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[RP] Et Slamjack défia le Pouvoir en Place

--Un_souffle
Dans l’ombre


La journée fut longue, tout était noté, préparé, anticipé, chacun savait ce qu’il avait à faire, aucun besoin de faire le point tous ensemble juste des regards qui donnaient le commencement des festivités.
L’obscure et destinée étaient en route, le masque et la silencieuse attendaient leur tour, toujours suivis au loin par un souffle, restant dans les ruelles sombres, guettant le moindre bruit, la moindre ombre venant troubler le bon déroulement des opérations.

Les dangereuses, pour ceux à qui elles s’attaquaient, avaient neutralisé les gardes sous le regard attentif du souffle, prêt à intervenir en cas de nécessité, signal donné, c’était au tour du masque d’entrer dans l’arène, tout se déroulait à merveille, si le masque avait eu un problèmes, il aurait donné un signal aux gardiennes qui auraient alerté le souffle et la force aurait prit le dessus sur la discrétion.

Il ne manquait plus que la silencieuse, elle était proche, pas partie du même lieu que les autres, en cas d’échec, elle aurait du se charger de terminer seule, elle faisait partie du plan initial et était aussi le plan de secours.
Le souffle attendait patiemment, toujours à l’affût, peut être même quelque peu déçu que tout se passe au mieux, mais aussi rassuré de ne pas devoir faire couler le sang…
Louis_mandrin
Louis emerge de sa catalepsie... une clé joue dans la serrure et la porte s'ouvre doucement. L'Artiste se met sur ses gardes, probablement que les interrogatoires vont commencer dans peu de temps. Il va falloir jouer serrer et gagner du temps...

Mais voilà que par l'entrebaillement, une tête masquée se pointe. L'Artiste se met prestement sur ses pattes et titube sous l'effort. Mais intrigué il regarde sans mot dire les yeux qui scrutent la pénombre.

Serait ce là, ce qui etait annoncé dans le mysterieux parchemin ?
Il pense d'un coup à Ambly et se dit que c'est le moment où jamais de foutre les voiles. Il s'avance vers l'inconnu mais s'arrete très vite avant même de toucher la porte.
Il fait un geste en direction de l'homme (ou de la femme) pour lui montrer son impuissance. Les fers qu'il a aux pieds ne lui permettent pas d'aller plus loin. L'Artiste espere en silence que celui ci possède la clé de ces satanées chaines.

Il ne comprend pas vraiment dans quel jeu l'a t'on mis... dans quelle partie d'echec, Ambly et lui en sont maintenant les pions involontaires. Mais quelque chose lui dit qu'il y trouvera certainement son compte. Peut être Main Tranchante est elle derrière tout ça... dans l'ombre à manigancer quelque chose... Mais cet inconnu ne lui rappelle aucun souvenir.

Main Tranchante a probablement un plan qu'il devoilera en temps voulu. Louis se laissera faire maintenant. Il comprend qu'il va falloir faire preuve de discretion et de celérité à partir de maintenant... Aura t'il la force necessaire pour cela ? Sans manger, depuis plusieurs jours, les forces l'ont plus ou moins abandonné et il a un peu peur de foutre tout en l'air sur une bête erreur... Main Tranchante ne le lui pardonnerai jamais....

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--Le_masque
Le Masque entre dans la cellule. Ses yeux fouillent la mi-pénombre, et s'arrête sur une forme, au sol. C'est l'homme. Comment s'appelait-il encore ? Louis quelque chose... Le Louis en question se lève et veut approcher mais les chaînes l'en empèchent. Il fait un geste, soulevant ses poignets entravés face à l'homme masqué...

Reprenant le trousseau, Le Masque y repère une clé plus petite. Il libère d'abord les jambes de l'homme, tout en ne le quittant pas des yeux... On ne sait jamais... Puis enfin il lui libère les poignets, meurtris par les chaînes.
Le Louis à l'air fatigué, faible. Mais il fallait continuer. Le Masque dégage son manteau, juste assez pour que le Louis voit les dagues passés à la ceinture. Le message était clair. "On viens vous libérer, mais si vous faites un pas de travers..." Pas besoin de beaucoup de paroles.


- Viens, on va libérer ta copine maintenant.

La voix était basse, étouffée par le tissu qui cachait le bas du visage du Masque. Méconnaissable. Le Masque indique de sa tête la porte. Louis passe devant. On ne sait jamais. Une des règles, pour ne pas se faire surprendre, était de ne laisser personne dans son dos. Ils vont jusqu'à la cellule voisine. Le Masque ouvre la porte, puis fait entrer Louis avant lui. A nouveau ses yeux scrutent les ténèbres. Il voit les formes de la femme. "Jolie!" pense-t-il. Mais les grains de sable du temps s'écoulent dans le sablier de la vie. Le temps passe et La Silencieuse allait bientôt venir les chercher. Le Masque tend les clés à Louis.

- Libère-la, et aide-la à se lever!
--Bernardin
Sa tête va exploser, il a froid. Ses yeux ne s'ouvrent pas, il est engourdi.

La fille, le vin. Sacrée garce... Déjà à la taverne, elle lui avait collé une dague le long de ses braies parce qu'il l'avait serrée d'un peu trop prêt.

Oh mon dieu ! Elle l'aurait fait ?

Sa main essaye de bouger, il est en nage. Ah ça y est elle peut bouger un peu, touche son entrejambe, Tout est là !

Il pousse un soupir de soulagement.

Et dans sa tête embrumée, il cogite, elle est là pour le prisonnier! il arrive enfin à ouvrir les yeux. Oh elle est là ! Elle se retourne vers lui, il n'a pas beaucoup de temps pour réagir. Il ne sait même pas s'il sera entendu, il prend son souffle


A la garde !
--L_obscure



Dans la salle des gardes.

Le trousseau de clés lancé, l’Obscure s’éloigne de la fenêtre, enjambe le corps endormi du soldat qu’elle vient de droguer sans plus s’en préoccuper. Elle vient se poster près de la porte pour surveiller le moindre mouvement.
Le masque devait faire vite, il ne restait plus long avant la relève de la garde et il leur fallait à tout prix mettre le plus de distance entre leur poursuivant et eux une fois l’alerte donné. Elle ne sait pas dans quel état se trouvent les prisonniers, mais sûrement pas en pleine forme après avoir subit les privations de la prison depuis des jours. Ils allaient les ralentir, c’était couru d’avance.
Plongée dans ses réflexions, l’encapuchonnée ne se ren s compte que bien trop tard que « son » garde est sorti de sa léthargie :

Ah la garde !

Elle se retourne et fonce sur lui, dague à la main prête à l’égorger. Mais les ordres se rappellent à elle, et dans un sursaut de raison elle baisse son arme. Mais sa colère est telle qu’elle le frappe violemment au visage avec le manche en corne de sa dague .


Chien galleux !! Tu aurais mieux fais de rester aux pays des songes !!

Elle le saisit alors par le col de sa chemise, approchant son visage proche du sien puis lui murmure, la lame de sa dague sur sa gorge :

Encore un mot et je te saigne comme un pourceau .
--Bernardin
Il a fait ce qu'on lui avait appris, toujours se relever, et combattre cout que cout. Oui mais on ne lui avait pas appris à mourrir, on ne lui avait pas dit que ça pouvait arriver.

Il vit la fille se ruer sur lui, dague à la main, il n'eut pas le temps de se protéger de ses mains encore engourdies. Elle le frappa avec une telle force, il ne s'y attendait pas.

Sa pommette venait d'éclater sous le coup, la douleur fulgurante lui traversa le crane. Le sang lui coulait dans le cou, dans l'oreille. Des étoiles venaient danser devant ses yeux. Et derrière elles, le visage de l'ange de la mort.

Elle l'attrappe, son visage est tellement proche du sien, il se rend compte qu'elle est jolie, mais si cruelle...

Il sent le froid de la lame sur son cou, ça y est, c'est fini. Et puis non, elle ne l'enfonce pas dans son cou pour le saigner, elle l'insulte. Il sent du chaud dans ses braies, la peur le paralyse et l'humilie....


Mais il est soldat ! Du fond de ses tripes, il doit trouver la force de l'empêcher de nuire au comte.

Sa jambe n'est plus engourdie, il la sent, et alors qu'elle ne s'y attend pas, il lui assène un coup de genou dans le flanc.


Va en enfer, fille du diable !
--Guildebert
Il dormait comme un ange le nez niché au creux de la poitrine de la donzelle qui l'avait fait boire. Il était bien. Aucune envie de bouger, juste de rester là sans se poser trop de questions. D'ailleurs pourquoi se poser des questions ? Ca ne servait à rien. Il obéissait aux ordres et point. Sauf que là il avait désobéit. Mais Bernardin ne dirait rien et lui non plus donc qui pourrait savoir ?

Ah la garde !

Gildebert sursauta. On venait de crier. Où était-ce un cauchemar ? S'en était surement un une des donzelle s'était transformée en tigresse et menaçait son compagnon. Le garde avait mal au cheveux mais quelque chose de pas normal se passait là sous ses yeux. Il lui fallait prévenir le comte....


hé ! la garde c'est nous c'soir !
--Destinee
Destinée avait laissée l'Obscure regler les derniers details de leur plan, elle n'avait pas bougé, gardant contre elle le garde qui s'etait profondément endormi, au moins là où il etait elle le sentirait se reveiller, l'Obscure quant à elle surveillait le couloir attendant le retour du masque et des deux prisionniers....
Tout était allé tres vite, le garde qui etait allongé sur le sol s'etait réveillé, Destinée n'avait pas eu le temps de reagir, sa comparse s'occupait dejà de lui, mais son occupant s'etait de ce fait reveillé egalement, profitant alors de l'effet de surprise Destinée repoussa l'homme violemment le projetant sur le sol, elle se saisit alors rapidement de sa dague cachée dans sa botte et se jeta sur l homme maintenant etendu sur le sol toujours legerement grogui par le breuvage qu'elle lui avait fait boire, elle s'assoit sur lui les genoux repliés lui enserrant le visage,lui bloquant egalement les mouvement de ses bras, elle lui lance alors un regard plein de hargne, le retient par les cheveux et lui presente la lame de sa dague sous son nez...

"tu pousses un seul cri et je te coupe la langue! tu bouges un oreil c'est ta gorge que je tranche! dire que tes sales pattes se sont posées sur moi!"

Elle grimace et lui crache au visage, le regard noir qu'elle lui lance alors lui fait comprendre que ce ne sont pas de vaines paroles et qu'elle mettra a exécution ses funestes intentions....
--Guildebert
Il n'a pas le temps de réagir que le voilà projeté au sol la donzelle sur lui. Les genoux de la jeune femme lui encadrant le visage, il regrette qu'elle ne soit pas en jupe, au moins, même si elle n'est pas aimable, la vue aurait été agréable.

"tu pousses un seul cri et je te coupe la langue! tu bouges un oreil c'est ta gorge que je tranche! dire que tes sales pattes se sont posées sur moi!"

Il aurait bien voulu répondre à cte garce mais le froid de la lame sous son nez le paralyse de peur. Bernardin avait été plus courageux que lui. Guildebert le courage il connaissait pas. Mais lorsqu'elle lui cracha au visage toute couardise s'échappa et il hurla au prix de sa vie sans intérêt.


AAAA LLAAAAAAAA GARRRRRDEEEEEEEEEEEE !
--Destinee
L'homme alors se mit à hurler du plus fort qu'il pouvait, Destinée lança alors un regard vers sa comparse qui semblait être en mauvaise posture avec l'autre garde, il fallait agir et vite, cet homme était soit un abruti fini, soit il faisait tres peu d'état de sa propre vie, elle n'avait pas le temps pour l'hesitation, mais les ordres etaient de ne pas faire couler le sang, elle serra alors sa dague dans sa main, et d'un geste sec et violent elle lui decocha une droite....Elle arracha alors la manche de sa chemise et lui fourra ce qu elle pu au fond de la gorge....

"etouffe toi avec ça, sale rat!"

Elle pinça alors le nez du garde lui bloquant ainsi sa respiration, le sang ne coulera pas, elle tiendrait ainsi parole.....
--Guildebert
Un moment d'hésitation de la garce, Guildebert tenta de reprendre ses esprit mais elle décocha un coup qui sonna le garde. Alors qu'il tentait de reprendre conscience, l'air lui manquait. Il tenta de se débattre encore et encore pour sauver sa minable vie. Il lança un dernier regard effaré à sa tortionnaire espérant qu'elle le prendrait en pitié.

Espoir vain, déjà un voile noir passait devant les yeux du garde qui abandonna la partie. Un dernier regard vers la poitrine de la garce qui le tenait à sa merci et Guildebert rendit l'ame espérant qu'au moins la relève avait entendu son cri...
--L_obscure


Le coup porté la fait grimacer et elle étouffe à grand peine un cri de douleur. L'impudent vient de signer son arrêt de mort.

Va en enfer, fille du diable !


Son cri à sitôt fait de réveiller l'autre garde. L'Obscure jette un oeil vers Destinée qui semble avoir la situation en main, aussi se concentre t-elle sur l'homme à ses pieds qui déjà tente de se relever. Malgré la sourde douleur qui la lance sur le côté elle se précipite vers lui.
Fille du diable ... il ne croit pas si bien dire. Oui elle a des ordres, mais elle n'a jamais su les suivre et l'homme vient de lui donner l'occasion d'assouvir ses pulsions guerrières. Il va mourir c'est inévitable désormais. La mercenaire lui tire les cheveux en arrière et replace sa lame sur sa gorge, appuyant suffisamment pour qu'un filet carmin commence à suinter de sa peau. Elle retient encore son geste.
D'une voix glacial, et sans appel elle lui pose la dernière question qu'il entendra de sa misérable existence.


Une dernière volonté avant de rejoindre tes ancêtres ?


A ses côtés l'autre homme se met à hurler, appelant à l'aide. Il va leur falloir s'activer, pourvu que Le Masque s'en sorte.
--Ardrouin
AAAA LLAAAAAAAA GARRRRRDEEEEEEEEEEEE !

Un cri au loin dans la salle de garde. Les deux poivrots doivent à nouveau s'amuser. Ardrouin ne se presse pas il a l'habitude de leurs facéties, mais soupire. Il lui est difficile de travailler avec ces deux imbéciles prompts à se saouler malgré qu'ils soient en service. Une ombre encapuchonné à l'extérieur de la mairie ne lui inspire pas confiance. Le jeune homme fait le tour par l'autre côté, la porte dérobée lui donnera plus facilement accès à la salle de garde. Mais il se ravise. Si vraiment les deux autres sont en danger seul il ne pourra rien faire.

Il avance, doucement, dans l'ombre de la nuit finissante. Arrivé à la hauteur de la salle de garde, le jeune homme se hisse sur la pointe des pieds et regarde. Un de ses collègue est baillioné, l'autre a une dague sous la gorge. Il sait qu'il ne peut rien pour eux. Il pense à sa femme, son fils nouveau né. Ce n'est pas la peine de tenter le diable. Il faut prévenir des renforts.

Le jeune homme se baisse doucement il ne peut plus soutenir la vue de ses collègues souffrant ainsi. Eux aussi ont des familles, enfin il croit il ne les connait que si peu. Dans le noir, Ardrouin s'accroupit. Il lui faut réfléchir avant d'agir. Il sait que la mairie est un lieu sensible depuis que les prisonniers y sont. Non d'Aristote ! ils sont là pour eux ! pense-t-il. C'est le comte qu'il faut prévenir il est à nouveau en danger. Mais Ardrouin sent ses forces le quitter. Ils sont au moins trois là dedans. Il peut rien contre eux. Aussi le jeune homme décide d'attendre, de réfléchir afin de trouver un moyen sur de s'échapper d'ici.
--Un_souffle
Le temps filait et les prisonniers n’étaient toujours pas libérés, il savait que si ça traînait trop les ennuis allaient arriver, la relève risquait d’arriver, il n’était pas rare que certains viennent plus tôt afin d’apporter de quoi trinquer avec leurs collègues.

Mais le danger n’était pas venu d’où il pensait, les filles c’était faites surprendre par les gardes dont elles avaient la charge. Il crut qu’elles auraient facilement le dessus mais ces deux idiots leurs menaient la vis dure et appelèrent, chacun leur tour, les renforts. Situation délicate à gérer, le souffle savait que les demoiselles pouvaient avoir une réaction extrême si on leur en donnait l’occasion…

Le souffle sortit son poignard, prêt à intervenir mais, plus un bruit ne se faisait entendre, il regarda en direction de la salle de garde et vit l’un d’eux allongé sur le sol, bâillonné et ne semblant plus bouger. Soupir de soulagement, le calme était revenu.

Le souffle rangea son poignard lorsqu’il vit quelqu’un d’autre arriver, un autre garde qui avait entendu l’alerte. Le souffle se retira dans la ruelle, passant par l’endroit repéré auparavant afin de prendre le nouveau garde à revers. Le garde en question ne semblait pas vouloir participer à l’action, il était resté accroupi prêt de la salle de garde, à un pas de lui.
Poignard à la main, le souffle s’approcha sans un bruit de l’accroupi, il le prit à la gorge, la lame posée sur la jugulaire, l’autre main prit le poignet de l’homme puis lui tordit le bras dans le dos. Une fois le garde maîtrisé, il fit un demi tour sur lui-même, l’entraînant dans la sale des gardes. Après avoir jeté un œil sur la situation, il se recula dans un coin, le garde toujours en main et lui murmura :


Si tu tiens à la vie, ne bouge pas et ne cri pas.

Ensuite, le souffle lâcha le poignet de l’homme et mit sa main dans sa poche d’où il sortit une pomme, volée sur le marché plus tôt dans la journée. Il approcha la pomme de la bouche du garde, l’appuyant sur ses lèvres.

Ouvre grand la bouche et mord fort la dedans.
--Bernardin
Bernardin fut content du sursaut de courage qu'il avait eu, même s'il savait que ce serait sans aucun doute le dernier. Son copain de virée venait d'y passer sous ses yeux, il n'y aurait pas de pitié pour eux.

La fille s'était à nouveau ruée sur lui, encore engourdi il ne put lui opposer de résistance. Mourrir sans pouvoir combattre, achevé tel un mouton qu'on égorge, quelle fin...

La lame s'enfonça dans son cou doucement, la garce prenait son temps en plus, juste le temps pour qu'il retente un cri, au point où il en était


Une dernière volonté avant de rejoindre tes ancêtres ?


AAhhhh...rgh!


La lame venait de lui couper la gorge et le cri s'y étouffa, il se sentit partir doucement, vidé comme un poulet. Il ferma les yeux et revit sa pauvre vie, une femme qu'il avait eue jolie, trois marmots déguenillés..... Le froid le prit, c'en était fini.
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