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Ivresse d'océan

Alberade
Alberade sortit de la taverne des soiffards le coeur gros elle se dirigea vers la plage sans même s"en rendre compte perdue dans une chape de tristesse qu'elle ne s'expliquait pas elle sentait intérieurement que ses rêves les plus secret ne se réaliseraient pas et elle avait ressentie une terrible envie de pleurer alors qu'elle ne pleurait jamais que lui arrivait il? elle qui avait depuis sa plus tendre enfance apprit à masquer ses émotions et n'avait jamais pleuré .... La jeune fille soupira ,elle s'assit sur le sable face à la mer regarda le va et vient de la mer les yeux dans le vague. Elle se rasséréna gouttant au calme de la plage....
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Nedjma_ibn_khaldoun
Après un long voyage qui l'amena bien loin d'ici, lila était contente de retrouver son village, sa maison et cette belle plage.
Elle était parti des étoiles pleins les yeux, elle revenait les yeux pleins de larmes.
Une personne qui aimait plus que tout, venait de rejoindre les anges. Elle ne cessa de prier pour que Dieu lui accorde Sa miséricorde et lui accorde le repos éternel au paradis.
Elle repensa à tous les souvenirs qu'ils avaient vécu ensemble.
Elle resta là, regardant cette belle nuit étoilée, laissant les vagues l'emporter dans l'océan de leurs souvenirs.
Williamss
Insomnie quand tu nous tiens!
Les secondes vous paraissent des minutes, les minutes des heures et les heures interminables.
Ça cogite, nos idées se bousculent et les films se font...

Lassé de tourner et virer, Gilly avait fini par craquer et se relever du lit pourtant si bien chauffé par la blonde.
Surement l'alcool local, couplé avec la fatigue du voyage, lui avait mis les nerfs en pelote, suffisamment en tout cas pour le priver de sommeil.

Il avait donc quitté la chambre d'auberge pour laisser ses pas le guider dans la bourgade assoupie
Marcher au hasard? Pas vraiment... le roulis régulier des vagues sur la plage l'ayant orienté et attiré machinalement...

A cette heure tardive, le lieux était désert. le sable avait perdu la chaleur accumulé de la journée ensoleillé de la veille.
L'endroit semblait un véritable havre de paix. Le notable bourguignon s'y assis, contemplant le reflet de la lune sur l'étendue d'eau devant lui.
Perdu dans ses souvenirs, l'homme resta là jusqu'au bout de la nuit...

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Williamss
L'heure de rebrousser chemin était arrivée. La compagnie du goulot ayant rempli sa mission, nombreux de ses membres commençaient a s’essouffler, pressés de revoir leur clocher.
Le départ serait donc pour ce soir, et au grand galop s'il vous plait.

Gilly les mènerait comme ils l'entendaient. Peu lui importait après tout. Ici ou ailleurs, les chemins étaient devenus son véritable foyer. Le voyage était bien loin d'être fini pour lui.

Profitant de leurs derniers préparatifs, Williamss les avait laissé un moment pour venir contempler une dernière fois la capricieuse. Un jour il la reprendrait, le fait de l'avoir revu lui en ayant donné certitude.

L'écume venait lécher ses bottes tel une femme faisant les yeux doux à son amant et les embruns emplissaient son coeur autant que ses poumons.

Regard sur l'horizon, le bourguignon perdu dans ses rêveries, restait immobile, l'heure s’arrêtant pour lui à cet instant.

Le temps d'un au revoir auquel il avait tenu.
La Bertil avait peut être eu raison. Surement aurait il pu se perdre ici même.
Coup de chance pour lui, elle n'était plus là pour le faire regretter...


A bientôt peut être Bertincourt
Garde ta bonne humeur et ton hospitalité, alors surement nous reverrons nous...

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Sylvine
[22 août 1462]

Elle était repassée par sa maison où la brave Avia, malgré son grand âge chaperonnait les deux enfants, en particulier la plus jeune.

Sylvine avait pu souffler depuis deux jours. Ses craintes d'épidémie s'étaient envolées. Le très-Haut avait dû avoir pitié d'elle. Les délais pour obtenir les essences auraient pu faire craindre à une catastrophe.

Cela n'empêchait pas la Brunette d' attendre d'éventuels malades fort tard ce qui la retardait dans ses travaux artisanaux nécessitant la journée entière.

Un sourire et quelques paroles douces à la vieille gouvernante fusèrent.
Elle prit sa petite dans ses bras. Puis la brunette s'adressa au garçon.
Gauthier était devenu sombre depuis le départ de son père, il détourna la proposition de promenade.

"Tu nous rejoins dès que tu le veux mais avant le sixième son de la cloche,"avait-elle fini par dire. Elle avait signifié à la vieille dame qu'elle pouvait disposer.

Le porté de sa petite lui cassait de plus en plus les reins. Elle était un peu contrariée aussi que Gauthier ne vînt pas. La mort de sa monture l'avait affecté. La plage devait lui rappeler les longues escapades qu'il faisait avec.

La douleur se faisant de plus en plus sentir, elle déposa sa miniature et la prit par la menotte en adaptant son pas à celui des petons.
La route quittée, pour la grève, elle la lâcha. Elle la suivait, d'un pas, la main sur le ventre.
Une mouette se posa non loin d'elles. Amicie poussa des petits cris de joie et se mit à courir vers elle.

Prête à intervenir, La mère observait l'oiseau qui releva la tête, battit des ailes, puis s'envola un peu plus loin avant de prendre complètement son envol.

Le petit bout de fille s'empêtra les pieds en levant la tête et chut dans le sable mouillé sous les rires clairs de sa mère.

Il va falloir apprendre à regarder où tu mets tes pieds ma chérie......
Sylvine la releva en lui essuyant les genoux.
Le visage de l'enfant se peignit d'une moue d'incompréhension se décalant vers les pleurs.
En réponse aux prunelles rieuses de sa mère qui la surplombait, les lèvres de l'enfant esquissèrent un léger sourire. La jeune enfant ne se fit pas prier pour être câlinée.

oi ..seau pati.....
Nedjma_ibn_khaldoun


Cela ferait longtemps, qu'elle n'était point venu en ce lieu magnifique et apaisant.
Elle chercha un petit coin tranquille , posa son foulard par terre, et s'installa face a la mer. Elle contempla la mer et cette Belle nuit étoilée. Tant de choses avait changer, depuis la dernière fois. Elle repensa a son voyage, aux amis qu'elle avait laisser là-bas. Elle se sentait bien seule. Peut-être devrait-elle repartir? Ou reprendre la vie qu'elle avait laisser pour un amour qui n'avait finalement pas durer. Elle s'allongea pour mieux voir les étoiles, et se laisser bercer par les vagues.

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Nul n'est au dessus de Dieu, nous sommes tous imparfait.
Vantelme
Après une journée à la mine, un moment de détente s'impose et quoi de mieux que d'aller faire un tour sur la plage, il est certain qu'il ne sera pas dérangé par les amoureux en mal de tranquillité, ou les gosses qui courent dans tous les sens. Les mains dans les poches, il avance et déjà il sait ...
Oui dès les premiers frimas de janvier, il a sut qu'il ne resterait pas. Pas que l'endroit ne fut pas agréable, mais il avait pris la décision de quitter ce village qui l'avait accueilli durant un temps .
Pour aller où ?
Peut-être du côté de la Bretagne et encore rien n'en était moins sur , car en réalité il n'en savait fichtre rien et s'en foutait royalement.
Il ne restait jamais bien longtemps, préférant errer de village en village.
Dés fois 'il s'arrêtait comme en ce moment se posant alors pour un temps, mais toujours l'appel de la route le reprenait.
Bientôt c'est sans faire de vagues qu'il allait repartir, il sait qu'il ne laissera pas un souvenir impérissable cette fois encore comme les fois précédentes.
Mais ce jour-là , quand il entrera avec son baluchon attaché à un bout de bois et mit sur son épaule dans la taverne qu'il fréquente depuis quelques semaines et où il aime à boire tout en écoutant les poivrots du coin refaire à leur façon le monde cela sera pour leur faire ses adieux.
Des adieux pour le moins ironiques et rien moins que polis ..
La_marie_
Mais quelle idée de vouloir faire une baignade hivernale? Ca ne peut venir que d'une blonde ce genre d'ineptie, non mais vraiment.
Marie traverse, pieds nus, le sable froid et humide de la plage en prenant soin de relever le bas de sa robe. Le vent qui souffle défait doucement son chignon laissant quelques mèches virevolter dans une anarchie la plus complète. Si on regarde son ombre, on pourrait s'imaginer être face à une gorgone, avec ses serpents sur la tête, qui pétrifie les hommes d'un regard mais Marie est loin d'être laide, même les cheveux en bataille. Certains hommes, qu'elle aurait pu envoûter, pourraient dire que ça la rend encore plus séduisante.

Marie essaye d’ôter sa robe mais le sable la déstabilise et manque de tomber à plusieurs reprises, se retenant à chaque fois à sa blonde, ne lui facilitant pas la tâche non plus.
Voila la brune en tenue légère, grelotant. A travers le fin tissu, on peut deviner facilement deux tétons qui pointent dangereusement en direction du large, montrant le chemin à suivre.
Elle regarde sa blonde puis s'avance vers l'eau. L'écume se retire pour revenir de nouveau, venant se confronter aux pieds de Marie, laissant au passage, une algue qui vient lui chatouiller les orteils. Marie se met à hurler.

AAAaaaAAaaHHHhhhHHH c'est froid!!! AH mais qu'est-ce c'est que ça?!? On veut déjà me bouffer les orteils!! AH, au secours, à moi!!! Niliaaaaaaa....


Marie fait des bonds dans tous les sens, les bras affolés, essayant de se débarrasser de cette algue qui colle à sa peau.
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Nilia
Une bonne baignade hivernale, rien de tel pour activer la circulation et pour se réveiller surtout ! Ajoutez à cela un vent bien froid et vous avez là de quoi soit, tomber malade, soit... Geler sur place. La blonde avait eût cette idée saugrenue après avoir songé à la mer dans laquelle elle ne s'était jamais baignée, et telle une femme enceinte aux envies étranges auxquelles il fallait pallier, la blonde devait se baigner et quitte à geler sur place, autant entraîner une brune allumée, car ne dit-on pas que plus on est de fous, plus on rit ?
Il ne faut pas omettre non plus que Nilia connaissait l'aversion de son amie pour la mer... et qu'elle était un peu sadique sur les bords. Enfin... Elle se disait pour se rassurer que ça faisait partie de son charme.

Bref, voilà les deux amies sur la plage, bottes portées à la main, houppelande ôtée, nudité revêtue pour Nilia, les cheveux au vent formant un halo doré autour de sa tête. Une main soutient son amie qui galère à tenir sur ses deux jambes à cause du sable humide, l'autre a lâché les vêtements sur le sable. Sa peau s'hérisse sous le vent froid et sa poitrine -qu'elle a généreuse- se durcit en réaction à la fraîcheur du jour. Une vague amène l'écume blanche sur ses pieds et lui fait remuer les orteils.

Un cri provenant de sa chère brune se fait entendre, Nilia tourne la tête et la regarde sautiller dans tous les sens. Elle ne peut s'empêcher de rire, légèrement -très légèrement- moqueuse en comprenant que ce que Marie prend pour un monstre-marin-gluant-qui-veut-la-manger n'est autre qu'une pauvre algue innocente, inerte et verte qui n'a rien demandé à personne. Alors la blonde se penche sur le pied de sa BBT et lui retire l'algue, la prenant à deux doigts, elle la lui montre :

Ma chère BBT, ceci est une algue, certes un peu gluante, mais inoffensive. Elle aurait bien du mal à te manger grande comme tu es !

Et elle rit en jetant l'algue sur le sable. Son regard noisette se tourne vers la mer. Elle prend une bonne inspiration puis... Se met à courir en agitant les seins à chaque pas jusqu'à plonger dans l'eau d'un coup. L'eau froide de l'hiver mord sa peau, aussi émerge-t-elle en brisant la surface et en prenant une bonne inspiration, engloutissant l'air froid dans ses poumons. Ses cheveux mouillés se collent à sa peau et dégoulinent. Se tournant vers la berge où se trouve encore sa grande amie, elle lui fait un coucou de la main en souriant.

Tu viens ? Elle est bonne !
La_marie_
"Elle est bonne"... mais bien sur, Marie la croit sur parole... Elle observe sa blonde en train de barboter dans l'eau et essaye d'oublier en même temps cette humiliation causée par une algue.
Va-t-elle se décourager ou va-t-elle rejoindre son amie? Après tout, si Nilia y arrive, pourquoi pas elle?
Prenant son courage à deux mains, elle ôte ses dessous, prend du recul et coure jusqu'à fendre l'eau froide sur son passage. Des gouttelettes scintillantes encadrent joliment son corps nu et dans une grimace, elle prend une grande bouffée d'air avant de plonger en profondeur.

Certes, Marie à peur de tout ce qu'il peut y avoir sous l'eau, les poissons peuvent devenir dangereux, mais son pirate lui a apprit à nager comme une sirène. Alors évidemment, la plage de Montpellier n'a rien à voir avec celle de Bertincourt mais le principe reste le même.

Toujours sous l'eau, la brune aperçois la partie submergée de son amie, s'approche doucement, choppe brusquement les pieds de la blonde et l'attire complétement sous l'eau. Quant à elle, Marie refait surface, riant un peu, moqueuse. Ses lèvres sont bleues. Elle regarde son amie et lui propose de regagner la terre ferme.

On va chopper la mort. On devrait rentrer et boire une bonne cervoise pour nous réchauffer!


Marie se dirige vers le sable. Le froid engourdit doucement mais surement ses membres, comme s'ils étaient anesthésiés. Elle foule à nouveau le sol, prend le linge qu'elle avait prévu, s’essuie rapidement le corps et remet sa robe. Elle attend sa blonde fin de regagner le village et ses tavernes.
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Sylvine
La plage de Berticourt, un fil épais de souvenirs de sa vie.
Même si sa fille n'avait pas voulu se dégourdir les jambes, elle y serait descendue....

La petite courait toujours après les mouettes pour les faire envoler mais ce n'était plus le petit château branlant d'avant....Elle était vive bondissait.... Les volatiles avaient cette fois-ci maille à partir.... Cela promettait dans quelques années. Une chasseresse à mains nues?

Amicie fais attention.. Si elles ne s'envolent pas et qu'elles ouvrent le bec, tu recules et rabats ta cape sur ta tête en te mettant en boule...
Ne t'éloigne pas trop. Je ne peux pas te suivre aussi vite..

La Bertincourtoise n'aimait pas trop le bec crochu de ces oiseaux dits "âmes des naufragés". Elle savait de quoi ils étaient capables.

Doigts non loin de sa miséricorde au cas où il faudrait agir vite, elle ne put s'empêchait de rire en la regardant jouer. Il était étonnant de voir comme cette jeunette lui ressemblait et pourtant de temps à autre le caractère de son père transcendait. Elle était aussi fonceur que lui.

Du mouvement dans son giron, lui fit baisser les yeux... Il allait être l'heure de la tétée...

Amicie, on va commencer à rentrer pour retrouver papa et ton frère Sinon ils vont se demander ce que nous faisons...
Sylvine
En cette journée du deux mai 1463, Sylvine s'était improvisée en guide de la ville.

Marca, Suivez -moi.. Venez voir ce qui fait que le coeur des Bertincourtois bat plus vite....
Je vous laisse découvrir notre plage aux mille pas. On vient de loin également pour pouvoir y poser le peton

Elle laissa la jeune femme observer.
Marca
MARCA avait suivi la dame de la taverne, encore toute hésitante. Elle l'avait amené au bord de mer, bien que le temps soit décidément bien gris. L'orage n'était d'ailleurs pas loin et les nuages noirs, épais, d'une hauteur invraisemblable, formaient une ligne sombre sur l'horizon.

Alors c'est donc ça la plage du village ?

Cette pensée qui devait rester dans la tête de la jeune fille sortit pourtant. Nulle envie de vexer la dame qui l'avait menée là mais il manquait quelque chose dans le paysage.
Je ne me souvient pas de grand chose concernant mon passé mais il me semble que cette mer n'est pas celle que je connais, la végétation n'a pas l'air heureuse ici.
Sylvine
En vétéran tribun, Sylvine ne put s'empêcher d'observer les traits du visage de la nouvelle habitante. Certes, ce jour_là, le temps ne s'y prêtait guère. Encore que la jeune femme aimait le vent. Les tempêtes pouvaient être grandioses également

Alors c'est donc ça la plage du village ?

L'air si dépité de Marca au lieu de la marrir la fit sourire. Elle en égrena même un rire clair.

Nous sommes à marée basse. La mer va revenir....
Vous pouvez aller pêcher les coquilages, attention aux crabes, ils pincent. Méfiez-vous des vives dans le sable si vous êtes pieds nus.
Mais par contre, regardez cette étendue où vous pouvez courir, dansez chanter.....

Elle joignit le geste à la parole en effectuant une vrille sur elle-même et quelques pas chassés.
Marca
En voyant la dame virevolter dans le vent comme un flocon de neige dans une tempête d'hiver, la jeune MARCA se senti pousser des ailes.
Elle avança sur le sable humide, le sentant crisser sous ses pieds fragiles. Cette sensation lui parut nouvelle et très agréable. L’orage avançait sur la mer, balayant l'horizon de trombes d'eau. La mer semblait avoir reculé de plusieurs encablures et ça, MARCA ne l'avait jamais vu, elle en était sure.

Ce paysage majestueux impressionnait la jeune fille, elle se sentait si petite et si fragile qu'elle en tomba à genoux.
Elle prit du sable dans ses mains et le laissa glisser entre ses doigts, elle s'amusait de voir les grains former un petit cône devant ses genoux.

Un petit crabe hésitait à sortir de sa cachette dans une mare proche d'un rocher couvert d'algues, il observait la scène. Quand MARCA le vit elle voulut le prendre ignorant les conseils de la dame qui tournoyait encore dans le vent.
D’un geste rapide elle saisit la bestiole qui tout aussi rapidement lui attrapa un doigt avec sa pince.

AWAIAOUILLE !

MARCA secoua sa main, libérant la bête qui atterrit non loin de son repère, la jeune femme rit de sa sottise, se leva et se mit à danser dans le vent, les premières gouttes de pluie humidifiant son visage et sa chevelure en bataille.
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