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Ivresse d'océan

Sylvine
AWAIAOUILLE !

Le cri l'arrêta net . La jeune femme médecin était prête à secourir son accompagnatrice.
Le crustacé s'envola dans les airs. Le rire l'a rassura....
Par contre, le grain approchait vite.....


Marca, il est temps de nous mettre à l'abri. Ce n'est pas la peine qu'on attrape la malemort.
Elle rabattit sa capuche sur sa longue chevelure.
Retrouvons la chaleur de la taverne...
Marca
Marca, il est temps de nous mettre à l'abri. Ce n'est pas la peine qu'on attrape la malemort.
Elle rabattit sa capuche sur sa longue chevelure.
Retrouvons la chaleur de la taverne...[/quote]

Je n'ai que faire de la mort madame, je ne la craint pas !

un éclair déchira le ciel de part en part, suivi d'un fracas de tous les diables, le ciel était considérablement noirci et la jeune femme eu soudain l'impression que si elle restait là, elle aurait des ennuis avec les éléments déchainés.

Tout compte fait, votre idée n'est pas si mauvaise, allons en taverne auprès du feu !

Les deux dames prirent le chemin du village sous une pluie battante
Puk_cortderleeden
Le nain est seulement de passage.
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klein maar pijnlijk
Alesia_le_garec
Elle éprouve le besoin de réfléchir face aux évènements des derniers jours, alors tout en attrapant sa cape, elle sort de l'auberge où elle a pris une chambre et d'un pas décidé, elle se dirige en direction de la plage, l'air frais du matin finit de la réveiller.
Elle respire l'odeur si particulière de l'air marin, il lui suffit de fermer les yeux et elle est à nouveau chez elle en Bretagne, elle peut presque entendre les cris des goélands si profonds, si semblables à des rires.

Elle marche encore un peu puis entreprend de se déchausser, tout en regardant l'horizon Alésia ôte ses bas qu'elle glisse dans ses bottes, une dans chaque main et voilà qu'elle débute sa promenade, ses pieds s'enfoncent dans le sable humide, elle en frisonne.

Elle repense à tout ce qui s'est passé depuis ce jour où elle est sortie du couvent où elle s'était enfermée, aux missives que la sœur lui remit, cette nouvelle qui la fit tomber si bas qu'elle toucha le fond avant de remonter, de se raccrocher à la vie.
Puis à Fougères qu'elle quitta pour ne plus se sentir prisonnière, pour ne pas blesser et son arrivée à Dieppe et à lui...

Elle marche un moment avant de s'asseoir à même le sable, ses doigts s'enfoncent dans le sable qu'elle emprisonne avant de le laisser s'échapper doucement, puis elle pose son regard sombre sur cette mer si calme ce matin, admirant le soleil qui se reflète sur celle-ci.

Puis à nouveau, son esprit s'évade et c'est encore à lui qu'elle pense, lui dont elle ne sait rien, lui avec qui elle a bu jusqu'à plus soif, lui qui l'a embrassé, lui a qui elle s'est donnée et qui finalement est à ses côtés 5 jours après.

Genoux remontés sous le menton, elle songe et dire qu'elle a cru que le fait de prendre la route n'en ferait qu'une aventure sans lendemain, elle doit s'avouer être étonnée de voir que 5 jours plus tard ils sont ensemble , qu'ils discutent d'un avenir incertain.

Elle sent son visage, ses joues s'empourprer quand elle songe à ses mains sur elle, à ses lèvres, quand son regard la cherche ou quand elle-même l'attend fébrile.Pourtant, elle se défend d'avoir des sentiments, ils sont libres, enfin, elle veut s'en convaincre.

Puis la voilà à Bertincourt, peut-être village où elle va s'installer, mais il lui faut encore aller au Rouergue, peut-être l'occasion pour eux deux d'apprendre à se connaître, de voir ce qui adviendra de leur histoire ...

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Marca
La jeune femme était sortie précipitamment de la taverne, les yeux rougis et la mine défaite.

Non ce n’était pas à cause de la bière, mais de la nouvelle du départ de deux personnes avec qui elle avait passé toute la semaine. Ils partaient vers d’autres horizons, elle n’était pas sure de les revoir un jour.

Elle courut en direction de la plage, pour s’isoler et laisser libre cours à sa peine. Elle enleva ses chausses et avança dans l’eau froide jusqu’aux genoux. Là face à l’horizon elle pleura à chaudes larmes. Les vagues n’étaient pas très hautes et frappaient ses jambes d’un mouvement lancinant.

La nuit était tombée et les dernières larmes étaient depuis longtemps englouties par les flots.

Marca respirait plus calmement maintenant, son chagrin en partie apaisé par la douce brise marine. Elle prit une grande inspiration, passa sa manche sur son visage pour effacer toute trace de ses larmes et s’en retourna au village.
Ingvar
Disparue... La jeune femme avec qui il avait sympathisé dès son arrivée, à la sortie de l'église, semblait avoir plus fui la taverne que l'avoir vraiment quitté, aussi, après quelques échanges avec dame Alesia, le jeune Ingvar, vêtu de sa seule vieille chemise et pieds nus, alla chercher la jeune femme dans le village, sans la trouver, bien qu'il eut fait le tour des ruelles assombries par le soleil couchant.

Aussi, il se rappela l'avoir entendu évoquer un jour la plage, et il décida de s'y rendre, des fois qu'elle aurait été en ce lieu qu'il ne connaissait point, lui qui n'avait jamais eu la chance de se rendre au bord d'une telle étendue d'eau.

Là, sur le chemin, tandis que la nuit tombait totalement, le plongeant dans l'obscurité, il aperçut une ombre au loin, éclairée de la seule lueur de la lune, qui revenait le long du chemin... peut-être était-ce elle, qui s'en revenait du bord de mer ?
Fred..
après s etre réveille tôt il décida d aller faire un tour a la plage de bertincout
il arrive fixe les flots et voit le soleil se lever et profite du spectacle ;il marche un moment et s arrête s asseoit
il pense alors a elle et se dit qu il faut qu elle voit ça c est magnifique
il repense a elle et a cette soirée ou tout a change et en sourit
il contemple l horizon et reste un moment a rêver d elle
Alesia_le_garec
La balade se finissait, la rêverie s'estompait, il était temps de retourner au village, de se préparer pour cette nouvelle journée qui s'annonçait. Elle se leva, secoua sa jupe et reprit le chemin en sens inverse tout en profitant de la beauté du paysage ... Au loin des silhouettes qu'elle devine , puis plus elle avance et plus le reconnait lui, assis l'air aussi pensif qu'elle devait avoir il y a peu.

Tout tranquillement, elle s'avance sans bruit, derrière lui et arrivant à sa hauteur pose ses bottes qu'elle tient toujours , avance ses mains pour les poser sur ses yeux, d'une voix douce et basse, tout contre son oreille ...

Devinez qui vient vous déranger et vous gâcher la vue d'un si beau spectacle ?

Un sourire avant de s'installer à ses côtés.

C'est beau hein, reposant !

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Fred..
il est dans ses songes quand soudain il est surpris de sentir des mains sur son visage
il lui faut qu un court instant pour reconnaitre ses mains et sa voix
alors il répond
"humm je connnais cette voix douce"
il tourne la tête la voit et sans rien comprendre sourit naturellement en la voyant
"tu me dérange pas et tu gache rien au contraire je suis ravi que tu sois la, je voulais t y montre un matin mais tu m as trouve avant"
il attend que se mette a ses cotes puis l enlace et passe son bras autour des ses epaules
" et la vue est aussi belle a mes cotesque en face a présent même plus belle a mes cotes"
il l embrasse tendrement
Alesia_le_garec
Citation:
"humm je connais cette voix douce"


Assise à ses cotés elle regarde le soleil qui semble émerger de la mer , l'instant sublime la rend muette pour un court instant.Tout au fond d'elle même elle doit s'avouer qu'elle est soulagée , elle a craint un instant qu'il ne désire pas vraiment sa présence à ce moment , après tout il aurait pu avoir envie de s'isoler , de réfléchir au calme.

Je pensais pas te trouver la mais je dois dire que j'en suis bien contente , j'aime le matin quand le soleil se lève , sortir et marcher avant que les gens ne s'éveillent.


Elle frôla de ses lèvres les siennes et lui rendit son baiser avec la même douceur , c’était plus fort qu'elle, l'attirance qu'ils ressentaient l'un pour l'autre était inattendu. Et cela ne rendait pas les choses facile pour Lésia .Elle voulait profiter des instants passés avec lui sans trop se poser de questions . De toute façon elle n’était pas prête à entendre les réponses qui fuseraient .
Au loin elle aperçu l'ombre d'un bateau , un instant son visage s’assombrit et elle reporta son attention sur lui .

Dit moi tu es déjà monté sur un bateau?Je me suis toujours demandé comment ils peuvent flotter sur l'eau ?Un jour te dirais pas de faire un voyage a bord de l'un d'eux?

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Fred..
fred caresse sa nuque puis repond
"oui je suis déjà monte sur un bateau chez toi en Bretagne et ca c est pas très bien passé on a eu quelques souci pour naviguer
donc pour le voyage en bateau euh faut voir si ca te donne envie pourquoi pas en espérant que sa ce passe mieux"
il l embrasse alors sur la joue avant de profiter du spectacle du lever du soleil et surtout de sa présence
il prend sa main entrelace leurs doigts puis pose son regarde sur elle et repart dans ses pensees
Alesia_le_garec
Elle regarde une dernière fois le bateau au loin et secouant la tête .

C'est juste de la curiosité , ,j'ai perdu mes frères suite à un voyage qu'ils devaient faire alors j'avoue que cela a tendance à me refroidir . Je préfère rêver sur la plage en les voyant passer et me souvenir des histoires de pirates qu'ils me racontaient pour me faire peur .

Les heures défilent doucement , cela fait un moment qu'elle est partie faire un tour , réfléchir et malgré le paysage dont elle ne se lasse pas , malgré qu'elle aimerait rester encore ici , à ces cotes un simple regard discret sur lui en le voyant perdu dans ses pensées et tout en se levant dépose un baiser au coin de ses lèvres .

Je vais rentrer à l'auberge , j'ai encore quelques petits détails à régler .Me faut passer au cadastre car finalement j’emménage à Bertincourt, et puis j'ai rencontré un médecin et suite à notre conversation j'ai rendez vous pour une consultation ...

Puis se penchant vers lui tout bas au creux de son oreille " trugarez *pour ce joli moment , j'ai aimé " Et sans attendre de réponse elle s'éloigne gaiement


Trugarez=merci*
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Fred..
Fred est plonge dans ses pensées mais sa voix douce le réveille a peine il tourne la tête la regarde lui sourit puis il répond
"Merci a toi pour ce moment. Je reste encore un petit moment ici je te reviens ne t inquiète pas"
Il envoie un baiser puis la regarde partir
Il reste alors un moment a fixer la mer et en jouant avec le sable avec ses doigts
Au bout d un moment il regarde le sable et voit que sans le vouloir il lui a écrit son prénom sans même s entendre compte
Il regarde le sable sourit et voit
ALESIA
il se lève et va rassembler ses affaires car le départ est prévu ce soir et laisse la trace sur le sable
Gezekell
Jeudi matin, les cloches venaient de sonner mâtines.

Le ciel est bleu, une petit nuage tout blanc et tout rond semble perdu dans l'immensité limpide du firmament, le soleil peut prendre ses aises et faire grimper la température.

La petite troupe, qui avait pu quitter Péronne le soir de l'annonce de la modification de l'ordre des étapes de l'Artois-tour, venait de mettre pied en ville. Les autres suivraient le lendemain. Le voyage s'était passé sans encombre et malgré la longue veillée de la veille, au coin d'un feu en pleine nature, tout le monde était dans une forme exceptionnelle.

Le temps de déposer le barda de chacun, de faire le tour des tavernes pour trouver et réserver de quoi loger tout le monde, se restaurer, tester les spécialités locales, rencontrer des habitants, s'enquérir des nouvelles et se mettre au courant des dernières rumeurs, d'inaugurer le pas de tir et le soleil était maintenant bien haut.

La température montait agréablement, et, corollaire inévitable, surtout si près de la mer, l'envie d'aller se baigner. D'ailleurs, pourquoi le cacher, au vu du ciel nocturne, tous avaient prévu d'aller faire un petit tour à la plage.

Une grande fête, ouverte à tous, serait organisée, au bord de l'eau. Déjà, repérer l'endroit idéal, ni trop près, ni trop loin de la ville.

Accompagné de ses piafs, Gezekell prit la direction du port, là au moins, il était sûr de trouver la mer. En plus il adorait l'ambiance des ports, tous ces bateaux grouillant de vie, ces marins, jamais avares d'anecdotes plus croustillantes les unes que les autres, l'air iodé, l'immensité de l'eau qui appelait au voyage. Le temps de partager quelques bibines avec des équipages en pause et il prit un petit sentier qui s'éloignait de ce lieu d'activités et s'enfonça rapidement dans la nature.

Rapidement, la ville fut derrière lui. Une petite côte, une grande descente, un gros bosquet d'arbres et là, devant lui, une plage. Pas très grande, mêlant sable et galets mais en magnifique arc de cercle, avec des arbres et une vue ...

Déjà Liesel et Ducky allaient barboter, Willburg dit Albator, encore jeune, s'approcha de l'eau mais restait juste à l'endroit où les vagues les plus énergiques lui mouillaient les pattes. Les autres piafs se reposaient sur la croupe de Car'Horse qui cheminait aux côtés de Gégé qui avait enlevé ses bottes pour profiter de l'eau, du sable et des galets chauffés par le soleil.

Ayant trouvé l'endroit qu'il cherchait, à mi-chemin entre l'eau et la forêt, il libéra son cheval de ses besaces et autres sacs de voyage. Ramenant quelques pierres qu'il avait repérées, il fit un grand cercle dans lequel, le moment venu, il ferait un grand feu, histoire de voir clair et de faire quelques grillades.

Tout cela donnait chaud, aussi, se déshabilla-t-il pour aller à l'eau. Pas d'endroit pour faire un grand plongeon à première vue, qu'à cela ne tienne. En moins de temps pour le faire que pour le dire, le voilà qui nageait tout son soûl, sur le ventre, sur le dos. L'eau qui était encore fraîche était juste divine. Puis vint le moment de jouer au requin avec les palmipèdes, un jeu entre eux qu'ils affectionnaient tout particulièrement. Mais là, il fallait compter avec les vagues, ce n'était pas comme lorsqu'ils se baignaient en rivière.

Un petit creux le rappela à l'ordre et il sortit, se sécha et se rhabilla avant d'aller se restaurer et de partager un petit encas avec ses compagnons à plumes. De la viande séchée, qu'il partagea avec ses rapaces, et un fruit pour lui, du maïs pour les autres sans oublier un picotin d'avoine pour son fidèle canasson.

Une petite sieste, bercé par le ressac des vagues et les bruits de la nature et il était de nouveau en forme pour musarder. Ramassant ça et là des branches mortes et des feuilles, de la mousse quand il en trouvait et il avait tout ce qu'il fallait pour faire un toit, sait-on jamais, si un orage devait éclater, ils seraient à l'abri de la pluie.

Content de son installation temporaire, il reprit le chemin de la ville, et flânant aux hasard des rues, cherchait ses compagnons de voyage.




Fusion de ce post avec le sujet déjà existant, à la demande du joueur. {Horus}
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Demalay
Voilà que le soleil commençait à baisser de cette très belle journée. Il faut le dire, dans le coin, on appréciait réellement cela. Ce n'était pas chaque année que le ciel nous gâtait autant. Rendez-vous avait été pris la veille pour une soirée sur la Plage de Bertincourt avec ses compagnons et amis du moment. Une soirée parfaite pour profiter un peu des embruns, du léger vent et d'un simple moment de détente, tout simplement.

Sur le chemin, Blanche était toujours préoccupée par ses différentes affaires de la journée en cour. Elle n'avait même pas eu le temps de tenter d'améliorer son score au tournoi du Comte. Elle savait qu'elle n'aurait ni le temps, ni les capacités nécessaire, bien qu'on lui avait offert de l'aide.

Déjà les odeurs de marée se faisaient sentir et elle se savait proche du but de son expédition. D'ailleurs pour l'occasion elle s'était débarrassée de son armure ne gardant qu'un uniforme simple et sans ornement. Seule son épée pouvait trahir sa fonction ainsi que deux gardes armés l'accompagnant. Elle leur avait demandé de rester discret une fois sur place et viendrait leur ramener de quoi se sustenter et se désaltérer un peu.

Après avoir passé le port, Blanche repéra le sentier qui menait à la plage et où elle trouverait surement ses amis. Avançant à petit pas, elle vit qu'une installation avait été préparé mais personne. Ni gégé l'organisateur, ni personne. Bizarre ! Alors, elle s'installa non loin de là, au cas où l'installation n'était pas pour eux mais pour d'autres personnes et patienta tranquillement.

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