Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, ..., 6, 7, 8   >   >>

[RP] Et Slamjack défia le Pouvoir en Place

--Destinee
Dunkerque....la nuit....

Une ombre se faufile rapidement dans les sombres ruelles de la ville, à peine le temps pour les passants d'apercevoir une cape s'envoler, que dejà elle a passé le coin de la rue, sa capuche relevée masque une bonne partie de son visage ne laissant apparaitre que son sombre regard; sous sa cape bien caché serré contre son corps, un arc et une flèche autour de laquelle est enveloppé une missive...
Son destinataire n'etait plus très loin, plus que quelques mètres les separaient, la mairie etait en vue, il ne fut pas tres compliqué de connaitre quelle meurtière ouvrait sur la geole du brigand Louis-Mandrin,repérer les gardes dans une taverne les souler à l'aide de quelques bières et les langues se délient rapidement...
L'ouverture en question est enfin à portée, un regard lancé à droite et à gauche, personne ne regarde, l'ombre releve sa cape, bande son arc, vise parfaitement tire,et la flèche part dans la bonne direction, pénétre directement dans la meurtière.....plus qu'à espérer qu'elle ne s'est pas fichée dans le corps du brigand...

Son contrat était rempli en partie, plus qu'à rejoindre les autres à l'endroit prévu....
Louis_mandrin
Une fleche se plante dans la nuit sur une poutre du plafond. Louis sursaute, reveillé en plein sommeil. Les yeux un peu embués de fatigue, il regarde un peu partout et ne tarde pas à voir le message accroché haut au plafond. Après maintes efforts pour attraper le parchemin avec les chaines qui l'entravent qui pendouille il le deplie et lis.

mmm que de bonnes nouvelles... il froisse le parchemin, le decoupe en petits morceaux et le mange lentement en machouillant le cuir.

Ca faisait bien longtemps qu'il n'avait tant manger...

_________________
Ceci est un bloc de texte qui peut être ajouté aux messages que vous postez. Il y a une limite de 255 caractères

Le HTML est Désactivé
Le BBCode est Activé
Les smilies sont Activés
--Le.vieil.albert
Tôt ce matin là, le vieil homme profita de l'aube pour se rendre vers les prisons dunkerquoises. On lui avait fixé une mission. Patiemment il attendit que la garde de nuit soit relevée par celle du matin. Il profita de cet instant pour se glisser le long du batiment. Si sa mémoire ne le trompait pas il n'y avait qu'une cellule d'occupée. Par sécurité il préféra les longer toutes. Lorsqu'il trouva enfin le prisonnier pour qui on lui avait confié un message.
Il vit l'homme qui faisait les cents pas sur le peu de distance que ces chaines lui permettaient. C'est pas humain de traiter un homme ainsi pensa-t-il.


"M'ssire Louis ! j'ai pas beaucoup d'temps. J'ai ceci pour vous. "


Le vieil homme, doutant que l'homme puisse s'approcher suffisamment lança le sac contenant du pain et de la viande séchée.

Puis il ajouta encore plus bas


"... Adieu m'ssire Louis et qu'Aristote vous protège... "


Le début de la phrase ne fut entendue que des deux hommes. Le vieil homme s'éloigna se dirigeant d'un pas guilleret vers le port. Lorsqu'il croisa les gardes il les salua bien bas.

"L'bonjour m'ssires ! belle journée pour aller à l'pêche vous trouvez pas ? "


Albert poursuivit sa route vers les pontons dunkerquois pour y retrouver sa fidèle barque. Cette mission avait redonné une seconde jeunesse au vieil Albert, qui à part sa vie n'avait plus grand chose à perdre.
--Le_masque
Quelque part en Flandres

L'homme, toujours aussi discret, retourna vers sa chambre. La nuit touchait à sa fin, les hommes du guet dans les rues n'était plus aussi a quia, il se faufila donc sans encombre de ruelles en ruelles jusqu'à l'auberge sordide où il logeait toujours. Il préférait les maisons de passes de la rue Bourdeau, bien plus chaleureuses et ô combien accueillantes... mais il n'était pas là pour le badinage.

Rentré dans la chambre, il accrochait sa cape à un vieux clou dépassant du chambranle de la porte, lorsqu'il entendit un petit bruit contre la fenêtre crasseuse derrière lui. Il fit volte-face, la dague à la main, prêt à frapper... mais ce n'était qu'un pigeon... Il devenait nerveux, il fallait qu'il se calme. Mais ils ne semblaient pas être les seuls sur le coup. Or il le leur fallait, ils devaient être les premiers.

Il marcha jusqu'à la fenêtre, l'ouvrit, et attrapa le pigeon. Bagué, comme il s'y attendait. Il prit le petit parchemin, enferma le pigeon dans la cage prévue, et lut le petit morceau de parchemin, avant de le brûler à la chandelle, unique lumière et chauffage de cette chambre misérable.
"Bien, ils arrivent ce jour. On va bientôt passer à l'action!"
--L_obscure



Au pied des murailles de Dunkerque.

L'Obscure n'a pas fermé l'œil de la nuit. Le jour J est arrivé, ils sont tous là devant l'enceinte du petit port Flamand après une longue journée de marche à travers la campagne flamande. L'objectif est clair, les ordres ont été donnés, les consignes passées. L'heure de la réflexion et des paroles n'est plus, le temps de l'action est venu.

L'encapuchonnée rabat la cape sur son visage, puis passe son ceinturon autour de la taille. Une dague, son poignard et son épée sont aiguisés, prêt à la défendre et à pourfendre qui se mettra en travers de son chemin.
Une autre dague dans sa botte pour parfaire l'équipement et l'obscure rejoint les autres.

Il va leur falloir entrer dans la ville, le plus discrètement possible et rejoindre les abords de la prison. Puis attendre, car c'est à la nuit tombée qu'ils vont devoir passer à l'action, l'obscurité étant leur meilleur atout.
Le captif est prévenu ... tout reste désormais à faire. Rien ne pourra empêcher le Chaos de s'abattre sur ce maudit comté

Les Flandres allaient trembler, c'était désormais inévitable ...
Amblypyge
Ennui total... affaiblie, elle n'avait rien d'autre a faire qu'a dormir.
Un matin, il parait...
Du bruit dans le couloir, ce doit etre un gardien, elle ouvre un oeil.
Ce n'etait pas un gardien! un vieux qui se dirigeait au fond du couloir avec un sac sur le dos. Elle se leva. Il repassait.


He! He! He!!!!!!

Elle retomba a terre et poussa un gros soupir....
Il ne l'avait même pas entendu. Combien de temps encore allait elle restée la?

_________________
--Le.vieil.albert
Le vieil homme avait salué les gardes comme à son habitude, et comme toujours les jeunes avaient répondu avec l'arrogance de leurs vingt ans, bien loin de s'imaginer ce qui venait de se passer...

Il arriva au port et les vit non loin. Ils étaient là. Elle l'avait prévenu de leur arrivée. Et comme convenu le vieil homme rejoignit sa barque, il ne dirait rien, il ne ferait pas demi tour pour prévenir les gardes. Tirant sur ses rames, il prit le large. S'il avait été plus jeune, il les aurait rejoint. Mais ses vieux os ne serviraient qu'à les ralentir. Il repensa aux jeunes gardes et à leur insolence, au conseil du comté qui ne faisait que rabaisser le prix du rachat du poisson, condamnant les siens à la misère si ça continuait. A présent tous paieraient.

Le vieil homme sourit décidément la journée allait être belle.
--Destinee
à la nuit tombée à Dunkerque

Seule dans sa petite chambre au dessus de cette taverne des bas fonds, elle se preparait....
Elle portait un bustier rouge, decouvrant un profond decolleté sur sa poitrine généreuse, une jupe assortie sous laquelle elle cachait une dague, fidèle amie, dans une de ses bottes...

Elle jeta sa cape sur ses epaules masquant completement sa tenue, elle avait pris soins de preparer un panier dedans lequel des cochonnailles et des bouteilles de vin, curieuse heure pour partir en pique nique, elle s'encapuchonna et sortit rapidement dans les ruelles sombres...

Elle se faufilait à pas de loup rejoignant le point de rendez vous qu'ils s'etaient donné avec ses complices l heure approchait, leur plan allait être mis à exécution...

A peine arrivée que dejà l'Obscure s'approchait d'elle, toute deux savaient ce qu'elles avaient à faire, pas de palabres inutiles l'une comme l'autre se connaissaient et savaient comment l'autre reagirait, en cas de pépin pas de quartier....

Direction la mairie....
--Un_souffle
Dunkerque, jour J, durant la journée

Rôdeur invisible, passant de l'ombre d'une ruelle au porche d'une demeure, le cachant de l'œil des indiscrets. Un long manteau sombre, col relevé lui cachant le bas du visage, chapeau finissant de le rendre méconnaissable.
Il parcourait les rues de Dunkerque, de long en large, notant chaque recoins, zone d’ombre, s’arrêtant parfois pendant plusieurs minutes à certains endroits afin de trouver le meilleur point de vue.

Après avoir erré durant une bonne partie de la journée, il prit position au coin d’une ruelle sombre, face aux geôles, observant les allées et venues des gardes, il les avait déjà observé lors de la relève matinale afin de savoir qui ils étaient et combien mais cette fois, ce sont les allées et venues qu’il notait, où ils allaient et d’où ils venaient.

Une fois tous ces éléments notés, il repartit, marquant au passage des coins de rues, des tonneaux, certains endroits précis, chaque marque indiquant la direction et les dangers de chaque endroit afin que, le moment venu, ses compères suivent ces directions afin que tout se déroule au mieux…

Une fois terminé, il disparut comme il était venu, comme un léger souffle caressant la nuque, discret et invisible.
--Le_masque
à la nuit tombée à Dunkerque

L'homme s'avance dans les rues sombres de la ville. Son pas est léger, non seulement pour être discret, mais aussi de contentement de laisser cette chambre sordide derrière lui. Car il n'y retournera pas. L'action commence, sans retour en arrière possible.

Il repère assez aisément la place où il doit attendre, grâce aux marques laissées pas un de ses compères, Un Souffle. Caché dans un recoin d'une venelle, emmitouflé dans sa cape noire et son chapeau sombre rabattus, il ne peut être vu que par ceux qui savent qu'il attend là. Aussi silencieux que le chat prêt à bondir sur une souris, il vérifie que ses dagues coulissent sans encombre dans leurs fourreaux. Parfois le gel coince les lames, ou fait crisser le métal. Heureusement ce soir là il ne gèle pas, et même les légers flocons de cette fin d'automne se sont arrêtés de tomber... comme si même le temps retenait sa respiration...

Il n'eut pas longtemps à attendre. Deux silhouettes s'avancent en silence dans la rue opposée. Destinée et Obscure. Dans peu de temps se serait à lui de jouer.
--L_obscure


Vers le point de ralliement.


L'Obscure se faufile dans les rues de Dunkerque, toujours encapuchonnée. Elle a relevé ses jupons qui laissent entrevoir la naissance de ses genoux, délacée quelque peu son corsage.Elle ne s'est pas fardée car elle ne sait pas le faire, mais compte sur d'autres atouts que son visage pour son projet de ce soir. Sa comparse doit elle se charger des victuailles prévues. Elle a laissé à l'un de ses compagnons resté à l'arrière son épée. Seule reste la dague dissimulé dans sa botte.

Les marques sont bien là, lui permettant de se repérer dans le dédale des ruelles qu'elle ne connaît pas. Elle dissiule toujours son visage aux passants, ne voulant pas attirer l'attention sur elle si jamais on la reconnaissait.

Enfin le lieu de rendez-vous avec Destinée qui est comme à son habitude aussi ponctuelle qu'un mécanisme d'horloge. Elles n'échangent pas un mot, les regards suffisent. Elle partent à la mairie, vers les geôles. A elles de jouer, tout repose sur leur épaules pour la première partie du plan.
--Destinee
Non loin des geoles....

L'obsure et Destinée sont à present pres de la mairie où sont enfermés les brigands, elle a fait la rencontre d'un des geoliers la veille dans une taverne, elle l'a charmé tout en lui offrant des bières et avait ainsi pu avoir tous les renseignements dont elle avait besoin, lui promettant ensuite de venir le retrouver à la nuit tombée le lendemain soir, l homme d abord hésitant car pas seul à monter la garde, Destinée lui proposa d'amener une amie avec elle....il ne resista pas longtemps et lui indiqua la porte a emprunter pour entrer plus discretement....

Juste au coin de la rue LeMasque est là, les attendant, elle chuchote au creux de son oreille quelques mots , LeMasque attendra le signal avant d'intervenir et les deux donzelles entrent par la fameuse porte,arrivant directement dans la salle des gardes...

Elles ont retiré leur cape devoilant ainsi leurs attributs, que les deux gardes ne manquent pas de lorgner, ils ont le sourire carnassier, tels des chasseurs decouvrant leurs proies à porter de tir, les deux comparses ne se font pas farouches, Destinée depose son panier sur la table, l'un des hommes debouche une des boutelles de vin, elles s'installent sur leurs genoux, leurs sales pattes les enserrant par la taille, ils en bavent dejà...

Ils remplissent les verres, Destinée et l'Obscure ne font qu à peine poser leurs levres sur le rebord du verre, le vin contient de quoi faire dormir un regiment, elles se laissent tripoter en riant, les deux hommes se laissent berner facilement et vident leur verre....

Celui sur lequel Destinée est assis tombe endormi en quelques minutes le nez plongé entre ses seins....
--La_silencieuse
Son arrivée s'était faite avant le lever du jour, elle était venue seule pour plus de discrétion.
Elle avait du se trouver une chambre dont la fenêtre donnait sur la geôle du captif et observer dans l'attente du moment venu et tout ceci bien sûr sans éveiller le moindre soupçon.

Elle avait été plus que discrète comme toujours, mais elle n'avait pas cessé d'observer depuis son arrivée.
Non loin des geôles... jamais loin des geôles, c'est sa mission.

La fin approche pour eux et quelle fin !

De loin, elle peut voir Obscure et Destinée approcher et entrer dans la salle des gardes.
Elle avait fait tant de fois le tour de chaque bâtiment qu'elle aurait pu dessiner une carte de chaque pièce du bâtiment dans lequel le captif était enfermé.

Glissée sous la fenêtre de la salle des gardes, elle peut entendre les rires des hommes ravis d'avoir entre les mains deux femmes prêtent à se livrer à eux.
Du moins, c'est ce qu'elles devaient leur laisser croire, et ils étaient visiblement tombé dans le piège aisément.

La cupidité de ses hommes n'était plus à prouver désormais et demain tout le village en aurait la preuve.

Elle vit le Masque qui attendait tout comme elle le signal... encore un peu de patience...
--L_obscure


Dans la salle des gardes.

L'obscure, sur les genoux de l'un des deux gardes, trinque et rit avec lui. Elle ne fait qu'effleurer du bout des lèvres le vin dans son verre, profitant qu'il ne la regarde pas pour vider son verre au sol. L'odeur de l'homme la répugne mais elle lui sourit, caresse ses cheveux. Il pose ses mains partout sur elle, et déjà la dague la démange, mais elle se retient, elle sait qu'elle fait cela pour la bonne cause.

Soudain, les yeux du garde se révulsent, sa respiration se fait saccadée et elle a à peine le temps de se remettre debout que l'homme s'écroule lourdement au sol, inconscient. D'un coup de bottes elle vérifie qu'il ne réagit plus, puis rapidement elle relace son corsage, se saisit de sa dague dans sa botte et se précipite à la fenêtre.

Elle siffle alors entre ses doigts, signe que Le Masque et La Silencieuse peuvent agir. La Destinée et elles doivent rester ici au cas où les deux tauliers se réveillent. Dans ce cas il leur faudra les tuer. Une pensée traverse l'esprit de L'Obscure, ils les ont vu, ils sauront les reconnaître. Ce serait si simple de les égorger là tous les deux ... Mais les ordres sont clairs, pas de tuerie inutile. Alors elle assumera quand il le faudra.
Leur part du travail est accomplie, ne reste plus qu'à attendre que leurs comparse fassent la leur. Puis il faudra fuir avec les prisonniers avant la relève de la garde qui donnera l'alerte.
--Le_masque
Un sifflement dans la nuit...

Le signal...

Silencieusement, Le Masque traverse la rue et entre en prenant le chemin suivit par Destinée et L'Obscure. Un second sifflement, plus léger, le guide vers la salle des gardes. Il jauge la situation en un coup d'oeil. Les deux gardes au sol, les filles sont maîtresses de la situation. Et leurs corsages sont déjà relacés. Défection! C'est toujours les mêmes qui en profitent!

Mais pas ce n'est pas le temps aux pensées légères. Déjà L'Obscure lui lance un trousseau de clés. Il l'attrappe au vol, descend les sombres escaliers. Mais il ne sait dans quel cachot ils se trouvent... Pas besoin de chercher cependant, un ronflement l'attire vers les dernières cellules. Un troisième garde est assis sur une chaise, face aux deux dernières cellules du couloir. Il n'était pas prévu celui là. Heureusement, il dort. Comme quoi la chance joue son rôle même dans les meilleurs plans.

Le Masque s'approche sans un bruit, sort silencieusement sa dague. Il aurait pu sans bruit égorger le garde. Facile, propre et sûr. Mais les consignes étaient strictes. Pas de sang versé. Il retourne donc l'arme, et avec la partie metallique du pommeau, d'un coup sec, il assomme le garde. Puis, en vitesse, il retire la ceinture du soldat pour lui attacher les mains, et le bayonne d'un morceau de tissu sale qui trainait par là.

Se dépécher... plus beaucoup de temps avant la relève de la garde.

D'une main sûre, il glisse la clé dans la serrure du premier cachot, et ouvre la porte...
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, ..., 6, 7, 8   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)