à parler ne vener pas de lui, il n'était pas maître de son corps, ses ailes n'étaient pas à lui en fait, pas plus que le reste de son corps, cordes vocales incluses.

Il les regardait, implorant leur pardon, leur donnant toute son affection à travers ce regard bleu, froid. Il s'essaya à un timide sourir, ravi de voir que ça il pouvait.

Il essaya à nouveau d'ouvrir la bouche pour parler mais aucun son ne sorti. Non, il n'avait visiblement pas le croit de demander d'aide, d'expliquer tout, pourquoi il ne dormait pas, ne mangeait presque plus.
C'était son lot, il avait beau ne pas avoir eue le choix, il n'avait pas d'autre option que de supporter cela jusqu'au bon vouloir d'Aristote et Christo.

Il se releva, regarda les femmes puis dit:

Merci dêtre là, et pardon, pardon de....

Aucun son ne sortait de nouveau, il s'apprétait sans doute à dire quelque chose qu'il ne devait pas, il n'en savait rien lui même.
Il baissa les yeux, puis la tête, et, résigné, il rangea ses courriers dans sa besace sans dire mot.

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Bernielabohemienne

Bernie en avait assez des ragots de taverne, elle sortit lorsqu'au loin, elle entendit le fracassement des vagues qui venaient frapper sur les rochers.....

Cet air lui rappella la fabuleuse plage de fecamps, là où elle prenait toutes ses ressources et son énergie lorsqu'elle en avait besoin, elle décida l'aller admirer celle de Bertincourt peut-être que celle-ci, lui fera le même effet......

Lorsqu'elle arriva, elle fut éblouie par la splendeur de la plage, il faisait encore un peu frais mais les rayons du soleil refletaient sur l'eau comme une étincelle prête à exploser, elle enleva ses bottes et sauta les deux pieds dans l'eau comme une ptite fille le ferait, faut dire que Bernie malgré son âge adulte, est encore fort espiègle et joueuse, elle continua un moment à faire ses galipettes dans l'eau, lorsque les vagues qui ricochaient contre les rochers lui fit tourner la tête, elle apperçut deux ombres au loin...........

Bernie très curieuse s'avanca tout en enfonçant ses pieds dans le sable, elle ne devrait peut ête pas s'approcher, c'est sans doute un couple qui prend un peu l'air, mais c'est plus fort qu'elle, il faut qu'elle s'avance et qu'elle regarde...

Lorsque Bernie arrive à une certaine distance, elle n 'en croit pas ses yeux,
"Nat"était la à genoux avec une dame qui lui tenait l'épaule,

Elle courru vers eux, puis s'arreta brusquement lorsqu'elle entendit Nat qui implorait aristote , elle l'écouta attentivement et continua en marchant d'un pas doux et léger en tenant dans ses mains sa paires de bottes.
Lorsqu'elle arriva à deux pas de la dame, elle la regarda, son visage était si triste que bernie lui fit un sourire léger en signe de compassion malgré qu'elle ne savait pas ce qui se passait...

Son regard se detourna sur Nat qui se tenait à genoux , il était pâle , tremblant, les larmes lui coulaient des yeux, elle se sentit impuissante et d'un mouvement de mains laissa tomber ses bottes sur le sable, on aurait dit un grognement de tonnerre ......

Bernie s'agenouilla près de Nat lui prit la main et de son autre main, elle lui remonta le visage , celui-ci était sombre, rempi de larmes,elle lui déposa un baiser sur chacunes de ses paupières et lui dit d'une voix douce et chaleureuse

Nat, mon ange, .je suis là ..........

elle jeta un regard sur la dame derrière , lui sourit et d'un geste tendre carressa la chevelure de son ange, attendant un geste, une parole, ...........

Wedyco

Toujours dans son dos, elle reste interdite en entendant les mots qu'il prononce. Alors, ainsi, il implore pour les autres. Bonté d'âme et générosité d'un cœur.

Ces mots résonnent dans le cœur de la jeune femme, des mots qui la touchent au plus profond d'elle même. Elle sens un pic, un mouvement, comme... la pointe d'une plume qui vient touiller au plus profond de son coeur.

Ce coeur qui n'entend plus, ce coeur qui ne vit plus. Lentement un larme s'échappe et viens rouler lentement sur sa joue pour finir par s'écraser dans la nuque du jeune homme.

La mer agite ses rouleaux, un nuage viens cacher le soleil, il va pleuvoir bientôt. Pourtant en elle le printemps commence à prendre le pas sur l'hiver.

Natanael..

Accroupi devant la mer, avec le bruit des vagues et concentré sur ses questions sans réponses, Natanael n'avait entendu arriver personne.

La légèreté de la main qui se posa sur son épaule lui fit penser à celle d'Aristote et tressaillit à l'idée.

Il ne bougea pas et, pensant qu'Il était venu le reprendre il dit:

Pardonnez moi Seigneur, je n'ai pas réussi, je n'ai pas eue le temps, je n'ai pas été digne de vous. Mais je vous promet avoir fait tout ce que j'ai pu. La tâche était trop lourde pour moi en si peu de temps, trop de choses à faire, de gens à aider...

Laissant rouler ses larmes sur ses joues et les yeux rouges, il continua toujours sans se retourner:

J'implore votre clémence pour ce que j'ai commencé à faire, laissez leur une chance que je puisse les aider, finir ce que j'ai commencé, laissez moi encore quelques jours dans votre bonté. Ils en ont encore besoin, je n'ai pas tout à fait fini. pardonnez moi....

Les yeux fermés, ne ressentant plus aucune sensation, ni le vent, ni le sable, ni la main, il ferma les yeux pensant déjà être parti pour les cieux ou... pour les enfers faute d'avoir réussit.

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Wedyco

Tel une ombre elle avance sur la plage. Elle a retiré sa capuche et son col et elle le regrette déjà. Trop de monde dans ce lieu, trop de parole, trop de discours. Elle y préfère le calme de ce lieu, la tranquillité aussi. Elle écoute le bruit de la mer et se détend un instant. Ses pieds nus laisse des traces a peine visible sur le sable froid.

Son regard par loin vers l'horizon, a genoux face a la mer, une silhouette effondrée. Il est là, celui qui l'a trainée jusqu'ici, il est là et il a surement plus besoin d'aide qu'il ne peut en donner.

Ses yeux trop grand, d'un vert éclatant mange une partie de son visage étonné, alors qu'à bonne distance elle l'observe. Si triste malgré tout, que peut-elle bien faire pour lui.

Lentement, elle s'approche et pose juste une main fine sur son épaule, un geste simple, un geste pour lui qui s'évertue a tant donner aux autres.

Natanael..

Natanael était arrivé dans la nuit avec sa troupe, épuisés qu'ils étaient tous, il leur avait laisser un peu de temps pour se reposer et se restaurer, il en avait lui même tellement besoin.

Il arriva dans son élan sur la plage, regarda l'océan quelques instant puis, longea cette plage sur toute sa longueur et refit le chemin inverse, plusieurs fois.

Tellement de questions se bouculaient dans sa tête, il ne DEVAIT pas baisser les bras, mais il était las, tellement las.

Il fini par s'écrouler au sol, laissant s'envoler une poignée de plumes, face contre le sol. Il pleurait à chaudes larmes, il n'arrivait pas à se retenir, en avait des spasmes.

Le temps passant, il repris son calme, s'essuya les joue de ses larmes et du sable qui le recouvrait.

Il s'assit face à la mer, perdu dans ses pensées. Il commençait maintenant à vraiment douter des sa force physique pour mener à bien tout ce qu'il lui retait encore, et il perdait tellement de plumes, de plus en plus chaque jours.

Les pigeons qu'il recevait, de plus en plus nombreux, ne lui laissaient plus le temps de dormir, ni même de se reposer un peu. il n'avait d'ailleur que perdu trop de temps sur cette plage sans rien faire et répondit à certains.

Ses mains tremblaient, il se rappela qu'il n'avait pas manger depuis... heu... au moins deux jours, sortit une miche de pain rassit de son sac et en mangea un peu en continuant de répondre aux missives.

Il se doutait que là: il devait faire peur à voir maintenant, il devait soigner un minimum son image, et, les trait tirés par la fatigue, les joues creusées, il s'avancea vers la mer, s'en passa un peu sur le visage, se frictionnant un peu au passage.
Il savait qu'il n'était pas bon de faire une toilette dans l'eau de mer mais il n'avait pas le temps de faire mieux pour le oment.

Il se sentait tenailler de toute part, entre les réflexions qu'il prenait régulièrement de la part de personnes qui lui étaient cher, leur protection à assurer, l'intendance, les frontières qui se fermaient, l'hostilité grandissante de partout dans ce pays fleurtant avec la guerre et la mort trop souvent.

Il s'agenouilla devant la mer, points fermés et serres sur le sable et attendit des réponse dans ses réflexions.

Que pouvait il faire? Que DEVAIT il faire? Il avait tout de même eue la satisfaction dans la soirée d'hier d'apprendre la réussite de son avant dernière mission, alors avec la dernière, ça faisait tout de même deux grandes nouvelles en deux jours, mais tellement de choses à faire encore, et si peu de temps, son énergie devenait de jour en jour si fuyante...

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Kimy

Cette nuit là, Kim et son compagnon avait quitté la ville d'Amiens pour prendre la direction de Bertincourt.

Le chemin avait été long, mais en bonne compagnie, la plus longue des routes est toujours trop courte.
Il s'étaient pourtant arrêtés en chemin, La péronnaise s'était laissée distraire par un champ de fleur. Son tendre amour l'interrompit dans la plus plaisante des étreintes.

Lorsqu'ils reprirent la route, Kim admira son homme avec un regard plein de tendresse et d'amour. Cet homme, elle le suivrait jusqu'au bout du monde s'il le fallait.
Elle passa son bras autours de sa taille et appuya sa tête sur son épaule et les amoureux marchèrent ainsi jusqu'à Bertincourt.

Ils franchirent les portes de la ville sans encombre, et allèrent jusqu'à la plage où Kim avait très envie de se rendre. Son Choub céda à son caprice malgré la fatigue du voyage.

Une fois arrivé, ils s'assirent dans le sable encore humide de la rosée matinale et des embruns de la mer.
Ils s'embrassèrent face au soleil qui se levait, rendant l'instant magique.
Enlacé l'un à l'autre, ils regardèrent les vagues, le regard perdu dans leurs pensées.

Puis, la petite péronnaise, d'humeur facétieuse, prit la main de son chéri et l'entraina en courant à moitié, marchant dans les vagues et riant de sa surprise.

La matinée s'écoula puis la journée sans que le couple se lasse l'un de l'autre. Et le soir venu, ils se mirent en route, en direction d'une ville voisine.

Fantomette74

Callima n'avait pas croisé Mungaud en taverne ce soir là, elle ne sait pourquoi ses pas la guidèrent vers la plage.
Le bruit de la mer la guidait, la lune, toute ronde ce soir là, l'aidait aussi.
Elle arriva vers la dune et un flot de souvenirs lui revint en mémoire.

Elle la franchit un peu comme un pèlerinage et lui surprise d'y trouver Mungaud..

Elle resta au loin à l'observer, le sable avait absorbé le bruit de ses pas, elle s'assit non loin de lui le laissant tout à sa rêverie.

Mungaud..

C'était une nuit étoilée, la lune brillait et se projetée sur les reflets. Une brise caressait les vagues. Il se promenait là seul se rappelant un doux soir de début début. Ici rien n'avait changeait et pourtant l'air lui paressait différent. Au son des vagues il se laissait à divaguer dans ses souvenirs. Regardant tantôt vers l'horizon tantot vers les lumières du village, résonnait encore dans sa tête les mots qui avaient changé sa vie, leur vie...

Depuis plus d'un mois, il était restait auprès d'elle pour la réconforter dans sa mésaventure, lui montrer toute son affection et son Amour. Il ne voyait pratiquement plus qu'elle. Ses yeux ne se portait plus que sur elle, sa Belle. Encore quelques jours et leur vie reprendra le cours normal. Un simple interlude. Ils iront se faire baptiser et si tout va bien se marier. Une fois tout préparer ils feront ce voyage retardé par la bêtise normande.

En se promenant le long de la plage, il reconnut la petite dune où ils s'étaient aimés la première fois. Comme par instinct, il grimpa en haut et s'asseya pour admirer le merveilleux paysage.

Olympe

Olympe profita d'être seule, enfin presque seule disons elle et le bébé qu'elle porte, sans les deux hommes de sa vie. Se promena sur le rivage et huma l'air marin, pas de sa dans son limousin natal ou en bourgogne. Elle marcha doucement profitant de chaque instant. Que cela faisait du bien, le vent dans les cheveux, la douceur iodé de l'air.

humm ça fait du bien, comme des vacances au fond

sourit et continue sa marche...
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Jad

Que c'est magnifique surtout avec ce soleil radieux, les pieds touchant le sable chaud fesant glissé mes pieds sentant le vent qui fait valsé mes cheveux, le soleil réchauffait mon visage.......

- décide enfin de m'étendre sur le sable regardant le ciel bleu et quelques nuages en devinant les traits de celle-ci...

Citation:

Fermant mes yeux me laissant bercer par le vent je rêvasse en écoutant mon coeur battre doucement....

- Et puis je m'endormis....

Yoshilas

Yoshias pris le temps de faire une petite ballade sur la plage avant de retourner au château. La brise de mer était bien douce, elle lui apportait ce gout salé qui lui rappelle ses longues soirées sur cette plage à traquer les désespérés en tout genre.
Tout a ses souvenirs, il appercu une femme allongé sur la plage qui semblais dormir. Il décida de s’éloigner et de ne pas la déranger quand un sourire naquit sur son visage …

Aller Yoshi une dernière fois ca te fera pas de mal, c’est peut être une désespéré sait ton jamais. Aller hop faut la sauver !!!

Il se dirigea a grand foulée en dispersant le sable autours de lui et se posa en face de la jeune femme, les mains sur les hanches.

Mademoiselle, je suis le représentant du service des désespérés en tout genre, vous pouvez profiter d’une promotion de dernière minute, ne ratez pas votre chance, ce n’est pas tous les jours non plus.
Notre devise, Les désespérés gare a votre popotin.

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Aubree_du_meslay

Ayant quitté definitivement le Domaine , Aubrée , son baluchon sur l' epaule et accompagnée de Canaille , decida de venir sur la plage une derniere fois ....

Elle prit place sur le rocher , "son rocher" et regarda longuement la mer ...
Son coeur etait brisé , mort a jamais ....Elle avait froid , frissonnait sous l'air froid de la nuit tombante et même la cape n'arrivait pas à lui insuffler un peu de chaleur ...

Une phrase de son amie Seshat lui revint en memoire ..." La route vers la mort est une suite de petits pas qui mènent à la delivrance "
Cette phrase representait tellement son etat d'esprit actuel , oui c'etait çà .. Aller de pas en pas vers l'eternité .....Là où l'on ne souffre plus ....

Canaille couché à ses pieds , ils resterent là très longtemps .... Jusqu'à ce qu'enfin elle se lève et se dirige vers la sortie du village , plus rien ne la retenait desormais , son champ etait en vente et elle ne manquerait à personne ....
Elle partie donc vers son destin et sa solitude...

Fantomette74

Callima avait quitté seule Bertin pour Dieppe.
L'armée "4éme corps" dirigée par Audlina, l'avait gentiment accueillie à la frontière et lui avait infligé 8 coups d'épée.
Mungaud l'avait retrouvée mourante sur la plage.
Il l'avait amenée dans leur tente inconfortable, lui avait prodigué les premiers soins. Elle était finalement sortie du coma, affaiblie.
Ils resteraient bien plus que prévu à Bertin.
Il lui faudrait sans doute une infirmière pour la remettre sur pied.
Elle avait le corps transpercé et avait perdu beaucoup de sang.

Mungaud..

Ils venaient de commencer leur voyage, celui qu'ils avaient prévu maintes fois. Le destin n'avait pas choisi le bon moment à chaque fois mais ils prirent leur désir en main et en firent leur priorité.

Mungaud et Callima étaient arrivés tot ce matin après une longue marche depuis Azincourt, le ciel se levait. Il préféra lever la tente laà au bord de la plage et finir leur installation provisoire. Elle s'en allait prè du rivage...

Une fois terminé leur logis de fortune, il n'avait qu'une envie, la rejoindre et partager avec elle ce lieu de tant de souvenirs...

Elle s'était assise sur le sable mouillé, regardant les vagues. Il s'approcha d'elle doucement pour ne pas la brusquer.

Alors Belle, c'est toujours comme avant ??

Il s'assit à son coté, l'enlaçant amoureusement et admira les vagues dans leur va et vient interminable.

C'est les choses insignifiantes qui font nos plus beaux souvenirs...Cette plage au levée du soleil à tes coté, je me sens comme au paradis

Fantomette74

Callima était de retour à Bertin. Elle était partie en voyage avec Mung.
Elle se promena seule dans le village, ses pas la guidèrent vers la plage.
Est ce le souvenir de leur rencontre, la nostalgie du temps de l'insouciance qui la menaient là?

Il faisait froid, le vent soufflait comme souvent sur les plages de la Manche en cette saison. Elle releva son col et se marcha sur le sable.

Au bout d'un long moment, elle s'assit sur le sable humide et se mit à rêver.

Viendra-t-il me rejoindre ? Se souvient-il encore des doux moments que nous avons vécu ici? dit-elle pour elle même.

Nolan

Il se plaça doucement derriere elle sans qu'elle le vît et regarda le dessin qu'elle avait effectué sur le sable.
Il trouva cela extrement mignon,puis il posa ses mains sur les hanches de sa belle,celle-ci fît un léger sursaut ne l'ayant pas vu arriver.
Il la regarda avec des yeux trés amoureux puis l'embrassa longuement en lui disant je t'aime.
Ils resterent la tout deux profitant des rayons du soleil et regarderent au loin les vagues frappant le phare.

Emy.

Emy et Nolan étaient sur Bertincourt depuis quelques temps maintenant.

Ils apprenaient à connaitre un peu la ville. Le lieu qui leur plaisait le plus était sans aucun doute la plage, avec son merveilleux phare. Chaque fois qu'ils s'aventuraient ici, leur imaginaire les emmenait très loin, dans des pensées au delà des mers.

Ils avaient passé une bonne partie de la journée à se promener le long du rivage. Emy avait préparé un petit panier plein de victuailles et ils s'étaient régalé à l'abri d'un gros rocher. La sieste de début d'après midi fut un moment très complice. Nolan dormait encore quand Emy s'éveilla.

Elle marcha un peu s'approchant de l'eau. Se retournant vers Nolan, elle le vit assoupit. Elle ramassa une branche et commença à tracer un dessin sur le sable.

Elle en était là à contempler son "chef d'oeuvre", en pensant que c'était enfantin mais pourtant si romantique lorsque Nolan arriva prêt d'elle sans faire de bruit.....

Hildegarden

HILDE avait rejoint son frère REL et sa soeur SAN a BERTINCOURT,arrivait se matin fatiguée par le voyage elle décida de se rendre a la plage afin de se reposée un peut car elle repartait se soir pour AZINCOURT ceux qui comptait le plus au monde pour elle son frère et sa soeur.......

La plage était déserte,elle se mit sur le sable,il faisait froid mais elle avait besoin d'air pur..elle pris un peut de sable dans sa main et le laissa s'envoler comme il ressemblait a sa vie,son esprit se mit en marche et elle pensa a son mariage qui aurait du faire d'elle une femme heureuse malheureusement son mari était toujours absent?..il ne s'occupait pas d'elle,ces soirées était triste et elle pleurait sans arrêt,elle allait a la taverne le soir rejoindre ces nouveaux amis qui essayés de la distraire et de la faire rire mais son coeur était briser,elle avait même pensée a mourir...partir quittait se monde qui ne lui avait apportée que chagrin,sans amour,sans caresses,que pouvait telle attendre,rien?..elle ne manger plus ces amis était inquiet pour elle,TOMBEUR,CHICCA,CALLIMA,même JAEJY,lui disait reprends toi un homme comme lui ne vaut pas la peine de t'avoir il ne te mérite pas.
Et puis elle reçu un pigeon de sa soeur qui lui annonçait son arrivée il ne fallait pas qu'elle sache qu'elle était malheureuse,elle l'accueillit souriante..
Allez ma belle tu reviens avec moi..mais mais ANTAR ne sait pas il va me cherchait,ma soeur m'emmena sans s'occuper de mes paroles,elle avait peur de rentrait et de la colère d'ANTAR,elle ne savait pas comment lui annonçait qu'elle ne pouvait plus vivre comme ça et qu'elle reprenait sa liberté,et puis elle n'était plus seule elle avait sa famille avec elle et elle allait pouvoir vivre a nouveau et s'amuser,profiter de la vie a fonds.
Ce retour a ZINZIN et vive la vie en famille.
Elle se leva et repartit se réchauffée a la taverne en attendant son frère et sa soeur pour le départ se soir elle avait froid mais son coeur était remplit de joie....
JE VOUS AIME REL et SAN,vous êtes ma famille et vous aussi tout mes amis..............................

Charbonneau

Sales pendards ! J'vous laisse deux minutes pour reprendre votre souffle et z'en profitez pour zieutez les gueuses !? J'vais vous faire oublier la bagatelle moi ! Allez ! Au pas de course en cadence en rang par deux jusqu'au terrain desoule et retour en sprint à la caserne ! ET QU'CA SAUTE !!!!!

Et c'est ainsi que le petit exercice matinal migra vers d'autres cieux..

Morgane25

Morgane venait d'arriver dans cette charmante ville au bord de mer.

A peine arrivé de sa longue nuit de marche, elle ne pu s'empecher d'aller faire un tours sur la plage, seule, dans ces pensées, les yeux rivés sur cette imence surface d'eau ou le soleil se levais doucement et qui reflettait sur l'eau, le froid lui glacais le sang, mais peut importe, elle profitais de ce jolie lever de soleil, le sourire aux levres, elle etait heureuse d'etre a cette endroit a ce moment precie...

Elle s'assaya sur le plage, pris une poigner de sable, et fit glisser se sable entre ces doigt, une penser lui traversa l'esprit, sourit, et enleva ses bottes pour enfouhir ces pieds dans le sable, cela ne dura que quelques secondes, le froid etait bien trop important pour laisser a laire ces petits petons...

Apres plusieurs minutes, elle se leva, s'approcha de l'eau, la toucha du bout des doigt, se renda compte quelle etait vraiment glacer.
Apres sa, elle partie en Taverne afin de se rechauffer, une tisanne a la main, pres d'un bon feu de cheminee....

Nolan

Ensuite il la prît dans ses bras pour la rechauffer,il faisait quand meme froid malgrés le soleil.

Alors contente de me voir,hihi,je pouvais pas m'empêcher de te mettre à l'eau.
Apres promis je me rattrappe quand on rentre je te ferai un calin vais en profiter car tu devra enlever tes vetements.

Il la regarda elle le faisait craquer avec ces cheveux mouiller et il aimer voir l'eau ruisseler sur sa magnifique peau,il l'embrassa longuement tout en sentant son corps trembler de froid.

Emy.

Emy toujours les pieds dans l’eau, entendit tout un troupeau arrivé sur la plage en sprintant et criant…

Citation:

"Bande de gueux mollassons ! Vous allez vous secouer un peu ! Une deux une deux ! On lève les genoux ! Qui c'est qui m'a fourré une bande de chiffes molles pareilles ! Hop hop hop hop ! J'vais vous faire suer tout vot' mou moi ! Allez un p'tit sprint jusqu'au phare le dernier arrivé sera de garde dans les Ombres !"

Se demandait qu’est-ce qui pouvait bien lui enlevé ce calme de l’eau, ces bruits de claquements de vagues… Quand elle vit tout un groupe de militaire passait au loin d’elle en se cognant des coudes et jurant contre leur chef… Emy ne pût s’empêcher d’éclater de rire en les voyant tous…
Elle pensa à voix haute :
- Ah ! Ben si seulement Nolan était là, il aurait pu voir ça aussi… On aurait bien rit…

Quand soudain, Emy entendit un grand bruit de vague derrière elle, mais ne comprit pas tout de suite ce qu’il lui arrivait… Se retourna et se sentit attrapée en même temps…

- HAAAAAAA !!!!!!! NOLANNN !!!!!!

Et quand elle le vit… Ils tombèrent tous les deux ensembles dans l’eau glacée et entendirent au loin de grands éclats de rire…

Nolan aida Emy à se relever et ils se regardèrent tous les deux en éclatant de rire aussi…
Se prirent dans les bras. Trempés, frissonnants mais heureux, ils s’embrassèrent longuement…

- Merci, mon cœur d’être venu me rejoindre…

Nolan souleva sa fiancée dans ses bras, la porta tout en l’embrassant et la déposa sur le sable au sec…

Nolan

Nolan sachant que sa princesse l'attendait sur la plage traversa la ville en courant.
Il arriva devant le phare descendît vers la plage et trouva les bottes de sa douce.
Prît de panique il regarda autour de lui mais ne l'aperçu pas de suite.
Il retira lui aussi ses chausses pour sentir le sable sur ses pieds.
Soudain il l'aperçu les pieds dans l'eau sa belle était la.
Il approcha sans un prît et a quelques metres d'elles il se mît à courir l'attrappa et ils tomberent tout les deux à l'eau.
On entendît au loin de grand éclats de rire.

Emy.

Arrivée depuis peu à Berthincourt, Emy avait une grande envie d’aller voir la plage de Berthincourt.

Emy se dirigea en direction du grand phare qui trônait face à La Manche.

Lorsqu’elle arriva au bord du sable, elle s’empressa de quitter ses bottes. Le contact du sable sous ses pieds lui procura une joie nouvelle et très agréable. Un petit vent soufflait, qui amenait des odeurs marines jusqu’à elle.

Elle marcha longuement au bord de l’eau puis se hasarda à tremper les pieds dans l’eau. Celle-ci était glacée, normal en plein hiver, mais elle ne put refréner le désir de connaitre cette nouvelle sensation.
Un frisson lui parcouru le corps tout entier et elle sentit son sang circuler plus vite qu’à l’accoutumée.

Le spectacle qui s’offrait à elle la subjugua. Elle resta de très longues minutes ainsi, contemplant le paysage. Elle espérait au fond d’elle-même que son Prince viendrait la rejoindre….

Charbonneau

Le Lieutenant Lenais avait récemment confié à Charbonneau sa déception devant la mollesse des maréchaux, après avoir cogité, réfléchi et un peu pensé, celui-ci avait décidé de prendre le taureau par les cornes et avait mis en place un petit exercice matinal...

C'est ainsi que le premier parcours amena un groupe hétéroclite sur la fameuse plage de Bertincourt... On les entendait venir avant de les voir..

"Bande de gueux mollassons ! Vous allez vous secouer un peu ! Une deux une deux ! On lève les genoux ! Qui c'est qui m'a fourré une bande de chiffes molles pareilles ! Hop hop hop hop ! J'vais vous faire suer tout vot' mou moi ! Allez un p'tit sprint jusqu'au phare le dernier arrivé sera de garde dans les Ombres !"

Et nul ne pouvait retenir un sourire devant le groupe ahanant, soufflant, se cognant des coudes avec force jurons, les mines déconfites rougeaudes ou verdâtres, poursuivi par un colosse utilisant une vieille corde comme un berger son baton pour guider son troupeau..

Ewylan

Ewy arriva sur la plage en courant. C'était sur ce lieu qu'elle voulait quitter sa ville adoptive...
Elle resta d'abord là, admirant le douce brise du soir venant, ses pieds nus enfoncés dans le sable. Le vent jouait avec ses cheveux dorés alors que la jeune femme fermait les yeux, savourant ce moment de liberté avant son départ... Après une nuit de voyage sans arrêt, elle allait enfin les revoir...
Un sourire ponctua son visage triste et fatigué. L'attente jusqu'à demain soir serait longue mais cela en valait la chandelle...

Ewy ouvrit les yeux et vit que le soleil venait de se coucher... Elle venait de faire ses adieux à la plupart de ses ami(e)s, elle avait de la nourriture et quelques effets personnels dans son sac (comme le sette de maquillage pour charbonner les visages des dormeurs taverniers), son armée était à porté de bras...
Après un dernier regard sur Berti, elle prit la route des zinzins...

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Garchcroc

Garchcroc était en train de mettre sa barque à l'eau quand soudain des aboiements frénétiques retentirent..

Canaille déchainé sautait autour de lui comme un fou, en se retournant pour essayer de l'attraper Garchcroc aperçu Aubrée, debout à quelques pas de lui.

Il eut l'impression que son cœur s'était arrêté de battre, pendant un cours instant il se trouva comme paralysé puis reprenant ses esprits il courut vers elle...

Aubrée...mon aimée...je......

Bouleversé et ne trouvant plus ses mots, incapable de parler, Garchcroc serra longuement Aubrée contre lui, puis au bout d'un long moment il regarda Aubrée, caressant tendrement son visage du revers de la main..

Aubree_du_meslay

Comme dans un rêve elle le vit se retourner , se figer , puis courir vers elle ...

Garchcroc .... mon Aimé ...murmura t'elle

Quelques instants plus tard ,elle se retrouva dans ses bras , retrouvant sa chaleur , entendant le rythme fou des battements de son coeur ....

Puis ils se regardèrent , plongeant leurs regards l'un dans l'autre ...
La main de Garchcroc glissa doucement sur sa joue et Aubrée y posa doucement les lèvres ....avant de murmurer

Pardon pour la peine que je t'ai causé mon Aimé , je ne voulais pas te faire mal , je voulais seulement te liberer , te laisser libre de vivre ta vie , que tu puisses faire ce dont tu as envie ....

Je t'aime Garchcroc ... Et je ne souhaite qu'une chose c'est que tu sois heureux

Le regardant tendrement , elle lui sourit ....

Aubree_du_meslay

Elle avait quitté le domaine très tôt , la mine defaite par les larmes et ses nuits mouvementées . Elle etait torturée à l'idée d'avoir abandonné le seul homme qu'elle aimerait jamais .

Mais celà valait mieux pensa t'elle tout en se dirigeant vers la plage , Garchcroc sera plus heureux sans moi , il pourra profiter de la vie tranquillement , sans contrainte aucune ....

Canaille suivait n'arrêtant pas de gemir et de regarder derriere eux ...
Ils deambulèrent un long moment aux alentours du village , evitant tout contact humain , pour ne pas avoir à repondre aux questions indiscretes qui seraient posées si on la voyait avec son baluchon sur l'epaule.

Arrivée sur la plage , les yeux baissés , elle se dirigea instinctivement vers leur rocher , elle avait besoin de dire adieu à cet endroit qui avait vu naitre leur amour , elle entendit vaguement les cris d'une jeune dame et les rires de gamins s'amusant sur la plage , mais elle s'obstina a garder le regard rivé au sol , ne voulant pas devoiler son visage ravagé par les pleurs .

Ses pas suivirent d'autres pas qui bizarrement s'arrêtaient au pied du rocher .Elle observa le sol , quelqu'un y etait recemment venu , sans doute pour observer la mer , elle etait si belle , même en ce mois de janvier si froid ....

S'asseyant au pied du rocher , elle se rendit compte alors que Canaille n'etait plus là ! Relevant les yeux d'un air inquiet son regard fit le tour des environs et se figea soudain ....
Garchcroc ....etait là devant elle , s'appretant a mettre sa barque à l'eau et Canaille aboyait a tout rompre en sautant autour de lui , voulant visiblement l'en empêcher .

Elle se leva et le regarda , figée telle une statue , incapable d'emettre un son ou de mettre un pied devant l'autre ,seulement consciente que le destin venait peut être de leur donner une nouvelle chance .....

Enelos

Plus motivée que jamais, la blonde armée de filet de pêche et miettes de pain, se dirigea d'un pas décidé vers la plage. Pour son dernier jour à Berti, il fallait absolument qu'elle teste la pêche et profiter de l'océan. Bon, c'était une grande première pour elle.

Après avoir traversée toute la ville, grimpée les dunes de sable, et traversée la plage, la cambrésienne arriva enfin près du rivage. Elle enleva ses chausses, remonta ses braies et trempa ses pieds dans l'eau... Un long frisson la parcouru, l'eau était gelée. Elle prit son courage à deux mains et s'enfonça plus profondément vers le large, jusqu'à avoir de l'eau jusqu'aux genoux... Elle n'aimait pas vraiment ne pas voir le fond, et si un truc lui choppait le pieds... les méduses... les thons... un requin même ! Toutes ces histoires qu'on lui avait raconté... Ça lui faisait froid dans le dos. Le pire c'est qu'elle y croyait vraiment.

La blonde baissa les yeux, non c'était vraiment pas une bonne idée de pêcher aujourd'hui, avec toutes ses bestioles qui grouillent, le courant, ses jambes qui commençaient à s'engourdir... de plus qu'elle ne savait pas très bien nager. Ené resta figée un instant, là, en plein milieu de la mer... puis hurla quand une chose gluante lui frôla la jambes...
un moooooooooooooooooonstre !! Ni une, ni deux, son sang ne fit qu'un tour dans ses veines, elle fit un demi-tour sur place et se mit à courir comme une folle vers la plage à grande force d'éclaboussures, son matériel de pêche sur l'épaule, paniquée.
Arrivée sur le sable sec, elle se laissa tomber à genoux, complétement trempée, haletant. C'était la première et dernière qu'elle mettait ses pieds dans la mer... La blonde examina sa jambe, rien, et pourtant elle avait bien senti un truc la toucher.
Sacre bleu qu'est-ce que c'était...

La blonde entendit des rires derrière elle, elle se retourna et s'aperçut que les gamins se foutaient d'elle. s'pèces d'imbéciles c'pas drôle j'aurais pu mourir.... Encore une fois, tout le monde allait se moquer d'elle... chaque chose qu'elle entreprenait ratée systématiquement... Dans ces moments là, elle aurait voulu se terrer sous terre et ne plus jamais se montrer...

Garchcroc

Garchcroc avait erré longtemps dans le village, l'air sombre, effondré par le départ d'Aubrée.

Il était passé devant l'atelier de charpente, puis au port pour essayer de voir si quelqu'un l'avait rencontrée....mais rien.

Je ne suis qu'un imbécile, pensa-t-il, bon pour manier le marteau et les armes, mais si maladroit pour le reste.....

Sans s'en rendre compte, ses pas l'avaient porté vers la plage, la vue du rocher où ils avaient l'habitude de s'assoir, en ravivant les souvenirs, lui fit encore plus prendre conscience de sa solitude.

Garchcroc s'assit à l'abri du rocher pour se protéger du vent glacial et resta un long moment à contempler la mer....La marée finissait de monter et léchait les flancs de sa barque qui était échouée à quelques pas, il se leva lentement et se dirigea vers elle.

Il installa le petit mat, sans déplier la voile, et commença à pousser la barque...

Ewylan

Une envie pressante...
Ewy se dirigea vers la plage en courant à perdre haleine après le poney qu'elle avait reçu aux cadeaux de noël, Lucie sellée dessus et riant, les cheveux au vent. L'animal n'arrivait pas à distancer la jeune femme, malgré que celle-ci soit extrèmement fatiguée par ces nuits blanches dû aux cauchemards...
Mais la bête n'avait pas dit son dernière mot et accéléra, arrivant sur la plage en premier, prenant pas garre du tohu-bahu qu'il créait sur son passage, surtout sur le marché qu'il traversa sans freiner. Ewy non plus ne freina pas et s'excusa à peine quand elle fit renversa un sire... C'est sa fille qui s'en chargea à sa place.

Le poney garda sa rapidité arrivé dans le sable trempé par la rosée du matin. Ewy essaya de le suivre et, pour cela, accéléra... et s'affala de tout son long en glissant.

Maman !

La petite princesse sauta agilement de sa monture et courut vers sa mère. Ewy se retourna et emprisonna de ses bras sa fille en riant.
Elles se relevèrent et Ewy porta difficelement Lucie sur le dos du poney.

Tu grossis de plus en plus ma puce.

Normal, je grandis !

La jeune maman ébouriffa les cheveux de la petite puis tapa la croupe de la bête pour qu'il se remette au galop. Lucie recommença à crier de joie en sentant la vitesse et le vent claquait à ses oreilles, lui murmurant gaiement...

Ewy se rassit dans le sable mouillé, se tenant douloureusement les côtes dans le dos de sa fille. Rappelant aussi la bête quand il s'éloignait trop... On entendait les rires de sa fille de là où elle se tenait. Ewy sourit d'un sourire blessé puis ferma les yeux...

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Minoucat

Minoucat, qui travaillait en ville et logeait dans un vieux taudis n'avait jamais poussé bien loin la promenade.
Mais en ce 6 janvier jour des rois elle avait décidé de s'offrir de la brioche et avait ensuite laissé ses pas la guider vers la plage...
Cheminant bientôt les dunes surplombant la plage, elle admira le bord de mer se disant qu'il existait malgré tout loin de sa provence natale de bien beaux paysages.
Elle ota ses sabots et se mit à courir gaiement sur le sable fin et tiédi par les pales rayons de soleil hivernaux.
Se croyant seule elle esquissa quelques pas de danses, et,virevoltant sur elle même elle se trouva presque nez à nez avec un vieil homme au visage tanné et noble, souriant à demi.
Les yeux fermés il offrait son visage fatigué aux rayons faiblissants.
Elle l'observa un moment, puis pensant à la brioche qu'elle venait d'acheter se hazarda à aborder l'inconnu:
Heu...bien le bonjour monsieur...je ne vous connais pas mais voyez vous, je viens d'acheter de la brioche...et en ce jour des rois, vous plairait-il de la partager avec moi?

Sanpif6669

San, de retour sur bertin, avait confié noella à son amie pour un moment, vient sur la plage, se promenant au grès des vagues qui venaient lui lécher les pieds.
Il y avait un moment qu'elle était partie, ne revenant que pour quelques jours afin de régler deux trois affaires, mais profite de revenir ici, sur cette plage, endroit pour lequel elle et pol était venu habiter bertin! Elle se dirige vers la crique, le lieu fétiche, se rapprochant de pol, pensant qu'ici il l'entendait et la voyais! Ou elle savait pouvoir être avec lui, ou son amie Nymphoria venait, ou elles parlaient inlassablement.
San assise sur son rocher fixait l'horizon, éclairé par la lune! voyant de ci, de là les bateaux des pêcheurs matinaux. Vacant à ses pensées, profitant de se moment de calme pour se recueillir! Etre seule, voir cet immensité devant elle!

"Que c'est beau! Ca donne envie de s'y plonger, de laisser l'eau couler sur moi, oublier, oublier cette tristesse, oublier se vide, oublier cet hypocrisie, ce manque de franchise et tourné le dos au sourire condescendant, oublier un moment, tout oublier!"

San sur ces mots se deveti gardant que ses haillons et plonge dans l'eau froide de l'hivers, ne sentant que les vagues sur elle, elle nagea un moment, profitant de cette fraicheur, se laissant allé à cette pleinitude!

"hummm! que c'est bon! froid! mais quel délice!"

après quelques brasses, l'eau lui paraissait plus chaude, mais choisis d'être raisonnable et fait chemin inverse! Se retrouvant sur son rocher, s'essuya et se reveti! pensant tout à coup que peut etre ne serai-t-elle pas seule, se mit à rougir, lui procurant de la chaleur! Et puis tant pis! C'est fait! Sourit à cette pensée, sourit face à la mer! Lui disant :

"je sais aujourd'hui que je le retrouverai! Je mettrai le temps, mais je le retrouverai!"
Sur ces mots elle fit chemin inverse afin de retrouver sa noella pol et son amie!

--Morry

Soleil, mouettes, vagues, coquillages et crustacés, tout était là pour le rendre heureux. Et pourtant, l'vioque ne cessait de ronchonner. Sa jeunesse était à des lustres, maintenant il se trouvait avec des rhumatismes qui lui gâchaient la vie. Et pourtant, ce n'est pas l'envie qui lui manquait de courir dans les dunes, de se rouler dans le sable comme un clébard pour enfin se plonger dans un bain de mer pour effacer toute trace de sable. Mais ce n'était qu'un rêve...

Claudiquant jusqu'au rivage jonché d'algues, il planta ses doigts de pieds dans le sable mouillé, une main au dessus des yeux pour contempler l'horizon. Il n'avait jamais vu si beau paysage, et pourtant il en avait fait du chemin l'vieillard. Le doux bruit des vagues qui s'écrasent sur la rive, le remoud, le cri des mouettes, le phare si majestueux et... Enfin Morry ti voilà fou d'puis quand tu t'extases devant la beauté du monde. C'est l'iode qui te retournes le ciboulot ou quoi... ressaisit toi.
C'est vrai, ce n'était pas du tout dans ses habitudes de se comporter ainsi. Il avait plutôt tendance à critiquer à longueur de journée et à ronchonner. Comme une personne âgée quoi.

Il poussa un grognement pour se donner consistance, il n'avait rien à faire là.
Le vieux se détacha du rivages pour aller se réfugier au dos d'un rocher à l'extrémité des dunes. Il grattouilla sa barbe de 3 jours et enroula une cape rude autour de ses épaules. Ses os avaient froids. A défaut de pouvoir prendre un bain de mer, il releva le visage vers le ciel et prit un bain de soleil.

Aubree_du_meslay

Elle rêvait .....Quel doux rêve que d'entendre la voix de son Aimé Garchcroc.
Au bout de quelques minutes , la voix continuait , insistante ...

Aubréeeee......Aubréeeeee.......réponds moi......

Elle finit par ouvrir les yeux et elle le vit agenouillé près d'elle .
Il avait posé son manteau sur elle et lui parlait gentiment ...
L'emotion fut forte , les souvenirs de la soirée remontèrent à la surface et elle eclata en sanglots tout en se blottissant dans les bras de son Bien Aimé .
Transie de froid , elle tremblait et c'est d'une voix enrouée qu'elle lui dit

Je suis venue ici pour passer la soirée et je me suis endormie ...
Je t'ai attendu si longtemps en taverne , mais tu devais être occupé

Elle le regarda les yeux pleins de larmes

Je veux rentrer à la maison Garchcroc ....

Garchcroc

i]Garchcroc était sorti très tard du guet où il passait son examen, il fit le tour des tavernes pour trouver Aubrée, sans succès..
Un passant lui dit avoir vue une jeune femme blonde , l'ait triste se diriger vers la plage..

Garchcroc couru dans la direction indiquée, la nuit était noire et il ne voyait rien, il repassa dans sa forge pour prendre une lanterne et reparti en direction de la plage de plus en plus inquiet...

Aubréeeee......Aubréeeeee.......réponds moi......

Arrivé devant le rocher où ils avaient l'habitude de se retrouver, il faillit ne pas la voir couchée en boule le long du rocher..
Il enleva son manteau qu'il posa sur elle

Aubrée que fais-tu là mon aimée ?

Sanpif6669

San se dirigea pour la dernière fois vers la crique, afin de présenter leur fille à pol, pensant que c'était le meilleur endroit pour cela.

Elle sort le bébé de son panier, bien emmitouflée : "regarde ma princesse, c'est ici que papa et maman venait souvent, et c'est ici que papa est maintenant."
Montrant le visage de Noélla Pol, San s'adresse a Pol : "Mon amour, je te présente ta fille Noélla Pol, oui son nom de famille Pol, tu vois elle a ton regard, elle te ressemble, je te la présente se soir, car nous partons pour longtemps toutes les deux, on va faire notre voyage, et vais essayé de me reconstruire sans toi! On t'aime, et ne te disons pas adieu, je sais qu'un jour on se rejoindra là haut, et seront réunis a jamais! Je t'aime!"

Aubree_du_meslay

Aubrée s'etait debrouillée pour terminer son travail plus tôt que prevu et avait decidé de rejoindre Garchcroc en taverne .
Elle souhaitait lui en faire la surprise .... Et c'est toute heureuse qu'elle se dirigea vers leur taverne habituelle .
Arrivée au coin de la rue , elle l'aperçu soudain et cria son nom ...Mais après un regard dans sa direction il s'eloigna a grands pas vers la sortie du village .
Elle resta un instant sur place , figée et perdue , se demandant s'il etait parti deliberement ou s'il ne l'avait pas aperçue , la nuit etait noire et la clarté de la lune etait cachée par les nuages .
Le coeur lourd , Aubrée fit demi tour et s'eloigna doucement en direction de la plage , refuge à ses moments de solitude et de tristesse.
Elle avança lentement , marchand au hasard ... Ses chausses s'enfonçant dans le sable humide .
Elle ressera les pans du châle posé sur ses epaules , le froid et l'air humide etaient penetrants .
Au bout d'un long moment , les yeux et les joues humides de larmes , elle prit place contre un rocher , bien a l'ecart en bout de plage .
Là , les epaules bien callées contre la pierre et les jambes repliées contre elle , roulée en boule , epuisée de chagrin et de tristesse , elle finit par s'endormir berçée par le bruit des vagues .... Indifferente au pincement du froid de la nuit tombée ....

Sanpif6669

San marchait le long de la plage vers son endroit fetiche ou des souvenirs sont avec Pol afin de se retrouver comme avec lui!

Elle s'assit sur leur rocher, cherchant désesperement sa présence, ses bras, sa voix, qu'elle aurai aimé ne pas etre revenu d'outre tombe! Une douleur violente s'empare d'elle, ses larmes ne peuvent cessées de couler!

Regardant l'horizon, l'appelant intérieurement pour qu'il revienne!

"Mon Pol! Ou es-tu? Pourquoi? Je suis désespérée! Ca fait mal! Je t'aime! Tu me manque! Tu m'avais promis de ne pas me laisser! D'être toujours là près de moi? "

San s'écroule de chagrin, n'arrivant a se calmer, suppliant a qui veux l'entendre de lui rendre son amour! Ne sachant comment faire pour enlever cette douleur dans la poitrine, remplir de se vide en elle!

Cet endroit qui l'apaisait d'ordinaire deviens subitement le lieu le pire pour San. pourquoi elle et pas lui? Regardant une dernière fois l'horizon, crie le plus fort qu'elle pu pensant qu'il l'entendrai "POL JE T'AIME REVIENS NOUS JE T'EN PRIE! TU NOUS MANQUE! J'AI MAL!!!!!!!!!"
Elle partie en courant et hurlant son désespoir jusqu'à leur maison! peut être y serai-t-il!

Sylvine

Cela faisait un moment que Sylvine n’était retournée sur la plage. Plusieurs mois s’étaient écoulés. Depuis, elle avait trouvé l’amour, l’amitié. Les voiles du doute avaient réussi un peu à se disperser et à Bertincourt, elle était restée.
Mais cette fois-ci encore, ce n’était pas de gaîté de cœur qu’elle y retournait, mais par devoir.

Le temps était gris et triste tout comme l’était son cœur. Ses pas crissaient sur le sable et les galets. Elle retenait ses larmes serrant contre elle, la couronne de joncs mêlée de houx et de bruyère séchée qu’elle avait patiemment toute une journée confectionnée.

Quatre jours avaient passé, depuis la sinistre nouvelle, Pol, son ami qui l’avait tirée des griffes de malandrins, était perdu en mer. Elle avait toujours le secret espoir de le revoir paraître ou tout au moins que son corps soit retrouvé, mais la mer semblait garder jalousement ce secret.
La meunière regarda interrogative cette immensité grise ourlée de crêtes blanches : peu d’espoir, il lui restait.

Pas une seule barque en vue, ni sur mer, ni sur la plage.
Elle posa la couronne et de son escarcelle, tira par la cordelette un médaillon en bois de châtaigner.
Elle eut un sourire amer, elle susurra: "Et dire que je l’avais sculpté pour te porter fortune lors de ton grand voyage en janvier. "

Elle regarda les deux faces une dernière fois : une représentait un arbre et la mer, sur l’autre étaient gravées trois lettres P, O, et L.
Elle entoura la cordelette autour de la couronne et cala le médaillon laissant apparaître le prénom de son ami.

Elle se déchaussa, releva sa jupe à mi-mollet puis prit à deux mains ce dernier souvenir et enfin entra dans les eaux laiteuses.
Elle eut un frisson sentant la morsure du froid pendant qu’elle progressait.
Elle s’arrêta lorsque l’eau lui atteignit mi-cuisse. Elle regarda une dernière fois l’horizon.

Puis déposant et poussant devant elle la couronne, elle murmura:
"Où que tu sois Pol, cette couronne te retrouvera peut-être dans ta dernière demeure.
Mais sache que j’ai perdu un grand ami.
Qu’Aristote t’accueille si la mer t’a gardé, ou qu’il veille sur toi si tu es encore en vie."

Ses jambes s’engourdissant, elle resta encore quelques minutes à regarder dériver ce dernier hommage. Puis, elle fit demi-tour.
Elle se rechaussa dès qu’elle atteignit la grève. Sans se retourner, la jupe collant à ses jambes, transie, elle prit le chemin du moulin où la besogne l’attendait.

Ewylan

Ewy s'était effondrée en pleures en entendant la mort de ses deux amis... Elle commençait à comprendre leurs dernières paroles qui lui souhaitaient de vivre heureuse...
Sous la demande de Merlina, avec cette dernière, Ewy avait prié, souhaitant le bonheur pour eux la-haut. Pour qu'ils aient le repos et la paix éternel...

A présent, dans un élan de solitude, la jeune femme se dirigeait vers Leur rocher... Les yeux rougies et des traces de larmes sur ses joues prouvaient bien qu'Ewy ne s'était toujours pas remise de l'annonce...
La jeune femme se tint là, psamoldiant une ultime prière pour Eux... Puis elle s'assit sur la rocaille, et grava avec ce qu'elle put et à la sueur de son front, un poème composé rien que pour eux...

Citation:

Par la vie et la mort
Au-delà des limites
Ils s'aimeront...

Bien piêtre chose. Mais Ewy n'avait trouvé que cela... Le poème resterait à jamais sur ce rocher, tout comme l'amour de ses deux amis resterait intact...

Ewy se releva, embrassa la mer du regard. Ce n'est qu'après avoir murmurer un "Adieu" qu'elle parti, en pleure, se faire consoler...

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Sanpif6669

Plus de tristesse, plus de souffrance,
juste un départ,une délivrance!
Mon esprit est parmi vous,
mon coeur est avec vous!

si vous pensez a moi ne pleurez pas!
souriez! je suis là!

Je vous quitte par la présence!
Je suis là par le coeur!

Je rejoint mon amour
Sans qui je ne peux vivre!

ne pleurez pas! Souriez!
Sachez que je vous ai aimé!

Quand vous voudrez me voir
Venez sur se rocher

Quand vous me verez!
Vous me reconnaitrez!

Souriez! ne pleurez plus!

Pour toi mon frère et toi sa douce!
je vous ai aimé et vous aimerez toujours!
ne m'en voulez pas!

Merlina

Merlina qui n'avait pas eu de nouvelle de son frère Pol, appris par un marin que celui-ci avait disparu en mer lors de son voyage de pêche. San anéantie par la nouvelle s'écroula de douleurs devant elle.

Ce qui provoqua les contractions ainsi que l'accouchement. San donna naissance à une très jolie petite fille qu'elle appela Noella, elle avait la même tâche de naissance que son père et sa tante , un coeur parfait juste en dessous de son bras droit.

Merlina qui l'avait assisté n'a pas pu sauver San. A cause de complications et de grosse perte de sang celle-ci sait sentie partir vers l'audelà. Elle confia Noella à sa tante en lui disant de retrouver son oncle Rel et sa tante dont ils en auraient la garde. Mais Merlina se promettait bien de veiller sur cette enfant si précieuse à ses yeux.

Elle appela tout ses amis, ensembles ils firent une prière, puis brûla le corps de San et envoya ses cendres vers la mer pour qu'elle puisse rejoindre Pol son adoré.

Hildegarden

HILDE et ANTAR arrive a BERTINCOURT ou MERLINA les attendait avec la petite NOELLA dans les bras ,elle lui apprit le décès de SA SOEUR SAN et POL,je ne peut m'en occupée et REL ne peut pas la prendre !!!je suis sure que vous serez toi et ANTAR de bon parent,je vous la confie,HILDE se jetta dans les bras de ANTAR en sanglotant elle ne pouvait s'arrêter tant son chagrin était grand,elle pensa a sa soeur et jura devant le rocher de prendre soin de son bébé comme si il était a eux (de la haut ils sont ensemble et heureux)elle prit NOELLA dans ces bras ANTAR l'entoura de ces bras en la consola,ne pleure ma REINE,je suis la ne t'inquiète pas ça va aller, viens partons il la prit par la main?HILDE se retourna et fit un signe de la main en direction de la mer

adieu vous deux vous allez nous manqués

vous serez toujours dans notre coeur et nous viendrons avec NOELLA quand elle sera grande et nous lui expliquerons.
SOYEZ HEUREUX DE LA HAUT TOUT LES DEUX ONT VOUS AIMEEEEEEEEEEEEE

Ewylan

Ewylan ne put se retenir à revenir sur son endroit favori, à part la taverne naturellement: la plage ! Elle venait de quitter l'un en faisant ses réserves d'alcools, elle rejoignait maintenant l'autre en zigzaguant à moitié.
Elle ne faisait plus que ca, des allées-et-revenus entre son chez soi, une taverne et la plage... oui, elle ne faisait que boire aussi... M'enfin, elle ne revenait peut-être pas ivre comme elle l'était là maintenant. Et puis pour une fois et depuis longtemps, elle venait le pas et le coeur légers. Un sentiment de bien-être qu'elle avait oublié depuis trois semaines déjà ! Ou alors c'était l'alcool qui lui faisait tout oublier ! Mais là ca devenait inquiétant... Et elle ne devrait surtout rien dire à son Amour !

Alors, c'est le sourire aux lèvres qu'elle déambulait sur le sable fin, en penchant légèrement. Il faisait froid. Resserant son châle, elle frissonna. Il ne manquait plus qu'un peu de chaleur pour que la jeune femme soit comblée ! Elle aurait peut-être dû boire plus pour avoir vraiment la chaleur que les liquides contenant de l'alcool fassent vraiment leur effets !
Cette dernière avança donc, lentement puisque ses bottes s'enfonçaient dans le sable mais heureuse. Elle retrouva facilement l'endroit où elle avait écrit son poème, en clignant de l"oeil tout de même pour bien se concentrer. Celui-ci s'était à moitié effacé par la marée haute mais elle le laisserait ainsi: un poème était fait pour ne vivre qu'un court laps de temps, pour s'effacer et disparaître dans un simple souvenir...
Elle s'assit, regarda les vagues clapotaient. Ferma les yeux pour simplement écouter la plainte des mouettes et l'eau courant sur le rivage. Un bonheur simple et naturel. Comme celui de revoir son aimé...
Ses pensées vaguabondèrent vers lui. Elle regrettait d'avoir tenu sa promesse, de l'avoir giflé quand elle l'avait vu... M'enfin maintenant c'était chose faite ! Et pis l'alcool ferait pas mal de faire son boulot et de luis faire oublier tout cela, parce que la pauv' femme ne supporterait pas bien logntemps de ressasser trop longtemps ce genre de choses !

Son bonheur disparu par cette triste pensée, Ewy soupira, se releva et... tomba. Elle eut un léger rire. Note cristalline dans les cris des mouettes et la basse de la mer. Tout en se relevant doucement, elle pensa qu'elle ne rentrerait pas tout de suite: pas envie que les enfants la voient ainsi et surtout Palla !
Elle marcha en sens inverse pour retourner boire deux ou trois chopines, quelques bouteilles de whisky et de calva aussi... Les bonnes habitudes ne se perdaient jamais ! Malgré ce que Lui essayait de lui apprendre...

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Ewylan

Ewylan sortit de sa retraite et se dirigea tout de suite vers la plage de Berti, le pas lourd. Des mals de crâne ne la lachaient plus, elle était fétiguée, exténuée, dormait peu et s'occupait des enfants comme elle le pouvait... Mais elle en avait marre ! Marre de ne plus voir ses anciens amis, son aimé... Marre de ne plus boire, de ne plus dormir, de ne plus rien faire... Marre de tout et de la vie !
Elle voulait le revoir, être enfin avec lui, être de nouveau heureuse...
Elle voulait aussi voyager, cette pensée criait en elle, mais elle attendrait !

La jeune maman avançait à présent sur le sable frais. Il était encore tôt dans la journée, seulement l'aube. Les oiseaux ne chantaient pas, on n'entendait que l'eau s'échouant sur le sable.
Ewy marchait en regardant sans le voir le paysage qui s'étendait devant elle. Dans sa profonde réflexion qui durait depuis le début de son départ en retraite, elle ne faisait plus attention à ce qui l'entourait mise à part ses enfants, naturellement... Mais ils n'étaient pas là, les ayant laissé chez les nonnes. Un surprenant sourire élargit ses lèvres quand lui vint la pensée que l-bas, les nonnes ne seraient pas en repos aujourd'hui, et que les pleures d'un nourrisson viendrait troubler le calme habituel de leur demeure !

La fraicheur la fit grelotté. Elle se surprit à sortir de ses pensées dévastatrices. Cela faisait bien longtemps et elle regarda enfin le mangifique paysage s'étendant à ses pieds. Un court poème lui vint à l'esprit. Apparition d'une écriture fine de celui-ci sur la sable:

Citation:

Paysage,
Qui s'étend
Immortel

Une seule larme coula, marque de solitude ressenti. Mais pas pour cette dernière raison, juste parce que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas écrit ainsi et un bonheur retrouvé apparut.

Elle s'assit en retrait par rapport à son message, pour pouvoir poser ses yeux dessus quand elle se lasserait de la mer. Elle regarda celle-ci, la tête posée sur ses genoux repliés contre elle...
Ses pensées revaguabondèrent alors. Quand Le reverrait-elle ? Dans longtemps ? En bonne santé ? Elle l'espérait mais son coeur lui criait le contraire.
Elle ne put que soupirer. Il parait qu'il était revenu alors qu'elle-même avait pris sa relève en direction de sa fichue retraite !!

Elle resta une heure ainsi, puis se releva, enleva les grains de sable collaient à sa robe puis retourna en direction du couvent récupérer Lucie et Edwin d'un pas plus léger...

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Sanpif6669

San qui n'était revenu depuis fort longtemps sur cette belle plage, vient se promener, prendre un peu d'air de la mer qui lui manquait plus qu'elle ne pensait. Fermant les yeux elle inspira un bon coup, humant l'odeur de l'iode marine. Elle se rendit a sa crique habituelle, se rendant compte que celle ci était submergé en partie par la mer.

Elle n'avait jamais vu un endroit aussi beau, l'écume que les vagues faisait en se brisant sur les rochers, la rosée salée qui en jaillissait et qui venait se déposer sur le sable et les rochers, l'arc en ciel que formais cette même écume avec le levé du soleil. "quel endroit magnifique". San en oublia tout, resta admirative par temps de beauté marine, instinctivement elle porta ses mains sur son ventre et se mit a lui parler : "tu vois mon coeur comme c'est beau, écoute le ressac des vagues, c'est apaisant, on dirai une chanson, un poème!" S'asseyant sur un rocher elle continua a contempler la mer et écouter sa chanson, son poème, qui l'apaisait, lui donnait une certaine sérénité dont elle avait besoin. Tout a sa contemplation son esprit vagabonde, mais près de la mer. Elle resta assise là des heures durant, ne se lassant, pensant et rêvant aux personnes qui compte le plus au monde pour elle.

Nanuccio

Nanuccio sortit de chez lui ... il est vrai que la plage était en face de sa porte et souvent en rentrant du travail lorsqu'il n'etait pas trop tard il allait se ballader sur les plage de Berti ... il alla se mettre comme a son habitude sur son banc et sortit son parchemin

Sanpif6669

San, comme à son habitude se rend sur la plage, elle marche au bord de l'eau, ses pied foulant le sable et trempant dans l'eau. Elle se rendit a son lieu préféré, le vague à l'ame, cherchant une réponse.

Elle s'assit là, sur le rocher, regardant sans le voir le paysage, cette mer s'écrasant contre les rochers. Son coeur plein d'amour mais de tristesse mélé, d'apprehension, de peur.

Le regard dans le vide, elle pense, réfléchit, releva sa tête et demande intérieurement à Aristote de l'aider :"comment faire? aidez-moi? que dois-je faire?"

Ses mains posées sur son ventre, elle pria fort pour son bébé, pour son amour.

Elle reste là, assise, le regard errant de ci de là, regardant sans le voir le paysage qui s'etandait devant elle. Etendant sa couverture, elle s'allongea et fini par s'endormir de fatigue.

Sanpif6669

San en regardant l'horizon dis a merlina
"c'est magnifique en cette saison! je viens souvent ici, mais je n'ai jamais vu comme ça!
c'est vrai c'est bien qu'il soit charpentier, il va pouvoir bien travailler avec le port en construction!"

San resta avec sa belle soeur assise là, a contempler le spectacle qui s'offrait a elles, tout a leurs pensées

Ewylan

Ewy arriva sur la plage. Le soir était tombé depuis bien longtemps mais elle avait besoin de venir. Après une dure journée de travail, elle était passée en taverne et y était réstée longtemps, à parler et à sourire. Mais cela ne lui suffit pas pour oublier ses tracas et elle choisi de suivre le chemin vers la mer après quelques verres. L'air salin lui ferait sans doute du bien.
Les enfants dormaient déjà, elle serait donc seule pour une fois...

Personne à perte de vue à qui parlait. fallait qu'elle s'en doute: il était bien trop tard pour que quelqu'un ose se promener en cet instant... A part elle !

La jeune femme resserra son chale autour de son cou. Le vent pure et glacial giflait son visage, ses cheveux détachés virevoltaient derrière elle: elle gouta ce moment avec un mélange de délice et de bonheur, sourire aux lèvres.
Pourtant ce bonheur ne dura pas bien longtemps: Ewy avait grandement envie de bouger, de quitter Berti un peu, mais ne savait pas encore quand partir et où... ne savait pas si elle serait seule, ou accompagnée de sa ptite famille... et Palla qu'elle ne voyait plus...
La jeune femme soupira en pensant à cela. Elle avait besoin de lui, là, maintenant et il n'était pas là. Elle ne pouvait pas lui en vouloir, m'enfin... Elle le remplacerait par ses amis.

Elle marcha lentement tout en vaguabondant constament dans ses sombres pensées.
Le bruit de l'eau venant s'échouer sur le sable la fit sortir de sa rêverie et elle leva les yeux sur la lune. Celle-ci toujours aussi silencieuse et sage dans sa robe blanche...

Ewy s'allongea dans le sable, plaçant ses bras repliés sous sa tête, et continua sa réflexion: peut-être devrait-elle partir tout de suite sans attendre son aimé, en amenant les enfants pour ne pas qu'ils se retrouvent seuls. Mais si Palla revenait de retraite pendant le voyage, il se poserait une multitude de questions et s'inquiéterait sans doute, ou peut-être pas, qui sait... ?
La jeune femme ne put que soupirer. De nouveau, le mal de crâne refluait mais elle continua de penser. "Peut-être irai-je à Calais ??? Cela fait bien longtemps et j'avais promis de repasser... une promesses non tenue pour l'instant..."

La fatigue de la journée la gagna enfin ! Elle s'endormit à la belle étoile, sous une pluie fine. Ce qui ne la réveilla pas !

D'ailleurs, elle ne reprit conscience qu'à l'aube. Elle ouvrit les yeux, un peu étonnée de voir où elle se trouvait. Elle se leva prestement, jeta un coup d'oeil vers la mer en face d'elle. Non, il faisait bien trop froid pour une baignade matinale. Elle remettrait ça à plus tard. De toute façon, elle était déjà trempée par les gouttes de rosée se tenant dans ses cheveux et sur les fils de ses vêtements, ca ne servait plus à rien de se baigner...
Elle refit donc sans se presser le chemin parcourut la veille et alla auprès de ses enfants pour être là à leur réveil habituellement mouvementé par Lucie !
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Sanpif6669

San, comme a son habitude quand pol était absent, se promene sur le bord de la plage, elle apperçu merlina au loin. Rare de la voir là, elle etait tout à ses pensées, elle l'observa un moment et vis qu'elle etait un peu triste, se dirigea vers elle :

"coucou merlina! ça n'a pas l'air d'aller fort toi! raconte moi."

San s'intalla a ses cotés et commence a discuter ensemble.

Merlina

Merlina voyait San arriver comme elle sortait elle même de la Taverne du repos du guerrier. Elle était avec son faucon Thor et elle s'ennuyait un peu de Masterg mais décida de se ressaisir et de penser à ses projets de boutiques.

Ne voulant pas tracasser San avec ca elle décida de lui afficher son plus beau sourire bien qu'elle était fatiguée

Ahh San!! je suis heureuse de te voir!! Comment vas-tu?? Tu sais je suis contente que Pol est Charpentier maintenant. Je reviens de travailler au chantier du Port, ils vont avoir besoin de charpentier là-bas!!.

Et elles continuaient à papoter comme ca tout en regardant le soleil couchant :wink:

Merlina

Merlina marchait sur la plage de Bertincourt après une dure journée de travaille. La construction du port avait commencé et le comté versait quand même un salaire des plus alléchant , mais c'était un travaille assez éreintant. Aussi décida t-elle d'aller vers la Taverne Au repos du guérrier qui était pas loin de la plage pour se reposer.

Elle se sentait parfois seule depuis quelques temps. San et Pol se préparaient un voyage, donc elle les voyait moins. Et entretemps Masterg était revenu au village mais il était très occupé et elle aussi d'une manière car elle avait un projet d'ouvrir bientôt sa propre affaire. Aussi s'endorma t-elle presque dans la taverne quand d'un coup elle se réveilla en sursaut, il faisait presque nuit!!!! C'est Thor qui étant à la fenêtre l'avait réveillé.

Oui mon ami tu as raison nous devons allez à la maison!!!lui dit-elle.
Une autre journée va bientôt commencer.

Sanpif6669

San s'étant lever très tôt, s'habilla et partie faire une petite promenade au bord de l'eau. L'air était frais en se jour d'automne, mais supportable, les vagues plus forte que lors d'un jour d'été. Elle se dirigea vers la crique, devant allé plus en arrière, les vagues se brisant sur les rochers. "Que c'est beau! écoute mon ange cette belle musique que nous fond les vagues!" s'assayant là, écoutant le ressac des vagues, regardant au loin l'éclairage du soleil sur la mer qui commence à se lever! restant a ses pensées, souriant a l'avenir, pensant a son amour qui dormait encore. Un frisson la parcours, regardant autour d'elle personne! reste là a contempler la mer se mettant une couverture pour se réchauffé, attendant le lever du soleil, pensant que son ame viendrai peut etre la rejoindre finalement!

Aambre

[Promenade avant un séjour chez les nonnes..]

Ce matin là, le Cara s'était levé aux aurores puis aprés avoir pris son petit déjeuner avait été chercher Bravache.
Elle avait ensuite pris le chemin de la plage pour y regarder le lever du soleil, les premiers rayons avaient eu du mal à traverser les nuages et l'astre solaire était plus que timide.
Qu'importe ce que voulait le Cara c'était du calme pour faire une mise au point avec elle même.
Son séjour à Berti lui faisait du bien, elle était à nouveau détendue mais continuer à s'interroger sur un peu de trop de choses.. Son fichu neurone ne la laissait que rarement en paix.
Ses amis lui manquait même s'ils n'allaient pas tarder à arriver. Quand à son Duché.. Elle n'y croyait plus vraiment, pas mal d'illusions s'étaient envolées en quelques mois. Comment retrouver cette confiance en lui, cette foi qu'elle avait.. S'exiler c'était bien beau mais ça ne résolvait pas tout. Un jour, il faudrait bien qu'elle y retourne ne serait ce que pour éviter que son moulin ne tombe en ruine.. Mais ce n'était pas encore le moment, elle n'avait pas retrouvé son idendité, ses forces pour recommencer à servir son Duché au sein du Conseil.
Elle soupira puis laissa son regard s'égarer au loin.. Ses compagnes à quatres pattes batifolaient, l'une voulant attrapper les vagues, l'autre trempant le bout de ses sabots dans la mer.. Un sourire naquit sur les lèvres du Cara en les regardant. Pour le moment, elles étaient ses repéres, amies silencieuses et si fidéles..
Retournant à ses pensées, la jeune femme en vint à décider qu'un séjour chez les nonnes lui permettrait peut être de retrouver cette paix intérieure qui lui faisait défaut en ce moment.
Oui, c'était ça la solution.. S'écarter du monde pendant 2 ou 3 jours, ne plus s'occuper de ce qui se passait..
D'un pas ferme, elle redescendit de la collinne, siffla Angie, prit Bravache par les rênes et rentra au village, chez Meth et Virb. Elle leur laisserait un mot pour qu'ils ne s'inquiétent pas, leur demanderait de s'occuper de ses amies poilues, prendrait un peu de nourriture et irait ensuite frapper à la porte du couvent. Voilà, c'était décidé, plannifié.. Plus qu'à espérer que cette retraite porterait ses fruits et que le Cara retrouve l'envie et la force..

Sanpif6669

San, espérant pouvoir se rapprocher de son amour, se dirige vers leur crique.
Elle s'assit sur un rochet, posant les mains sur son ventre, regardant l'horizon, les yeux baignés de larmes, pensant à ce qu'elle deviendrai s'il ne revenait pas, a leur bébé, un frisson la parcourt :

"ou es tu mon amour?
Pourquoi cette absence est si dur a supporter?
Que vais je faire sans toi?"

autant de questions sans réponse. Elle reste assise là, essayant de trouver des réponses. Priant "Mon dieu! rendez nous le! ne nous l'enlevez pas! On ne pourrait vivre sans lui!"

sur ces paroles elle éclate en sanglot, les yeux dans le vague, son coeur déchiré!

Aambre

Troisiéme incrustation d'un Caramel... :wink:

Elle est debout sur la colline.. La mer en bas fait entendre son doux clapotis, le vent améne à ses narines l'odeur des embruns.. Elle est bien, elle a retrouvé à Berti cette sérénité qui lui faisait défaut.. pas encore totalement apaisée pour cela il lui faut régler une histoire.. Une histoire qui l'empêche d'avancer vers son destin.. Destin farceur qui lui a fait rencontré un ange alors qu'elle était en route pour Berti.
Elle respire l'air de Berti, pense à ses amis qui sont loin d'elle.. Ils lui manquent.. Premiére fois que le troupeau se trouve éparpillé, premiére fois que le Cara doit se débrouiller seul.. Seul pas tout à fait, Virb et le Cureuil sont là, présents. Elle vit chez eux, y'a une petite chambre où elle a laissé ses armes et la houppelande flambant neuve que sa léchouilleuse préférée aux doigts de fée lui a confectionné.. et le soir, quand la journée s'achéve, que le Cara rentre dans sa chambre, elle se sent sereine, elle veut avancer.. Elle espére, elle a peur.. Mais elle veut croire à ce destin farceur..

Perl

Émut devant les œuvres, Perl avait prise les parchemins pour savourer les détails de celui-ci. Des dessins d'une grande valeur pour elle-même. Il était à nouveau parti le sort des voyageurs...

Tourlou Zarathustras...

Sanpif6669

Trouvant un moment de solitude, San se met a marcher tranquillement le long de la plage, regardant la mer étendu devant elle, les ombres des barques au loin entrain de pecher.

Doucement elle se rend vers la crique afin de s'assoire et de contemplet le couché de soleil, elle pose les mains sur son ventre, imaginant se petit être qu'elle aime déjà, pensant au papa qu'elle aime par dessus tout.
"que c'est bon d'être ici"
Goutant au calme, juste le ressac des vagues, écoutant cette mélodie de la mer. Tout à ses pensées, malgrés le froid, elle reste assise là, prenant sa couverture et se couvrant afin de ne perdre aucune minute de cette magnifique vu que lui offrait la nature.

Zarathustras

Très chère Perl, j'espère que ces 2 dessins vous plairont autant qu'à moi. Je vous les laisse.
Je suis vraiment confus et désolé de ne pas vous avoir vu en taverne pour vous dire au revoir.
J'ai vraiment été très heureux de vous rencontrer et d'avoir discuté avec une personne telle que vous.
Je vous souhaite une bonne nuitée.
Je vous dit au revoir. Je reviendrai à Bertincourt (Bertincourt un jour, Bertincourt pour toujours ^^) un jour. Et je serai ravi de vous revoir.
De toute manière, on reste en contact par pigeon.
Au revoir et merci pour le Bonheur d'avoir partagé des moments magiques en votre compagnie.

.

Zarathustras

Il fût heureux de la réponse de Perl.
"Merci bien Perl! Ne faites pas attention à moi et composer, composer ...."

Pendant que la plume de Perl glissait aisément sur son parchemin, il chercha le meilleur endroit pour faire ses esquisses. Une fois trouvé, légèrement en hauteur, il s'agenouillât sur le sable doux et resta immobile. Une feuille sur ses genoux, il choisit d'abord le crayon noir. D'une main il pointa Perl pour bien respecter les perspectives et de l'autre il commença à dessiner. Entièrement selon ses ressentis, son crayon glissait avec légèreté et précision. Les traits se formaient avec magie, tour à tour naissaient l'arbre où était adossée Perl, le bord de plage de sable blond, la silhouette de Perl, la Mer de vagues berçantes sur laquelle flottait cette légère brume transperçée par un soleil blafard. Le fond posé, il s'attaqua à Perl en détail. Souriant, d'un trait plus précis , il l'immortalisa sur cette feuille.
Il rangea cette première esquisse puis décida de se rapprocher d'elle pour effectuer un portrait. Il avait attendu ce moment avec un vif plaisir.
Il sortit une seconde feuille et s'assit à nouveau sur le sable, non loin de l'arbre où elle était adossée.
Il prit alors un fusain cette fois ci, il le plaça entre ses trois doigts. Il se concentra sur ce visage d'Ange, équilibré et très gracieux. Sans regarder sa feuille, son fusain commença par tracer le tronc d'arbre, puis les traits de son visage rayonnant avec ses cheveux volants recouverts par son chapeau, ses yeux noirs vifs et pétillants, son magnifique sourire plein de candeur laissant apparaître une petite bouche délicieuse, son chemisier clair bras nus épousant parfaitement un troc plaisant très équilibré. Le portrait ainsi terminé, il regarda sa feuille. Un vrai délice ! Pour achever son travail, il prit un soin méticuleux pour les détails et les ombres. Il fût conquis et très heureux du résultat obtenu à l'image de Perl. Magnifique !

Il se mit alors debout et se dirigea vers elle, toujours à composer. Il prit soin de l'approcher délicatement. Très heureux avec un large sourire aux lèvres, il s'adressa à elle.
"J'ai enfin terminé mes oeuvres ! J'en suis fort satisfait ! Je vous les donne en gage d'un superbe souvenir et d'une rencontre amicale profonde et intense."
Il lui tendit les 2 feuilles.

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Perl

Oooooooooooooooo mais mon cher je vous ai déjà averti que de faire mon portrait était un risque de briser vos fusains.

Perl avait laisser un sourire appuyer ses dires.

Je vous laisse vous amusez avec vos fusains si je peux m'amuser en même temps à danser avec les mots sur un parchemin. Est-ce un marché qui vous convient?

Le vent soufflait légèrement certaine mèche de ses cheveux. Sans trop attendre la réponse perl avait fouillé dans son baluchon tout son matériel, adossé à un arbre, d'un côté la mer.

Perl

Le soleil se lève à peine, la ballade à l'air salin sera apprécié merci. Et vous écouter raconter les merveilles de la nature que vous avez rencontré au fil de vos voyages m'intéresse beaucoup. J'ai apporter un peu de nourriture pour combler la famine matinale nous pourrons déguster le tout en chemin qu'en dites-vous?

Les oiseaux se réveillaient d'une nuit paisible autour d'eux, certains étaient près à s'élancer dans l'eau pour récupérer le repas du matin, d'autre semblait flâner avant de débuter leur journée.

Il y a un grand moment que vous m'attendez?

Zarathustras

Ils avançaient tranquillement en profitant de la Nature qui s'éveillait tout autour d'eux.

"Non, pas très longtemps. J'ai laissé ma barque près du phare. Puis je me suis promené un peu et, ayant trouvé un bel endroit, je me suis assis pour contempler cette merveilleuse Nature naissante du matin."

Pendant qu'ils cheminaient, il lui raconta diverses histoires issues de ses voyages passés. Les moments impérissables qu'il passa ici et là. Toujours le ressenti en éveil pour profiter des magies de la Nature et de certaines rencontres. Comme celle qu'il vivait en ce moment. Le temps passa rapidement sans qu'ils ne s'en rendent compte. Vint alors l'heure du déjeuner. Un déjeuner paisible partagé sur le sable.
Puis il prit des parchemins, un crayon et un fusain. Il s'adressa alors à Perl.
"Puis-je dessiner ? N'ayez crainte, restez naturelle ! Avec cette luminosité, ce léger voile brumeux sur cette Mer, ce joli phare en arrière-plan, votre charme, et l'inspiration que vous m'apportait, mes croquis ne seront que réussites."
Il attendit la réponse de Perl.

.

Zarathustras

Toujours assis sur le sable, plongée dans son regard émerveillé par ce soleil levant sur la Mer et ce brouillard flottant, il entendit la douce voix de Perl qu'il avait reconnue.

Il se leva lentement et se retourna vers elle.
"Oui, j'ai effectué une belle pêche cette nuit, 2 mulets. La Mer est bonne ici."

Puis il se rapprocha d'elle. Il crût sentir une certaine peur ou appréhension. Il avança alors doucement.
"Je vous propose une petite ballade avant que je ne fasse des croquis de vous par ce fabuleux paysage, si vous le désirez."

.

Perl

Un peu poète, un fan de la nature, un talentueux maître des mots et un habile ami des fusains, voilà deux jours qu’il était au village…

Certains amis lui avaient rappeler de ne jamais faire confiance aux voyageurs, avait-elle vraiment besoin d’une mise en garde de plus, sa barrière était déjà suffisamment haute pour qu’aucun homme ne puisse jamais la franchir désormais, devait-elle remercier Alessandro et Mayaii pour cela ou les maudire encore…

Un rendez-vous… Non pas un rendez-vous seulement un temps où il passerait un moment à discuter de nature comme la veille. Avait-elle lu autre chose dans ce regard, une seconde elle doutait de son propre jugement face à tout.

Quelques heures de sommeil avait fait un bien fou, l’aube approchait et toujours l’envie de le rejoindre pour le temps d’un croquis était toujours en elle. Tout sourire, une bougie qui laissait danser la lumière sur ses cheveux, une chansonnette fredonné pendant qu’elle préparer son baluchon. De quoi prendre une croûte au lever du soleil et son nécessaire d’écriture pour savourer le moment présent et son baluchon était complet.

La plage était située non loin de chez elle, une petite promenade à savourer les sons d’animaux et à capter les premiers rayons au loin.

Il était là, face à l’étendu infini, au fond d’elle l’espoir qu’il n’y soit pas venait de fondre, un rendez-vous manqué aurait ajouté à alimenter sa crainte des voyageurs… Ne doutant pas de ses qualités de chevaliers elle avait prise la précaution de ne pas le surprendre, d’un petit raclement de la gorge elle avait signifier sa présence. La mer avait peut-être étouffé le son…

Sa formation de soldate bien incruster en elle, c’était à une distance raisonnable qu’elle s’était arrêtée…

Hum… Bonjour Zarathustras, vous avez eu une belle récolte de poisson?

Garchcroc

Garchcroc repris le contrôle de l'embarcation d'un léger coup de gouverne qui fit tomber Aubrée dans ses bras....il la regarda en souriant.

Et bien mon aimée voulais-tu aller de baigner toute habillée...., de tout façon nous voila arrivés.

Garchcroc échoua la barque sur le sable et tendit la main à Aubrée pour qu'elle saute de l'embarcation

Canaille n'avait pas attendu et courait comme un fou sur la plage.

Garchcroc sortit le panier à provisons et une couverture qu'il étala sur le sable.

Cette promenade m'a ouvert l'appétit, que dirais-tu de de déguster un pâté à la viande et aux épices quelques fruits et un petit flacon de vin de Loire...?

Aubree_du_meslay

Aubrée sauta et rejoignit Garchcroc sur la plage , regardant en riant Canaille qui gambadait partout comme un petit fou ...

Elle aida Garchcroc a deballer les provisions pour le repas , salivant à l'avance en voyant le pâté si appetissant ...

Hummm!!! Tout celà m'a l'air delicieux mon aimé et en plus voir le coucher de soleil en ta compagnie , c'est une merveilleuse façon de terminer la journée

Ils s'installerent tous deux , face à la mer et commencèrent à manger , donnant quelques morceaux de pâté de temps en temps à Canaille qui venait reclamer en jappant avec force , ce qui les fit rire !!

Le soleil commença a decliner alors qu'ils finissaient de deguster le savoureux pâté et ils regardèrent ensemble le magnifique spectacle offert à leurs yeux, blottit l'un contre l'autre et se tenant tendrement la main....

Zarathustras

Après une nouvelle nuit de pêche au clair de lune, il alla se promener sur cette plage de sable et de galets.
Il passa devant le phare immaculé de son scintillement saccadé.
Il avait pris avec lui ses parchemins, ses crayons et ses fusains.
Le soleil se levait. Enveloppant la mer, la brume se dispersait au loin.
Endroit mystérieux et magique, digne pour croquer une si jolie perle.
Il avançait doucement, le sourire aux lèvres. Il attendait Perl.
Ses pas laissaient des traces sur le sable encore humide.
Cette douce moiteur lui plaisait, il patientait empli d'un plaisir avide.
Il ressentait parfois cette immense exaltation.
Au bout d'un voyage, de sincères et profondes relations.
Des instants vrais, des instants de toute pureté.
Des instants rares, des instants de toute beauté.

Il s'assit sur le sable, contemplant ce paysage.
Il attendait l'inspiration d'un si gracieux visage.

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Garchcroc

Garchcroc repris la direction de la plage, le vent était favorable et il n'avait pas besoin de trop tirer des bords.

Il sentait le corps d'Aubrée contre lui et ressentait une grande plénitude.

Je suis heureux que cette petite promenade en mer t'ai fait plaisir mon aimée, que dirais-tu de rentrer et de profiter des derniers rayons de soleil pour manger sur la plage ?

Aubree_du_meslay

Voyant la côte, puis la plage se rapprocher , Aubrée commença a se sentir nettement plus à l'aise et son corps tendu il y a encore quelques minutes , commençait à se relacher legerement.

Elle s'ecarta legerement de Garchcroc , afin que celui çi puisse manoeuvrer plus aisément la petite embarcation qui filait maintenant vers la plage

Je suis heureux que cette petite promenade en mer t'ai fait plaisir mon aimée, que dirais-tu de rentrer et de profiter des derniers rayons de soleil pour manger sur la plage ?

Aubrée sourit en entendant Garchcroc lui proposer un pique nique sur la plage , afin d'y regarder le coucher de soleil

Oh!! Quelle bonne idée mon aimé , çà sera avec plaisir .
Je vais adorer regarder le coucher de soleil avec toi , ainsi qu'apprecier notre repas improvisé

Riant soudain , elle se pencha vers lui pour l'embrasser , faisant du même coup tanguer la petite barque ...

Aubree_du_meslay

Aubrée regardait Garchcroc qui menait de main de maitre la petite embarcation .
Admirative de son adresse et legerement troublée de voir les muscles se tendrent sous le coton de sa chemise ... Elle detourna les yeux de l'objet de sa tentation pour regarder Canaille qui etait sagement assis à leurs pieds , avant de porter ses yeux sur ce qui les entourait....

L'immensité de la mer devant elle etait impressionnante , elle tourna legerement la tête et vit la plage s'eloigner , les petites maisons devenir de petites maisons de poupées , jusqu'a n'être bientôt que de petits points noirs....

Brusquement elle se rendit compte qu'elle avait quitté la terre ferme et qu'il n'y avait plus que de l'eau tout autour d'eux .
Oh !! elle savait nager evidemment , mais c'etait dans la riviere de son enfance qu'elle avait appris , rien a voir avec cette masse d'eau immense dans laquelle on a pas pied!!!

Le bras de Garchcroc vint soudain entourer ses epaules et il la serra doucement contre lui , comme si il avait eu conscience de la panique qui venait de la gagner .
Elle le regarda tendrement et lui sourit

C'est magnifique mon Aimé ....
Toute cette etendue d'eau , ce calme , le leger clapotis des vagues ,c'est divin, tu ne pouvais me faire plus plaisir.
Merci pour cette merveilleuse balade en barque ...

Elle deposa un doux baiser sur les lèvres de son tendre aimé et se laissa aller contre lui , comptemplant le paysage autour d'eux , la barque ayant bifurquée pour longer la côte desormais

Garchcroc

Garchcroc en se retournant vit arriver Aubrée qui se jeta dans ses bras.
Il l'enlaça tendrement, la gardant serrer contre lui et gouta la douceur des ses lèvres.

Je voulais te faire la surprise mon aimée...mais je suis heureux de te voir déjà, nous pourrons mieux en profiter, la mer est calme le vent souffle juste comme il faut c'est le moment idéal pour une promenade en mer.

Puis voyant qu'elle avait repéré le panier à provisions qu'il avait fait préparer par l'aubergiste il sourit et lui dit :

J'avais prévu quelques victuailles et de quoi se désaltérer au cas où j'aurais rencontré une sirène....

Puis en riant il souleva Aubrée dans ses bras et la déposa dans la barque.

Canaille qu'il n'avait pas vu venir arriva ventre à terre et sauta dans la barque, il ne voulait pas abandonner sa maîtresse, ni le panier à provisons qu'il avait repéré...

Garchcroc poussa la barque, puis d'une traction se hissa à l'intérieur à côté d'Aubrée, il pris la gouverne d'une main et tira sur la drisse de l'autre afin de tendre la voile pour prendre le vent.

Et bien nous voila partis, et toi Canaille surtout ne bouge pas...

Garchcroc

Garchcroc prépara sa barque qu'il avait équipée d'un mat.

Il avait décidé de rentrer plus tôt et voulait faire la surprise d'une promenade en mer en fin d'après-midi à sa tendre aimée

La mer était calme, ils auraient le temps de faire le tour de la baie et de rentrer pour le coucher du soleil, il avait préparé discrètement un panier de provisions pour qu'ils puissent rester le soir et contempler le coucher du soleil

Bien , il ne me reste plus qu'à aller chercher Aubrée sans lui dire où nous allons !

Aubree_du_meslay

Elle etait passée par la taverne en revenant de son travail au champ et avait discuté quelques instants avec Dame Sylvine ...
Elle sourit en pensant qu'elle etait idiote d'avoir eu de mauvaises pensées à une epoque et elle commençait a apprecier cette amitié naissante ...
Celà lui ferait du bien la compagnie d'une autre femme , à qui elle pourrait eventuellement se confier . Il y avait sa soeur bien sur , mais çà n'etait pas pareil ...

Toute à ses diverses pensées , ses pas la menèrent vers la plage ,son lieu de meditation par excellence , elle adorait le bruit des vagues qui viennent mourir sur le sable fin , l'air iodé qui se degage de cette immensité d'eau et le cri des mouettes en fond sonore.
Son regard se posa sur un homme debout près d'une barque ...Chose etrange celle çi etait equipée d'une voile .
C'etait assez rare pour être remarqué , intriguée elle s'approcha doucement , pendant que le pêcheur etait occupé a poser quelques affaires dans le fond de sa barque ...

Elle ne distinguait pas le visage de celui çi , mais l'allure lui rappellait celle de son Aimé Garchcroc ...Ce n'est que lorsqu'il se redressa et se tourna vers elle qu'elle se rendit compte que c'etait bien lui .
Un instant d'hesitation , puis elle s'elança à sa rencontre en souriant de bonheur , avant de se jeter dans ses bras et de l'embrasser tendrement ...

Mon Aimé , qu'elle joie de te voir ici ... Tu m'as manqué , cette journée fut longue tu sais ...

Le regard soudain malicieux , elle avisa le panier dans le fond de la barque

Aurais tu prevu une petite escapade en mer avec une gente demoiselle ?

Elle le regarda les yeux remplis de joie à le voir rougir legerement

Sanpif6669

Mon coeur! te voilà!

non ne te fais pas de soucis, je parlais au petit ange là,(lui montre son ventre) lui disait combien je t'aime et combien il t'aimera, et lui racontait que nous tout commençait ici, et qu'on viendrai souvent.

San est heureuse de partager se moment avec l'homme qui tiens toutes ses pensées, qu'elle aime. autant de bonheur dans une immensité de vie.

San et Pol admir se leve de soleil avec des yeux remplis de se bonheur

Sanpif6669

Par se beau matin d'automne, San se rend sur la plage heureuse, pour admirer le leve du soleil.

Elle se dirige vers la crique, s'assoie sur un rocher et admir le paysage qui se découvre à elle.

Elle pose les mains sur son ventre et commence lui parler :

"Mon petit ange, quand tu seras là, on viendra souvent ici avec papa, il aime tout autant que moi cet endroit paisible, d'ailleurs j'aurai bien aimé qu'il soit la avec nous, qu'on soit dans ses bras.
C'est ici que commence notre histoire tout les trois, tu l'aimeras ho oui, tout autant que je l'aime et comme je t'aime déjà!"

San reste là, a regarder au loin ce magnifique levé de soleil sur cette mer limpide, pensant a son amour pour son pol tout aussi puissant qu'au premier jour. Quelle belle journée qui s'annonce!!!

Noesanspol

pol au sortir de la taverne vis san se dirigeant vers la plage il la suivit de loin,sourire au lèvres la démarche alerte, légèrement vouté souvenir de coups de bâtons reçu étant plus jeunes..S'arrêtant a quelques distances il voie sa san assise sur un rocher toute pensive et se parlant a elle même.

Dis voir mon ange que se passe t'il donc? Un soucis un problème quelconque te dérange . Parle moi que je puisse partager avec toi se soucis et trouver ensemble une solution

pol pris la main de son amour dans la sienne la regarda lui sourit et déposa sur ces les lèvres un tendre baiser

Sanpif6669

San, voulant se retrouver un peu seule, se promène sur la plage deserte à cette heure, elle marche au gres de ses pas qui l'emporte pres de la crique, enlevant ses chausses, elle marche dans l'eau fraiche.

Se retrouvant a la crique, elle s'assit sur un rocher, laissant ses pieds dans l'eau, respirant cet air marin cher a son coeur, regardant les reflets de la lune sur cet eau calme, au ressac des vagues, elle se mit a penser, à rêver.

Heureuse? oui, très, elle se retrouve enfin. Laissant vagabonder son esprit, pensant a l'avenir, laissant le passé loin derrière elle.

Repensant à tous ces évènements merveilleux qui sont arrivés, sa futur belle soeur Merlina, le bonheur de Pol, que de merveilleux moments passé, présent et futur, elle se décida et hôta ses vêtements, rentrant doucement dans l'eau, se mit a nager tranquillement, laissant toutes ses pensées vagabonder au fil de l'eau. Nymphora princesse de la nuit et des vagues, quelle beau prête nom!

Reste encore un moment a se prélasser dans cette eau, voulant savourer un moment de solitude, de communion, d'abandon. Retournant tranquillement sur la plage, s'essuie, je rajuste et se rassis tranquillement. Restant ici, au calme, ses mains sur son ventre, moment de plénitude.

Merlina

Bien après dans la soirée, après avoir festoyé avec son frère et sa femme retrouvé, Merlina retourna tard dans la nuit près de la plage. Elle admira l'eau, le ciel parsemé d'étoile et la Lune qui brillante offrait un spectacle des plus émouvant.

L'envie lui pris soudain de se baigner dans cette eau si belle. Ainsi commença t-elle par se dévêtir près d'un rocher qui lui permis de se cacher loin des regards indiscrets.

Puis ce fut nue qu'elle pénétra dans cette eau fraîche mais combien vivifiante, qui de la lui donna toute sa force et sa vitalité.

Enfin après avoir nager , Merlina décida de se reposer près d'un rocher pour contempler une dernière fois ce paysage tant émouvant a ses yeux.

Merlina

Merlina qui se pensait seul au monde , n'en croyait pas ses oreilles. Ce peut-il que San ne se trompe pas et que Pol serait le fils de son père. Car elle savait que son Père Etienne avait été soldats bien avant sa naissance. Selon sa mère il aurait connu un dame de la noblesse et aurait eu une aventure.

Bien qu'il avait été éprise de cette jeune damoiselle il l'avait quitter. Puis un jour il avait rencontrer la mère de Merlina et en tomba très amoureux. Il ne lui avait rien cacher de cette histoire, ainsi que toutes les horreurs de la guerre et tout ce qui s'était passé dans sa vie. Aussi à la naissance de Merlina. Celui-ci décida t-il que sa fille devait apprendre à se battre comme un homme et à chasser car l'envie d'avoir un fils était très forte en lui.

Aussi dit-elle à San:

Tu en es sûre et certaine, Pol aurait la même marque que moi???

Un espoir fou grandissait en elle.

Sanpif6669

San de lui répondre:

oui j'en suis sur! parle lui en il sera aux anges!"

sur ces mots San se lève et lui dit:

"d'ailleurs on y va de se pas"

Merlina

Merlina suivait San d'un pas légers quoi que elle n'en revenait de la tournure des évènements de sa vie. Le destins avait fait en sorte qu' elle héritait d'un frère dont la gentillesse de sa femme lui avait permis de connaître. Enfin J'ai une famille pensait-elle.

C'est dire que les liens du sang sont fort.

Ensuite elle regarda l'horizon et disait en son fort intérieur a son père.
Père tu as un fils et je l'ai retrouvé

Merlina

Merlina regarda son amie avec curiosité et se demanda pourquoi son amie était toute excité. Elle lui dit:

Mais quoi donc mon amie qu'as-tu a m'apprendre de si important?

Elle invita San a s'asseoir et commença à écouter son histoire.

Sanpif6669

San s'assoie et commence son histoire qui est courte

"Merlina! C'est une histoire incroyable qui t'arrive ainsi qu'a une autre personne et ça me remplis de joie et de bonheur.

Sais-tu que si tu me dis que cette tache et une marque héréditaire, je connais quelqu'un qui a la même, trait pour trait! Et tu connais bien cette personne, tu l'as voit tous les jours, tu es même son amie et là je suis sur même plus que ça!

Mon cher amour de ma vie, Pol a la même que toi! Je te promet! la même! je n'en reviens pas!

San regarde Merlina, elle lui voit des larmes coulées de ses yeux, est-ce des larmes de joie?

Sanpif6669

San stupéfaite n'en revient pas de se qu'elle vient d'apprendre, incroyable!

"Merlina! tu veux savoir quelque chose, mais il te faut t'assoire vite fait, tu risque d'avoir un choc, mais si tu me dis est vrai, je ne peux pas y croire!
il va etre le plus heureux!"

Merlina

Merlina regarde San et lui expliqua:

C'est une tâche de naissance que j'ai hérité de mon père. Il l'avait sur lui à son avant bras et depuis des générations. Cette tâche se perpétue dans la famille.

Puis elle continuait sa marche en compagnie de San et dont elle la considérait comme une soeur.

Elles continuaient leur marche en admirant la plage et ses trésors ainsi que la beauté qu'ils les entouraient.

Sanpif6669

San et Merlina se promènent au bord de la plage, elle discute ensemble de tout et de rien. Tout à coup, Merlina voit quelque chose qui brille au loin, se dirige vers cette chose et se penche pour la ramasser, en se penchant sa chemise découvre ses épaules et San apperçois une jolie petite tâche en forme de coeur.
San la voyant surpris dit:

"Merlina! C'est quoi ce petit coeur sur ton épaule? c'est mignon!"

Aubree_du_meslay

Aubrée , en cette matinée brumeuse , se dirigea vers la plage ...
Elle etait passée au bureau des embauches et avait postulé pour un emploi dans un champ de legumes .

En attendant la réponse , elle avait decidé de faire une petite promenade.
Canaille ,suivant partout sa maitresse , etait dejà au bord de l'eau et s'amusait a courir et aboyer après les vagues qui venaient mourir sur le sable fin ....

Elle rigola et le regarda faire pendant un moment ..... puis avisant un
un gros rocher un peu plus loin , elle decida de s'y assoir afin de pouvoir profiter du lever de soleil sur la mer ...

Elle adorait ces matins gris , ou a force de perseverance le soleil arrivait a forcer les nuages et a rependre ses rayons bienfaisants , rechauffant la terre et les corps .
Les jambes repliées sous son menton , elle laissa son esprit vagabonder , un leger sourire sur les lèvres et ses yeux verts perdus dans le lointain ....

Sanpif6669

San marche le long de la plage les yeux pleins de larmes, est-ce normal? Son coeur est gros, elle pleure sans pouvoir s'arréter, pourquoi?

"Je ne dois pas pleurer! non!"

essaie de se calmer, pas moyen, elle marche un peu plus vite pour aller a leur crique, pol y sera peut etre? mais pas sur!

"normal! comment tu veux qu'il est deviné? Tu n'as rien laissé transparaitre! dis lui! non tu exige trop! tu n'as pas le droit de tant en demander!"

Je t'aime Pol! tu me manque telement!

San se rentre sur ces paroles.[i]

Jardiniere

Longtemps avant que le soleil n'apparut à l'horizon, Jardinière entra dans la cité endormie de Bertincourt. Les ruelles éclairées par la Lune étaient vides, pas la moindre trace d'ivrogne, de soudard, de fille de joie, de chat, de chien solitaire, ... Rien, le néant comme celui qui habitait son âme dorénavant !

Elle traversa donc le village, l'âme apaisée par la longue marche qui l'avait conduite d'Amiens à Bertincourt. La fraîcheur de la nuit, la solitude extrême la faisait frissonner... Elle finit par sortir de la ville, une lande immense s'offrait à ses yeux, des bruyères s'étalaient en face d'elle, bercées par le vent. Au loin, c'était la mer, l'odeur de l'iode lui chatouilla les narines, elle se sentait attirée par le son harmonieux de la mer refluant sur la grève.

Une lumière l'attira, guida ses pas, donna un sens à son cheminement... elle marcha longtemps, longeant la plage, dépassa le phare et poursuivit inexorablement son chemin. Rien ne pouvait l'empêcher de progresser, rien ni personne !

Soudain, un divin enchantement, apparut à ses yeux...

Oui, c'est là que je dois m'installer, ce lieu est magique, mes pas m'ont conduite ici ! Quel prodige !

Une anse, au fond de laquelle une jolie plage s'étalait, quelques rochers creusés par les tempêtes offraient un abri accueillant pour la nuit.
Sans prendre la peine de défaire son maigre paquetage, Jardinière se contenta de sortir la peau de loup, dans laquelle elle avait partagé tant de nuits avec son beau pirate, l'unique homme qu'elle n'aimerait jamais... et qu'elle avait fui !

Elle se recroquevilla donc à l'abri des rochers, s'enroula dans la peau du loup. L'odeur de Lor la pénétra, une fois encore, elle sentit ses bras autour d'elle, ses muscles sous ses caresses... Il était là, près d'elle...
Non, elle était seule, seule, seule... avec pour seule compagne, cette vie en elle, cette vie qu'elle portait....l'unique trace qui lui restait de son beau pirate...

Je t'aime mon amour !

Là voilà à nouveau qui parlait seule... des larmes coulaient sur ses joues... des sanglots l'agitaient sans cesse. Elle resserra la peau de loup autour d'elle et finit par sombrer dans un sommeil agité, peuplé de monstres, de chimères, d'enfer, de flammes, de solitudes, de confusion, d'émois...

Elle caressait son ventre et se rendormait. Maintenant, elle ne vivait plus pour elle... Autrement, elle se serait laissée entraîner dans l'oubli, dans l'abandon, dans le renoncement : la mort l'aurait envahie lentement, de manière insidieuse, la submergeant, la terrassant...

Maintenant, il lui faudrait lutter, seule, sans Lorent, seule, seule, seule...

Noesanspol

pol de bons matins comme a son habitude approcha de la plage ou san et lui aimes tant se rendre .

mais le cœur n'y et pas la soirée d'hier lui fit découvrir qu'il peut faire le mal à son amour sa tendre san.
regardant autour de lui, ne voyant âmes qui vive il se déshabilla s'avança dans l'eau qui le fit frissonner il s'aspergea le corps et plongea cela lui fit du bien et oublia pour quelques moment cette soirée désastreuse..
sortant de l'eau il aperçois sur le sable le mouchoir de san..Il ramassa le mouchoir le mis sur ses lèvres ..sourit
se rhabilla et partis comme il été venu toutes a ses pensées..

Sanpif6669

San marche le long de la plage, le vague a l'ame, n'ayant personne en taverne, pensant que l'amour de sa vie serai peut etre ici. Personne, elle se dirige vers la crique afin de pouvoir se retrouver, se posant des questions, cherchant des réponses, mais n'en trouve aucune.

Regardant autour d'elle, ne voyant personne, décide d'aller nager, s'évader pour un temps, évacuer ses questions sans réponses. Se dévettis et plonge dans l'eau fraiche, se mets a nager, nager, sentant cette eau fraiche sur elle, communiant avec la mer. Longeant le bord, elle trouva une autre crique, perdu d'accés, y alla et s'y reposa, tant est si bien qu'elle s'endormi en pensant à la seule personne qui compte vraiment dans sa vie Pol.

Sanpif6669

San se dirige vers son lieu fétiche la plage, l'amour de sa vie étant absent, elle s'assie, pensant à lui, a eux.

Ses pensées vagabondent et tout d'un coup une envie subit d'écrire, de lui écrire la prend et c'est avec le doux ressac des vagues et cette agréable sensation qu'elle se mit à écrire:

"Mon tendre Amour,

...........................

Je t'aime

Ta san"

sa lettre fini elle l'a relie, satisfaite et avec un grand sourire, lui envoie.[/b]

Sanpif6669

Mon coeur, tu es la!

San se lève et lui saute au cou, l'embrasse tendrement.

"déjà si tard? tu es arrivé depuis longtemps? allé on va a la taverne!"

Pol et San se rendent main dans la main a la taverne

Sanpif6669

San s'étant réveillée tot et pol dormant encore, viens au bord de la mer, a la crique, s'assoie, regarde avec plaisir l'horizon et sa beauté au leve du soleil, les bateaux de pèche au loin faisant ombre,le va et viens insessant des vagues.

"que c'est beau! appaisant! Bienfaisant pour l'esprit!"

Un petit frisson de frais secoue San, mais devant cette étendue de beauté, reste là assise, pense a son amour, sa vie! A elle!
Elle fini par recroqueviller ses jambes, mettre son menton sur ses genoux restant à ses pensées, sourit à celle qui ne la quitte jour et nuit, mais qu'elle compte garder à vie.

Se faisant, voyant le soleil se dit qu'il devait etre tard et devait rentrer avant que son amour se reveil et ne s'inquiete de ne la voir.[color=darkblue]

Blackcrow

Je veux bien m'asseoir à côté de vous mon amie et pour ce qui est de la dureté de votre banc, ne vous inquiéter pas depuis le temps que je pêche , mon arrière train est aussi dur que ce rocher.
A ce que vous me dite, vous attendez une apparition.
Il est bien dommage que mon embarcation ne puisse accueillir qu'une seul personne , sinon saurai été avec un grand plaisir que je vous y aurai emmener les voir.
A chacune apparition de leur part, mon esprit était plus léger et leurs chants je ne vous dit pas, un enchantement pour les oreilles avides de jolis mélodies.
Un jour peut être aurez vous le plaisir de les rencontrer.

Maintenant , il y a une légende qui dit qu'il a que les hommes qui puisse les entendent.

Blackcrow savourait ce moment auprès de Perl, il y avait si longtemps qu'il ne s'était octroyer une pause.

Sanpif6669

San arrive à la crique trouvé, elle est heureuse, enfin la mer, pouvoir plonger dedant, sentir l'eau sur elle.

Regardant autour d'elle, ne voyant personne, la mer étant calme,elle se déshabilla et plonge dans l'eau fraiche, elle l'a sent sur elle, se mit a nager, nager pour évacuer, se liberer de tout pour un moment, penser, penser a son amour et nager, nager jusqu'a plus pouvoir, quel délicieux instant!

Elle regagna la crique, sans se presser prolongeant se moment de communion avec l'eau fraiche, les vagues, douce sensation! Vérifia que personne se trouvait à la crique, sortie et se sécha, se rhabillat.

Elle s'éttend sur un rocher, regarde la mer et le va et viens des vagues et pense, pense à sa vie, passé, mais surtout présente et futur, à ses amis mais surtout a Pol, qu'elle aurai aimé qu'il soit là, à ses cotés, quelques heures qu'ils se sont quitté et il lui manque déjà depuis la première minute. Elle se met a écrire en pensant à lui.

Noesanspol

pol revenant de cette journée harassante si mis an quête de son adoré..il la chercha dans les tavernes ..dans le village !!! en vain!

ne la trouvant nul part il commence a être inquiet !! Un sourire une pensée
le dirige vers la plage .voyant enfin son adoré sa san occupée a écrire il s'approche doucement d'elle lui mis ses mains devant les yeux et lui murmura je t'aime mon amour

Perl

Le bruit de pas du sir était étouffé par les vagues qui chantaient devant elle c’était donc avec un sursaut qu’elle c’était retourné pour y apercevoir Blackcrow . Un sourire était alors apparu sur son visage.

Bonjour cher ami, un jour un pêcheur m’a dit avoir vu des sirènes en mer, comme je suis curieuse et sans barque j’ai bon espoir de les apercevoir d’ici. Vous croyez que j’attends pour rien?

Perl lui avait fait un clin d’œil de complicité pour les histoires préféré du pêcheur sur les sirènes.

Si vous n’avez pas peur du siège du pour vos fesses je vous fais une tite place près de moi, peut-être qu’en vous reconnaissant ses sirènes voudront bien se dévoiler à moi qu’en pensez-vous?

Pour approuver ses mots Perl avait laissé place sur la roche qui lui servait de banc. Il y avait si longtemps que remontait leur dernier fou rire ensemble juste à évoquer ceux-ci dans son esprit et la bonne humeur revenait toute seule.

Blackcrow

Il y avait fort longtemps que je n'étais point venu sur cette plage.
Arrivé à la plage, je remarquais d'étrange trace sur le sable.

Étais ce celle d'une étrange créature encore inconnu de tous.
Foi de pêcheur , je pris mon courage à deux mains et décida de les suivre.

Il est vrai que depuis quelque jours il m'était arrivé de voir des sirènes sur les flots du lac.

Peu à peu les traces devenaient de plus en plus fraîche, je m'approchai d'elle.
Le coeur battant de plus en plus fort à chaque pas qui me rapprochai de mon but.

Je fis un arrêt quand j'aperçus au loin une silhouette .

Je me mis à me frotter les yeux, non ce n 'est pas possible , on dirai une des sirènes que j'avais croisé ce matin.

Ce n'était donc pas un rêve, elles existent.

Ayant surmonté toute mes craintes , je me mis a courir vers cette silhouette si gracieuse perché sur son rocher.

Arrivé à sa hauteur, quelle fut ma surprise quand j'aperçus perl mon amie depuis mon arrivé à bertinourt.

Mais que faites vous donc ainsi seul sur ce rocher?

Perl

[à l’entrer de la plage rocailleuse]

Peu de temps, toujours à la presse, mais son bras fracturer avait l’avantage de lui permettre de faire des choses qu’en temps normal elle ne faisait plus, non pas par manque d’intérêt mais bien plus par manque de temps.

Ses pieds traînaient sur le sable sans bruit, une longue trace marquait son passage, un regard vers l’arrière et son sourire reprenait. Un petit saut, rien de trop grand car le choc lui tirait une grimace de douleur, la trace se coupait.

Elle avait marché quelques minutes ainsi le cœur léger, il était revenu…

La plage avait un espace plus rocailleux ou les vagues s’amusaient à se fracasser avec force dessus. Un peu plus haut Perl s’était assise pour laisser le vent marin lui caresser les cheveux.

Mille et une pensées la tourmentaient,

S’il était revenu et qu’elle n’était pas celle qu’il espérait…

Elle avait chassé cette pensé d’un hochement de la tête tout en observant l’horizon…

Noesanspol

pol s'approcha de la crique ou il avait eut la grande joie de rencontrer Nymphoria...un sourire au visage rayonnant de bonheur.

Il regardas autour de lui le vent de cette fin septembre commencé a devenir bien frais ..ne voyant personne il se déshabilla et pénétra l'eau froide le fit frissonner, il plongea et nagea jusqu'à se rocher il agrippas le bord grimpas et s'allongea sur le roche dur et rugueuse .il se mis a pensé a son amour sa san adoré il sourit et s'endormis .....

Sanpif6669

san arrive a la crique de nymphoria pensant y trouver pol.

mais c'est a pol!

regarde autour d'elle, dans l'eau, personne. en scrutant plus loin elle voit une silhouette sur un rocher.

a ben c'est bien lui!

[/b]san après avoir scruté les alentour, se dévéti et alla rejoindre son amour.
Le voyant endormi, elle lui fit de petit bisous, et l'observa tout à loisir ne voulant pas le réveiller.

san pensant "[color=darkblue]que je l'aime, ne veux pas te quitter pour tout les écus du monde.[/color]
me s'allonge pres de lui et continu a l'observer, fini par s'endormir aussi
[/b]

Sanpif6669

N'ayant personne en taverne a cette heure, san va se ressourcer au bord de la mer. Venant de recevoir une missive de son tendre Pol, missive qui l'a émue, mais lui a rappeler des souvenirs heureux et tristes.
Elle s'assie et regarde le coucher du soleil.

Que c'est beau! je ne me souvenais pas! mmmmm!

San trouvant de l'inspiration prie un morceau de parchemin et se mit a écrire. Ses pensées vagabonde, elle écrit tout ce qui lui passe par la tête, ses souvenirs ses rèves, son désirs et surtout pour son amour.[/b]

Noesanspol

pol regarda Nymphoria et la jolie couleur qui lui teintée le visage ..un sourire se dessina sur ses lèvres ...tu et superbe pensa t'il.

tient ma sirène prends ma chemise elle et sèche..

pol recouvris les épaules de sa belle et en profita pour lui glisser un baiser dans le cou..

Sanpif6669

Nymphoria redevenu san frissonne de plaisir et sourit a son beau prince.

elle ramassa ses affaires et partie avec pol après l'avoir embrasser passionnément.

Aalanae

Nabel était arrivée depuis quelques heures dans sa ville natale. Après avoir cédée ses champs et sa maison, elle prit la direction de la plage. Cette plage qui lui avait tant manquée.
Ce lieux l'avait attirée comme un aimant, alors qu'elle s'apprêtait à faire une surprise à Pallanen.
Se laissant tomber de son cheval, les rènes à la main, les pieds dans l'eau, la blondinette de dirigea vers la falaise.
Un peu plus loin, trônant dans le sable humide, se dressait la maison de Tsampa.

Nabel ne c'était séparer de son amie que depuis quelques jours et cela lui était déjà insupportable. S'approchant doucement, elle laissa son cheval libre quelques instants, et se dirigea vers la porte.
Frôlant du bout des doigts le bois, Nabel fut parcourut de frissons!
Qu'est ce que Tsampa éprouverait elle devant cette maison qui lui avait apporter bonheur et malheur, mais qui lui avait permis de vivre tant de bons moments en compagnie de son mari, feu Asr ...

Une larme coula sur sa joue, que le vent balaya aussitôt.
Les mains de chaque côté de ses yeux, Nabel se pencha à la fenêtre essayant de voir quelque chose ...

Les meubles étaient toujours là, la grande table en bois et les bancs au milieu de la pièce ...
Poussant la porte, qui s'ouvrit comme elle se l'y attendait, la blondinette pénétra dans la demeure.
Le propre avait laissé place à la poussière, les araignées avaient pris possession de la demeure.

Des tasses au fond moisi, et des herbes un peu partout sur la table était signe d'un départ précipité, la couche témoignait encore du mal qui avait rongé Tsampa pendant quelques heures...

Au pied du lit, un caillou, surement un cadeau de son Tsampa à son époux ... Un sourire naquit sur ses lèvres, elle le ramasse et le mis dans sa besace.
Parcourant la maison, puis s'asseyant sur un des bancs, Nabel repensa au passé, douloureux pour tous, et plus encore pour Tsampa.
Sa main effleura une chemise, chemise masculine. La secouant, Nabel la glissa prêt du cailloux ... prenant tous ce qui pouvait entrer dans sa besace et qui ferait surement plaisir à Tsampa, la jeune fille prit la chemin qui la mena bien vite sur la plage. Refermant la porte, qui ne serait plus jamais ouverte ni par elle, ni par la propriétaire, la blondinette alla regagnait son cheval, et pris la direction de la forêt...

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Noesanspol

pol s'approcha de l'eau et aperçut sa douce san prés des rochers..

ha ma san j'arrive le temps d'enlever ma chemises ..

pol entra dans l'eau nagea ..vers san sur son rocher descend ma san dit t'il avec un sourire j'aimerais embrasser Nymphoria...

avec un grands rire nymphoria sauta dans l'eau .embrassa pol et tous les deux se mires a nager vers le large dans de grands éclats de rires et de multiples eclaboussures

Sanpif6669

nymphoria est ivre de bonheur, revenant sur la plage avec pol, elle se rendit compte qu'elle avait laissé ses affaires un peu loin, et....

"pol, tu peux me donner ma serviette s'il te plais. il y a un petit soucis"

nymphoria devint écarlate.

Garchcroc

En revenant de la pêche Garchcroc passa par la plage où il aimait tant se promener avec Aubrée.
Soudain il aperçu sur le sable un objet en bois qui ressemblait à une rame;
Il s'approcha et s'aperçu qu'il avait raison il la pris et vis des lettres gravées : v = (Im(f*)df/dx)/|f|²

Qu'est que cela pouvait bien signifier ?

Sanpif6669

Etant habituer a aller sur la plage de fécamp, san trouva un réel plaisir en arrivant a y aller pour se reposer, elle trouve un endroit bien tranquille afin de s'étendre, le soleil n'est pas encore levé, elle regarde donc le ciel étoilée et pense a tout les évènements de ses dernières semaines.

Finalement, se dit san, je fais bien de tourner le dos a ma vie d'avant, peut etre y retournerai-je un jour, mais pour l'heure je pars devant moi.

Sur ces dernières pensées, san fini par s'endormir profondément, fatiguée de son voyage et de toute cette tension accumulée des dernières semaines.

Sanpif6669

San arrive avec ses affaires a la petite crique qui se trouve a l'abris des regards pour présenter nymphoria a pol.

Quel surprise il va avoir! Quand il va savoir! San rit a cette pensée.

San disparait dans l'eau après s'etre déshabillé ne gardant que sa chemise, nage un peu, sens l'eau glisser sur elle et fini pas ne plus penser.

[/i]"mmmmmmm, quel délice!"

Enfin voilà Pol qui arrive. Nymphoria lui fait un signe en l'appelant. Mais prend garde de rester dans l'eau. Elle l'appel.

"Pol! Je suis là!

Le regard rieur, elle l'interpelle et lui dit:

[i]"je ne peux aller plus loin, rapproche toi des rochers, je viendrai vers toi, ou alors rentre dans l'eau, mais attention elle est fraiche"

Alessandro_

La charmante donacella lui avait parlé de l’endroit. Elle lui avait présenté l’endroit comme reposant, idéal pour y dormir. Sortant de la taverne le baluchon sur le dos, Alessandro la trouva enfin après quelques minutes de marche. S’approchant doucement, il sentit le vent et l’air de la mer emplir ses narines. Son esprit se souvenir de ce passé…

La plage n’avait rien de comparable à celle de ses souvenirs mais il trouva l’endroit bien pour y passer la nuit.
Posant son sac au pied d’un rocher il s’y installa. Le dos contre la pierre et les yeux scrutant l’horizon, il se laissa aller à quelques rêveries, tout en plongeant la main dans son sac qui devait bien cacher une bouteille volée a un dormeur saoul.
La débouchant, il sentit le breuvage qu’elle contenait et le gouta à même le goulot. Se délectant de quelques gorgées, il était fin prêt à passer la nuit dans le sable.

Mungaud

Se réveilant lentement dans le campement militaire, Mungaud constata que sa Douce était sortie très tôt ce matin là.

En se préparant pour rejoindre ses supérieurs, il vit un billet sur la table. Callima était partie se promener sur la plage. Il sentait encore son parfum dans la tente. D'un pas décidé, il se dirigea pour la rejoindre. Il savait que les jours ensemble allaient être entrecoupés et donc que chaque moment libre devait être plus intense. De longs moments de séparation les attendaient...

Le jour était déja clair, il n'eut pas de mal à la retrouver allongée sur le sable, dévétue et endormie. Il s'approcha doucement d'elle. elle était si belle, si innocente dans son sommeil.

Il s'allongea près de sa Douce. Ses yeux brillaient de bonheur de la voir si serreine. Sa main s'approcha de son visage mais par crainte de la réveiller, la caressait à distance.

De peur qu'elle n'eut trop froid, il retira sa chemise et la posa sur son corps frêle et encore humide. Il lui sourit et déposa sur son épaule un doux baiser. Il resta là immobile, admirant son visage, sentant sa respiration apaisée. Il lui sourit en lui souhaitant de jolies rêves....

Fantomette74

Callima sentit quelqu'un ou quelque chose effleurer son épaule. Elle ouvrit les yeux et vit Mungaud allongé près d'elle:

Bonjour mon Amour

Elle s'étira et se rendit compte qu'elle était nue, il avait posé sa chemise sur son corps. Elle essaya de prendre ses vêtements, mais ils étaient un peu loin.

Tu pourrais me passer mes vêtements, s'il te plait

Le jour se levait, une vague pudeur l'envahissait. Elle rougit de se voir nue, là sur le sable.

La mer reprenait ses droits sur la plage, s'il n'était pas venu, elle se serait réveillée encerclée d'eau.

Comme il ne bougeait pas et la regardait en souriant, elle se leva et s'habilla rapidement en lui disant:

Je ne connaissais pas le plaisir d'un bain de mer, il faudra que l'on revienne. J'ai trouvé çà agréable.

Par contre.. je n'aime pas du tout le goût de l'eau.

Elle grimaça et éclata de rire.

Elle lui prit la main et l'entraina vers le village avant que l'eau ne vienne leur lécher les pieds.

Garchcroc

Gharcroc décida de passer par la plage avant de rentrer chez lui, il passa à coté du rocher où ils s'étaient rencontrés ce matin, il sentait encore sa main dans la sienne.
il accéléra son pas, il ne voulait pas être en retard !

Aubree_du_meslay

Aubrée se troubla légerement , même si ce geste etait amical , elle n'etait pas habituée a tant de tendresse et de sollicitude.

Elle lui laissa malgré tout , volontiers sa main et ils discuterent de tout et de rien , pendant très longtemps ....
Jusqu'à ce que leurs obligations de la journée les rappellent à l'ordre , le travail ne manquait pas et ils avaient fort à faire .

Finalement ils se leverent et reprirent le chemin de leurs habitations respectives.
Ils prirent rendez vous pour le lendemain en fin d'après midi , afin de peindre en bleu les volets de la petite maison de Garchcroc .

Fantomette74

Callima avait repris le chemin de Bertincourt ce soir là.
Elle savait que le voyage serait agréable, Mungaud l'avait prise en croupe sur son cheval.

Ils étaient arrivés tôt à Bertin.
Après avoir mis le destrier au pré, Mungaud avait envie de se reposer un peu.
Ne trouvant pas le sommeil, elle partit dans Bertin, fit un petit tour au grenier mais n'y trouva personne.
Le chantier de la maison de Maya était bien calme, il faut dire que le jour n'était pas encore levé. Tous avaient bien travaillé depuis son départ. La maison avançait vite. Maya devait être heureuse de voir "son nid d'amour" prendre forme.

Elle, se dirigea vers la plage, jamais encore elle n'y était allée. La mer, pour une Périgourdine, avait quelque chose d'inquiétant: un grondement perpétuel, l'eau qui mange la terre deux fois par jour.
Elle qui ne connaissait que les rivières, certes parfois tumultueuses, était un peu impressionnée.

Elle arriva sur cette immensité de sable... mais où est donc la mer?
Elle était presque déçue, il n'y avait point d'eau!

Elle avança cependant sur cette étendue de sable. Elle quitta ses chausses, la marche était difficile sur la plage.

Le contact frais du sable la fit frissonner.

Elle avança un long moment lui sembla-t-il avant de sentir le sol humide sous ses pieds. Elle avait l'impression que ce sable gorgé d'eau allait l'avaler toute entière. La sensation était étrange.

Elle arriva enfin au bord de l'eau. Des vaguelettes venaient lui lécher les pieds, l'eau était fraiche. C'était bien agréable après cette nuit à voyager.
L'envie de prendre un bain fut très forte.

Elle alla se dévêtir là où le sable était encore sec. Elle revint en courant vers les vagues.

Elle eut rapidement de l'eau aux genoux, les vagues se faisaient un peu plus fortes. Elles l'empêchaient d'avancer aussi vite qu'elle le désirait. Elle osa pourtant tenter quelques brasses. Il était moins aisé de nager que dans le lac mais la sensation était aussi agréable.

Elle resta longtemps à se rafraichir, l'eau qui lui passait de temps en temps sur le visage avait un goût salé qu'elle ne connaissait pas et qu'elle en trouva pas très agréable.

La mer... c'était donc çà!!!

Elle sortit de l'eau et alla s'étendre sur le sable. Le bain qu'elle avait pris l'avait un peu fatiguée, rapidement elle s'endormit.

Garchcroc

Il avait eu l'envie de se lever tôt ce matin, la nuit avait été douce et pour la première fois depuis des années sereine et pleine de rêves.
le spectacle de la mer lui était l'avait toujours aidé à se ressourcer, et aujourd'hui les vagues venant mourir sur la plage lui rappelait les ondulations d'une longue chevelure blonde "il sourit en pensant à cette image"

il n'y a pas si longtemps il n'aurait même jamais imaginé une telle rencontre, que son cœur puisse s'éveiller ainsi

Soudain il entendit son nom !

Il se retourna et oui c'était elle, il avait l'impression que les vagues murmuraient son nom "Aubrée"

Ma douce amie, qu'elle joie de te revoir, ta présence est pour moi comme un rayon de soleil.

Il s'assit à coté d'elle et lui pris doucement la main.

Garchcroc

Après avoir pêché toute le journée Garchcroc décida de se promener sur la plage pour apercevoir les derniers feux du soleil.

Il aperçu des traces de pas que la mer commençait à effacer

"A qui pourraient-ils appartenir" "peut-être est-elle venue elle-aussi" et il l'imaginat ses pieds nus dans le sable

Aubree_du_meslay

Toute à ses rêves et ses pensées , Aubrée regarda machinalement sur sa gauche et aperçu un petit point noir se rapprocher.
Encore quelqu'un qui vient mediter et se promener sur la plage se dit elle .
Elle s'amusa a regarder grossir la forme jusqu'a ce qu'elle distingue l'ombre d'un homme.

N'etant pas très à l'aise avec la gente masculine , elle avait le souvenir douloureux de ses attaches sans reciprocité .
Heureusement que le ridicule ne tue pas se dit elle car elle avait fait fort avec l'ancien Comte d'Artois.
En se rappellant ce petit intermede et ce coup de coeur à sens unique , elle rougit légérement de sa naiveté et se surprit a en sourire moqueusement .

Heureusement qu'elle avait vu clair et avait coupé court avant qu'elle ne se rende ridicule , un desastre avait été evité , elle n'aurait pas voulu gouter à la fine lame de la compagne jalouse de ce Messire , chose qu'elle avait appris recemment , à son retour du couvent .

L'homme s'etait rapproché pendant que l'esprit d'Aubrée vagabondait et elle commença a distinguer ses traits ... Son coeur fit un bond dans sa poitrine et une grand joie transfigura ses traits lorsqu'elle le reconnu .... Garchcroc ..... Souriante , elle lui fit signe de la main et l'appella .

Hou hou !!!! Garchcroc !!! Qu'elle joie de te voir ici mon ami !
Tu viens aussi te balader et admirer la mer ?
Viens donc près de moi , nous pourrons discuter un peu .

Se rendant soudain compte que son ami voulait peut être rester seul , elle rougit legerement et s'excusa.

Euh!! Excuses moi .... Si tu le veux , bien evidemment , je ne t'obliges à rien .

Lui faisant une petite place sur le rocher , elle le regarda de ses yeux verts emeraudes et lui fit un large sourire .

Aubree_du_meslay

Aubrée après avoir trouvé du travail pour la journée , decida d'aller faire une petite promenade sur la plage .
Celà faisait un moment qu'elle n'y etait venue , sa retraite avait été bien longue ...
Arrivée sur la plage , elle enleva ses chausses et ses pieds s'enfoncèrent dans le sable chaud .
Un sourire elargi sa bouche et ses yeux verts etincellerent de joie.
Ces moments de communion avec la mer avaient toujours eu une grande importance pour elle .
Un reste de sa vie en Bretagne surement ... Elle songea à son ami Modano dont elle n'avait plus aucunes nouvelles depuis quelques mois , elle esperait que tout allait bien pour lui et que sa compagne et sa petite fille le comblait de joie.
Elle se promena longuement , marchant dans le sable mouillé , les vaguelettes venant mourirent à ses pieds , telle une gamine , elle sautait parfois dans les petits trous d'eau s'amusant à s'eclabousser et riant aux eclats...
Apercevant un gros rocher , elle alla s'assoir dessus et s'offrit aux rayons du soleil .
Perdue dans ses pensées , elle regardait la mer , un petit sourire esquissant ses lèvres ...

Yoshilas

Yoshi tout a son habitude de venir se reposer dans un recoin près des petites dunes vit passer la jeune femme qui avait pris un bain quelques minutes plus tôt. En la voyant passer il releva la tête et soupira …

Jolie fille ma foi,

Il reprit par la suite le cheminement de ses pensées en changeant un peu de position.

Bon alors ces chiffres de la mine d’or c’est pas fameux. Le filon est devenu bien pauvre, et si on commençait une nouvelle galerie dans ce coin là. Mouais c’est a tenter , je vais en parler au Comte…
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Ewylan

Ewy revint enfin sur la plage. "Ca y est, enfin... Il était vraiment temps" pensa-telle.

Elle était venue sans ses enfants, leur père étant revenu et s'occupant d'eux. Palla... C'était par sa faute qu'elle était venue la première fois sur cette plage ! Il avait disparu elle ne savait où pendant presque un mois, la laissant seule avec Lucie et Edwin. Ewy avait eu de sombres idées pendant ce laps de temps et il était revenu à temps pour l'aider... Maintenant, la jeune femme était heureuse: il était près d'elle, elle revoyait bon nombre de ses amis en taverne, et recommençait à boire en s'amusant, chose qui ne lui était pas arrivé depuis bien trop longtemps !! Mais là, elle avait besoin d'un petit instant à elle seule.

Elle regarda tout autour d'elle et ne vit personne à l'horizon. Elle sourit; la plage lui offrait ce qu'elle voulait... Elle marcha longtemps, ses pieds nus s'enfonçant dans le sable fin. Puis elle se rapprocha des petites vagues d'eau qui venaient s'échouer le long de la plage. Elle y trempa ses pieds, savourant la caresse et la douceur de l'eau. Celle-ci était si bonne qu'Ewy désira s'y baigner.
Elle regarda une nouvelle fois autour d'elle pour voir si quelq'un s'approchait puis, ne voyant toujours personne, elle se déshabilla et rentra tout doucement dans l'eau. "Elle est moins chaude d'un coup..." se dit-elle. Ce n'est pas pour autant qu'elle en ressorti. Elle avança petit à petit jusqu'à ce qu'elle ne touche plus le fond puis se mit à nager.
La fraîcheur de l'eau et les rayons du soleil lui donnait un sentiment de bonheur depuis longtemps oublié...
Elle nagea énormément mais la fatigue s'empara d'elle et elle finit par sortir de l'eau. Elle s'allongea sur le sable fin pendant un moment pour se sécher et bronzer.
Elle s'endormit et ne se réveilla qu'une heure après. Elle se releva, enleva le sable collé à elle puis remit ses vêtements. Elle retourna sur ses pas.
La soif la tenaillait et elle décida d'aller en taverne boire une demi-douzaine de verre.
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Yoshilas

Yoshilas arriva sur Bertincourt de bon matin, il passa dans sa cabane en lisière du bois, déposa ses affaire et regarda la poussière accumulé.

Bon ce n’est pas gagné, va falloir que je nettoie tout ca, mais avant mon petit Yoshi, la mer t’attends et tu vas bien y trouver un désespéré a sauver.

Il sourit, se change pour revêtir des affaires un peu plus propres et en accord avec son statu de CAM d’Artois. Il époussette quelque peux tout ca et sort.

Bon je fais un tour à la plage et après direction la taverne et la maison de ma douce Oceane.

Il en profite pour saluer son voisin messire Horst de son état.

Heyy salut Yoshi, alors parrait que tu as pris du galon !!
L’homme affiche un grand sourire et pose deux doigts sur son épaule pour réaffirmer ses dires.

Yoshi bombe le torse, passe la main dans ses cheveux.

Que veux tu vil manant, tu sais a qui tu adresse la parole maintenant.
Il le regarde avec un air couroucé et pas de bon augure.

Horst lui répond tout penaud
Ben a Yoshi non ?

Yoshi sourit, s’approche et lui serre la main chaleureusement.
Ben oui, je n’ai pas changé et ca risque pas, aller faut que j’y aille je repasse te voir plus tard.

Yoshi s’éloigne en li fessant un signe et se dirige vers la plage.

Arrivé sur la plage il se posa au sommet d’une petite dune et se mit a regarder un cavalier avançant a vive allure dans l’écume des vagues.
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Korridwenn

Le littoral... La fraicheur de l'air marine sur son visage, le sel qui lui séchait les lèvres... Depuis combien de temps n'y a t elle pas goûté? Depuis combien de temps, ces pieds nus n'avaient pas foulé le sable humide?

D'une légère pression sur les rennes, la jeune femme arreta son cheval. Celui-ci piaffa, visiblement impatient de se lancer au galop sur le sable.
La cavalière le retint pourtant, partagée, indécise, pensive.
Tout était si clair dans son esprit pourtant, mais comme pourrait l'etre un rêve tenace. Une vie passée, une page tournée... Tout ceci avait disparu avec la marée.

Mais alors, que faisait elle là? Qu attendait-elle?
Machinalement, elle tourna son regard vers l'ouest et plissa les yeux, comme si elle pouvait survoler les lieux jusque là-bas.

La Normandie...

Lorsqu'une bourrasque de vent lui balaya le visage, elle ferma les yeux et huma l'air. Il semblait contenir les odeurs d'antan, de son chant s'évadaient les musiques de ses souvenirs. Un sourire nostalgique s'afficha sur ses lèvres. Qu'est elle donc venue chercher...
Entre ses jambes, elle sentit la nervosité de sa monture et se refusa de la retenir plus longtemps.
D'un cri engageant, elle le lança au galop sur la plage. Elle s'approcha du bord de l'eau, là ou les vagues venaient s'évanouir. Si elle prenait vers la gauche, elle rejoignait un groupe de pique-niqueurs. Elle prit donc a droite, histoire de défouler son cheval avant de, peut etre, s'approcher. Sous l'effet de la vitesse, sa capuche glissa et défit le chignon serré qui retenait son indomptable chevelure. Ces boucles brunes s'envolaient derrière elle tandis qu elle encourageait le puissant animal à doubler de vitesse, ce qu il fit sans se faire prier.

Lorsque l'écume de la mer se mélangea avec celle de la transpiration du cheval, Korri décida de rebrousser chemin et de calmer sa monture. Au petit trot, elle fit donc demi-tour et s'approcha de l'attroupement.
Arrivée à bonne distance, elle mit pied a terre et continua à pied, histoire de ne pas effrayer les enfants. Un sourire avenant aux lèvres, elle tenta de dissiper son trouble pour se présenter.

Bien le bonjour!

Ewylan

Ewy arrivait sur la plage en tenant Edwin dans ses bras et en surveillant Lucie qui courrait plus loin devant elle. Elle venait en ce lieu pour se ressourcer et essayer d'oublier... Elle était triste de ne plus trop voir palla ni en taverne, ni à la maison et c'était ses amis qui lui donnaient encore du courage pour continuer et ne pas déprimer !

Elle s'assit sur le sable, en faisant attention à ne pas faire du mal à son ptit bout de chou. Elle enleva avec beaucoup de difficultés ses bottes, enfouit ses pieds dans le sable et respira à pleins poumons l'odeur de la mer... Elle regardait les vagues léchaient les pieds du sable et le soleil se reflétait dans ce gigantesque miroir.
Elle entendit Lucie criait et elle détourna le regard pour regarder la petite: elle courrait après les mouettes qui volaient au ras du sol, un grand sourire aux lèvres.

Fais attention à toi, ma puce, lui cria Ewy en souriant à moitié.
Il n'y avait aucun risque mais elle ne pouvait s'en empêcher... Elle ne voulait pas que sa fille, aux cheveux flottant dans le vent, se fasse mal. Surtout qu'elle n'aurait rien pu faire sur le moment pour la soigner !
Ewy regarda alors Edwin. Elle resta longtemps à le contempler, l'embrassant parfois sur le front. Lucie les avait rejoind et s'était assise pour regarder la mer et parfois son petit frère. Celui-ci se mit à gigoter des mains et le ventre de Lucie criait famine. Ewy se releva et remarqua que le soleil s'était presque couché:

Bon aller, on rentre. Vous avez tous les deux faims et il se fait tard de toute façon...

Avant de partir, elle se retourna et regarda une dernière fois la mer: Faudrait que je revienne plus souvent ! Ca fait vraiment du bien de retrouver ses bonnes vieilles habitudes...
Lucie la regarda sans comprendre mais Ewy na parla plus. Ils rentrèrent en traînant tous à la maison, manger et mettre au lit les enfants.
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Methea

Un sourire vers Oceade, Nodo et Yann qui leur avait adressé un salut. S'asseyant prêt de la nappe que Virbule venait de piétiner. Riant de la voir faire, il fut presque surpris de la voir se jeter contre lui pour mordiller son cou.

Et bien qu'elle vivacité ! Eclatant de rire, il ne put qu'apprécier ce geste de tendresse.

En guise de réponse, il lui lança un regard amoureux puis répondit à sa question.

Et bien j'ai ramené, une tourte de légumes et un gâteau à la noisette.. je crois que j'ai, si je les ai pas oublié mis aussi des parts de fromage de chèvres. Regarde toujours si ils y sont.

Ouvrant le panier en osier recouvert d'une serviette Virbule fouilla puis en sortit un morceau de chèvre. Elle se servit puis donna le panier.
A son tour il récupéra la tourte et la coupa laissant celle ci sur la nappe pour que tous puisse se servir et commença à grignoter ravi de ne pas avoir oublier ses bouchées de fromage. Gourmandise quand tu nous tient...

Les yeux rivés vers l'Ocean qu'il avait réussi à apprivoiser, il soupira. Un retour vers le Maine alors qu'il l'avait quitté c'était bien pour présenter quelques personnes à Virbule. Cependant la route, il en avait encore besoin et peut être resserrait'elle les liens qu'ils avaient créés quelques mois plus tôt. Quelques peu dans ses pensées il ne prit que trés peu part aux conversations. Puis s'y intéressa , les uns et les autres discutant du départ du lendemain.
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Brunehautdartois

Elle avait laissé Arras derrière elle, et ses amis pour rejoindre de nouveau Bertincourt et l'armée "la légion Brune"....
Mais c'est très tot dans la matinée qu'elle était arrivée, et comme à chaque fois qu'elle venait à Bertincourt, elle aimait en premier aller se promener sur la magnifique plage de sable fin, et regarder la mer qui se perdait vers l'horizon...

Le soleil etait dejà haut dans le ciel et ses rayons lui chauffaient le visage, elle trouva une cabane de pecheur un peu isolée, elle profita pour aller s'y changer.
Elle ne voulait apparaitre en ville tout poussièreuse, elle ne garda que sa chemise, et c'est pieds nus et jambes nues qu'elle se dirigea vers les flots pour aller s'y baigner, la plage était encore déserte, personne ne l'y verrait.

brrrrrr....j'avais oublié comme l'eau pouvait être fraiche....

Elle s'aspergea la nuque et les bras, et plongea dans les vagues...Elle fit quelques mouvements de bras, mais n'y resta guère plus de temps, trop frileuse, elle remonta bien vite se sécher sur le sable dejà tiéde, elle s'y allongea, appréciant la quiétude de l'endroit, son esprit se perdit alors dans ses pensées, ses yeux rivés sur le ciel bleu au dessus de sa tête, que seulement quelques nuages de coton blanc traversaient de temps en temps.
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Nodo

Nodo rejoint le petit groupe, trempé de la tête au pied. Il se promit qu'elle le lui paierait un jour.
Il avait décidé de laisser Protocol s'amuser sur la plage, se doutant qu'Amande arriverait à le faire revenir à la raison, et près d'eux.

Il bisouilla presque tout le monde, sauf Yann, Methea et Virbule.

Il ne pouvait se résigner à bisouillé un homme, il donna donc l'accolade à Yann, lui faisant profiter des exploits d'Amande, non sans lui arracher quelques protestations, puis se tourna vers Methea, et après lui avoir fait un clin d'oeil, lui sera la main.
Quand à Virbule, elle eut droit à sa léchouille habituelle.

Il vit Océade s'installer, et fit de même avant de voir un ouragan traverser ce qui allait leur servir de table.

Virbule, va faire un tour à la fontaine nous dire si elle est bonne....et fait attention, il fait jour!!!!

Souriant à Virbule et Methea, il finit de s'installer, afin que d'autres fassent de même, comprenant bien que le seul protocole à respecter ici était qu'il n'y en avait pas.
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Aambre

Oceade regarda les couples s'installaient autour de la nappe.
A la question de Virb, elle se leva pour aller chercher les victuailles que ses amis avaient amené.
Chemin faisant, elle se perdit dans ses pensées, se disant qu'elle avait raison de partir de Berti.. Elle y reviendrait, de ça elle était sure mais pour le moment elle se sentait incapable d'y rester.. De toute façon, sa vie était à Mortagne, son moulin l'attendait, peut être qu'elle se déciderait enfin à briguer ce poste qui la tentait depuis un temps mais qu'elle s'était toujours arrangée, sous des prétextes plus ou moins fallacieux, pour ne pas prendre..
Il était temps pour elle de dépasser ces inquiétudes..
Un soupir s'échappa de ses lévres puis elle prit du pain, du maroille que Tipiou avait amené puis retourna auprés du troupeau..
La journée était belle autant en profiter au maximum et chasser toutes autres préoccupations.

Voilà de quoi nous remplir l'estomac dit elle en déposant le toutPour se désaltérer je demanderais à un de ces messieurs d'approcher une barrique.

Elle s'assit et coupa quelques tranches de pain.. Maladroite comme pas deux ou peut être tout simplement ailleurs, elle s'entailla légérement le doigt.. n'en laissant rien paraitre, elle essuya les quelques gouttes de sang qui perlaient.

Un regard vers Bravache et Angie qui se reposaient de leurs jeux et elle sourit à ses amis..

Veropv

Véro c'étais assise avec ces amies et non loin d'Océade. Elle répondit au sourire d'Océade, un sourire ma fois bien timide, légèrement tristounet mais elle tenta de le cacher ne voulant pas briser ce moment convivial d'au revoir même si elle détesté cela elle ferait contre bonne fortune bon coeur. Elle était allée à l'auberge pour la fermer, déposer les draps blancs sur les meubles, refaire une dernière fois le tour de cette auberge auquel elle avait tant mit d'heure de travail pour la construire, l'aménager.

Elle laissa ses pensées vagabonder et repensait à tous ces mois passé. La rencontre de Yann et d'Océane, Le baptème, Le souvenir de l'anniversaire de Yosh et de Darflex la fit sourire légèrement se souvenant de la surprise de Yosh et la bouche bée de Darf devant tous les préparatifs qu'elle avait fait. Puis le mariage un doux sourire lui vint à ses lèvres mais s'effaça rapidement. Elle regardait ses amies resta un moment sur Virb et Meth elle étaient heureuse pour les deux, Virb son amie de toujours, toujours là dans les mauvais moment comme dans les bons. et puis Meth un ami extra, génial, qu'elle avait eu la chance de retrouver après de long mois ou elle l'avait perdu de vue. Elle regarda le couple non loin de là fut presque genet du regard qu'elle leurs portait. Elle changea de coté pour regarder la plage, et ne pu que s'imaginer le bonheur qu'elle aurait d'être prêt de son mari pour partager ce moment amical.

Virbule

Virbule était arrivée à la main de Methea, un panier dans l'autre. Saluant et léchouillant chacun à son arrivée même

Répondant à Océade avant de lui sourire largement :
Oui M'dame j'ai mon LP pour la Normandie ... par contre euh les affaires, pas tout à fait prêtes mais presque, juste que j'emporte grand nombre de vêtements et ça prend du temps les paquetages ... je sais pas pourquoi !

Puis virevoltant dans le sable non loin du troupeau qui discutait, elle s'amusait comme une enfant à tourner sur elle même en riant et tourner encore jusqu'à tomber étourdie et rester sur le sable le temps de reprendre ses esprits. Assise, les yeux fixé sur l'horizon elle retrouva son équilibre grâce à l'immensité stable de l'étendu d'eau qui se laissait mirer sous le soleil.
Perdu dans ses pensées, envie de voyage de nouveautés et d'imprévus, douleur d'abandonner son village et ses derniers amis encore ici ... Elle resta là quelques instant encore avant de reprendre conscience du monde alentour, retrouver le sourire et prendre place pour le pique nique.

Alors !? Qu'est ce qu'on mange ? dit elle en s'installant près de son Ecureuil après être passé au milieu de la nappe sans nullement se rendre compte qu'elle dérangeait tout le monde.
J'ai une de ces faim ! Je crois que je pourrai dévorer un écureuil tout entier ... A ces mots elle se pencha vers Methea et commença a lui grignoter le cou pas très efficacement puisqu'elle riait en même temps.

Aambre

Elle éclata de rire à l'arrivée de son fillot, celle ci étant digne de lui, elle les bisouilla ensuite tout en aperçevant Tipiou arriver chargé de victuailles. Une fois que ce dernier eut déposé son chargement, elle lui fit une bisouille, le remerciant d'un sourire pour sa présence.
Tout le monde était là du moins tous les voyageurs.. La fête pouvait donc commencer. Le caramel alla vers les nappes disposées sur le sable, se demandant encore pourquoi elle avait eu cette idée.. Elle fuyait les aurevoir en temps normal, mais là elle avait juste envie de retrouver ses amis, de passer cette derniére journée avec eux.. Elle voulait dire aurevoir à Berti aussi sachant qu'elle y reviendrait mais ne sachant pas quand.
Elle s'installa et laisse libre choix des places à ses compagnons de route

Yann_blue

Il n'aimait pas les au revoir et ce serait bien passé que d'assister à ce pique-nique, mais bon il avait promis d'y assister, il ferait donc contre mauvaise fortune bon coeur et puis après tout ce serait sans doute la dernière occasion de voir les habitants de Bertincourt avant quelques temps, hélas.

Alors qu'il s'apprêtait à se rendre sur la plage, il se rappela que bien qu'il avait dit qu'il leur ferait le plaisir de sa présence en guise de présent, c'était tout de même mieux d'arriver avec quelques victuailles que les mains vides, il prit donc naturellement la route en direction du marché, en se disant qu'il trouverait sans doute de quoi satisfaire quelques estomacs sans doute affamés.

La première échoppe qu'il rencontra sur sa route fut celle d'un boulanger, qui en plus de pain habituel avait de délicieuses tartes à différents arômes et il fût bien tenter par l'odeur qui se dégageait de ses dernières avant de se raviser en se rappelant que sa filleule avait dit qu'elle ferait des tartes si l'aubergiste la laissait se servir de sa cuisine et étant donné son pouvoir de persuasion ce dernier avait probablement dû céder et il lui fallait donc trouver autre chose ... il continua donc à flâner parmi les échoppes pendant quelques temps jusqu'à tomber sur un stand où il vit du fromage et plus particulièrement du maroilles, bien qu'en temps normal cela ne lui serait jamais venu à l'esprit que d'acheter ce genre de choses il se laissa tenter en se disant que cela plairait sans doute aux villageois, après tout plus d'une fois il avait vu des personnes en consommer en taverne et l'essentiel était bien d'apporter quelque chose qui pourrait plaire après tout, non ?
C'est pourquoi il se décida pour prendre 10 pavées, n'ayant aucune idée du nombre d'invités prévus, au moins il y aurait sans doute assez .
Il prit soin de demander au commerçant de bien emballer les fromages de sorte à ne pas trop devoir supporter leur odeur, le régla puis prit la direction de la plage enfin.

En cours de route, il profitait du paysage qui commençait a être imprimé dans sa mémoire à force de l'observer et c'est tout tranquillement qu'il arriva sur la plage, il remarquait que comme à son habitude il n'était pas parmi les premiers, mais probablement pas parmi les derniers non plus, tout du moins l'espérait-il, il vit la nappe sur laquelle quelques mets étaient déjà entreposés et y déposa ses achats avant d'aller en direction du troupeau qui se trouvait déjà être sur place.

Il bisouilla sa filleule, Océade et Amande Ca y est me voilà ! désolé je ne suis pas vraiment en avance, mais je ne pense pas être le dernier néanmoins et comme vous l'avez peut-être remarqué en plus je ne suis pas venu les mains vides !
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Nodo

Protocol arriva sur la plage, lancé au galop.
Il courrait gracieusement, se dirigeant vers la mer, puis continua de courir, faisant voler des gerbes d'eau de part et d'autres.

Nodo arriva quelques secondes plus tard, courant en jurant après son cheval
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Amandiere

A l'aise sur le sien Amande arriva à cru au petit galop en maitrisant parfaitement sa monture. Le voyant arriver près du rivage et s'arreter ferme alors que son canasson s'ébrouait dans l'eau, elle fit prendre à sa jument la direction de son ange et entra dans l'écume ... sans ralentir l'allure ... ce qui provoqua de nombreuses éclaboussures ... qui attérirent sur les braies et la chemise de son coeur.

Inutile de protester ainsi ... il fait chaud et lui aussi a bien le droit à un bain ...

D'un éclat de rire elle s'approcha de Protocol et reprit les rênes afin de le ramener sur le sable.

Et voila ... tel cheval tel maitre .... aussi mouillés l'un que l'autre.

Puis elle reparti au petit trot vers ses compagnons de voyages, un immense sourire aux levres.

Coucou les filles .....

Jettant la jambe par dessus l'encolure elle se laissa glisser en entrainant la bride de sa main pour que l'animal puisse re trouver son amie Bravache.

Je suis navrée je n'ai rien eut le temps de préparer ... mais je vous rapporte un homme ^^ ... c'est pas si mal

Veropv

Oceade montra du doigt ou se trouvait le reste des victuailles et ou cette dernière pourrait déposer les panières de pain.

Elle se rendit à l'endroit indiqué et revint auprès d'Oceade.

Elle regardait la plage, la mer et voulait en profité une dernière fois car il se passerait du temps avant qu'elle ne revienne ici.

Elle revint à ses esprits quand Oceade leurs posa une question.

Citation:

Avez vous commencé à préparer vos affaires pour le départ ? Tout le monde à t 'il eu son laissez passer ?

Oui, oui pour ma part mes affaires sont prête et j'ai mon autorisation donc ça roule c'est parti pour l'aventure.

Elle sourit à ses amies et fit une carresse a Féroce qui ne demandait qu'une chose c'est de courir sur la plage.

Elle trouva un morceau de bois et le lança le plus loin possible et eut un sourire en voyant se chien qui avait toujours été là auprès d'elle détaller pour récupérer ce dernier.

Sylvine

Pour la première fois depuis mon arrivée à Bertincourt, je disposai d’un peu de temps, les bêtes étaient nourries, les achats faits et la personne qui devait me seconder embauchée. J’avais grandement besoin de m’aérer surtout après cette nuit peuplée de cauchemars.

Je fermai mon huis et remarqua au passage qu’on emménageait à côté.

Je descendis la rue de la Bénédictine et pris la direction de la plage : rares étaient les passants (un chat, un soldat pressé). Les temps étaient vraiment troublés.

La plage vers le phare était également déserte : seules les mouettes effectuaient un ballet incessant, point de pêcheurs ou de promeneurs. Par contre, la plage menant au théâtre semblait s’animer : une personne se tenait près d’un amas de tonneaux et de victuailles, plus loin des promeneurs et mêmes des baigneurs.

Je me dirigeai vers le phare. Le sable crissant sous mes chausses, le vent jouant avec mes mèches. Arrivée à l’édifice, je m’assis en contrebas, sur un rocher. Où que portait mon regard, la mer était ourlée d’écume. Un sentiment de quiétude m’envahit.
Je fermais les yeux. J’entendais le clapotis de l’eau, entrecoupé de temps en temps par le fracas d’une vaguelette sur le rocher. Je sentais la caresse du vent dans mes cheveux et les embruns sur ma peau. Cette odeur, cette saveur sur mes lèvres me firent chavirer le cœur. Les larmes affluèrent.

Etait-ce une partie de mon passé qui remontait ?

Je rouvris les yeux, les séchai vivement avec la manche de ma chemise. Au moment où je me relevais, une vague plus forte déferla et se brisa. Me voici toute trempée !

Je retournai précipitamment chez moi.

Aambre

Les tartes avaient rejoint les futs et Clody était partie se promener avec Doryanne lorsque Vero, Virb et Meth arrivérent.
Oceade leur fit la bise et leur demanda comment ils allaient.
A la question de Vero concernant les victuailles qu'elle avait apporté, elle montra du doigt -tout en sachant cela pas trés correct- l'endroit où était entreposés les victuailles et la biére.
Elle scruta la plage espérant y aperçevoir le reste du troupeau. La fête ne serait pas totale sans eux..

Avez vous commencé à preparer vos affaires pour le départ ? Tout le monde a t'il eu son laissez passer ? leur demanda t'elle.

Elle regarda ensuite Bravache et Angie qui faisaient une pause, fatiguées sans doute par leurs jeux aquatiques.

Clody

Clody repondit gentiment à Océ que oui elle était prête à partir.

Avec les achats que j'ai fait pour l'un et l'autre j'ai mis beaucoup de temps à faire tout tenir dans ma malle. Shirus l'a d'ailleur trouvé très lourde.

J'ai fait des tartes la nuit dernière, je les met ou?

N'attendant pas la réponse, Clody se dirigea vers le panier de provision et sortit deux belles grosses tartes, l'une aux pommes et l'autre aux petites fruits qu'elle ramena à Océ.

Véro arriva ensuite, Clody en profita pour retourner vers les siens.

Elle avait le coeur gros, une boule se formait dans sa gorge.

Shirus, je vais marcher avec Doryanne un peu, elle est trop grouillante ça lui fera du bien.

A son regard, Shirus savait bien qu'elle avait besoin de marcher plus que la petite pour retrouver son sourire. Il prendrait soin de la petite derniere qui dormait sous l'ombrelle et en profiterait peut être pour faire une petite sieste lui aussi en attendant les invités. Et si Océ avait besoin d'une coup de main pour les préparatifs, il serait là tout près.

Clody retira ses bottes, qu'elle laissa près de la couverture que Shirus avait installé sur le sable. Elle pourrait ainsi marcher sur le bord de l'eau. Elle s'éloigna tranquillement en donnant la main à sa petite princesse.
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Methea

A l'atelier

Oceade leur avait parlé d'un pique nique à la plage, il était justement prévu aujourd'hui. Au petit matin lorsqu'il se réveilla aprés une nuit assez mouvementée, un réveil taverne.. S'étirant, il s'était dirigé à l'atelier de Virbule pour la rejoindre. Sur place, il la trouva encore endormi et patienta en préparant quelques mets pour le pique nique.

Quelques légumes et poissons fumés, deux bons morceaux de pains, et le tout glissé dans un panier en osier. Posé sur la table, il n'attendait plus que Virbule pour se diriger vers la plage.

Un peu de bruit dans l'escalier, voila Virbule qui descend, un franc sourire et quelques mots échangés. C'est en vitesse qu'elle se prépara, l'heure du rendez vous approchait à grands pas. Pendant ce temps la Methea farfouillait dans l'atelier observant les différents travaux en cours, un chapeau, une robe? peut être.. Lorsqu'il se retourna elle était déjà prête le panier en main avec un sourire.

A la plage :

Sortant de l'atelier main dans la main, ils se dirigèrent vers la plage, le petit chemin qu'il avait l'habitude de prendre ensemble assez souvent. C'est sans un mot qu'il profitait du soleil déja bien haut, une certaine chaleur les entourait, l'été était bien là, t ne faisait que commencer. Une belle saison en perspective, sur les routes.. Le pique nique était avant tout fait pour permettre à tout le monde de se regrouper avant le départ. Un peu anxieux de savoir que demain il serait sur les routes, Methea se plongeait dans ses pensées, se remémorant ses derniers mois à Bertincourt.
Les premiers sables se firent, il s'arrêta pour retirer ses bottes. Deja quelques bruits se faisaient entendre, masqués par le chant de la mer, les vagues s'écrasant sur le sable et les mouettes qui jacassaient.

Quelques silhouettes se dessinaient, il les salua de sa main libre l'autre toujours dans celle de Virbule. S'approchant petit à petit, il ne put s'empêcher de jeter un regard à la mer, un bleu azur étincelant sous ce soleil.

Enfin aux cotés des autres, il léchouilla comme à son habitude depuis quelques temps les personnes deja présentes.

Belle journée pour organiser un pique nique ! Voila un début d'aprés midi qui va se vouloir bien agréable.
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Aambre

Oceade perdue dans ses rêveries avait sursauté quand Crysline l'avait salué. Cette derniére repartit presque aussi, laissant les futs de bière à l'ombre et promettant de revenir.
Arriva ensuite Clody et sa petite famille. La jeune Alençonnaise lui rendit sa bise et salua Shirus qui surveillait les petites.

Oui mes malles sont prêtes, dit elle en laissant échapper un soupir. Remarques cela a été vite à les préparer.. Et toi, prête à rentrer à Mortagne ?

Veropv

Véro avait préparé ces besaces elle déposa le tout dans l'entrée de sa maison. et c'était rendu à la boulangerie afin de prendre les deux paniers de miches de pains qu'elle avait fait cuire la veille.

Elle parti quelque temps plus tard avec ses paniers et ce rendit à la plage pour faire ce pique nique d'au revoir à certain Bertincourtois et Bertincourtoise. Certaine personne lui manquerait et d'autre pas du tout. Elle ne savait pas quand elle reviendrait ici sur cette plage, dans ce village, peut être jamais.

Elle se rendit à la plage et y trouva Océade.

Hé! Coucou ma belle comment vas tu?

Lui fait la bise

Bon alors je te met ça ou ma belle?

Elle là regardait avec un sourire et attendit la réponse

Crysline

Crysline arriva comme prévu avec sa chariotte remplie de fûts...

Elle voulait être sure que ce départ soit fêté dignement et que la boulasse règne en reine...

Elle regarda autour d'elle....Hmmm pas grand monde...

Elle finit par voir Océade...

"Coucou Océ je te déposes ça ou?....et ou sont donc les autres pique-niqueur?"

Sans même que celle-ci lui ai répondu,Crys déposa les fûts dans un endroit ombragé qu'elle venait de remarquer....

"Ne prend pas trop attention mais je dois filer je repasserai plus tard..."

Sur ces mots Crysline fila en vitesse....Mais promis elle reviendrait...
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Clody

La nuit précédente

Elle avait demandé à l’aubergiste le droit d’utiliser sa cuisine. Elle n’avait pas le gout de partir, surtout pas le gout de rentrer, les bagages étaient rassemblés et il ne restait que les trucs de dernière minute à ranger.

Les filles étaient déjà au lit, Shirus était sorti quelques minutes dans la soirée pour s’assurer que la chariote était toujours en état. Puis il était venu la rejoindre. Ensemble ils avaient contemplé la ville depuis la fenêtre de leurs appartements. Puis Clody lui dit.

Mon ange, on est bien ici, je n’ai pas le gout de rentrer.

Puis, après un long moment en silence.

Je vais à la cuisine une petite heure, tu veux prendre soin des filles?

Tout en riant il l’avait taquiné lui demandant si elle était enceinte pour avoir faim à une heure aussi tardive. Clody lui sourit pour ensuite ajouter :

Na mais hooo!!!! Deux ce n’est pas assez!!!

C’est que demain, Océ nous attend sur la plage pour un pique nique et je me suis dit qu’une bonne tarte serait bien. Reste à savoir si j’ai perdu la main. J’ai demandé la permission à l’aubergiste et fait quelques courses au marché. Je viens te rejoindre ensuite. Prends soin des filles.

Puis elle était sortie, s’était rendu à la cuisine et s’était mise à la tâche.

C’est le museau enfariné qu’elle était revenue à leur chambre une heure plus tard, fatiguée, elle l’avait rejoint dans le sommeil.

Au petit matin

Quelques couvertures, son ombrelle, un panier de provisions bien garni, de quoi changer les filles, elle était prête. Elle réveilla la maisonnée.

Allez tout le monde debout…. On va a à la plage!!!!!!!

Doryanne toute excité sauta sur le lit, près de son père qui rigola de la voir si heureuse de passer un jour de plus à la plage, comme si elle n’y était jamais allée.

Bras dessus, bras dessous, la petite famille se dirigea vers la plage. Clody remarqua une personne au loin et devina qu’Océade était déjà là. Clody l’interpella, là sortant de sa rêverie.

Océéééééééé…..on arrriveeeee!

Ils s’installèrent rapidement non loin d’Océade que Clody s’empressa de bisouiller ensuite Océade.

Coucou ma belle… alors tes malles sont faites?

Petit soupire.
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Aambre

[HRP : Topic qui RPistiquement se déroule le 1er Juillet, veille du départ du troupeau Alençonnais et de leurs amis Bertincourtois..Il est ouvert à tout ceux qui veulent dire aurevoir aux voyageurs ^^ /HRP]

Le soleil était présent, chauffant Berti de ses rayons. Oceade s'était levée de bonne heure, mais pas forcément avec le sourire, avait rangé ses affaires dans sa malle puis avait été quérir couvertures et nappes en prévision du pique nique qui allait avoir lieu.
Elle se dirigea ensuite vers l'écurie suivi de sa boule de poil et fit sortir Bravache. Cette derniére, sentant un bain de sabots en approche, donna un coup de museau à sa deux pattes pour lui montrer sa joie.. Joie qu'elle montra un peu trop fort manquant d'envoyer son caramel s'écraser à terre. Oceade éclata de rire, fit une gratouille à sa jument puis partit en direction de la plage.
La petite troupe arriva sur les lieux encore déserts et Oceade en profita pour marcher pieds nus au bord de la mer, savourant l'instant. Bravache, elle, prit un bain de sabots en profitant pour éclabousser un peu son humaine ainsi qu'Angie qui courait aprés les vagues..
Les vacances touchaient à leur fin et c'est avec regret qu'elles voyaient le départ approcher mais elles savaient qu'elles reviendraient, un jour, bientot..
Chassant ce petit instant de nostalgie, Oceade toujours pieds nus commença à étaler les nappes sur le sable. Elle laissa les couvertures en tas en prévision pour la fraicheur du soir.
Elle s'assit ensuite se perdant dans la contemplation du paysage magnifique qui s'offrait à ses yeux. Les pique niqueurs allaient bientot la rejoindre et la fête pourrait commencer.

Verya

Le jardin, les grands arbres … le calme, la tranquillité, la sérénité lui manquaient tant …
La baie de Somme s'offrait … ses prés-salés, ses falaises, l'immensité des plages …
C'est sur les dunes, loin de tous et de tout, qu'elle se réfugia … la mer a perte de vue …

Verya s'assit, replia les genoux sous sa chemise trop grande, le menton sur ses bras croisés, les yeux fixés au large ...
elle vit les ombres du passé … non loin d'ici … à quelques lieues …
un arbre gigantesque, un preux chevalier se battant contre d'invisibles forces … elle connaissait ce visage … elle n'était qu'une enfant …
des marais … deux enfants se dirigeaient vers les marais … un cri … "revenez" … une cabane … la besace pleine, un homme souriait … ils mangeraient …
une femme hurle, pleure … les cris d'un nouveau –né … elle se voit blottie dans les bras du chevalier … c'était son frère …
Elle venait de voir sa famille … cette famille dont elle n'avait plus le souvenir … elle ferma les yeux.

Inconsciente, on l'amène à Conflans-les-les-Sens en Champagne ! quelle ironie!
Elle se remémora son arrivée, Ana , Blue, les nonnes … son désarroi, ses interrogations face à la nature humaine … et puis … ce jour …

Ce jour de septembre qui avait changé sa vie … cette merveilleuse rencontre… un prince … son prince …
un regard avait suffit … de ce jour, elle n'avait vécu que pour le rejoindre …

Elle repensa à son rôle de Tribun … à la confiance qu'on lui avait donné … à tous ses filleuls … à tous ceux qui comptaient sur elle …
Puis vinrent les voyages, les espérances, les désillusions et toujours ces mêmes questions … pourquoi l'humain est-il ainsi fait ?

le pouvoir, le despotisme, la domination, le mensonge, l'hypocrisie, est-ce là le propre de l'homme ?
qu'elles qu'en soient les raisons, les motivations, pourquoi se sent il obligé de trahir, de salir, de bafouer, de réduire à néant ?
Peut-il impunément se servir de la confiance, du respect qu'on lui confère?
pourquoi ne pas dire la vérité ? … est-ce si difficile ? … est-il si dangereux que d'être sincère, honnête ?

Epuisée, lasse, aigrie, Verya se releva, dévala la dune, fit provision de galets, s'approcha de l'eau … sourit … elle se souvenait … son frère lui avait appris …

C'était une belle nuit d'été … l'hiver n'avait pas quitté son cœur … ils reprendraient la route …
elle garderait ses rêves et ses secrets … ils tenaient leur promesse, un ami les attendait.
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http://www.univers-rr.com/lengadoc.html

Veropv

Véro venait de quitter la taverne le coeur lourd elle avait vu Darflex et une fois de plus en coup de vent juste l'espace d'un instant , un long instant ou il y avait eu des explications, des mises aux points, des mots qui se sont envolés, des promesses qui ne serait pas tenues.Elle s'en voulait de ne pas avoir su retenir son propre mari quoi qu'il en avait dit c'est ce qu'elle pensait.

Comme une brume qui se posait devant ses yeux, elle sentit les larmes chaudes lui roulé sur les joues, elle avança dans le sable enleva ses bottes et continuait d'avancer ainsi doucement il lui avait crié qu'il l'aimait qu'il ne fallait pas qu'elle l'oublie mais tout ceci n'était que des vint mots, elle se souvenait que sont grand père lui avait dit un jour.

Gamine tu auras du mal à ton petit coeur bien dés fois, tu entendras des gens te dire ceci ou cela, fait ceci ou fait cela, mais Gamine n'oublie jamais ceci. Les paroles s'envolent seul les écrits sont authentique et reste.

Elle c'était assise machinalement su le sable, elle regardait le noir immense que la mer offrait ce soir elle regardait le ciel puis tout ce dégagea peu à peu, elle vit les étoiles apparaitre et le quartier de lune poindre derrière un nuage. Elle se mit à sourire. Et sans qu'elle sache comment ni pourquoi il lui vint une image

Elle partie dans ses songes et commença à fredonner un air de chanson.

Dit moi ma Roze
Le temps à déjà bien filé
Je prends une petite pose
Pour te conter ceci
Et te dire encore une fois Merci
Merci d’avoir été mon amie

Oh ! Oh ! Oh ! Toi mon amie, toi mon amie
Tu as, tu as toujours tes beaux yeux
Toi mon amie, Toi mon amie
Tu aurais pu rendre Vainsyl heureux

Di t moi ma Roze
Toi qui c’est envolé
Toi qui nous à quitté
Toi qui à tant aimé
Nous vois-tu de là haut
Ne vois-tu en nous que le plus beau
Tu n’auras que très peu vécu
Et c’est cette fièvre qui t’aura vaincu

Oh ! Oh ! Oh ! Toi mon amie, toi mon amie
Tu as, tu as toujours tes beaux yeux
Toi mon amie, Toi mon amie
Tu aurais pu rendre Vainsyl heureux

Dit moi ma Roze
Les années on filé
Les rides sur mon visage, se sont dessinaient
Mais mon amour pour toi, n’a toujours pas changé
C’est dans le cœur, que on nom est gravé
Et que j’emporte notre amitié

Oh ! Oh ! Oh ! Toi mon amie, toi mon amie
Tu as, tu as toujours tes beaux yeux
Toi mon amie, Toi mon amie
Tu aurais pu rendre Vainsyl heureux

Je t’aime et t’aimerais à jamais ma Roze

Elle se leva se dirigea vers sa maison, pris sa besace Féroce et part rejoindre le groupe et va faire un tour à Amiens. Changer d'air lui ferait le plus grand bien.

[ Hrp: Titre d'origine de la chanson " Céline" de Hugue Aufray]

Aubree_du_meslay

Aubrée sentit la presence de sa soeur plus qu'elle ne l'entendit , le bruit des pas etant couvert par le roulis des vagues .
elle fut soudain assaillie par Canaille qui lui faisait pleins de lechouilles .
elle rit legerement , serrant contre elle ce petit être qui lui etait si fidele , contrairement aux êtres humains ....

Puis Seshat prit place a côté d'elle et passa ses bras autour de ses epaules .
Aubrée les regarda l'une et l'autre , leur sourit doucement , heureuse de voir que quelqu'un s'inquietait un peu pour elle .

Merci d'être venues me rejoindre , c'est gentil de votre part .
J'espère que vous ne m'envoulez pas de vous avoir inquieté , je m'en excuses , çà n'etait pas volontaire , mais j'avais besoin de venir ici .....

Elles restèrent un moment assises toutes les trois , serrées les unes contre les autres , puis finalement , elles se levèrent et reprirent doucement le chemin de la demeure

Alixane

C'est dans une euphorie indescriptible qu'elle avait quitté Amiens.

Bien qu'elle ait pu sympathiser avec quelques personnes, la désertification flagrante du village l'avait poussée à prendre la route.
Question de survie mentale.
Alix avait profité de chaque bosquet, de chaque détour du chemin pendant tout le temps qu'avait duré ce qu'elle considérait comme une promenade, laissant les ombres de la nuit débrider son imagination, prêtant l'oreille à tous ces bruits générés par la vie nocturne.

Elle était vraiment heureuse, se sentait comme libérée d'un carcan.
Excitation due en partie à la perspective de voir la mer, dont la fraîcheur et l'odeur des embruns lui chatouillaient les sens bien avant qu'ils ne fussent effectifs.
Tout naturellement, elle avait donc accéléré le pas malgré les lieues déjà parcourues, à l'approche des portes de la ville, alors que la brume matinale se dissipait à peine sous les assauts d'un soleil qui faisait sa percée.

Ses réserves d'eau depuis longtemps épuisées, elle s'était, dès les contrôles franchis, mise en quête d'un endroit où contenter son gosier desséché.
A sa grande surprise, l'établissement dans lequel elle entra, avait déjà ses clients, du jamais vu pour Alix qui en serait bien restée bouche bée si ses tendances à bavarder n'était pas si développées.
Elle avait donc pu deviser agréablement et de manière instructive pour la suite de son voyage, avant de les abandonner provisoirement ; elle devait mettre à exécution l'idée qui la taraudait depuis son départ : tremper ses pieds dans la mer!

Guidée par la brise marine, elle eut tôt fait de se retrouver sur cette plage dont le phare trônait en maître des lieux.
Sa retenue vola en éclat tandis qu'elle lâchait sa besace pour délacer ses bottes en un temps record, faisant valser ses bas dans la foulée, avant de courir sur le sable humide léché par les vagues conquérantes.
Peu soucieuse de se mouiller outre mesure, elle barbota joyeusement dans l'eau salée.*il serait bien temps d'attaquer les formalités qui l'attendaient.
Des missives en perspective pour écarter un maximum de problèmes toujours possibles en voyage.
Sauf que les réponses tardaient, parfois, et qu'elle avait la patience parcimonieuse...
Exhalant un soupir, elle dût finir par regagner l'endroit où gisaient ses affaires abandonnées.
Elle se laissa tomber sur le sable, agitant les orteils pour accélérer leur séchage, tout en sortant de sa besace de quoi écrire.

Avec application, elle composa les missives qu'elle enverrait aux Prévôts des Comtés qu'elle devrait traverser, pestant silencieusement contre celui dont elle attendait en urgence le feu vert.
Il ne lui manquerait plus que de s'enquérir des identités respectives des destinataires.
Sa tâche accomplie, rangement effectué, elle s'allongea, mains croisées sur la nuque, l'esprit vagabondant au gré du vol des mouettes, faisant le plein d'optimisme et se réjouissant à la perspective de ses découvertes futures.
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Aambre

Le Caramel avait passé une mauvaise nuit encore perturbée par sa brouille avec son ami de toujours. Intérieurement elle s'en voulait d'être partie en claquant la porte de la taverne.. Mais elle avait été vexé lorsque Tipiou avait classé son calin dans la catégorie des léchouilles. Il savait qu'elle n'était pas du genre à caliner en public.. Cette taquinerie, car le Cara supposait que c'en était une, avait été celle de trop.. et puis le cara avait reçu une pas trop bonne nouvelle de la journée de la part du Duc en place..
Le travail qu'elle avait accompli était déjà mis en péril et cela la chagrinait fortement.
Se levant aux aurores, elle avait vu Virb et avait un peu discuté avec elle. Toujours aussi chagrine, espérant qu'elle se réconcilierait avec son ami, elle prit le chemin de la plage, perdue dans ses pensées.
Elle arriva en bord de mer, accompagnée par sa louve et Bravache. Elle les laissa vaquer à leurs occupations et s'assit sur le sable continuant à songer à cette fin de soirée.. Si seulement son caractére était autre, si seulement elle avait pu retourner à l'auberge pour s'expliquer.. Mais le portier n'avait pas voulu la laisser rentrer.
Un profond soupir lui échappa et elle resta là, se laissant bercer par le bruit des vagues, regardant Bravache qui prenait un bain de sabots et Angie qui courait aprés les vagues.
Trop de pressions avaient pesé sur ses épaules derniérement, elle était fatiguée, prenait tout à coeur.
Ce séjour qu'elle avait souhaité mettre à profit pour se rapprocher de ses amis commençait bien mal.
Un autre soupir et le Cara laissa couler une larme de dépit, se reprenant aussitot.. Pleurer ne servait à rien, restait plus qu'à espérer voir son ami le plus tot possible et s'expliquer sur son attitude de la veille..

Candye

À la plage! Euh... elle n'aurait pas eue cette imprudence à cette heure aussi tardive!

Puis, fixant Seshat dans les yeux, elle comprit que c'était possible surtout lorsque cette dernière hocha la tête tout en lui expliquant que lorsqu'elle avait un chagrin ou le coeur trop lourd, cet endroit était son lieu préféré pour s'y recueillir.

Elle ne dit rien et dressa le bras, main ouverte dans la direction menant à la plage, incitant ainsi Seshat à ouvrir la marche puisque c'était elle qui tenait la lanterne.

Candye ne put réprimer un léger sourire au coin des lèvres lorsqu'elle aperçut Caline se pointer le nez par l'ouverture de la besace laissée entrouverte par Seshat.

Il faisait noir, la nuit étant à présent arrivée. La lune était à son comble dans le ciel étoilé leur apportant une lumière qui les aidait à s'y retrouver. Il fallait faire très attention, le sentier menant à la plage étant escarpé.

Soudain se dressa devant elles, un peu plus loin, le profil d'une jeune femme assise, dont le visage était enfouis dans ses genoux pliés...

Candye reconnue la blonde chevelure de sa soeur. Elle dépassa Seshat, tenant fermement Canaille dans ses bras, puis, arrivée à la hauteur de sa soeur, sans dire un mot, se glissa sur le sable à ses côtés et passa un bras autour de ses épaules avant de déposer un bisou sur sa tête penchée.

Canaille reconnut immédiatement sa maîtresse et sans crier gare, se débattit tant et si bien qu'il se rua sur Aubrée qui relevait la tête, sauta dans ses bras et entreprit de la consoler, se donnant à coeur joie dans des léchouilles interminables...

Seshat qui était arrivée tout juste derrière Candye, s'assis de l'autre côté d'Aubrée et à son tour, sans dire un mot, l'entoura de ses bras.

Aubrée les regarda tour à tour, lorsque les deux femmes venues la rejoindre, penchèrent la tête et l'appuyèrent sur la sienne.

Karan

Candye et Seshat, inquiètes de ne pas voir revenir Aubrée, se vêtirent d'une cape à la hâte et partirent à sa recherche au village.

Candye avait enveloppé dans une couverture la petite Canaille, qui réclamait Aubrée, et Seshat emporté sa petite Caline, bien à l'abri dans sa besace, dont le rabat restait ouvert pour laisser passer la tête de la petite chatte.

Elles partirent munies d'une grosse lanterne, faire le tour des tavernes pour voir si elles pouvaient y trouver leur soeur et amie.

Mais hélas, elle ne se trouvait dans aucune des tavernes, qui étaient déjà presques toutes fermées.

Soudain Seshat fut prise d'une inspiration ... comme elle, Aubrée aimait se promener sur la plage, et par cette nuit étoilée, peut-être qu'elle s'y trouverait. Mais dans ce noir, elle aurait bien besoin de la lanterne pour rentrer. Les deux amies se dirigèrent donc vers la falaise, et descendirent le petit sentier escarpé qui menait à la plage, faisant bien attention de ne pas trébucher.

Candye

Il se faisait tard… très tard! La nuit approchait. Le chien d’Aubrée, Canaille, qui n’était encore qu’un bébé, pleurait, réclamant la présence de sa maîtresse. Candye avait beau le tenir dans ses bras et le câliner pour tenter de le réconforter mais rien n’y faisait.

De plus, elle était très inquiète pour sa sœur. Celle-ci n’était jamais rentrée si tard et il était dans ses habitudes de donner de ses nouvelles, lorsqu’elle retardait pour ne pas que sa sœur s’inquiète inutilement.

Seshat qui s’inquiétait tout autant que Candye, lui proposa de prendre une lanterne et d’aller faire un tour du côté du village. Peut-être qu’elle s’était un peu attardée en taverne et n’avait pas vue le temps passer…

Candye acquiesça à la proposition de son amie. Elles revêtirent leurs capes, enroulèrent Canaille dans une douce couverture et toutes deux partirent vers le village à la recherche d’Aubrée.

Aubree_du_meslay

Sortant de la taverne , Aubrée prit la direction de la plage ....
Elle respira un grand coup en arrivant sur le sable et finit par s'assoir , les bras passés autour de ses jambes et le menton sur ses genoux .

L'esprit completement ailleurs , elle regardait le reflet de la lune sur l'eau .
Tout etait calme , soupirant longuement , elle leva le nez vers le ciel et admira les etoiles .
Cherchant du regard celle qui pourrait être la sienne un jour " sa bonne étoile" ....

Pour le moment elle doit encore être loin se dit elle , le sort s'acharnait contre elle .
A chaque fois qu'elle rencontrait un Messire agreable en taverne , celui ci etait dejà eprit de quelqu'un d'autre ...

Depuis son arrivée à Bertincourt , elle collectionnait les desillusions .
Elle secoua sa longue chevelure blonde et cligna des paupieres afin d'empecher les larmes de couler .
Elle se sentait si seule .....terriblement seule ........
Perdue sur cette plage ....sur cette terre .......dans ce monde ..........

Baissant le visage , elle l'enfouit dans ses genoux et eclata en sanglots , seule dans cette nuit profonde , propice aux amoureux .....

Mayaii

Maya sourit largement à Brune ...

Elles partirent doucement vers le campement militaire...
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Brunehautdartois

Elle etait ravie, Maya avait retrouvé son sourire.
Son cheval s'approcha d'elles, Maya l'enfourcha sans probleme, puis tendit sa main vers Brune.

Elle la regarda un peu empétrée, elle n etait plus montée à cheval, depuis belle lurette, de son retour du Languedoc d'ailleurs, elle en gardait un souvenir...cuisant....son postérieur s'en est souvenu pendant quelques jours.

Bon ben, tu me tiens bien la main, allez..hop....

Elle saisit bien fermement la main qui lui est tendu, et d'un coup sec grimpe sur l'animal, et s'accroche bien autour de la taille de Maya.

Voilà c est bon je suis installée...
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Mayaii

Maya écoutait doucement sa marraine et doucement son sourire revenait.

Merci Marraine tu es merveilleuse pour moi ....

Elle lui fit un gros bisou sur sa joue et se leva ...

Viens je vais te montrer le chemin ....

Elle siffla et appella Tempête ... elle monta sur lui et fit signe à Brune ...

Allez viens...

Elle lui tendit la main.
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Brunehautdartois

Elle la regarde alors en souriant....Elle avait pensé à quelque chose de bien plus grave...

Tu ne devrais pas pleurer alors, il y a tant de femmes qui pleurent car elles ne trouvent pas d'amoureux....Et puis ceux qui t'envoient sur les roses quand tu leur propose ton amité c'est que de toute façon ils ne te méritaient pas, et encore moins que tu leur trouves un quelconque interêt...Les hommes sont bêtes, tu devrais commencer à les connaitre un tout petit peu...

Elle sort un carré de soie de sa poche et lui tend pour qu'elle se mouche.

Sèche tes beaux yeux, ils n'en valent pas la peine ces hommes là, faire pleurer une si belle demoiselle, ils devraient avoir honte.
Tu sais ce que tu devrais faire, te montrer un peu plus distante quelques temps, faire le point dans ton coeur, reflechir à ce que tu voudrais vraiment.

Elle se leve et lui tend sa main, allez tu viens me montrer où se trouve le campement militaire, il est temps pour moi d'aller me presenter au chef d'armée, il doit dejà m'attendre.
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Mayaii

Maya se laissa prendre par Brune doucement et elle se mit à la bercer ... comme une toute petite enfant Maya se lova contre elle, elle laissa aller sa peine contre elle... doucement elle se calma ...

Allons allons, c'est quoi ce gros chagrin....sèche tes larmes tu vas avoir le visage tout bouffi....fait moi un sourire, et raconte moi ce qui te mets en peine...

Maya leva la tête vers elle... étant elle même toute bouleversée, elle ne savait pas trop par ou commencer...

Bah ...

Maya renifla fortement et pris une grande inspiration, elle essuya du revers de sa main le restant de ses larmes, sa respiration était saccadée ...

Mon cœur ne sais plus ce qu'il veut Marraine et de plus, je ne sais pas comment me comporter avec les hommes... cela me fait beaucoup de peine car quand je leur dit que je désire être ami avant tout, bah il me boude et son méchant avec moi ... Ils tombent tous amoureux fou Brune

Maya la regarda complètement désemparées, les yeux tout grands ouverts.

Elle prit la bouteille d’alcool que Brune lui tendit, la leva bien haut et en prit plusieurs bonne lampée.
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Brunehautdartois

Les yeux de Maya se transformèrent soudain en une rivière ininterrompue de larmes, elle pleurait soudain à gros sanglots, sans trop lui poser de question pour le moment, elle la pris dans ses bras, et la serra tres fort contre elle, lui caressant doucement ses cheveux, la berçant telle une enfant que l'on tente de consoler.

Apres un long moment à l'avoir bercée, attendant que ses larmes s'arrêtent, elle desserra son etreinte et la regarda avec un petit sourire, elle lui essuya ses joues trempées de larmes avec le revers de sa cape, et doucement commença à lui parler.

Allons allons, c'est quoi ce gros chagrin....sèche tes larmes tu vas avoir le visage tout bouffi....fait moi un sourire, et raconte moi ce qui te mets en peine...

Elle cherche alors dans son sac qui se trouvait pres d'elle, une bouteille d'alcool de prune, elle en avait toujours avec elle, ça peut servir à tout...desinfecter une plaie...ou soigner un coeur blessé...

Tient ma belle, boit de ça, ça te donnera un peu de reconfort pour commencer!
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Mayaii

Maya regardait Brune dormir et elle trouvait que son sommeil était très agité ...

Soudainement elle ouvrit les yeux doucement et lui fit un large sourire ...

Oh, ma douce amie, tu es là? Je ne t avais pas entendu arriver...j'etais en plein rêve....

Maya lui sourit tristement...

Mais qu'as tu ? ton regard me semble bien sombre !

Maya prit une grande respiration et celà la fit craquer completement, elle éclata en pleure devant Brune ...

Oh Marraine !!!!!

Elle la regarda des grosses larmes roulaient sur ses joues...
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Brunehautdartois

Un grand voilier toutes voiles dehors fit son apparition au loin sur les flots, une barque fut mise à l'eau et en quelques coups de rames elle accosta sur la plage, des hommes parlant l'anglois en descendirent, Brunehaut n'avait rien entendu, ils se jeterent sur elle ce qui la tira de son sommeil, elle eu beau se debattre ils etaient bien trop nombreux et reussirent à l'embarquer avec eux dans la barque, mais lorsqu'ils arriverent pres du bateau elle reussit à leur fausser compagnie en se jetant dans l'eau...La plage etait loin et Brune savait à peine nager dans des eaux si profondent, elle se fatigua vite et commença à s'essouffler, elle buvait la tasse à chaque brassée, son corps irrémediablement s'enfonçait...Elle avait beau tenter de crier à l'aide aucun son ne sortait.....Elle se laissa finalement couler....

Blurps...Blurps....

Elle se reveilla en sursaut...Quel horrible rêve elle venait de faire
Mais par contre une charmante vision s'offrit à elle, sa petite Maya etait assise à ses côtés, qu'elle agrable suprise.

Oh, ma douce amie, tu es là? Je ne t avais pas entendu arriver...j'etais en plein rêve....

Elle la regarda plus attentivement et lui trouva le regard triste, ce n etait pas dans ses habitudes

Mais qu'as tu? ton regard me semble bien sombre!
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Mayaii

Maya avait le cœur gros, ne sachant plus trop comment agir et être, elle sortie de la taverne et monta sur Tempête...

Allez hue hue....

Elle partie avec son cheval au galop pour que personne ne remarque ses larmes et sa peine.... elle se dirigea vers la plage et son phare, elle voulait retrouver la paix et la sérénité...
Un moment d'isolement lui ferait le plus grand bien.

Lorsqu'elle arriva sur la plage, elle prit une grande respiration et ralentie doucement son cheval... elle prit immédiatement la direction du phare... elle connaissait un grand rocher où elle pouvait grimper et voir au loin la mer.

Plus elle s'approchait du phare, plus en dedans d'elle elle se calmait... Elle aperçu coucher sur la plage, une silhouette mais elle ne la reconnaissait pas encore...

Quand elle fut tout près un sourire illumina ses lèvres... c'était sa marraine, sa douce amie et confidente.

Elle arrêta Tempête et descendit de son cheval, s'approchant doucement d'elle.

Elle s'assit sur la plage, juste à côté d'elle... sans bruit, ne voulant pas la réveiller... Elle plongea son regard au loin sur la mer et se remplit du bruit environnant de la mer et du vent...
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Brunehautdartois

C'est aux premières lueurs du jour, qu'elle arrivait enfin en vue de Bertincourt, elle rejoignait le camp de base de l'armée "la Légion Brune", selon ses indication il se trouvait non loin de la plage...
Elle connaissait bien la ville, pour y avoir dejà séjourné à maintes reprises, mais celà faisait bien longtemps qu'elle n'y etait pas revenue.

Le soleil pointait à peine vers l'horizon, qu'elle songea se diriger vers la plage, elle aurait tout le temps ensuite pour se présenter devant la tente du chef d'armée pour se faire recruter, il etait encore bien tôt autant profiter d'aller admirer le lever du soleil sur les flots.

Elle s'installa sur le sable face à l'immensité qui s'offrait à elle, elle s'allongea se reposant de cette nuit de marche, ecoutant le roulis des vagues se deversant sur la plage, elle ferma les yeux, sa peau se chauffant doucement sous les rayons du soleil qui commençaient à poindre, elle ne tarda pas à s'endormir plongée dans un rêve des plus odacieux.
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Veropv

Véro avait trainé en route elle était passé à sa boulangerie, vérifier quelque petite chose. Ensuite elle avait poussé direction la plage. Elle arrêta le cheval de Darflex, elle se posa sur le sable le cheval à coté d'elle, et Féroce qui la regardait attendant le moment ou elle jouerait avec lui. Elle fixa l'horizon,elle se remémora tout depuis un an comme une bande qui passe devant vos yeux, comme lors de son voyage ou elle avait cru que son heure été arrivée. Pour ceux qui connaissait Véro ceux qui étaient de réels amis(es) ceux là pouvait lire en elle rien qu'en la regardant, son regard n'était qu'une fenêtre, la page d'un livre que l'on tourne, pour voir la page suivante. A ce moment précis tout passa dans son regard, le sourire, la colère, la tristesse, l'incompréhension puis la paix était apparu.

Elle avait été tiré de ses songes par une léchouille de Féroce qui s'impatientait.

Elle se mit à lui sourire, se leva et plongea sa main dans sa besace. Elle en sorti un bâton, elle regardait Féroce et avait qu'il ne comprenne elle lança le bâton. Elle vit partir Féroce comme une fusée et se mit à rire.

Elle caressa le cheval, pris un peu d'élan et se mit en selle.

Elle mit le cheval au pas, non loin de l'eau, elle étreint le cheval de ses bottes sur ses flans se qui fit partir le cheval au trot, puis elle se mit à crier allée on y va. Le cheval se mit au galop, elle senti comme une liberté en elle l'envahir, cheveux au vent, elle pouvait sentir le vent sur son visage un légè frisson grisant l'envahissait complètement, elle ne voulait pas s'arrêter aller au bout de la plage aller plus loin que la plage partir d'ici, partir loin de tous et de tout.

Elle c'était ressaisie en entendant Féroce aboyé courant non loin derrière eux. Elle se mit à ralentir le cheval tirant un peu sur les rennes. Le cheval diminua sa course pour finir par être au pas.

Elle descendit du cheval qui s'était arrêté et reparti avec se dernier rennes à la main. Elle regardait Féroce

Allée va chercher! Va mon chien!

Elle vit ce dernier partir comme une balle et revenir avec son bâton tout content de lui.

Elle lui lança une seconde fois puis se dirigea vers leurs maison qui n'était pas loin de là.

Bellatrix_lestrange

Bellatrix arriva à l'aube à Bétincourt ,soulagée d'être enfin arriver elle erra un peu dans les ruelles de cette charmante ville et trouva enfin les tavernes.

Elle entra dans l'une d'elle éspèrant se rassasier et commanda un menu au cuisinier present mais lorsque elle regarda dans sa bourse pour règler son addition elle ne trouva pas ses écus ,et s'appercut que sa bourse était trouée.

Oh mince ,quelle poisse ,mes écus.S'adressant au cuisinier:Je suis désolée ,je viens de m'apperçevoir que ma bourse est trouée,j'ai du perdre mon argent en chemin

Elle ressortie de la taverne honteuse ,se promena encore un peu et entra dans une nouvelle taverne qui était vide ,elle s'installa a une chaise mais rapidement elle sentit ses yeux se fermés .Bellatrix était épuisée et ne pas pouvoir se supstenter ne l'aidait en rien ,elle resortit donc et alla à la plage .

Bellatrix fit quelques pas ,mais la fatigue prenait le dessus elle alla donc plus loin à l'écart et s'adossa contre un vieux tronc trainant là et se laissa gagner par la fatigue .

Karan

Avant leur arrivée à Bertincourt, déjà, elle avait senti un changement dans l'air. La brise légère qui soufflait apportait jusque dans les terres une indéfinissable odeur salée, iodée, vivifiante.
Dès qu'elle l'avait pu, elle était partie seule, sa colombe sur l'épaule, en direction du murmure léger qui parvenait jusque au coeur de la ville.
Elle avait suivi le chemin, perdue dans ses pensées. Au loin, des mouettes faisaient un grand cercle dans le ciel. C'est alors qu'elle arriva au bord de la falaise. Toute petite, se découpant sur l'horizon, au milieu de l'immensité de la mer, une barque de pêche relevait ses filets. Tour à tour les oiseaux plongeaient dans les vagues, pour dérober dans l'écume un poisson affolé qui tentait d'échapper aux pêcheurs. Le bruit était maintenant presque assourdissant. Les vagues venaient se fracasser contre la falaise. Plus loin, les rouleaux venaient mourir sur la plage, roulant dans le ressac les cailloux polis par les ans. La marée était haute, et la plage déserte. Le vent soufflait, encore froid en ce début de printemps. Elle resta un moment debut, au bord du précipice, cherchant des yeux un chemin qui lui permettrait de descendre sur la plage. Longeant le bord, elle finit par trouver un sentier escarpé qui descendait en sinuant au milieu de la végétation à peine renaissante.
Elle mit un long moment à le descendre, prenant garde de ne pas trébucher sur les pierres qui affleuraient.
Personne en vue... Elle déposa alors son sac juste au dessus de la ligne d'algues déposées par la mer, là où les vagues n'arriveraient pas, et parla à l'oreille de sa colombe, qui s'envola en direction de la falaise.
Elle enleva ses vêtements qu'elle déposa soigneusement sur son sac, et se dirrigea droit vers la mer. Elle se plongea alors dans les vagues, et nagea droit vers le large.
Nager, pour ne plus penser à rien. Se fondre dans l'eau accueillante... se laisser emporter par les vagues....
A regret, elle revint vers la plage. Sortie de l'eau, elle s'enveloppa dans un grand drap de lin pour se sécher.
Déjà sa colombe revenait lui montrer le chemin. Elle attrapa ses vêtements et son sac, suivit l'oiselle le long de la grève, et arriva en bas de la falaise. Un peu plus haut, dans la paroi de granit, une zone plus sombre marquait une anfractuosité dans la roche.
Elle grimpa, difficilement, pour aboutir à une petite plate-forme. Une ouverture menait à une petite caverne, protégée du vent.
La vue était superbe, et l'endroit tranquille.
Décidant de s'y installer pour la nuit plutôt que de retourner en ville, elle y étendit une couverture, se rhabilla en hâte, et redescendit au bas de la falaise, chercher du bois flotté pour faire un feu.
Elle partagea le restant de sa miche de pain avec la colombe, en jeta un peu aux mouettes, et s'installa près du feu.
Elle resta longtemps à contempler le soleil couchant, dont la couleur dorée se transforma en un rouge vibrant, qui ensanglantait le ciel mauve profond et les nuages sombres. Elle regarda se lever la lune, dont le reflet d'argent sur la mer éclairait les barques de ceux qui pêchaient encore, un fanal dansant au gré du mouvement des flots. Toute la nuit, le nez dans les étoiles, elle réléchit à ce dont elle se souvenait de sa vie... une autre plage, le sable teinté de sang... mais pas celui du soleil. Le sort funeste de ceux qui l'avaient aidée. C'était il n'y a pas si longtemps, et pourtant cela lui semblait une éternité.
Elle finit par s'endormir, au petit matin, sa colombe nichée au creux de ses bras.

Aubree_du_meslay

Aubrée s'etait levée tôt ce matin , elle s'etait rendu au bureau d'emploi de la mairie et attendait une reponse dans la journée .
Ils etaient rentrés la veille de leur voyage ecourté , mais dans le fond elle etait heureuse d'être revenue .
La mer et l'air iodé lui manquait , elle avait besoin de poser ses pieds nus sur le sable .

Sortant du village elle se dirigea donc rapidement vers la plage , où elle enleva ses chausses et courut vite fait mettre ses pieds sur le sable mouillé.
Elle joua un moment avec les vagues , ses braies relevées elle s'amusait a sauter dans les flaques que les vagues laissaient dans le sable, riant aux eclats .
Une gamine pensa t'elle , mais celà lui faisait du bien de s'amuser ainsi , elle oubliait tout dans ces instants presents .

Au bout d'un moment elle finit par être trempée et decida de s'arrêter avant d'attraper froid , reprenant ses chausses posés un peu plus loin , elle alla s'assoir sur le bord de la plage , là où le sable etait chaud et fluide .
Elle resta un long moment , les yeux perdus sur la ligne d'horizon , humant cet air iodé , ecoutant le cri des mouettes et des goelands , le roulement des vagues venant mourir sur la plage .

Repensant a sa petite virée en taverne hier soir qui lui avait fait connaitre Kalon et sa compagne Louvea . Entendre quelques mots bretons lui avaient fait un bien enorme , il ne pouvait pas savoir le plaisir qu'il lui avait fait sans le vouloir.
Posant son menton sur ses genoux relevés , elle resta là a revasser ....

Dillaime

Dillaime sortant juste de la retraite décida de se balader sur la plage.
Il y faisait froid mais elle avait posé un châle sur ses épaules,
Elle avança doucement sur la plage,
Elle regardait sans vraiment voir,
L esprit en paix elle souriait,
Elle respirait doucement.
Trouvant un coin tranquille, elle décida de si installer,
Frottant ses bras pour se réchauffer, écoutant la mer lui parler
Dillaime se berçais doucement.
Récitant tout bas un poème qu’un ami lui avait écrit,
Son cœur se gonfla d amour à ses souvenirs,
Elle leva les yeux au ciel et sourit,
Se secouant un peu pour revenir dans la réalité, Didi
Regarda tout au tour et vit qu’il y avait des gens quel ne connaissait pas,
Elle murmura pour elle-même : j espère qu’ils ne me prendront pas pour une folle.
Dillaime se leva haussa les épaule, en fait elle sent fichais éperdument
Toujours souriante elle partie en direction du village…..

Tika1

Arrivée le matin même,avide de nouveaux paysages,Tika ne prit même pas la peine de poser son baluchon...Elle n'avait qu'une idée en tête:voir l'immensité de la plage,l'horizon à perte de vue,les falaises dont on lui avait tant parlé...Le vent était assez fort ce matin là et l'air était comme humide des embruns tout proches...mais c'était doux et parfumé...des sensations qu'elle découvrait et qui la faisaient frissoner de plaisir...
Quand lle arriva près de la plage,la premiere chose qu'elle fit,ut d'oter ses chausses:elle se délectait du sable tiede lui chatouillant la plante des pieds...elle marcha lentement quelques pas,puis,l'envie d'approcher l'eau,de toucher l'écume si blanche,fut plus forte que tout...Elle se mit à courir,se délestant au passage de son baluchon encombrant.Le bruit des vagues mêlé au vent qui lui cinglait le visage,l'ennivrait...Ses longs cheveux volaient...Elles sentit l'eau glacée lui lécher les pieds,mais c'était délicieux...soudain,une bourrasque emporta son petit foulard et le déposa sur les flots mouvementés...Elle n'essaya pas de le ratrapper,préférant,fascinée,le regarder s'éloigner peu à peu vers l'horizon lointain...Elle recula un peu,s'assit sur le sable sec et laissa son esprit vagabonder comme une caravelle glissant sur les vagues de ses propres rêves...

Aubree_du_meslay

A la sortie de taverne , comme à son habitude desormais , Aubrée vint faire un tour sur la plage.
Celà lui faisait du bien de venir ici ...

Assise sur le sable , elle enleva ses chausses et plongea ses pieds dans le sable frais , jouant à le faire bouger avec les orteils .
Elle sourit en pensant qu'elle etait en train de jouer comme une petite fille , mais çà lui faisait tellement de bien de ne plus penser a rien...

Son regard fixa la ligne d'horizon , puis glissa sur les barques des pêcheurs.
Elle entendait leur cri quand ils attrapaient les poissons et elle imaginait leur joie .

Le soleil matinal lui rechauffait les epaules et elle finit par s'allonger , fermant les yeux , goûtant pleinement ce moment de bonheur , avec le bruit des vagues et le cri des mouettes en fond sonore .
Doucement elle sombra dans le sommeil......

Dove44

Celà faisait trois jours que Dove était arrivé à Bertincourt. Il trouvait cette ville très charmante et avait été fort bien reçu. On lui avait recomandé d'aller faire un tour sur la plage. C'était vraisemblablement le bon moment. Il s'y rendit donc.

L'endroit était plaisant en effet. Il commença par parcourir la plage. Il aurait préféré profité de cette balade avec une jolie dame. Partager cette vue merveilleuse avec l'être aimée. Mais apparement, le sort n'en voulait pas ainsi. Il était seul depuis un certain moment maintenant. Il n'avait à s'en prendre qu'à lui-même. Mais, dans des moments comme ceci, il regrettait cette situation. La vie était faite pour être vécue à deux. Que valait-elle ainsi? Heureusement pour lui, il avait une amie très proche qui lui remontait le moral. Mais, un jour ou l'autre, elle trouverait certainement l'ame soeur et il ne pourrait assurément pas la retenir auprès de lui. D'ailleur, elle le méritait bien et c'est ce qu'il lui souhaitait le plus sincèrement du monde. Il avait aussi sa marraine qui était adorable avec lui mais à qui il causait également énormément de soucis.

Tu n'as pas à te plaindre, mon p'tit Dove, il y a certainement beaucoups plus malheureux que toi en ce bas monde. Mais, c'est vrai que partager ces moments avec une compagne serait beaucoups plus agréable.

Il soupira.

Voilà que je me mets à parler tout seul maintenant. On va me prendre pour un fou!!!

Puis il s'assit, le regard plongé dans la mer. Le paysage était magnifique. Quelques pêcheurs étaient déjà de sortie et s'apprètaient à lancer leurs filets à l'eau. Plongé dans ses pensées, il se demanda ce qu'il devait faire, continuer de voyager ou s'installer ici?

Dove sorti son violon et essaya quelques accords. Soudain, il se souvint d'un air qu'un troubadour lui avait chanté et qui prenait tout son sens maintenant. Il se mit à le fredonner.

Comment vouloir qu'une personne chante
quand elle n'a pas son coeur en liberté
Laissez chanter ceux que l'amour contente
Et laissez-moi en mon malheur pleurer

.....

Je suis un amant malheureux en ce monde
J'aime une brune et je n'ose plus lui parler
Je m'en irai dans un bois solitaire
Finir mes jours à l'ombre d'un rocher

Sur ce rocher il y a une fontaine
Environnée de rosiers alentour
Allons-y donc, allons-y donc la belle
Nous goûterons les plaisirs de l'amour

De vous suivre je ne m'en soucie guère
De vous suivre je ne men soucie pas
Je ne donne pas mon coeur à tout le monde
Pas plus à vous galant retirez-vous.

Il reposa délicatement son violon dans son étui et s'alongea et regarda les nuages passés, perdu dans de sombre pensées.

Auria

Auria courait dans les rues de Bertincourt guidée par l'air iodé ...

Elle avait laissé son Ripa endormi dans la chambre où ils s'étaient réfugiés à leur arrivée à Bertincourt au petit matin. Elle avait peu dormi, pressée de voir le jour arriver pour aller retrouver ...sa mer ...
Elle avait embrassé Ripa et passé une main dans ses cheveux en souriant ...elle savait bien qu'il ne lui en voudrait pas d'être partie seule à la découverte de la plage ...autant elle l'aimait que lui l'avait en horreur.

Elle finit par la découvrir "sa" plage ...."sa" mer ....et comme à chaque fois cette sensation de plénitude quand elle sentait les embruns et que son regard plongeait vers l'horizon.Elle avait emmené Apollon avec elle et ils s'amusaient tous les deux dans le vent. il avait tellement pris une place immense ce zozio qui était à Ripa ...remplumé ....plumage brillant ....et adorant embarquer à sa patte tous les messages qu'elle lui envoyait. Il lui semblait même parfois qu'il était un peu jaloux de Ripa.

Elle profita autant qu'elle put de la mer et du soleil levant. Puis elle repartit sachant qu'elle retrouverait ailleurs ...plus loin ... son enchantement. Là elle allait retrouver son autre enchantement ..LUI ..

Aubree_du_meslay

Après avoir laissé sa soeur Candye au domaine , celle çi etant partie s'occuper de ses moutons .
Aubrée prit la direction de la plage , elle n'y etait pas encore venue depuis son arrivée .

Elle l'avait aperçu de loin , mais n'avait pas eu le temps de venir mettre ses pieds sur le sable fin .
Le souffle coupé par tant de beauté , elle regardait les vagues venir mourir sur le sable doré , brassant un rideau d'ecume a chaque fois .

S'asseyant sur le sable , elle laissa courir ses mains , attrapant celui çi et le faisant couler doucement .
Il faisait un temps superbe , le soleil lui rechauffait le dos
Elle laissa son regard parcourir la ligne d'horizon , les yeux perdus dans le vague ...

Goutant pleinement le calme et la solitude du lieu , un lieu de reflexion , elle se posait tant de questions depuis son arrivée ici .
Elle resta là , longtemps , perdue dans ses pensées .....

Balabira

Arrivant tout droit d'Azincourt, après une longue marche, Balabira et ses compagnons arrivèrent à Bertincourt et sa plage.

"La mer ! Regardez les gars, c'est pas un lac cette fois, c'est la mer !"

Balabira remplit ses poumons d'air iodé. Quelle sensation unique d'espace et de liberté !

"Bon, je vous propose un marché : on reste la journée avant de repartir à Amiens, alors comme on a pas de sergent ....

QUARTIER LIIIIIIBRRRRE !" hurla-t-elle.

"Faites ce que vous voulez, ça ne me regarde pas ! Moi, je sais quoi faire..."

Balabira s'éloigna de ses compagnons en courant, puis s'arrêta au bord de la falaise.
*Ooops, il est plutôt haut ce plongeoir !*

Elle chercha un instant le chemin qui menait tout en bas. Elle ne savait pas résister à l'appel de l'eau, qui l'attirait tel un aimant.

Arrivée sur la plage elle se déchaussa, afin de sentir le sable entre ses orteils. Elle marcha ainsi de longues minute, réfléchissant ainsi à son avenir. Etait-elle à un tournant de sa vie ? Ce petit voyage lui avait fait du bien, son moral revenait doucement, ou bien était-ce les bienfaits de la mer ?
N'en pouvant plus de voir cette immensité devant elle, elle posa son bouclier et ota ses vêtements afin de se baigner.

Elle entra doucement dans l'eau.... glacée en cette saison... fit quelques brasses avant de vite ressortir.

"Hffffff... c'est trop froid pour moi !"

Grelotante, elle remonta sur la plage prendre ses habit secs pour se rhabiller.

Crysline

Crysline arriva sur la plage,son fils dans ses bras....Elle aimait venir se promener en ces lieux reposants et tellement magnifiques...
La journée était magnifique bien qu'encore un peu fraîche pour se baigner...
Aussi regardait-elle les bateaux....les pêcheurs...Le reflet du soleil reluire sur cette eau limpide...
Elle était un peu mélancolique car elle venait de se chamailler avec son époux et n'aimait pas du tout ça et bien qu'ils se soient vite réconciliés,elle ne pouvait s'empêcher d'y penser...
Mais à ce moment Athénagor son fiston chéri la sorti de ses pensées...
Elle s'installa donc sur le sable avec lui et commença à jouer....
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pnj

roze arriva d'un pas leger sur la plage, elle marchait doucement en regardant autour d'elle..

elle cherchait vero, elles c'etaient donne rendez vous a la plage pour preparer le tir a la corde

apres plusieurs minutes de marche, elle ne la voyait toujours pas...

"bon bah je vais l'attendre sur un rocher ma vero^^"

elle se dirigea vers un rocher et s'assit tranquillement, roze en profita pour admirer au loin , perdre son regard dans cette immensité qu'elle trouvait si belle en ce jour de mars.

Yoshilas

yoshilas arriva sur la plage pour reconstruire son bureau en posant le premier poteau fraichement coupé.

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Louvea

Louvea rentrait en passant par la plage. Elle vit un poteau planté et s'approcha, curieuse.

Bureau des désespérés...Mm!! J'en suis pas encore là, ça va...

Elle sourit, malgré la tristesse de cette enseigne. Elle se souvenait de Yoshilas...Ses lancers de légumes sur le chateau l'avait interessée et elle était contente de le revoir.
Elle rechaussa ses bottes et retourna vite à Berti.
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pnj

Yam s'avanca prés des vagues, enfin, elle voyait la mer, enfin ! Presque 13 jours de voyage pour ... ça. Une plage de nacre, de l'eau en abondance. Elle hésite, puis mis un pied dans l'eau, s'y enfonca jusqu'au genoux.Brrr ! Il fait froid. Puis, comme prévenu par un sixième sens, elle se retourna brusquement. La Louve était là.

" Tu m'as suivi depuis Poligny ? "

- Pourquoi tu t'es pas montré avant ?

Une bourrasque de vent fit flotter ses cheveux dans la brise. La contraignant à s'abriter avec ses bras. Elle rouvrit les yeux, la Louve n'atait plus là.

" Dommage " pensa t'elle en s'éloignant

Aalanae

Nabel c'était reveiller les yeux pleins de larmes ce matin... elle ne savait pas pourquoi, elle se sentait triste...

Elle décida donc d'aller faire un tour sur la plage... trop de jours étaient passés depuis sa dernière pêche, trop de jour sans l'odeur de la mer, sans la sensaton du sable sous ses pieds, sans la carresse de la mer sur ses pieds.

Qu'importe la température de l'eau, Nabel ne peut s'empêcher de plonger ses peids dans l'eau...

Aujourd'hui, elle décida d'emprunter le chemin menant à la falaise, cela lui ferait du bien, de voir cette immense étendue d'eau, de sentir le vent fouettait son visge... Une fois en haut, elle s'approcha du bord, puis elle regarda en bas... la sensation qui l'a parcourut l'obligea à s'assoir. Jambes dans le vide, assise sur le bout de la falaise, elle parcouru le paysage de ses yeux imbibés de larmes.
Mon Dieu que sa marraine lui manquait, elle n'avait personne à qui se confier, quand sa marraine partie, se fut comme l'absence d'une mère ...
Même à 22 ans, Nabel était restée une enfant, elle avait trouvait en Virb la tendresse et l'amour, elle s'y était attachée, elle était devenue sa filleul, elle voulait que son retour se fasse le plus rapidement possible.

Apres quelques heures, elle se releva, doucement, la chute aurait était fatale... puis elle pris le chemin de la plage.
Quand elle arriva à la limite du sable, elle enleva ses chausses, et plongea les pieds dans le sable. Il ne faisait pas chaud, mais qu'importait, elle voulait se sentir libre...
Elle s'approcha doucement des vagues, puis plongea ses chevilles dedans.
Elle aperçut au loin les barques des pêcheurs, elle ne les avaient même pas remarqué du haut de son perchoir... un vertige la saisit...
Puis d'un coup elle s'écroula, assise entre sable et mer, elle ne se releva pas.... les larmes l'empêchaient de respirer...

pnj

Rozenna decida de se promener un peu sur la plage avant de rentrer chez elle.

Ses pieds s'enfoncaient doucement dans le sable encore un peu humide par la saison, elle contemplait l'horizon, heureuse de retrouver enfin berti et ses amis.

Ses yeux s'attarderent sur le sable, toujours en marchant doucement, elle regardait les petis coquillages echoués sur la plage.

Une brise circulait legerement en cette soiree de fevrier, elle lui caressait les joues joyeusement.

Roze huma longuement les differentes odeurs qui l'entouraient, ca lui avait manqué ca aussi, en flandres pas de plage...le silence regnait, un calme paisible, elle avait besoin de s'impregner de cette ambiance apres toutes ces villes traversees.

Elle avait une douce nouvelle a annoncer a ses amis, elle n'etait pas revenue seule, un ange, un doux ange l'avait suivi pour son plus grand bonheur, un sourire se dessina sur son visage rien qu'a cette pensee. En effet, elle etait comblée, la joie etait entree dans sa vie, il est devenu tout pour elle, il illumait son coeur.

Rozenna se retourna et vit ses traces ancrees dans la sable, elle avait parcouru pas mal de metres sans s'en rendre compte....Elle apercut un rocher plus loin et decida d'aller s'y installer un moment. Faisant face a l'immensite de l'eau, elle scrupta loin devant elle pendant quelques minutes puis ferma les yeux pour apprecier le bruit des petites vagues s'ecrasant sur le bord.

La nuit et le froid commencaient a se faire sentir serieusement ainsi que la fatigue, ils avaient voyagés tous les jours, aucun arrets, elle voulait rejoindre bertincourt au plus vite, main dans la main ils avaient marché dur et longtemps et enfin ils etaient la tous les deux.

Roze se leva doucement et repris le chemin inverse, direction sa maison, les pensees toujours occupees par son ange.....

Methea

En se levant, Methea avait déjà en tête d'aller se balader au bord de la mer. Il ne la connaissait pas, il l'avait juste aperçu avant d'arriver à Bertincourt lors de son voyage depuis Mayenne. Il trépignait d'impatience, il s'habilla rapidement puis sorti.

Le soleil brillait déjà, il était pas si tôt que ça finalement ! Il s'étira de tout son long puis pris le chemin de la plage. D'un pas de plus en plus vif, des bourrasques de vent lui fouettait le visage tout en lui amenant les odeurs particulières du bord de mer. Ses pas s'enfonçait dans le sable , parfois c'était les galets qui dominaient craquant sous chacun de ses mouvements.

Aprés un dune il entendait le ressac de la mer sur la plage, ce qui lui fit presque courir sur les derniers mètres qui le séparé du sommet. Haletant il y arriva puis s'arrêta net, le paysage face à lui l'éblouissait, une grande étendue bleue scintillait sous le soleil. Il avait presque l'impression que le soleil se mirait dedans comme si la mer était un miroir. Le vent la rendait mouvementée , les vagues s'écrasaient régulièrement, laissant l'écume sur le sable. Descendant au plus proche, il s'assit.

Laissant son regard se porter le plus loin possible, il se laissa bercer par les bruits et les senteurs salées de la mer. Sans s'en rendre compte il se mit à rêver laissant glisser ses mains dans le sable. Un peu plus loin, les vagues se fracassait contre une falaise , de l'autre elle prenait du terrain sur la plage. Les mouettes jacassaient sans cesse, quelques unes plongeant à la recherche d'un quelconque poisson.

Emerveillé Methea ne perdait pas une miette du spectacle, cela lui changé de sa forêt, elle avait son charme mais rien n'était comparable. Ses yeux brillaient comme un enfant devant son jouet. Il avait deja perdu la notion du temps laissant la journée s'écouler lentement sans perdre de vue ce miroir d'eau scintillant.
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La_vieille

La rouquine errait dans les rues de Bertincourt à la recherche du colosse qui l'accompagnait. Elle avait finit par se rendre à l'évidence, il s'était rendu chez les moines. Jean-jean chez les moines... il fallait qu'elle en ait le coeur net. Aussi, Enored grimpa la petite colline qui menait au monastère, remonta sa capuche sur sa chevelure rousse, et frappa à la porte.

- La bonne journée damoiselle, donnez vous la peine d'entrer

Elle fit non de la tête.

- Je cherche mon compagnon de route. Un colosse qui...

- Il est là, il a dit qu'il attendrait le retour de sa rouquine ici pour pas faire de bêtise.

La rouquine baissa sa capuche et planta son regard vert émeraude.

- Ah c'est vous... mais les vêpres ont sonné il ne pourra sortir que demain.

La rouquine serra les poings, haussa les épaules et tourna les talons. Il fallait qu'elle parte et vite pour ne pas forcer l'entrée du monastère. Elle fit quelques pas, ferma les yeux et respira l'air marin. Se laissant guider par l'effluve, la rouquine arriva sur la plage de Bertincourt. Les yeux rivés sur la mer, le flux et le reflux apaisa son ame.

Enored marcha jusqu'au bord de l'eau où elle trempa sa main. Elle sourit. L'eau était froide et elle avait l'impression de revivre. Elle se sentait heureuse enfin à nouveau. Elle se revoyait en mer avec ses frères. Une vague mouilla ses bottes et le bas de ses braies, elle éclata de rire.

La mercenaire recula de quelques pas et s'assit sur le sable. Plongeant ses mains dedans elle regarda le soleil se coucher puis s'allongea, enroulée dans sa cape. La chaleur du tissus la réchauffa et elle s'endormit ainsi bercée par le bruit des vagues...

Virbule

Il y avait bien longtemps quelle ne s'était pas accordé une balade sur la plage mais par cette froide journée d'hiver l'envie lui pris. Elle se dirigea seule à travers les ruelles du village vers la plage, le pas assuré, le regard vague, les pensées bien lointaines ...

La mer était là, au bout de la plage, grise, immuable, immensément belle. Longuement Virbule l'observa, parfois jusqu'à l'horizon en imaginant ce qui pouvait bien exister au delà, parfois une vague se détachée de l'étendu aquatique en reflétant les timides rayons du soleil et venez mourir sur la plage.

Quittant sa contemplation elle marcha le long de la plage. Triste mais à la fois heureuse, songeuse, rêveuse ... sans s'en rendre compte elle était au bout de la plage. La falaise lui barrait dorénavant la route. Revenant un peu sur ses pas elle pris un petit chemin oublié qui montait au sommet de la magnifique. Elle dérangea quelques animaux sur son passage, huma les senteurs des plantes avoisinante.

Elle s'arrêta à mis parcours pour regarder ce paysage quelle connaissait si bien mais qui était pourtant toujours différents. Le vent emportait les nuages vers d'autres lieux, bientôt il en apportera de nouveaux, peut être la pluie. Pour le moment le soleil taquinait sa peau et elle repris son ascension ainsi que ses pensées.

Déjà elle était en haut et s'approcha du bord. En regardant en bas elle se mit à rire. Le souvenir d'une soirée avec Yann et Océade et beaucoup de fou-rires lui revint. Ils devaient être arrivé chez eux maintenant. Elle leurs rendra visite prochainement, testera l'hospitalité légendaire de Yann sur son domaine ... Elle sourit certaine qu'au fond ils avaient aimé les traditionnelles lechouilles Bertincourtoises.

Son regard se porta sur le chemin de côte par lequel ils étaient très certainement partis et qui bientôt lui apportera un ami cher. Il y a 5 mois qu'il devrait être là et elle lui en toucherai surement deux mots ... mais son arrivée lui faisait grandement plaisir.

Elle s'assit et contempla l'horizon en pensant voir plus loin étant maintenant au sommet de la falaise mais elle ne distingua que la mer à perte de vue. Le temps passa sur ses songes et bientôt la nuit commençait à tomber. Elle se décida donc à rentrer en prenant un autre chemin cette fois si, ne passant pas par la plage.

La nature l'avait apaisée.

pnj

Radyan avait profité d'aller sur la plage, quand laurie était partit pour aller chercher encore des coquillages....Il en avait plein la poche et c'était avec plaisir qu'il s'était installé sur un rocher pour faire un collier à sa princesse en cachette. Toutes ses braies étaient mouillées et il faisait un peu froid mais il fallait qu'il le termine...avec courage il perca les petits coquillages tout en pensant qu'elle serait belle avec son cadeau.

Veropv

Véro arriva sur la plage histoire d'avoir un peu d'air vivifiant.
Elle laissa courir Féroce sur la plage et pris place sur le sable un peu froid.
Les idées un peu embrumé par tout l'alcool de la journée et de la soirée, un légé mal de tête planait,

Cependant elle laissa échapper un sourire car elle avait reçu une très bonne nouvelle, son ami son ange gardien revenait à Bertincourt, enfin il rentrait.

Oh! Elle savait qu'il ne rentrait pas définitivement il n'était que de passage mais ce serait bon de le voir quand même. Il rentrait avec sa douce ils ne serait pas là demain ni après demain mais elle savait qu'il remontait et c'était tout ce qui lui importait.

Elle se mit à sourire de toute ses dents appela Féroce se mit debout et lui lança un baton.

Elle le regardait courir et se mis à sourire

elle le siffla et repartirent chez elle.

Chevalier_bayard

Le Roy n'arrivant toujours pas, et après avoir éclusé quelques choppes avec Torqual, Bayard sortit de la taverne et prit la direction de la plage, pour s'y promener, seul. Le flux et le reflux des vagues, sur la grève, le calmait.

Il aimait ses terres de Flandres, s'y était investit, jusqu'à dépasser certaines limites, certes, mais toujours selon ses valeurs et pour le bien de son Comté. Il y avait mis beaucoup d'énergie, et y avait beaucoup sacrifié, par sens du devoir. Savoir que les calomnies que ses ennemis avaient lancés contre lui était parvenues jusqu'en Artois l'énervait. Il préférait un combat face à face, les armes à la main, un jugement de Dieu, que toutes ses manoeuvres politiques, manoeuvres de lâches. Dégoutté, il songeait de plus en plus à sa retraite politique.

Son regard azur se porta sur la mer, sur l'horizon... plusieurs chemins s'offraient devant lui. Il devait en choisir un... et ce choix semblait au chevalier bien difficile...
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Margaux.

Merenwen qui allait probablement devoir quitter ses amis dans la soirée se mit en quète du Capitaine Bayard pour l'en informer. Capitaine était-il toujours ? Elle savait que les éléctions étaient terminées depuis quelques jours mais à part le résultat, elle ignorait qui avait été élu Comte de Flandres et n'en saurait probablement rien avant son retour.

Elle le trouva face à la mer grâce aux indications données par plusieurs passants qui lui avait parfois valu quelques détours et retour arrière.

Il paraissait en pleine réfléxion aussi le laissa-t-il seul un moment avant de finalement faire les derniers pas qui la séparait de lui :

Bonsoir Capitaine, vous me semblez bien songeur... pour dire vrai on dirait moi, dit elle dans un sourire. Elle savait pertinement qu'elle était sujette à ce genre d'absence et de réflexion mais à un degré bien plus important que celui de n'importe qui d'autre.

Puis-je vous demander ce qui vous tracasse ?

Laureline_squire

Laureline était heureuse jusqu'à ce qu'elle commette l'irréparable, laisser Radyan seul un instant en taverne le temps d'aller transmettre un message et il s'était envolé loin d'elle.
Elle avait attendu puis triste la fillette avait decidé d'aller faire un tour sur la plage.

Seul endroit de réconfort pour elle après la présence de Radyan...

Après avoir marché un moment la môme posa son cul sur le sable et regarda l'horizon, la mer s'éloigner d'elle comme venait de le faire Radyan parce qu'elle c'était éclipsée...
Elle avait beau chercher, imaginer ou celui-ci aurait pu se rendre...

Rien après avoir tout retourné dans sa tête, Laurie se releva et retourna vers la taverne espérant le retrouver...

Chevalier_bayard

Bayard, se retourna, sortant de ses pensées, ayant reconnu la voix de Merenwen.

- Oh, Merenwen! Je ne vous avais pas entendu arriver...

Il l'invita à s'asseoir près de lui, dans le sable.

- Comme toujours quand on vide quelques chopes, on se pose quelques questions sur ses choix, les chemins à prendre, la politique, les femmes...
Enfin... Vous savez, les élections sont terminées en Flandres. J'ai été prévenu par pigeon d'élite, Wuggalix est de nouveau Comte, et je suis toujours Capitaine... C'est mon cinquième mandat d'affilé, et la politique use! Je me demande si ce ne serait pas mon dernier... et puis... j'ai hâte de rentrer à Tournai... je...

Il marqua un instant de silence.

- Mais je ne veux pas vous embêter avec tout ça! J'ai appris avec regret que vous allez rejoindre votre Ordre... quand nous quittez-vous ?
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Veropv

Elle était sortie de la taverne et venait d'arriver à la plage.

Elle se rappelé encore ce que Darflex lui avait annoncé hier et se posé la question de savoir ce qu'elle devait lui répondre.

Devait t-elle le laisser entrer à l'Ost, devait elle le laisser partir au risque d'apprendre qu'un jour qu'il sera blessé et loin d'elle tout comme Judeas,

Judeas mon dieu ou est tu à ce jour? Que fais-tu? Est ce que tout va bien pour toi? T’es tu remis de tes blessures?

Elle se mit à regarder l'horizon, et dit...

Mon dieu aide moi à trouver la bonne réponse
Aide-moi à lui dire qu'il vaut bien plus que ma vie, que je ne survivrais pas sans lui.

Est ce que je manque de maturité à ce point...

Me faut t'il plus de sagesse, de patience, et croire qu'il ne lui arrivera rien.

Véro se leva et repris le chemin de sa maison bien vide et décida d'écrire un pigeon à Darflex

Niria_helene

Sortie de l'auberge où ils ont passé la nuit, claudicante, elle traîne ses bottes sur le pavé des ruelles de Bertincourt. Elle passe devant les portes des tavernes sans y entrer, traverse le marché sans s'y arrêter et peu à peu ses pas la mènent sur la plage. Il y fait froid, malgré le soleil radieux qui illumine cette journée. La Féline se débarrasse de ses bottes, relève son jupon et s'avance sur le sable frais.

Elle longe la mer pendant un temps qu'elle ne saurait définir, perdues dans ses pensées. Ce soir ils quitteront cette ville dans laquelle ils ne se sentent pas à l'aise, l'accueil de certains leur ayant laissé un goût acre dans la bouche.
Aucun regret quand viendra l'heure de partir et de reprendre la route.

Soudain sa blessure à la cuisse se rappelle à son mauvais souvenir, la forçant à s'arrêter. Elle se défait de son ceinturon portant épée et dagues, le pose au sol et s'assoie sur la sable.

Maudite blessure qui ne veut pas cicatriser, et elle n'a plus de cette potion qu'Avana lui avait confié pour enrayer le mal. Elle sait qu'elle doit la montrer à quelqu'un mais elle ne s'y résout pas, fierté mal placée quand tu nous tiens.

La Féline laisse son regard errer sur la mer, replongeant dans ses pensées, se repassant sans cesse les images des derniers jours de son frère. Elle est obsédée par l'image de cette dague plantée dans son cœur, du regard de son frère sur elle alors que la vie le quittait, ses derniers mots et son dernier soupir. Cette vision ne la quitte jamais, mais le plus souvent elle esquive, pense à autre chose. Mais quand elle est seule, elle se laisse submerger, sans rien pouvoir y faire.

Et là, dans un village portuaire comme celui où son frère a péri, les souvenirs sont plus forts, plus douloureux. Elle doit s'éloigner encore plus des Flandres ; une dernière chose à faire et elle partira pour le Sud avec Saian.

Seule, alors que personne ne peut ni la voir, ni l'entendre, elle s'abandonne à son chagrin et laisse couler ses larmes silencieuses, sans aucune retenue, libérant son cœur meurtri de ce fardeau bien trop lourd à porter mais qu'elle ne veut pas partager.

Plus tard, pour le commun des mortels elle redeviendra la mercenaire, odieuse, froide et agressive, sa seule façon de se protéger et de survivre.
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Aalanae

Nabel vint pour la première fois sur la plage de Bertincourt pour se changer un peu les esprit.
Cela faisait plusieurs jours qu'elle pêcher, elle voyait donc la plage tous les jours mais n'avait jamais eu cette envie d'aller si balader. Elle arriva donc sur le sable, enleva sa paire de chausses pour sentir le sable, froid certes, mais tellement agréable sur la peau.
Elle marcha donc en silence, ses pensées la torturés. Elle ne savait plus quoi penser, elle se remettait en questions. Des erreurs, elle en avait beaucoup fait ces derniers temps mais elle avait promis de se racheter, et elle tiendrait sa parole. Elle pensa aussi aux bonnes nouvelles qu'on lui avait appris...
Le bonheur entouré les personnes l'ai plus chères à son coeur. Elle était tellement heureuse pour sa soeur, son ami... . Les cheveux au vent elle s'approcha de l'eau. La mer... quel bonheur de sentir cette odeur, d'avoir le visage tirer par le vent et sécher par le sel. Elle se risqua à laisser les vagues carresser ses pieds nus. Elle frisonna...
Mais même si l'eau était fort froide elle continua sa marche, les pieds dans l'eau. Se demandant où était le bonheur, elle regarda la mer et se dit qu'il était peut être en un autre endroit... quelques minutes plus tard, elle s'assit sur le sable et s'imagina heureuse...

Pegas

Pegas éclata de rire et se pencha tendant sa main en direction des cheveux de la jeune demoiselle les décoiffant et tirant la langue....

Vilaine va !!

Il lui fit un bisou sur la joue et lui demanda d'un aire innocent...

Ma jeune cavalière me permettrait elle de lui tenir compagnie un petit moment? ^^ je suis curieux de savoir ce qui l'a faisait rire autant, aurait elle vue peut être un poisson qui ne savait pas nager ? ^^

Il partit dans un rire enfantin et prit une place à coté d'elle ...

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Laureline_squire

Groumph...

L'est po vilaine moi...

Juste rigolote...

La petite lui fit son plus beau sourire de pitre pis elle lui tendit sa petite main pour l'inviter à s'assoir à coté d'elle...

Vi vi...

Tu peu...

Nan nan encore que çà peut être très drôle un poisson qui sais po nagé...

Lauri pouffa de rire à l'évocation du poisson pas nageur et l'imagina très bien ce qui la fit encore plus rire, avant de reprendre...

nan je m'imaginai chevalier princesse de la mer naviguant sur l'océan...

Veropv

Véro arriva à la plage aprés le petit repas qu'elle c'était faite un peu de pain un épis de maïs et un verre de lait.

Elle parti dans ses songes et se rappella de la soirée d'hier et ce qu'avait dit Darflex.

Elle avait aperçu Pegas et Laury au loin mais voulu être seule.
Elle s'isola en partant sur la droite du rivage et s'asseya un moment sur le sable froid.Elle se mit a regarder l'horizon parti dans un rêve elle voyait le visage de son ami lui sourire

Soupire.

Yosh tu me manque tellement

Elle resta un moment comme ça, les genoux remonter vers la poitrine, les avant bras posé sur le genoux et le menton sur sa main droite. elle fit un sourire vers l'horizon, se leva et repartie en direction de sa maison.

Aambre

La jeune femme avait laissé ses amis en taverne, elle avait eu l'envie d'aller faire un dernier tour sur la plage bertincourtoise avant son départ.
Ses pas la guidérent en haut de la falaise, là où Jew avait eu si peur. La petite louve offerte par Vero la suivait, trottinnant et reniflant à tout va..
Un sourire naquit sur les lévres d'Océade en la regardant faire. Puis la jeune femme porta son regard sur l'horizon, admirant encore une fois ce paysage si calme et si bruyant en même temps.
Debout au bord du monticule, elle laissait le vent l'envelopper comme un manteau.
Elle regrettait de partir de Berti, sachant pourtant cela inévitable puisque sa vie était ailleurs.
Vero, Darf, Chriss, Virb -la spécialiste des léchouilles, choses à laquelle Oce avait bien du mal à se faire- et tous les autres aussi..
Ces jours passés dans ce village si accueillants l'avaient apaisé, lui avait permis de voir l'Artois et ces habitants autrement. Bien sur, pas question de dire à sa tantine qu'elle aimait cet endroit..
Elle resta là quelques instants perdue dans ses pensées, imprimant les images dans sa tête pour pouvoir mieux les raconter à ses amis alençonnais.
Elle fit ensuite demi-tour, appellant Angie et reprit le chemin de la plage. Arrivée sur l'étendue de sable, elle ne résista pas à un dernier plaisir. Elle ota ses bottes et ses bas et marcha pieds nus allant jusqu'au bord de la mer où les vagues vinrent lui lécher les pieds.
Un frisson lui échappa puis elle regagna le rivage. Elle s'assit un instant, caressant sa jeune compagne à quatre pattes.

Allez viens ma belle. Il est l'heure d'aller préparer nos affaires et Bravache aussi.

Oceade remis ses bas et ses bottes et repartit vers le village. Une derniére soirée en taverne avant cet aurevoir qu'elle appréhendait déjà et demain elle serait en Normandie..

Stilicon

Il ne sut quoi dire, il ne sut quoi faire, il esquissa maintes gestes et ouvrit plusieurs fois la bouche pour rien. On aurait dit un poisson échoué sur la plage, à vivre ses derniers instants, à happer l'air et à gesticuler nerveusement.

Au bout d'un moment, il réussit à dire :

"Ah, ma Dame, excusez moi... je croyais que...mais...il faut faire attention...ma Dame... les accidents ne sont pas rares..."

Stilicon paraissait gêné, mais au fond de lui il souffrait. Il souffla un grand coup, entre un soulagement et un râle, et s'assit sur un rocher. Il baissa la tête et dit :

"C'est un endroit si effroyable et si ... fort. Il est surprenant que...des gens s'y approchent, vous comprenez...surtout pour...des raisons comme les vôtres."

Il se leva et tendit sa main.

"Stilicon, pour vous servir"

Tout d'un coup, une rafale de vent souffla.
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Lunadeltounette

Luna aimait bien la mer et le vent
Et puis d'ailleurs depuis son arrivé à Bertincour elle ne faisait que pêcher.
Assise sur le bord d'un rocher et hop la canne à l'eau.
De loin elle voyait un couple parler et reconnu Stilicon et une bande de molaçon jouer aux soldats . Arfff ! Grand Dieu !

Pegas

Pegas sentit cette énorme envie d'aller se rafraichir les narine près de chez lui à la plage de Bertincourt, mais elle fut étrangement peuplée pour une après midi d'hivers,il avait reconnu plein de monde mais il avait besoin de s'isoler un peu, il ôta ses botte et marcha sur le sable froid, mais qui lui soulageait ses pied amochés par ses derniers voyage un peu partout dans le comté... il s'approcha du bord et laissa les vague caresser les yeux fixaient l'horizon.... Il rapprocha le goulot de sa fiole de ses lèvres et prit quelque gorgées quand tout a coup l entendit des cris qui provinrent derriere lui, Pegas se tourna et fit de grands yeux en voyant cette foule de petits enfant avec une tenue étrange, rongé par la curiosité il alla voir de plus prêt , et au passage il reconnu Hugo qui parut le chef de ce groupe de petits enfant, il était entrain de parler à Perl, cette dernière tenait un seau à la main...

Le sergent de l'Ost décida alors de rester pour assister à ce jeu ou peut être une séance d'entrainement de la soule, il s'assit sur le sol et contempla les rassemblés un par , ses yeux s'arrêtèrent à chaque fois qu'il croisa une tête reconnaissable, il regarda avec insistance sur les autres et se rendit comte que ce n'était pas des enfant mais plutôt des adultes , la plupart était frele ou maigrichon...

Et bah, je comprend mieux maintenant la raison de cet entrainement éxigé par Hugo ^^, pauvre gens, pas tous mais la plupart d'entre eux doivent entretenir leurs corps quand même, sinon il se feront racketté par des fillettes , dit il et partit dans un long fou rire curieux d'assister à la suite des événement...

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Laureline_squire

La gamine adorait la plage et n'avait donc pas tardé à son arrivée sur Bertincourt à y courir...

Ôtant ses bottes par ce temps frileux. La môme s'approcha de l'eau salée, les vagues caressant ses pieds était un plaisir non dissimulé qui se lisait sur son visage.
C'est une Laureline joyeuse qui courait, sautillait sur la plage ne faisant en rien attention à ce qui l'entourait, allant même jusqu'à ce rouler dans le sable.

Pendant plusieurs heures le manège de la gamine dura...

Puis la fillette un peu lasse posa son cul sur le sable et admira l'horizon, un sourire sur son visage, il y avait un moment maintenant que ce sourire n'était plus apparu sous ce regard d'ange, ce sourire digne d'un rayon de soleil avait disparu depuis quelque temps mais la plage l'avait fait renaitre.
Laureline se sentait paisible ici, heureuse. La gamine rêvassait complètement...

La Fillette était déjà bien loin dans ses pensées, elle avait quittée le monde réel pour sa bulle imaginaire seul endroit ou elle se sentait bien en sécurité et ou que du bonheur lui arrivée. C'est d'ailleurs grâce à ce monde d'insouciance imaginaire qui faisait que Laureline respirait le bonheur, la joie de vivre...

Laurie rêvassait étendue sur la plage, les yeux river sur l'océan s'imaginant navigante au grès du vent.
La fillette rigolait toute seule...

Pegas

Pegas cru entendre l'écho de son fou rire retentir quelque part , avant de s'en rendre compte que la voix fut plus angélique et moins grave que la sienne, il se tourna donc vers la direction d'où provinrent ces petits rires innocents... un large sourire germa sur ses lèvres en reconnaissant Laury qui régnait son petit monde qu'elle avait créé pour elle , une sorte d'évasion surement de ce monde cruel qui l'entourait, malgré son jeune age elle pouvait voir d'un œil adulte quelques faits qui peuvent l'attrister...

Sans faire de bruit Pegas s'approcha d'elle ne voulant pas la sortir de ses rêvasseries ... Il restait derriere elle bien veilleur mais sans l'interrompre...

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Laureline_squire

Laureline avait senti la présence derrière elle.

Et ce parfum.

D'un sourire malicieux, la fillette se laissa tomber en arrière pour croiser le regard de Pégas.
Relevant le bout de son nez pour le voir...

VUE...

Laureline éclata de rire heureuse d'elle...

Stilicon

Stilicon avait besoin de grand air. Son travail sur la carte lui prenait sa concentration, tant qu'il en avait mal à la tête. Il était tard mais il n'hésita pas à aller sur la plage.
Arrivé au bord de la mer, il ferma les yeux et laissa le vent lui soufflait sur son visage. Il se mit alors à tourner sur lui même, les bras levés vers le ciel, comme une sorte de danse. Et soudain, il ouvrit les yeux et aperçut une personne au bord de la falaise. Son sang ne fit qu'un tour. Cette personne courrait un risque. Il se précipita et gravit la falaise. Arrivé essoufflé en haut, il la chercha des yeux. Il s'approcha de l'endroit où elle se trouvait et...
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Laelys

Elle se cogna contre lui en reculant, étouffa un cri, manquant perdre l'équilibre. Elle se rattrapa à son vêtement, le regarda. Son cœur emballé brouillait sa vue, elle le vit flou, et lumineux, et cru voir un ange. Saisie, elle ne fut plus que grondements, se confondant avec l'élément en bas.

- Vous.... vous êtes ..un ange?

Elle lâcha son habit, lentement, en même temps qu'elle revenait à elle. Confuse, elle finit par voir ce qu'il était vraiment. Un jeune homme, essoufflé, et aussi choqué qu'elle. Enfin, c'est ce qu'elle espérait..sans quoi sa conduite allait passer pour folle.

- Non..

Une inspiration, elle se met à l'abri, du rebord, en faisant un pas de côté.

- Je suis désolée..je..je n'avais jamais vu..et..je me suis approchée trop près..et... vous êtes apparu...

C'est bien tout ce qu'elle était capable d'ânonner. Du regard, elle lui demanda de l'aide pour sortir de son embarras.

William_zola

Après une soirée écourtée en taverne, Will parti à la recherche de sa bien aimée...
Il se doutait que les pas de cette dernière la conduirait à la plage.
C'est ainsi que Will l'aperçu, perdue dans ses pensées.

Il se rapprocha doucement d'elle, l'étreignis et l'embrassa.

Bonjour ma belle !
Je suis désolé d'être parti si vite hier soir. Mais j'avais un ami à voir de toute urgence.
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William_zola

Will avait entendu une rumeur concernant un entrainement militaire sur la plage de Bertincourt et que celle ci serait interdite d'accès ....

Boudiou !! Si c'est encore cet hurluberlu d'Hugo qui souhaite faire des siennes, il va vite être reçu. Aux dernières nouvelles, il n'a aucun droit sur cette plage ! Will parle tout seul et un peu fort, histoire de se détendre un peu ... Non mais ! pour qui il se prend ? Aucune demande de sa part n'a été faite à la mairie, et encore moins au château. S'il me cherche vraiment, il va finir pas me trouver. Un petit duel pourrai lui permettre de reflechir !
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Laelys

Après un tour de la ville, exécuté du pas rapide qui était le sien quand elle ruminait une déconvenue, elle allait contre ce vent humide qu'elle avait senti en arrivant. Il lui semblait étrange. Chargé d'odeurs inconnues, de sons lourds. Elle grimpa, dédaignant le sentier qui menait à la plage, où elle voyait des silhouettes bouger. Pas d'humeur à s'amuser.

Elle n'avait jamais vu l'océan, ni même de très grand lac. Encore qu'elle se demandait si çà pouvait se comparer. Un lac ne fait pas tant de vacarme!
Elle en voulait à tout, et était toute prête à maudire cette grande masse d'eau si bruyante, qui avait l'impolitesse de s'immiscer dans l'air.

Seulement, rien ne l'avait préparée à çà.
Instinctivement, elle se rapprocha d'une masse suintante et sombre pour se protéger.
Elle s'y serait volontiers cachée, si les bords n'en avait pas été si tranchants.

Frappant par son éclat gris, grondant, hostile et majestueux.

Elle resta sans gestes, et sans pensées, brindille collée contre un rocher. Elle resta sans souffle, les yeux écarquillés.

C'était....

C'était comme un très vieux Dieu, étalé et revêche.
C'était comme le vide, et comme la vie.
C'était terrifiant et fascinant.

C'était..tellement beau, qu' inconsciente elle s'approcha du bord de la falaise. Elle avait peur du vide. Elle regarda en bas, et se figea, appelée et rejetée.

Un effort..un pas en arrière. Elle comprit enfin qu'elle avait froid, et serra autour d'elle ses bras.

Cathelineau.

Hugo vit une dame sur la plage, il cria

Vous etes sourde ou quoi? On est en train de préparer la plage à un entrainement militaire et vous marchez dessus? Mais vous
êtes pas bien?
On a mit des parchemins pour vous prévenir!
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Perl

Hugo. a écrit:

Oyez!

La plage vous est empreinté pour notre entrainement, celui ci aurat lieu ce week-end, alors n'aller pas sur la plage.La plage vous seras rendus Lundi.

Hugo, Commandant.

Perl gambadait avec un sceau dans la main, elle avait comme objectif de ramasser quelques petits custacés pour son plaisir de les déguster le soir venu.

Une affiche cloué à un arbre avait attiré son attention quelques secondes, à cette lecture Perl avait sourit.

bien j'ai encore le temps de ramasser mon souper la fin de semaine est encore loin ou est-ce déjà passé... Peut-être nous sommes en milieu de semaine...

Un peu plus près de des vagues, les pieds qui s'enfoncant dans le sable, elle avait entendu messire Hugo s'époumoner...

Hé bien bonjour messire Hugo, pourquoi expulser la plage si vite? Au contraire nous ne sommes pas sourd mais votre message n'est peut-être pas si clair! Aller Aller, vous venez m'aider à ramasser les petits crustacés?
_________________

Aambre

Oceade allait répondre à Jewell lorsqu'un homme interpella cette derniére un peu grossiérement.
Elle se tourna donc vers lui et lui dit :

Bien le bonjour. Nous avons lu les pancartes mais nous avons encore le temps d'évacuer l'endroit. Vous commencez juste les préparatifs il me semble.. Donc je ne vois pas où est l'urgence.

Puis elle se tourna vers Jewell, lui fit un clin d'oeil et lui répondit :

Pour ma part j'aimerais bien y aller oui. Si tout le monde en a envie nous allons rebrousser chemin et aller récupérer Bravache.
Et si toutefois notre présence dérange vraiment nous profiterons des plages Normande pour s'organiser cette partie de pêche, qu'en dites vous ?

Elle attendit ensuite la réponse de ses amis, contemplant encore ce paysage qui ne cessait de l'éblouir.

Cathelineau.

Très bien, je vous laisse j'usqu'à ce soir 18h30, pour rammasser vos crustacés!
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Lunadeltounette

La jeune femme avait marchée toute la nuit et s'est au petit matin qu'elle arriva sur la plage de Bertincour.
Elle contempla le soleil se lever sur la mer.
Le vent était certe froid mais bon. Luna respira profondément l'air marin et s'assit quelques intants sur le sable.
Elle était heureuse de revenir en ces lieux . Elle était heureuse de revoir son bien aimé.
Mais pour l'heure il lui falait manger et pourquoi ne pas pêcher ?

pnj

Toujours au sol, elle remarqua que Yann et Océade se sont décidément ligués contre elle!

Oh oui Jewell, écoutes Océade et viens contempler cela de plus prêt, je t'assure que c'est encore mieux et puis tu n'as pas le choix, si tu ne viens pas par toi-même, l'on t'attrape, l'on t'attache et l'on te fait descendre la falaise ainsi !

Rhooo ! je m'insurge là! Pas intérêt si j 'y vais c'est par moi-même. ERF! Elle aurait pas du dire cela...

Voyant Océade et son regard elle compris qu'elle passait pour une peureuse... "Rhaaa". Voila qu'elle décide de se lever malgré ses jambes qui s'entrechoquent, elle met un pied devant l'autre.
Elle se crispe et tente de rester en équilibres les mains levées. Doucement mais sûrement, le bords s'approche d'elle... enfin c'est elle qui s'en approche. A un pas derrière Yann et Océade, c'était suffisant, non? Le regard disait que non.. Malheur! Elle va défaillir si ça continue... Arrêt, stop ! Elle sent ses jambes trembler à la vue du vide, elle fait mine de rien devant ses amis et tente de se redresser lutant contre elle-même et se martelant le crâne de « Ne regarde pas en bas ! Ne regardes pas en bas ! ». Tête relevée, les yeux fixent l’horizon désormais. L’étonnement d’elle-même survient. La mer à perte de vue, oui c’était très beau. Mais cette peur qui la tiraillait… « Admire le paysage ! » toujours la petite voix qui parle… elle s’exécute. Une belle marine s’offrait à eux pas de doute possible. Mais c’est l’air vivifiant surtout qu’elle appréciait. "Hmmmmm un bon bol d’air frais ! Pas celui de Cambrai c’uis-ci !" Bon après tout Cambrai avait un certain charme… fallait pas le renier… Puis elle voit en rêve les bons poissons qu'il est possible de goûter... Se tournant vers ses deux compagnons, pour aborder un sujet autre que sa phobie…

Vous allez aller à la pêche au fait ?

Aambre

La jeune femme toujours assise auprés de Jewell répondit au clin d'oeil de Yann.
Elle se leva, époussetta les grains de sable collés à ses vêtements et attendit une réaction de Jewell.
Nul besoin de surenchérir aux propos de leur ami ne voulant pas donner l'impression de forcer la petite peureuse. Oceade se contenta de lui sourire et tendit elle aussi une main secourable..

Cathelineau.

Hugo arriva avec plusieurs parchemins, il les mit à chaque entré de la plage

Citation:

Oyez!

La plage vous est empreinté pour notre entrainement, celui ci aurat lieu ce week-end, alors n'aller pas sur la plage.La plage vous seras rendus Lundi.

Hugo, Commandant.

Hugo commenca à préparer le terrain
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pnj

nini arriva sur la plage, pour la premiere fois depuis bien longtemp, et elle se senti tellement bien, qu elle alla courir dans l eau, en rigolant toute seule
puis, epuisée par cette poussée d adrenaline et par l eau gelée, elle ressortit de l eau et alla se poser sur la plage
elle se coucha admira encore un moment la plage et finis par s y endormir

pnj

nini se reveilla brusquement, a cause du froid mordant du vent, elle se demanda d abord ou elle etait. puis se rappella qu elle etait sur la plage se leva admira encore un moment la mer puis repartie chez elle, encore trempée

Yann_blue

finalement, Jewell n'eut pas d'autre choix que des les accompagner et bien que probablement peureuse a l'idée de monter sur la falaise elle ne ronchonna pas trop et se laissa guider par leurs soins.
Une fois arrivé en haut, il s'approcha du bord afin de mieux contempler le paysage qui s'offrait à eux.

De la haut l'impression que la mer et le ciel ne faisaient plus qu'un "était d'autant plus vrai, l'on peinait presque à distinguer les deux et tout avait l'air si petit et à la fois paradoxalement impressionnant si l'on repensait à la taille que faisait le phare ainsi que les bateaux si l'on se trouvait face à eux.
Un petit coup d'oeil prolongé vers le bas et l'on pouvait voir l'écume des vagues qui venaient se briser contre la falaise et ce vent, ce vent qui fouettait le visage ... c'est alors qu'il allait s'asseoir au précipice de la falaise que les filles le firent sortir de son état de contemplation.
Ce fut tout d'abord Jewell, qui semblait inquiète de le voir si proche du rebord bien qu'en justifiant cela en lui disant qu'il leur était encore utile pour le voyage, puis Océade qui rejoint l'avis de Jewell, mais à une nuance prêt qui était de proposer à Jewell de s'approcher du bord.
C'est tout sourire qu'il se retourna vers elles.

Oh oui Jewell, écoutes Océade et viens contempler cela de plus prêt, je t'assure que c'est encore mieux et puis tu n'as pas le choix, si tu ne viens pas par toi-même, l'on t'attrape, l'on t'attache et l'on te fait descendre la falaise ainsi !

Il regarda Océade et lui fit un clin d'oeil, afin de s'assurer que cette dernière était prête à attraper Jewell si nécessaire, puis il tendit sa main vers Jewell afin de lui faire comprendre qu'elle ne craignait rien.

Aambre

Les trois jeunes gens arrivérent à destination. Jewell bien que crispée fit le chemin, plus par obligation que par choix.
Oceade, elle, était impatiente de découvrir ce fabuleux paysage dont on lui avait parlé.
Arrivée sur la falaise, elle regarda admirative la vue qui s'offrait.
Tout était si petit, si infime.. Le phare n'était plus qu'une silhouette dessinée par le soleil qui pointait timidement, les bateaux des taches minuscules secouées par le vent et les vagues.
Elle s'approcha du bord de la falaise, aprés avoir dégagé avec douceur la main de Jewell qui s'agrippait à son bras.
En bas les vagues venaient frapper le pied de la falaise, semblant vouloir la grignoter. Cette lutte, intemporelle, faisait apparaitre une ligne blanche, comme pour marquer la différence entre la terre et la mer.
Le vent se levait et Océade cheveux au vent, sourire aux lévres, n'en ressentit aucune peur.. D'autant que la direction du vent était celle de l'intérieur des terres.
Elle se retourna vers son amie restait en retrait et lui tendit la main :

Vient, tu ne crains rien. Yann et moi t'attacherons s'il le faut dit elle en riant. Le paysage est magnifique, le monde semble si petit vu d'ici.

Elle regarda Yann qui souriait légérement taquin en regardant leur amie. Puis elle retourna aux cotés de Jewell qui était maintenant assise et qui essayait de faire revenir leur compagnon un peu plus prés d'elle.. Elle rit en entendant ses paroles sachant trés bien que ce n'était qu'une façon de dissimuler son angoisse.

Oui, on a besoin de toi pour les laissez passer et aussi pour faire la route, dit elle en souriant, taquine.

Elle continua à mirer ce paysage, regrettant ne plus avoir les mots pour décrire cette journée..

pnj

Le bras tiré par Yann, qui la conduisait vers un chemin montant la falaise, Jewell n'eut pas d'autre alternative que de les suivre... bouhhhhh elle le maudissait presque. Elle essaya quand même de faire bonne figure mais son cœur battait toujours un peu plus vite dès lors qu'ils s'approchaient à destination.
3 pas... 2 pas... 1... ils y étaient... Nom d'une ....... foutre ..... Pas un mot ne sortit de sa bouche serrée par la peur du précipice en vue, à quelques mètres d'elle seulement. Mais elle l'avouait: quelle vue!!! Impressionnante! Epoustouflante! L'on voyait si loin!!
Le phare , la plage, les bateaux au loin, réduits a de minuscules point sur l'horizon, et ……. Bravache, en bas, elle aussi toute petite désormais.
Elle s’était rapproché du bord sans vraiment s’en rendre compte mais la vue de Bravache la fit rappeler la réalité.
Un bond en arrière sans se mettre dos au vide des fois qu’il la happerait … Elle recula la main dans le vide qui cherchait a tatillon l’un de ses amis… Tiens un bras … elle se retourna furtivement… celui d’Océade qui souriait à la vue de ce spectacle … Elle se rapprocha d’elle, maintenant à sa hauteur elle se sentait plus en sécurité.
Yann non loin de là semblait rire d’elle ou d’elles plutôt. Lui plus près du bord ne semblait pas impressionné plus que cela….

Je t’en prie ne te moques pas je suis morte de peur !
J’avoues la vue est magnifique ! mais je peux pas aller plus près.
Et toi Océ ? tu en penses quoi ?

Et le vent qui commençait à se lever, il pourrait la déséquilibrer sans moyen de se retenir elle tomberait dans le vide… Jetant un regard à Yann qui semblait trop inconscient à son goût, elle le rappela à l’ordre.

Yann reste pas trop près du bord ! Il y a de plus en plus de vent ! On a besoin de toi pour les laissez-passer… elle essayait même de faire de l humour mais l’angoisse restait lisible sur son visage.
Une grande inspiration … et elle se mit en tête : qu’elle n’était pas près du bord, qu’il ne pouvait rien lui arriver et qu’elle devait se calmer et reprendre ses esprits… Elle s’assit au sol et continua de mirer la vue qu’elle découvrait…

Aambre

Oceade grimaça lorsqu'elle entendit Yann commencer à parler de la premiére fois qu'il vit la mer, non pas que cela ne l'intéressait pas mais elle était impatiente d'aller voir la mer du haut d'une falaise.
Elle éclata de rire ensuite comprenant que ce dernier les avait encore taquiné.
Jewell semblait vraiment peu attirée par cette promenade, prenant comme prétexte Bravache, alors Océade s'approcha d'elle et lui chuchota :

Rassures toi, tu n'es pas la seule à appréhender cette promenade. Mais ma curiosité est bien trop forte pour que je m'attarde sur ma "peur".

Elle reprit un ton normal pour confirmer les dires de leur ami :

En effet, Bravache nous attendra. Elle continuera à prendre des "bains de sabots" et ne s'éloignera pas.

Une derniére caresse à sa jument et la jeune femme suivit ses compagnons sur le chemin qui menait au bas de la falaise.

Yann_blue

Comme il le pensait les jeunes femmes étaient toutes à leur plaisir que de faire la connaissance avec la mer pour la première fois.
C'est vrai que la première fois qu'il l'avait vu, il y a de cela quelques temps, voir longtemps diraient certains même, c'était, c'était ... mais où diable cela était ce déjà ? pas durant son enfance ça non, il le savait bien.
Pas en Bretagne non plus, alors que cela aurait pu être le cas, mais c'était à Béziers lors de son long vagabondage après avoir fui la Bretagne avant de s'installer en Alençon.
bien que la mer méditerranéenne était plus calme que celle devant lui ce jour, les souvenirs remontaient à la surface au fur et à mesure qu'Océade ainsi que Jewell lui faisaient par de leurs impressions.

Vous avez bien raison, c'est magnifique, je me rappelle la première fois que je l'ai vu moi aussi ... Il eut alors un petit sourire en voyant les jeunes femmes grimacer à l'idée qu'il allait leur raconter un souvenir qui n'en finirait sans doute pas.

Je vous rassure va, je plaisantais !
Je vais garder cela pour moi, si vous voulez savoir ce que j'en pense, il vous faudra acheter mes mémoires qui paraitront un jour ou pas ! Il ponctua sa dernière d'un franc éclat de rire tant l'idée d'écrire des mémoires que de les faire payer à ses amies lui paraissait incongrue.

S'en suivi quelques discutions relatives à la pèche, ainsi qu'à la mer, puis Océade leur proposa que d'aller encore mieux observer la mer du haut des falaises.
Il savait bien que Jewell avait le vertige et que cette idée risquerait de fortement lui déplaire et comme il s'en doutait cette dernière ne put s'empêcher de trouver une excuse en prétextant que Bravache ne pouvait pas rester seule sur la plage.

tututu, ne t'en fais pas pour Bravade va Jewell, elle est grande, je suis persuadé qu'elle restera sagement ici à attendre le retour de sa propriétaire, elle se dégourdira peut être un peu les sabots dans l'eau tout au plus ! Ceci fait il les prit toutes les deux par le bras et les emmenas en direction de la falaise bien décidé à ne pas laisser de temps à Jewell afin qu'elle ne trouve pas une meilleure excuse.

Aambre

Oceade était retournée à la contemplation de ce magnifique paysage. Jewell semblait être tellement absorbée qu'elle ne l'avait surement pas entendu lui parler ou alors le vent avait couvert la voix de la jeune femme.
Soudain, elle aperçut Yann qui arrivait bottes en mains. Un sourire naquit sur ses lèvres. Elle pensa qu'elle se ferait le plaisir elle aussi, de marcher pieds nus dans le sable.

A sa question, elle répondit :

Et bien c'est aussi magnifique que l'on me l'avait dit.. C'est si apaisant en même temps. J'aime cette vue.. C'est splendide, dit elle en souriant.. et il y a une autre à qui cela semble convenir aussi.. Bravache.

Elle regarda la jument qui continuait à batifoler au bord de la plage.

J'aimerais bien aller en haut des falaises. Cela vous dit ?

pnj

A peine le temps d'y penser que Océade vint rejoindre Jewell sur la plage accompagnée de sa jument (et pas une mule!). Elle s'assit à ses cotés les yeux fixés sur l'horizon.

Bonsoir Jew. Je t'ai attendu au village et ne t'y voyant pas, j'ai décidé de venir voir la mer

Bonjour Océade, je suis désolé je me suis faite trop impatiente de voir la mer. J'espère que tu ne m'en voudra pas ...Tu as bien dormi? l'auberge est confortable je trouve ... Et yann? L'as-tu vu ce matin?

Confirmation du dicton "quand on parle du loup ..." le voila qui s'avancait pieds nus, bottes à la main. La jeune femme le regarda, de haut en bas, un peu saisie, de le voir dans cet état de détente ...

Mesdames, j'étais persuadé de vous trouver ici lorsque je me suis rendu compte que vous aviez déjà quitté la taverne.
Alors vos premières impressions concernant ce paysage que vous aviez tant hâte de découvrir ?

Regard vers yann accompagné de son plus beau sourire. devait elle vraiment le dire? son ravissement se voyait de lui meme pourtant.

C'est trop beau la mer! phrase simple qu'elle disait béate d'admiration... Cest vraiment magnifique meiux que dans mon imagination! Et sinon je compte bien allez a la pêche en plus, les pieds dans l'eau.

Voyant le BVVM qui enfoncait ses pieds dans le sable et semblait bell et bien omnubilé par ça, elle decida d'enlever ses jolies chausses et de profiter de cette sensation elle aussi...
Brrrrrrrrr que c'était froid!Une fois le frisson passé, c'est vrai que c'était agréable ...
Océade émit l'idée d'aller en haut des falaises ... elle se figea un peu, se retournant sur l'imensité de celle-ci qui tombaient à pic sur l'océan. Elle savait que la Cambraisienne avait le vertige pourtant! Rha ces alençonnais!
Elle se tourna vers les réactions d'Océade et Yann qui contrastaient avec la peur de Jewell.

Euuuuuuhhhhh! Ta jument peut pas rester seule non plus?!!! pas la meilleure excuse la jument ... Elle essayerai d'en trouver une plus crédible, pendant que Yann donnerai son avis sur la question ...

Aambre

Oceade avait passé la journée à travailler dans un champ. A la fin de la journée, elle alla chercher Bravache qui était dans l'écurie de l'auberge des heureux soiffards.
Une fois sa jument prête, la jeune Alençonnaise prit le chemin menant vers la mer. Pour une fois, Bravache n'avait pas à la porter sur son dos, la jument la suivait, seulement tenue par la bride.
La mer apparut enfin.. Immense étendue d'eau, se confondant avec le ciel, un horizon infini..
C'était donc ça la mer. Apparement si calme et pourtant si vivante.
Oceade arriva vers l'eau, elle entraina Bravache dans les vagues et resta sur le sable.. La jument semblait apprécier ce bain de sabots autant que sa cavaliére aimait le paysage qui s'offrait à ses yeux. Tout était si beau, si immense.
Au loin l'on aperçevait le phare, qui permettait aux pêcheurs qui rentraient de se repérer.
La jeune alençonnaise perdue dans sa contemplation n'aperçut pas tout de suite la silhouette sur la plage. C'est en s'en approchant qu'elle reconnut Jewel.
Entrainant Bravache qui batifolait toujours dans l'eau, elle s'approcha de la jeune femme qui en peu de jours était devenue plus qu'une simple compagne de route.
Elle sourit à Jewel, s'assit à ses cotés et lacha Bravache. Elle savait que la jument ne s'éloignerait pas, elle n'avait donc aucune crainte.

Bonsoir Jew. Je t'ai attendu au village et ne t'y voyant pas, j'ai décidé de venir voir la mer, dit elle en souriant.

Yann_blue

Après avoir passé la nuit dans la première taverne venue où ils trouvèrent des chambres libres afin de se reposer du voyage les amenant à Bertincourt.
Il se réveilla au petit matin prêt à flâner dans la ville et bien décidé à mieux la connaître.
Voulant en faire profiter ses compagnons de voyage, il alla toquer aux portes, mais à chaque fois il fit choux blanc à croire que les jeunes femmes avaient des projets en tête, il se doutait bien de ce qui avait pu les faire se lever si prestament.
Il prit donc la direction de la plage à pied, bien qu'il aurait pu y aller accompagné par Prompt, mais il décida d'accorder un peu de repos à ce dernier .
Tout occupé qu'il était à penser à ses amis restés en Alençon, il ne vit pas réellement le temps passer jusqu'à ce qu'il réalise que le vent commençait à souffler fort et qu'en sortant de ses pensées il vit la mer apparaître.

Il avança donc vers cette étendue d'eau sans fin, le vent claquant sur ses joues, une fois arrivé sur la plage en elle-même, il se décida à profiter de l'instant et retira ses bottes afin de profiter de la sensation de marcher sur le sable.
C'était une sensation des plus agréables bien que le temps ne se prêtait guère à ce genre de fantaisies.
Il marcha ainsi pendant quelques temps, en profitant de l'air vivifiant et du sable qui massait presque ses pieds à chaque foulée, lorsqu'il aperçu deux silhouettes devant lui, mais il était encore trop loin afin d'affirmer de qui il s'agissait, même s'il était persuadé qu'il s'agissait bien de ses compagnes de voyage.
Ce n'était qu'après quelques pas vers leur direction, qu'il eu confirmation, il s'approcha donc d'elles paisiblement, occupés qu'elles avaient l'air d'être, il aurait sans doute pu en profiter afin de leur jouer un tour, mais il préféra les laisser profiter de la découverte qu'elles faisaient avec la mer.

C'est tout sourire qu'il arriva auprès d'elles en tenant ses bottes à la main : Mesdames, j'étais persuadé de vous trouver ici lorsque je me suis rendu compte que vous aviez déjà quitté la taverne.
Alors vos premières impressions concernant ce paysage que vous aviez tant hâte de découvrir ? Ceci fait il s'assit à côté d'elles tout en les observant, le regard interrogateur, pressé de connaître leur avis.

pnj

Arrivée d'un long voyage accompagné de ses compagnons de route Yann et Océade, Jewell ne put s'empecher de courrir voir la mer pour la première fois de sa vie.
Bien sûr on lui en avait parlé, elle avait même lu des tas de choses sur le sujet, mais se retrouver enfin en face de ce qu'elle avait si souvent imaginé n'était pas comparable.
Bien emmitouflée, elle se rendit sur la plage, cette grande étendu de sable où les empreintes de pas restaient ancrées là où la mer n'etait pas encore repassée ...
On ne lui avait pas mentit tout ses sens étaient titillés par ce paysage marin.
La magnifique étendue d'eau à perte de vue qui s'offrait devant elle déja, était une pure merveille.
Elle ferma les yeux un instant ... seul le roulement des vagues et l'écrasement de celles-ci sur les falaises se faisaient entendre. Malgrés ce grondement incessant elle se sentait en paix reposée. Enfin quand meme fatiguée du voyage mais oublié toutà cet instant. Le cri des quelques mouetttes qui passaient au dessus d'elle se rajouta à cette quasi-melodie.
Ce fut ensuite au tour de ses sens olfactifs de se mettre en eveil. L'odeur de l'iode jamais connue encore arrivait ses narines ...
Tant de nouvelles sensations qu'elle decouvrait en un même lieu...

Ravie de pouvoir enfin admirer ce spectacle, il y avait pourtant un vent à decorner des boeufs. Ca aussi on lui en avait parler mais elle ne pensait pas qu'il serait d'une telle intensité.
Elle s'assit sur le sable comtempant le spectacle et guettant derrière elle si l'un de ses compagnons arrivait ...

Veropv

Véro arriva sur la plage, elle n'avait pas emmené Féroce, elle avait juste besoin d'être seule. Elle regardait l'endroit ou la cabane des déséspérées avait troné longtemps et qui n'existait plus aujourd'hui.

Elle eut un sourire à ce souvenir et se disait qu'aujourd'hui elle aurait bien besoin d'un coup de pompe façon 42 fillette dans le popotin comme disait Yosh ....

regardant vers l'horizon

Yosh ou es tu mon ami ma vie semble si vide sans toi! J'espère simplement que tu va bien?

Soupire

Sa tête encore embrumer des reste d'alcool qu'elle avait pris hier lui faisait un mal de chien sans parler de son estomac qui la faisait grimacer de temps a autre elle s'asseaya sur la sable sorti la couverture et la posa sur ses épaules, et là tout lui revint en mémoire comme si sa vie défilé devant ses yeux.

La surprise qu'elle voulait lui faire, ses mots à lui qui raisonné dans sa tête comme un tam tam incessant, et cette question lourde de conséquence qui avait bien failli provoquer la rupture définitive.

Et puis tout c'était enchainé à une vitesse folle,les paroles,la gifles qui était partie,ses pleurs et un sentiment de solitude et la peur qu'il la quitte l'avait envahi.

Elle s'allongea finalement sur le sable et se remis à pleurer provoquant un mal de tête encore plus intense.

Elle prit dans sa besace une pommade qu'elle s'appliqua sur les tampes espérant que sa lui calmerait cet affreux mal de tête.

Elle sortie une deuxième couverture qu'elle déposa sur elle,et s'allongea fermant les yeux ne voulant plus penser à cette soirée et cette surprise raté qu'elle voulait lui faire.

le calme la solitude le silence....

pnj

jey souria aprés un beau coucher de soleil puis l'embrassa passionement et lui répondit

oui volontier

puis se dirigèrent vers la taverne main dans la main

Veropv

Véro arriva sur la plage avec Féroce, un petit vent cinglé ses joues mais l'air y été si pure qu'elle ne prêta pas plus attention à ce dernier.
Voir courir Féroce la faisait sourire.
Elle se disait qu'il serait bien qu'elle et son amoureux y viennent tous les deux en tête à tête.

Elle lui ferait la surprise dans quelque temps.

Véro regardait Féroce qui évitait les vagues qui venaient mourir sur la plage et Véro se mit à rire.

Elle sorti de sa besace une couverture qu'elle déposa sur le sable et elle s'y été assise. Elle en sortie une autre qu'elle déposa sur ses épaules.

Elle resta un moment sur la plage avec Féroce.

pnj

jey et roze partent main dans main en direction de la plage , le soleil couchant puis s'assoit et attira son petit coeur vers lui

pnj

rozenna arriva main dans la main avec jey sur la plage, la journee etait passe a toute vitesse sans qu'elle se rende compte.
il avancerent tout 2, roze sentait ses pieds s'enfoncer dans le sable, elle se retourna et vit leur traces dessinees, elle souria
jey l'emena, apres quelques minutes de promenade, s'asseoir pres de quelques rochers.
il l'attira et elle se blottit tout contre lui.
l'endroit etait paisible, seul le bruit de l'eau et d'une petit brise dominaient, ils ne briserent pas cet etat assez silencieux, ils regarderent a l'horizon le soleil couchant

elle commencait a sentir le froid et frissonna un instant, jey serra un peu plus ses bras autour d'elle.
rozenna lui sourit et posa sa tete sur son epaule.
apres quelques instants, la nuit prit sa place peu a peu...elle le regarda
"dit? si on allait se rechauffer devant une bonne chopine en taverne^^?"

Stilicon

A la question de Perl, il ne sut quoi répondre. Il était effectivement plus méfiant depuis sa mission. Hors les murs, tous est possible, et au carrefour de la route de Dieppe, Stilicon avait entendu de nombreuses rumeurs, dont une concernant Bertincourt. Les vents apportent souvent les mauvaises nouvelles avant l'orage.

"Je vous préviens, ne soyez point effrayer ! Je vous conseille de ne faire confiance qu'à vous même, c'est tout ! " dit-il alors.
_________________

pnj

djidane revint sur la plage et il s'allongea sur le sable doux

il avait etait faché hier soir lui qui etait n ormalement d'un calme olympien avait sorti son epée et il la posa sur le sol en chanta une de ses chansons

-Alone for a while I've been searching through the dark
For traces of the love you left inside my lonely heart
To weave by picking up the pieces that remain
Melodies of life - Love's lost refrain

Our paths they did cross, though I cannot say just why
We met, we laughed, we held on fast, and then we said goodbye
And who'll hear the echoes of stories never told ?
Let them ring out loud till they unfold

In my dearest memories, I see you reaching out to me
Though you're gone, I still believe that you can call out my name

A voice from the past, joining yours and mine
Adding up the layers of harmony
And so it goes, on and on
Melodies of life,
To the sky beyond the flying birds - Forever and beyond

So far and away, see the bird as it flies by
Gliding through the shadows of the clouds up in the sky
I've laid my memories and dreams upon those wings
Leave them now and see what tomorrow brings

In your dearest memories, do you remember loving me ?
Was it fate that brought us close and now leaves me behind ?

A voice from the past, joining yours and mine
Adding up the layers of harmony
And so it goes, on and on
Melodies of life,
To the sky beyond the flying birds - Forever and beyond

If I should leave this lonely world behind
Your voice will still remember our melody
Now I know we'll carry on
Melodies of life
Come circle round and grow deep in our hearts
As long as we remember

Stilicon

Stilicon revenait de sa mission et ressentit une présence malveillante dans le village. Il passa alors vers la plage, où un petit groupe de Bertincourtois se trouvait. Il alla vers eux, leur demanda de décliner leur identité afin de facilité la sécurité du village. Il les informa aussi de ses pressentiments :

"Est-ce que quelqu'un a aperçu quelque chose, ces temps-ci, un étranger? Y a t'il eu des évènements remarquables ou bizarres dans les entourages?"
_________________

Perl

Perl avait sourit de voir Stilicon s’approcher d’eux, ses yeux brillants sous les quelques rayons de soleil reflétait le vert de ceux-ci qui contrastait avec le bleu de la mer. Stilicon avait approché d’un pas décidé, son visage exprimait une certaine inquiétude, mais Stilicon était resté son mystérieux même après tout ce temps…

Oooooooo la mais Stilicon des étrangers ici tu n’es pas sérieux là, il y a que ça présentement à Bertincourt tellement que j’ai du mal à reconnaître les gens autour de moi, je crois que ta mission t’a rendu soupçonneux est-ce possible?

Mais Perl savait très bien que Stilicon n’était pas du genre à s’inquiéter pour rien, elle connaissait légèrement son vécu pour savoir qui disait sûrement vrai, mais comment détecter les gentils étrangers versus les méchants? Soupçonner tout le monde n’était pas dans la nature de Perl…

Le doute était maintenant entrer sournoisement en elle comme le vent qui se trouvait un chemin sous ses jupons pour retrouver ses mollets qu’il frigorifiait à chaque visite. Les mots de Stilicon avaient éteint le surplus de lumière dans ses yeux, seul un vert franc pouvait se voir. Son regard semi inquiet était sur lui.

Pourquoi demandes-tu ça au fait?
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Veropv

Véro arriva sur la plage avec Féroce. Le vent ce faisait sentir malgré une matinée ensoleillé. Mais Véro aimait ce froid sec rien de plus sain disait son grand père.Elle souriait à ce souvenir.

Elle se mit à rire quand elle vit Féroce bondir dans tous les sens pour éviter les pinces des petits crabes qui c'étaient réveillés.

Elle se mit a regarder en direction des rochers et en heu un frisson, puis se ravisa à cette pensée et se mit de nouveau à rire en voyant Féroce.

Elle le siffla pour attirer son attention et se mit à courir dans l'autre sens.

Féroce arriva détallant comme un coureur de fond et malgrés le sable dépassa Véro.

Véro se laissa tomber sur le sable, féroce la rejoignit et lui fit des léchouilles dans le cou et sur le bout de son nez.

Elle se mit a éclater de rire

Féroce arrête par pitié ça suffit mon chien allez stop.

Elle se mit assise lui caressa la tête lui donna une friandise

Allez mon chien on rentre à la maison.

pnj

rozenna decida de faire un petit tour sur la plage
elle aimait le contact du sable sous ses pieds et meme avec le froid ambiant ses doigts gouterent a l'eau glaciale...
elle aimait cet endroit meme si elle ne venait pas souvent, et profitais de ce qu il degageait
mystere, calme, couleurs.....
elle regarda dans sa besace et en sorti un petite couverture epaisse qu'elle installa sur le sable un peu humide
une fois assise elle comtempla l'horizon pensive mais avec un sourire evident dessiner sur ses levres....

Folie22

Le cri d'un oiseau pecheur éveilla Folie. D'abord ce fut la confusion la plus totale, ou était elle? Puis lentement mais surement la mémoire repris ses droits et Folie commenca a se sentir plus calme. Bertincourt, la plage, la fatigue...Elle avait du dormir assez longtemps puisque maintenant il faisait presque nuit.

Un sourire de satisfaction s'imprima sur ses levres, elle s'étira telle une chatte repue et indolente, puis se releva avant de frotter ses yeux. Le ventre criait famine et la plage était presque déserte...Manger, oui fallait manger mais fallait vite courir au village pour retrouver Fenris et Gil, ils ne lui pardonneraient surment pas de manquer a l'appel surtout par négligeance...C'est bien connu Folie est insouciente, et ca lui attire des mésaventures trop souvent. Elle rangea la couverture de laine dans son sac en ressortie une miche de pain qu'elle croqua avec gourmandise, puis se dirrigea au bord de l'eau.

Elle s'aspergea le visage profitant de la caresse de l'eau sur sa peau. Dommage qu'il lui faille aller au village, Folie aime tellement nager, ca sera pour plus tard...elle reviendrait.

Remettant son sac sur ses épaules elle jeta un dernier coup d'oeil aux alentours puis partie a toute vitesse vers les tavernes...Souhaitant ne pas arriver trop tard...
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Folie22

Déambuler sur la plage,voila un plaisir que Folie n'avait que rarement eue la chance de s'offrir. Le temps était magnifique, l'air plutot doux et le décors ma foi, enchanteur. Magnifique cette plage...

Le voyage depuis quelques jours avait été plutot pénible. Folie commencait a ressentir une certaine fatigue et la nuit derniere ne lui avait laissée aucun repos. En elle meme elle maugréait:

'' Je dois avoir une mine affreuse...je suis a bout de force. Et puis quelle idée de se perdre en chemin. J'apprendrai donc jamais a suivre les regles...''

Un grand rocher attira soudain son attention. L'envie d'aller s'y assoir la poussa a s'y rendre. Ici elle serait a l'abri des regards et pourrait meme se permettre une petite sieste...Oui elle allait dormir un peu ca lui ferait le plus grand bien. Elle ouvrit son sac et en sortie une couverture de laine . elle s'étendit confortablement appuyant la tete sur son sac puis s'envelloppa dans la couverture. Quel bonheur! Folie ferma les yeux laissant échapper un soupir de soulagement. Mais meme ainsi le sommeil s'obstinait a venir.Les évenements des derniers jours tournaient sans répit dans sa tete...

Fenris...qu'allait -il leur arriver? Quelque chose c'était brisé et maintenant elle le savait que trop bien plus rien ne serait pareil. Le coeur était brisé...la peine immense et la douleur vive...Faudrait bien passer a autre chose...

La fatigue réussit finalement a l'emporter sur les craintes de Folie et c'est avec quand meme un esprit agité qu'elle s'assoupit.
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Alicette9

alicette se promenait sur la plage. Elle poussait de ses pieds le sable lourd par l'humidité. Elle apperçut au loin Perl et un autre jeune homme. Elle ne voulut les déranger et ne s'en approcha pas plus. Elle s'assit sur le sable mouillant ses braies. Elle ferma les paupières. Alicette tourna la tête vers Perl et le jeune homme, ils étaient très proches et Perl tenait en sa main un objet : un pendentif ? Elle pensa alors à une chose, à Chriss. Non ! Perl ne le tromperait jamais ! enfin... Elle ne la connaissait pas bien...

Perl

[vers l'ouest de la plage]

Le messire lui offrait le plaisir de remplir un petit coin de sa panse, son ventre était pourtant silencieux dans la musique de la mer, seules quelques vaguelettes offraient un fond sonore régulier et agréable, celles-ci se cassaient près d’eux sans se soucier de leur présence.

Perl hésitait à prendre la tartelette, un combat faisait rage dans sa tête, comment ce geste pourrait être perçu, était-ce important?

C’est gentil de m’offrir cette dégustation, mais pour le moment mon estomac semble tranquille, je vais donc attendre un peu avant de lui offrir le plaisir de la bouffe.

Peu de monde était sur la plage, les quelques admirateurs de celle-ci devaient être bien au chaud dans leur demeure ou déjà parti en mer pour la taquiner de leurs cannes à pêche.

Perl avançait très lentement sur le sable, ses pas étaient courts, son regard rêveur tourbillonnait devant elle, le coquillage toujours dans sa main avec le bout du pouce elle le caressait machinalement sans vraiment s’en rendre compte.

Vous avez effleuré l’idée d’enseigner plus tôt… Cette idée ne m’était jamais venue…

Un petit silence était apparu, son regard s’était tourné vers Jules et elle lui avait offert un sourire.

Peut-être qu’un jour je serai suffisamment qualifié pour ça qui sait? J’ai entendu dire que vous étiez à l’académie de l’Ost, comment ça se passe là bas?
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Jules_cesar

[Vers L'Ouest de la palge ]

Oui comme moi pour amiens ! Sauf que avant j'habitait clermont qui est un super village champenois , mais le duc c'est foutu de moi donc j'ai decider de partir malgrés que j'avais une bonne situation là-bas...Et la je suis bien a Amiens !

Il faudrai que l'on peche ensemble un de ces quatres !Humm je vois vous aimez etudier ^^ pourquoi n'enseigniez vous pas ? Cela pourrait etre sympas! Non ?

Perl

[vers l'ouest de la plage]

La brise saline tourbillonnait autour de son visage, la marrée baissait doucement, elle c'était tranquillement rapproché du messire pour éviter d'élever le ton et briser la magie de la plage.

Doucement son regard vers le sol avait remarqué un coquillage, un trésor de la mer, de bel forme et attirant elle s'était accroupi pour le récupérer toute en écoutant les paroles de Jules.

Je suis curieuse de savoir ce que le duc a fait pour vous poussez à quitter votre région? Je suis si attachée à Bertincourt je ne me vois pas quitter ma région, déjà la guerre m'avait éloigné un temps et ce fût si pénible...

Mais peut-être désirez-vous garder cette information pour vous?

Perl c'était relevée, dans un mouvement d'habitude elle avait dépoussièré ses vêtements, dans sa main elle réchauffait le coquillage.
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Jules_cesar

jules sortit de l'eau ses chausses trempé...Il regarde perl ramsser un coquillage.

Il est magnifique se coquillage il y en a de plusieurs sorte j'en ai trouver un d'une couleur vive et d'une forme rectangulaire.Ho.....je vous parlerai plus tard.Avez vous un petit creu?

Jules sorti de sa besace lourde une petite tartelette au pomme.

Jules_cesar

Jule secoutait perl avec grande attention.Il la contemplai toujours....

Oui je pense aussi que bertincourt a de plus beau ici.Elle est encore plus belle avec ses petits crystaux de neige qui ne s'arrete point de tomber !
Pour moi aussi c'est un honneure de me promener avec vous !

Il y a fort longtemps que je n’ai pas pêché ici, vous en avez de la chance, je crois même que ma barque doit être devenu le refuge des bestioles de tout genre.

Cela est dommage péher est un moment où tous notre corps se libere de toute pression et ou le calme s'empare de nous !Votre barque est devenu le refuge de bestioles en tout genre dite vous ? Si vous voulez je peut vous en fabriquer une pour le prix minimal !Maisdites moi cela fait longtemps que vous vivez ici ?

Jules admira le coucher de soleil ainsi que les petites vagues s'echouersur le larges.Jules s'approcha de l'eau pour la toucher.

[b]elle est chaude pour cette saison-ci !!

[/b]

Perl

Perl n’était plus certaine du nombre d’année qu’elle était à Bertincourt, tant de gens passés autour d’elle, tant d’évènement vécu, était-elle rendu une vieille croûtonne du village. Un sourire naissant était apparu à cette pensée.

Je suis à Bertincourt depuis toujours, j’y suis née et je crois bien que j’y mourrai, Bertincourt est mon seul vrai amour qui ne m’abandonnera jamais. La mer notre offre les vagues pour les reprendre aussitôt, Bertincourt m’offre le bonheur pour me le reprendre très vite…

Je vous remercie pour l’offre de la barque mais mon temps est si chargé par les études et mon échoppe qu’il m’est impossible de pêcher pour le moment.

Un pincement au cœur venait de la torturer, la pêche lui manquait terriblement mais la raison l’emportait sur le plaisir comme bien des fois.

Perl était resté à l’écart des vaguelettes, mouiller ses chausses ne l’intéressait pas du tout, les risques de marcher dans la flotte le reste de la promenade ne l’enchantait guère, mais un sourire accompagnait le messire dans son exploration.

Avec un peu de chance vous pourrez trouver quelques huîtres…
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--Kentin

Il eu juste le temps de monter sans se faire voir
Il déteste les chiens
Se son de sale bête toujours le nez fourré partout
Il devra doubler de prudence, prendre garde
Personne ne devait contrecarrer son plan
Bientôt il pourrait faire se qu’il voulait d elle
Et personne ne devais,non personne ne pourrait rien faire pour elle
Son idée s embrouillait
Cette sale bête s il le fallait il n hésiterais pas
Et son petit soldat de plomb
Occupé comme il était avant qu’il réagisse il sera trop tard
Un sourire satisfait apparu sur son visage et ses yeux reflétaient la folie

Jules_cesar

Jules arriva sur la plage en compagnie de la ravissante perl

.Il venait ici pour parler un peu et jules surtout pour se changer les idée...

Qu'elle ravissante plage et surtout c'est un beau lac , je suis habituer au verger de clermont et non au lac....il grouille de poisson hier je n'ai pu pecher qu'un mulet d'environ 15 kilo ^^.

Sinon venez vous souvent ici ?

Jules comptemplait la beauté du lac et surtout la beauté de la jeune femme a coter de lui !Il sourit a perl puis tenait d'une main ferme sa besace qui semblait assez lourde !

Perl

[Vers l’est de la plage]

Elle l’avait rencontré en taverne, la curiosité de le connaître était présente en elle, son cercle d’ami n’était jamais fermer pour de nouveau arrivant. La proposition de la promenade l’avait enchanté, il y avait fort longtemps qu’elle restait dans sa bergerie…

Le sable commençait à durcir sous le froid qui enveloppait Bertincourt mais leurs pas dissipaient quelques grains pour laisser former une trace non franche sous leurs chausses. Les cristaux de neige n’arrivaient pas à rester fixe avec le vent du large qui les soufflait en bordure de forêt.

La plage est ce que Bertincourt a de plus beau, l’air salin offre joie à ceux qui laisse cet air les envelopper. C’est un honneur pour moi de vous faire découvrir les merveilles de cette plage.

Un court silence était installé entre eux, Perl observait la mer où l’horizon offrait l’infini.

Il y a fort longtemps que je n’ai pas pêché ici, vous en avez de la chance, je crois même que ma barque doit être devenu le refuge des bestioles de tout genre.
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Veropv

Véro arriva sur la plage avec Féroce, ça faisait un moment qu'elle n'était pas revenue ici.

malgré le vent qui lui cinglé le visage et ce froid si dru, elle souriait comme jamais heureuse d'avoir son coeur rempli de joie heureuse d'être avec celui qu'elle aimait depuis tout le temps, heureuse tout simplement.

hier ils avaient eu une longue discussion sur le passé, le présent et leurs avenir.

Véro regardait Féroce courir dans tous les sens sur la plage et visiblement le froid ne le derangeait pas plus que cela.

Quand soudain Féroce s'arrêta se mit en position d'arrêt regardant vers les rochers et se mit à grogner.

Véro se mit a le rappeler mais rien à faire. Elle se décida d'aller le chercher.

Et bien alors mon chien que t'arrive t'il tu as vu un crabe quelque chose aller vient Féroce on rentre à la maison avant que je ne finisse congelé sur place.

Elle fit demi tour et pressa un peu le pas car le vent devenait de plus en plus froid.

Féroce allé au pied

Elle se retourna mais féroce ne bougé pas

Grrrr féroce si tu m'oblige a faire demi tour je te prévient tu vas te prendre ...... Elle ne fini pas ses mots regardant ses pieds et se mit à rire.

Quand soudain Féroce se décida de rejoindre sa maitresse.

Ils remontèrent l'aplomb de la plage et tout en chemin se dit que cette attitude par Féroce était bien étrange que c'était il passé pour qu'il soit ainsi, lui qui obéissait tout de suite, quand

soudain les yeux de Véro s'agrandirent un regard terrifiant se lisait sur son visage et un frisson de peur lui traversa le corps.

Mon dieu je sais pourquoi tu à fait ça tu as vu quelqu'un féroce tu voulais me protéger mais qu'est ce que tu as bien pu voir ou sentir mon chien.

Elle se retourna regarda derrière elle mais rien ni personne, puis elle stoppa prête a faire demi tour pour voir qui ou quoi était sur la plage.
Puis à nouveau un frisson lui parcouru le corps et décida de foncer à la taverne de Pégas elle se mit soudain à courir.

Il faut que je raconte ça à quelqu'un c'est tellement étrange

Stilicon

Peut-on accoupler ce sujet avec celui intitulé "La plage de Bertincourt" posté par Dillaime, pour plus de facilité, merci d'avance

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--Kentin

Kentin l avais assez surveillé
Il connaissait maintenant tout d elle
Comme a son habitude il prit bien garde pour que personne ne le suive
La noirceur couvrait sa retraite
Il reprit donc le chemin de cette endroit caché, même lui avais eu de la difficulté à trouver cette endroit idéal pour se qu’il voulait faire
Il fallait qu’il se prépare
Il allait bientôt passer à l action
Il ne devait pas rater sa cible, elle allait payer
A cette idée un sourit méchant apparu sur son visage

[img=http://img187.imageshack.us/img187/4162/escaliersplageiz2.th.jpg]

[img=http://img165.imageshack.us/img165/5012/plage2nz7.th.jpg]

[img=http://img156.imageshack.us/img156/4464/plage7as1.th.jpg]

pnj

djidane arriva sur la plage et crus voir quelqu'un mais se dit que son imagination lui joué des tour

-aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh quelle calme

puis il chanta

-Alone for a while I've been searching through the dark
For traces of the love you left inside my lonely heart
To weave by picking up the pieces that remain
Melodies of life - Love's lost refrain

Our paths they did cross, though I cannot say just why
We met, we laughed, we held on fast, and then we said goodbye
And who'll hear the echoes of stories never told ?
Let them ring out loud till they unfold

In my dearest memories, I see you reaching out to me
Though you're gone, I still believe that you can call out my name

A voice from the past, joining yours and mine
Adding up the layers of harmony
And so it goes, on and on
Melodies of life,
To the sky beyond the flying birds - Forever and beyond

So far and away, see the bird as it flies by
Gliding through the shadows of the clouds up in the sky
I've laid my memories and dreams upon those wings
Leave them now and see what tomorrow brings

In your dearest memories, do you remember loving me ?
Was it fate that brought us close and now leaves me behind ?

A voice from the past, joining yours and mine
Adding up the layers of harmony
And so it goes, on and on
Melodies of life,
To the sky beyond the flying birds - Forever and beyond

If I should leave this lonely world behind
Your voice will still remember our melody
Now I know we'll carry on
Melodies of life
Come circle round and grow deep in our hearts
As long as we remember

Veropv

Véro arriva sur la plage, il ne faisait pas très chaud ce matin et le vent été bien froid. Mais cette air si vivifiant lui faisait du bien.

Chriss avait eu la main un peu lourde sur les tournées et elle se demandé encore comment sa tête n'avait pas explosé.

Elle se mit à sourire en repensant à Poupoune qui était faite comme une huitre. Elle n'arrêtait pas de danser autour de tout le monde et elle avait bien cru que tout le monde l'a prendrait pour une gamine ou une cinglé au pire des cas.

la pauvre première fois qu'elle vient en taverne elle va s'en souvenir.

Elle marchait le long de la plage.

Soudain son sourire s'effaça quand elle pensa à Océane et Yosh, c'était aujourd'hui qu'ils partaient vers d'autre comté vers leur avenir.

Encore deux qui partent se dit elle pour elle même pfffff

Elle repensait à son arrivée ici même, que de chemin parcouru depuis Avril et que d'aventure et de rencontre. Elle se mit à sourire en repensant à Darflex.

Son coeur terne était bien joyeux depuis un moment et c'était du à Darflex et son amour qu'il lui portait. qui aurait pu prédire ou prétendre un jour savoir que nous nous serions mis ensemble.
Véro avait une peur au ventre pas possible, trop de bonheur d'un coup, trop de chose simple.

Mais au lieu de se taire et de fuir comme à son habitude, elle avait parlé à Darflex ils avaient évoqué son voyage et d'autre chose qui avait failli ternir la joie qui régnait en eux.
Tout avait été dit avec calme avec des phrases simples et posées et franchise.

Tout avait été dit avec calme avec des phrases simples et posées et franchise.

Véro se sentait légère en ce jour et rien ni personne ne viendrait ternir se bonheur.

Yoshilas

Oceane40 a écrit:

Oceane se leva et se blottit tout contre les bras de son amour Yoshilas et , main dans la main ,ils se dirigerent vers leur demeure.

En s'éloignant yoshilas pense au voyage qu'ils vont entreprendre dan sdeux jours, mai sen attendant il la serre tout contre lui en l'emmenant dans sa demeure pour ... chuutttt c'est secret !!!
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Oceane40

Yosh ....tu crois que ton secret est un secret??????????
Que peuvent donc faire deux amoureux qui se retrouvent ....et qui s aiment tres forts...??
Je ne veux plus aller sur cette plage sans Toi..je veux rester à tes cotés.... meme Bertincourt sans Toi, sa fontaine ,ses tavernes me paraissent fades..JE T AIME ;

Yoshilas

Yoshilas regarde Océane tout en marchant et sourit a ses mots.
Ce qui est secret c'est ce que nous allons faire dans la maison mon amour hihi!!

Il la serra dans ses bras, réajusta le pull sur ses épaules, ils reprirent ensuite leur chemin tout en discutant.

Tu sais qu'on vas partir rapidement .......
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Oceane40

Oceane attrappa la main de Yosh et lui sourit.
"oui tu as raison il fait meilleur chez Toi,chez nous..J en ai assez de cette plage en fait ,je prefere tes bras et tes calins.Et puis j ai un peu soif en plus..pourrais tu me donner un verre d eau mon amour?"
Oceane se leva et se blottit tout contre les bras de son amour Yoshilas et , main dans la main ,ils se dirigerent vers leur demeure.

Veropv

Véro arriva comme promis sur la plage de Bertincourt en ce matin de 8 décembre.Voila 3 mois qu'elle était partie en voyage, trois longs mois.Elle regardait derrière elle et dit au revoir a Fougère et aurevoir à Paul33 qui avait trouvé la mort en chemin.

Elle déposa des fleurs devant la porte de sa maison.

Véro se mis à courir sur la plage suivit de féroce qui n'avait pas compris pourquoi sa maitresse c'était mise a courir ainsi.

Véro s'arrêta pour reprendre son souffle.Se mit à regarder féroce courir et sauter partout dans le sable comme il faisait avant.

Malgré tout ce qu'elle avait vécu aujourd'hui elle n'était plus seule.
Sa soeur était avec elle, ce voyage rocambolesque avait enfin porté ses fruits.
Elle avait retrouvé sa soeur et savait qu'elles ne se quitteraient jamais.

Féroce allé vient mon chien on rentre à la maison.

Stilicon

Stilicon descendait de la falaise où il avait passait un moment à prier. Il savait qu'il allait y retourner, peut-être à jamais. Il avait cessé de sourire. Il marchait lentement sur le chemin qui menait à la plage. Il avait repris sa canne, non pas qu'il souffrait de sa jambe, mais il sentait le poids des années l'écraser. Il était nostalgique et déroulait les meilleurs moments de sa vie.

Il avait déjà atteint la plage, lorsqu'il leva la tête et vit un chien, qui courait gaiement sur le sable. Il s'arrêta et vit une dame, une dame qu'il connaissait, c'était dame Veropv. Il l'appela, il cria son nom, mais une bourasque de vent étouffa son appel. Une tempète se préparait sur la côte, et la dame disparut. Dans un dernière effort, Stilicon hurla : "Veropv..."
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pnj

djidane ariva sur la lage et viut les 2 personne

-ah je crois que c'est pas le moment a mon avis

puis il allat autre pars sur la plage et s'alongea en marmonant les parole d'une douce chanson

Yoshilas

Yoshilas commençais à se sentir las et avait un peu froids malgré son pull. Il avait fermé les yeux de fatigue et se laissait bercer par le bruit du ressac.
Il sentie Océane bouger, son souffle caressait doucement la eau de son cou, un tendre baiser suivi d'autres plus passionés qui lui réchauffait le cœur. Il ne pu retenir un petit sourire tout en continuant de faire semblant de dormir.
Océane l’interpela mais il resta sans réaction jusqu’au moment ou il ne peut plus se retenir et se retourne vers elle.
Alors ca y es tu es réveillé, je vais donc pas me transformer en glaçon !! Tu sais que c’est vraiment mon dernier pull, si je dois encore venir te border ici je vais devoir en faire fabriquer quelque s’un au cas où.
Il se relève et tends la main pour aider Océane à se relever.
Viens on rentre chez moi, il fait chaud là-bas.
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Oceane40

Oceane sentit ,à travers son sommeil que quelqu un s etait assis pres d elle.
Elle ne savait Pas si elle revait encore ou si c etait vraiment la realite .
Elle s etait allongee sur cette P lage deserte,sans meme penser que n importe qui pouvait l attaquer et que personne ne l entendrait meme si ellecriait au secours.
Il y avait certes les moutons mais elle avait justee un peu oublier de les dresser à la defense..
Elle ouvrit donc les yeux un peu craintivement afin de deviner dans l obscurite qui s etait allonge pres d elle..
Dabord elle ne vit rien ,il faisait trop sombre et les nuages cachaient la lune ,elle vit une forme contre elle un corps recouvert d un pull qu elle connaissait bien et elle se rendit compte qu etait pose sur elle ,egalement,un autre pull.
Elle sourit en reconnaissant son amoureux Yoshilas et se dit qu il etait vraiment tres tendre et attentionne.
Elle n osait bouger ,de peur de le reveiller et passa quelques minutes à le regarder dormir.
Et puis doucement ,tres tendrement elle commenca à l embrasser dans le cou,à passer sa main dans ses cheveux..
"mon amour,reveille toi....yosh houhou,reveille toi!Il fait froid ici ,si on allait chez Toi,devant la cheminee?"
Oceane continua à lembrasser de plus en plus passionnement et se rendit compte que Yosh ne dormait absolument pas ,qu il faisait semblant et qu il avait du mal à dissimuler un petit sourire.

Dagoon

Dagoon arrive enfin sur cette bande de sable qui marque la fin de ce monde

La mer démontée se donnait en spectacle

WHAAAA C'est donc ça la mer!!!
Comment des hommes et femmes peuvent ils être assez fou pour s'y aventurer dans de simples braques?

Dagoon reste très longuement spectatrice de ce spectacle impressionnant

Oceane40

Cela faisait longtemps qu Oceane n avait pas ete sur la plage,cette plage qui lui avait tant manque lors de ses voyages .
Oceane se mit a courir sur le sable ,pour se rechauffer un peu car le vent soufflait et elle commencait à avoir froid et à sentir l air glacial et humide la penetrer.

Apres quelques allers retours,elle se sentit mieux et s assit ,restant à contempler le rivage et les vagues qui venaient mourir à ses pieds.
QUe de changements depuis ce long voyage où elle etait partie afin d accompagner Veropv et Paul.
Yoshilas les avait rejoints et ..peu à peu ,ils s etaient rapproches tous les 2;
Ils etaient devenus si proches qu aujourdh ui elle n envisageait plus de rester tres loin de lui longtemps.
I l lui avait demander de l accompagner ,de repartir avec elle pour un long voyage et elle devait lui repondre.
Certes ,elle aimait Bertincourt,c etait sa ville de naissance ,elle y avait son echoppe de tisserand ,quelques amis et cette plage qu elle adorait tant mais arriverait t elle à rester loin de Yosh tres longtemps sans qu il lui manque enormement.
Oceane restait là,plongee dans ses pensees ,regardant la mer et ses reflets et s endormit bercee par le bruit des vagues;

Yoshilas

Arrivé chez lui, Yoshilas se mit a attendre Océane. Il mit du bois dans l’âtre pour réchauffer un peu son intérieur et lui faire profiter d’une douche chaleur.
Au bout d’une petite heure il se mit a faire des vas et viens vers la fenêtre.

Mais elle fait quoi, elle avait promis de venir.

N’y tenant plus il s’habilla chaudement, pris un gros pull.

Bon si je la trouve, je suis sur qu’elle aura froids vu l’heure tardive, surement que je vais la croiser en chemin.

Il sortit, referma la porte Crrrouuuiccc !!!

Faut vraiment que je la répare, on dirait la porte de la taverne municipale huhuhu !!

Et le voila partis sur le chemin du village, personne à l’approche du village.

Bon, elle a du avoir froids et s’est arrêtée dans une taverne.

Arrivé devant les tavernes, Yoshilas se mit a regarder par les différentes fenêtres sans l’apercevoir.

Mais ou elle est donc passée, bondiou de bondiou.
Il se remet à marcher quand une il se souvient de ce qu’elle avait dis en sortant de la taverne.
Elle ferait bien un tour sur la plage ... oui c'est ca la plage !!!!

Le voila partis d’un pas décidé vers la plage qu’il n’a pas revu depuis bien longtemps.

Il arrive sur la plage, s’arrête devant les restes de son bureau.

Pas résisté aux embruns celui là, pfuuuu.

Il continue a parcourir la plage et remarque une forme dans la pénombre allongé sur le sable.

Hummmm !! Il se frotte le menton tout en s’approchant. Ca me rappelle quelqu’un ca.

Il s’approche tout près et reconnais Océane qui dort tout recroquevillé de froid.

Il sourit, sort le pull et l’étale sur sa tendre Océane pour la réchauffer. Il la regarde encore quelques instants et s’assoit a coté d’elle pour attendre qu’elle se réveille.

Ca fait longtemps que j’ai pas vu l’aurore pointer le bout de son nez se dit Yoshilas. Il s’installe confortablement et laisse son regard errer sur les flot qui miroitent sous les rayons de la lune.
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Alicette9

alicette était resté derrière Djidane, et avait écouté sa chanson.
Lorsque son ami s'allongea dans le sable, elle s'approcha près de lui et murmura.

"tu chantes bien l'anglais ! Peu de gens en son capable à cette époque !"

elle s'allongea dans le sable à son tour. Elle enleva ses chaussures et longea ses pieds dans le grain fin.

pnj

djisane sursauta lorsque alicette luiu parla et il repondit gener

euh l'anglais bah j'ai beaucoup voyager donc l'anglais et les langue etrangere kje maitrise

j'iam bien cette endroit
il est tres calme
ici je peux laissé mon imagination me remplir

j'ai meme reflechis a certaine chose

puis djidane regarda le ciel en pensant a cette liberté infini

pnj

djidane revint sur la plage pour trouver l'inspiration

il s'allongat sur le sable avec les main sur la nuque

puis il chanta

But as one bright star shines through the clouds at night...
And as one song rings clear above the roar of beasts...
We hold to one hope in these darkest of times.

Lost, a lamb in the night. Afraid and alone, with nowhere to hide.
All hope had gone from my heart and died, left with nothing but pride.
Turned and tossed in the rain--a ship in a storm with nothing but pain.
My life a wandering mystery. Lost till I saw the light.
Lost until I saw the light.

Sweet Altana divine--the Goddess of dawn and mother of life.
Forgiving us and our faults inside. Soothing song she provides.
Tears that fell on the land, she shed them for us, and all that she stands.
Her love for all that is good shines bright, there to show us the light.
Now She has shown me the light.

But the road to freedom is long and the gates to Paradise far.
Bound by chains of fear and destruction, what weary souls we are.
But Her light will lead us from darkness. Her hand is already there to
Lift me up (lift me up) take me home (lift me up) to the sky, high.

Now I've broken the chains that bore on my soul and kept me in pain.
My heart is steadfast and true for you. Bring me shelter from rain.
Since salvation I've found my spirits are up, my worries are down.
And now forever we all remain blessed by Her light.
Blessed by Her glorious light. (Yes we are)
Blessed in Her glorious light. (Yes we are)
Yes we are. We are Blessed in Her glorious light.

puis il s'endormi sur le sable

Dillaime

Dillaime lui sourit et se laissa câliner
Elle leva la tête et chercha ses yeux pour si noyé
Elle caressa son visage
Pegas je t aime aussi
Dillaime pris ces lèvres doucement et y déposa un baiser doux comme une brise après un moment de pur extase
Elle lâcha ses lèvres frissonnante et le regarda de nouveau mais cette fois avec interrogation
Maintenant mon amour je veux savoir pourquoi tout ce mystère autour d une soi disant plainte
Dillaime ne le quitta pas des yeux
Le vent soufflait fort et il faisait un peu froid et le soleil réchauffais à peine son corps mais Didi voulais savoir alors elle se blottie bien contre lui et attendit .....

pnj

djidane alla sur la plage puis il se laissa emporté dans une chanson

I know that you're hiding things
Using gentle words to shelter me
Your words were like a dream
But dreams could never fool me
Not that easily

I acted so distant then
Didn't say goodbye before you left
But I was listening
You fight your battles far from me
Far too easily

"Save your tears, 'cause I'll come back"
I could hear that you whispered as you walked through that door
And still I swore
To hide the pain, when I turn back the pages
Shouting might have been the answer
What if I cried my eyes out and begged you not to part?
But now I'm not afraid to say what's in my heart

'Cause a thousand words
Call out through the ages
They'll fly to you
Even though I can't see
I know they're reaching you, suspended on silver wings

Oh, a thousand words
A thousand embraces
Will cradle you
Making all of your weary days seem far away
They'll hold you forever

Oh, a thousand words (A thousand words)
Have never been spoken (Oh, yeah)
They'll fly to you
They'll carry you home (Carry you home) and back into my arms
Suspended on silver wings (On silver wings)

And a thousand words (Oh)
Call out through the ages (Call through the ages)
They'll cradle you (Oh, yeah)
Turning all of the lonely years to only days (Only days)
They'll hold you forever

Oh, a thousand words

puis i s'alonngea sur le sable en regardant les etoile

Riroulien

après une longue journée à labourer chez un particulier, Riroulien se rendit sans permission sur la longue plage de Bertincourt. Il n'eut la force que de s'asseoir tellement il fut deçu des nouvelles qu'il avait appris à propos de l'été dernier où il s'etait tourné vers une retraite spirituelle... Pendant ce temps en effet, on jouait dans son dos se dit-il.
Il alluma sa pipe se demandant que faire dans les prochaines semaines, sachant qu'il s'est aussi engagé dans des elections perdues d'avance.
Une soirée en taverne lui ferait du bien pensa-t-il
Il retourna précipitamment vers le champs où il n'etait pas depuis de trop nombreuses minutes

Karinas

[
Une soirée en taverne lui ferait du bien pensa-t-il
Il retourna précipitamment vers le champs où il n'etait pas depuis de trop nombreuses minutes[/quote]
Bonjour messire...
La meme melancolie semble nous reunir...
Je suis nouvelle et jje ne connais personne ici...si nous nous retrouvions en taverne?

Riroulien

karinas je n'y vois pas d'inconvénient je serai en taverne de temps à autre et vous pourrez m'y rejoindre si vous voulez

Dillaime

dillaime la main posé sur l epaule de pegas
elle attendais quil lui parle

Pegas

Pegas se laissa emporter dans ses penser , se laissant vagabonder son esprit soudain il fut ressorti de ses rêverie quand il sentit une pain se poser délicatement sur son épaule, il se retourna et posa son regard sur les plus beaux yeux et les plus charmeurs du monde, ses lèvres changèrent de forme pour dessiner un merveilleux sourire qui illumina son visage et le remplir de gaité, sa main se leva jusqu'au visage de sa dulcinée, lui caressant sa joue tiède doucement avec la paume de sa main, en silence il l'admira puis il passa sa main sur sa nuque pour tirer sa tête qu'il reposa sur son épaule, l'autre main poussa sur le bas du dos de Didi pour la rapprocher de lui et la câliner contre lui...

Si tu sais combien je t'aime... Dit Pegas en fermant ses yeux et respirant le parfum qui se dégageait de ses cheveux virevoltant avec le vent ....

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Lunadeltounette

Au petit matin Luna revint pour la deuxième fois sur la plage.

Elle avait passée une belle soirée en taverne et avait connue les joies de "la trempette". Elle avait appris à nager et passé une nuit merveilleuse auprès de la personne la plus cher à son coeur.

Tout était si beau en cet instant pourtant il fallait repartir chez elle. Elle contempla le mer, laissa le sable chatouiller ses pieds. Et sans retourna chez son ami pour lui dire aurevoir.

Malycia

Malycia contemplait toujours la mer attendant la marée basse et voir enfin ce rocher, pour chercher ce collier dont il lui parlait...quand une jeune femme vint s approcher d elle qui la saluait...
Elle essuya ses larmes et rangea sa lettre dans sa poche...

"euh bonjour..."

Elle se leva et la regarda...

"enchantée, Malycia du castel de Lys Lez Lannoy, je suis flamande Tournaisienne pour être précise.....euh...oui ça va je vous remercie, vous promenez vos animaux de compagnie..."

à peine avait elle eut le temps de se presenter qu'un homme arriva egalement, elle l avait appelé nounours surement un surnom, on ne pouvait pas serieusement s'appeler ainsi..
Elle sursauta quand elle entendit le mot suicide...

"permettez que je rectifie, bien loin de moi le désir de me suicider, je suis triste et desemparée mais pas au point de vouloir attenter à mes jours, que je m explique si vous me voyez dans cet état c est juste que je me retrouve seule ici, sans le vouloir....Hier j'etais à Azincourt avec un ami il devait m'accompagner mais a finalement changé d'avis sans me prevenir, quand je l ai su il etait trop tard pour faire demi tour!"
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pnj

caly n'étais pas venu des son arrivée a la plage qui lui avais tan manqué elle étais partit seule avec nenette minette et câlin pour allez faire sa balade du matin du soir.

elle avais organiser une fete mais personne étais venus quelle gâchis de nourriture.
elle décida que tous la nourriture serais pour les mandian.
elle avança la tète dans les nuage, elle n'avais pas perdu se chemin même aveugle elle retrouverais toujours la plage son endroit favori.

Elle arriva a l'entrée la ou se trouvais le bureau de nounours mais cessi avais disparut

elle retira ses chausse et les déposa sur sa pierre habituel et avant nu pied dans se sable si doux.

Caly avança regardant nenette et minette et câlin jouer quand elle aperçut une dame au loin qui avais l'aire malheureuse elle s'avança vers elle pour la saluer.

Bonjour dame
vous allez bien??
je me présente caly Von Strass

CAly regarda la dame qui avais les larme au yeux elle n'hésita pas a la prendre dans ses bras pour la consoler.

Yoshilas

Depuis la fin de son mandat, Yoshi avais enfin du temps à consacrer a rien de rien. Il se dit qu'une petite visite sur la plage serait sympa.
Au moment de sortir il se ravisa.

Mais ya peut être un désespéré ce soir, je vais m'habiller en beau mec.

Il entre a nouveau et se change pour être à son avantage et ressort. En passant devant la maison de Bratach, celui-ci l'interpelle en le raillant a souhait;

Alors Yoshi, tu es beau comme un coc ce soir, ca te change bien. Fais mois un bon petit cocorico pour voir !!! hahahhahaaaaa !!!

Yoshi continue son chemin sans même relever. Arrivé sur la plage il aperçoit deux personnes au bord de l'eau. il lisse sa mèche rebelle, s'approche et les interpellent gentiment.

Bonjour, vous ne sauriez pas ou je peux trouver une personne désespéré a sauvez dans le coin !!! Hooo mais c'es toi ma puce ... ton amie serais pas désespéré par hasard ?
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pnj

caly qui consolais la dame quelle ne connaissais pas, fut interpeller par une voix quelle connaissais bien elle se retourna vers nounours.

coucou nounours

ben oui elle m'a l'aire deseperé et vu que ton bureau n'y est pu et que j'etais la je les consoler je veut pu de suicide ici.

caly sourit a nounours

Oceane40

Oceane avait mal dormi cette nuit .Elle etait heureuse de s en aller ,PARTIR decouvrir de nouveaux horizons ,des contrees qu elle ne connaissait pas mais en meme temps elle ne pouvait s empecher d etre nostalgique ,.
Cela faisait plus de 6 mois maintenant qu elle etait installee à Bertincourt et elle y avait quelques amis qu elle affectionnait.
Elle s assit sur le sable et resta là ,de longs instants à regarder les flots bleus et les vagues se fracasser sur les rochers proches.
L automne s installait et elle sentait bien ,à la fraicheur du
vent que l ete s etait enfuit.
Elle s allongea sur le sable ,laissant ses pensees vagabonder ....

Stilicon

Stilicon marchait au hasard, près des falaises, revenant du théâtre. Cette balade l'avait charmé, il était content. Arrivant sur la plage de sable, il apperçut une dame qu'il connaissait. Elle s'était allongée, quand Stilicon lui dit en souriant :

"Bonjour Dame Oceane, comment allez-vous?"

Stilicon s'assit à côté d'elle, un peu fatigué de sa marche.
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Oceane40

Oceane se releva et sourit en entendant son prenom.
"Bonjour Stilicon comment allez vous?"
Je revais un peu car je pars ce soir de bertincourt pour un tres long voyage et meme si je l ai decide et que j en suis fort contente cela ne se fait pas sans un certain sentiment de melancolie.
Mais bon ce n est pas grave cela va passer;Ce soir je serais en taverne et si vous avez quelques minutes ,passez y je vous offrierais un verre pour vous dire au revoir,le verre de l amitie."

Malycia

Sur la plage une jeune fille aux long cheveux couleur de jais marchait comme une âme en peine, elle n aurait pas du etre là seule, mais son ami n avait pas suivi le même chemin qu'elle....volontairement en plus, mais avant de lachement l'abandonner à son triste sort il lui avait laissé une lettre, qu'à la premiere lecture elle n'avait pas comprise,trop bouleversée de se retrouver dans une ville inconnue, seule, loin de sa famille, loin de son comté...dans un comté qui n'etait pas le sien....

Que faire...vers ou se diriger, retourner chez elle en Flandres...rebrousser chemin et essayer de la rattrapper, trop tard il etait dejà à Arras et demain il serait chez lui...Elle s'asseya sur le sable, regardant les vagues, de grosses larmes roulaient sur ses joues, dans sa main, encore tremblante d'emotion elle tenait la lettre qu il lui avait laissé...Elle relisait chaque mot et essayait d en comprendre le sens, il ne lui disait pas qu il ne l aimait pas, mais qu il voulait qu elle se cherche, ou qu elle le trouve, qu il etait passé là il y a quelques semaines, elle devait trouver un rocher à marée basse....Elle obvservait la mer qui doucement se reculait, elle scrutait l'horizon et cherchait du regard ce fameux rocher...il avait ecrit "Je t'avais confectionner un bracelet fait de petit coquillage ramassé le long de cette plage....j'ai préféré le laisser sur cette plage. Il doit surement si trouver encore, enfoui juste sous une petite pierre blanche poli, pas très loin d'un gros rocher isolé apparaissant à marée basse."
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pnj

Il fait beau et le soleil se tenait au milieu du ciel bleu ce qui encourageait Tenerezza à revenir voir la plage!
En arrivant devant la mer, Tenerezza admirait le paysage: Le phare toujours élevé et fier, les grosses rochers ici et là et les petites vagues qui se cassaient en les heurtant, l'écume qui enlaçait le sable doré...
Elle ferma ses yeux et une brise souffla, sa frange s'envolait et malgré elle une larme s'écoulait.
Elle ouvrit les yeux et laissa échapper un timide sourire,

"Ah, si je comprends pourquoi tu es si mystérieuse et triste..." Marmonna t-elle, "C'est surement à cause de tous les secrets que t'avoue le monde entier..."

Mais Tenerezza ne tarda pas à craquer devant les appels de l'eau, elle retroussa un peu sa braie et avança jusqu'à ce que le niveau de l'eau soit avec ses genoux.

"Aaaah comme c'est froid!" Cria t-elle et là un pécheur qui était pas loin sourit en la saluant avec la main.

Elle lui rendit son sourire puis se perdit de nouveau dans ses pensées. Elle resta ainsi un bon moment puis se dit:

"Aller je dois aller chercher des beaux coquillages pour fabriquer un collier pour Fanfan"

Lunadeltounette

Voilà deux jours que Luna arpentait les rues de Bertincourt. Elle était venue pour pêcher quelques poissons. Mais là elle voulait juste profiter de l'air marin.

Le soleil se couchait majestueusement il se penchait lentement vers la mer prêt à l'étreindre embrasant le ciel.
Luna eu le souffle coupée devant autant de beauté. Ses cheveux flottaient emporter par la brise marine.

Elle se coucha ensuite sur le sable encore tiède pour contampler les étoiles. L'esprit vagabon , elle s'imaginait déjà portant les galons de l'OST voyageant dans tout le comté, débusquer quelques malfrats.

La lune était pleine.
Lune belle lune, je t'offre en cette instant le voeu le plus cher à mon coeur

[i]Elle ferma les yeux tout en formulant son voeu.
Elle sachait pertinament que se qu'elle fesait était futile, voir même hérétique. Pourtant ...

Et la dessus elle s'endormit.

pnj

Tenerezza fut encore plus heureuse que Gunt aimait bien le cadeau et elle sourit discrètement en pensant comme ça aurait été magnifique si Gunt était son frère.
Et là elle l'entendit dire

Guntther a écrit:

[/i]
Je vais faire fureur avec ça à Amiens, on va lancer une nouvelle mode...

Elle sourit et se leva en disant:

"Aller parrain, le soleil vient de se coucher et il fera encore plus froid la nuit!"

Et elle lui tendit la main pour l'aider à se lever, et ils marchèrent tous les deux en direction du village laissant derrière la paisible mer qui scintillait sous la lune!

Guntther

Guntther la bisouilla pour la remercier de son cadeau.

Merci Tene c'est un magnifique cadeau et ton intention lui donne plus de valeur que tout autre cadeau. Ne me remercie pas c'est normal que je t'accompagne c'est ton premier voyage loin d'Amiens, et puis j'avais envie de faire plaisir à ma filleule.

Guntther rangea son épée et regarda son bracelet en souriant.

Je vais faire fureur avec ça à Amiens, on va lancer une nouvelle mode...

pnj

Tenerezza était en train de ramasser les coquillages lorsqu'elle vit Gunt s'asseoir auprès d'elle, elle lui sourit et la il commença à parler en dessinant avec son épée sur le sable

Guntther a écrit:

Alors tu vois que je t'avais dit que Berti était un beau village ne serais-ce que pour la beauté de sa plage. Venir ici permet de changer un peu d'air. J'espère que demain le temps sera aussi clément, et qu'on pourra revenir faire un tour ici.

"Oui tu avais raison, je suis éblouie par la nature et par le charme de la plage, mais aussi je suis allée en taverne et j'ai rencontré des gens sympathiques! Merci Gunt tout ça c'est grâce à toi, je sens le bonheur m'envahir"

Tenerezza sourit largement en jouant avec les coquillages qu'elle avait dans la main puis elle sortit un fil noir de sa poche et y introduit un gros coquillage qui avait la couleur marron changeant, ce qui forme un joli bracelet.
Elle se retourne vers Gunt et enroule le bracelet sur sa main en faisant un nœud avec les deux bouts du fil.

"Voilà un petit cadeau mon parrain, j'aurais aimé que ça soit meilleur mais c'est juste pour que tu te rappelle de ce séjour!" Dit Tenerezza, "Merci encore une fois Gunt, je te serai reconnaissante tout ma vie pour cet inoubliable voyage!" Ajouta t-elle.

Guntther

Guntther surveillait au loin Tene qui semblait prendre plaisir à effectuer un de ses premiers voyage. Le temps était au beau fixe et malgré une fraicheur matinale, se balader sur la plage était des plus plaisants.

Il s'assit près d'un rocher en bordure de la plage et son regard se porta vers l'horizon, il resta longuement planté devant ce beau paysage oubliant ses dernières mésaventures.

Après de longues minutes à contempler la vue il se rapprocha de Tene, son bonheur faisait plaisir à voir. Il se posa près d'elle, et fit des dessins sur le sable avec son épée en lui adressant la parole:

Alors tu vois que je t'avais dit que Berti était un beau village ne serais-ce que pour la beauté de sa plage. Venir ici permet de changer un peu d'air. J'espère que demain le temps sera aussi clément, et qu'on pourra revenir faire un tour ici.

Oceane40

La nuit s etait couchee depuis longtemps quand oceane arriva sur la pLage.
La lune etait pleine et on se serait cru à l aube tellement elle brillait.
Il faisait doux ,presque chaud et pas un souffle d air ne venait rafraichir la soiree etoilee.
Le sable etait encore chaud et Oceane s y allongea,ecoutant le bruit des vagues .Il faisait bon ,elle se sentait bien à l idee de la fete le lendemain chez sa choupinette et du futur voyage qu elles allaient faire ensemble bientot.Oceane s endormit,le sourire aux levres;.

pnj

Tenerezza venait d'arriver à Bertincourt, elle entendit parler trop de la beauté de ce village et surtout du charme de sa plage.

Dès qu'elle enleva ses chaussures et mit son pied sur le sable, elle sentait une grande émotion l'envahir, elle était heureuse et éblouie par le sable doré et par la mer qui brillait sous les rayons de soleil.
De loin, elle vit le phare élevé et quelques navires des pécheurs.

Elle s'approcha encore de la mer jusqu'à ce que ses pieds soient dans l'eau, qui était froide et rafraichissante, elle souleva sa tête lorsqu'elle entendit les mouettes comme ci elles lui parlaient.

Elle était heureuse qu'elle ne sentait pas le temps couler, elle était assise au bord de la mer, les pieds dans l'eau, la tête dans le ciel et rien au monde ne pouvait à ce moment gâchait sa joie sauf la pincement d'un crabe. :wink:

"Aiie!" Cria Tenerezza, "T'es venu me souhaiter le bienvenu, petite bête?" Ajouta t-elle en se débarrassant de l'être qui s'accrocha à son doigt par ses pinces.

Le crabe s'éloigna et Tenerezza remarqua quelques jolis coquillages dispersés qu'elle essaya de les ramasser.

Oceane40

Oceane avait passer une partie de la soiree en taverne et visiblement elle avait du trop boire car elle n arrivait pas à travailler ce matin et ses souvenirs etaient un peu confus.
Elle avait la vision d une vache et le mot laine de vAche resonnait à ses oreilles sans qu elle comprenne trop ce que cela signifiait.
Elle etait tres enervee depuis toutes ces discussions qu elle avait entendu hier sur la mairie et n avait pas pu s endormir.
Elle repensa à la proposition de ssssa choupinette Vero de l accompagner et se dit qu elle allait surement accepter car Paul et Vero lui etaient extremement sympathiques.
Oceane decida de courir un peu sur la plage afin d evacuer un peu tout ce qu elle ressentait.
Apres de multiples allers et retour sur le sable ,oceane s ecroula litteralement et bercee par le bruit des vagues s endormit profondement;.

Veropv

Véro vint sur la plage épuisée par le ménage qu'elle avait fait au manoir et à la taverne au" fruit défendu".

Elle enleva ses chausses s'avança sur le sable les pieds caressés par le sable fin.

Une douce petite brise lui caressé le visage et lui faisait volé un peu les cheveux qu'elle avait mis long. Elle fini par s'asseoir sur le sable les jambes remontés, les genoux au niveau de la poitrine, les avant bras posé sur les genoux et le regard fixe sur l'océan que le soleil d'aujourd'hui rendait encore plus beau que par son habitude. Elle regardait au loin c'était comme si ses yeux pouvait voir encore plus loin que l'océan lui même.

Elle fini par s'allonger sur le sable, sa tête balaya l'horizon elle vit sur sa gauche la falaise a sa droite l'aplomb de la plage et une partie du toit de la cabane des désespérées. Elle eut un sourire au souvenir de sa construction. De son inauguration par Yoshilas. Dit yosh pour les intimes.

Se mit à sourire.

Bertincourt avait bien changé ses derniers temps certain des hommes et des femmes qui vivaient ici étaient ou parties sur les routes en voyage ou parties pour un monde certainement meilleurs qu'ici bas.

Elle revoyait tout le monde comme la bobine d'un film qui refaisait marche arrière, Caly, Chriss, Argo, Pegas, Yosh, Océane, Virb, Dillaime, Gaby, Darflex, Semnos, Juno. Toutes ses personnes qui resteraient cher à son cœur et qui l'accompagneraient tout au long du voyage avec le sourire, car c'est ainsi qu'elle les voyait souriant et tous ensemble unis.

Elle se redressa et c'était à nouveau assis sur le sable. Elle se leva repris ses chausses a la main et se mit a marché en direction de sa maison.

Elle monta le petit aplomb se mit à sourire en voyant la cabane des désespérées, elle remit ses chausses se retourna une dernière fois vers la plage.

Fait un sourire en coin

Se retourna face à la route et partie chez elle.

Yoshilas

Yoshi trainait régulièrement du coté de la plage. Il avait trouvé un petit coin tranquille, discret qui lui permettait d'observer la plage sans êtres remarqué.
Le soir arrivait à grand pas quand il vit une silhouette arriver et s'allonger sur la plage.

Hummm une désespéré en puissance.

Il se mit à observer tout en réfléchissant a cette bondiou de mairie.

Au bout d'un moment la femme se leva et Yosh la reconnu.

Hoooo Véro, une de sauvé ya plus aucune chance que je tamponne sa carte.

Il la regarda s'éloigner en se disant qu'il serait temps qu'il ferme le bureau des désespères pour toujours.
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Alicette9

hé ma belle Alicette comment vas tu?

Ca fait longtemps que tu es là?

Je me suis assoupi sur la plage je suis si fatiguée en ce moment. ca me fait plaisir de te voir, alors que me raconte tu? demanda vero.

"je vais très bien ! Je viens juste d'arriver, et à par ça... je n'ai pas grand chose à raconter ! répondit alicette aussitot"

elle lui sourit.

" au fait, pourquoi es-tu fatigué ? tu n'as pas dormi cette nuit ?"

Oceane40

Oceane avait tres mal dormi et elle se dit que cela faisait un moment qu elle n avait pas ete sur la plage.
Elle ouvrit le portail de son echoppe de tisserand et se retrouva sur le sable humide.L air etait frais et il faisait presque froid et elle regretta de ne pas s etre couverte davantage.
La plage etait deserte,le soleil venait à peine de se lever et elle se mit a courir tout le long pour essayer de se rechauffer et peut etre aussi pour occupper son esprit et se concentrer sur autre chose que l absence de celui auquel elle pensait.
Epuisee par ses nombreux allers et retour ,Oceane s assit pres du rivage et ferma les yeux ,ecoutant le bruit des vagues et laissant les rayons du soleil la rechauffer petit à petit.

Thomas.

Thomas passa sur la plage, besoin d'un moment de réfléxion. Vît sa dame Oceane, et arriva silencieux derriére elle. Thomas metta ses mains autour de la taille d'Oceane, afin de la surprendre, elle se retourna en souriant, comme si sa présence était attendu. Thomas passa ses jambes autour d'elle, et invitat Oceane a se pencher vers l'arriére, sa tête se posa donc sur le torse de Thomas. Un long moment calme, attendant l'avenir qui finalement approche... .

Alicette9

un jour, alicette se laissa guidé par ses pas qui l'amenèrent, bizarrement, à la plage de Bertincourt. Sur celle si, il y avait déjà 3 personnes, elle reconnu stilicon... ainsi que... heummmm.... véro sûrement, oui c'était bien elle ! et un homme allongé par terre, qui lui était inconnu. Elle s'approcha des bertincourtois, ses amis, elle dit avant qu'ils ne se retourne :

" bon...bon... bonjour !"

Veropv

Véro se reveilla,se redressa jusqu'à s'asseoir sur le sable elle mit sa main devant le front pour faire une visière car ses yeux ayant étaient privés de lumière pendant son sommeil demandait un peu de temps avant de distinguer quoi que ce soit. Elle avait entendu quelqu'un lui dire bonjour mais ne voyait pas de qui il sagissait.

Citation:

Alicette dit: " bon...bon... bonjour !"

hé ma belle Alicette comment vas tu?

Ca fait longtemps que tu es là?

Je me suis assoupi sur la plage je suis si fatiguée en ce moment. ca me fait plaisir de te voir, alors que me raconte tu?

Stilicon

Dans un élan de folie, Stilicon courut vers la plage et se mit à l'eau. Il nagea vers l'horizon. Sa tête lui fesait si mal qu'il croyait qu'elle allait éclater. A bouts de force, il se laissa emporter par le courant qui l'emmena vers le nord. A bout de vingt minutes, il échoua (pour la seconde fois, car il avait déjà échoué sur la plage en janvier), et à demi conscient, il se refugia dans une cavité creusé dans la roche. Il demeura quatre jours sans manger, en réflichissant à sa situation. Il revint au village, après ce jeun de quatre jours. Il entra dans sa maison et ferma à clé derrière lui. Il mangea un bout de pain qui trainait, et se coucha pour dormir.

Le matin, il alla travailler, et se fatigua très vite, parce qu'il était encore faible. Vers le milieu de l'après midi, il alla à la plage. Il y apperçut quelqun étendu sur le sable. Il s'approcha discrètement et reconnut une bertincourtoise qu'il avait déjà vu en taverne. Comme elle était assoupie, il n'osa pas la déranger et passa à côté d'elle silencieusement. Il marcha jusqu'à ce que ses pieds touchent l'eau. Des petites vagues lui mouillaient les pieds, puis repartaient. Il regarda à l'horizon.
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Veropv

Véro avait fini les écuries comme elle l'avait prévu ça lui avait pris une bonne partie du début de l'aprés midi,elle avait fini a 15h00. Cétait rendu un peu en taverne et au lieu de retourner chez elle, avait préféré se rendre à la page histoire de décompresser un peu et de s'aerer le cerveau.

J'aime tellement cette endroit même si parfois je suis triste, j'aime cette endroit.

Elle avait vu quelqu'un au loin allongé sur le sable mais ne voulait pas le ou la déranger. Elle ne distinguée pas trés bien de loin, le soleil l'aveuglé un peu. En cette fin août le soleil commençé à descendre un peu. Elle s'en voulait de ne pas être allé chez elle, car elle aurait pu ramené Féroce.
Elle s'alongea sur le sable écoutant le rouli des vagues qui venaient mourir sur le sable. Elle ferma les yeux et fini par s'endormir.

pnj

Caligula sortit de l'artère principale du village et se dirigea vers la plage. Il ôta ses vieilles sandales de cuir tanné et ses pieds s'enfoncèrent dans le sable fin et humide. C'était une douce sensation, voilà qui ferait du bien à la plante de ses pieds que ses sandales meurtrissaient. Il s'avança très lentement en direction de la mer, contempla d'abord la plage et le magnifique phare, puis porta son regard vers l'horizon. Il finit par s'asseoir dans le sable, à une cinquantaine de mètres de la mer. Dire qu'il y avait, il ne savait pas très bien dans quelle direction, un autre continent en face. Lui qui aimait construire toute sorte de choses à partir de planches, il se serait bien construit une barque pour cannoter le long du rivage. Il finit par s'allonger complètement dans le sable, et son regard fixa le ciel.

Veropv

Véro arriva sur la plage avec Féroce et son Baluchon sur l'épaule. Cependant elle ne lacha pas Féroce.

Elle regardait la maison des déséspérées et eut un sourire en ce souvenant de sa premiere ouverture. De la carte que Yosh lui avait donné, la fois ou elle l'avait déchiré et lui avait dit que tout ceci n'était plus la peine, c'était quand elle avait rencontré Argo ce temps si proche paraissait si lointain.

Elle descendit l'aplomb arriva sur la plage pris son élan et jeta au loin la rose rouge tout en disant

" JE T'AIME ARGO je ne t'oublierais Jamais mon amour mon coeur et pour toi."

Elle tourna les talons et partie avec Féroce sans ce retourner sans aucune larme.

pnj

Paul regardait l'océan puis se retourna et se diriga vers sa maison récupéré ses affaires

Veropv

Véro c'était enfermé chez elle toute la soirée avait bouclé les volets et la porte ne voulant voir personne ni entendre. Ces deux dernier jour fut horrible et elle se demandait pourquoi tout ceci était arrivé. Même le père Willy lui avait dit ne rien pouvoir faire pour elle.

Elle fini par rouvrir sa porte en ce milieu de matinée et avait fini par regarder son dernier mouton dans son enclos et se décida à le nourrir même si ce dernier avait décidé de ne pas grossir. Elle regardait Féroce qui regardait au loin.

Elle savait ce qu'il voulait c’était allé sur la plage.

Et en cette fin de matinée grise Véro arriva à la plage avec Féroce. Elle le lâcha et se dernier se mit à courir comme un fou, elle ne remercierait jamais assez Darflex de lui avoir fait ce cadeau ce magnifique bébé loup blanc. Comme elle il n'avait plus ni mère ni père. A la différence qu'il avait une sœur Nenette que Véro avait offerte à sa sœur de cœur Caly.

Il y avait longtemps que Véro ne l'avait pas emmené ici sur ce lieu qui était devenu si étrange la nuit ou elle avait entendu cette voix bizarre. Elle eue un frisson rien que d'y repenser.

Elle s'assoie sur le sable et regardait courir son compagnon, elle eut un sourire de le voir s'approcher de l'eau et de reculer comme un enfant qui fuirait l'eau pour ne pas être mouillé.

Elle resta là un moment assise et resta perdue dans ses pensées.

Féroce arriva prêt d'elle et lui fit un câlin.

Elle eu un sourire envers Féroce, le regarda et lui fit une caresse.

Oui mon chien oui t'inquiète pas ça va aller on va s'en sortir ne t'inquiète pas comme ça.

Stilicon

---fromFRalicette9 a écrit:

alicette proposa à stilicon de venir dans son humble demeure, une chaumière bertincourtoise. Sans attendre de réponse elle entraina le jeune homme devant la porte de sa maison, elle l'ouvrit et sourit (comme si elle n'avait jamais vu cette demeure, qui était pourtant la sienne) en voyant ce minuscule endroit ! elle pria stilicon de s'asseoir et prit une chaise en face de lui.

Stilicon entra...(lire la suite ici)
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Oceane40

Dans son semi sommeil ,Oceane sentit une douce chaleur l envahir et inconsciemment sa main bougea et elle sentit que quelqu un s etait allonge pres d elle.
Ce doit etre feroce ,le chien de choupinette vero s e dit elle et elle posa sa tete
tout contre ,trouvant que pour un chien il etait quand meme super grand.
Toujours à moitie endormie elle entrouvit legerement les paupieres et crut apercevoir yos.
"Tiens tiens ,c est normal" se dit elle Feroce est un peu plus poilu quand meme!
Elle se recroquevilla contre yos ,posant sa tete sur son torse et se sentant en securite ,elle se rendormit avec un large sourire.

Veropv

Véro arriva bien tard sur la plage, elle n'était pas accompagné de féroce comme d'habitude.

Véro regarda la maison des déséspérées et se mit a sourire légèrement

Elle se disait qu'elle devrait être heureuse, elle avait un petit ami mais pourquoi ce sentiment de vide, pourquoi n'arrivait elle pas a être heureuse pleinement qu'elle était cette ombre qui plané ainsi autour d'elle

Que des pourquoi sans aucune réponse ...... Une fois de plus c'était que question qui n'aurait pas de réponse qui allait mourir dans l'eau. Elle faisait des dessins sur le sable un coeur brisé un visage avec un oeil qui pleuré.

elle donna un coup de poing dans le sable, elle senti un courant d'air la frollé et cru entendre une voix un murmure " lève toi ".

Elle se retourna mais ne vit personne puis de nouveau une voix un murmure " léve toi bon sans ".

Elle se leva d'un bon elle frissonné tellement, elle avait tellement peur qu'elle n'aurait meme pas pu crier, elle resta là figé, ses jambes ne répondant pas .

Elle fut traverssé par ce courant d'air et de nouveau une voix un murmure " avance droit devant toi, réveil toi ,allé tu n'a rien à faire ici "

Elle arriva enfin a bouger et commenca a faire des grands pas pour sortir du sable et se retrouver dans la rue.

Elle se retourna une dernière fois ne vit personne.....

Tout en pleurant elle se mit à courir en direction de sa maison.

Yoshilas

Yoshi arriva de bon matin sur la plage pour chercher quelques algues. pour le repas du manoir.
Bon je vais trouvez ca ou moi !! tien pres du rivage doit bien y avoir quelquechose.

Il se mit a fureter un peu partout pour trouver son bonheur. Il mit la main sur un algue toute verte et boursouflé.

Haa ben voila la premiere, bon reste a trouver les autres.

chemin faisant il appercu un tas de sable sur le bord en retrait.

Tiern encore un tas je vais pouvoir m'ammuser un peu hihiii !!

Il s'appproche, s'apprete a se lancer quand il se fige de surprise.

Hey !! mais c'est un tas de sable viviant, on aura tout vu. Et moi qui m'appretais a l'écraser !! hoo la gaffe.

Il se penche et regarde qui ca peut bien etre.

Mais c'est Océ ...

Il la regarde dormir, retire sa veste de laine et la recouvre avec.
Il se met tranquilement sur le coté a demi allongé et attend tranquilement son reveil.
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Veropv

Elle arriva plus tard que prévu à la plage,avec la nuit qu'elle avait passé elle c'était assoupi chez elle.

Elle arriva avec Féroce sur la plage le lacha et le regardait courir et faire des bons partout pour attraper les mouettes qui se posaient sur le sable.

A cette vu elle se mit à sourire puis à rire.

Féroce arrête laisse les ses pauvres oiseaux enfin.....

Elle rigola de plus belle en le voyant continuer a courir partout.

Elle s'allongea sur le sable et Féroce en voyant sa maitresse ainsi allongé vint vers elle et lui faire des lechouilles dans tous les sens

Véro se mit a rire et lui dit tu vas voir si je t'attrape tu va voir et une course sur la plage commença entre elle et Féroce....

Oceane40

Oceane en avait assez de travailler .Toute la journee dans son atelier ,elle avait envie de prendre un peu l air!
Elle se retrouva sur la plage comme si ses pas automatiquement la quidait vers son lieu favori.
Elle etait epuisee et un peu triste aussi ,elle se sentait bien seule et son cote clown etait bien loin.
Elle regardait les vagues et s endormit sur le sable ,bercee par le bruit de la mer.

Oceane40

Oceane ouvrit le portail de son echoppe de tisserand et se retrouva sur la plage.
Il etaiT Encore tres tot et elle etait deseRte.Le soleil se levait à peine et l air etait deja doux,le sable encore tiede de la chaleUr de la veille.

Oceane vit que son fameux chateau de sable avait ete entierement demolli comme si un elephant etait tomber dessus.
Elle sourit en constatant que le pot en verre avec le sucre et les grains de sel avai t disparu.
Elle s assit un moment et resta là ,à contempler les vagues qui deferlaient et venaient mourir pres de ses pieds.
Elle etait un peu melancolique ,sans savoir vraiment pourquoi ,sans doute le lieu qui se pretait à ce sentiment .
Elle entendit quelqu un crier "Feroce aux pieds" et se leva.
Au loin ,elle cru apercevoir la silhouette de vero et d un pas soudain plus joyeux et leger alla à la rencontre de sa choupinette.

Lani44

Lani a passé une bonne partie de la journée assise sur le sable a contempler l'horizon. Elle se releve un peu difficilement vu son ventre arrondi.

Pff!! c'est beau de donner la vie mais c'est encombrant quand même. Puis se mit à rire a ces propres propos. et s'en va pour retourner dans la ville et dans sa chambre pour se reposer.

Veropv

Véro était venue de bonne heure ce matin avec Féroce histoire de le faire courir un peu,depuis sa retraite elle n'était revenue qu'une fois.

Cette plage était si magnifique,comment pouvait on penser a y faire une bétise ou y déprimer cette endroit ne devrait être que source de plaisir de chahut et de rire.pourquoi cet endroit ne devait il servir qu'a pleurer.

Elle heu un long soupir et se dit que cette plage lui manquerait lors de son voyage. Ainsi que la fontaine ! lol

Hier soir elle avait hebergé un jeune homme bien sous tout rapport, elle lui avait preparé un matelat et une couverture dans la salle.

Elle n'avait pas tête en ce moment à penser a autre chose qu'a de l'amitié et s'amuser un peu histoire de penser a autre chose et ne voulait blaisser personne.

Elle regardait Féroce courir au loin elle le siffla ce dernier s'arrêta la regardait.

Allez vient ici Féroce, vient mon chien.

Ce denier se mit a courir voyant sa maitresse partir et remonter la plage en direction du village.

il fallait qu'elle aille au manoir pour inscrire le menu du jour même si apparement les gens n'avait pas l'air d'y manger.

Héhé te voila voyou allez vient là féroce au pied hein, et arrete de grogner sur tous les hommes qui m'approche ils ne me ferons pas de mal.

Elle lui avait dit ça en lui tenant la tête dans ses mains.

Oceane40

Oceane se retourna une derniere fois vers l ocean et apercut au loin tout au bout de la pplage la silhouette de yos.
Elle se depecha de faire un immense chateau de sable lui donnant une forme un peu etrange comme celle d une femme et y accrocha un foulard rose,son foulard .
PUIS elle deposa au pied de la statue ,dans un pot en verre un morceau de sucre et 2 grains de sel....
Oceane se mit a rire et s enfuit .

Yoshilas

Yoshi parcourait tranquillement la plage en regardant la beauté du paysage. La tranquillité du lieu l’amenait à méditer sur son avenir.

Bon ya pas faut que je m'en sorte, c'est la cata de la cata, je suis si triste, haaa !! Mais que vais je devenir sans toi ma muse, ou trouver de nouvelle counerie à faire !!!
Mouais pas mal Yos mais peu mieux faire.

Hoo mais que vois je a l'horizon, mais mes sens m'égare je défaille, un.. mouais comment dire ... ou tas de sable, bon c'est pas ca.

Yoshi passe son chemin, il dépasse le tas de sable, fait encore quelques pas, s'arrête ... réfléchit ... reprend sa route le long de l'écume des vagues, s'arrête de nouveau sourit puis se retourne.

Dis moi mon gars c'est peut pas un tas de sable ce machin, c'est les restes d' 'une construction humaine ca. Bon tout est au niveau des hanches mais ca ressemble vaguement a un patatoïde, hein !! Bhoooo si on m’entendrait que j'en prendrais une pour sur. Hihihihi !!!

Yoshi se rapproche du tas de sable se plante devant et s'écrit.

Sort de là toi qui te cache derrière ces quelques grains de sable !!! Haha on se cache hein !!! On va voir ca !! Subit le souffle du juste par delà l’horizonnnn !!!!!
Mouais pas mal non plus ca, je retiens.. Bon donc bla bla blaaa zonnnn !!!!

Et Yoshi se met à souffler sur le tas sans grand succès.

Hooo mais tu résiste monstre venu du néant attend ma botte secrète Hahaha, mon courroux vas s’abattre sur toi !!!!!

Hiiiiiyaaaaaaa !!!!!!!

Il se lance et aplati le tas de sable comme une crêpe.

OUILLEEEE !! HHEEEE !!! mrufffff c'est quoi ca !!!!

Il a visiblement aplati son nez aussi sur un truc dur, un petit pot de verre.

Mince ca fait mal, bondiou !!!

Hoho mais ce n’est pas un morceau de sucre ca !!! Allons à la recherche du proprio, Héhé rien n’est perdu !!! hohoho !!!!

Yoshi empoche le sucre et repars vers le village tout en se tordant le nez dans tous les sens
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Yoshilas

Yoshi arriva sur la plage pour voir si des désespérés s'y trouvais au cas ou. ll cherchaiit aussi une statue de sable certainement salée.
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Oceane40

Oceane quitta son echoppe et ferma le petit portail qui la separait de la plage.Elle avait beau habiter sur la cote ,jamais elle ne se lassait et ne se lasserait de ce spectacle.,sans cesse renouvellé.
Le soir commencait à tomber et la plAge etait deserte.De gros nuages gris s amoncellaient dans le ciel et le m urmure de l ocean s amplifiait au fur et à mesure que les vagues grandissaient ,presque menacantes.
Oceane regretta de ne pas avoir mis un manteau et frisonna sous les rafales s de vent qui commencaient a balayer le sable le transformant en tourbillons.

Elle attendait Thomas et se dit qu elle aurait du lui fixer rendez vous en taverne.
Il l avait demander en mariage et elle voulait lui donner sa reponse.

Lani44

Lani après un bon moment passé dans les rues de Bertincourt trouve la plage et dire qu'au début elle voulait aller visiter l'église

.
Elle commence par regarder le phare et se demande si on pouvait y monter?

Puis commence à flaner sur cette plage et pour mieux en profiter elle enlève ces chausses et ces bas, les gardent dans sa main et continue de marcher encore un peu.
C'est vraiment un endroit magnifique Dame Véro a eu raison de me dire de venir ici. Elle s'assit non loin de la mer et reste là à la contempler, la tête à mille lieux d'ici.

Oceane40

Oceane en avait assez d attendre.Et puis elle se sentait seule sur cette plage,trop seule.
Le temps etait toujours aussi frais mais elle voyait au loin luir un rayon de soleil.
Sans doute un signe du destin pour dire qu apres le mauvais temps le soleil revient toujours.
Elle balaya du regard une derniere fois la plage deserte et se decida enfin a rejoindre ses amis et son echoppe de tisserand.
L heure des doutes des questions est passee !Je ne vais pas attendre eternellement se dit elle .
Oceane quitte la plage sans se retourner comme pour laisser au loin tous les regrets qu elle aurait pu avoir et un sourire apparut sur ses levres.

Veropv

Véro arriva sur la plage et se posa sur le sable, a ses cotés elle avait féroce qui avait compris que quelque chose n'allait pas, il ne cessait pas de lui faire des léchouilles sur les mains et le visage comme pour lui faire comprendre qu'il était là prêt d'elle.

Véro le gratifia d'une gratouille et d'une caresse et lui dit:

Je sais féroce je sais que tu es là.

Elle tenait dans les mains un bouquet de rose rouge magnifique elle avait rajouté un ruban rouge sur les tiges, elle avait l'intention de l'envoyer dans les flots mais elle n'arrivait pas à s'y résoudre, elle ne voulait pas dire adieu a Argo. Pourquoi, pourquoi mon dieu me fais tu subir de tel chose pourquoi dois je perdre encore un être cher.

Soudain le souvenir de ses parents remonta à la surface, puis Loli, et de nouveau Argo, elle parti dans ses rêves et revit son amie en flou dans la taverne ou elle riait ensemble, les larmes coulaient de plus en plus sur son visage, elle vit ensuite ses parents la prendre dans ses bras et lui dire:

A dans un mois ma chérie...

Mais jamais elle ne les reverra,puis Argo en taverne elle se souvenait de son sourire timide quand il lui avait tenu la main, elle eu un frisson en se souvenant de ses murmures dans l'oreille, maintenant les larmes ruisselets le long de son visage, elle se leva embrassa les roses et s'approchant de l'eau les jeta, elle resta un moment debout face cet immensité d'eau et regarda la mer emporter les fleurs loin d'elle.

Willy_ii

[Matin - 5 août 1456 - arrivée de Nath, après s'être rendu à l'église]

William II était en train de déjeuner tranquillement. Après une nuit désagréable, une bonne petite miche de pain avec un bon verre de bonne vinasse, ne pouvait que faire du bien.

C'est pendant qu'il était en train de se régaler, qu'on vint frapper à sa porte. William II posa sa tartine beurrée, et descendit l'escalier pour aller ouvrir.

- "Nath, te voilà.", dit William en ouvrant grand les bras.

- "Willy, enfin je te trouve! Que se passe t-il? Tu sais que tu peux tout me dire !", fit Nath toute nerveuse.

- "Mais de quoi parles-tu? L'inconnu ayant disparu, je suis rentré au phare pour prendre un bon petit-déjeuner. Comme tu dormais encore, je n'ai pas voulu te réveiller, pensant que tu viendrais me rejoindre plus tard !", répondit le curé à son amie.

- "Mais tout cela n'explique pas pourquoi tu as rédigé une telle lettre !", ajouta t’elle.

- "Quelle lettre ? Mais de quoi parles-tu ?", se demanda William.

Après que son amie Nath lui avait expliqué la lettre dans toute sa longueur, le jeune prêtre lui jura de n'avoir jamais écrit une telle chose.

- "Jamais je n'aurai écrit ça, Nath... voyons... jamais. Je porte trop fièrement la médaille de ma prêtrise. Je veux voir cette lettre... on y va ?"

William II était un peu en colère, il savait bien que son amie ne mentait pas, si elle avait vu cela s'est qu'elle y était. Qui pouvait bien se moquer de lui ainsi ? Les deux amis sortirent du phare et prirent la route en direction de l'église.

[Arrivée à l'église]

Willy_ii

[Matinée du 11 août - Retrouvailles des frères]

William était tranquillement assis sur le sable, contemplant les remous de la mer. Perdu dans ses pensés, il ne savait pas quand son frère allait rentrer, ni même s'il ne lui avait rien arrivé depuis la dernière missive.

Dans ses pensés, quelqu'un vint lui sauter dessus, et le bousculer assez fort pour le faire tomber en avant. Le prêtre avait la figure dans le sable, et roula même sur le coté. Sans savoir que celui qui l'avait bousculé était son frère, il lança un regard agressif vers celui ci. Son regard changea très vite quand William découvrit son frère.

- "Frérot !! Tu es revenu !! Moi je vais bien... ça va, merci. Tellement content que tu sois rentré !"

William II se laissa entrainé par son p'tit frère, direction la taverne de Pegas. Une fois à l'intérieur, ils parlèrent beaucoup, tout en buvant quelques chopines... même trop. Chacun était en train de saouler l'autre. Quel moment de plaisir c'était.

Quand ils furent assez ivres, Will, le petit frère de Willy, sortit un petit paquet... pour ne pas dire gros. Comme il l'avait dit dans sa missive, il n'était pas revenu les mains vides.

Tout timidement, il prit le paquet et l'ouvrit. A la découverte de la pipe et de la bouteille, il fut vraiment très content. Son petit frère avait pensé à lui... que c'était gentil.

- "Merci, tu es vraiment adorable", fit William, tout en lui promettant qu'il l'attendra avant de goutter la bouteille. Il était très heureux que son frère, était enfin de retour à Bertincourt.

-fromFRalicette9

Willy_ii

[Au petit matin - 5 août]

William II venait de quitter la bicoque où il venait de passer la nuit avec plusieurs de ses amis, à surveiller l'inconnu. Ceci dit, il était disparu, d'après Belphegor. Dépassé par toutes ses mésaventures de plus en plus étranges il se retira quelques instants dans son phare pour s'y restaurer.
Une fois les pieds dans le sable, il commençait déjà à décompressé. Voir les remous des vagues lui était bénéfique.

William_zola

De son long trajet depuis Joinville, Will arrive à Bertincourt. La première chose qu'il fait est de rendre visite à son frère.
Il court vers le phare, pensant l'y trouver.
En arrivant sur la plage, Will aperçois son frère assis tranquillement ...

Il décide de s'approcher tout doucement et de lui sauter dessus. Will ne peut s'empêcher de rigoler.
A un metrè derrière Willy, Will prend son élan et lui saute dessus. Ils roulent tous deux dans le sable :
"Bonjour Fréro, Comment va ? Pour ma part, je suis content d'être rentré. Le voyage m'a paru interminable. Je suis heureux de pouvoir te parler. Surtout de ce que j'ai sur le coeur en ce moment ...

Mais avant tout, allons boire un coup en taverne.

Will attrape son frère avant qu'il ne dise mots et se dirige vers la taverne "Au coin du feu"
Tiens une nouvelle taverne. Le propriétaire est Pegas ! Et bien, je vois que pour lui tout va bien ! pensa Will

[dans la taverne]

Après quelques chopines (pour ne pas dire beaucoup) Will tend un cadeau à son frère : Voici quelques petites choses qui devraient te plaire ...

Willy hésite, prend le paquet et décide de l'ouvrir ...
Ses yeux s'écarquillent ...
Une pipe et une bouteille de champagne repose délicatement dans le paquet.

Willy ne sait pas quoi dire ... "Merci Fréro ..." puis se lève et enlace son frère.
Will rend l'étreinte de Willy.

ça me fait plaisir de te les offrir. Je sais que tu en fera bonne usage dit WIll le sourire aux lèvres ...

[sur le chemin de la plage ...]

Puis, ils décident de repartir en direction de la plage. Chemin faisant, ils se racontent leurs différentes aventure de ses trois dernières semaines.
Will demande à Willy de préparer les funérailles de feu Loli ...
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Willy_ii

Par une journée de pluie, journée identique depuis deux jours (depuis l'arrivée de l'inconnu), William II reçu à l'heure où il prenait son repas de midi, un pigeon au hublot de son phare. Encore une demande de baptesme, par un nouveau croyant, pensa t-il. Il but une gorgée de sa vinasse préférée et se leva en trainant un peu la savate pour aller prendre la missive au pigeon.
Le jeune curé n'était pas en forme aujourd'hui, il avait passé une nuit infernale, très mouvementée en faisant des cauchemars dès qu'il avait les yeux fermés. Et puis il avait faillit tomber des escaliers à plusieurs reprises, lorsqu'il se leva, ou manquait de se tordre la cheville entre les pavés des ruelles lorsqu'il prit le chemin en direction des tavernes... toutes ces mauvaises choses, comme si que le malheur voulait s'approcher de lui. Heureusement qu'à chaque mésaventure depuis ce matin il s'en sortait sain et sauve. Le malheur avait peut être du mal à atteindre sa cible, du fait de la foi de William, qui était plus forte que tout. Bref, après avoir détaché le bout de papier du corps du pigeon, il la déroula et en commença la lecture. Dès les deux premiers mots de la lettre, William fut soulager... cette missive arrivait de son frère, enfin des nouvelles de lui.

Le fait que son frère lui rappela que Loli était morte, l'attrista. Mais William savait bien que Loli allait rejoindre le Paradis sans aucun doute, elle était si innocente. Le plus dure était pour son frère, qui devait affronter la situation. La deuxième nouvelle ne lui plaisait pas... savoir son p'tit frère dans l'armée, ce n’était pas si génial que cela, surtout qu'il voyait son avenir autrement... m'enfin, soit, ses volontés étaient les siennes, et William II ne pouvait pas s'y opposer.

Il reprit sa place à la table, comme un moment avant, et sortit plume et encrier. Il inscrivit ainsi quelques mots au dos du parchemin en guise de réponse à son frère :

Une fois son sceaux de couleur rouge, pour les correspondances privées apposées, il enroula la missive comme elle y était auparavant, puis l'accrocha au pigeon de son frère et le renvoya vers lui après lui avoir donné quelques graines.

William_zola

Un message arrive par pigeon ...

Citation:

Cher Frère,

Je suis encore sur les routes de Champagne. Il me tarde de pouvoir te revoir. Nous n'avons pas fini de discuter de nos origines communes ... Je suis passé par le village de ma naissance pour essayer de retrouver des traces de mes vrai parents, mais la recherche fut vaine. Mes parents adoptifs m'ont avoué la vérité. Ils m'ont trouvé un jour sur le pas de leurs porte. Ils ne savent quoi faire, puis ont décider de me garder et de m'élever comme leur propre fils.
J'ai appris par la même occasion qu'ils avaient un enfant mais que celui-ci n'a pas survécu à son premier hiver. Donc ils ont pris ce présage comme un don du très haut...
Je leur serais à jamais reconnaissant de m'avoir élever et je les considèrerais comme mes parents.

Par contre, comme j'ai pu t'en parler précédemment, je reviens à Bertincourt avec plusieurs nouvelles ...
La première, est que je souhaitais que tu puisse célébrer mon mariage avec Loli, mais la destinée en a décidé autrement. Donc je ramène la dépouille de ma princesse afin de lui offrir de belle funérailles.
La seconde est que je viens de postuler au service de l'Ost et suis actuellement aspirant.

Avec toute mon affection,
Ton petit Frère, Will

PS : je ne reviens pas les mains vides ...

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Shame

Dans la Nuit du 03 Août 1465 au 04 Août 1465

Finalement, ce sera en Artois, première ville traversée, qu'il prendra plaisir à nager au clair de Lune, de ses Astres, bien lumineux lorsqu'il est bien rond, plein et d'une circonférence à en faire frémir tous les diamètres. Le Sable sous les pieds s'enfonce avec délice, beaucoup moins brûlant que le reste du temps en matinée et après midi, mais cependant, la moiteur et la sensation d'un temps lourd et orageux, laisse perler sur sa peau mate depuis le début de son voyage depuis le Sud Ouest de la France, cette fine pellicule à la senteur de plus en plus suave et douce, une sueur naturelle et étourdissante. A la nuit tombée, dernière Prière, avant que l'autre astre solaire, de feu, disparaisse, pour celui plus incandescent que la Lune, le bruit des rouleaux de vagues, plus ou moins, forts, proches du rivage et de la plage ont finit par l'attirer tel le chant de sirènes. Il ne met pas longtemps à poser toutes ses affaires, à faire confiance, à ses deux Guépards, et sans crainte, l'eau vient peu à peu prendre possession de son corps. Il n'est pas habitué. Il a même du mal malgré sa force de son corps à tenir bon, se faisant rejeter en arrière. Oui, c'est la première fois qu'il découvre un plan d'eau à perte de vue sous des vagues plus agitées que l'étendue d'un lac. S'il sait nager ? Bonne question. S'il vous dit, tout simplement, qu'il ne sait plus du tout. Plein de choses qu'il ne sait plus du tout y répondre ou bien n'ose pas avouer qu'il ne sait pas nager tout comme danser, ou bien le sait-il, mais ne s'en rappelle plus ou bien le sait-il mais n'ose plus du tout le savoir et préfère les réapprendre. Il ne cherchera pas vraiment de réponse ni à savoir. La pression de l'eau à contre sens de lui, l'incite, à fendre de son corps les vagues par le seul moyen qu'il lui semble d'un automatisme déconcertant de celui de plonger, corps entier dans le magma de mousse, de fond marin complétement dans la pénombre et de revenir en surface de la lumière en surface de la Lune. Et c'est entièrement prisonnier des gouttes de son crâne, de ses cils, de son visage jusque sur l'ensemble de sa peau hors de l'eau qu'il reste sur place, secoué par des mouvements plus ou moins, réguliers et incessants, telle une lutte calculée pour pouvoir de ses bras étendus au plus large possible de chaque côté de son corps, pieds remuants plusieurs mètres plus bas en profondeur, stagner là, et profiter du paysage, de l'horizon, jetant un œil au loin, vers la plage vers l'endroit où se tiennent ses deux Félins et le repère de tout son bardas. Il n'a même pas songé à allumé un feu. Peur de l'interdiction, peur d'être découvert, peur d'attirer l'attention et du monde. Un peu de tout. Cette sensation grisante d'être au cœur de la nature, au milieu d'un Elément, Maître de son Univers, et de l'y accepter sans trop lui faire la misère, lui fait étirer un sourire réjouit. Il est bien ici. Plus d'agression ni de courant ni de dérive trop importante, même s'il n'a pied, il ne semble pas qu'il soit trop loin du fond. Il va et vient, les bruits des vagues qui claquent sont lointaines, le faisant frémir, qu'elles ne viennent le déloger avec violence et fracas. Cela ne répond toujours pas: sait -il nager ou non. Aucune idée. Ses paupières battent la mesure, une expression penaude s'installe, face au fait, que moins il est actif, dans l'action, à faire tourner sa tête en des questions, informations et connaissances, moins, il est capable de les retenir en lui, tout lui échappe et mémoire et souvenirs s'évanouissent. Pourtant, en contre partie, il doit se reposer, au risque, d'exploser et de ne plus se contenir, et que tout sorte et jaillisse, alors qu'il ne doit en rien révéler tout ce qu'il porte en lui. Il est le dur et laborieux travail d'archivages, non seulement, qu'il possède sur parchemins qui peuvent disparaître et se faire détruire alors que là haut dans sa tête, tout y est répertorié, inaccessible et bien au secret. Il va et vient d'avant en arrière, tout son corps se détend, son esprit se vide. Toute énergie est superflu ici, cette nuit. Et ce sera un claquement trop fort qui le fera revenir à la réalité, pour rejoindre la plage, comme effrayé, tournant sur lui-même, à la surface de l'eau face à un danger qu'il peut entendre sans ne pouvoir le distinguer par la vue, ni le ressentir que lorsqu'il serait trop tard, surement, avec les mouvements de l'eau autour de lui. Alors sans avoir de précises positions ou attitude de nage, jusqu'à l'instant, d'avoir pied, il se penchera sur le côté, un flan de son corps, moitié du visage dans l'eau, l'autre à l'extérieur, les yeux perdus dans le ciel obscurcit, examinant la Lune blanche, bien ronde, comme repère et sensation agréable tel un phare, un repère salutaire, de vie et de survie, surement n'a-t-il pas été assez loin, pour y voir ce fameux phare dont il est question. D'un bras sur le côté, il se fait avancer, en nage indienne, comme s'il a une rame, et cela semble lui plaire, cette façon naturelle qu'il a trouvé sans pouvoir se rappeler s'il connaissait auparavant. Imaginez, pour danser, il fut obligé de demander à sa toute première compagne connue en France, s'ils avaient déjà dansés ensemble et si lui, il savait ou non. Une frayeur l'avait saisit devant ce constat. La réponse fut non. Pas étonné car dans le fond, il ne comprenait pas sa timidité, sa réserve, son vide, son absence d'être inculte, de se laisser guider, prendre en main, alors que rarement, il connaît cet état d'être entre prit au dépourvu, maladroit, si peu expressif, avec autant de manque de confiance. Fragilisé. Surtout aux yeux de tout le monde en public quand on connaît son parcours et sa personnalité, c'est déroutant et cela pique l'égo à vif surtout si cela amuse autour de soi, même si ce n'est que l'Humour, mais l'Humour, seul soi-même peut se le permettre sur sa personne et non point autrui. C'est ce que beaucoup ne comprenne pas. Il doit réagir. Il n'est pas comme ça. Possible que ce qui s'était passé à côté l'avait affaiblit plus qu'il ne faut mais cela ne serait pas bien difficile et profiter de ses faiblesses, de son état, lui a apporté bien plus que certains ne le pense sur eux mêmes en retour. Il ne reste plus qu'à réitérer l'expérience et d'inverser la tendance cette fois ci.

Le sable humide sous l'eau qui dégouline de sa masse musculaire le rassure. Il se passe les mains sur son crâne, réflexe, comme s'il avait des cheveux, pour les faire retomber lentement sur chaque côté de son visage jusqu'à sa nuque où ses doigts la caresse doucement. Il s'étire de tout son long, tête vers le ciel, yeux fermés un instant, puis rejoint ses deux animaux, pour fouiller dans ses affaires, et, ne point se sécher, se disant qu'un feu aurait été une idée idéale mais la route les attend sans doute, à moins, que d'ici la sortie de la ville de Bertincourt, il en soit autrement. Il range bien de côté tous les parchemins reçus pendant son voyage, les seuls, qui sont les Lettres de Bienvenus des Provinces et Villes qu'il traverse avec tous les conseils nécessaires pour que son séjour se passe bien. Il regrette de ne pas les remercier en retour, mais, écrire, est redevenu pour lui, comme une chose oubliée parmi tant d'autres avec lesquelles, il avait renouée petit à petit, puis il les abandonne à nouveau. Il n'en voit pas l'intérêt. Pis écrire, prendre contact, c'est entrer dans la vie d'autrui, et quelque soit le lien ou la place attribuée, cela ne changera rien surtout pas avec la distance, à ce que chacun vit tous les jours et peut avoir une influence et tout changé au point de ne plus donner autant d'importance à ce que nous sommes aux yeux des autres. Peut-il a -t-il tord ou raison. Mais parfois veut mieux ne pas être dans l'entourage d'autrui ou dans leur vie, au jour le jour, pour se rendre compte que si on était là ou pas, ce serait la même chose.

Il avait encore la tête en Normandie avec sa visite du Mont Saint Michel et la Légende du Crâne, son visage s'illumine avec simplicité, à y repenser. Il les avait quitté la veille comme un regret consenti. Un long soupire. Il laisse à la dérive tout ce qu'il devrait faire et entreprendre, en son Comté du Périgord et au niveau Royal. Même s'il se rapproche de Paris, il en a de moins en moins envie, parce qu'il en connaît la mentalité Politique et Noble, cela va de Paire ou Pairs.

D'ailleurs, personne n'a remarqué que Paris ou Pairs sont un anagramme de l'un et de l'autre ? En tout cas, si vous ne savez où trouver les Pairs, suffit de vous souvenir de cet anagramme. A Paris.

Ils sont prêts. Le sable aura encore la sensation agréable quelques mètres, jusqu'à disparaître, dans la nuit noire, au loin, où enfin, le Phare fait des siennes avec ses jets de lumière dans une circonférence et un diamètre parfait, à mieux faire remarquer la Lune sur l'horizon et son champs de Lumière plus diffus.

Frangipane

Extrait du journal de Frang, le 02/07/1465 :

En parlant d'océan, nous arrivons à une ville portuaire, demain. On entre bientôt en Normandie. Rien qu'à sentir l'air qui s'humidifie au fur et à mesure qu'on en approche, cela me réjouit le cœur. Je me souviens des contes que l'on nous racontait, étant enfants. Des contes sur l'océan et sur les marins qui vagabondent sur ses flots. J'ai hâte de découvrir le monstre... ou la merveille. Difficile à dire, tant aux yeux de chacun elle apparaît d'une splendeur terrible, ou bien d'une douce puissance... Ce qui est sûr, c'est qu'elle est immense.

Extrait du journal de Frang, le 03/07/1465 :

Je me suis rendue à la plage, pour la toute première fois de ma vie. Ce fut un choc indescriptible, que d'être envahie de toute part par ces nouvelles perceptions que m'offrait la mer. Je m'y noyais déjà, sans même l'avoir touchée du doigt. Les rafales de vent et le chant profond de ses vagues qui se fracassaient au loin, ou qui venaient déposer leur écume à mes pieds, roulant sur le sable chaud, m'ont étourdie d'égarement. Je respirais un air nouveau, puissant, qui s'engouffrait en moi pour noyer tout mon être, épris de cette plénitude nouvelle. Son parfum me semblait à la fois nouveau et familier. Neuf et imposant de clarté, et tout aussi terriblement ancien et écrasant, grandiose, presque intimidant à une âme qui ne l'a jamais rencontré. Son parfum comme sa voix semblaient constituer un tout, doté de vie. Jamais je ne serai en mesure d'oublier une telle présence. Je me consumais d'un désir inconnu, submergée, le souffle coupé, sans voix. Je me laissais absorber par cette entité nouvelle, sans être plus capable de penser, mais uniquement de ressentir.

Penday-tad pel sakilous say-tad lyan - La clef de l'horizon se trouve au cœur de l'éternité

J'ai entendu dire que lorsque l'on tombe amoureux de la mer, on tombe amoureux de la liberté à l'état pur. Une sublime illusion, qui entretient ce lien immatériel (et impalpable) qui nous enchaîne à la vie. Ses flots sont porteurs de cette illusion, lorsque notre âme s'y pose. L'horizon... peut-être ne fait-il que s'imaginer, l'horizon. Lointain, invisible pour moi, mais présent à moi, dans toute son étendue. Une frontière qui sépare à nos yeux le bleu de l'océan et celui du ciel. Une frontière qui ouvre une porte sur la liberté. Pourtant, pour moi qui n'imagine le ciel que comme cette chose impalpable, au silence éternel, et que tant d'yeux s'évertuent à contempler jour et nuit... pour moi, qui ne sait ni le bleu du ciel, ni le bleu de la mer, leur souffle se mêlent. Ils se mêlent en mon imaginaire. Ils m'immergent dans des sensations uniques, impossible à identifier, à distinguer, lorsque les remous du vent et ceux de l'océan soufflent des mots qui sont pareils aux nuages, sans forme fixe, insaisissables et changeants, qui me font m'oublier dans un soupir... qui se prolonge sans fin. S'il existe des nuages en forme d'océan, je ne pourrai jamais y noyer mon regard. C'est un monde jusqu'à présent inaccessible, qui s'ouvre à moi en cet instant. J'avais la sensation qu'une part du ciel que je n'ai jamais connu s'étendait maintenant devant moi, à perte de vue... Même les expressions que je n'ai jamais su saisir prennent sens et forme en cette heure enivrante. Cette part de ciel, on l'avait déposée là, il y a... toute l'éternité. Elle était perceptible. Je m'étais agenouillée, peut-être pour la première fois devant une présence qui s'imposait à moi, éperdue. Le vent soufflait tandis que je laissais les vaguelettes de la plage m'entourer, puis s'éloigner, puis revenir ainsi, encore et encore, inlassablement. Ce bout de ciel là, je me demandais si des astres pouvaient s'y trouver. Ou, s'y refléter, toujours aussi lointains et intouchables. C'était pour moi un bout de ciel tangible. Il avait une odeur, une froideur ravivante au toucher. Il avait un goût, salé. Et il avait une voix, un souffle. On parle avec le souffle. Mais il gardait ce qui me semblait être son essence. Il restait, plus que tout, insaisissable.

J'avais déjà le sentiment que je passerai une vie entière à tenter de la décrire. Et que cela ne mènerai à rien, tout comme la vie elle-même. C'était une flamme qui m'animait, d'une puissance implacable et d'une extraordinaire douceur. Elle s'allumait d'un souffle, de ce nouveau souffle qui m'étreignait. Ce souffle qui faisait toute son imprenabilité. J'ai l'habitude de constater que ce qui est insaisissable, est éphémère. C'est pourquoi à cet instant j'étais perdue, éperdue, du sentiment qu'elle portait en elle l'éternité. C'était peut-être même cette immensité perceptible qu'elle portait en elle, qui restait insondable. Et j'avais pourtant l'impression et la certitude intuitive que ce sentiment était tout sauf évanescent. J'avais même la sensation étrange qu'il avait toujours été là, depuis mon premier souffle, indiscernable. J'étais fascinée, comme jamais je ne l'avais été de ma vie. Sans même saisir comment, pourquoi, sans même alors saisir ce que j'étais, face à ce charme irrépressible. C'était comme si toutes mes certitudes s'effondraient, comme si tout ce que j'avais appris et découvert n'était que poussière destinée à s'éparpiller dans ce vent marin. Comme si moi même je n'étais plus rien, et pourtant bien vivante et présente, traversée de flux fugitifs et toute empreinte de fascination et d'attrait profonds devant son immensité qui me sondait le cœur et me l'emportait déjà...

C'est ce sentiment là que j'ai à présent. Comme si cet amour pour elle avait toujours été là, enfoui en moi, et qu'il se révélait à présent, aussi puissant qu'inébranlable. Elle a toujours été présente en moi et autour de moi, je pouvais même en ce temps la ressentir dans le vent, la brume et la pluie toute emplie de secrets et qui fait émaner toutes les senteurs des choses, les rendant plus perceptibles, les dévoilant parfois. J'ai trouvé une nouvelle confidente que la nuit, la pluie ou la Lune invisible. Si tu veux te dévoiler toi aussi au monde, tu souffle ton être à l'océan. C'est si facile, quand elle t'engage à l'aimer, inconditionnellement.

Toujours dans le sable et trempée d'eau salée, je me suis levée et j'ai avancé vers ce que j'imaginais être l'horizon, cette limite dont je n'avais pas conscience, et cette liberté qui m'étreignait. J'avais de l'eau à la taille quand je me suis arrêtée, avec la sensation, pendant un instant, d'être ce phare, qui devait se dresser non loin de là. J'étais ce phare, comme il s'en sème un peu partout sur les bordures maritimes. Ce phare qui se dresse, entouré par la mer, relié à la terre et la tête dans les airs. Un vrai nénu-phare. J'étais le phare, qui, bien qu'aveugle, porte jour et nuit son regard vers l'horizon, sachant bien avant les hommes que personne ne pourra jamais l'atteindre. Alors il les attend, il guide ces inconscients, au cœur épris de la liberté sans fin que leur procurent les flots, tandis que lui reste sur le rivage pour l'éternité, ignorant les tourments de sa bien aimée, imperturbable. Jamais il ne la quittera. Le monde pourrait bien arriver à sa fin, qu'il se dresserait toujours là, enraciné dans ses profondeurs à jamais, n'attendant plus que sa flamme éternelle s'éteigne.

C'est en fait la mer qui guide le phare, qui le rattache à elle, à l'existence. Tout comme l'homme, qu'elle anime de cette même flamme indestructible. Je ne peux pas voir le feu qui brûle là-haut, dans cette colonne de pierre, mais je peux percevoir celle qui anime et s'empare du cœur des hommes. Je pouvais le ressentir en moi, en songeant que durant toutes ces années, il attendait son heure, fait de simples braises attisés par les vents. En songeant que cela s'emparait violemment de tout ce à quoi j'ai cru, de tout ce que je suis. Je suis aveuglée par elle, car si l'on peut créer un feu par nous-même, certains d'entre eux se font immensément plus forts que nous. On ne peut lutter contre. Mais j'avais aussi ce sentiment que l'océan était alors un guide immensément plus fiable que tous ceux que j'avais rencontrés jusqu'alors, car son souffle est intarissable. Ce sentiment qui s'affirmait en moi était ineffable, mais ineffaçable. Même mon tout dernier souffle, sera empreint de cet amour pour elle. Et c'est sur cette dernière note que je songeais à la vérité humaine, qui pourtant prend selon moi sa source dans le néant. Je me laissais alors bercer par des pensées fugitives.

La mer prend sens uniquement à nos yeux. Ce sens, on l'invente à travers son souffle et son rugissement, à travers le vent et le mouvement, qui lui font prendre vie et qui nous (r)amènent à la vie. On lui trouve un sens profond et indescriptible, qui prend source dans le sens que l'on s'est nous-même créé, et qui n'a aucun fondement. Elle fait partie de ce qui tisse ce lien qu'on a à la vie, le plus fortement. Un espoir, une liberté. Pourtant, je savais, et je l'ai toujours su, ce sentiment de liberté n'émane que de nous. La liberté est ce qui nous enchaîne à la vie. Je pouvais à présent résoudre le paradoxe de ce sentiment, aussi insaisissable qu'indestructible à nos yeux. Ce sentiment qui guide notre vie et qui nous y attache, est impossible à saisir, car fugitif. Éternel à nos yeux, alors que nous-même sommes éphémères.

Alors oui, il peut être infiniment difficile d'admettre que la mer n'est qu'une étendue d'eau, un reflet du sens qu'on s'est donné à nous-même, et de ce qu'on appelle la vie. Et surtout, une étendue porteuse de l'illusion de l'infini. De l'infini que l'on a voulu se donner, par tous les moyens, que l'on cherche à insérer en notre être. On croit même qu'il y est déjà, quand on entend le bruit des vagues. Mais au fond, je sens que l'homme qui cherche à se rendre éternel oublie que toute chose a une fin, et que même l'océan a des limites, des frontières. S'il ne peut dépasser même l'océan, comment pourrait-il lui-même être éternel ? Quand au ciel, je n'en sais rien, je ne l'ai jamais vu. Mais nous, ici et maintenant, sommes éphémères. Nous ne sommes rien, c'est la seule vérité que l'océan peut nous imposer. Ou bien nous insuffler.

Un écho de mes songes et de mes pensées se répercutait au creux des vagues. Il n'y avait pourtant que les vagues. Et moi pour écouter.

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Je ne suis peut-être pas voyante, mais je suis réceptive au présent, hé !

Cle0phee

Elle est arrivée tot, à l'heure ou le coq n'a pas encore poussé son célèbre cri. Et même si elle ne vient pas de loin elle est un peu fatigué par la route qu'elle vient de faire. Azincourt - Bertincourt, il n'y a peut-être que quelques lieux qui separent les deux villes mais il faut malgré tout les parcourir et ce n'est pas en regardant pousser les marguerites quelle y est parvenue.

Le taudis de Bertincourt elle l'a découvert, propre, douillet, accueillant...enfin comme tout taudis peut l'être se dit-elle avec un humour bien à elle... Au petit matin elle se reveille le dos en compote, l'estomac hurlant famine. C'est à la municipale qu'elle a pu enfin prendre un bon repas avant d'aller visiter la ville et le soir venu à la sortie d'une taverne elle s'est dirigé vers une ruelle, d'une ruelle elle a suivit un chemin et du chemin elle a découvert un sentier qui a fini par la conduire face à la mer.

Et si elle fut plus habituée aux plages de sable fin de La Rochelle, une fois débarrassée de ses chausses elle est surprise par celle-ci si differente de ce qu'elle a pu connaitre, passant de la douceur du sable blond à la perfection des galets ronds et bleutés elle avance tout en réfléchissant aux deux derniers jours qui viennent de se passer..

15 jours d'hésitation ! Rester à Calais et s'investir ou partir fut sa grande question avant se décider. C'est le manque de monde qui a fait remonter à la surface celle qu'elle a toujours été et qu'on nommait " la girouette " et ce qu'elle cherche, c'est un village. Un village avec un peu de vie où les habitants ne sont pas que des silhouettes furtives. Après 15 jours passés à Calais, elle a tenté Azincourt mais une nouvelle fois face à une ville déserte elle ne reste pas ou peu.

Mais elle ne n'a pas tout perdu car durant deux jours elle a discutée avec Merlin, échangée et abordée divers sujets et c'est sur ces conseils qu'elle quitte Azincourt. Si elle a du mal à croire que l'amitié puisse naitre en si peu de temps elle est mise devant le fait, car entre eux c'est ce qui se passe et une promesse est faite celle de s'écrire, de ne pas couper le contact.

Mais en voyant une étoile filante, lui vient l'idée de faire un vœux pour celui qui est en passe de devenir un ami " Faites qu'un jour son rêve se réalise ..."
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Louiseanne

Louiseanne et Gaëtan arrivèrent à l'aube, fourbus mais enchantés. La jeune femme malgré la fatigue du voyage ne tenait pas en place

Allons vite boire une tisane et ensuite tu me mèneras à la plage, hein!

Elle le regarda les yeux mi-suppliants, mi-coquins, comme à son habitude.
Ils entrèrent dans la taverne la plus proche, éclusèrent leur tisane, en moins de deux et se rendirent à la plage.
Le jeune femme resta un instant immobile et stupéfaite face à la vue qui s'offrait à elle, elle serra la main de son compagnon et dans un chuchotement, s'adressa autant à lui que pour elle-même

L'océan! c'est fabuleusement beau. Tu me l'avais dit, mais même dans mes rêves les plus fous, jamais je n'aurais imaginé que ce fût si envoutant.

Elle se pencha vers Gaëtan et l'embrassa tendrement

Merci de m'avoir permis de réaliser un de mes rêves

La prenant par la main, ils avancèrent sur le sable en direction de cette immensité qui l'attirait et la subjuguait tant. Arrivés à quelques mètres de l'eau, elle s'immobilisa, ôta ses bottes, remonta sa jupe et s'avança jusqu'à avoir les pieds mouilles.

Ouppsss c'est frais!

Ils restèrent là a marcher les pieds dans l'eau le long de cette magnifique plage

Push

C'est nostalgique que Push décida de faire une dernière balade sur la plage avant d'embarquer sur La Pulce Del Poeta, la nave génoise de Awen. Quelle joie de partir avec lui et Juju et d'apprendre à mieux les connaitre.

Cette fois, elle quittait définitivement l'Artois et la veille au soir, avait été dire adieu à ses amis Omby, Sylvine, Chany, Lou, Shim... en taverne .

Au fond de son cœur, elle savait qu'un jour elle reviendrait, mais il lui fallait tourner cette page et continuer son histoire loin d'ici, loin de ceux qui l'avaient blessée, mais décidé à ne garder que les bons moments, car elle partait avec tant de beaux souvenirs qui se bousculaient dans sa tête, mais cette fois, elle partait pour de bon .

La mer était calme, le vent léger caressait sa peau, ce vent qui parfois pouvait devenir si violent, si agressif comme certains hommes qu'elle avait connus. Cette mer si douce, si calme qui pouvait se transformer en tempête et finalement, cette mer reflétait la vie, sa vie... et c'est les pieds dans l'eau, qu'elle ce remémorait cette vie qu'elle quittait en regardant au loin, les yeux dans le vague.

Soudain, elle entendit la corne de brume pour prévenir les passagers qu'il était temps d'embarquer. Il lui fallait donc quitter ses rêves et revenir à la réalité du moment.
Ses amis étaient peut être déjà à bord et il était temps de les rejoindre.

Son compagnon Fantask devait s'impatienter de la voir monter et être certain qu'elle ne changerait pas d'avis.
Comment pourrait elle changer d'avis après cette belle rencontre et tout cet amour qu'il lui donnait depuis le premier jour de leur rencontre...

Et c'est d'un pas pressé qu'elle se dirigea vers le port pour embarquer en ramassant un dernier coquillage qu'elle serra fort dans sa main et qui resterait ce lien avec ce lieu qu'elle aimait tant...

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Sylvine

Elle avait besoin de sentir la caresse de l'air marin entre les mèches de sa chevelure d'entendre le glissement du sable sous la déferlante.....
La brune n'était pas rentrée directement chez elle. Elle avait arrêté sa carriole en bord de mer , à la plage....
Après avoir déchargé ses trois petiots qui s'en donnaient depuis à cœur joie de se poursuivre en criant et gesticulant, elle marchait tranquillement bien qu'attentive à leurs faits et gestes.

Ils avaient besoin de se défouler après quatre jours à être restés enfermés.....

Ses mains récupéraient de temps à autre les coquillages, qu'ils trouvaient..... Elle s'assit sur un rocher, caressant du doigt le roseau taillé en pendentif à son cou...

Les enfants savaient que dès qu'ils entendraient le signal, les jeux cesseraient et sonnerait le retour à la maison....
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Sylvine

Une petite descente jusqu'à la plage, cela ne lui était plus arrivé depuis un moment....

Elle rajusta bien son capuchon sur ses oreilles pour que la bise ne les lui mordit pas...
Elle croisa ses bras au dessus de sa besace et entra les mains dans ses manches pour les laisser au chaud...

Ses pas crissaient... Son esprit s'envolait.

Elle était une simple silhouette encapuchonnée sans nom sur la plage......
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--_push

Cela faisait déjà pas mal de temps qu'elle avait disparu aux yeux de tous et ce matin là, l'envie fut plus forte que tout et elle se dirigea vers la plage, d'un pas décidé, enveloppée dans sa cape sombre, ses longs cheveux attachés pour que le vent ne lui envoie pas sur son visage .

Puis, une fois arrivée face à la mer, elle regarda à droite, à gauche, au loin et il n'y avait pas une âme qui vive, ce qui était parfait.
Elle s'assied sur un mur de pierres décidée de rêvasser, laisser passer le temps et réfléchir à la missive qu'elle avait reçue de ses amis.

Mais pourquoi personne ne l'avait vue depuis des jours et des jours et que personne ne s'en était inquiétée ?
Et bien tout simplement, par besoin de ne croiser aucun regard, ne pas avoir à discuter, être seule. Elle avait tout prévu et avait punaisé une affichette sur la porte de son moulin pour ne pas être dérangée "JE SUIS EN VOYAGE"
Du coup, ceux qui se présentaient, repartaient sans aucune inquiétude.

Mais que s'était t il passé un soir pas comme un autre ?
Et bien elle avait décidé de s'enfermer dans son moulin et pour ne pas être tentée d'en sortir, elle avait prit sa clé et l'avait lancée dans son tas de farine et pouf ! La clé avait disparue.

Enfin tranquille, se dit elle !

Et au fil des jours, plutôt que d'avoir été chez les nones qu'elle ne voulait pas voir non plus, elle se reposa, peint la mer, peint des bateaux jusqu'à ce matin où en prenant de la farine pour faire son pain , retrouva sa clé.

C'était surement un signe. Le signe qu'il lui fallait à nouveau affronter le monde.

Il est peut être temps de reprendre le frais se dit t elle, et c'est comme ça qu'elle se retrouva sur cette plage qu'elle aimait tant.

Elle était emmitouflée dans sa cape avec le vents frais qui la fouettait, le froid lui pinçait les oreilles et le nez, mais combien ce vent et l'odeur de la mer étaient bons.

Mais aujourd'hui ce qui importait, c'était de profiter de la beauté du paysage et de réfléchir à la décision que ses amis lui demandaient de prendre rapidement de partir ou non.
Pour l'heure, elle n'avait aucune autre envie que de passer sa journée assise sur le muret pour prendre la bonne décision avant peut être de se transformer en statut de glace.

Theolinde

Face à la mer... Theolinde se retrouvait seule sur la plage, ses pieds nus fourrés dans le sable bien qu'il fasse un peu froid en cette saison. Un peu... Ouais, non, il faisait carrément glacial. Mais si ses petits pieds étaient congelés, le haut du corps lui était bien couvert car en plus de ses habits en laine, Theolinde avait aussi pris une couverture pour s'emmitoufler dedans.

Voilà. Elle y était. Ils y étaient. Bertincourt. C'était le moment des adieux. Les adieux...

Elle ferma les yeux, prit une grande inspiration, une grande bouffée d'air iodé s'infiltra dans ses narines pour remplir ses poumons.

Ppfff...

Elle n'avait pas eu de grands regrets en quittant la Champagne. Elle n'avait pas hésité longtemps. Elle voulait voyager, faire de nouvelles rencontres. Il y avait surement plus vivant comme endroit que celui là. Son objectif : la Bretagne. Elle voulait les entendre causer, il paraît que ça causait bizarrement là bas ! Pour ça il fallait traverser la Normandie. Mais avant c'était l'Artois. Et c'est là que...

Arrivée à Péronne elle avait intégré la tournée comtale tout à fait par hasard. C'était facile : une taverne, des chopes, ça dit que ça bouge dans telle ville, ça forme ou rejoint un groupe déjà formé pour faire le chemin à plusieurs. Et zooou c'est parti ! C'est convivial. On s'entend bien. Trop bien !

Elle marche sur la plage, l'eau salée et froide vient lui lécher les pieds tandis qu'elle est perdue dans ses pensées.

Ils ont bu. Ils ont parié. Ils ont navigué. Puis... Bertincourt, voilà, c'était la toute dernière étape, qui la mettait au pied du mur.

L'Artois n'était pas la Champagne.

Elle se pose. Le parchemin posé sur un pan de muret construit dans le sable, elle écrit à Maighdin.

Citation:

Salut !

Voilà voilà, on est arrivé à Bertincourt et la Normandie est à côté. Du coup... Et bien...

Bon en fait, je vais pas en Bretagne. Je reste. Ici. En Artois ! Avec vous tous.

A plus tard pour vider des tonneaux !

Theolinde

Dalmas

C'est par un début d'après midi grisonnant sous un ciel bas qu'il s'en alla faire un tour sur la plage, il marchait sur le sable humide regardant les vagues déferler et venir s'échouer sur la plage avec fureur et fracas les reflets de la mer reflétait la couleur du ciel entre le gris et le noir, il s’imprégnait des odeurs d'iode et un gout salé d'embruns s'installait dans sa bouche, il marchait tout en écoutant le bruit des vagues et des oiseaux qui volaient bas et d'un chien qui aboyer au loin tout était pour lui un choc sensoriel et émotionnel. Il trébucha sur une branche déséchée qu'il ramassa et la jeta à la mer ondulante comme une offrande celle ci l'emporta vers le large, il resta un moment à l'observer jusqu'à ce que la branche ne soit plus visible. Il reprit sa marche pensant aux derniers jours, il avait revu sa sœur brièvement, ils avaient discuté très peu, mais il était content de la savoir en bonne santé, il avait revu aussi une amie de longue date qui avait réussi à le soigner de certaines maladies qu'il traînait depuis quelque temps avec sa hantise des médecins qu'il avait depuis toujours c'était une prouesse. Il s'arrêta et regarda en direction du port avec un sourire le bateau était en construction depuis deux jours. Son regard fut attiré par le phare visible à des lieux afin d'avertir les bateaux des dangers de la cote. Absorbé à ne rien rater afin de garder ce moment longtemps dans sa mémoire, il se laissait emporter comme la branche dans ses souvenirs. L'eau l'apaisait, il avait toujours était attiré par l'eau que ce soit le lac de Macon ou la mer de Bertin, elle le lavait de ses souillures et purifiait son âme comme un pardon divin le froid l'envahit et il décida de rejoindre la ville afin de se réchauffer dans une taverne et attendre Arfie.
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Polianna

Polianna prit une grande bouffée d'air.

La nuit était à présent tombée.
Il était tard, il faisait sombre. On n'entendait que le crissement du sable où s'enfonçait ses pieds nus, et le murmure incessant des vagues dansantes dans l'obscurité de l'horizon dont on apercevait que l'écume blanche et étincelante, même au loin.
Le phare, toujours immobile, inaltérable malgré le vent marin, le froid ou la chaleur, les jaillissements de la mer, jetait un grand trait de lumière circulaire, lent, sur l'eau noire et insondable.

La châtaine se laissa retomber sur le sable, puis ramena ses jambes contre elle. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'était pas venue ici... Plus d'une année. Une longue, très longue année.
Ses retrouvailles avec Bertincourt et ses lieux familiers qu'elle avait habités pendant deux ans furent courtes. Même pas une journée. La sensation de revenir ici était étrange. Un mélange de nostalgie, de sentiment d'échec, et d'un certain plaisir aussi, malgré tout.

Bertincourt qu'elle avait quitté, voilà plus d'un an, pour aller vivre dans sa ville natale, auprès de l'homme qu'elle avait toujours aimé, le seul homme qu'elle ait aimé, et qui voulait bien d'elle à nouveau. Elle s'était efforcée de lui plaire, de se conformer à ses attentes, d'essayer de le mériter, de le rendre un peu fier d'elle, elle qui n'était rien, elle qui n'avait rien, lui qui était... tant et tant de choses.

Et pourtant... la joinvilloise n'avait pu se montrer à la hauteur de ses espérances. Elle l'avait déçu. Elle s'était finalement montrée indigne de lui. Elle ne le méritait pas. Et après un petit mois de mariage, altéré par son enlèvement, ils se séparèrent...
Alors qu'elle n'avait jamais aimé que lui. Alors qu'il n'y avait toujours eu que lui à ses yeux. Depuis plus de sept ans.
Et qu'elle aime toujours, malgré elle. Et tout ce qu'elle a toujours voulu pour lui, durant toute ces années, c'était simplement qu'il soit heureux. Même si c'était sans elle. Et voilà un peu plus d'un mois qu'ils s'étaient séparés car... elle savait, à présent, qu'il ne pouvait être heureux avec elle.

Pendant quelques jours, elle a erré, hors des saisons, sans plus aucun contact avec la réalité, sans plus aucune notion du temps. Elle ne se laissait pas aller pour autant au chagrin, la châtaine avait toujours mis un point d'honneur à ne pas accabler les autres avec sa tristesse, et se caparaçonnait dans sa coquille, et affichait un masque de bonne humeur aux inconnus qu'elle croisait.
Sa Suzeraine et amie s'était empressée de lui proposer des projets, comme pour la sauvegarder en vie, comme pour lui dire que d'autres horizons pouvaient se présenter à elle, et de lui dire d'avancer.
Que c'était le seul moyen, pour ne pas sombrer et perdre ce qu'elle était.

Faisant route vers elle, Poli avait croisé par hasard Lilas, sa petite Fleur, si chère à son coeur, la fille de son amie disparue. Lilas voyageait encore avec Cettia, une adorable jeune fille. Elles étaient désormais inséparables, après l'avoir longtemps été, séparées. Et elles se glissèrent dans sa charrette, en disant à Poli qu'elles n'avaient pas envie de rentrer tout de suite, mais qu'elles ne savaient pas trop où aller.
La châtaine les soupçonnait de ne pas vouloir la laisser seule... et leur était reconnaissante, car leur présence et leurs douceurs lui faisaient énormément de bien.

Puis Poli avait aussi rencontré un homme étrange à Péronne.
Siegfried.
Sans qu'elle ne sache ou ne comprenne bien pourquoi, il lui avait proposé de les accompagner pour l'escorter et les protéger des brigands, que c'était son occupation professionnelle la plupart du temps.
La joinvilloise avait refusé, mais ce dernier se mit à les suivre lors des étapes suivantes de leur voyage, lui affirmant qu'il s'assurait de leur sécurité, en toute discrétion. Si bien que... Poli finit par accepter qu'il voyage avec elles, puisqu'il était déterminé à entreprendre le même chemin qu'elles, même si elle ne comprenait vraiment pas pourquoi il faisait cela. Et puis il était plutôt un bon compagnon de route, avec une conversation intéressante et semblait un homme d'honneur et de confiance. Alors tant qu'à faire, tant qu'à prendre la même route...

C'est ainsi que tous les quatre avaient atteint Bertincourt au petit matin.
Poli s'était isolée, pour se promener seules dans ces ruelles qu'elle connaissait bien mais qu'elle n'avait pas foulée depuis longtemps. Elle savait que Cettia emmènerait sans doute Lilas à la plage dès leur arrivée, pour faire découvrir à la petite Fleur la mer pour la première fois. Tout comme le père de Lilas l'avait découverte pour la première fois à la diagonale du Royaume, à Bayonne, il y a peu.

Laissant glisser ses doigts sur les pierres en souriant, visitant son ancienne maison, qui fut la première après avoir tant erré sur les routes autrefois, son ancienne bergerie, la châtaine se rappelait. Mais avec un sentiment étranger. Comme si toutes ses sensations familières qu'elle retrouvait, ces endroits qu'elle reconnaissait, était tout de même lointain. Comme si ses souvenirs d'ici ne lui appartenaient plus.

Et au soir, comme elle le faisait souvent autrefois, elle vint ici à la nuit tombée, sur la plage, lorsqu'elle était quasiment désertée, loin du port. Revenir à Bertincourt, là où elle avait habité avec sa Méli, était pour elle un... véritable retour en arrière. Un retour à la case départ.
Le chagrin d'avoir perdu à jamais le seul homme qu'elle ait jamais aimé était encore là, vivace, et elle savait que la peine ne partirait sans doute jamais. Della lui avait dit, avec honnêteté, que l'on ne guérit pas une telle peine... On vit simplement avec. Poli savait que c'était la vérité.

Mais Bertincourt, et surtout sa plage, était l'endroit idéal pour faire enfin un peu le point, se poser, et réfléchir à elle, à sa vie, à cette page de son existence, la plus belle sans doute, qui se tournait... La châtaine essayait de se présager de ce qu'elle pourrait bien écrire sur la suivante.

La joinvilloise se releva, et, fidèle à sa tradition, se dirigea vers l'eau sombre qui léchait le sable. Elle s'arrêta, les chevilles immergées, observa l'eau, puis le lointain. Enfin, elle se pencha et trempa son doigt dans une vaguelette avant de la porter à ses lèvres et de la goûter.
Après un moment, la châtaine fit un moue, et poussa un soupir.

- Toujours salée...

Elle pouffa doucement, toute seule.
Poli restait persuadée, que la nuit, l'eau de mer devenait sucrée.
Elle avait, une fois de plus, échoué à prendre la mer en défaut, mais elle ne renonça pas, et verra bien, qu'un jour, elle goûterait au sucre de mer.
C'était désormais sur ce genre de petites croyances saugrenues qu'elle se reposait, car la vie qu'elle s'était construite avait été soufflée il y avait un mois à peine, et il ne lui en restait presque plus rien. Perdue. Sans plus aucune attache. Alors, elle avait encore besoin de s'accrocher à ce genre de petits repères qu'elle avait toujours eu, pour ne pas se perdre complètement.

Il était l'heure à présent.

Elle pivota sur elle-même et remonta le long de la plage.
Il était l'heure de repartir.
De quitter à nouveau Bertincourt.
De reprendre la route.
De prendre à nouveau... un nouveau départ.
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Amarante.

La brune avait quitté l'auberge. Elle avait marché longtemps, pour enfin arriver sur la plage. Depuis qu'elle avait quitté SB, elle n'avait plus ce petit plaisir de venir se détendre les pieds dans l'eau ... Elle se baissa pour s'asseoir sur le sable et enlever ses bas et ses chausses. Elle se releva ensuite et remonta un peu le tissu de sa robe dans sa ceinture et alla jusqu'à l'eau, où elle se marcher en bordure de plage, les pieds nus dans l'eau fraîche ...

Cela lui avait manqué, mais en même temps, à ce moment précis, elle en appréciait le simple moment ... Le soir tombait et l'air était doux, malgré quelques nuages assombrissant le ciel du nord.

Tout en marchant, ses pensées se portaient sur sa chère Bretagne et sur un jeune homme qui n' avait pas encore répondu à son dernier courrier ... Elle ne s'impatientait pas, elle savait qu'il allait bien, juste qu'elle se demandait ce qu'il faisait ...

Puis, son esprit vagabonda vers sa petite fille Korydwen. Elle grandissait et bientôt, elle allait devoir partir pour continuer son éducation ... Elle ne savait pas vraiment si elle voulait la laisser s'en aller comme ça ... Elle était la seule à laquelle, elle tenait plus que tout ... Elle avait encore un peu de temps devant elle, mais cela venait plus qu'elle ne le voulait ...

Elle avisa un rocher et alla s'installer. Elle se cala du mieux qu'elle put et laissa son regard émeraude se perdre dans l'immensité bleue ...
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Enfermé dans sa tour d'ivoire ...
Perdu au milieu de ses incertitudes ...

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Socklyne

Après avoir inscrit ses vers à la cabane Socklyne s’était mise à courir jusqu’à l'eau , le vent violent soulevait ses cheveux... en même temps qu'il faisait aussi voler le sable, venant fouetter son visage.
Trop heureuse cependant elle n'y pretta pas plus d'attention et continua sa course.
Elle se ralentit lorsque l'eau viens s'enrouler autour de ses chevilles..elle sourit, ferma les yeux ...et respira l'air frai, écoutant les mouettes chanter...

Elle resta là un moment...le vent déchaînait la mer créant des rouleaux de vagues ..
Elle contempla l'horizon ...se perdant dans la beautés que créaient les éléments...puis l’Ebène, décida que malgré le froid , malgré le vent , malgré le fait que l'eau était glaciale..elle irait se baigner.!

Mhmm..tu n'es pas venue jusque là pour contempler..courage... le froid tu as déjà connue ça ne pourra pas être pire !

Elle avança lentement laissant les vagues frapper son corps...ses jambes forçaient contre le courant...elle grimaçât tout de même sous l'effet glacé de l'eau...folle elle était certainement mais socklyne faisait toujours comme bon lui semble ...

Une fois l'eau embrassant ses hanches..elle se laissa glisser en avant , alla à la rencontre de la vague qui arrivait ..la laissa passer sur elle et ressortit la tète de l'eau!

Outch..pas facile..mais geniallllllleeee Elle sourit ..elle l'avait fait !

Elle se retourna ,menant ses pas vers le sable et la plage grelottante ...pressant ses cheveux avec ses mains, les enroulant , afin d'en retirer l'eau puis les attacha avec le pic de bois qu'elle avait taillé quelque jours plutôt.

Il lui fallait maintenant trouver une taverne ou se réchauffer et se sécher..

Sylvine

Encapuchonnée sous la clarté de l'astre lunaire, elle avançait sans but. La solitude en ce moment lui permettait réflexion.... Sa vie devait prendre un tournant....
Lorsque dame fortune frappait à sa porte ne lui avait-on toujours pas dit de l'attraper par les cheveux, qu'attendre c'était la perdre et que rien ne servait de courir après....

Se détacherait-elle de l'arbre ou y resterait-elle? Là était la question......

Azalid

Les stimulantes gifles du sel marin contre ses lèvres avaient éveillé la curiosité d’Azalid dès la première seconde. Elle allait voir cette eau-là pour la première fois. Ce n’était pas la mer calme qu’elle avait côtoyée dans le Sud, à quelques jours seulement d’Albi. C’était encore moins le Tarn, dans lequel ses pieds avaient pataugé au fil de leur croissance. Non cette eau-là, ce sel-là, ce vent-là, c’était l’exotisme d’un Nord marin qu’Azalid se plaisait à apprécier secrètement, tout en râlant à longueur de journée.

Alors que ses compagnons de voyage étaient certainement allés se reposer en arrivant à Bertincourt, Azalid avait préféré prendre le chemin de la page pour faire connaissance avec ce paysage nouveau. Elle y voyait quelque chose de mystique, une force de la nature plus honnête que celles qu’elle connaissait, que celle du soleil, par exemple, qui use lentement mais sûrement. Ici, elle voyait que l’eau emportait sans prévenir, qu’elle dominait quiconque osait se mesurer à elle. Sans le moindre répit. Et ma foi, elle trouvait cela très impressionnant.

Elle n’osa pas s’approcher de l’eau, resta auprès d’une cabane, s’assurant ainsi d’éviter que l’eau ne monte jusqu’à elle. Et elle s’allongea pour se laisser bercer par les grandes respirations salées qu’elle prit. Définitivement, elle appréciait d’être là.

Pu*ain de Nord.

Elle se mit à penser au Sud. À Albi. À la légèreté de l'insouciance qui avait soutenu ses dix premières années. Puis elle effleura le souvenir de la mort. Une seconde fois, encore. Elle revoyait peu à peu sa déchéance. Paris. L'alcool. Les nuits dans les taudis, qui n'avait paps la tranquillité de celle-ci, qu'elle passerait sur la plage. Puis elle pensa à la Savoie, éveillant une douleur enragée qu'elle se donnait tant de mal à étouffer.

Pu*ain d'Empire.

Pu*ain de monde.

Elle avait bien hâte de retrouver son frère, et, dans ses yeux, les souvenirs innocents.
Oui, bien hâte.
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Reallove91

Alors que Faustine était couché au sol faisant le travail de l'accouchement qui débutait, j'allumai un grand feu avec des bois morts pour chauffer de l'eau et réchauffer mon amour et le bébé lorsqu'il sera né. Je demandai l'aide d'un jeune homme qui rentrait chez lui pour aller chercher le cheval et ma carriole, avec des serviettes, couvertures et bassine , compresses, etc .. Le jeune accepta de bon coeur et parti en courant chercher ce que je lui avait demandé.

Mon amour le bébé va arriver, pousse fort j'appuie sur ton ventre pour t'aider. Je t'aime,

Au retour du jeune homme avec tout ce que je lui avait demandé je fis immédiatement chauffer une bassine d'eau et mis une serviette humide sur ton front mouillé de sueur, malgré le froid. Je remis une seconde couverture bien chaude sur tes épaule et ma préparai à attraper le bébé lorsqu'il apparaitrait, pour l'aider à sortir et ainsi délivrer mon amour.

]

[color=darkred] Tu es courageuse mon amour je t'aime . Je suis là, je ne te laisserai pas toute seule je te l'avais promis. Dès que je le vois je l'aide à sortir et je te délivre.

[color=darkred]

Cewenne

C'est sur le chemin que la menait chez elle que Cewenne entendit un écho dans les falaises. On aurait dit un cri qui se répétait s'en cesse. Le son venait de tous les endroits en même temps. Comment faire pour déterminer le lieu d'où il provenait ?

Elle fit demi tour afin de se renseigner auprès de personnes qui auraient, elles aussi, perçues le hurlement.

Elle demanda mais n'obtint aucune réponse positive. Elle allait abandonner les recherches quand elle tomba nez à nez avec un jeune homme. Elle tenta une dernière fois de se renseigner.

"Bonjour Messire ! J'aimerai savoir si vous avez entendu un cri ou éventuellement vu quelque chose qui vous a paru bizarre ?"

B'jour Dame ! Oui, j'ai vu un homme et une femme plus loin. Celui-ci m'a demandé de lui apporter des affaires. La Dame avait l'air de bien souffrir et poussait des gémissements.

Elle fut soudain soucieuse.

"Vous pouvez me dire où je pourrai les trouver exactement ?"

Oui ! Ils se trouvent sur la plage.

Elle lui sourit, le remercia, le salua et prit la direction qu'il lui avait indiqué. Quelques mètres plus loin, il la rappela.

Oh ! Dame ! Faites attention, il y a un loup qui rode dans les parages.

Elle se retourna.

"D'accord ! Merci !"

Pendant le trajet, ça cervelle marchait à tout rompre. Un homme et une femme. Elle souffrait. Un loup. Tout ça mit bout à bout, cela donnait.

"Mon Dieu !!! Faustine !!!"

Elle accéléra l'allure et fut bientôt en vu de plage. De là où elle se trouvait, elle héla ses amis.

"Real !!! Faustine !!! J'arrive !!!"

Elle les rejoignit, s'accroupit auprès de Faustine qui soufflait et gémissait en fonction de l'effort et lui tint la main. Elle essaya de la détendre en lui parlant.

"Tu as bien choisi ton coin pour accoucher. Comme ça, à la vue de tous. En tout cas, je connais des endroits plus douillets pour ça. A moins que tu ne sois une tortue !! Je parie que le bébé quant il va naitre, va ramper jusqu'à la mer !!!"

Elle rit.

Pourtant, intérieurement, cela lui faisait drôle de se retrouver là. A un moment donné de sa vie, elle avait été accroupie à côté d'une amie qu'elle tenait dans ses bras après l'avoir trouvé inconsciente à cet endroit même. Un hurlement aussi l'avait attiré ici alors qu'elle n'habitait pas si loin. Que le temps avait passé depuis. Mais jamais on oublie.

"Courage mon amie !! Tout va bien se passer !!"

Reallove91

J'étais au lac en train de ranger la barque pour la pêche de demain. J'entendis un cri...Mais ....Mais ...c'est Faustine qui crie au secours. Je me précipite et la découvre recroquevillée sur la sable. Elle avait perdu les eaux et elle était en train d'accoucher.

Oh Mon amour c'est moi. Attends je vais t'aider, c'est le bébé qui arrive mon cœur n'est pas peur

J'étendis mon amour sur le dos et lui écarta les jambes en lui passant une couverture sur elle.

Je suis là mon amour je vais t'aider à pousser notre bébé, il arrive.

Je t'embrassai et je te passai de l'eau sur le front

Faustine59

Faustine était de plus en plus fatigué par sa grossesse. Elle avait decider de se balader le long de la plage. Elle penser a sa vie ici et sourit en repensant a real, l'homme de sa vie, le père de leur enfant. Elle adorer cette enfants même avant sa venu. Il était un mélange de real et d'elle .

Elle regardât l'horizon en pensant a sa soeur et sourit. Elle lui manqué mais sourit en pensant au moment qu'elle avait vécut avec elle . Quand elle ressentie une profonde douleur dans son bas-ventre.

Outch . Elle se massât le ventre. J'ai hâte que tu arrive bébé , tu verrait les merveilles de se monde comme le soleil se couchant dans la mer .

Elle regardât encore l'horizon et ressentie une autre douleur et un liquide coulant le long de ses jambes . Elle essayât de rester debout mais finit par sentir ses jambes la lâcher .

Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee , que se passe t'il bébé ?

Elle sairat les dent en sentant une douleur lui vrier le ventre.

A L'AIDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Sylvine

Sa chevelure brune couverte d’un capuchon, tenant dans sa main, les quelques fleurs que la neige n’avait pas couvertes, Sylvine se rendit sur la plage. Les oiseaux de mer faisaient leurs habituels ballets dans le ciel ou se disputaient au sol, en claquant du bec et secouant leurs grandes ailes. Le souvenir de l’os surgit du fond de sa mémoire, lui faisant esquisser un sourire et humidifiant le coin de ses yeux.

Les traits du visage souriant de Tidole se dessinèrent et s’estompèrent tout aussi vite laissant la place à la grève vide et aux rochers. Seuls le bruit du ressac et les piaillements criards lui parvinrent.
Le froid s’insinua dans les replis de sa cape. La jeune femme regarda la ligne d’horizon. La mer lui avait encore pris un de ses compagnons.

Elle se déchaussa et enleva ses bas. Elle déposa sa besace. Relevant ses cotillons d’une main, tenant les tiges dans l’autre, elle s’avança dans l’onde non sans réprimer quelques frissons.
Elle se mordit les lèvres et continua sa progression jusqu’à ce que les vagues lui étreignirent ses genoux de leurs doigts glacials.

Scrutant l’horizon puis la masse sombre, elle récita l’hommage qu’elle dédiait à son amie et déposa le bouquet. Elle regarda les corolles flotter et s’éparpiller. Ses joues furent traversées par un chaud ruisseau.

Lorsqu celui-ci fut tari et les hoquets calmés, elle releva la tête et murmura :
Adieu Tidole. Tu vas me manquer.

Le retour sur la grève lui sembla plus long. Elle ouvrit sa besace et récupéra la statuette à l’effigie de sa confidente qu’elle cala à sa ceinture. Elle escalada la barre rocheuse et se rendit à la grotte accessible qu’à marée basse, en prenant garde de ne pas glisser sur les algues.

Une fois à l’intérieur, la jeune femme gravit la paroi. Arrivée à l’encoche, elle retrouva la sculpture d’Aubrée qui, malgré le patinage, était toujours reconnaissable.
Vous deux, vous vous seriez sûrement bien entendues, si vous vous étiez connues. Les mêmes grandes qualités de cœur, le même sens de l’amitié.
Elle plaça les deux représentations en bois, l’une à côté de l’autre, face à l’océan.

Elle redescendit rapidement, sortit de la caverne, traversa la crique et escalada de nouveau les rochers. Les vagues ne seraient pas longues à reprendre leur domaine.
Elle jeta un regard vers le trou noir de la falaise avant de retrouver ses affaires.

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Reallove91

J'étais assis en haut du grand rocher et je regardais le pus loin possible que mon regarde pouvait le faire.
J'espérais au fond de moi même voir revenir Tidole mon amie.

Soudain j'aperçois une forme s'approcher de la grève.
Sylvine. Elle porte un bouquet de fleur qu'elle jette à l'eau et je l'entends prononcer ces mots d'adieu pour Tidole.

Je pleure doucement mais je ne veux pas la déranger dans son recueillement. Je ne bouge, je ne fais pas de bruit. Je sèche doucement mes larmes.

J'attends le départ de Sylvine puis je me lève et crie mon dernier adieu à Tidole, je ne l'oublierai jamais.

Cewenne

C’est en ce jour froid mais ensoleillé que Cewenne prit le chemin qui menait au phare.

Elle n’était pas là pour se promener mais pour accompagner les élèves et faire de son cours une sortie ludique.

La marche était entravée par la neige et ils devaient faire attention pour ne pas glisser et tomber.

Toutefois, les enfants étaient tellement enthousiastes de pouvoir s’instruire autrement qu’en classe qu’ils prirent leur mal en patience afin d’atteindre le but de leur destination.

La mer était calme et quelques voiles se perdaient à l’horizon.

Arrivée au pied du Phare, Cewenne les compta et fut soulagée de constater qu’il n’en manquait aucun.

« Parfait ! Vous êtes tous présents. Donc, nous voici au pied du phare de Messire William Zola. Malheureusement, je n’ai pas eu l’autorisation pour y pénétrer. »

Elle leur fit un sourire de désolation puis continua.

« Ce phare mesure plus de 20 mètres de haut. A l’intérieur se trouve, une pièce à vivre comprenant le nécessaire pour y rester plusieurs jours, un bureau et enfin tout en haut, la plateforme où se trouve l’éclairage. L'allumage se fait par un feu de bois. C'est coûteux et incommode. On utilise jusqu'à 700 kilogrammes de bois par nuit ce qui signifie que le phare n’est pas allumé toutes les nuits. Le plus souvent, il ne l’est qu'à l'approche d'un navire. Sa lumière peut être vue à près de 28 kilomètres, il s’agit donc d’un phare de troisième ordre. »

Elle s’arrêta quelques instants, les regarda et sourit. La plupart avait l’air émerveillé, d’autre un peu distrait. Elle poursuivit.

« En fonction de la dureté des conditions de vie à l'intérieur, les gardiens désignaient les phares selon trois appellations :

- Les paradis, phares situés à terre,

- Les purgatoires, phares situés sur des îles,

- Les enfers, phares isolés en mer, qui impliquent en plus des relèves dangereuses.

Cette classification correspondait également à une progression de carrière, qui commençait dans un enfer pour terminer dans un paradis. »

Le cours touchait à sa fin et elle finit sur une touche d’histoire.

« Le mot phare vient du mot grec Pharos qui est le nom de l'île où se trouvait le phare d'Alexandrie. Voilà, le cours est terminé. J'espère que cette sortie vous aura été profitable.»

Nebiros

Nebiros terminait de tracer ses cercles dans le sable au moment ou le jeune garcon se tourna de nouveau vers lui avant de lui prouver sa determination par ses paroles mais aussi son regard qui brillait d'une petite etincelle. Il eut un leger sourire pour lui meme, se disant que lui aussi, a une epoque, il avait connu cela et que finallement les choses n'etaient qu'un eternel recommencement. Il s'avanca ensuite plus pres du jeune homme avant de lui montrer les trois traits dessinés au sol...

Bien mon garcon... alors vois tu, ces trois traits la, definissent trois zone bien precises. Dans hacune de ces zones tu as des specificités a apprendre par exemple...

Il vint se placer devant la premiere ligne et ancra ses pieds dans le sable avant de poursuivre.

Je suis ton adversaire... Cette premiere ligne devant moi, est la ligne de proximité. Dans cette zone, les coups a l'épée ne peuvent etre efficace puisque tu es trop proche de ton adversaire, il faut cependant se mefier des dagues et autres armes d'appoints plus propices au corp a corp... Rejoins moi maintenant et places toi sur cette ligne, on va apprendre a parer les attaques qui pourraient ariver sur cette zone...

Puis il sourit au rouquin avant de reprendre un visage serieux, ne voulant pas trop montrer qu'il etait tout de meme heureux de pouvoir enseigner a un jeune. Son regard fut ensuite atiré un instant un peu plus loin vers les rochers qui les entouraient, voyant une silhouette s'eloigner, baignée par de longs cheveux flamboyant tout comme son compère... Aucun doute possible, c'etait forcement elle...

Son coeur se mit a battre un peu plus fort et un sourire vint arborer ses levres l'espace d'un instant, se disant qu'il reverait cette charmante silhouette dans la soirée a n'en pas douter et que le temps lui durait de cela. Reprenant ses esprits, il se tourna vers Redsen qui avait pris position en face de lui avant de plonger son regard dans le sien...

Bien petit... tu es prets ?
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--Redsen.

Red semblait très déterminer et il se tourna rapidement quand Nebiros lui mentionna qu'il devrait remonter son poisson. Il fit juste ça, remontant sa ligne avec un petit coup pour assurer que la prise serait bien accrocher a son hameçon, et il remonta le poisson rapidement et le déposa sur un rocher non loin de lui. Puis il revins rapidement vers Nebiros.

Ho mais je veux apprendre vous savez et devenir le meilleur.

Redsen était fier de pouvoir apprendre d'une autre personne.

Wennamayal_de_b_

Eled resta ainsi quelques instants, puis reprit sa promenade, avant de se rappeler de l'invitation qu'elle avait reçue...
et fit donc demi-tour, laissant les visiteurs de la plage à leurs diverses occupations, et regagnant doucement, quant à elle, les ruelles de la ville.
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Wennamayal_de_b_

La journée s'annonçait radieuse.
Radieuse de par la douce caresse des premiers rayons de lumière dardant timidement sur la ville et la plage...

Radieuse également, et surtout, de par l'état d'esprit dans lequel se trouvait la toute jeune femme depuis quelques jours...

Ô combien elle était heureuse de ce choix qu'elle avait fait, et pour lequel il lui avait fallu faire preuve de beaucoup de patience et de détermination.

En effet, l'accueil si chaleureux des habitants de Bertincourt l'avait on ne peut mieux guidée dans son choix, ainsi que l'aide très attentionnée de ses amis les plus proches pour enfin parvenir à son but... devenir Bertincourtoise !

Une nouvelle ville, pour un nouveau départ.
Une nouvelle ville, pour une nouvelle vie...

Mais ce qu'Eledhwen ignorait totalement en franchissant à nouveau les portes de Berti, pour venir s'y installer à présent, était la rencontre qu'elle allait faire peu de temps après..

Rencontre qui allait bouleverser son coeur à l'instant même où celui-ci serait l'objet d'un bien joli larcin...

Ce fut donc, l'esprit doucement perdu dans ses tendres et joyeuses pensées, qu'Eled prit le chemin de la plage.
Elle avait toujours affectionné la proximité de la mer, et était ravie que la ville pour laquelle elle avait eu un véritable coup de coeur, en soit bordée.

Elle aimait à laisser son regard caresser l'horizon, puis durant de longues minutes à se laisser bercer par le bruit des vagues, qui savaient immanquablement lui apporter sérénité et bien-être... tandis que les embruns venaient se poser délicatement sur la peau de pêche de son visage...

Non loin des rivages de Normandie, là où la Manche se meurt dans la Mer du Nord.. à moins que ce ne fut l'inverse... les plages de l'Artois contrastaient avec leurs voisines, les falaises crayeuses surplombant les dunes de galets, faisant place alors à d'immenses plages de sable dont la finesse était un ravissement autant pour l'oeil.. que pour la plante des pieds !

Aussi, ce fut après avoir déchaussé ses petits petons, qu'Eled foula une nouvelle fois la plage de Bertincourt.

Quelques silhouettes éparses la ponctuaient déjà de leur présence, ce qui la fit sourire.

Vers le levant, une silhouette féminine, semblant venir chercher ici le calme et la contemplation. Eled crut reconnaitre Faustine.

Puis son regard fut attiré par le phare, qui se dressait fier et majestueux au bord des flots.

Et là, ce furent deux silhouettes masculines qui se dessinèrent.
L'une semblait être celle d'un jeune rouquin, ce qui fit sourire la jeune promeneuse à la chevelure flamboyante.

L'autre silhouette masculine était élancée, et sa prestance tout autant que la blondeur de ses cheveux courts, fit s'agrandir immédiatement le sourire d'Eled, jusqu'à faire s'illuminer son visage, et presser son pas en direction des deux jeunes gens.

Ils semblaient fort occupés, et même si la jeune femme n'aurait encore su deviner à quoi, elle ne voulait pas les déranger, et préféra s'asseoir sur une roche, non loin d'eux...

L'émeraude de son regard ne parvenant à se détacher de cette silhouette qu'elle avait reconnue, et qu'elle aimait tant à retrouver en taverne, le soir venu...

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Faustine59

faustine se baladait le long de la plage . Ces botes a la main , elle avancer les pieds dans l'eau . Elle était totalement détendu , en paix avec elle même . Elle s’arrêtait de temps a autre et regarder l'horizon . Elle aimait être dehors , elle se senter libre .
Elle aperçut un homme et un garçon en train de discuter . Elle les regardât en souriant . Elle imaginait real parlé a leur future enfants . Elle s'assit en tailleur et fermât les yeux et médita .

Nebiros

Un sourire vint se river sur son visage en voyant le jeune garçon faire volteface pour le dévisager d'un regard qui brillait d'une étincelle pleine d'espoir. Il l’écouta parler alors que son propre regard se portait sur la canne et le bouchon qui dansait dans l'eau, signe qu'un poisson avait été ferré.

Tranquillement il se dirigea vers celle ci tout en jetant de brefs regards vers le petit bonhomme qui venait de lui poser une question ou plutôt trois dans son empressement ce qui le fit sourire de plus belle avant de s'arrêter juste a coté de son nouvel "élève" et de lui indiquer la canne qui gesticulait dans tout les sens toute seule, laissée a l'abandon par son propriétaire.

Déjà pour commencer remontes ce poisson et ensuite oui, comme je te l'ai dis je peux te montrer quelques trucs. Mais attention, ce ne sera pas chose aisée de les apprendre ça demande beaucoup de détermination.

Tandis qu'il parlait, il regardait la canne remuer puis alla river son regard dans celui du jeune roux pour vérifier que sa détermination n'avait pas été entamée par ses mises en garde puis il commença a tracer des lignes avec son pied dans le sable humide qui les entourait avant de passer a la première étape...
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Redsen

Le jeune Red regarda l'homme et réfléchis un instant.

- Vous voulez dire de m'exercer avec vous?

Plein d'image dans sa tête lui passa par l'esprit, à son prochain entrainement avec sa mère ou Jonas, il pourrait s'être amélioré et qui sait peut-être les battre ou au moins arrivée a les toucher... il acquiesçait de la tête en réfléchissant et en aimant l'image qu'il voyait, combattant sa mère et la terrassant.

- Ho, cela me plairait beaucoup vous savez, mais vous feriez vraiment ça? C'est que vous devez être bien meilleur que moi, cela ne fait que quelques mois que je commence a apprendre la technique comme il se doit. Mais j'adore m'entrainer et ce pourrait être utile, surtout avec ces armées en ville. Vous me montreriez des trucs? Vraiment?

Le jeune en oublia même sa canne ou le bouchon calait, il avait une prise, mais avec son enthousiaste, il ne le sentit même pas, ne regardant que Nebiros, attendant, espérant qu'il avait bien comprit.

Redsen

Hé bien mon garçon, tes soeur te font tant de miseres que cela ? J e t'ai vu manier l'épée pourtant et tu te debrouille très bien

Continuant d'être concentrer il sourit tout de même et répondant en jetant quelques regard , allant de sa canne à son interlocuteur

Ben, je toucherais jamais à un de leur cheveux, mais plutôt les protègerais, ma m'man me montre bien comment. Et quand elle part, je la suis maintenant. Mais ce sont des filles vous savez.. elle aiment pas les même jeux et activité que moi maintenant que je suis écuyer. Alors je viens pêcher, une activité que seule m'man et moi aimons. Vous vous aimez ça la pêche?

Nebiros

Nebiros observait le jeune garçon dans sa démarche tandis que celui ci répondait. En effet, tout en lui évoquait qu'il était un garçon de bonne famille. Ses vêtements étaient plutôt raffinés, sa posture était droite et il se dégageait de son regard cette petite lueur pleine d'assurance qui le fit sourire, repensant a l’époque ou, comme lui, il ne rêvait que de mordre la vie a pleine dent et partir a l'aventure...

Cette époque était bien loin maintenant, le temps où il officiait pour le royaume était révolu et il avait enfoui tout ces souvenirs bien profondément en lui pour éviter de connaitre a nouveau ce genre de choses. C'est alors qu'il passa lentement ses doigts sur la cicatrice sur son front comme pour se remémorer ce qui s’était passé.

Le garçon lui avait répondu et il était resté dubitatif quelques instants, le temps de sa réflexion et de nouveau un sourire était rivé sur ses lèvres. En lui venait de germer une idée qui venait de le tirer de sa monotonie quotidienne... Et si il enseignait l'art de l'épée a ce jeune garçon ? Une sorte de moue désabusée se riva sur son visage, essayant de se convaincre que cela ne valait pas le coup et que ça lui apporterait sans doute des problèmes. Mais comme a son habitude, il fit le contraire de ce que lui dictait sa raison, préférant suivre son instinct et se redressa sur ses jambes avant de s'approcher du jeune homme tout en répondant a sa question...

Ha non je n'ai jamais trouvé de réel plaisir dans la pêche, mais cela dit, l'épée je connais plutôt bien... Tu as dis vouloir protéger tes sœurs n'est ce pas ? Serais tu intéressé d'apprendre quelques bottes a l'épée ?

Il avait rejoint le garçon, et regardait en direction du bouchon qui flottait dans l'eau avant de regarder a nouveau son interlocuteur, attendant sa réponse, un sourire sur les lèvres...
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Redsen

Un jeune garçon, du haut de ses trois pommes, venait en direction de la plage. Il avait en main une canne a pêche mais aussi une épée de bois qu'il brandissait dans les airs, attaquant un adversaire invisible, mais bien vivant pour le jeune garçon qui se battait avec l'air. Il semblait en fait bien manier l'épée pour son jeune âge. Bien qu'il avait déjà 8 ans, il était encore bien jeune et avide de découverte. Une fois plus prêt de la plage, ont pouvait l'entendre avoir conversation avec son adversaire imaginaire.

Rends toi que nenni, tu ne peux rien contre ma lame...

Quelque coup de plus et le jeune garçon trébuchant sur une grosse roche tituba avant de se rattraper de justesse et évité la flotte.

Même les élément n'aurons raison de moi, j'ai eu le meilleur maître, tu ne pourra rien..

Puis l'épée vers le bas comme si l'adversaire capitulait.

Sage décision mon brave, maintenant, va sans ton épée raconter la grandeur du chevalier qui t'a terrasser... va mon brave....

Puis Redsen rangea son épée et sortie sa canne a pêche et lança sa ligne à l'eau, restant ainsi plus calme. Le garçon n'avait pas remarquer avant l'homme qui était près de lui, cacher plus tôt par le bâtiment. Se tournant vers lui, Red parla tout bas...

Désolé je voulais pas vous déranger.. mais c'est aussi mon lieu à moi, ou je viens pour m'éloigner de mes sœurs...

Puis souriant il se retourna pour continuer a pêcher en silence..n'attendant rien en retour, sauf un bon gros poisson...

Nebiros

Nebiros était perdu dans ses pensées depuis de longues minutes et ce n'est qu'en entendant une voix non loin portée par le vent arriver a ses oreilles, qu'il reprit ses esprits.
Cela ne le fit pas bouger pour autant. En effet il n’était pas nécessaire de se déplacer car sans doute la personne non loin passerait sans même le remarquer, ce qui l'arrangeait assez.

Petit a petit, la voix se faisait plus claire et il distinguait les paroles prononcées par cette petit voix aiguë. Sa curiosité attisée, il se redressa pour jeter un oeil et voir de qui ou quoi il pouvait bien s'agir.

Citation:

Même les élément n'aurons raison de moi, j'ai eu le meilleur maître, tu ne pourra rien..

Son esprit ne fit qu'un tour, ravivé par ce jeune garçon aux mèches flamboyantes qui semblait mener un féroce combat contre un adversaire des plus sérieux.
Il se dit en lui même Voyons voir cela... le meilleur maitre hein ? C'est ainsi que l'ancien soldat observa les mouvements du garçon qui se trouvaient être vifs et alertes, bien qu'un peu brouillon encore mais cela fit naitre un sourire enjoué sur son visage.

Voyant le jeune homme approcher un peu plus, il reprit sa posture initiale avant d'attendre patiemment que celui ci passe son chemin, pour ne pas se faire remarquer mais apparemment le sort en avait décidé autrement.C'est ainsi qu'un court instant après, le garçon contournait l'édifice qui le cachait pour se trouver presque nez a nez avec lui.

Il eu un léger soupire alors que le freluquet ne l'avait pas encore remarqué avant de se reprendre alors qu'au même moment les petits yeux bleus venaient de se faufiler dans les siens. Il les détailla un instant pendant que le jeune intrus faisait sa plaidoirie.

Citation:

Désolé je voulais pas vous déranger.. mais c'est aussi mon lieu à moi, ou je viens pour m'éloigner de mes sœurs...

Il ouvrit de grands yeux alors que déjà son interlocuteur était repartit a sa pêche, scrutant intensément le petit bouchon pour essayer de distinguer les éventuelles touches. C'est alors qu'il lâcha un éclat de rire plutôt rauque avant de prendre la parole.

Hé bien mon garçon, tes soeur te font tant de miseres que cela ? J e t'ai vu manier l'épée pourtant et tu te debrouille très bienpuis il se redressa, attendant que le jeune roux daigne detourner les yeux vers lui...
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Garin

"Vous m'avez manqué."

A ces mots, Garin ressentit comme un frisson de bonheur, la chaleure de cette douce main fut d'un tendre réconfort, il ne voulait plus la lacher.

Ce qui suivit mena Garin au comble du bonheur. de douces paroles qui allaient lui faire totalement oublier le froid de cette mer glaciale.

"Venez plus près, il fait si froid."

Il sourit, se rapprocha d'elle, la serra contre lui et, profitant de cet instant magique, déposa un doux baiser. Garin était au comble du bonheur, heureux de l'avoir dans ses bras.

Il déposa son front contre le sien et se mit à admirer ses yeux sans dire le moindre mot. Elle était si belle.

Azarelle..

Ils se perdirent un long moment les yeux dans les yeux sans une parole...

Le vent monta et devint vif. La réalité reprit le dessus et Azarelle frissonna, se serra un peu plus contre lui.

Garin, rentrons à ton échoppe.
J'aime la mer, elle me rappelle mon pays, mon enfance...mais l'hiver est là et si ça continue, je ne mourrai pas de blessures mais de pneumonie.

Elle se mit à rire en le regardant puis sauta sur ses pieds et se mit à courrir avec tout l'enthousiasme de ses 16 ans. Elle se retourna pour lui crier dans le vent

Rattrappe moi si tu peux...

et fila.

Nebiros

Les rayons de soleil pales venaient frapper le mur d'enceinte de la ville dans un halo de lumiere laiteuse. En effet, le voile brumeux de l'hiver commencait a faire son apparition en cette matinée qui s'averait plutot douce etant donné le ciel grisonné d'un tapis de nuages freles. Il observait ce spectacle lent, immobile presque ou seule la brise legere laissait entendre sa voix dans de petits gemissements passagers, le faisant frisonner sous ses haillons de fortune.

Il avait hasardé un long moment dans les méandres des rues pavées de la ville, visitant, cherchant pour un lieu de tranquillité et de serenité qu'il n'avait trouvé qu'au detour de cette fameuse fontaine ou il s'etait retrouvé plongé la veille. Il avait observé l'eau danser de ses remous et autres ondulations qui refletait les murs et toits des chaumieres alentours en d'etranges formes presque indistinctes.

La ville etait des plus calme en ce début de matinée et pour le moment, personne n'etait venu troubler sa demarche qui le menait a present au dehors de l'enceinte, déambulant paisiblement vers ce qui lui semblait etre un phare. A vrai dire, le batiment se trouvant devant lui importait peu, mais cela lui donnait un but provisoire a atteindre.

Souriant legerement, il repensait aux mesaventures qu'il avait vecu la veille et se disait qu'il allait sans doute etre bien en cette belle ville de Bertincourt qui l'avait acceuillit quelques jours plus tot, tout comme ses habitants.

Plongé dans ses pensées, il ariva tout proche du haut batiment circulaire devant lequel il s'assit, les roches legerements humides le faisant frisonner a leur contact alors que ses yeux se perdaient a l'horizon, celui ci se fondant presque imperceptiblement entre ciel et mer. Il semblait qu'il avait pu trouver un lieu tranquille ou il pourrait venir se detendre.
C'est ainsi qu'il resta la, assis, durant un long moment, heureux de cette nouvelle vie qui s'offrait a lui...
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Azarelle..

Garin arriva, silencieux. Il s'assit près d'elle.Il la regarda pris par ses émotions.
Elle tourna la tête vers lui et la déposa sur ses genoux remontés contre elle, un sourire aux lèvres, les yeux brillants.
Gagnée par une intense sensation de bonheur, elle ne sut que dire, les mots lui paraissant superflus.
Quelques instants plus tard, Garin souffla :

Je suis heureux de vous revoir, le temps me semble si long sans vous.

Une douce chaleur monta aux joues d'Aza et elle tendit sa main vers celle du jeune homme.

Vous m'avez manqué.

Elle serra doucement la main chaude et elle eut un sentiment de sécurité. Après un moment d'hésitation, elle se lança :

Venez plus près, il fait si froid.

Elle le connaissait si peu pour ne pas dire pas du tout.

Garin

C'était assez inhabituel, Garin n'était pas la personne qui s'aventurait hors des tavernes ou de son échoppe, mais il avait un besoin, celui de la revoir.
Il ne voyait plus que ces yeux, sa douceur, la chaleur de ses lèvres.

C'était pour tenir une promesse qu'il vint ici, devant cette mer glaciale.
Il scrutait l'horizon, ne savait pas si elle serait là.

Il se promenait sur la plage, lentement, son coeur battait fort, plus fort à chaque pas. Il l'apperçu.
Près du phare, assise sur un rocher, quelques vagues se brisaient à ses pieds, ses cheveux flottaient dans le vent.
Une chaleur dans son coeur l'animait, il s'approcha puis s'assi près d'elle.

Il resta silencieux un moment,na laissa que pour seul fond le bruit des vagues et du vent.
Il la contemplait, elle, dans sa jeune beauté.

Et dans un souffle de sentiment profond qui ne pouvait être que l'amour, il pu lui dire quelques mots.

Je suis heureux de vous revoir, le temps me semble si long sans vous.

A ce moment là il ne pu s'empecher de lui sourire, elle était si belle.

Cewenne

Après encore une dure journée de labeur, Céwenne prit la direction de la plage. Elle n'arrivait pas à surmonter son ennui. Même Grispoil, son chat, ne la faisait plus rire lorsqu'il jouait avec tout et n'importe quoi. Beaucoup de personnes lui manquaient. Ses amies en l'occurrence.

Se sentant submerger par la mélancolie, elle fixa un point à l'horizon, s'y concentrant le plus possible afin d'essayer d'oublier à quel point elle se sentait seule.

Elle resta là, assise sur le sable, le regard perdu. Elle se remémora les bons moments qu'elle avait eu il n'y avait pas si longtemps et déjà loin pourtant.

Combien de temps était-elle restée ainsi ? Elle n'aurait su le dire mais il faisait déjà nuit et donc, devait être certainement temps de rentrer. Aussi, elle se releva et poussant un grand soupir, suivit le chemin qui menait chez elle.

Azarelle..

Etrange....

Azarelle commençait à faire quelques connaissances à Bertincourt. Elle n'était pas pressée de partir et plus le temps passait moins elle avait envie de partir.
Pourtant, elle était prête et les courriers la pressaient, lui faisaient sentir qu'elle n'était pas seule et qu'on l'attendait.

S'aventurant au travers de Bertincourt, Azarelle déboucha sur la plage, vaste tendue de sable fin grisâtre. Elle enleva ses chausses pour sentir le sable froid et humide sous ses pieds prenant ainsi meilleur ancrage au sol, la tête bien sur les épaules.

Que lui arrivait-il? Depuis que son jumeau avait fui la maison patriarcale avec une donzelle, elle n'était plus la même.
D'abord le baiser inattendu d'Elim puis la rencontre avec Actarus, le rendez vous insipide avec Earlin et maintenant.....
Tout cela en si peu de temps.

Où était passée son insouscience? Sa liberté d'actions inattendues et fantaisistes? Ses aventures glorieuses pour l'enfant qu'elle était en compagnie de son poney Guyzmo.
Elouen, son écuyer de 6 ans, aurait-il raison?
Ne lui répétait-il pas : ne grandissont pas Aza, les grands , c'est trop compliqués.

Azarelle foulait le sol laissant derrière elle ses empreintes si faciles à suivre.
Elle arriva au phare, contourna l'entassement de fagots et les stères de bois bien rangées et alla s'asseoir sur les rochers lèchés par les vagues.
Le regard perdu sur la surface de cette mer mouvante, elle repensa à la soirée d'hier.

Faustine59

Faustine était soulager en voyant arriver real . Et la compresse sur son frond fut grandement apprécier . Les douleur était un soutenable mais elle avait peur que cela ne dure pas longtemps .

Elle sourit en voyant arriver cewenne toute essoufflé . Elle sourit en sentant la main de cewenne dans la sienne et prit celle de real .

Merci d’être la . Elle sourit mais une autre contraction viens lui vrier c'est entrailles et le ne pensas plus cas broyer les main qu'elle serait pour éviter de hurler .

Elle lâcha la main de cewenne mais gardât celle de real dans la sienne .

Désolé cewenne , pour répondre a ta question . J'etait venu pour faire une tarte au pomme . Dit'elle en souriant

Elle perdit vite son sourire en sentant une contraction arriver . Elle se concentra sur la douleur et écrasa les doigts de real .

Cewenne

Cewenne voyait son amie souffrir à chaque contraction.

"Penses à bien souffler, Faustine. Ca ne devrait plus tarder maintenant !! Et tu sais quoi ?? Elle est où ta tarte aux pommes, j'ai faimmm !!!!!"

Elle éclata de rire. Puis se retourna vers Real.

"Tu veux que je regarde où ça en est ou tu gères ?"

Le froid lui mordait le visage et les mains. Quelle idée, vraiment !!!

"Tu n'as pas froid Faustine ? Tu veux que je te mette une autre couverture ?"

Elle posa une main sur ses cheveux et les lui caressa.

Reallove91

Je regardai Cew dans les yeux.

Tu sais si tu pouvais nous aider je te serai reconnaissant.

Je remis du bois dans le feu.

Je donnai de la tisane à Faustine.

Tiens mon cœur voila qui va te soulager un peu.

Je regardai où en était le travail. et soudain

OHHHHHHHHHHHHHHHH il arrive

Mon coeur battait à tout rompre. je pris une grande serviette propre et attrapai la tête du bébé pou l'aider à sortir. Je le tirai doucement puis le corps suivit ainsi que les membres
Il était là dans mes bras encore attaché au cordon. Je le retournai pendu par les jambes et lui mis une claque sur les fesses. Le bébé se mit à hurler. Je le redressai et le posai sur la poitrine de Faustine et lui dis :

Je te présente notre fille Mutine.

J'en avais les larmes aux yeux et ne réussis pas à dire autre chose

Redsen

[sur le bord de l'eau avec Nebiros]

Ho que oui!

Redsen se mit en position. Il était pas si mauvais que ça, il apprenait bien vite et il était fier d'avoir un autre professeur que sa mère ou même Jonas, qui se débrouillait bien. Il était à l'écoute et s'amusait bien.

Sylvine

Sylvine ne trouvait pas le sommeil. Encapuchonnée, elle laissa ses pas la porter vers la plage.
Il n'y avait que les bruits des vagues éclaboussant les rochers.
La mer. Pourrait-elle un jour sans passer?

Elle leva la tête vers la voûte, fixa une étoile qui s'estompa sous une masse noire.

Elle s'assit sur la grève, replia ses pieds sous elle.
Elle ferma les yeux et fit un semblant de vide en elle.
La brunette apprécia ce moment de calme.

Elle souleva ses paupières, tourna légèrement la tête et fixa les torches qui se déplaçaient. Les maréchaux patrouillaient.

Elle se sentait si loin du village.
Elle rabaissa ses cils et se mit à chanter une longue mélopée.
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Lou_bar

Le jour se levait à peine quand Louki et ses amis de voyage arrivèrent enfin ...La Flamboyante en tête, Phil, Louise sur sa mule, Duflan perché sur marchôpas son ânesse. Ils l'avait mené sans encombre jusqu'à Bertincourt, ignorant les difficultés du parcourt.
Elle avait eu beaucoup de chance de les rencontrer au hasard du chemin et garderai longtemps en mémoire les bons moment partagés.

Elle espérait très fort qu'ils auraient l'envie de rester encore un peu dans les parages, leur accent plein de gaité ne tarderait pas sinon à lui manquer sérieusement.

Ben voilà...C'est là que je vais me poser quelques jours pour réfléchir à mon avenir...

Tout en leur disant ces mots, elle prit le temps de regarder, respirer le paysage et ce qu'elle voyait commençait à bien lui plaire....
Portant son regard par dessus les flots, elle eut une pensée pour Tidole, l'imaginant fouler la plage de son pas léger, la tête toujours un peu dans les nuages...Elle sourit
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"Comprendre que vous êtes heureux et savoir comment le rester, c'est plus que du bonheur, c'est la félicité" H. Miller

Mu1ere

Elle était arrivée a l'aube a Bertincourt, un panneau indiquait la plage et Mu ne put s'empêcher de s'y rendre. Le voyage avait été un peu long et elle souhaitait voir cette étendue d'eau qu'elle avait prit pour habitude d'admirer a Bayonne. L'océan a perte de vue, le roulis des vagues, le soleil levant sur la majesté de cette immensité la tranquillisait.

Elle arriva enfin. Elle suivit un ponton et s'assit a même le sol posant son regard sur ce paysage presque irréelle de beauté.
La prêtresse n'avait pas trop pour habitude de se laisser aller mais de temps a autre elle s'octroyait un peu de temps pour contempler la création du Très Haut et cela la posait, car nulles beautés n'avaient son pareil que celles du très haut et a chaque fois elle constatait sa grandeur par les beautés qu'il avait créé rien que pour les yeux et le bien être de ses fidèles.

Elle pensa a Methea et Visbule, la joie envahie son cœur car, enfin les revoir après autant de temps la comblait. Elle se demanda si elle allait enfin pouvoir trouver a s'installer, si la ville lui plairait ou pas ... Nous verrons bien. Se dit-elle.

Elle regarda autour d'elle et vit un phare mais point de taverne. Après un si long voyage il était normal d'avoir faim. Elle resta encore un bon moment a contempler ce spectacle animé , puis elle décida de prendre la route du village afin de s'y restaurer.
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Ombeline

La jeune femme décida de prendre un détour ce matin, afin de changer ses habitudes avant de s'en aller au marché.
Ses pas la guidèrent vers la plage et le grand phare de la ville portuaire.
Par réflexe, elle retira ses sandalettes et marcha lentement sur le sable avant de s’asseoir sur l'un des rochers.
Ses ambres fixèrent l'étendu d'eau salée.

Sylvine

Sylvine suffoquait un peu entre les divers dossiers et missives.
Elle avait l'impression que l'odeur de l'encre l'imprégnait.
A peine avait-elle terminé un courrier qu'un autre arrivait.
Son tas ne désemplissait pas.
Elle n’était plus sortie se promener, au petit matin, croiser les pêcheurs rentrant au port, elle n'avait pu admirer non plus le coucher de soleil sur la mer, depuis le début de son mandat.

La jeune femme n'avait eu cesse de courir à gauche et à droite, d'entendre diverses choses ou personnes.

Ce soir, elle était lasse. Elle abandonna les derniers rouleaux sur la table. Elle revêtit sa cape, sortit dans la Grand'rue qu'elle descendit jusqu'à la plage.
L'astre de nuit éclairant ses pas,elle marcha sans pensées se berçant du ressac et du crissement de ses chausses.
Même jouer de la flûte n'avait aucun goût ce jour à ses yeux.
Elle s'arrêta et ferma les yeux. Ses lèvres s’entrouvrirent et les notes, malgré elle, firent leur chemin.
La complainte susurrée se perdit dans les embruns, la paix revenait se loger en elle.
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Ewylan

Le soir tombait, mais la jeune femme n'en avait cure. Il fallait qu'elle se vide de ces derniers mois passés seule...
Perdue dans ses pensées, la jeune blonde soupira de tristesse.
Enlevant ses bottes, elle se mit à marcher lentement sur le sable humide, bercée par le ressac des vagues léchant le rivage. Cette résonnance régulière rappela à Ewy une certaine mélodie que sa mère lui chantait durant son enfance, quand elle était encore près d'elle, et la jeune femme poussa la chansonette, entonnant mélancoliquement cet air lent et triste.
Lasse, transie de froid, Ewy s'emmitoufla dans son châle puis s'assit sur le sable, face à la mer. C'est ainsi qu'elle confia silencieusement ses peines à l'immensité de la mer...

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Adelais

Elle avait décidé de faire un tour sur le bord du lac. Elle trouverait peut être ce qu’elle cherchait. Elle regarda sous les rocher mais ne trouva rien. Ce n’est pas son jour de chance. Elle continua un peu sa recherche puis du se rendre à l évidence c’est pas ici qu’elle allait trouver.

Elle rentra les mains vide mais pas découragé elle reviendrait un autre jour
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Vicky

La blondinette revenait de taverne où elle avait appris une bien triste nouvelle... Elle marchait, marchait .. Il fallait qu'elle se change les idées ou elle allait exploser. Elle regardait la nuit, à l'abri des regards indiscrets, les larmes aux yeux. Personne ne devait la voir dans cet état! Les bottes à la main, elle était exténuée mais continuait pourtant sa marche. Au bout d'une heure environ elle aperçut la plage que lui avait indiqué un sire du coin il y a quelques heures de cela et tomba dans le sable humide. Elle pleura toutes les larmes de son corps. Il était tard, elle frissona. Elle se leva et se dirigea vers l'eau. Elle trempa d'abord ses pieds, puis ses jambes. L'eau était gelée mais cela n'arrêta pas Vicky pour autant. Elle n'avait quasiment plus pied. Elle plongea le reste de son corps puis sa tête une minute, deux minutes.. Ses vetements lui pesait mais elle resta comme elle était. C'était agréable, l'eau froide lui faisait oublier ses soucis. Elle n'entendait que le remous des vagues, tout était calme... Au bout de quelques minutes, elle commença à avoir la tête qui tourne et voyait flou à force de ne plus avoir d'air. Après tout, pourquoi ne pas mourir là, seule dans l'eau? Une mort paisible qui lui ferait oublier ses problèmes. Il suffisait simplement de rester quelques minutes et le tour était joué. Elle repensa alors à Isolia sa meilleure amie, Amalya et Stella avec qui elle formait un trio de choc, Ondine qui avait été là pour l'épauler et puis Lord, Pistache, Param et tous les autres. Elle ne devait pas les abandonner, ils comptaient sur elle. Peut être qu'elle pouvait encore remonter à la surface, il fallait essayer. Malgré le manque d'air et ses poumons qui la comprimait, elle utilisa toute sa force et remonta à la surface. Elle prit une grande bouffée d'air et suffoqua. Son heure n'était pas venue, elle ne devait pas mourir.. Du moins pas comme cela. Epuisée, elle retrouva le rivage et s'effondra une seconde fois sur le sable, trempée et grelotante.

Sylvine

La brunette prenait son temps sur la plage. Elle avait le moral en zig zag.
Certaines décisions étaient plus dures à prendre que d'autres.
Combien de fois avait-elle eu envie de tout fuir, de goûter une paix? Mais elle savait que la fuite ne menait à rien voire à pire.

Elle s'assit sur un rocher et fixa un morceau de tronc qui était ballotté par les vagues. Il s'échouait quelques instants sur la plage et en repartait.

Elle se sentait similaire à ce tronçon. Mais contrairement à d'habitude, elle avait perdu une partie de sa force intérieure. Elle avait laissé son instinct prendre sa raison. Le sentiment qu'elle le paierait cher l'envahissait petit à petit.

Qu'était-elle pour donner des conseils? Certains lui avaient déjà persiflé ce genre de propos. Pas grand chose en fait.. Une simple goutte dans un océan attendant un jour de repartir dans les nuages.

Ses doigts décrochèrent un coquillage et le lancèrent dans la grande masse noire.

Si la grande silhouette à la faux revenait la voir, peut-être la suivrait-elle cette fois-ci.

Ce jour, elle avait du mal à absorber les inquiétudes et les humeurs des autres. Elle avait mis les siennes dans les replis de sa jupe et essayé de faire bonne figure.

Demain, demain sera un autre jour..enfin si elle le voit se lever.

Le lendemain, elle revint s'y promener. La vague de mélancolie était passée.
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Adelais

Elle était assisse sur le sable devant cette immense étendu d’eau. Sa grand-mère était de retour en ville mais elle n’avait pas encore eu le plaisir de la croiser. Elle était là songeuse quand un pigeons arriva se poser près d’elle.
Oh un courrier pour moi !
Mais qui pouvais lui écrire. Elle ne connaissait pas l’écriture, ce n’était pas celle de sa mère, si celle de la dernière fois qui lui demande de se rendre au domaine. Elle ouvrir le courrier, qu’elle surprise, il lui avait écrit. Elle lut et relut sa lettre. Elle était contente. Elle cacha sa lettre pour que personne ne la trouve.
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Amandine

Cette journée s'annonce si belle...le ciel est bien bleu avec juste quelques nuages blancs qui gambadent dans le ciel..

La brunette a besoin d'air...de revivre...elle quitte la ville polluée par toutes ces mauvaises odeurs..et se dirige vers la plage...

A peine arrivée...elle respire à pleins poumons cet air iodé...regarde son petit ange dans ses bras et lui donne un doux baiser sur son front...en lui murmurant..je te promets que je ferai tout pour ton bonheur...même si tu n'as pas de papa..

Amandine enlève ses chausses rapidement...les laisse sur le sable...et là..elle apprécie le sable sous ses pieds..les doigts de pied en éventail..agréable sensation que celle là..

La voilà qui avance vers cette belle étendue d'eau...les vagues doucement prennent ses pieds..elle continue d'avancer jusqu'à hauteur de ses braies..et là une vague...l'emporte jusqu'à sa taille...encore enveloppée par sa grossesse..

Elle sourit à son ange

Tu vois mon ange..c'est la mer...c'est la première fois que tu la vois..je ferai ton baptême ici...si on l'autorise..

Il lui répond par un joli sourire d'ange...la jeune maman sort de l'eau...pour s'asseoir sur un rocher et sécher..

D'être assise là comme ça devant cette étendue d'eau..lui fait penser à ce qu'elle vient de vivre....seule ...personne pour la soutenir tout le long de cette grossesse...ne vivant qu'avec le souvenir de celui qu'elle aimait si fort...heureusement qu'elle a été chez les nonnes..

Sylvine

Sylvine avait cherché à occuper la jeune enfant qui lui était restée sur les bras.

Bien qu'inconnue aux yeux de la petite, celle-ci lui avait fait confiance . La brunette lui avait parlé de son père et lui avait promis de lui montrer la plage de Bertincourt. La nuit s'était bien passée.

Ce fut au matin, qu'elles foulèrent la grève. La blondinette était effrayée par tout ce qu'elle y voyait. Ses mouvements de recul finirent par faire éclater de rire la jeune femme.

Elle ne cessait de répéter " ce n'est rien".
Ce sont des oiseaux de mer... Oui ils ont le bec crochu. Il faut faire attention à ses doigts. Non vous ne craignez rien.

Elle se pencha.. Ah pourquoi ils ont le bec crochu? Pour casser les coquillages et la carapace des crabes...

La meunière l'amena vers les rochers et réussit à décocher avec sa miséricorde quelques palourdes cachées dans le varech.

Elle les donna à l'enfant. Vous demanderez à votre oncle de les faire cuire si nous le trouvons avant. Sinon on les mangera ensemble.

Elle se pencha de nouveau.

Non, non ce ne sont pas des huîtres... Il faudra revenir à un autre moment dans l'année pour en trouver.

Elle rangea sa lame.

On va marcher un peu dans la mer, juste de quoi mouiller nos orteils.
Elle se déchaussa et fit de même à sa petite compagne de balade. Elle attacha leurs chausses par paire et les mit sur son épaule.

Toutes les deux commencèrent à revenir vers les toits de Bertincourt en laissant les vagues leur lécher les mollets.
Quelques rires fusaient lorsque la vaguelette était un peu plus forte.
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Sylvine

Sylvine remonta ses cotillons en les coinçant dans sa ceinture laissant à apparaître de moitié ses mollets.
Panier sous le bras, elle grimpa sur le récif et s'assit près des flots.

Elle sortit de sa nasse, les quatre petites écuelles de suif et alluma la mèche de chacune d'elle avec le briquet d'amadou.

S'agenouillant, elle se pencha près des flots et les posa chacune à leur tour en les poussant pour qu'elles prennent le large.

Très-Haut accueille chacune des personnes représentées par une flamme.
Yosil, il fut champion de joute et Comte d'Artois; Baptiste Bourgeois qui fut un ami qui partit bien loin vivre; Pallanen le chevalier blanc au grand coeur et la frêle Louki à qui je n'ai su redonner goût à la vie.

La jeune femme joignit ses mains, chanta le credo et resta à genoux sur le rocher jusqu'à ce que la dernière petite embarcation eût disparu à l'horizon.
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Vicky

Il était tard. La blondinette revenait juste de retraite et elle n'avait qu'une envie: revoir la mer. Le sable fin chatouillait ses pieds nus. Elle affichait un sourire aux lèvres, heureuse d'être de nouveau ici. Tout cela lui avait tellement manqué! Elle commençait à apprecier de plus en plus la ville et ses habitants. Sortant de ses réflexions, elle s'assit sur une rocher et contempla les yeux pleins de gaieté les remous de la mer.
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~Refuser d'aimer par peur de souffrir , c'est comme refuser de vivre par peur de mourir .~

Adelais

Elle avait besoin d’air, l’endroit le plus approprié était le bord de la plage. Elle aimait se rendre au bord de l’eau, elle se promena les pieds dans un l’eau pendant un certain moment. Combien de temps elle ne savait pas, sa journée avait été particulière et elle avait besoin de réfléchir. C’était dimanche et elle n’avait pas reçu le courrier de sa mère. Cela ne lui ressemblait pas, avait-elle un souci ou avait-elle trop de travail ou tout simplement elle était peut-être en retrait. C’était une période particulière. Elle écrirait au compagnon de sa mère pour avoir de c’est nouvelle.

Le soleil était bien descendu depuis son arrivé il était temps de rentrée.
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Sylvine

A peine sa monture descendue et ramenée au relais, la jeune femme ne se rendit pas chez elle mais sur la plage. Elle défit ses chausses et marcha sur le sable mouillé respirant à grandes goulées l'air iodé.
Elle avança les yeux fermés jusqu'à ce que les vagues lui léchassent les orteils.
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Polianna

Poli frottait ses yeux, tenant ses chausses du bout des doigts, et marchant sur le sable froid de la plage.
Une fine pluie dégringolait du ciel et voilait les lumières de étoiles en pointillé éparpillées le long du dôme de la nuit.

La jeune châtaine n'arrivait pas se rendormir. Sans savoir pourquoi ses pas l'avait menée sur la plage. La pluie glissait le long de son visage et collait sa chemise à sa peau. Poli aimait la pluie, et ce n'était pas la première fois qu'elle marchait sous les gouttes à en greloter.

Elle s'arrêta lorsqu'elle sentit ses pieds nus entrer dans l'eau qui se retirait puis qui débordait de nouveau sur le sable qu'elle lissait.
La jeune femme se pencha et trempa son doigt dans l'eau mouvante avant de le porter entre ses lèvres.
Après de longues secondes, sans ciller, alors que la pluie cliquetait sur les vaguelettes et sur les minuscules dunes de sable, Poli finit par rendre son verdict.

- Salé.

Elle ne savait pas pourquoi, mais elle s'imaginait que la nuit, l'eau de mer devenait sucrée, comme si le sel du jour était pour cacher sa véritable nature gourmande, comme un secret qu'elle ne dévoilait qu'à la tombée du soir.
La châtaine soupira et leva le nez au ciel, sentant la légère brise et les gouttelettes glisser le long de son visage.
Elle ouvrit de nouveau ses yeux clairs pour regarder droit devant elle, et laissa ses pupilles s'habituer à l'obscurité totale de la plage et de cette immense étendue sombre qui s'étendait à l'infini devant elle.

Elle se rappela soudainement de ses jours sur Le Sant C'hireg, le navire du capitaine Alix de Kerenoc, de ses nuits sur le pont à regarder les innombrables étoiles au-dessus d'elle, plus nombreuses qu'elle n'en avait jamais vu, sous le grincement des cordes et le claquement des voiles, et l'incessant bruit des vagues qui s'écrasait sur la coque qui fendait l'eau.
Elle était née loin de la mer, elle en avait si souvent rêvée en regardant les tableaux à l'orphelinat ou dans les récits des livres.
Cela faisait si peu de temps qu'elle ait vu la mer pour la première fois. Et pourtant, elle lui était si familière à présent, comme une connaissance de toujours.

Poli sortit de ses pensées lorsqu'une plus grande vague s'engouffra soudainement sur la plage, manquant de lui faire perdre l'équilibre.
Elle finit par faire quelques pas en arrière afin de sortir ses jambes prises jusqu'aux genoux hors de l'eau.

Son regard fut attiré par un faisceau lumineux, large, éclairant et transformant les gouttelettes de pluie qui tournoyaient en fête sur elle-même en de petites étincelles dansantes. La native de Bourgogne sourit en observant cet étrange spectacle merveilleux pendant un long moment. Elle regardait le long faisceau de lumière venant du phare.

Elle avait toujours pensé les phares comme des gardiens. Petite, en regardant le tableau perdu dans un couloir, elle imaginait que dans les profondeurs et l'obscurité de l'Océan grouillaient des monstres marins et des démons de toutes formes par milliers et milliers, et que la ligne que le phare traçait sur la mer de sa lumière était une barrière magique qui empêchait les affreux de rejoindre le rivage à la nuit tombée pour causer la destruction sur la terre ferme.

Poli détacha ses cheveux négligemment attachés en chignon et marcha le long de la plage en direction du phare, à la faveur de la nuit et de la lumière du phare.
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--L.armagnacais

[L'homme qui rencontra la mer]

L'armagnacais arriva devant l'océan.
Il n'avait jamais vu autant d'eau.
Comment cela était-il donc possible ?
Le bruit était assourdissant.
Le va et viens des vagues attirait son regard.
L'odeur forte du sel le transportait dans un autre monde.
Il ne pensait plus à rien.
Il resta là des heures à contempler le lointain.
A l'horizon, le ciel rejoignait la mer.
Il contempla le coucher du soleil et resta encore là, les yeux dans le vague à écouter, sentir et observer.
LA rencontre de l'homme avec l'océan fut magique.

Sylvine

Pourquoi était-ce toujours là qu'elle finissait lorsque le vague à l'âme la prenait?

Et dire, qu'elle avait commencé si bien la journée. Après une grande nuit, elle avait trouvé une grosse bourse en creusant un des champs aux alentours.
Puis tout s'était brouillé au fur et à mesure de la soirée. A croire qu'une tempête allait ravager sa misérable vie.

Ses chausses clapotaient sur le sable mouillé. L'océan venait reprendre les terres qu'il avait délaissées.

Les paroles en taverne résonnaient encore dans sa tête et pourtant elle n'avait rien bu.
Certains mots peuvent être lame effilée et Sylvine en recevait les coups sans mots dire et même quelquefois avec le sourire. Mais là peut être était-elle arrivée au bout de sa résistance.....

Fatiguée oui elle était de plus en plus fatiguée de lutter.

Elle avait raté ses rendez vous et n'avait pas réussi à trouver un deuxième journalier. Elle devrait elle-même ramasser les épis.

Une vilaine soirée en somme.

Le sentiment de solitude était venu l'envelopper d'un drap bien froid.
Elle frissonna. Elle détourna ses pas vers son âtre.

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Ewylan

Cela faisait déjà des mois que ses pas n'avaient foulés le sable fin, spécialité du nord du royaume.
Qu'il était bon de faire une pause dans la vie, et quoi de mieux qu'un retour aux sources...

Ses pensées voguaient au-delà du réel. Mais cela ne lui faisait plus autant de peine qu'avant. La blessure se refermait petit à petit... même si une petite pointe de nostalgie revenait la hantée de temps en temps. Mais elle n'y pouvait rien y faire, et devrait apprendre à vivre avec.

En cet instant, elle se sentait bien. Et regardait au-delà du réel. Une petite pensée vers Lui, avant d'avancer vers l'autre bout de la plage, sifflotant un air mi-mélancolique, mi-enjoué.

Qu'il était bon de pleinement se retrouver...
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Angyx

Il y a avait des mois que le jeune homme attendait cet instant, il profita donc de ce voyage destiné à revoir son Amie Vicky pour faire la rencontre avec cette immensité bleue qu’un grand nombre de personnes lui avait recommandé. Nombreuses ont été les soirées d’été, posé sous une pluie d’étoiles à rêver de cet endroit, si précisément qu’il en devint un souvenir imaginaire.

Il s’approchait guidé par l’horizon de cette merveille, délimitée à ses yeux par une ligne droite parfaite séparant ciel & mer puis, par le bruit que la mer provoquait de façon périodique. Le jeune homme s’interrogeait de tant de questions, allait-il trouver quelques réponses ?!

Encore quelques pas et voilà qu’un lit de sable se dessina devant lui, plat et humide a certains endroits puis, ondulé et sec a d’autres. Il fit quelques pas sur le sable, découvrant un sol étrangement malléable sous ses pieds, agréable, encore mieux que dans son souvenir imaginaire. Il voyait des personnes ci et là, bien trop éloignées pour discerner leurs frimousses mais, elles se promenaient a un rythme très lent, main dans la main pour la plupart et d’autres seules, assises sur le sable. Il s’approcha de la mer, sans la quitter des yeux, admirant le balai des vagues se former et s’écraser sur le sable, puis latéralement, a la vitesse d’un cheval au galop.

Angyx rêvassait, remodelant son souvenir jusqu'à ce qu’une légère brise linéaire, douce et parfumée vint à câliner son visage, l’air était bon. Admiratif, la mer s’approchait de lui doucement ne comprenant pas comment cela était possible, des théories il en avait, mais bien loin de penser que la lune en était responsable. Le temps passait, le soleil se présentait au dessus de l’eau, le ciel était teinté d’un orange pâle, plus loin, violacé et bleu. « C’est un spectacle magnifique qui s’offre a moi », tel aurait été ses mots, et bien plus présent dans ses pensées, l’absence de son Amie Bonnie_Parker a ses cotés. Son Amie oui, c’était le moins qu’il puisse dire aux yeux de toutes & tous et ce, non sans raisons.

Il regardait tout autour de lui, découvrant le paysage avec l’espoir de voir ses Amies, Bonnie et Vicky, pour profiter du spectacle avec lui. Le soleil tombait, encore une heure à ce rythme, et il aurait disparu. Il se cala adossé a un rocher, les yeux posés sur l’eau, immobile, a méditer..

Bonnie_parker

Arrivée d'un long voyage accompagné de son compagnon de route Angyx.
Quelques jours passés ici, que la brunette ne put s'empêcher de courir voir la mer.
Bien sûr on lui en avait parlé, elle avait même lu des tas de choses sur le sujet, mais se retrouver enfin en face de ce qu'elle avait si souvent imaginé n'était pas comparable.
Bien emmitouflée, elle se rendit sur la plage, cette grande étendu de sable où les empreintes de pas restaient ancrées là où la mer n'était pas encore repassée ...
On ne lui avait pas mentit tout ses sens étaient titillés par ce paysage marin.
La magnifique étendue d'eau à perte de vue qui s'offrait devant elle déjà, était une pure merveille.
Elle ferma les yeux un instant ... seul le roulement des vagues et l'écrasement de celles-ci sur les falaises se faisaient entendre. Malgré ce grondement incessant elle se sentait en paix reposée.
Le cri des quelques mouettes qui passaient au dessus d'elle se rajouta à cette quasi-mélodie.
Ce fut ensuite au tour de ses sens olfactifs de se mettre en éveil. L'odeur de l'iode jamais connue encore arrivait ses narines ...
Tant de nouvelles sensations qu'elle découvrait en un même lieu...

Ravie de pouvoir enfin admirer ce spectacle, que l’Arrageoise ne put que mettre ses pieds dans l’eau s’amusant même de cette sensation.
Puis s’avança le long de l’eau qu’elle remarqua au loin la silhouette de son bien et tendre ami, elle l’aurait reconnu entre mille.
Ni une ni deux, elle fit demi-tour à pas de loup pour ne pas se faire découvrir.
Elle s’avança près de lui, souriante, et déposa ses mains devant les yeux d’Angyx et lui chuchota au creux de l’oreille.

Bonjour beau brun, contente de vous en ces lieux, je savais au fond de moi que je te retrouverais ici…Un rêve de gosse n'est ce pas ?

Puis enleva ses mains les mit sur son épaule et lui déposa un bisou sur sa joue et vient s'assoir à ses côtés.
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Angyx

Deux mains se posèrent sur son visage, couvrant principalement ses yeux, ses yeux qui eux, gardaient encore l’image de la mer et du soleil qu’il avait eut devant lui. S’il avait eut un doute aux contacts de ses mains, il ne le pouvait après avoir écouté ses trois premiers mots.

Ce début de soirée commençais très bien, il était heureux de partager ce moment avec Bonnie, et d’autant spirituellement. Les lèvres de son Amie se posèrent sur sa joue, un instant bien souvent banal me direz-vous ou, très parlant a qui sait le ressentir.

D’une voix posée et calme il répondit :

Bonsoir ma douce Amie, tu n’imagines pas comme ta présence m’est importante, regarde comme c’est magnifique, romantique, je tenais à vivre cet instant avec toi !

D’un sourire tendre il approcha doucement ses lèvres vers sa joue pour la lui effleurer le temps d’un souffle puis, les appliqua tendrement avant de s’éloigner tout en suivant des yeux l’endroit où il avait déposé ses lèvres… S’agissait-il d’une bise, un bisou, un baiser ?...Le terme n’avait pas d’importance, mais le ressenti lui oui ! Il se redressa et glissa son bras derrière son dos et déposa sa main sur son épaule opposée et continua :

Un rêve d’enfant comme tu le dis, et c’est avec toi ma jolie que je le partage !

Le soleil commençait à se noyer dans l’eau, la fraîcheur elle, s’installait, et la mer s’éloignait, lentement. Il aurait pu passer des heures assis là, à s’évader dans ses pensées les plus profondes, bercé par le bruit de la mer, les yeux émerveillés. Il ne manquait qu’un petit feu pour prolonger cette belle soirée, hélas, ils devaient reprendre la route après le coucher du soleil.

Que faisait-il là tous les deux, si ce n’est que de contempler ce que la nature avait fait ?
Angyx savait ce dont il avait envie, il en frissonnait à l’idée, mais cette fois, il laissait une chance à son cœur d’être plus fort que sa timidité, c'est-à-dire, oser ! Un risque oui, celui de perdre ce qu’il avait de plus cher, son Amitié !

Il tourna son visage vers Bonnie tout en laissant la main posée sur son épaule venir se placer au creux de son dos, l’autre main elle, semblait hésitante a vouloir se poser sur la joue de son Amie, comme si c’était la première fois, contrairement a son intention qui elle l’était.
La voilà posée, vivante, nourrissante de caresses, un échange de regard puis…, il déposa un fin baiser aux coins de ses lèvres, à cet instant, le temps s’avérait très long pour le jeune homme, le temps, de sa réaction…

--Angyx

Tayla

Sylvine

Tayla

Sylvine

Tayla

Sylvine

Tayla

Sylvine

Tayla

Sylvine

Nahia_

Adelais

--_calyce_

Après avoir arpenté les ruelles de Bertincourt et déambulé parmis les etals du marché sans rencontrer à qui parler et encore moins echanger des idées , la blonde se dirige vers la plage !
On lui a dit qu'elle etait magnifique , enfin sa maitresse le lui a dit , donc elle vient s'en assurer par elle même !! hé hé !!!

En arrivant devant la vaste etendue de sable et d'eau elle en reste bouche bée la donzelle !
Di Diou !! C'est donc çà la mer ....
Et tout ce sable ....

Une envie irresistible de marcher pieds nus sur ce tapis et de sauter à pieds joints dans l'eau la prend !
Ni une , ni deux , la voilà qui enleve ses chausses et qui court comme une folle afin de réaliser son rêve !
Marcher sur l'eau !!
Euh !! Quoi c'est pas possible ?
Zut alors ... faudra qu'on m'explique pourquoi certains y arrivent et pas moi ! grrr

Bref , revenons à nos moutons ... hum!! enfin plutôt a la plage de sable fin et aux vagues qui viennent y mourir ....hi hi !!

La sensation est bizarre lorsque le sable penetre entre ses orteils !
Le plaisir et le désir d'experimenter plus avant cette decouverte la prend , aussi releve t'elle ses jupons et la voilà qui s'avance vers l'eau ....

Petit cri en se rendant compte que l'eau est froide !!! Pffff !!!
Pour sur c'est pas là dedans qu'elle prendra son bain la blonde !
Il lui faut une eau à bonne temperature et parfumée si possible !
Bin quoi , on peut être servante et coquête et egalement avoir des gouts de luxe !
Nan mais oh !!

Donc elle continue sa petite experience et entre dans l'eau jusqu'au genoux , s' amusant avec les vagues qui eclaboussent ses jupons bien au delà du genou !
Riant , elle s'amuse comme une petite folle et profite de ce moment de solitude , bien que depuis son arrivée la solitude elle connait !!
Bref ... Il va bien falloir dire à sa maitresse que Bertin a bien changé depuis son départ il y a quelques années .....

Un sourire de satisfaction vient s'afficher sur les lèvres de la blonde pendant quelle prend place sur un gros rocher !
Il est temps de se faire secher un peu et ensuite retourner à l'auberge où l'attend sa chambre ....

--_calyce_

Elle etait cette fois çi encore restée seule sur la plage , comme sur la place du marché ....
Personne ne s'etait préoccupé de sa petite personne , savoir ce qu'elle faisait là , pourquoi elle se promenait seule dans les rues ...
Si elle avait besoin de quelque chose , si tout allait bien ... etc ...etc ...

Bref être ignorée à ce point elle n'y etait pas habituée la blonde , aussi elle decida d'informer ses maitres de la situation .

Quelques jours plus tard la réponse arriva ! Scellant definitivement son avenir en Artois !
Finalement elle etait heureuse de repartir et d'aller rejoindre ses maitres qui avaient decidé de s'installer en Bretagne suite à son courrier !

Aussi c'est très tôt en cette matinée qu'elle régla sa chambre à l'auberge et qu'elle reprit la route avec son petit baluchon ....

Ewylan

La jeune femme revint en ce lieu, pendant cette saison si froide et paisible.
Ewy ne put s'empêcher d'enlever ces bottes, malgré les températures bien basses. Sentir la caresse du sable entre ses orteils la faisait toujours frissonner, et elle prenait plaisir à marcher des heures sur cette place. Sa Confidente, qu'elle l'appelait.

Souriante, la Quasi Blonde détacha son chignon, et s'élança dans le vent, courant du plus vite qu'elle pouvait sur de longues distances, sautant par moment. Portée par le vent. Une joie enfantine, peut-être, mais la jeune femme aimait se sentir Libre...

Le soleil déclinait déjà. La Ewy n'en fit cas et poursuivit sa course folle jusqu'à l'autre bout de la plage.
A présent que la nuit s'installait entièrement, il lui fallait tout de même rentrer... Elle ferait un tour par le cadastre, pis se poserait en taverne pour le reste de la soirée, rejointe par sa soeur pour ne pas que celle-ci reste seule...
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Tayla

A peine étaient ils arrivé que Clay avait été souffrant, la brunette était resté a son chevet. Refusant de le laisser seul et ce malgré son état, fort heureusement son fils se remit après trois jours de fièvres…

En ce matin du 5 février, mère et fils prirent la direction de la plage, elle savait que cela lui plairait. Le souvenir de sa partie de chasse avec Sylvine lui revint ainsi que ses recommandations.

Clay, tu ne touches pas aux animaux, tu me demandes avant. Tu as bien compris ?

Hochement de tête du petit bonhomme qui n’avait qu’une envie c’est que sa mère lâche sa main et courir. Ce qu’elle fit et dans un crie de joie, Clay du haut de ses deux ans se mit à courir dans le sable vers la mer.
Le sang de Tayla ne fit qu’un tour en voyant la direction qu’il prenait et se mit à courir à sa suite en criant.

Clay ! Ne va pas dans l’eau ! Clay !

Elle le voyait déjà dans l’eau emporté par les vagues, Tayla l’attrape et le soulève dans les airs manquant de tombé.

Canaille ! Tu vas m’écouter ! Pas dans l’eau, tu risques de t’y noyez ce n’est pas comme un lac !

Tayla le sermonne encore et se laisse aller dans le sable en le voyant pleurer. Elle le serre dans ses bras et le berce doucement.
Pardonne-moi, maman a eu très peur…
Elle le câline encore et essuie ses larmes avant de le laisser repartir jouer.

Tayla allait se relever quand une forte douleur la saisie, laissant échapper un crie de douleur. La main se porte sur son ventre, pendant que l’autre glisse dans sa besace à la recherche de sa fiole bleu et en bue une bonne gorgée. La main tremblait légèrement qu’en la fiole bleu fut rangé, le regard se porte autour d’elle a la recherche de son fils. Elle tente de se relever en vain à chaque tentative la douleur revenait…

Clay poursuivait son excursion de la plage, regardant vers sa mère par moment tout en poursuivant ses recherches.
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Duncan_mac_campbell

Duncan, sorti de l'Université de Belrupt plus tôt que d'habitude, revint vers Bertincourt où il séjournait depuis quelques jours afin de s'y promener. Il avait pour habitude de partir à la découverte des villes qu'il traversait et celle-ci était particulièrement jolie bien que vide, trop vide à son goût. Il marchait, s'arrêtant devant quelques échoppes, cherchant de petits cadeaux simples à offrir à sa famille, en souvenir quand instinctivement, son regard tourna vers la mer du Nord, sa mer...
L'appel du large. Oh oui, il connaissait ce cri muet qui emplissait vos oreilles jusqu'à ce qu'elles bourdonnent, pendant que votre coeur ne semblait s'arrêter que pour écouter le bruit du martellement des vagues déchaînées contre les falaises.
Le jeune homme s'approcha doucement du phare qui surplombait la ville faussement endormie et il se souvint d'un autre port, il y avait de cela des siècles ou peu s'en fallait, à Bayonne.

Une matinée, une tempête qui sévissait sans relâche... lui, encore et toujours, pensant, anxieux à l'avenir mais plus encore au passé. Le passé... source de conflits intérieurs terribles. Il s'était assis, se fichant des bourrasques qui le maculaient de sable, s'insinuant jusque dans ses yeux, avait plongé son regard vers l'océan, au-delà d'horizons qu'il ne connaitrait sans doute jamais...
Une femme qui était arrivée, Rozenn, gentille aimable, accueillante, elle l'avait grondé de rester ainsi là.

Dieu... la mer... la seule capable de le ramener dans les Highlands où il n'était pas le bienvenu. Pourquoi ? Parce qu'il avait eu l'incroyable lâcheté de fuir son père un jour au lieu de l'affronter. Aujourd'hui, c'était lui qui revenait le chercher et Duncan n'avait aucune idée d'où cela allait-il le mener. Il contempla sa fidèle alliée... l'amour d'une vie... le second amour d'une vie à présent.
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Sylvine

Sombre était la nuit tout comme ses pensées....
Ses pas l'avaient encore menée vers la grande étendue salée.

Le clapotis de l'eau n’arrivait plus à bercer son coeur. Le vent jouait dans sa chevelure mais le plaisir de sa caresse n'était pas au rendez-vous.

Elle avait froid, froid jusqu'au bout des os. Un froid qu'aucune pelisse ne pourrait chasser.

Elle marcha un peu dans l'eau, puis celle-ci lui atteignit les genoux, elle ne sut comment.

La jeune femme eut un demi sourire. Pourquoi jadis avait-elle eu peur de la mer? C'était si facile d'avancer dedans...

L'eau était-elle froide.... Possible......l'eau lui monta jusqu'à mi-cuisses.
Pourquoi? La question lui arrivait lancinante dans l'esprit.

Elle ferma les yeux et avança à nouveau. Le souffle lui manqua lorsqu'elle se trouva avec de l'eau jusqu'à la poitrine.
L'eau la repoussait...pourtant son étreinte était plus chaleureuse que sa tristesse.

Un autre pas?
Sylvie ferma les yeux.
Oublier....
Elle s'accroupit où elle se trouvait.

Ses cheveux s'éparpillèrent dans l'eau salée et de fines bulles montèrent de ses lèvres, son séant toucha le sol......
Tout était calme à part le son assourdi des bulles.
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Tayla

Elle a veillé tard n’arrivant à trouver le sommeil, la brunette laisse son fils endormir et sort. Naturellement ses pas l’emmenèrent vers la mer dans cette fraiche nuit de printemps. Tayla fut surprise de voir une silhouette, la nuit ne permettait pas bien de voir, elle s’approche. Les nuages se déplacent laissant un rayon de lune glisser sur la mer et le sable lui permettant de visualisé qui était là. Sylvine ?...

Le pas se presse…Sylvine ?!...Elle ne l’entend pas et entre dans l’eau, le sang de Tayla fait un tour, elle blêmi…Sylvine ?!...Alors qu’elle disparait dans l’eau la brunette avance, la peur au ventre, ses premier pas dans cette mer qu’elle ne connait pas. Le froid la saisie dans un léger crie, elle avance…A l’aide !...Quelqu’un !...

Regard qui se fait circulaire, personne bien évidement comment cela aurait pu être autrement. Elle plonge ne sachant vraiment ce qu’elle faisait mais Tayla ne pouvait pas la laisser.
Elle essaye de voir a travers le noir de l’eau, rien, ses mains chercher fébrilement, l’angoisse la ronge, le souffle lui manque, elle remonte a la surface. Une grande goulée d’air et prise, le froid l’engourdie mais elle replonge et recommence sa recherche. Quelques chose est finalement touché, un crie de peur sort de ses lèvres formant plusieurs bulle à la surface. La main se saisie d’une étoffe et tire autant qu’elle peut. L’instinct de survie prend le dessus, Tayla a froid, l’air lui manque, elle remonte enfin et prend une goulée d’air sortant le visage de Sylvine, "était-ce trop tard ?..."

Tant bien que mal, la brunette la tire jusqu’au bord avec peine, plus d’eau pour l’aider à porter le poids du corps. Elle tire encore dans un râle…Sylvine…Tayla se laisse aller contre le sable tenant la jeune femme contre elle jusqu'à la perte de ses forces et elle sombre dans l’évanouissement…
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Sylvine

La jeune femme rouvrit les yeux et se retourna le temps de dégurgiter ce qui lui brûlait la gorge et le ventre.

Elle toussa en s'en décrocher les tripes.....
Elle s'assit, tremblante.

Sa main trouva une forme..Elle tâtonna...
Quelqu'un était allongé à coté d'elle....
Avec un regard vers la mer et puis sur son état, l'esprit d'abord embué s'éclaircit...
On l'avait enlevée à la mer...
Elle plissa les yeux tellement ceux-ci la picotaient.
Qui?
Elle posa ses doigts sur ce qui pouvait être une épaule et et bascula le corps vers elle.
Une fois la chevelure dégagée du visage, aux rayons de la lune, la bertincourtoise n'eut pas de peine à reconnaître celui d'une voyageuse, avec qui elle avait partagé de bons moments.
Elle colla son oreille vers ses lèvres faisant fi des gouttes qui pouvaient tomber sur le visage de Tayla.
La jeune femme respirait. Le souffle était court mais elle respirait...

La meunière n'avait pas la force encore de pouvoir la relever.
Elle regarda le rivage espérant voir quelques torches.. Qui sait le guet ou quelques noctambules viendraient peut être à passer.

Puis soudain son coeur s'étreignit. La dame était mère. Où était son petit garçon? Elle fouilla du regard les noirceurs du rivage.
Clay? Clay, tu es là bonhomme?
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Tayla

La brunette entend pas tout de suite la voix inquiète à ses cotés, le corps est engourdie par le froid. Elle met du temps à réaliser qu’elle est étendu sur le sable, trempé jusqu’au os, de l’eau goutte sur son visage. "Pleut-il ?"...
Tayla se sent poisseuse et les yeux s’ouvrent se rappelant les derniers événements. Sylvine ! Le corps se redresse d’un coup, regard qui se porte à coté d’elle. Sylvine était bien là et vivante, un soupire sort de ses lèvres et petit a petit la phrase de la jeune femme lui revient à l’esprit.
Clay ?...Mais il dort pourquoi serait-il là ?
Vous allez bien ?
Tayla se relève lentement tout en claquant des dents…
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Sylvine

La forme allongée avait bougé.
Clay ?...Mais il dort pourquoi serait-il là ?
Vous allez bien ?
Sylvine soupira d'aise en oyant cela.

Me voilà rassurée. Rechercher un enfançon, en pleine nuit, sur une plage, me posait tourment.
Mon corps va bien. Pour ce qui est de mon esprit, le temps y pourvoira peut-être.

Et, pour vous?

Elle tendit un bras pour l'aider bien qu'elle-même n'était point sûre de ses jambes.

Elle baissa la tête.

Je suis navrée d'avoir obscurci votre séjour et de vous avoir fait courir le danger.
Je vous prie d'accepter de recevoir mes remerciements pour m'avoir sortie des eaux.

La jeune femme se sentait coupable d'avoir pu mettre autrui en danger.
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Tayla

Tant bien que mal les deux jeunes femmes réussirent à se relever et à tenir sur leurs jambes tout en se soutenant.
Grand dieu je n’aurais pu venir vous sortir de là s’il avait été avec moi.
Elle imagine Clay à ses cotés, elle entrant dans l’eau et lui la suivant, elle blêmi à l’idée. Le voyant essayer de la suivre et de se noyer à son tour, le sang fit à nouveau qu’un tour. Tayla failli crier le nom de son fils revenant d’un coup à la réalité.

Cela va, je crois mais il nous faut nous mettre au chaud avant d’attraper un mal…
Elle aurait été obscurci si vous vous y seriez noyer…Lui sourit… Promettez-moi que vous ne recommenceriez plus. Je ne suis pas revenu à Bertincourt pour vous y voir morte.
La brunette continu de claquer des dents et avance lentement soutenant elle aussi Sylvine laissant derrière elle la mer…
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Sylvine

Cela va, je crois mais il nous faut nous mettre au chaud avant d’attraper un mal…
Elle aurait été obscurci si vous vous y seriez noyer… Promettez-moi que vous ne recommenceriez plus. Je ne suis pas revenu à Bertincourt pour vous y voir morte.
Sylvine soupira

Il ne m'est pas coutume de faire ce genre de chose. J'ai avancé dans la mer, aveuglée par mon chagrin, sans bien réfléchir à ce que je faisais.

Il est des peines qui vous fragilisent au plus haut point, des nouvelles qui vous brisent le coeur en milliers de morceaux. Il est des trahisons qui vous laissent à terre.
Votre vue et le goût des choses s'en trouvent complètement changés.

C'était peut-être là, la goutte de trop, dans tous les événements de ces derniers mois, mais surtout une grande déception face à un espoir tant patienté.

J'ai l'impression d'être dans une impasse. Il existe sûrement une solution, il me suffit de la trouver.

Quoiqu'il en soit, cette expérience aura modifié mon regard sur autrui.

Vous avez raison, il est temps de se changer. Ne vous inquiétez pas, si nous croisons des Bertincourtois. Le fait d'être trempé est assez coutumier, par ici, bien que les traditions se perdent de nos jours.

Permettez-moi au moins de vous régaler de Tastevine, à l'auberge.
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Tayla

La brunette l’écoute tout en avançant d’un pas lent et encore un peu instable.
Il n’est guère facile dans ses cas d’avoir un jugement ou même un regard autre que celui que vous avez eu. Ne vous en voulez pas et bénissons le Très-Haut qui m’a mené à vous pour vous sortir de là. Et que nous nous en sommes sortie seine et sauf. Et je vous souhaite de trouver la solution car il peut être bien difficile a trouver j’en sais quelques chose…

Voile de tristesse qui passe dans le regard, soupire qui sort de ses lèvres qui continuent à claquer par ce froid humide.
Hoo vous savez, ma réputation et bien la dernière chose qui m’inquiète…Puis les traditions peuvent revenir vous savez.
Tayla avance et elles arrivent enfin en dehors du sable, son esprit et bien loin en Champagne à revivre les insultes et la méchanceté d’un homme qu’elle croyait être un ami et qui la comprendrait mieux que personne. Les yeux se ferment un instant pour chasser ses souvenirs et de sourire à Sylvine.
Je ne serais pas contre une bonne boisson pour réchauffer mes os, j’ai tellement froid que j’ai l’impression que mon corps va devenir une pierre.
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Sylvine

Douces étaient les paroles de la voyageuse. La plage prenait fin.

Un silence se fit. De la tristesse assombrit le visage de son accompagnatrice, perdue loin dans ses pensées. Puis un mouvement de cils plus tard, elle se tourna vers l'Artésienne.
Je ne serais pas contre une bonne boisson pour réchauffer mes os, j’ai tellement froid que j’ai l’impression que mon corps va devenir une pierre.

Tout ce que vous voudrez, je suis votre obligée.
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Tayla

Tout ce que vous voudrez, je suis votre obligée.
La regarde surprise et gêné à la fois…
Hooo vous n’êtes en rien mon obligée, vous me devez rien voyons. Je suis ravi d’avoir pu vous aider et vous rendre l’accueil lors de ma première venue ici et d’avoir déridé mes pensées de l’époque.
Plus elles avançaient dans les rues de Bertincourt et plus le froid se faisait sentir, l’angoisse au ventre d’être malade la quitte pas.
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Lililapuce

Lililapuce avait aperçu la plage de sable de nacre par la fenêtre de la taverne et s'était promis de s'y promener avant de reprendre la route.
Elle s'engagea en marchant lentement sur la plage, la tête levée vers le soleil. Il faisait beau mais le vent qui soufflait l'empêchait de se réchauffer.

Lili s'arrêta pour admirer le phare de plus près. Qu'il était impressionnant vu d'ici ! Elle en fit le tour et trouva un rocher sur lequel s'assoir pour admirer la vue un instant.
Ce serait si bien si Jouan était avec elle pour regarder l'horizon au loin, blottie dans ses bras.

Un frisson la fit se sortir d'un bond de sa contemplation. Elle retira ses bottes afin de profiter de la sensation du sable sous ses pieds, sans toutefois tenter de les tremper dans l'eau qui devait être trop fraîche à son goût. Elle continua en prenant de grandes inspirations, elle adorait sentir l'odeur du sel marin dans ses narines. Ses pensées vagabondaient, elle revécu les évènements du mois dernier avec plaisir n'y croyant toujours pas. C'est ainsi que, sans s'en rendre compte, Lili arriva au terme de sa longue promenade en bord de mer.
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Laali

Kali était arrivée la veille a Bertincourt, le coeur léger et les pas aussi. Enfin, elle ne marchait pas trop, Voltaire l'a porté très souvent. Leur objectif, aller à Montpellier mais pour l'heure c'était la plage.

Se levant de bon matin, Kali avait décidé d'aller fouler le sable fin.
La plage était aussi immense que la mer elle même. D'une longueur à perte de vue.
Le phare était très loin encore, mais elle pensait aller y faire un tour, pour l'heure c'était le sable et l'eau.

La jeune femme enleva son chapeau pour ne pas qu'il s'envole puis se détacha les cheveux.
Les pieds caressaient le sable mouillé par la rosée du matin, il était frais et granuleux. Quelle sensation agréable sous la voute plantaire.
Elle faisait des dessins avec ces pieds, en tournant sur elle même.
Tout en continuant à avancer vers l'eau, Kali avait le regard baissé sur le sable.
La chasse aux coquillages, elle marchait lentement en cherchant des yeux.
En voilà un, un peu cassé, elle se baissa pour le prendre et le frotta entre ses doigts pour y enlever le sable. Elle souriait pour elle même, contente de ce petit moment.

Kali leva la tête pour regarder l'horizon. Son regard suivait les vagues puis s'attarda sur l'horizon quelques instants. Toujours en continuant de lever le regard, elle respira profondément l'air marin et essayait de trouver des formes aux nuages.
Ses cheveux se soulevaient avec les quelques bourrasques rapides qui survenaient de temps en temps.

Elle continua s'avancer et trempa un orteil puis le pied dans l'eau. Hmm, un peu froide, mais après quelques instants le pied s'habitua a la température de l'eau et elle posa l'autre pied aussi. L'eau lui recouvrait maintenant les chevilles. Les vagues caressaient sa peau.
Kali continua a avancer encore un peu, ayant de l'eau jusqu'aux genoux. Ses muscles se raidirent par le froid, le corps parcouru de frisson. Elle eut une légère grimace le temps que son corps s'y habitue.

Kali marcha jusqu'au phare dans l'eau tout en regardant si elle ne trouvait pas de coquillages.
Elle se sentait bien, et apaisée. Une bonne journée s'annonçait, manquait plus que Voltaire et tout aurait été parfait.
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Sylvine

La jeune femme avait attendu en vain...

Elle descendit sur la plage se tenant bien loin des flots. Elle se déchaussa et marcha sur la grève. Elle observait son ombre qui se détachait sous les rayons de la lune.
Sylvine sautilla sur le côté, s'amusant du soubresaut de la silhouette noire.

Retrouvant son âme d'enfant, profitant de la douceur de la nuit, ses jambes s'entrecroisèrent et se décroisèrent.

Un pas chassé sur le côté, un tour entier sur elle-même. Le genou se tendait pour recommencer un peu plus loin.

Le rythme un peu lent s'accéléra. Une musique imperceptible l'envahit.
Elle suivait avec ses bras le bruissement des vagues, ponctuant chaque ressac d'un petit coup de talon ou d'un rond de jambes pour modifier sa direction.

Elle s'enveloppait et se découvrait de la longue étoffe qu'était devenue le vent. Elle laissait jouer les rayons de la lune sur ses longs cheveux fugitifs de sa coiffure.

Elle ne ralentissait que pour enlever ceux qui s'aventuraient entre ses lèvres.

La brunette dansait.. Elle dansait grisée par le sentiment de liberté. son rire emplit le silence.
Une auréole de cheveux bruns se fit autour d'elle. Sa coiffure venait de rendre les dernières armes.

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Sylvine

Sylvine avait besoin de marcher, marcher pour évacuer le trop plein de pensées....

Les tavernes étaient désertes... Même pas un petit sujet autre pour l'éloigner de ses travaux de réflexion. D'ici peu, Bertincourt connaîtrait le destin d'Amiens si cela se poursuivait.... Elle lui ressemblait déjà sur beaucoup de points.

La jeune femme étouffait....

Sa colère sourde donnait place à une tristesse de plus en plus profonde... Elle se jetait dans le travail pour ne pas y penser...

Son Artois était malade.... Elle n'avait en sa possession aucune potion pour le soigner.
Le mal était intérieur et rongeait depuis un moment... Les seuls qui avaient osé un peu soulever le problème, s'étaient fait rabrouer.. Les voix s'étaient tues dans le fil du temps... La sienne était si fluette...

Devait-elle continuer ou comme les autres s'effacer?
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Meganae

Parce qu'il paraît que nos pas nous ramènent toujours où tout a commencé, les pas de la brune la ramenèrent sur la plage. Les pieds nus foulant le sable, observant le coucher du soleil et les vagues qui viennent s'écraser contres les rochers, elle se demande si, de l'autre côté de la Manche, ces images y défilent aussi.

Partir ou rester, elle s'était longtemps posé la question. La jeune femme avait l'impression d'avoir bravé trop d'épreuves pour revenir dans cette ville qui lui était si chère, et où pas une âme ne se souvenait d'elle, où pas mêmes les tavernes n'avaient gardé la trace de son passage. Visages inconnus aux airs de déjà vu. Oubliés les rires, les chants, les danses, l'âme de Bertin qui, toujours, nous criait de partir pour être plus heureux encore de la retrouver. La déception était si grande que l'espoir qui l'avait si longtemps habité, et les conclusions en avaient été tirées. Il était inutile de continuer à fouler les sols passés, de courir à la recherche du temps perdu, de toutes ces choses qui ne lui appartenaient plus. Puisque rien, jamais, ne nous appartient vraiment.

Elle avait beau tenter de se tourner vers le futur, de se dire que l'avenir, lui, était encore inconnu et plein de promesses, sa peur l'empêchait d'avancer. La peur de tomber encore, d'être de nouveau désillusionnée, la peur de se retrouver face aux mêmes épreuves qu'elle ne pourrait plus surmonter.
Partir ou rester ? La peur l'empêcherait de partir vers cet inconnu qui semblait lui ouvrir les bras, la peur l'empêcherait aussi de le retenir à elle. Plus qu'une rencontre, c'était une nouvelle vie possible qu'elle regarderait s'éloigner demain, sur cette même plage, sous la forme de ce navire dans lequel elle ne monterait pas. C'était tout ce qu'elle souhaitait redevenir qu'elle laissait s'en aller si loin par-delà l'horizon, et elle était incapable désormais de le récupérer seule. Y parviendrait-elle jamais ?

Sylvine

La jeune femme regardait passer les silhouettes, bien assise sur les rochers.
Une brune attira son regard.
Il lui avait semblé voir un visage du passé qui était revenu pour repartir dans le Sud.

Elle n'avait eu le temps d'interpeller la jeune femme,la première fois qu'elle était en entrée dans la taverne où elle était, la meunière étant dans une vive discussion.

A peine disparue, Sylvine avait regardé à travers les fenêtres en verre dépoli si la brune se rendait dans les auberges avoisinantes mais cela n'avait pas été la cas.

Elle se leva et tendit la main vers le ciel avant de lancer.

Meeeeeeeegggggggggg, Meeeeeeeeeegggggg!!!!
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Meganae

Un peu trop perdue dans ses pensées, la jeune femme n'en entendit pas moins les cris qui la ramenèrent à la raison.
Une voix connue, elle se retourna pour apercevoir un visage qui l'était tout autant. Elle l'avait revue, oui, mais la rencontre n'ayant pas déclenché de réaction, elle n'avait pas voulu rappeler qui elle était. La peur, sûrement, que malgré les " mais si, c'est moi ! ", on ne se souvienne pas.

Elle afficha un immense sourire en se rendant compte que si, elle se souvenait, et se précipita vers la jolie non-inconnue

Syyyyl ! Je suis contente de te voir ! Je n'aurais jamais cru te retrouver ici !

Sylvine

Sylvine descendit de son amas de pierre pour ouvrir les bras à la jeune femme.

Je ne sais plus si tu étais une adepte ou non de la léchouille. Dans le doute, reçois Ces deux bises.
Elle les claqua sur chacune des joues fraîches pendant qu'elle tapotait les épaules de la retrouvée.

Tu vois, je suis toujours ancrée ici. Et toi, tu dois avoir beaucoup de choses à me raconter du sud.
Tu sais que j'ai hésité à t'envoyer une de mes tourterelles, lorsque j'étais à Montpellier.
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Lady_eden

Le jour allait bientôt se lever, le sommeil la fuyait,il manquait quelqu'un près d'elle, marchand au hasard des rues de cette ville inconnue, Dolce son gros dogue sur les talons.

Quelques tavernes encore ouvertes pour les ultimes soiffards, certains ronflaient même sur les pavés, cuvant le vin, ronflant tout ce qu'ils pouvaient, quand il ne rendaient pas tripes et boyaux.

Un peu écœurée, la jeune femme quitta la venelle des auberges et autres bouges, plus ou moins bien famées, attirée pas la mer qui scintillait non loin de la.
Débouchant sur le port, la brune dévala quelques marches et le phare allumé fit comme un appel.

Il allait arriver et il y penserait.
La Lady du phare, un autre bien loin d'ici, mais l'image était trop belle, elle était certaine qu'il saurait.

Cette fois pourtant ce ne sera pas un Maure messager qui viendrait la trouver, mais lui...
Elle s'installa sur le sable, les yeux vers l’horizon qui de lumière orangée commençait à se teinter et gouta au bruit du ressac, laissant ses doigts dessiner des messages abstraits dans la sable encore vierge de pas.

Le chien jouait à faire semblant d'attraper quelques mouettes qui de lui se riaient.
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Lorren

Le soleil se levait doucement colorant l'horizon d'une douce lumière pourpre, silencieux depuis le début du voyage, Lorren avançait, suivait ses pas.
Quelques mots tourbillonnent à la surface de l’eau, un chant mélodieux qui entoure le bateau,chant lointain porté par les rafales qui balayent la mer, orgueilleuse et pâle.
Lorren s'avance vers le port, voulant voir son bateau, apercevant le phare se mit à sourire, inexorablement attiré par lui.
Rien ni personne sur le pont, pas même un hameçon, une gaffe, un filet de bohème.
Comment pêche-t-il, nous ne le sauront et qu’importe,il n’y a que ce chant et tout ce qu’il apporte. La seule chose qui compte c'est elle, il continue, pour rejoindre le phare guidant les bateaux, attirant ses pas.

Au loin cette silhouette, fine et fragile se dessine, peignant d'un pinceau invisible le sourire sur le visage du voyageur, qui s'avance silencieux, vers l'ombre assise à regarder la mer. Quand elle offre au regard ces trésors soulignés, ses lèvres en retour lui font une virgule, Lorren découvert se mit à courir les pas s'enfonçant dans le sable, ses bras qui l'appel, celle qui hantait son visage, était là, tout près.
Il tombe à genoux. La prend dans ses bras. La serre. Rit enfin. il revit.

Eden..... vous m'avez tant manquée....

Son visage s'écarte du sien, admirant les traits fin et délicats tant aimés.
Enfin il soumet son corps à l'apaisement de ses mains, offrant le luxe d'un chaste massage, avant que leur coeurs dans un souriant lendemain marchent ensemble, face au vent, sur cette plage.

Encore un lieu qui restera marqué de ce souvenir, ses retrouvailles après deux jours seulement écoulés, deux jours loin de ses bras, deux jours, qui n'auront fait que lui rappeler, combien il pouvait l'aimer, combien il la voulait pour femme pour l'éternité, et ne plus jamais la quitter.

Qu’il est divin de se reposer enfin, elle pose sa tête tendrement sur son ventre, son corps contre le sien, merveilleuse caresse, ils s'abandonnent sans gêne à sublime paresse. Le visage serein, tourné vers les étoiles, qui demain leur montreront les chemins, il caresse ses cheveux délicats et soyeux, la recouvre de sa cape qui garde leur cœur au chaud.

Sylvine

Etaient-ce les premières nuits chaudes de lété? Elle ne savait mais ses nuits étaient courtes.
Ses songes étaient mouvementés. Elle se réveillait avant le lever du jour en sueur, la gorge sèche.

Elle l'attendait ce jour qui ne finissait pas de venir ou réussissait à rester dans un demi sommeil.
Cependant,cette fois-ci, elle n'en avait pas eu la patience.

N'ayant plus de bêtes à panser, elle se dirigea vers le coeur de la ville. Elle fit un petit crochet par le marché et commanda quelques produits aux paysans et camelots qui dressaient à peine leur étal.
Elle piqua son annonce de journalier pour moisson sur le panneau de la mairie.
puis descendit la rue de celle-ci puis celle du phare pour rejoindre la plage.

La brunette retira chausses et bas, les gardant à la main.puis délicatement posa de ci delà ses orteils, s''arrêtant de temps à autre pour retourner un galet, mettre un coquillage à son oreille ou tout simplement étancher sa curiosité sur une une forme ou objet rejeté par les flots.

Elle goûtait la quiétude du matin, annonce du jour nouveau.
Après un petit moment d’errance, elle prit place sur un amas rocheux et en simple spectatrice assista à l'explosion de couleur sur l'eau salée....
Elle sentait qu'au profond d'elle, quelque chose allait changer. Elle ignorait encore ce que cela pourrait être.

En muette admiratrice de la nature, elle se laissait guider par ses sens: la brise sur sa peau, le ressac des vagues et les cris des sternes, le dégradé palissant des oranges rouge, l'odeur âcre et iodé des algues.

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Sylvine

La brunette était fatiguée de ses longues soirées en solitaire à regarder les piliers d'une taverne.

La nuit était belle et marcher un peu dans la douceur du soir ne pourrait que lui faire du bien.

La ville dormait déjà hormis quelques portes qui se refermaient sur des voix qui s'étouffaient rapidement. Un ou deux chiens aboyaient dans le lointain.

Le clap clap de ses pas était un étrange intrus dans ce monde de quiétude. Même le port semblait désert. Un petit serrement au coeur et un long soupir vinrent troubler le chant des grillons à la vue des quais vides.
Elle se demandait bien où étaient les autres membres d'équipage, en cette nuit, dans quelles mers carguaient-ils les voiles?

Même si la raison de son non départ était plus que justifiée, la belle avait ce regret de n'avoir pu parcourir les mers et découvrir de nouveaux horizons avec eux.
Pour éviter de fâcheuses rencontres, elle continua sur la plage.

Il ne serait pas question ce soir de danser avec le vent au rythme du ressac des vagues.
Elle se mit donc à chantonner, caressant son ventre, une berceuse pour l'enfançon en elle, une chanson d'amour pour ce premier enfant, et des vers pour enlever l'angoisse de l'enfantement.
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Valerian

Valerian avait promis de mettre sa douce dans l'eau ainsi que la petite chipie de Marine
il marcha le long de la plage enleva ses bottes remontant ses braies , regarda la mer,
le phare si beau, il continua de marché, l'air rêveur pensent a sa douce, il espérer la voir et voir aussi Marine , l'air de la mer lui faisait un bien fou , regardant ainsi les mouettes crié, se posaient et volé, il sourit puis marcha paisiblement profitant de la vue.

Carollinna

Enfin ! ils étaient arrivés à la mer, cette étendue d'eau que la brune voulait tant découvrir. Certes ce n'était pas la mer du sud, il y faisait plus frais mais c'était la mer.

En milieu de matinée, elle chercha Valerian partout et se dirigea vers la belle bleue, il était surement la bas. Elle s'approcha des dunes et déjà en sentit l'air marin balayer son visage et ses cheveux. La découverte de l'endroit était magique, elle sentit l'air salin qui entrait dans ses narines. C'est un grand sourire sur les lèvres qu'elle arriva sur la plage... Elle se sentit redevenir une petite fille et vit une silhouette... A n'en pas douter, il s'agissait de son amoureux, elle l'aurait reconnu entre mille...

Elle enleva ses chausses qu'elle laissa en haut des dunes, sentir le sable sur ses pieds était une sensation nouvelle et agréable.

Elle se mit à crier son prénom en courant vers lui, excitée d'enfin découvrir la mer... Elle courait pieds nus dans le sable sans le quitter des yeux...

Vaaaaaaaaaaal c'est moi!

Lady_eden

La plage et son phare au petit matin, le soleil qui fait briller l'écume, le bruit apaisant des vagues, rien n'avait changé et pourtant...

Le chien courait comme avant, intrigué d'un crabe, d'un piaf, cherchant à mordre le ressac, inutilement.

S'assoir sur la gréve, près du phare, savoir qu'il ne viendra pas, penser qu'il est entre les murs d'une geôle, et qu'elle bien que libre de ses mouvements avait pris perpétuité.
Avant....
Avant il aurait démoli sa prison pierre par pierre pour venir la rejoindre, il était de ceux que rien ni personne pouvait arrêter, il était fou, il était l’excès, il était ivresse...
A quoi pensait il en ce moment, écrivait il sur les murs couverts de salpêtre la fin de l'histoire?
Entendait il le bruit de la mer?

Doucement du bout des doigts elle imprima dans le sable humide sa peine et ses questions, sa solitude, son tourment.

En pensant, en prenant des ombres au filet dans la solitude profonde.
Toi aussi tu es loin, bien plus loin que personne.
Penseur, lâcheur d'oiseaux, images dissipées
et lampes enterrées.
Clocher de brumes, comme tu es loin, tout là-haut!
Étouffant le gémir,
taciturne meunier de la farine obscure de l'espoir,
la nuit s'en vient à toi, rampant, loin de la ville.

Ta présence a changé et m'est chose étrangère.
Je pense, longuement je parcours cette vie avant toi.
Ma vie avant personne, ma vie, mon âpre vie.
Le cri face à la mer, le cri au coeur des pierres,
en courant libre et folle, dans la buée de la mer.
Cri et triste furie, solitude marine.
Emballée, violente, élancée vers le ciel.

Toi, homme, qu'étais-tu alors? Quelle lame, quelle branche
de cet immense éventail ? Aussi lointain qu'à présent.
Incendie dans le bois ! Croix bleues de l'incendie.
Brûle, brûle et flamboie, pétille en arbres de lumière.
Il s'écroule et crépite. Incendie, incendie.

Blessée par des copeaux de feu mon âme danse.
Qui appelle? Quel silence peuplé d'échos?
Heure de nostalgie, heure de l'allégresse, heure de solitude,
heure mienne entre toutes!
Trompe qui passe en chantant dans le vent.
Tant de passion des pleurs qui se noue à mon corps.

Toutes racines secouées,
toutes les vagues à l'assaut!
Et mon âme roulait, gaie, triste, interminable.

Pensées et lampes enterrées dans la profonde solitude.
Qui es-tu toi, qui es-tu? *

(Pablo Neruda un peu modifié)
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Valerian

Vaaaaaaaaaaal c'est moi!

il se retourna et vit sa futur épouse lui crié son nom.
il courra vers elle tout deux se rapprochèrent heureux amoureux de sa douce et ouvrit le sbras.
cherieeeeeeeeee!!!!!!!! ma Caro!!!!!!!! il l'attrapa dans ses bras et l'embrassa avec fougue.
leur baisé était long et tendre puis il lui pris son visage dans ses mains et dit:
cherie je t'aime tant , content que tu soit enfin arrivé sur cette jolie plage, tu voit cœur
tu voulait tant voir la mer ben la voilà profite de cette plage .... profitons tout deux ...
il la souleva puis la prie dans ses bras et l'emmena vers la mer afin que tout deux puissent se baigner.
au faite mon cœur je t'avait promis de te metttre a l 'eau ben.... hihhii!!

Tayla

[A l'aube non loin des rocher...]

La voilà à nouveau sur les routes, le teint est bien pâle, les yeux sont rougis, la brunette a mal et se referme de plus en plus sur elle-même.
Son fils la suit sans rien dire cette fois, il voit sa souffrance, il est tout aussi triste qu’elle, il aurait aimé dire au revoir mais elle ne le lui avait pas laissé le temps. Il comprenait pas les histoires des grands et ne savait pas quoi faire pour refaire naitre le sourire sur les lèvres de sa mère.
Tayla ne s’arrêtera pas cette fois à Bertincourt, mais elle ne pouvait venir sans s’arrêter à la plage, ce lieu si beau qui ne peut avoir de mot pour le décrire…
Elle aurait dû revenir avec lui…la brunette s’assoit dans le sable, son fils endormie dans les bras, elle regarde devant elle, il fait encore sombre, elle verra le soleil se lever mais il n’arrivera pas à la réchauffer…
Surprise de sentir encore les larmes coulaient sur ses joues, elle en avait tant versé depuis deux jours…
La main se lève pour s’essuie le visage, sa cape recouvre son fils et l’entoure, elle fait descendre un peu lus la capuche sur son visage et le regard se perd au loin…

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Lady_eden

[Lendemain le soir...]

Tu sais ce qui est beau, ici ? Regarde : on marche, on laisse toutes ces traces sur le sable, et elles restent là, précises, bien en ligne. Mais demain tu te lèveras, tu regarderas cette grande plage et il n'y aura plus rien, plus une trace, plus aucun signe, rien. La mer efface, la nuit. La marée recouvre. Comme si personne n'était jamais passé. Comme si nous n'avions jamais existé. S'il y a, dans le monde, un endroit où tu peux penser que tu n'es rien, cet endroit, c'est ici. Ce n'est plus la terre, et ce n'est pas encore la mer. Ce n'est pas une vie fausse, et ce n'est pas une vie vraie. C'est du temps. Du temps qui passe. Rien d'autre.
[ Alessandro Baricco ]

Le soleil avait fini de mourir dans la mer, le phare en pale copie s'allumait en signaux réguliers, la plage déserte s'offrait, vierge de promeneurs, à peine voyait on encore les traces des pas laissées.

Solitaire, la brunette marchait à petits pas, se penchant pour ramasser un petit caillou poli ou un coquillage, les rangeant dans la poche de sa houppelande, trésors pour plus tard au gout de souvenirs.
Des petits rien, des morceaux de passé, de ceux qui vous transportent quand au coin du feu on s'assoit et on se souvient, il suffit de les prendre dans sa main, les faire rouler entre ses doigts, et se laisser porter jusqu’à la mer.

Sentimentale sans doute elle l'était, à l'extrême, sans vouloir jamais le montrer, son coté fleur bleue ça n'allait pas avec l'excentricité habituellement affichée.

Se remplir les yeux, encore de cette marine, de ce lieu, avant de partir.
Laisser son cœur battre un peu, mouiller ses doigts dans l'eau, imaginer que..

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Marine_la_chipie

La chipie connaissait bien la mer, vu qu'elle y vivait tout près à Fecamp.
Elle se hate car elle et Caro avait fait un promesse à Val, le mettre à l'eau, c'est donc dans la hate, qu'elle ce dirigea vers la plage et les chercha du regard.

Les voyant, ce sauté dans les bras l'un de l'autre, elle ce doutait que Val n'allait pas en rester la avec Caro vu qu'il la portait dans ses bras et qu'eil s'approchait lentement de l'eau salée.

Vallllllll , Carooooooo j'a suis yaaaaaaaa

Elle courrut en leur direction elle esperait qu'il repose Caro pour leur faire un bisous à chacun .

J'aaaaaaaaaaaaaa suis laaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
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Valerian

Val entendit un énorme cire poussé par une petiote il garda Caro dans ses bras et ne la lâcha pas de suite ils se retourna.

heyyyyyyy Mariiinneeeeeee!!!!! tu tombe bien!!! il s 'avança avec Caro qu'il déposa lentement sur le sable et alla bisouillé la petiote chipie qu'il adoré.
ha! tu as sauvé Caro d'une bonne baignade surprise! alors maintenant que tu es tlà vais pouvoir comme promis vous mettre à l'eau!

il rit et observa sa douce puis la chipie.

Willy_ii

[ Flashback en 1444 sur la vie de Monseigneur William II, Evêque de Beauvais ]

Depuis le jour où William II fut ordonné Prêtre de l'Eglise Aristotélicienne, sa vie avait complétement changé. Il avait trouvé la paix dans son fond intérieur, et vivait dans la vertu. Il fallait l'avouer, son ordination lui avait permis de sauver son esprit en le ramenant sur le Droit Chemin.

En effet, William II avait senti, dans sa jeunesse, naître en lui une certaine attirance pour les personnes du même sexe que le sien. Ses premières pulsions hormonales se déclenchant, il se refusa l'idée et se coupa du monde pendant un certain temps ; se distrayant en voyageant solitairement à travers le pays et s'efforçant au quotidien de chasser de son intérieur ce qui était pour lui des mauvaises pensées.

C'est ainsi qu'il rencontra par hasard sur son chemin le Couvent Lescurien, un Ordre Religieux par lequel il y découvrit la Religion Aristotélicienne et les valeurs associées. Traduisant ce hasard par un Appel du Très-Haut pour lui permettre de retrouver un esprit pur, il continua son parcours par des études de théologie puis demanda son ordination à sa sortie.

Etait-ce le fait de recevoir le pouvoir spirituel et la pureté des Ondes du Très-Haut ou le fait que son esprit soit occupé à comprendre les différents concepts de la Religion, qui l’aida à oublier ses désirs sexuels. Pour lui, sans aucun doute, le Seigneur l’avait appelé à revenir sur le Droit Chemin et l’avait aidé à purifier son corps grâce au flux Divin.

Cela faisait maintenant quelques années que William II était évêque de Beauvais. Le Très-Haut savait qu'il donnait beaucoup de lui pour le bien de son évêché. Il était devenu par là un homme très charismatique, aimé du peuple.

Il y avait bien des années qu’aucun désir sexuel ne s’était manifesté en lui. Il était sauvé… selon lui.

Pris d’ivresse, après une chaleureuse soirée en taverne avec ses amis à Bertincourt, une jeune gourgandine se présenta à lui sur la route du retour à son domicile. La femme, envoyée du Malin, profita de l’état pitoyable du Prêtre pour l’emmener vers la Tentation. Ce petit jeu sensuel qu’exerçait la femme ainsi que cette entrée en contact réciproque, fit imaginer à William II une situation similaire qu’il avait tant désirée durant sa jeunesse.
C’est une fois à son domicile, en compagnie de cette personne, que le plus grave survint. William II entièrement abandonné dans son imagination, fit le plus grand des péchés pour un prêtre, il s’adonna au plaisir de la chair. L’ecclésiastique ne s’était jamais retrouvé aussi faible que ce jour-là. Son imagination lui avait permis de changer la nature de cette femme et vivre ainsi ce qu’il avait pourtant toujours fuit.
Etait-ce une frappe du Malin ?

La jeune femme ayant obtenu ce qu’elle s’était fixé pour objectif disparut, laissant l’évêque dans son état ; fatigué et ivre il s’endormit.

Au réveil, William II estima la lourdeur des conséquences par rapport à ce que sa mémoire pouvait lui rappeler de la veille. Tout était flou pour lui, mais l’essentiel était là… il avait fauté.

Les mois s’enchainèrent les uns après les autres, sans qu’il s’en rende compte. Il passait ses journées à l’écart de tous, retiré complètement du monde.

Onze mois passèrent, jusqu’au jour où William II reçut un drôle de colis au pied de sa porte : un panier dans lequel se trouvait un bébé. Un petit bout de parchemin était accompagné, sur lequel était inscrit : « Tu as quitté le Chemin, tu n’es pas digne d’un prêtre ! Il est le fruit de ta semence. Il te revient. »

L’évêque, ne sachant que trop quoi faire, reçu secrètement l’enfant et s’en occupa.

Caché du monde, William II essaya de s’en sortir pour le mieux avec l’enfant. Pour un prêtre, s’occuper d’un bébé n’était pas une tâche facile.
Les jours s’enchaînèrent tandis que William II s’apitoyait sur ses actes. Il ne cessa de prier le Très-Haut pour demander le Pardon. Ses multiples prières ne lui changèrent rien… était-il perdu sur les voies du péché ? Ou est-ce que le Tout-Puissant avait décidé de l’abandonné ?

Il était temps d’agir ! S’occuper de l’enfant, jour et nuit, lui faisait rappeler sa faute. Cette situation allait le faire plonger dans un malaise inimaginable.

C’est ainsi qu’il se présenta au petit matin au couvent Lescurien pour y déposer l’enfant.

Une fois le but atteint, William II disparut définitivement sans donner de nouvelle.

Poum

AU MATIN

Allongée sur le sable, face contre terre, la rousse fini de cuver son vin.
Certes de loin on pourrait imagine là un corps dénué de toute vie, ce n'est pas le cas.

Un ronflement plus soutenu que les autres lui renvoi une volée de sable dans la gorge.
Un goût de vieux poisson dans la bouche, elle tente d'ouvrir les yeux, la lumière lui inflige une douleur aigüe dans le crâne.
Elle crache, tousse une boue immonde sur le sol, puis la regarde, dégoûtée.
Un crabe passe lui jetant un regard en biais.

S'asseyant elle se frotte la tête, gratte les grains de sable dans ses cheveux, elle regarde la mer, son lent va-et vient d'écumes roulant sur le sol mouvant.
Elle sent son estomac se nouer, remonter et envoie un jet de mousse bileuse sur un rocher à sa gauche, presque encore consommable ironise-t-elle.

Sur ce elle sort son outre, et se rince les gencives.
Immédiatement son organisme reconnait la douce sensation du feu qui entre dans ses veines, de l'eau-de-vie, de la vraie.
Elle soupire, s'étire, attrape une miche de pain et mord à pleine dents.

L'estomac remit sur ses pattes, elle tente d'en faire de même, tâche ardue, elle s'appuie à la paroi de la falaise au pied de laquelle est s'est écroulée la veille.
Elle sent une pression sur son dos, son cheval la pousse pour attirer son attention, elle lui flatte le flanc, brave et fidèle monture, elle enfouit sa tête dans sa crinière, le serrant fort.

Nous allons bientôt aller en ville ne soit pas impatient, allons voir de plus près cette fameuse mer.
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Willy_xv

Une douce journée d'automne s'achevait enfin sur le paisible village de Bertincourt. William venait de prendre son maigre repas qui se résumait par une seule miche de pain fraîche. Après un passage rapide en taverne où il avait papoté avec Virbule notamment, il prit ensuite le chemin vers la plage. La mer se trouvait peu agité, William resta les pieds dans le sable à contempler le doux paysage. C'était pour lui un petit moment de détente, de relaxation. Le phare s'alluma enfin, déployant une onde lumineuse et mystérieuse sur le large, de manière cadencée.

On lui avait dit que son père avait autrefois occupé le phare. A priori un certain William Zola, proche de son père, l'avait remplacé. William XV voulait bien rencontrer cette personne pour échanger quelques conversations.

Pouvait-il lui rendre visite à cette heure tardive ou était-ce plus raisonnable d'attendre de le croiser en taverne ?
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Sylvine

La petite n'arrêtait pas de pleurer, rien ne la calmait... Toutes les berceuses y étaient passées.
Il fallait pourtant qu'elle dormit avant que sa mère ne prît sa patrouille nocturne.

Sylvine descendit donc avec elle sur la plage, espérant que, l'air de la mer eut le même effet sur sa fille que sur elle.

Le phare faisait luire la surface de l'eau... Le vent était frais, le ressac des vagues un peu fort au gout de la jeune femme. Elle rabattit plus sa cape autour de l'enfant.
Le bruit étouffé des sanglots se fit moindre....

La côte de maille était certes plus froid que la cottardie mais utile en ces temps troublés... Cela lui posait d'ailleurs quelques difficultés pour l'allaiter... Elle devait complètement l'enlever.

Mais était-elle vraiment à plaindre alors que le père de son enfant était en plein champ de bataille? Elle scrutait chaque jour le ciel attendant de ses nouvelles...

Un jour encore s'était écoulé porteur de mauvaises nouvelles mais pas de celui dont elle se languissait...

Très-Haut protège mon homme et mes amis partis bien loin...souffla-t-elle à la lune qui derrière un nuage se dégageait.

Instinctivement elle berça le petit être qui poussait de gros soupirs. Elle chantonna au rythme des vagues mourant sur la grève, puis se mit en marche vers l'autre bout de la plage....
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Ewylan

Les pensées se bousculaient dans sa tête, tout comme des projets d'avenir... Et le goût amer des disputes...

Le temps s'était rafraîchi depuis quelques mois, mais peu importait: la Quasi Blonde se déchaussa et foula le sable, une profonde émotion dans son coeur.

Tout allait si vite... Aucun regret, juste des doutes quant à l'avenir. Et ce projet monstrueux dont il parlait à chaque fois...
Par moment, la pauvre femme se sentait dépasser par les événements... Mais jamais elle ne remettait en cause le fait qu'elle l'accompagnerait. Il était hors de question qu'il parte sans elle, de toute façon...

Elle s'allongea dans le sable et regarda les premières étoiles apparaître.

La jeune femme savoura ce petit temps rien qu'à elle... Bientôt, il lui faudrait regagner son poste...

Mais ce moment ne vint jamais.
Epuisée par cette semaine sans sommeil, elle n'avait plus la force de résister à l'appel de Morphée...
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Damesence

Sence qui effectuait son petit tour nocturne aperçu une ombre sur le sable au loin.
Elle s'avança, peut être était ce un soiffard qui cuvait ou qui n'avait pas pu faire un pas de plus, peut être un cadavre échoué, avec tous ces bateaux coulés... Elle secoua la tête, non non non! ça ne pouvait pas être ça, elle ne voulait surtout pas trouver ce genre de chose sur la plage de Berti, pas cet endroit si merveilleux gâcher par une telle découverte...

Elle s'approcha un peu plus et vit qu'il sagissait d'une femme.
Une fois plus près elle vit que s'était Ewy.
Qu'avait il bien pu l’amener ici?
Un trop grand nombre de chopines ingurgitées? Un besoin de solitude?
Peu importait, elle posa sa main délicatement sur l'épaule de son amie et la secoua doucement..

Ewy? Ewy? tu ne devrais pas être à ton poste à cet heure? Ca ne va pas? Ewy?

Elle la regarda, un peu inquiète de ne pas la voir réagir...

Ewylan

La jeune femme rêvait...
Mais si elle avait su ce dont elle aurait rêvé avant de s'endormir, elle aurait tout fait pour rester éveiller...

Du sang... Partout. Des cris... De douleur. De rage.
Et la peur intenable de voir ses amis perdre la vie au combat. De Le voir mourir au combat...
Ewy ne s'était jamais battue, mais les récits contés par ses amis permettaient à son imagination de faire le boulot et de la traumatiser.
Inconsciemment, dans son rêve, elle se mit à Le chercher. Espérant qu'elle Le trouverait encore debout... Car, que ferait-il s'il elle venait à Le voi à terre..?

Sa recherche était si prenante que son corps étendu sur la plage ne sentit pas les secousses de son amie Sence.

Désolée, je n'ai été inspiré par aucun autre chemin pour ce rp ^^'

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Polianna

[ Petit peu beaucoup plus tard ]

La nuit avait pris ses aises de nouveau et la pluie avait enfin cessé.
L'air du soir était humide, froid, et les nuages se suspendaient au-dessus de la ville et du large.

La jeune châtaine marchait sur le sable crissant sous ses chausses, s'approchant des vagues qui lissaient la plage avant de se retirer en emportant avec elles quelques larmes et autres secrets.
Poli s'arrêta un instant, observant ce qui se tenait devant elle, le regard fixe sur l'horizon infini, sombre, immobile. Puis elle se pencha et trempa son index dans l'eau glacée qui passait entre ses chevilles, avant de le porter à sa bouche.
Après un moment de silence, le verdict tomba.

- Toujours salé.

Sans savoir pourquoi, elle était toujours persuadée que d'une manière ou d'une autre, l'eau de mer devenait sucrée à un moment ou à un autre, que l'Océan gardait ce secret bien secret, et que cette gourmandise n'était révélée qu'à certains, à ceux qui auront goûté à cette eau par pur hasard, dans les conditions adéquates, comme certains personnages de contes à qui il arrive plein d'aventures par la suite.
Peut-être la nuit, où tout devient mystérieux, où l'imaginaire prend le dessus. Peut-être après la pluie, s'était-elle dit.
Et bien non.
Encore une fois, l'eau était salée.

C'était la raison qui l'avait poussée à sortir par ce froid, la curiosité, alors qu'elle n'avait pu trouver le sommeil. Comme souvent ces derniers temps, depuis qu'elle était revenue de sa trop longue retraite.

Elle revint sur ses pas, et planta son bâton tordu dans le sable, avant de s'y assoir, à l'abri de la marée montante et de tout danger de trempette.
Perdue dans ses pensées, elle ramena ses jambes contre elle et posa son menton sur ses genoux, regardant au loin, fixant un point imaginaire dans le noir, et s'emmitoufla dans sa cape de laine.

Poli se posait beaucoup de questions, tout en adoptant un air absent, et réfléchissait sans réfléchir, attendant simplement l'heure en suivant des yeux l'immense faisceau lumineux du phare qui traçait dans l'espace des symboles réguliers sans signification apparente.

Machinalement, elle dessina du bout des doigts dans le sable humide de pluie, et y écrivit un nom, resserrant sa cape autour d'elle.
Elle attendait l'heure, pour savoir si la nuit sera calme, ou si la nuit retentira du vacarme du métal et de la pierre, et si le sable se teintera de rouge.
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Alberade

Il fait nuit des ombres sinistres silhouettes se découpent sur la grève seulement éclairer par un rayon de lune une silhouette plus frèle se détache elle court s'enfuit une des ombre la rattrape un cri terrifié puis le silence.... un rire graveleux ....

Une forme se dessine sur sable une jeune femme est allongée inconsciente ... elle ouvre un oeil une grimace.... une douleur lanscinante lui vrille les tempes elle lève une main tremblante vers son front.... non d'une pipe que ça fait mal.... elle regarde autour d'elle... où est elle?... elle n'en sait rien....elle s'assoie sur le sable... la tête lui tourne ....elle attend un instant ... ouf ça passe... elle se lève lentement la douleur l'étourdie quelques peu....elle titube quelques mètres puis s'appuie à un rocher ...
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Sylvine

Cette plage, elle la connaissait par cœur que ce fut à basse ou haute marée.
La jeune femme se mouvait un peu mieux mais se fatiguait vite. Ses blessures cicatrisaient à peine mais le moindre geste brusque menaçait de les rouvrir.

Elle s'assit sur un tronc délaissé par la dernière grande marée, sa fille sur ses genoux et regarda la vaste étendue grise écrétée.....

La bise glissait ses doigts longs et froids dans ses cheveux et sur sa joue.

Sa main ramena contre elle, son enfançon et la brune rabattit vite les pans de sa cape dessus , ne laissant dépasser que la petite frimousse aux yeux clairs.

Des petits cris de joie ponctuaient le ressac de vagues faisant naître un sourire fatigué sur le visage de sa mère, qui elle récupérait les petits coups de petons sur ses cuisses.

Les vagues te plaisent ma toute belle....

Sylvine éleva sa voix claire et se mit à chantonner dans le rythme du ressac.
Ma fille,
Des vagues , écoute bien leur chant,
Elles parlent de contrées lointaines
où soufflent d'autres vents
Des rêves plus ou moins fous de maints capitaines
De trésors enfouis ou oubliés qui s'éparpillent....

Ma belle
Sens la caresse du vent
L'été c'est la douceur de brise
L'hiver, tu reconnais à ses forts accents
La mordante bise
Des autres vents tu en apprendras le langage ou la ritournelle

Et le sable,
N'oublions pas ce si frêle et puissant élément,
Il glisse entre les doigts
Et s'envole au vent
Mais le temps peut être sa proie
D'amputer une montagne, il est capable.

Vois ma jolie, de la nature, la suprématie....
L'homme et la femme ne sont rien devant tout ceci...
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Alberade

Alberade sortit de la taverne des soiffards le coeur gros elle se dirigea vers la plage sans même s"en rendre compte perdue dans une chape de tristesse qu'elle ne s'expliquait pas elle sentait intérieurement que ses rêves les plus secret ne se réaliseraient pas et elle avait ressentie une terrible envie de pleurer alors qu'elle ne pleurait jamais que lui arrivait il? elle qui avait depuis sa plus tendre enfance apprit à masquer ses émotions et n'avait jamais pleuré .... La jeune fille soupira ,elle s'assit sur le sable face à la mer regarda le va et vient de la mer les yeux dans le vague. Elle se rasséréna gouttant au calme de la plage....
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Nedjma_ibn_khaldoun

Après un long voyage qui l'amena bien loin d'ici, lila était contente de retrouver son village, sa maison et cette belle plage.
Elle était parti des étoiles pleins les yeux, elle revenait les yeux pleins de larmes.
Une personne qui aimait plus que tout, venait de rejoindre les anges. Elle ne cessa de prier pour que Dieu lui accorde Sa miséricorde et lui accorde le repos éternel au paradis.
Elle repensa à tous les souvenirs qu'ils avaient vécu ensemble.
Elle resta là, regardant cette belle nuit étoilée, laissant les vagues l'emporter dans l'océan de leurs souvenirs.

Williamss

Insomnie quand tu nous tiens!
Les secondes vous paraissent des minutes, les minutes des heures et les heures interminables.
Ça cogite, nos idées se bousculent et les films se font...

Lassé de tourner et virer, Gilly avait fini par craquer et se relever du lit pourtant si bien chauffé par la blonde.
Surement l'alcool local, couplé avec la fatigue du voyage, lui avait mis les nerfs en pelote, suffisamment en tout cas pour le priver de sommeil.

Il avait donc quitté la chambre d'auberge pour laisser ses pas le guider dans la bourgade assoupie
Marcher au hasard? Pas vraiment... le roulis régulier des vagues sur la plage l'ayant orienté et attiré machinalement...

A cette heure tardive, le lieux était désert. le sable avait perdu la chaleur accumulé de la journée ensoleillé de la veille.
L'endroit semblait un véritable havre de paix. Le notable bourguignon s'y assis, contemplant le reflet de la lune sur l'étendue d'eau devant lui.
Perdu dans ses souvenirs, l'homme resta là jusqu'au bout de la nuit...
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Williamss

L'heure de rebrousser chemin était arrivée. La compagnie du goulot ayant rempli sa mission, nombreux de ses membres commençaient a s’essouffler, pressés de revoir leur clocher.
Le départ serait donc pour ce soir, et au grand galop s'il vous plait.

Gilly les mènerait comme ils l'entendaient. Peu lui importait après tout. Ici ou ailleurs, les chemins étaient devenus son véritable foyer. Le voyage était bien loin d'être fini pour lui.

Profitant de leurs derniers préparatifs, Williamss les avait laissé un moment pour venir contempler une dernière fois la capricieuse. Un jour il la reprendrait, le fait de l'avoir revu lui en ayant donné certitude.

L'écume venait lécher ses bottes tel une femme faisant les yeux doux à son amant et les embruns emplissaient son coeur autant que ses poumons.

Regard sur l'horizon, le bourguignon perdu dans ses rêveries, restait immobile, l'heure s’arrêtant pour lui à cet instant.

Le temps d'un au revoir auquel il avait tenu.
La Bertil avait peut être eu raison. Surement aurait il pu se perdre ici même.
Coup de chance pour lui, elle n'était plus là pour le faire regretter...

A bientôt peut être Bertincourt
Garde ta bonne humeur et ton hospitalité, alors surement nous reverrons nous...
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Sylvine

[22 août 1462]

Elle était repassée par sa maison où la brave Avia, malgré son grand âge chaperonnait les deux enfants, en particulier la plus jeune.

Sylvine avait pu souffler depuis deux jours. Ses craintes d'épidémie s'étaient envolées. Le très-Haut avait dû avoir pitié d'elle. Les délais pour obtenir les essences auraient pu faire craindre à une catastrophe.

Cela n'empêchait pas la Brunette d' attendre d'éventuels malades fort tard ce qui la retardait dans ses travaux artisanaux nécessitant la journée entière.

Un sourire et quelques paroles douces à la vieille gouvernante fusèrent.
Elle prit sa petite dans ses bras. Puis la brunette s'adressa au garçon.
Gauthier était devenu sombre depuis le départ de son père, il détourna la proposition de promenade.
"Tu nous rejoins dès que tu le veux mais avant le sixième son de la cloche,"avait-elle fini par dire. Elle avait signifié à la vieille dame qu'elle pouvait disposer.

Le porté de sa petite lui cassait de plus en plus les reins. Elle était un peu contrariée aussi que Gauthier ne vînt pas. La mort de sa monture l'avait affecté. La plage devait lui rappeler les longues escapades qu'il faisait avec.

La douleur se faisant de plus en plus sentir, elle déposa sa miniature et la prit par la menotte en adaptant son pas à celui des petons.
La route quittée, pour la grève, elle la lâcha. Elle la suivait, d'un pas, la main sur le ventre.
Une mouette se posa non loin d'elles. Amicie poussa des petits cris de joie et se mit à courir vers elle.

Prête à intervenir, La mère observait l'oiseau qui releva la tête, battit des ailes, puis s'envola un peu plus loin avant de prendre complètement son envol.

Le petit bout de fille s'empêtra les pieds en levant la tête et chut dans le sable mouillé sous les rires clairs de sa mère.
Il va falloir apprendre à regarder où tu mets tes pieds ma chérie......
Sylvine la releva en lui essuyant les genoux.
Le visage de l'enfant se peignit d'une moue d'incompréhension se décalant vers les pleurs.
En réponse aux prunelles rieuses de sa mère qui la surplombait, les lèvres de l'enfant esquissèrent un léger sourire. La jeune enfant ne se fit pas prier pour être câlinée.
oi ..seau pati.....

Nedjma_ibn_khaldoun

Cela ferait longtemps, qu'elle n'était point venu en ce lieu magnifique et apaisant.
Elle chercha un petit coin tranquille , posa son foulard par terre, et s'installa face a la mer. Elle contempla la mer et cette Belle nuit étoilée. Tant de choses avait changer, depuis la dernière fois. Elle repensa a son voyage, aux amis qu'elle avait laisser là-bas. Elle se sentait bien seule. Peut-être devrait-elle repartir? Ou reprendre la vie qu'elle avait laisser pour un amour qui n'avait finalement pas durer. Elle s'allongea pour mieux voir les étoiles, et se laisser bercer par les vagues.

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Nul n'est au dessus de Dieu, nous sommes tous imparfait.

Vantelme

Après une journée à la mine, un moment de détente s'impose et quoi de mieux que d'aller faire un tour sur la plage, il est certain qu'il ne sera pas dérangé par les amoureux en mal de tranquillité, ou les gosses qui courent dans tous les sens. Les mains dans les poches, il avance et déjà il sait ...
Oui dès les premiers frimas de janvier, il a sut qu'il ne resterait pas. Pas que l'endroit ne fut pas agréable, mais il avait pris la décision de quitter ce village qui l'avait accueilli durant un temps .
Pour aller où ?
Peut-être du côté de la Bretagne et encore rien n'en était moins sur , car en réalité il n'en savait fichtre rien et s'en foutait royalement.
Il ne restait jamais bien longtemps, préférant errer de village en village.
Dés fois 'il s'arrêtait comme en ce moment se posant alors pour un temps, mais toujours l'appel de la route le reprenait.
Bientôt c'est sans faire de vagues qu'il allait repartir, il sait qu'il ne laissera pas un souvenir impérissable cette fois encore comme les fois précédentes.
Mais ce jour-là , quand il entrera avec son baluchon attaché à un bout de bois et mit sur son épaule dans la taverne qu'il fréquente depuis quelques semaines et où il aime à boire tout en écoutant les poivrots du coin refaire à leur façon le monde cela sera pour leur faire ses adieux.
Des adieux pour le moins ironiques et rien moins que polis ..

La_marie_

Mais quelle idée de vouloir faire une baignade hivernale? Ca ne peut venir que d'une blonde ce genre d'ineptie, non mais vraiment.
Marie traverse, pieds nus, le sable froid et humide de la plage en prenant soin de relever le bas de sa robe. Le vent qui souffle défait doucement son chignon laissant quelques mèches virevolter dans une anarchie la plus complète. Si on regarde son ombre, on pourrait s'imaginer être face à une gorgone, avec ses serpents sur la tête, qui pétrifie les hommes d'un regard mais Marie est loin d'être laide, même les cheveux en bataille. Certains hommes, qu'elle aurait pu envoûter, pourraient dire que ça la rend encore plus séduisante.

Marie essaye d’ôter sa robe mais le sable la déstabilise et manque de tomber à plusieurs reprises, se retenant à chaque fois à sa blonde, ne lui facilitant pas la tâche non plus.
Voila la brune en tenue légère, grelotant. A travers le fin tissu, on peut deviner facilement deux tétons qui pointent dangereusement en direction du large, montrant le chemin à suivre.
Elle regarde sa blonde puis s'avance vers l'eau. L'écume se retire pour revenir de nouveau, venant se confronter aux pieds de Marie, laissant au passage, une algue qui vient lui chatouiller les orteils. Marie se met à hurler.

AAAaaaAAaaHHHhhhHHH c'est froid!!! AH mais qu'est-ce c'est que ça?!? On veut déjà me bouffer les orteils!! AH, au secours, à moi!!! Niliaaaaaaa....

Marie fait des bonds dans tous les sens, les bras affolés, essayant de se débarrasser de cette algue qui colle à sa peau.
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Nilia

Une bonne baignade hivernale, rien de tel pour activer la circulation et pour se réveiller surtout ! Ajoutez à cela un vent bien froid et vous avez là de quoi soit, tomber malade, soit... Geler sur place. La blonde avait eût cette idée saugrenue après avoir songé à la mer dans laquelle elle ne s'était jamais baignée, et telle une femme enceinte aux envies étranges auxquelles il fallait pallier, la blonde devait se baigner et quitte à geler sur place, autant entraîner une brune allumée, car ne dit-on pas que plus on est de fous, plus on rit ?
Il ne faut pas omettre non plus que Nilia connaissait l'aversion de son amie pour la mer... et qu'elle était un peu sadique sur les bords. Enfin... Elle se disait pour se rassurer que ça faisait partie de son charme.

Bref, voilà les deux amies sur la plage, bottes portées à la main, houppelande ôtée, nudité revêtue pour Nilia, les cheveux au vent formant un halo doré autour de sa tête. Une main soutient son amie qui galère à tenir sur ses deux jambes à cause du sable humide, l'autre a lâché les vêtements sur le sable. Sa peau s'hérisse sous le vent froid et sa poitrine -qu'elle a généreuse- se durcit en réaction à la fraîcheur du jour. Une vague amène l'écume blanche sur ses pieds et lui fait remuer les orteils.

Un cri provenant de sa chère brune se fait entendre, Nilia tourne la tête et la regarde sautiller dans tous les sens. Elle ne peut s'empêcher de rire, légèrement -très légèrement- moqueuse en comprenant que ce que Marie prend pour un monstre-marin-gluant-qui-veut-la-manger n'est autre qu'une pauvre algue innocente, inerte et verte qui n'a rien demandé à personne. Alors la blonde se penche sur le pied de sa BBT et lui retire l'algue, la prenant à deux doigts, elle la lui montre :

Ma chère BBT, ceci est une algue, certes un peu gluante, mais inoffensive. Elle aurait bien du mal à te manger grande comme tu es !

Et elle rit en jetant l'algue sur le sable. Son regard noisette se tourne vers la mer. Elle prend une bonne inspiration puis... Se met à courir en agitant les seins à chaque pas jusqu'à plonger dans l'eau d'un coup. L'eau froide de l'hiver mord sa peau, aussi émerge-t-elle en brisant la surface et en prenant une bonne inspiration, engloutissant l'air froid dans ses poumons. Ses cheveux mouillés se collent à sa peau et dégoulinent. Se tournant vers la berge où se trouve encore sa grande amie, elle lui fait un coucou de la main en souriant.

Tu viens ? Elle est bonne !

La_marie_

"Elle est bonne"... mais bien sur, Marie la croit sur parole... Elle observe sa blonde en train de barboter dans l'eau et essaye d'oublier en même temps cette humiliation causée par une algue.
Va-t-elle se décourager ou va-t-elle rejoindre son amie? Après tout, si Nilia y arrive, pourquoi pas elle?
Prenant son courage à deux mains, elle ôte ses dessous, prend du recul et coure jusqu'à fendre l'eau froide sur son passage. Des gouttelettes scintillantes encadrent joliment son corps nu et dans une grimace, elle prend une grande bouffée d'air avant de plonger en profondeur.

Certes, Marie à peur de tout ce qu'il peut y avoir sous l'eau, les poissons peuvent devenir dangereux, mais son pirate lui a apprit à nager comme une sirène. Alors évidemment, la plage de Montpellier n'a rien à voir avec celle de Bertincourt mais le principe reste le même.

Toujours sous l'eau, la brune aperçois la partie submergée de son amie, s'approche doucement, choppe brusquement les pieds de la blonde et l'attire complétement sous l'eau. Quant à elle, Marie refait surface, riant un peu, moqueuse. Ses lèvres sont bleues. Elle regarde son amie et lui propose de regagner la terre ferme.

On va chopper la mort. On devrait rentrer et boire une bonne cervoise pour nous réchauffer!

Marie se dirige vers le sable. Le froid engourdit doucement mais surement ses membres, comme s'ils étaient anesthésiés. Elle foule à nouveau le sol, prend le linge qu'elle avait prévu, s’essuie rapidement le corps et remet sa robe. Elle attend sa blonde fin de regagner le village et ses tavernes.
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Sylvine

La plage de Berticourt, un fil épais de souvenirs de sa vie.
Même si sa fille n'avait pas voulu se dégourdir les jambes, elle y serait descendue....

La petite courait toujours après les mouettes pour les faire envoler mais ce n'était plus le petit château branlant d'avant....Elle était vive bondissait.... Les volatiles avaient cette fois-ci maille à partir.... Cela promettait dans quelques années. Une chasseresse à mains nues?

Amicie fais attention.. Si elles ne s'envolent pas et qu'elles ouvrent le bec, tu recules et rabats ta cape sur ta tête en te mettant en boule...
Ne t'éloigne pas trop. Je ne peux pas te suivre aussi vite..
La Bertincourtoise n'aimait pas trop le bec crochu de ces oiseaux dits "âmes des naufragés". Elle savait de quoi ils étaient capables.

Doigts non loin de sa miséricorde au cas où il faudrait agir vite, elle ne put s'empêchait de rire en la regardant jouer. Il était étonnant de voir comme cette jeunette lui ressemblait et pourtant de temps à autre le caractère de son père transcendait. Elle était aussi fonceur que lui.

Du mouvement dans son giron, lui fit baisser les yeux... Il allait être l'heure de la tétée...
Amicie, on va commencer à rentrer pour retrouver papa et ton frère Sinon ils vont se demander ce que nous faisons...

Sylvine

En cette journée du deux mai 1463, Sylvine s'était improvisée en guide de la ville.

Marca, Suivez -moi.. Venez voir ce qui fait que le coeur des Bertincourtois bat plus vite....
Je vous laisse découvrir notre plage aux mille pas. On vient de loin également pour pouvoir y poser le peton
Elle laissa la jeune femme observer.

Marca

MARCA avait suivi la dame de la taverne, encore toute hésitante. Elle l'avait amené au bord de mer, bien que le temps soit décidément bien gris. L'orage n'était d'ailleurs pas loin et les nuages noirs, épais, d'une hauteur invraisemblable, formaient une ligne sombre sur l'horizon.

Alors c'est donc ça la plage du village ?

Cette pensée qui devait rester dans la tête de la jeune fille sortit pourtant. Nulle envie de vexer la dame qui l'avait menée là mais il manquait quelque chose dans le paysage.
Je ne me souvient pas de grand chose concernant mon passé mais il me semble que cette mer n'est pas celle que je connais, la végétation n'a pas l'air heureuse ici.

Sylvine

En vétéran tribun, Sylvine ne put s'empêcher d'observer les traits du visage de la nouvelle habitante. Certes, ce jour_là, le temps ne s'y prêtait guère. Encore que la jeune femme aimait le vent. Les tempêtes pouvaient être grandioses également

Alors c'est donc ça la plage du village ?

L'air si dépité de Marca au lieu de la marrir la fit sourire. Elle en égrena même un rire clair.

Nous sommes à marée basse. La mer va revenir....
Vous pouvez aller pêcher les coquilages, attention aux crabes, ils pincent. Méfiez-vous des vives dans le sable si vous êtes pieds nus.
Mais par contre, regardez cette étendue où vous pouvez courir, dansez chanter.....
Elle joignit le geste à la parole en effectuant une vrille sur elle-même et quelques pas chassés.

Marca

En voyant la dame virevolter dans le vent comme un flocon de neige dans une tempête d'hiver, la jeune MARCA se senti pousser des ailes.
Elle avança sur le sable humide, le sentant crisser sous ses pieds fragiles. Cette sensation lui parut nouvelle et très agréable. L’orage avançait sur la mer, balayant l'horizon de trombes d'eau. La mer semblait avoir reculé de plusieurs encablures et ça, MARCA ne l'avait jamais vu, elle en était sure.

Ce paysage majestueux impressionnait la jeune fille, elle se sentait si petite et si fragile qu'elle en tomba à genoux.
Elle prit du sable dans ses mains et le laissa glisser entre ses doigts, elle s'amusait de voir les grains former un petit cône devant ses genoux.

Un petit crabe hésitait à sortir de sa cachette dans une mare proche d'un rocher couvert d'algues, il observait la scène. Quand MARCA le vit elle voulut le prendre ignorant les conseils de la dame qui tournoyait encore dans le vent.
D’un geste rapide elle saisit la bestiole qui tout aussi rapidement lui attrapa un doigt avec sa pince.

AWAIAOUILLE !

MARCA secoua sa main, libérant la bête qui atterrit non loin de son repère, la jeune femme rit de sa sottise, se leva et se mit à danser dans le vent, les premières gouttes de pluie humidifiant son visage et sa chevelure en bataille.

Sylvine

AWAIAOUILLE !

Le cri l'arrêta net . La jeune femme médecin était prête à secourir son accompagnatrice.
Le crustacé s'envola dans les airs. Le rire l'a rassura....
Par contre, le grain approchait vite.....

Marca, il est temps de nous mettre à l'abri. Ce n'est pas la peine qu'on attrape la malemort.
Elle rabattit sa capuche sur sa longue chevelure.
Retrouvons la chaleur de la taverne...

Marca

Marca, il est temps de nous mettre à l'abri. Ce n'est pas la peine qu'on attrape la malemort.
Elle rabattit sa capuche sur sa longue chevelure.
Retrouvons la chaleur de la taverne...[/quote]

Je n'ai que faire de la mort madame, je ne la craint pas !

un éclair déchira le ciel de part en part, suivi d'un fracas de tous les diables, le ciel était considérablement noirci et la jeune femme eu soudain l'impression que si elle restait là, elle aurait des ennuis avec les éléments déchainés.

Tout compte fait, votre idée n'est pas si mauvaise, allons en taverne auprès du feu !

Les deux dames prirent le chemin du village sous une pluie battante

Puk_cortderleeden

Le nain est seulement de passage.
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klein maar pijnlijk

Alesia_le_garec

Elle éprouve le besoin de réfléchir face aux évènements des derniers jours, alors tout en attrapant sa cape, elle sort de l'auberge où elle a pris une chambre et d'un pas décidé, elle se dirige en direction de la plage, l'air frais du matin finit de la réveiller.
Elle respire l'odeur si particulière de l'air marin, il lui suffit de fermer les yeux et elle est à nouveau chez elle en Bretagne, elle peut presque entendre les cris des goélands si profonds, si semblables à des rires.

Elle marche encore un peu puis entreprend de se déchausser, tout en regardant l'horizon Alésia ôte ses bas qu'elle glisse dans ses bottes, une dans chaque main et voilà qu'elle débute sa promenade, ses pieds s'enfoncent dans le sable humide, elle en frisonne.

Elle repense à tout ce qui s'est passé depuis ce jour où elle est sortie du couvent où elle s'était enfermée, aux missives que la sœur lui remit, cette nouvelle qui la fit tomber si bas qu'elle toucha le fond avant de remonter, de se raccrocher à la vie.
Puis à Fougères qu'elle quitta pour ne plus se sentir prisonnière, pour ne pas blesser et son arrivée à Dieppe et à lui...

Elle marche un moment avant de s'asseoir à même le sable, ses doigts s'enfoncent dans le sable qu'elle emprisonne avant de le laisser s'échapper doucement, puis elle pose son regard sombre sur cette mer si calme ce matin, admirant le soleil qui se reflète sur celle-ci.

Puis à nouveau, son esprit s'évade et c'est encore à lui qu'elle pense, lui dont elle ne sait rien, lui avec qui elle a bu jusqu'à plus soif, lui qui l'a embrassé, lui a qui elle s'est donnée et qui finalement est à ses côtés 5 jours après.

Genoux remontés sous le menton, elle songe et dire qu'elle a cru que le fait de prendre la route n'en ferait qu'une aventure sans lendemain, elle doit s'avouer être étonnée de voir que 5 jours plus tard ils sont ensemble , qu'ils discutent d'un avenir incertain.

Elle sent son visage, ses joues s'empourprer quand elle songe à ses mains sur elle, à ses lèvres, quand son regard la cherche ou quand elle-même l'attend fébrile.Pourtant, elle se défend d'avoir des sentiments, ils sont libres, enfin, elle veut s'en convaincre.

Puis la voilà à Bertincourt, peut-être village où elle va s'installer, mais il lui faut encore aller au Rouergue, peut-être l'occasion pour eux deux d'apprendre à se connaître, de voir ce qui adviendra de leur histoire ...
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Marca

La jeune femme était sortie précipitamment de la taverne, les yeux rougis et la mine défaite.

Non ce n’était pas à cause de la bière, mais de la nouvelle du départ de deux personnes avec qui elle avait passé toute la semaine. Ils partaient vers d’autres horizons, elle n’était pas sure de les revoir un jour.

Elle courut en direction de la plage, pour s’isoler et laisser libre cours à sa peine. Elle enleva ses chausses et avança dans l’eau froide jusqu’aux genoux. Là face à l’horizon elle pleura à chaudes larmes. Les vagues n’étaient pas très hautes et frappaient ses jambes d’un mouvement lancinant.

La nuit était tombée et les dernières larmes étaient depuis longtemps englouties par les flots.

Marca respirait plus calmement maintenant, son chagrin en partie apaisé par la douce brise marine. Elle prit une grande inspiration, passa sa manche sur son visage pour effacer toute trace de ses larmes et s’en retourna au village.

Ingvar

Disparue... La jeune femme avec qui il avait sympathisé dès son arrivée, à la sortie de l'église, semblait avoir plus fui la taverne que l'avoir vraiment quitté, aussi, après quelques échanges avec dame Alesia, le jeune Ingvar, vêtu de sa seule vieille chemise et pieds nus, alla chercher la jeune femme dans le village, sans la trouver, bien qu'il eut fait le tour des ruelles assombries par le soleil couchant.

Aussi, il se rappela l'avoir entendu évoquer un jour la plage, et il décida de s'y rendre, des fois qu'elle aurait été en ce lieu qu'il ne connaissait point, lui qui n'avait jamais eu la chance de se rendre au bord d'une telle étendue d'eau.

Là, sur le chemin, tandis que la nuit tombait totalement, le plongeant dans l'obscurité, il aperçut une ombre au loin, éclairée de la seule lueur de la lune, qui revenait le long du chemin... peut-être était-ce elle, qui s'en revenait du bord de mer ?

Fred..

après s etre réveille tôt il décida d aller faire un tour a la plage de bertincout
il arrive fixe les flots et voit le soleil se lever et profite du spectacle ;il marche un moment et s arrête s asseoit
il pense alors a elle et se dit qu il faut qu elle voit ça c est magnifique
il repense a elle et a cette soirée ou tout a change et en sourit
il contemple l horizon et reste un moment a rêver d elle

Alesia_le_garec

La balade se finissait, la rêverie s'estompait, il était temps de retourner au village, de se préparer pour cette nouvelle journée qui s'annonçait. Elle se leva, secoua sa jupe et reprit le chemin en sens inverse tout en profitant de la beauté du paysage ... Au loin des silhouettes qu'elle devine , puis plus elle avance et plus le reconnait lui, assis l'air aussi pensif qu'elle devait avoir il y a peu.

Tout tranquillement, elle s'avance sans bruit, derrière lui et arrivant à sa hauteur pose ses bottes qu'elle tient toujours , avance ses mains pour les poser sur ses yeux, d'une voix douce et basse, tout contre son oreille ...

Devinez qui vient vous déranger et vous gâcher la vue d'un si beau spectacle ?

Un sourire avant de s'installer à ses côtés.

C'est beau hein, reposant !
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Fred..

il est dans ses songes quand soudain il est surpris de sentir des mains sur son visage
il lui faut qu un court instant pour reconnaitre ses mains et sa voix
alors il répond
"humm je connnais cette voix douce"
il tourne la tête la voit et sans rien comprendre sourit naturellement en la voyant
"tu me dérange pas et tu gache rien au contraire je suis ravi que tu sois la, je voulais t y montre un matin mais tu m as trouve avant"
il attend que se mette a ses cotes puis l enlace et passe son bras autour des ses epaules
" et la vue est aussi belle a mes cotesque en face a présent même plus belle a mes cotes"
il l embrasse tendrement

Alesia_le_garec

Citation:

"humm je connais cette voix douce"

Assise à ses cotés elle regarde le soleil qui semble émerger de la mer , l'instant sublime la rend muette pour un court instant.Tout au fond d'elle même elle doit s'avouer qu'elle est soulagée , elle a craint un instant qu'il ne désire pas vraiment sa présence à ce moment , après tout il aurait pu avoir envie de s'isoler , de réfléchir au calme.

Je pensais pas te trouver la mais je dois dire que j'en suis bien contente , j'aime le matin quand le soleil se lève , sortir et marcher avant que les gens ne s'éveillent.

Elle frôla de ses lèvres les siennes et lui rendit son baiser avec la même douceur , c’était plus fort qu'elle, l'attirance qu'ils ressentaient l'un pour l'autre était inattendu. Et cela ne rendait pas les choses facile pour Lésia .Elle voulait profiter des instants passés avec lui sans trop se poser de questions . De toute façon elle n’était pas prête à entendre les réponses qui fuseraient .Au loin elle aperçu l'ombre d'un bateau , un instant son visage s’assombrit et elle reporta son attention sur lui .

Dit moi tu es déjà monté sur un bateau?Je me suis toujours demandé comment ils peuvent flotter sur l'eau ?Un jour te dirais pas de faire un voyage a bord de l'un d'eux?
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Fred..

fred caresse sa nuque puis repond
"oui je suis déjà monte sur un bateau chez toi en Bretagne et ca c est pas très bien passé on a eu quelques souci pour naviguer
donc pour le voyage en bateau euh faut voir si ca te donne envie pourquoi pas en espérant que sa ce passe mieux"
il l embrasse alors sur la joue avant de profiter du spectacle du lever du soleil et surtout de sa présence
il prend sa main entrelace leurs doigts puis pose son regarde sur elle et repart dans ses pensees

Alesia_le_garec

Elle regarde une dernière fois le bateau au loin et secouant la tête .

C'est juste de la curiosité , ,j'ai perdu mes frères suite à un voyage qu'ils devaient faire alors j'avoue que cela a tendance à me refroidir . Je préfère rêver sur la plage en les voyant passer et me souvenir des histoires de pirates qu'ils me racontaient pour me faire peur .

Les heures défilent doucement , cela fait un moment qu'elle est partie faire un tour , réfléchir et malgré le paysage dont elle ne se lasse pas , malgré qu'elle aimerait rester encore ici , à ces cotes un simple regard discret sur lui en le voyant perdu dans ses pensées et tout en se levant dépose un baiser au coin de ses lèvres .

Je vais rentrer à l'auberge , j'ai encore quelques petits détails à régler .Me faut passer au cadastre car finalement j’emménage à Bertincourt, et puis j'ai rencontré un médecin et suite à notre conversation j'ai rendez vous pour une consultation ...

Puis se penchant vers lui tout bas au creux de son oreille " trugarez *pour ce joli moment , j'ai aimé " Et sans attendre de réponse elle s'éloigne gaiement

Trugarez=merci*
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Fred..

Fred est plonge dans ses pensées mais sa voix douce le réveille a peine il tourne la tête la regarde lui sourit puis il répond
"Merci a toi pour ce moment. Je reste encore un petit moment ici je te reviens ne t inquiète pas"
Il envoie un baiser puis la regarde partir
Il reste alors un moment a fixer la mer et en jouant avec le sable avec ses doigts
Au bout d un moment il regarde le sable et voit que sans le vouloir il lui a écrit son prénom sans même s entendre compte
Il regarde le sable sourit et voit
ALESIA
il se lève et va rassembler ses affaires car le départ est prévu ce soir et laisse la trace sur le sable

Gezekell

Jeudi matin, les cloches venaient de sonner mâtines.

Le ciel est bleu, une petit nuage tout blanc et tout rond semble perdu dans l'immensité limpide du firmament, le soleil peut prendre ses aises et faire grimper la température.

La petite troupe, qui avait pu quitter Péronne le soir de l'annonce de la modification de l'ordre des étapes de l'Artois-tour, venait de mettre pied en ville. Les autres suivraient le lendemain. Le voyage s'était passé sans encombre et malgré la longue veillée de la veille, au coin d'un feu en pleine nature, tout le monde était dans une forme exceptionnelle.

Le temps de déposer le barda de chacun, de faire le tour des tavernes pour trouver et réserver de quoi loger tout le monde, se restaurer, tester les spécialités locales, rencontrer des habitants, s'enquérir des nouvelles et se mettre au courant des dernières rumeurs, d'inaugurer le pas de tir et le soleil était maintenant bien haut.

La température montait agréablement, et, corollaire inévitable, surtout si près de la mer, l'envie d'aller se baigner. D'ailleurs, pourquoi le cacher, au vu du ciel nocturne, tous avaient prévu d'aller faire un petit tour à la plage.

Une grande fête, ouverte à tous, serait organisée, au bord de l'eau. Déjà, repérer l'endroit idéal, ni trop près, ni trop loin de la ville.

Accompagné de ses piafs, Gezekell prit la direction du port, là au moins, il était sûr de trouver la mer. En plus il adorait l'ambiance des ports, tous ces bateaux grouillant de vie, ces marins, jamais avares d'anecdotes plus croustillantes les unes que les autres, l'air iodé, l'immensité de l'eau qui appelait au voyage. Le temps de partager quelques bibines avec des équipages en pause et il prit un petit sentier qui s'éloignait de ce lieu d'activités et s'enfonça rapidement dans la nature.

Rapidement, la ville fut derrière lui. Une petite côte, une grande descente, un gros bosquet d'arbres et là, devant lui, une plage. Pas très grande, mêlant sable et galets mais en magnifique arc de cercle, avec des arbres et une vue ...

Déjà Liesel et Ducky allaient barboter, Willburg dit Albator, encore jeune, s'approcha de l'eau mais restait juste à l'endroit où les vagues les plus énergiques lui mouillaient les pattes. Les autres piafs se reposaient sur la croupe de Car'Horse qui cheminait aux côtés de Gégé qui avait enlevé ses bottes pour profiter de l'eau, du sable et des galets chauffés par le soleil.

Ayant trouvé l'endroit qu'il cherchait, à mi-chemin entre l'eau et la forêt, il libéra son cheval de ses besaces et autres sacs de voyage. Ramenant quelques pierres qu'il avait repérées, il fit un grand cercle dans lequel, le moment venu, il ferait un grand feu, histoire de voir clair et de faire quelques grillades.

Tout cela donnait chaud, aussi, se déshabilla-t-il pour aller à l'eau. Pas d'endroit pour faire un grand plongeon à première vue, qu'à cela ne tienne. En moins de temps pour le faire que pour le dire, le voilà qui nageait tout son soûl, sur le ventre, sur le dos. L'eau qui était encore fraîche était juste divine. Puis vint le moment de jouer au requin avec les palmipèdes, un jeu entre eux qu'ils affectionnaient tout particulièrement. Mais là, il fallait compter avec les vagues, ce n'était pas comme lorsqu'ils se baignaient en rivière.

Un petit creux le rappela à l'ordre et il sortit, se sécha et se rhabilla avant d'aller se restaurer et de partager un petit encas avec ses compagnons à plumes. De la viande séchée, qu'il partagea avec ses rapaces, et un fruit pour lui, du maïs pour les autres sans oublier un picotin d'avoine pour son fidèle canasson.

Une petite sieste, bercé par le ressac des vagues et les bruits de la nature et il était de nouveau en forme pour musarder. Ramassant ça et là des branches mortes et des feuilles, de la mousse quand il en trouvait et il avait tout ce qu'il fallait pour faire un toit, sait-on jamais, si un orage devait éclater, ils seraient à l'abri de la pluie.

Content de son installation temporaire, il reprit le chemin de la ville, et flânant aux hasard des rues, cherchait ses compagnons de voyage.

Fusion de ce post avec le sujet déjà existant, à la demande du joueur. {Horus}
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Demalay

Voilà que le soleil commençait à baisser de cette très belle journée. Il faut le dire, dans le coin, on appréciait réellement cela. Ce n'était pas chaque année que le ciel nous gâtait autant. Rendez-vous avait été pris la veille pour une soirée sur la Plage de Bertincourt avec ses compagnons et amis du moment. Une soirée parfaite pour profiter un peu des embruns, du léger vent et d'un simple moment de détente, tout simplement.

Sur le chemin, Blanche était toujours préoccupée par ses différentes affaires de la journée en cour. Elle n'avait même pas eu le temps de tenter d'améliorer son score au tournoi du Comte. Elle savait qu'elle n'aurait ni le temps, ni les capacités nécessaire, bien qu'on lui avait offert de l'aide.

Déjà les odeurs de marée se faisaient sentir et elle se savait proche du but de son expédition. D'ailleurs pour l'occasion elle s'était débarrassée de son armure ne gardant qu'un uniforme simple et sans ornement. Seule son épée pouvait trahir sa fonction ainsi que deux gardes armés l'accompagnant. Elle leur avait demandé de rester discret une fois sur place et viendrait leur ramener de quoi se sustenter et se désaltérer un peu.

Après avoir passé le port, Blanche repéra le sentier qui menait à la plage et où elle trouverait surement ses amis. Avançant à petit pas, elle vit qu'une installation avait été préparé mais personne. Ni gégé l'organisateur, ni personne. Bizarre ! Alors, elle s'installa non loin de là, au cas où l'installation n'était pas pour eux mais pour d'autres personnes et patienta tranquillement.

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Gezekell

Personne, Gezekell n'avait rencontré personne. Pourtant cela lui aurait été bien utile quelques paires de bras en plus. Il avait fait quelques emplettes au marché et avait de quoi nourrir deux régiments, pas moins.

Pain frais, salades, tomates, quelques fruits, du poisson et de la viande, de cochon, de bœuf, des légumes. Ils ne manqueraient de rien ce soir, c'était certain et pour faire bonne mesure, il tentait de faire rouler devant lui un fût de bière. Il ne comptait pas toute la mirabelle qu'il portait dans le dos.

Il arriva à l'installation provisoire et, un peu déçu, ne vit personne. Se débarrassant tant bien que mal des victuailles, il alluma le feu avec le bois qu'il avait préparé. Et c'est accroupi, soufflant sur les braises, qu'il aperçut au loin une silhouette familière. Y regardant plus attentivement, il crut reconnaître son amie Blanche mais elle ne brillait pas au soleil. Aussi avait-il un léger doute. Qu'à cela ne tienne, cette fête était ouverte à tous, aussi se dirigea-t-il jusqu'à elle.

Bonjour Blanche ! lui dit-il en la bisant. Tu as l'air bien fatigué. J'ai failli ne pas te reconnaître sans ton armure !

Et de rigoler, à son habitude.

Je crois que tu es la première à être arrivée. Approche toi du feu, il commence à prendre. Ils sont avec toi, les deux gaillards que j'ai croisés en arrivant, tu peux leur proposer de venir, j'ai de quoi tenir un siège.

Et de la précéder en direction du feu en chantonnant.
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Dezael

Dezael venait de participer au tournoi et était un peu fatigué. Il fallait dire que ça faisait un moment qu’il voyageait sans se reposer du tout. Le jeune homme avait besoin d’un moment de détente. Aussi, il se saisit de sa pioche et prit le chemin de la plage, en prenant soin de passer derrière l’Eglise. Entre l’auberge et celle-ci, il n’y avait pas long. Mais toujours assez pour éprouver une certaine excitation à découvrir un éventuel trésor caché. Sautillant presque, sa pioche sur l’épaule, il chantait.

Sifflez en travaillant, Lalalalalalala

Le coin qu’il choisit, comme toujours, était au milieu d’un espace non creusé encore. Assez loin des trous déjà formés pour ne pas risquer de tomber dedans en piochant. Dezael posa la torche qu’il tenait et mit le premier coup de pioche. Il en profita pour siffler, comme dans la chanson. Des coups par ci, des coups par là. Il ne s’arrêtait que pour reprendre un peu son souffle. Sa spécialité, c’était l’arc, pas les travaux trop physiques. Mais là c’était pour sa poire. Quand il eut fini de délimiter le carré qu’on leur autorisait à creuser, il commença à évacuer la terre petit à petit. Tamiser un peu, histoire de trouver ne serait ce que l’écu symbolique. Mais cette fois, il eut plus de chance. Beaucoup plus de chance. La bourse qu’il déterra contenait 20 Solidius. Encore et toujours cette monnaie échangeable contre … pfff pleins de trucs qui ne lui servaient pas. Reprenant sa torche ainsi que de le chemin de la plage, il continua de chantonner quand même.

Lors de son approche dans le camp que Gezekell avait dressé, il rangea la bourse et posa la torche à l’entrée, histoire de pas mettre le feu partout. Puis il scruta les victuailles disséminés ainsi que Gez et Blanche, à côté d’un feu naissant.

Wouhouuuu c’est moi ! Il est parfait ton petit coin Gez ! J’peux t’aider à un truc ?

Polianna

Le soleil disparaissait, au-delà des vagues, emmenant avec lui la lumière et les couleurs du jour, et laissant la place à la nuit.
L'étoile du berger apparut. Et les nuages se teintaient différemment au fil des minutes, avant de reprendre leur blancheur habituelle, lorsque le voile de la nuit fut là.
Et le phare fit écho à la lune montante en s'allumant à son tour.

L'eau montait. Poli était assise sur la plage, les bras et le menton sur ses genoux, repliés contre elle, les pieds enfoncés dans le sable.
Et l'eau montait, arrivait à sa hauteur. Puis se retirait, laissant l'écume sur son passage, avant de revenir toujours un peu plus loin.

La jeune châtaine ferma les yeux. Elle adorait cette plage. Elle ne s'était jamais sentie vraiment chez elle, ici, à Bertincourt. Mais elle aimait la mer, elle aimait regarder le coucher de soleil, sur la falaise, avec ses moutons, ou sur la plage ou sur le port, seule, voir les bateaux s'éloigner, et vivre de merveilleuses aventures périlleuses.
L'horizon immense, dégagé, lui donnait toujours un sentiment grisant de liberté. Elle se rappelait son voyage en bateau. Elle se rappelait de son arrivée ici. Elle se rappelait de ses soirées à apprendre à filer, à tisser des tapis, en compagnie de dame Virbule.
Elle se rappelait rester dehors avec ses moutons, jusque tard, attendant l'arrivée de l'étoile du berger avant de se décider à rentrer. Elle se rappelait l'odeur iodée, les embruns salés sur sa peau, la pluie, sombre, nostalgique, douce. Elle se rappelait des messes de Mélisende. Elle se rappelait la joie d'avoir les clés de sa première maison...
Elle se rappelait.
Elle se rappelait, et grava tout lentement le plus profondément dans sa mémoire, gardant ses yeux sur l'horizon, sur les falaises, sur le phare, ressentant tout plus fortement que d'habitude. Elle voulait se rappeler de tout.

Elle sortit de sa torpeur lorsque l'eau l'entoura brusquement, et se refermant sur elle avant de se retirer de nouveau, comme dans un élan pour lui faire un câlin d'au revoir, bref, enveloppant, doux. Poli sourit et essuya ses larmes silencieuses. Elle se releva à la faveur de la nuit à présent bien en place, presque complètement trempée par l'eau encore froide de la mer, et attendit que la vague qui s'était retirée revienne s'attaquer à ses pieds.
Elle se pencha alors et trempa son doigt dans l'eau vivante.
Poli porta son doigt à sa bouche, et fit une moue un peu déçue.

- Toujours salée...

Néanmoins, elle restait convaincue que l'eau de la mer devenait sucrée la nuit. Et qu'un beau jour, elle finira bien par la prendre en défaut.
En frottant encore ses yeux, elle se mit à chercher ses chausses.

Il était temps de partir.
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Capitaine_elohane

Il est parfois nulle joie de revenir au port, pourtant on y possède sa maison.
Mais la demeure d'Elohane est vide, austère et sans joie; mais l’abri d'Elohane n'a pas de feu dans la cheminée ni pain sur la table pourquoi ?

Assise sur le sable , elle réfléchi depuis que le soleil à laisser place à la lune.
Un petit vent frais caresse ses joues, point aussi vif qu'elle en a l'habitude du haut de son grand mât .

Elohane frissonne, le sable n'a pas la chaleur des galets d'Alexandrie mais il est une douce caresse à ses pieds .
Elle y enfonce ses orteils avec délice rêvant toujours d'un ailleurs , pourtant elle à parcourut les mers, entendu les mouettes des quatre horizons, failli mourir noyée des centaines de fois et la voila ...

Le cœur d'Elohane cherche une âme qui la fera rougir.
C'est un doux capitaine qui de port en port, porte le poids de ses souvenirs.

Seule sur son mât de misaine elle a regardé le couchant et l'astre à venir.
Pourtant là haut qui voudra y venir.

Point n'est difficile de monter aux cordages, mais jamais personne n’a osé le voyage.

Peut être il ne se sait point que là haut existe un cœur à aimer .
Honnêtement, elle ne fait rien pour le divulguer.

Alors sous la brise d'un matin, une plume navigue et cherche le chemin.
D'une autre mâtine ou une plage de sable fin.
La ou un loup solitaire hume les embruns.

Si cette plume telle une bouteille au parchemin.
Arrive avant une nouvelle lune dans les mains d'un marin.
Qu'il l'a relance dans la brume vers un rivage lointain.

A quoi bon se croiser uniquement dans un port, une taverne d'un soir ou l'on se soule à mort...

Rien n'est certain qu'au levé du jour .
La douce Elohane sera toujours en quête d'amour.

Le ciel doucement s’obscurcit, mais la douce capitaine ne bouge pas.
Une larme glisse en silence sur sa joue, d'un revers de la main elle l'essuie...

-Sel de la vie qui de mon coeur jaillit.

D'un geste flou , vers les vagues, elle lance...

-Dans tous les êtres, dans chaque image, dans chaque jour, il vit en moi.

Sylvine

Sylvine avait besoin de sortir de chez elle, de troquer les odeurs de talc, d'encre ou de potions pour celle d'air iodé.
Elle avait besoin de sentir sous ses pieds la dureté des galets rejetés par les dernières marées.
Elle avait besoin de retrouver le vent dans ses cheveux déliés.
Elle avait besoin de goûter l'air marin sur ses lèvres salées.
Les enfants aussi avaient besoin de se défouler. C'était la journée pour le faire. Nul ne savait ce que seraient les prochains jours.

La Bertincourtoise posa ses deux paniers. Les jumeaux tendirent leurs minuscules doigts vers elle tout en l'observant de pied en cape avec leurs mirettes bleutées. Par la suite, ils trouvèrent plus amusant de jouer avec.
Près des flots, une enfant de trois ans courait en riant avec un plus grand ayant le double de sa hauteur. Le grand s'esquivait au moment où les petits bras étaient sur le point de le saisir engendrant un flot de cris de déception mais aussi d'éclats de rires

La mère avait énormément de choses en tête aussi bien liées à ses métiers ou fonctions qu'à sa vie d femme. Elle avait voulu respirer pour se renforcer mais les événements la rattrapaient dans tous les domaines....
Elle avait besoin de voir clair pour agir vite et au mieux. Elle avait envie de mordre et cela depuis un moment. Elle était fatiguée d'entendre ds aveugles dire qu'ils étaient omniscients et que ceux ci retrouvaient leur cécité dès que la situation les acculait.
Elle était dégoûtée aussi de la négligence des fonctions des uns envers les autres.
On lui avait toujours appris pour avoir bonne récolte, il fallait lever les manches et on obtenait ainsi ce qu'on voulait. Si une personne épaulait dans le labeur d'en partager avec elle le fruit .
La tendance était faire travailler les autres pour se sublimer, garder le plaisir que pour soi et laisser les tâches ingrates aux autres,sans que pour eux, remerciement ne fut à donner....
Ses poings se serrèrent et son front se plissa. Elle haïssait cette façon de faire et en était plus que lasse.. Elle se raidit.
Elle souffla pour se détendre suivant la ligne de l'écume.
Elle devait faire le vide.

Sa main droite retira, une à une , les piques d'une coiffure qui lui enserrait trop les tempes.

Les mèches libérées ne tardèrent pas à dégringoler en cascade sur ses épaules et le long de son dos, se lovèrent un moment au creux de ses reins avant de s'étendre complètement épousant sa silhouette. Les plus courtes se balancèrent sur ses joues.

Des rires et des claquements de mains retentirent en contre bas, au milieu de l'osier. Un sourire maternel leur répondit.
Les pupilles noisette pailletées de vert balayèrent lentement chaque enfant et s'attardèrent un peu plus sur les plus grands.

Puis les paupières se fermèrent. Les sons lui parvenaient clairs: le ressac, le crissement du sable, sous les pieds des bambins , leurs rires, le gazouillement des enfançons, les piaulements et les railles des grands oiseaux de mer.

Elle leva lentement les bras, laissant le vent s'engouffrer dans sa cape et la faire battre.
Plus jeune, elle aurait dansé . Mais n'étant pas seule, elle leva la tête toujours paupières closes vers l'immensité au-dessus d'elle. Ses lèvre s’entrouvrirent. Une mélopée naquit, s'enfla et s'envola ver les cieux. Le vent et sa voix claire ne firent plus qu'un.

Maighdin

[Aux portes de Bertincourt, une fin septembre]

Elle était arrivée sur Bertincourt le matin même après un voyage rapide et sans encombre. Déchargement des bagages, redécouverte de la ville, soirée en taverne avec quelques connaissances, on peut dire que cette première journée avait été plutôt sympathique...calme mais sympathique.
La nuit fut paisible, sous une tente elle pu se défaire de la fatigue de la route. Elle s'endormit comme une masse pour ne se réveiller que le lendemain matin aux premiers rayons du soleil.

Ce n'est qu'en se réveillant sous sa tente qu'elle entendit au loin le bruit des vagues. Elle se redressa en sursaut sur sa paillasse. Les battements de son coeur s'accélérèrent, ses mains devinrent moites. Son regard chercha fébrilement le petit corps de sa fille juste contre elle. La voir, allongée là, semblant dormir du sommeil des justes, rasséréna la Cambrésienne.
Rapidement elle enfila une paire de braies et une chemise sur laquelle elle passa une veste pour lutter contre la fraîcheur de la matinée. Dans la tente à côté elle prévint Anna, la nourrice d'Arya, qu'elle partait faire un tour, que la rouquine dormait encore.

Elle ne pouvait plus ignorer la mer, son bruit, son odeur. Une angoisse sourde montait à l'intérieur d'elle. C'est alors qu'elle se souvint d'une phrase "Quand tu tombe de cheval, remonte immédiatement en selle!". Bon ca faisait déjà quelques temps qu'elle était "tombée de cheval", mais c'était le moment ou jamais de tenter de remonter en selle.

[Près du phare]

Prenant une grand inspiration elle avança, ses pieds la conduisirent nerveusement vers la plage, vers le phare.
Plus elle avançait et plus ses pas étaient petits, hésitants. Elle se défit de ses poulaines et resta quelques instants immobile. Le sable était froid, la faisant frissonner. Elle continua.
Arrivée au phare, elle toucha la maçonnerie comme pour se rassurer. Tout allait bien, elle était sur terre, rien ne pouvait lui arriver.
Ses yeux scrutèrent la mer, cette étendue d'eau qui il y a un an avait manqué l'avaler.

Une boule dans la gorge, une vision qui se brouille, les jambes qui tremblent avant de céder sous son poids. Elle est là assise au pied du phare à contempler la mer en pleurant, évacuant ainsi ses peurs restées trop longtemps enfermées, ses souvenirs refoulés au fond de sa mémoire. Maigh revoyait la scène, cette scène qui revenait hanter certaines de ses nuits. La tempête!! Arya qu'elle n'arrivait pas à retrouver craignant déjà le pire, puis l'image de Gildwin la tenant dans ses bras, elle était sauve. Et là...un craquement atroce, à peine le temps de voir le mat arriver, de tenter de s'éloigner que le bordé est explosé laissant la mer monter un instant sur le bateau. Rien pour s'accrocher, c'est la baignade. Elle sait nager...un minimum, mais les vagues déchaînées ne lui laissaient pas le loisir de mettre en pratique ce savoir. Elle buvait la tasse, se fatiguait pour essayer de rester à la surface jusqu’à ce qu'un choc lui soit asséné. Le noir.
La Cambrésienne ne se souvient ensuite que de son réveil sur cette île. Le Très Haut dans son épreuve envoyée avait eu la bonté de la faire échouer sur une île peuplée ce qui lui sauva la vie.
C'est en repensant une énième fois à tout ca qu'elle se laisse aller ce matin, qu'elle se vide de ses larmes. Il s'en était fallu de peu pour qu'elle ne soit pas là aujourd'hui, pour qu'elle n'ai pu retrouver Arya. Pourquoi?
Depuis cet épisode, elle n'avait jamais remis les pieds dans l'eau, et encore moins sur un bateau. Le moment était peut être venu de changer ca.

Laissant ses poulaines à la bonne garde du phare, elle traça droit vers la mer, ne se stoppant que quand ses pieds furent sur le point d'être mouillés. Un pas, il ne restait qu'un pas!
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Francois.beaupre

Francois alla a la plage tot le matin avant que sa femme vienne sur la plage et lui fait un chemin propre .

Il regarde le ciel se lever sur la mer et c'était un jolie paysage. Il regarda aussi plein de poisson sauter dans la mer
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Ixya.beaupre

Ixya se réveilla et trouva la charrette vide, son François était déjà parti... Se doutant bien où il était allé car il n'avait cessé de parler de la plage la veille, elle s'y rendit joyeusement...

L'apercevant de loin, elle lui fit de grands signes mais il ne semblait pas la voir... Il observait sûrement la splendeur de cette grande étendue d'eau...

Elle se dépêcha pour aller le rejoindre un sourire aux lèvres...

Coucou amour, je suis là... Le dernier dans l'eau a perdu !

Elle ôta sa robe et s'élança dans l'eau en faisant une grimace car elle était bien froide en cette période, mais elle sourit à son amour, bien décidée à ne pas lui montrer qu'elle avait froid...

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Francois.beaupre

François senti son amour prêt de lui .

Il l'as pris dans les bras quand elle lui disait

Coucou amour, je suis là... Le dernier dans l'eau a perdu !

tu peux y allez tu va gagner moi je reste sur la plage car l'eau doit être glacé

Il s'assis au bord de la mer entrain de regarder sa femme dans l'eau.

Alors l'eau est chaude mon cœur?

il lui fit un sourire et lui prepare ne cap pour pas qu'elle est froid en sortant de l'eau
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Sylvine

Un petit tour à la plage, seule, cela ne lui était pas arrivé depuis .... Cela lui semblait une éternité.... Elle revenait du Palais St Vaast et avait besoin de marcher.... Les petits étaient bien gardés par Annette...Son beau fils lui était sûrement avec son père qui avait pris entièrement son éducation en main depuis plus d'un an.

En tout cas, les père et fils ne semblaient pas être dans cette partie de plage... Les prunelles noisette balayèrent l'étendue sableuse de marée basse. Les bottines se mirent lentement en mouvement effleurant les galets.
Bras croisés, la chevelure au vent, le dos légèrement arqué, elle avançait observant le paysage sans le regarder...
Tout était dans sa tête... Elle faisait le bilan de sa vie, de ce qu'il en restait.
Ses bottes crissèrent, elle était arrivée dans la partie sableuse...
Elle poursuivit son chemin jusqu'à et au-delà de la limite des vagues à marée haute....

La tristesse était là et elle enflait dans son coeur...Elle n'avait osé en toucher mot à son compagnon. Elle le voyait si peu alors autant qu'ils bavardassent sur leur vie commune et leurs enfants....
Les coups au moral, elle les avait plus ou moins encaissés surtout que depuis quelques mois ils s'étaient multipliés aussi bien dans le domaine privé que dans ses relations publiques. Avant elle réussissait à jongler sur les diverses facettes de ses fonctions, même si aux yeux de certains ce n'étaient que peccadille.
L'incident de St Vaast lui avait fait l'effet d'une épée dans le dos. Elle ne savait pas trop si elle allait pouvoir se relever de cette blessure car elle était profonde....
Des larmes coulèrent sur ses joues.

Les mauvaises langues semblent toujours gagner.... on dirait... ou du moins cela va donner eau à leur moulin....

ô très Haut....

Elle leva la tête vers la voûte nuageuse...
Cette disparition, dois-je l'interpréter comment? Comme un message de plus que je suis de trop ici car dérangeante.... On m'a retirée petit à petit des fonctions en me prenant des clefs sans un mot, on a également pris soin de faire disparaître mes avis sur certains sujets. J'ai été sage je n'ai dit mot dans les palais et chateau concernés. J'ai même évité d'intervenir alors que cela me démangeait.
Ne plus faire partie des tribuns véterans cela avait été dur mais bon je m'y étais faite à l'idée, ensuite d'avoir été oubliée dans des "discussions " au sujet de mes ambassades.. cela je l'avoue est encore difficilement digérable.....
MAIS LA....
Elle prit une grande goulée d'air....Elle leva les bras vers le ciel....
L’Apothéose.. Comme s'il fallait effacer les traces de mon passage...

Ô Créateur ! Quels sont vos desseins pour moi?
Est-ce là une punition?
Vous savez bien que je ne suis pas dans les règles à cause des alea, que j'essaie pourtant de faire au mieux...

Je ne sais plus quoi faire... Je ne sais plus que projeter... Je ne sais plus....

Elle s'écroula sur le sable spongieux sanglotant comme une enfant....

Sylvine

Elle sentit l'humidité autour d'elle. Le sable se gorgeait d'eau....
La mer revenait, elle devait lui laisser la place si elle ne voulait pas rester à jamais dans ses bras....

Elle se leva et reprit le chemin du village non sans changer maintes fois de direction pour éviter les mouvances du sol ou les arrivées brusques de l'élément liquide......

Bas de cotillons trempés jusqu'au genoux, elle avait réussi à grimper sur les rochers près du phare. Elle était hors de portée des langues d'écume qui essayaient de lui lécher les chevilles.

Un oiseau atterrit près d'elle, occasionnant un recul de sa part.Elle avait craint que ce fut un de ces oiseaux de mer avec l'âme d'un naufragé.
Mais elle reconnut la patte enrubannée de bleue.Une de ses tourterelles, celles dressées à la diplomatie, Deux billes la fixaient, une gorge se gonflait et un roucoulement, plus ou moins couvert par le ressac, se fit entendre. La bête ailée était porteuse d'un message.
La brune défit et déroula la missive... Tous ses documents étaient retrouvés.....
Elle leva les yeux aux cieux.
Merci Très Haut......

Elle fouilla dans les replis de sa jupe et trouva des miettes de pain qu'elle sema à portée de la messagère avant de ranger l'écrit.

La brune se leva et émit un léger sifflement avant de grimper jusqu’au chemin du phare. La tourterelle battit des ailes, s'envola puis se posa sur l'épaule de la jeune femme lorsque celle-ci eut atteint la sente.
Femme et oiseau s'éloignèrent vers le port...

Sylvine

Entourée de ses trois enfants, la brune était sur la plage... Les jumeaux en châteaux branlants prenaient, tour à tour, place dans ses bras.

Amicie, sens l'air de la mer... Oui je sais c'est marée basse...Mais cette odeur, on ne la sent pas partout.
Lorsque tu seras loin, tu verras, elle te manquera....
Pour un promeneur, il eut paru comique de voir les quatre nez tendus vers le ciel.

Ecoute, sens, touche... Laisse cette plage entrer dans ton coeur. Son souvenir sera à jamais en toi où que tu sois, ma fille. Tes frère et soeur sont un peu trop petits, eux.

Syvine fit mine d'attraper Herlin qui partit en riant pour tomber sur son séant un peu plus loin. Elle le releva en riant et frotta les braies de l'enfant boudeur qui reprit le sourire...
Alors on fait bada boum. Vite cours.. Attention Amicie va te rattraper....

Flora secoua les jupes de sa mère en s’esclaffant et se mit à courir...
L' adulte poursuivit les trois jeunes enfants réjouis sur la plage.....
La fatigue arrivant, la brunette s'écroula et s'allongea sur la grève. Les petits s'arrêtèrent avant de reprendre leur course vers la forme allongée.
Un sourire de la mère et trois petits paquets sauteurs l'atteignirent.
Elle les entoura de ses bras, les berça et posa un baiser sur chacun des fronts....

On se calme maintenant... Mes trésors.....Faut garder des forces...

Cettia

La nuit était froide, même si le ciel était clair, constellé d'étoiles. Et bientôt le matin approchait. La ligne d'horizon s'éclaircissait imperceptiblement.

Cettia somnolait. Elle piquait régulièrement du nez, mais se réveillait aussitôt qu'elle sentait sa tête dodeliner. Elle ne voulait pas rater ce moment, à aucun prétexte. Elle savait que Natanael la réveillerait si elle s'endormait, il lui avait promis. Mais elle faisait quand même l'effort pour rester éveiller et ne rien manquer. Garder en mémoire ce doux instant d'attente.
Cette attente de voir la mer. Enfin. Pour la toute première fois de sa vie.

Et soudain, alors que le ciel soufflait comme pour repousser l'encre de nuit et imposer ses couleurs chaudes, orangées, rosées, qu'il se zébrait de nuages légers, de petites tâches d'oiseaux volant par ici et par là, Cettia sentit son coeur s'affoler.
Elle ouvrit des grands yeux, et se leva, debout dans la charrette.

« Bertincourt... On... On arrive, n'est-ce pas ? On arrive... On arrive ! »

Sitôt les portes de la ville passées, elle n'attendit pas et se précipita vers la plage, laissant derrière elle ses parents, sa demi-soeur, et ses amis Eiyra et Natanael.

Elle courut encore, dans le froid qui mordait ses joues. L'air marin lui parvint, avec son parfum iodé, ainsi que le cri des mouettes, des goélands. Et bientôt le grondement de la mer. Grave, rassurant, inlassable.

Elle trébucha en marchant dans le sable, tombant à plusieurs reprises, n'ayant pas l'habitude de marcher dessus, et pouffa de rire, car elle ne se faisait pas mal. Malgré ses petits grains qui grattaient, restaient collés à sa joue, s'emmêlaient dans ses cheveux.

Et alors, elle resta immobile. Interdite. Stupéfaite. Emerveillée.

La mer... grand... immense... infinie.

Encore plus grand que tout ce qu'elle pouvait imaginer. Comment était-ce possible qu'il pouvait y avoir autant d'eau dans un seul lieu ?

L'eau se mouvait, formait des rouleaux, s'écrasait contre les roches, les pierres du phare... ce phare gigantesque, fier, droit... comme une tour de magicien dans les contes. Comme dans les images que lui montrait son oncle.

Essoufflée, émue, avec ce sentiment d'irréel dû à sa nuit blanche, avec des couleurs qui dardaient le ciel, avec toute cette vie, ce spectacle foisonnant, riche, dont elle ne se lassera jamais.

La mer...

Soufflant de la buée dans le froid de ce petit matin, entendant le craquement des coques des bateaux amarrés non loin sur le port, le claquement des cordages, le bruit des vagues qui s'en venaient jusqu'à ses pieds, la blondine ne bougea pas.

Son regard portait loin. Elle ne savait même pas que l'on pouvait voir aussi loin. Qu'y avait-il à l'autre bout de cette étendue immense d'eau qui imitait les couleurs du ciel ?
Cettia eut un vertige.
Etrangement, elle se sentait légère. Libre. Un vertige de liberté. Effrayant et exaltant.

La mer avait ce pouvoir là.
Elle fascinait.
Et elle fascina la jeune blondine.

Esperance_

La mer. Elle m'avait manquée. Lorsque j'étais en Bretagne, j'aimais m'y perdre des heures durant, sans pour autant que je n'aille m'y plonger. Le simple fait d'entendre les vagues choir sur le sable, se percuter contre les falaises et les rocher, cela était suffisant à me faire voyager aussi loin que l'esprit me le permettait. Aujourd'hui encore, le calme de la nature avait eu raison de moi. Les yeux clos, les genoux remontés contre ma maigre poitrine d'enfant, je respirais à plein poumons l'air frais des côtes Artésiennes. Jeni n'était pas là pour voir ça. Mais comprendrait-elle ? Elle, si enclin à cette vie Louvresque dans laquelle elle se donnait corps et âme. Il est vrai que je la suivais dans cette voix, étant devenue de mon propre grès la Dame de Compagnie de la Princesse Merveylle, qui soit disant passant, était une jeune femme parfaitement charmante et bien plus humaine que certains nobles de ce monde. Peut-être à cause de son âge certains diront. Mais il n'en était rien. Merveylle me permettait de la nommer par son prénom, comme si nous étions amie. Elle prenait soin de moi comme une soeur s'occupant de sa benjamine, et je le lui rendait bien. A ma façon. Mais aujourd'hui, ni Merveylle, ni Jenifael n'étaient là, à profiter avec moi du silence et de la bienveillance de ces lieux. Je pourrais toujours le raconter à la Princesse. Je suis certaine qu'elle aimerait cela.

Ouvrant les yeux, je soupirais en enfouissant ma tête entre mes épaules. Devant moi, ciel et mer se côtoyait. L’immensité nuageuse semblait couler tel une cascade sens fin à l'horizon. Le vent créait quant à lui ces parfaites ondulations sur le sable blond. Et je ne pu m'empêcher à cette peur quotidienne qui était mienne. Et si demain, je ne me réveillais pas ? Si demain, personne ne remarquait ma disparition de ce monde ? Si je n'avais vécu tout ce que je voulais vivre ? A nouveau, comme à chaque fois que cette pensée s’immisçait en moi, je fus prise d'étourdissement. Ma dextre vint frapper le sable, avant que précipitamment, je ne me lève. Il me fallait vivre. Il me fallait avancer.
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Maighdin

Alors qu'elle était pleine d'espoir, d'un optimisme à toute épreuve, la sentence était tombée sans qu'elle ne réalise immédiatement.

Non! Non non...

Ca avait été sa première réponse face à l'annonce de sa mort imminente. Ce ne pouvait pas être comme ca. C'était impossible, elle était dans un cauchemar. Elle secoua la tête et continua sa litanie de "Non" repoussant la réalité le plus loin possible.
Mais l'adage "Ne crois que ce que tu vois" eu raison d'elle. La plaie qui n'est même plus bandée est montrée comme une preuve irréfutable. Ce n'est d'ailleurs pas tant la plaie elle même que tout le reste du corps qui rend la nouvelle tellement vraie.
Après avoir tenté de trouver une solution pour le soigner, le sauver (ils avaient concocté un remède spécial pour faire tomber la fièvre) elle dût accepter l'évidence. Du moins à défaut d'accepter, elle avait finit par l'entendre, mais jamais elle ne l'accepterait. C'était trop tôt, trop soudain, trop injuste...

Alors une fois qu'il est parti, les laissant toutes les trois elle ne peut retenir une remontée d'estomac et vomit l'intégralité de son repas dans le premier truc qui se présente : un pichet de vin.
Bien vite la sensation d'étouffer arrive. Elle doit sortir, courir, ouvrir grand la bouche pour attraper l'air qui lui manque.

Ses pieds l'amènent vers la plage. Le vent y est glacial, le sable froid vole et se mèle à ses vetements, ses cheveux, elle n'en a que faire.
Un trou dans le sable, une cheville qui se tord et la voila par terre à genoux. S'en est trop, elle craque et ouvre les vannes. Seule sur cette plage elle pleure, elle hurle.

Pourquoi?
AHHHHHHHHH!!!

Le sable est attrapé par poignées et lancé au loin avec rage, lui revenant juste après en plein visage. Un nouveau haut le coeur plus douloureux, plus éreintant se voit concrétisé par une petite flaque devant elle bien vite dissimulée sous le sable. Elle qui était déjà fatiguée ces derniers jours n'arrive plus à bouger. Le moindre geste lui semble un effort insurmontable. Les larmes continuent de couler, viendra bien un moment où il n'y en aura plus. Dans combien de temps?
Lasse, elle se laisse rouler sur le côté et s'enroule dans sa cape observant le ciel. La solitude dont elle a besoin à ce moment là lui permet de se repasser les souvenirs. Comme si l'histoire recommençait. Un faible sourire vient étirer ses lèvres alors que ses yeux se ferment.
Et une question qui revient sans cesse. Pourquoi? Pourquoi lui? Pourquoi maintenant? Et les regrets qui arrivent, tant que choses qu'elle aurait du lui dire, du faire avant qu'il ne soit trop tard. Mais justement, il était maintenant trop tard et elle, elle devrait vivre avec jusqu'à ce que le temps fasse son oeuvre.
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Socklyne

Sylvine

Azalid

Pu*ain de Nord.

Pu*ain d'Empire.

Pu*ain de monde.

Elle avait bien hâte de retrouver son frère, et, dans ses yeux, les souvenirs innocents.
Oui, bien hâte.
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Amarante.

Enfermé dans sa tour d'ivoire ...
Perdu au milieu de ses incertitudes ...

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Polianna

Dalmas

Theolinde

Citation:

Sylvine

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Sylvine

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Louiseanne

Louiseanne et Gaëtan arrivèrent à l'aube, fourbus mais enchantés. La jeune femme malgré la fatigue du voyage ne tenait pas en place

Allons vite boire une tisane et ensuite tu me mèneras à la plage, hein!

L'océan! c'est fabuleusement beau. Tu me l'avais dit, mais même dans mes rêves les plus fous, jamais je n'aurais imaginé que ce fût si envoutant.

Elle se pencha vers Gaëtan et l'embrassa tendrement

Merci de m'avoir permis de réaliser un de mes rêves

Ouppsss c'est frais!

Ils restèrent là a marcher les pieds dans l'eau le long de cette magnifique plage

Cle0phee

Frangipane

Extrait du journal de Frang, le 02/07/1465 :

Extrait du journal de Frang, le 03/07/1465 :

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Je ne suis peut-être pas voyante, mais je suis réceptive au présent, hé !

Shame

Dans la Nuit du 03 Août 1465 au 04 Août 1465

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Ivresse d'océan